BSP 118 Carnet CGI Flashcards

1
Q

articulation en secteur :

A
  • Secteur administratif = commandement, gestion du personnel, ETARE, PEI, cartographie, commission de sécurité
  • Secteur opérationnel : Défini pour garantir l’équilibre fonctionnel de la couverture opérationnelle (secteur nautique, NRBC, aéroportuaire, …). Occasionnel (DPS) ou fortuit (PVU). Contribue à l’élaboration des RED (grille de départ des secours).
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2
Q

Les fonctions d’engagement : 5/

A
  • INC / EXT (incendie/extinction) ;
  • SAUV (sauvetage) ;
  • RECO / ELD (reconnaissance/exploration longue durée) ;
  • SAP/AMU/SR (secours à personne/aide médicale urgente/secours routier) ;
  • VENT (ventilation).

Il s’agit des fonctions nominales pour intervenir

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3
Q

Les fonctions intégrantes : 4/

A
  • CDT (commandement) ;
  • SIC (système d’informations et de commandement) ;
  • LOG (logistique) : RAV, MAINT, SH, SAN ;
  • SIO (soutien infrastructure opérationnelle).

fonctions incontournables pour assurer la capacité opérationnelle de la BSPP

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4
Q

Les fonctions d’environnement : 8/

A
  • NRBC (nucléaire radiologique biologique chimique/antipollution) ;
  • RSMU (recherche et sauvetage en milieu urbain) ;
  • NAUT (nautique) ;
  • IMP (intervention milieu périlleux) ;
  • CYNO (cynotechnique) ;
  • PROTEC (protection) ;
  • ECL (éclairage) ;
  • COM (communication).

Il s’agit des fonctions complémentaires et de spécialités

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5
Q

Renforcement des compagnies : 2/

A

▪ En interne : par tous les groupements ;

▪ En externe : à l’échelon zonal via le CO (CIAM).

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6
Q

La garde d’incendie et de secours est constituée par l’ensemble du … désigné pour honorer les demandes de secours.

A

La garde d’incendie et de secours est constituée par l’ensemble du personnel désigné pour honorer les demandes de secours.

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7
Q

Organisation de la garde d’incendie et de secours, niveau CS : 5/

A

▪ Un officier de garde compagnie (OGC) ;

▪ Un chef de garde ;

▪ Le Personnel équipant les engins en service ;

▪ Le personnel du PVO ;

▪ Le service de jour.

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8
Q

Organisation de la garde d’incendie et de secours, niveau groupement : 5/

A

▪ Un officier supérieur de garde groupement (OSG) ;

▪ Un officier poste de commandement (OPC) ou officier PC APPUI (OCA), titulaire de la qualification « officier poste de commandement » ;

▪ Le personnel du PC TAC ou du PC APPUI ;

▪ Sous-officier statique et le personnel du CSO ;

▪ Les conducteurs.

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9
Q

Organisation de la garde d’incendie et de secours, niveau brigade : 13/

A

▪ Commandant opérationnel Brigade ;

▪ Colonel de garde, chef d’état-major opérationnel (CEMO) ;

▪ Le médecin chef brigade de garde ;

▪ L’officier supérieur de garde CO, l’officier de garde CO, le médecin coordinateur chef et le personnel du CO et de l’EMO ;

▪ Le directeur des secours médicaux (DSM) et la garde des secours médicaux constituée d’un vétérinaire, d’un pharmacien, d’un psychologue, du médecin d’astreinte et des équipages des ambulances de réanimation (AR), du CMO SAN et du véhicule d’accompagnement santé (VAS) ;

▪ Les officiers ou sous-officiers « environnement poste de commandement tactique » : prévention, sécurité et dessinateur opérationnel ;

▪ L’officier communication opérationnelle ;

▪ Les officiers ou sous-officiers « experts » : officiers NRBC, NAUTIQUE, RSMU, CYNO, chef de section ELD, représentant des cultes, investigateurs et équipiers RCCI ;

▪ Les officiers de liaison Brigade (CCZ, CIC DOPC/renfort CCZ, COPP/ SIC DSPAP ;

▪ Le personnel du GSS, et du GFIS armant certains moyens spéciaux, d’aide au commandement ou d’appui à la couverture opérationnelle ;

▪ Le sous-officier du service général ;

▪ Les conducteurs de la section transport ;

▪ Le personnel de garde et d’astreinte technique ou administrative.

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10
Q

Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise : 4/

A
  • Niveau ALPHA : Absentéisme < 10%
  • Niveau BRAVO : Absentéisme de 10% à 20 %
  • Niveau CHARLIE : Absentéisme de 20% à 40 %
  • Niveau DELTA : Absentéisme > 40%
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11
Q

Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise, niveau alpha : 2/

A

Absentéisme < 10%

o Aucune adaptation particulière ;

o En cas de pandémie : protection des personnels et dispositifs permettant de se laver les mains, prévus.

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12
Q

Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise, niveau bravo : 3/

A

Absentéisme de 10% à 20 %

o Déclenché par le chef d’état-major, après compte rendu du commandant de groupement ;

o Réponse interne au groupement sans procéder à des mouvements d’engin ;

o Rééquilibrages effectifs intra ou entre Cie, renforcements du GSS et GFIS, pas de renforcement entre GIS.

