cam Flashcards
connaître chez qui le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle est plus susceptible d’être diagnostiqué?
plus fréquent chez les enfants. Les taux attendus sont plus élevés chez les garçons que chez les filles. Ils sont également plus fréquents à l’âge scolaire qu’à l’adolescence.
Nommer les deux principaux symptômes d’un trouble disruptif avec dysrégulation
crises de colère fréquente
une humeur irritable de façon persistante ou colérique
identifier la durée des symptômes nécessaire pour pouvoir diagnostiquer un trouble dépressif caractérisé
les symptômes doivent être présents à tous les jours, à l’exception des modifications de poids et de l’idéation suicidaire pendant au moins deux semaines
Expliquer ce qui distingue le trouble dépressif caractérisé d’un deuil.
dans le deuil les sentiments prédominants sont le vide et la perte, alors que dans le trouble dépressif caractérisé c’est plutôt une humeur dépressive persistante et une incapacité à anticiper la joie ou le plaisir.
nommer les symptômes les plus fréquemment observés du trouble dépressif chez les jeunes
hypersomnie
hyperphagie
nommer ce qui peut augmenter les chances de récidive d’un trouble dépressif caractérisé chez une personne
le risque de récidive est plus élevé chez les individus dont l’épisode précédent était grave, chez les sujets jeunes et chez les personnes qui ont déjà présenté des épisodes multiples. La persistante des symptômes dépressifs, même d’intensité légère, pendant la rémission, est un facteur prédictif marqué de récurrence.
Nommer s’il y a une différence entre les femmes et les hommes dans la prévalence
femme : 1,5 à 3 fois plus élevée que les hommes à partir de l’adolescence
nommer au moins deux troubles de santé mentale qui peuvent être concomitants avec le trouble dépressif caractérisé et le rendre plus important en termes de persistance et de sévérité
les troubles liés à une substance
le trouble panique
identifier la durée des symptômes nécessaire pour pouvoir diagnostiquer un trouble dépressif persistant
une humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, pendant au moins 2 ans, ou au moins 1 an chez les enfants et les adolescents
nommer au moins deux troubles de santé mentale qui peuvent être concomitants avec le trouble dépressif persistant
troubles liés à l’usage d’une substance
les troubles anxieux
nommer les symptômes des deux troubles mentaux auxquels ceux appartenant au trouble dysphorique prémenstruel sont comparable en terme d’intensité (pas en terme de durée)
les symptômes sont comparables en intensité à ceux d’un autre trouble mental comme l’épisode dépressif caractérisé ou l’anxiété généralisée
nommer les deux caractéristiques partagées par l’ensemble des troubles anxieux et expliquer ce qui les distinguent
les troubles partagent les caractéristiques d’une peur et d’une anxiété excessive et des perturbations comportementales qui sont les plus apparentés.
Peur ; réponse émotionnelle à une menace imminente réelle ou perçue. La peur est plus souvent associée à des poussées d’hyperactivité neurovégétative nécessaires pour fuir ou combattre, évaluer le danger immédiat et permettre les conduites d’échappement.
Anxiété : anticipation d’une menace future, associée à une tension musculaire et une vigilance dans la préparation au danger futur et à des conduites de prudence ou d’évitement.
nommer une principale stratégie d’adaptation inadaptée des troubles anxieux
les comportements d’évitement envahissants
nommer ce qui distinguent principalement les différents troubles anxieux
les troubles anxieux se distinguent les uns les autres par le type d’objets ou le type de situation qui induisent la peur, l’anxiété ou le comportement d’évitement et le raisonnement cognitif associé
expliquer dans ses mots ce qu’est l’anxiété de séparation
peur ou anxiété persistante concernant la séparation d’avec ses figures d’attachement à un degré inapproprié du point de vue développemental. Peur ou anxiété qu’il arrive qqch de mal au figures d’attachement, que des évènements conduisent en être séparé ou à les perdre