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13
Q

Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise, niveau charlie : 5/

A

Absentéisme de 20% à 40 %

o Déclenché par Cdt opérationnel Brigade ;

o Arrêt activités non opérationnelles ;

o Rappel permissionnaires et personnels de repos ;

o Malades au repos, regroupés et isolés ;

o Personnels aptes GSS et GFIS prêts à renforcer unités d’incendie.

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14
Q

Maintien du potentiel RH opérationnel en cas de crise, niveau delta : 2/

A

Absentéisme > 40%

o Déclenché par Cdt opérationnel Brigade ;

o En complément du niveau CHARLIE, service de garde modifiable selon besoin opérationnel.

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15
Q

OGC, se rend obligatoirement sur intervention : 7/

A
  • Tous cas prévus par la grille de départ des secours ;
  • Toutes demandes ou envoi de groupes, renforts ou sections ;
  • Demande de moyens de renforcement (sur feu ou interventions particulières) ou d’un plan spécial ;
  • Demande d’un chef d’agrès ;
  • Intervention dans une ambassade, une légation, chez une autorité ou une personnalité publique ou impliquant une autorité ou une personnalité publique ou leurs proches ;
  • Accident de circulation sur son secteur impliquant un véhicule du corps ;
  • Sur ordre de l’officier responsable de l’EMO ou de l’OSG.
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16
Q

OGC, se rend à son initiative : 2/

A
  • Lorsqu’un chef de détachement éprouve des difficultés ou manifeste de l’inquiétude
  • Pour une intervention autre que « secours à victime » ayant entrainé une victime décédée et toute intervention ayant entrainé de nombreuses victimes.
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17
Q

OGC, peut être désigné pour certaines fonctions particulières : 8/

A
  • Officier ZDI ;
  • Chef de secteur, officier contrôle de zone ;
  • Renforcement d’un PC TAC ;
  • Renforcement lié à un concept ou un plan, telles qu’officiers « renseignements-POI », « émulseur log », « zone émulseur », « ramassage », « PMA », « évacuation » ;
  • Officier « COS pré-positionné » sur un DPS ;
  • OPC de circonstance ;
  • Officier de liaison COD, CIC-DTSP, CES ;
  • Officier de liaison à la permanence générale RATP.
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18
Q

chef de garde,

Le mode de transport du chef de garde (EP ou VLR) ne change en rien le contenu de sa mission et de ses obligations vis-à-vis de la … … .

A

Le mode de transport du chef de garde (EP ou VLR) ne change en rien le contenu de sa mission et de ses obligations vis-à-vis de la garde d’incendie.

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19
Q

chef de garde, Le VL CdG respecte les principes d’engagement suivants : 7/

A

▪ Le déploiement des VL CdG est validé par la note de déploiement opérationnel. Hors décision de l’EMO, il ne peut donc y avoir d’autres VL CdG que ceux prévus dans cette note ;

▪ Le VL CdG est sonné pour tous les motifs chef de garde de son secteur de compétence ;

▪ Un VL CdG peut être sonné ou demandé pour une fonction particulière (chef de secteur, mise en oeuvre de SINUS…) : « je demande un véhicule de liaison chef de garde telle adresse » ;

▪ Si plusieurs CGI du CS sont de garde en même temps, la garde au VL CdG est assurée par le titulaire du CCGI le plus ancien dans le grade le plus élevé ;

▪ Le VL CdG peut être engagé hors de son LSO sans son EP pour une compétence chef de garde (fuite de gaz par exemple) ;

▪ Pour un départ nécessitant un chef de garde, le paramétrage doit privilégier le VL CdG à l’OGC si leur LSO sont à équidistance de l’intervention ;

▪ Après accord de l’OGC, un chef de garde en VL peut se rendre sur intervention sans prendre systématiquement le COS. Il reste dans ce cas disponible.

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20
Q

Chef de garde, à sa prise de service : 6/

A
  • Prend connaissance des opérations de la veille et celles en cours.
  • Inspecte au rassemblement la garde d’incendie et les personnels de service (tenue, hygiène, aptitude).
  • Fait vérifier présence, fonctionnement, état du matériel dans les engins. Veille à la mise à jour des ressources sur ADAGIO.
  • Prend connaissance du listing des mesures opérationnelles, PEI indisponibles et rues barrées. Leurs MAJ et diffusions.
  • S’assure de la prise en compte du PVO réalisée par le stationnaire.
  • Consulte la liste des services à fournir.
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21
Q

Chef de garde, pendant son service : 9/

A
  • Il lui est rendu compte de tout changement intervenant dans la composition de la garde ou dans la disponibilité des matériels et des engins ;
  • Il lui est rendu compte de l’engagement d’un de ses engins sur des interventions particulières (renfort secteur voisin par exemple) ;
  • Il s’assure, à son initiative, du maintien permanent du potentiel opérationnel de son centre de secours ;
  • Il peut, lorsque la situation opérationnelle l’exige, augmenter le volume des moyens figurant sur l’ordre de départ, selon son appréciation et sa connaissance du secteur ;
  • Il rend compte à l’officier de garde compagnie de tout événement ayant ou susceptible d’avoir une incidence sur le service d’incendie et prend les mesures palliatives nécessaires. Ces évènements peuvent être :
  • Indisponibilité ou remise en service d’engin ou de matériel ;
  • Manifestation sur la voie publique ;
  • Baisse anormale de pression dans les conduites alimentant les PEI ;
  • Indisponibilité de moyens de secours dans certains établissements (ÉTARÉ…).
  • Il contrôle l’exécution des reconnaissances opérationnelles des PEI et s’assure, à l’issue, du signalement des appareils indisponibles ;
  • Il s’assure par sondage que les rapports de sortie de secours sont correctement rédigés et validés et que les interventions nécessitant un « imprimé réglementaire » soient incrémentées (BOPE par exemple) ;
  • Il contrôle, par sondage, la rédaction des « fiches Dénombrement terrain » ;
  • Il organise et dirige les séances de préparation opérationnelle :
  • Séances de préparation physique ;
  • Manœuvre de la garde ;
  • Instruction théorique ;
  • Perfectionnement des conducteurs (étude des plans muraux, école de conduite, alimentation des pompes) ;
  • Préparation opérationnelle des stationnaires et auxiliaires (exercices de transmission de messages [ETM], modes dégradés) ;
  • Étude des ÉTARÉ.
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22
Q

Chef de garde, à la fin de son service : 2/

A
  • Il assure la continuité de service entre gardes montantes et descendantes (état physiologique des personnels, disponibilité des matériels, etc.) ;
  • Il vérifie et signe les documents du service d’incendie et de secours.
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23
Q

devoirs généraux en intervention

La … … … est constante et totale. Qu’il soit ou non présent sur place, il est responsable, devant ses supérieurs, de l’action de ses subordonnés.

A

La responsabilité du chef (celui qui est investi d’un commandement organique) est constante et totale. Qu’il soit ou non présent sur place, il est responsable, devant ses supérieurs, de l’action de ses subordonnés.

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24
Q

devoirs généraux en intervention

La … … … incombe au chef présent qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel (chef d’agrès, chef de garde, officier de garde, …).

A

La responsabilité de l’intervention incombe au chef présent qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel (chef d’agrès, chef de garde, officier de garde, …).

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25
Q

devoirs généraux en intervention

S’il y a plusieurs chefs en titre de même niveau : 2/

A
  • Celui du CSTC est de fait le COS ;
  • Sinon, plus ancien dans le grade le plus élevé.
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26
Q

devoirs généraux en intervention

Lorsqu’un responsable fait connaître sa décision de prendre le commandement de l’intervention, il devient le…

  • Seul juge des premières mesures à adopter ;
  • Fait appel à ses connaissances théoriques, son bon sens et son expérience ;
  • La prudence guide ses initiatives ;
  • Doit, si possible, prendre l’avis des techniciens de l’établissement ou des personnes de l’art.
A

Lorsqu’un responsable fait connaître sa décision de prendre le commandement de l’intervention, il devient le COS (Décision enregistrée par message radio).

  • Seul juge des premières mesures à adopter ;
  • Fait appel à ses connaissances théoriques, son bon sens et son expérience ;
  • La prudence guide ses initiatives ;
  • Doit, si possible, prendre l’avis des techniciens de l’établissement ou des personnes de l’art.
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27
Q

devoirs généraux en intervention

L’autorité présente qui ne prend pas le COS reste néanmoins … de l’intervention.

A

L’autorité présente qui ne prend pas le COS reste néanmoins responsable de l’intervention.

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28
Q

devoirs généraux en intervention

L’anticipation, qui permet la prise de toutes dispositions tactiques et matérielles, est indispensable dans tous les domaines. Elle est le grand principe qui régit l’action des secours : 2/

A
  • En amont, par la prévention et la prévision opérationnelle ;
  • Au moment de la demande de secours, en complétant préventivement le volume d’engins dépêchés sur les lieux.

Elle prévaut aussi dans l’organisation du commandement sur les interventions.

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29
Q

devoirs généraux en intervention

Les interventions de la Brigade exigent de la part des personnels, à tous les niveaux, une connaissance parfaite du métier (théorique et pratique). Cette connaissance est le fondement de la … .

A

Les interventions de la Brigade exigent de la part des personnels, à tous les niveaux, une connaissance parfaite du métier (théorique et pratique). Cette connaissance est le fondement de la discipline.

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30
Q

devoirs généraux en intervention

La discipline requiert de la part de l’exécutant : 2/

A
  • La stricte observation des ordres reçus ;
  • La recherche à son niveau du résultat escompté et de l’exécution parfaite de tous les actes y concourant.
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31
Q

devoirs généraux en intervention

En particulier, la discipline au feu impose : 5/

A
  • De se protéger physiquement avec les équipements de protection individuelle (EPI) et les moyens adaptés (gants, appareil respiratoire isolant, écran oculaire ou facial, arrimage…) ;
  • De conserver son sang-froid et sa sérénité ;
  • D’opérer en silence en toute circonstance ;
  • De rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique (cette règle ne souffre aucune exception lors d’une évolution sous ARI) ;
  • De rendre compte sans délai des actions menées, ainsi que de tout fait nouveau ou de toute initiative.
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32
Q

Zonage de l’intervention 3/

A
  • Nécessité de sécuriser le site de chaque intervention en mettant en place un zonage ;
  • Limites extérieures du zonage = périmètre de sécurité ;
  • Le COS doit le délimiter systématiquement. Il se fait aider par la police pour le matérialiser et en faire respecter les limites.
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33
Q

zonages de l’intervention , zones 3/

A
  • zone d’exclusion
  • zone contrôlée
  • zone de soutien
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34
Q

zone d’exclusion :

A

il s’agit de la zone où les intervenants sont directement exposés aux effets du danger principal (ex : fumées, feu pour un incendie etc.).
l’accès en est strictement règlementé et n’est autorisé qu’aux intervenants équipés de tenue de protection adaptées aux risques

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35
Q

zone contrôlée :

A

il s’agit d’une zone tampon où est coordonné l’engagement des intervenants en zone d’exclusion.
ne soit s’y trouver que du personnel ayant le même niveau de protection qu’en zone d’exclusion (équipes de sécurité, PCA etc.)

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36
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef de garde : 9/

A
  • A l’initiative absolue des mesures à prendre et des moyens à engager ;
  • Doit demander immédiatement les moyens qui lui sont nécessaires ;
  • Toute incertitude relative à un risque doit être prise au sérieux. La levée de doute NRBC, par exemple, doit être entreprise, e, particulier dès lors qu’une notion d’explosion existe ;
  • Doit arrêter ou renvoyer au plus tôt les secours qu’il estime inutiles ;
  • A le droit et le devoir de pénétrer dans les locaux où il juge nécessaire d’intervenir, même s’il y a refus de la part des occupants :
    ▪ Dans les ambassades, … il ne pénètre qu’avec l’assentiment du chef de la mission ou de son représentant ;
    ▪ Dans les palais nationaux avec commandement militaire, se met en rapport avec le commandant militaire ou son représentant ;
    ▪ Fait appel à la police si pas d’urgence et résistance de la part des habitants.
  • Fait évacuer les locaux menacés
  • Fait aérer les locaux et emploi au besoin les moyens de ventilation
  • En présence de victimes et d’impliqués, il fait activer un PRV pour lequel il désigne un responsable.
  • En cas de découverte d’une victime décédée sur feu :
    ▪ Demande le LCPP d’urgence ;
    ▪ Transmet l’heure de la découverte du corps par radio.
  • Avant de quitter les lieux de l’intervention, il procède à une visite minutieuse de tous les tenants et aboutissants du feu :
    ▪ Quand il le juge nécessaire, il met en place un service de surveillance et fait commander des rondes ;
    ▪ Lorsqu’un service de surveillance est installé, il ne peut être réduit ou supprimé que par le chef de garde ou l’OGC du secteur.

Ce dernier ne le supprime qu’après avoir repris le COS et acquis personnellement la certitude que tout danger a disparu.

Lorsqu’il a constaté des anomalies ou des particularités intéressant le bureau prévention, il les signale dans son message de rentrée.

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37
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef de garde

A le droit et le devoir de pénétrer dans les locaux où il juge nécessaire d’intervenir, même s’il y a refus de la part des occupants : 3/

A

▪ Dans les ambassades, … il ne pénètre qu’avec l’assentiment du chef de la mission ou de son représentant ;

▪ Dans les palais nationaux avec commandement militaire, se met en rapport avec le commandant militaire ou son représentant ;

▪ Fait appel à la police si pas d’urgence et résistance de la part des habitants.

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38
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef de garde

  • En cas de découverte d’une victime décédée sur feu : 2/
A

▪ Demande le LCPP d’urgence ;

▪ Transmet l’heure de la découverte du corps par radio.

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39
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef de garde

  • Avant de quitter les lieux de l’intervention, il procède à une visite minutieuse de tous les tenants et aboutissants du feu : 2/
A

▪ Quand il le juge nécessaire, il met en place un service de surveillance et fait commander des rondes ;

▪ Lorsqu’un service de surveillance est installé, il ne peut être réduit ou supprimé que par le chef de garde ou l’OGC du secteur.

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40
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Au départ des secours : 4/

A
  • Recueille le maximum de renseignements utiles à l’exécution de sa mission (l’appel, l’adresse, les risques, les moyens de secours à demeure, l’itinéraire) ;
  • Informe son personnel du motif de départ et fixe la tenue d’intervention adaptée ;
  • Se rend obligatoirement et dans les délais les plus brefs à l’adresse indiquée, sauf ordre contraire ;
  • Indique au conducteur l’itinéraire à prendre en rappelant les consignes de sécurité routière.
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41
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Sur place : 3/

A
  • Définit l’emplacement de son engin afin d’éviter le sur accident et en anticipant l’engagement des moyens supplémentaire ;
  • Doit garder à l’esprit de perturber le moins longtemps possible la circulation ;
  • À son ordre, l’équipage se munit des matériels et équipements indispensables à la réalisation de l’intervention et à sa sécurité.
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42
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Si au cours du trajet allé, il découvre un autre événement nécessitant l’intervention des secours : 3/

A
  • Poursuit sa mission initiale ;
  • Prend les premières mesures pour faire face au second évènement ;
  • Rend compte au CSO.
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43
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Sur le trajet retour, il se rend sur les lieux où sa présence est nécessaire et en rend … .

A

Sur le trajet retour, il se rend sur les lieux où sa présence est nécessaire et en rend compte.

44
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Il doit demander la police dès qu’il estime que la situation l’exige : 3/

A
  • Précise le motif lors de sa demande ;
  • La redemande de police s’effectue après 15 min d’attente ;
  • Après une nouvelle attente de 20 min, il passe le message suivant « police demandée à telle heure, non présentée », et en fait mention dans son rapport.
45
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

En arrivant après l’installation d’un PC TAC : 3/

A
  • S’y rend avec son jeton de présence ;
  • Rend compte de sa situation en personnel et matériel ;
  • Reste à disposition jusqu’à ce qu’il ait reçu une mission ou l’ordre de se désengager.
46
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Si les missions ont été définies par radio, ou si engagé avant installation PC TAC, il y fait porter dès que possible : 5/

A
  • Le jeton de présence ;
  • Nom du chef d’agrès, effectif, mission, emplacement, moyens mis en œuvre ;
  • Orifices de refoulement encore disponible sur l’engin ;
  • Risques particuliers rencontrés ;
  • Besoins éventuels.
47
Q

Rôles et devoirs particuliers en intervention, le chef d’agrès

Avant de quitter les lieux, il repasse au … rendre compte de son action, apporter des
Précisions et reprendre son jeton.

A

Avant de quitter les lieux, il repasse au PC TAC rendre compte de son action, apporter des
Précisions et reprendre son jeton.

48
Q

les types d’incendies : 3/

A
  • Feux de contenants :
  • Feux de locaux (appartement, cave, bureau, PSC…)
  • Feux d’éléments constitutifs de bâtiments (gaine, terrasse, escalier, joint de dilatation…)
  • Feux de contenus :
  • Feux de matières ou de produits en général
  • Feux divers :
  • Feux de véhicules VP, feux d’espace naturel…

Feux de contenants et de contenus sont rencontrés simultanément, les règles d’extinction se combinent
Seul le contenant est précisé dans le message de renseignement

49
Q

les types d’incendie

Feux de contenants et de contenus sont rencontrés simultanément, les règles d’extinction se combinent
Seul le contenant est précisé dans le … … … .

A

Feux de contenants et de contenus sont rencontrés simultanément, les règles d’extinction se combinent
Seul le contenant est précisé dans le message de renseignement.

50
Q

Principe de la manœuvre :

A
  • protéger les personnes = SAUVETAGE / MISE EN SECU
  • Empêcher le feu de s’étendre = LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS
  • Empêcher les gazs chauds et les fumées de se propager = VENTILATION
  • Réduire puis éteindre le feu = ATTAQUE ET EXTINCTION
  • Protéger les biens = PROTECTION
51
Q

Engagement tactique sur feu, 1er EP : 4/

A
  • Dépasser largement l’entrée de l’immeuble et l’adresse :
  • Faciliter la mise en œuvre des moyens ;
  • Permettre l’engagement des MEA sur les façades ;
  • Se mettre à l’abri du rayonnement et des risques d’explosion ;
  • Permettre à l’équipage de descendre et se préparer à couvert.
  • S’alimenter systématiquement sur l’hydrant le plus proche ;
  • S’engager conformément au principe de la manœuvre + CAGET ;
  • Pouvoir être désengagé facilement.
52
Q

Engagement tactique sur feu, 1er MEA : 3/

A
  • Se positionner à l’adresse, ou sur la façade nécessitant des sauvetages ;
  • Laisser la place pour la mise en station éventuelle d’un 2ème MEA ;
  • S’engager conformément au principe de la manœuvre et aux règles de sécurité des MEA.
53
Q

Engagement tactique sur feu, 2ème EP : 4/

A
  • S’assurer de la présence effective du 1er EP à l’adresse ;
  • S’alimenter systématiquement sur l’hydrant le plus approprié à la manœuvre ;
  • Veiller à ne pas gêner l’accès à d’éventuels MEA de renforcement ;
  • S’engager conformément au principe de la manœuvre.
54
Q

Phases actives de l’extinction de l’incendie

3 phases actives : 3/

A
  • Circonscrire le feu
  • S’en rendre maitre
  • En achever l’extinction
55
Q

Phases actives de l’extinction de l’incendie

« Feu circonscrit » :

A

Lorsque les lances sont établies aux points d’attaque choisis et en nombre suffisant pour empêcher le feu de se propager.

56
Q

Phases actives de l’extinction de l’incendie

« Maître du feu » :

A

Lorsque le foyer diminue d’intensité et que l’on est certain qu’il ne peut plus prendre d’extension dans les limites où il a été circonscrit. À cette phase, le débit hydraulique des moyens d’extinction est à son maximum. Ces moyens sont supérieurs ou égaux en volume à ceux établis pour circonscrire le feu.

57
Q

Phases actives de l’extinction de l’incendie

« Feu éteint » :

A

Lorsque le foyer principal ne produit plus de flamme et que seuls quelques débris ou foyers résiduels subsistent. L’extinction est achevée en dégarnissant et/ou en déblayant, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de matières en combustion.

58
Q

La MGO comprend 10 phases : 10/

A

1/ reconnaissance
2/ sauvetages et mise en sécurité
3/ établissements
4/ ventilation
5/ attaque
6/ protection
7/ déblai et dégarnissage
8/ surveillance
9/ rondes
10/ RETEX

59
Q

La fin d’une phase de la MGO présentant un caractère technique particulier peut être soulignée en cours d’intervention par une message de … se présentant sous la forme …. …. … .

A

La fin d’une phase de la MGO présentant un caractère technique particulier peut être soulignée en cours d’intervention par une message de renseignement se présentant sous la forme “sauvetages terminés” ou “reconnaissances terminées”

60
Q

Dans les premiers temps d’une intervention, seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser commandé par un chef d’agrès, peut justifier l’engagement ponctuel du personnel sur ordre avant la mise en place des éléments concourant à la sécurité (moyen hydraulique, binôme de sécurité, TGR, etc.).
C’est un temps pendant lequel le risque pour les sapeurs pompiers est particulièrement accru, il peut imposer aux intervenants de manœuvrer des ouvrants pour accéder aux locaux sans pouvoir disposer d’un moyen hydraulique en manœuvre.

il est nommé … … … .

A

Dans les premiers temps d’une intervention, seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser commandé par un chef d’agrès, peut justifier l’engagement ponctuel du personnel sur ordre avant la mise en place des éléments concourant à la sécurité (moyen hydraulique, binôme de sécurité, TGR, etc.).
C’est un temps pendant lequel le risque pour les sapeurs pompiers est particulièrement accru, il peut imposer aux intervenants de manœuvrer des ouvrants pour accéder aux locaux sans pouvoir disposer d’un moyen hydraulique en manœuvre.

il est nommé “temps de vulnérabilité”

61
Q

Temps de vulnérabilité :

A

Période durant laquelle les intervenants réalisent sur ordre des missions de la MGO sans qu’un moyen hydraulique ne soit en manœuvre sur le sinistre. Il débute dès la présentation des intervenants.

Durant le temps de vulnérabilité, seules les opérations de sauvetage réalisés sur ordre autorisent l’engagement du ou des binômes dans la zone d’exclusion sans moyen hydraulique et sans provoquer de modification aéraulique volontaire dans les volumes concernés.

62
Q

Reconnaissance, Actions qui consistent à explorer tous les endroits exposés au sinistre, de manière à : 7/

A

► procéder sans délai aux sauvetages ;

► rechercher le renseignement auprès des requérants ou personnes présentes sur les lieux ;

► rechercher d’éventuelles victimes ;

► cerner les limites du sinistre ;

► déterminer la nature des matières en combustion ;

► déterminer le mode d’extinction approprié ;

► définir les points d’attaque et les cheminements pour y parvenir.

63
Q

Tour du feu : Reconnaissances du COS

En arrivant sur le lieu de l’incendie, le COS fait le tour du feu (6 faces du sinistre) afin : 3/

A

► de se faire une idée générale de la situation ;

► de demander les moyens qui lui semblent
nécessaires ;

► d’ordonner immédiatement les premiers sauvetages.

64
Q

Tour du feu : Reconnaissances du COS

Il reconnait les tenants et les aboutissants, recueille les … et les avis et, au fur et à mesure de sa reconnaissance, arrête ses dispositions. Vérifier que le … a été́ barré est une de ses premières dispositions (action du 1er EP sans attendre le COS).

A

Il reconnait les tenants et les aboutissants, recueille les renseignements et les avis et, au fur et à mesure de sa reconnaissance, arrête ses dispositions. Vérifier que le gaz a été́ barré est une de ses premières dispositions (action du 1er EP sans attendre le COS).

65
Q

Trois types de reconnaissances : 3/

A
  • Reconnaissance d’Attaque
  • Reconnaissance périphérique
  • Reconnaissance à vue
66
Q

Tour du feu : principes fondamentaux 8/

A

► les reconnaissances sont menées tout au long des opérations jusqu’au message « reconnaissances terminées » ;
► le COS doit avoir une connaissance précise des locaux qui ont été́ visités (marquage et compte rendu) ;
► les reconnaissances peuvent être confiées par le COS à des chefs de détachement ou de secteur, qui affectent des binômes à cette mission afin de mener de front plusieurs reconnaissances partielles ;
► en infrastructure, seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre, sans la mise en place préalable d’un « binôme de sécurité́ », du TGR et de l’établissement d’un moyen hydraulique ;
► aucune face du sinistre ne doit être négligée (reconnaissances cubiques, puis concentriques) et tous les locaux menacés doivent être évacués ;
► les reconnaissances sous ARI doivent toujours s’effectuer dans le sens du tirage, hormis dans le cas express d’un sauvetage ;
► un binôme engagé en reconnaissance est indissociable et l’utilisation d’un tableau de gestion des reconnaissances (TGR) est obligatoire, ainsi que la présence d’une équipe de sécurité́ (les reconnaissances à vue ne nécessitent pas d’équipe de sécurité́) ;
► en présence d’ascenseur et/ou de monte-charge, ceux-ci doivent être ramenés au niveau d’accès des secours et bloqués en position ouverte.

67
Q

Reconnaissance d’Attaque :

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes, il s’agit d’une reconnaissance d’attaque.

68
Q

Reconnaissance périphérique :

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique, il s’agit d’une reconnaissance périphérique.

69
Q

Reconnaissance à vue :

A

Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique, il s’agit d’une reconnaissance à vue.

70
Q

Confinement :

A

Opération visant à ordonner à des personnes de se maintenir à l’abri d’un danger ambiant, en se calfeutrant à l’intérieur des locaux dans lesquels elles se trouvent.

  • Décision prises par le COS afin d’éviter l’exposition des personnes à un danger ambiant.
  • Informer et rassurer les personnes.
71
Q

Évacuation :

A

Opération visant à ordonner préventivement à des personnes de se déplacer hors des limites d’un périmètre de sécurité, au besoin en les accompagnants, afin qu’elles ne se trouvent pas exposées aux effets d’un danger évolutif.

  • Décision prises par le COS à l’issue d’une reconnaissance étendue ;
  • Rassurer les personnes pour éviter le phénomène de panique ;
  • Accompagnement et mise en place de structure d’accueil (PMA, CAI…).
72
Q

sauvetage et mise en sécurité

  • L’emploi du … est de nature à rassurer les personnes
A
  • L’emploi du porte-voix est de nature à rassurer les personnes
73
Q

Sauvetage :

A

Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine.

  • Sauvetage = s’effectue par tous les moyens.
74
Q

Mise en sécurité :

A

Action visant à extraire, en l’accompagnant, une personne menacée par un danger auquel elle ne peut se soustraire d’elle-même.

  • Mise en sécurité = s’effectue en principe par les communications existantes ou à défaut par MEA ou échelles à coulisses.
75
Q

Établissements : 5/

A
  • Réaliser conformément aux règles fixées par le BSP 200.13.
  • Limiter la gêne à la progression des matériels, personnels et engins.
  • Attention aux règles d’établissements de tuyaux.
  • Hydrants utilisés suivant leur emplacement par rapport au feu et du diamètre de la conduite.
  • Hors cas particulier, l’alimentation de la pompe doit être réalisée dès qu’une lance est établie.
76
Q

Ventilation

Action qui consiste à : 3/

A
  • Mettre en oeuvre les moyens de désenfumage existants ou s’assurer de leur déclenchement automatique.
  • Mettre en place si nécessaire un dispositif de ventilation adapté à la configuration des lieux et au type de sinistre.
  • Maîtriser le sens du tirage.
77
Q

Ventilation

Objectifs : 4/

A
  • Favoriser les sauvetages, mises en sécurités et évacuations.
  • Sécuriser la progression des intervenants en prévenant la survenue de phénomènes thermiques.
  • Faciliter l’engagement des intervenants en préservant certains locaux.
  • Favoriser l’extinction du sinistre en contrôlant les propagations du feu.
78
Q

Principe de ventilation : 2/

A
  • Ventilation naturelle
  • Ventilation mécanique
79
Q
  • Ventilation naturelle :
A

Courant d’air obtenu sans moyen mécanique. Elle consiste en un balayage de l’air.

80
Q
  • Ventilation mécanique :
A

Courant d’air obtenu avec des moyens mécaniques. Elle consiste à créer une surpression ou une dépression. Elle regroupe le désenfumage mécanique et la VO.

81
Q

Tactique de ventilation : 3/

A
  • Ventilation d’attaque
  • Ventilation de protection
  • Ventilation de désenfumage
82
Q
  • Ventilation d’attaque
A
  • Ventilation d’attaque : Effet offensif de la VO qui consiste à créer un tirage favorable pour les portes lances.
83
Q
  • Ventilation de protection
A
  • Ventilation de protection : Effet défensif de la VO qui consiste à mettre un volume en surpression afin de le protéger des fumées et gaz chauds.
84
Q
  • Ventilation de désenfumage
A
  • Ventilation de désenfumage : Effet d’évacuation des fumées de la VO. Elle consiste à vider un volume enfumé par surpression ou dépression.
85
Q

Technique de ventilation : 2/

A
  • Ventilation opérationnelle par surpression
  • Ventilation opérationnelle par dépression
86
Q
  • Ventilation opérationnelle :
A

Ventilation opérationnelle : Technique mise en place par les SP au moyen de ventilateur(s). Soit ventilation par surpression (souffler) ou par dépression (aspirer).

87
Q

Désenfumage mécanique :

A

Terme de prévention désignant les dispositifs initialement prévus par les dispositions constructives permettant l’évacuation rapide des fumées et gaz chauds au cours d’un sinistre. Il est également asservi à la détection automatique incendie.

88
Q

Exutoire :

A

Dispositif d’évacuation des fumées et de chaleur intégré dans un élément de construction séparant l’intérieur du bâtiment de l’extérieur.

89
Q

Sortant :

A

Ouverture(s) située(s) dans le volume en feu ou proche de celui-ci afin de permettre l’évacuation des fumées et gaz chauds, le sortant est existant ou est créer par une action volontaire des SP. Afin d’obtenir un rendement maximum sa surface doit être au moins de 1 m2.

90
Q

Tirage :

A

Mouvement des masses gazeuses, crée au cours de l’incendie par la différence de température et de pression entre le volume en feu et l’extérieur.

91
Q

Entrant :

A

Ouverture du contenant permettant l’arrivée d’air frais. Dans le cadre de la VO par surpression, l’entrant correspond à l’emplacement où se situe le ventilateur.

92
Q

MGO, Attaque

A

Phase de la manoeuvre destinée à abattre les flammes pour enrayer la propagation du feu, puis aboutir à son extinction.

  • Le débit des lances doit être en rapport avec l’intensité du foyer :
    1. Si débit insuffisant = danger pour les porte-lance.
    2. Si débit trop important = dégâts conséquents.
  • Le débit optimal, appelé « débit tactique » doit se situer entre ces 2 limites.
93
Q

MGO, protection

A

Limiter le plus possible les dégâts occasionnés. Par les eaux d’extinction, la chaleur, les fumées lors d’un incendie. Puis protéger les biens, d’intempéries extérieures.

94
Q

MGO, protection

Pour être efficace, la protection est mise en œuvre le plus tôt possible : 6/

A
  • bâchage
  • évacuation de l’eau
  • assèchement
  • déménagement
  • aération
  • étaiement léger
95
Q

Déblai

A

Opération qui consiste à déplacer les décombres et les objets qui pourraient cacher des foyers pour en acheter l’extinction et écarter tout risque de reprise de feu. Le déblai peut être mené conjointement à l’attaque pour faciliter l’extinction.

96
Q

Degarnissage

A

Opération qui consiste à gratter les éléments de constructions, murs, poutres et planchers, pour en retirer la couche de résidus de combustion afin de s’assurer de l’extinction au coeur du matériau et de prévenir une reprise de feu.

97
Q

MGO, Déblai et degarnissage

Aucune dérogation quant aux ports des … . Port de … obligatoire si teneur en CO positive et présence de fumées.

A

Aucune dérogation quant aux ports des EPI. Port de l’ARI obligatoire si teneur en CO positive et présence de fumées.

98
Q

MGO, Déblai et dégarnissage

L’utilisation de la … ne doit se substituer à l’analyse du chef et venir plutôt confirmer les observations qu’il a effectuées.

A

L’utilisation de la CTHE ne doit se substituer à l’analyse du chef et venir plutôt confirmer les observations qu’il a effectuées.

99
Q

Surveillance

A

Opération qui consiste à empêcher tout risque de reprise de feu par la mise en place d’un détachement de SP une fois le message “feu éteint” transmis.

100
Q

MGO, Surveillance

Sur place les chefs du dispositif de surveillance successifs sont … , ils peuvent demander les moyens de renforcement, en cas d’évolution défavorable de la situation.

“Je laisse le Commandement des opérations de secours à tel chef d’agrès dispositif de surveillance mis en place ou relève du dispositif de surveillance effectuée”

A

Sur place les chefs du dispositif de surveillance successifs sont COS, ils peuvent demander les moyens de renforcement, en cas d’évolution défavorable de la situation.

“Je laisse le Commandement des opérations de secours à tel chef d’agrès dispositif de surveillance mis en place ou relève du dispositif de surveillance effectuée”

101
Q

MGO, Surveillance

Le service de surveillance ne peut être réduit ou levé que sur décision du … … … ou de … du secteur à l’issue d’une ronde et après avoir repris le COS.

“Je prends le commandement des opérations de secours, je lève le dispositif de surveillance, … , intervention terminée”

A

Le service de surveillance ne peut être réduit ou levé que sur décision du chef de garde ou de l’OGC du secteur à l’issue d’une ronde et après avoir repris le COS.

“Je prends le commandement des opérations de secours, je lève le dispositif de surveillance, … , intervention terminée”

102
Q

Ronde

A

Opération programmée qui consiste à contrôler puis à poursuivre par intermittence le service de surveillance précédemment levé, à chaque fois que nécessaire, notamment à l’issue de grands feux, d’opérations délicates ou en présence de lieux complexes et imbriqués. Elles sont maintenues jusqu’à ce que le COS principal de l’intervention soit certain qu’il n’y aura plus de reprise de feu.

103
Q

2 types de rondes : 2/

A

Effectuée a minima par un chef de garde du secteur.

  • Les rondes effectuées au cours d’un service de surveillance (avant le message intervention terminée).
    Effectuée 2 heures après la mise en place du service de surveillance puis toutes les 4 heures
  • Les rondes programmées à l’issue du message intervention terminée.
    Effectuée 2 heures après la rentrée du dernier engin ou la levée du service de surveillance puis toutes les 4 heures.
    La dernière ronde est obligatoirement effectuée de jour, par le COS le plus élevé de l’opération, avec une caméra thermique. Il est le seul à pouvoir clôturer l’opération.
104
Q

RETEX

Le 1er outil efficace est le RETEX immédiatement après action (qui peut être effectué lors du “à vos rangs”). Le processus RETEX constitue une phase à part entière de l’opération. Mené avec bienveillance et pédagogie et ne se substituant pas aux opérations à réaliser au retour d’intervention, il permet : 9/

A
  • de rectifier certains gestes ou actions
  • de faire des rappels de règlements
  • de prendre éventuellement le témoignage direct de son équipage ou du personnel en poste
  • de prendre compte certaines faiblesses qui devront être travaillées lors des séances de préparation opérationnelle.
  • de partager sur bonne pratique
  • de faire un point de situation de l’intervention vécue afin d’améliorer la vision globale du personnel qui dans l’action et selon sa responsabilité n’en détient qu’une vue partielle
  • d’être en mesure de faire un point de situation sur l’intervention à son chef de centre ou chef de groupe
  • de faire connaître à la chaîne RETEX tout élément jugé intéressant
  • de jauger le caractère sensible voire le potentiel traumatique d’une intervention et auquel cas d’initier un defusing

Ces actions forment les prémices du recueil de renseignements a chaud qui permettra de juger de l’opportunité d’établir une fiche d’alerte. Enfin sur le terrain les gardes DO et RCCI participent directement au travers de leur engagement a la collecte des premiers éléments RETEX.

105
Q

zone de soutien :

A

cette zone est la plus excentrée. comme les autres, elle est interdite au public, de manière à ne pas entraver l’action des secours. il s’agit cependant d’une zone qui ne nécessite pas de protection particulière pour les personnes qui s’y trouvent.
les structures de soutien nécessaires au bon déroulement de l’intervention doivent être localisées dans cette zone : ZDI, PMA, PCP, zone des PC, ZRCP

106
Q

Fonctions opérationnelles : 3/

A
  • Les fonctions intégrantes
  • les fonctions d’engagement
  • les fonctions d’environnement