Bioéthique - cours 2 Flashcards

1
Q

Parle du développement des technologie pour assujettir la nature aux fins de l’humain

A

Nouvelle technologie qui nous permette d’exploiter les ressources naturelles comme le nucléaire, les éoliennes qui changent notre rapport au monde. Touche l’humain car quel est l’effet des centrales nucléaires sur les populations avoisinantes ? Pays ou non réglementer, impact sur la santé humaine qui doivent être prisent en compte. Capitalisme vert peut maintenir l’économie en place tout en conservant un bon état de la Terre. C’est comme si la technologie faisait des problèmes mais qu’elle peut les résoudre elle-même.

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2
Q

Qu’est ce que la bioéthique ?

A

éthique appliquée : étude interdisciplinaire des questions éthiques soulevés par les sciences de la vie, les soins de santé et les politiques en matière de santé et de science

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3
Q

Quels sont les progrès biotechnologiques qui boulversent la morale traditionnelle ?

A

Si on ne réflechie pas à ces questions, réalité qui peuvent nous frappent comme les IA qui sont manipuler par des humais et qui peuvent les remplacer (chirurgie…).

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4
Q

en quoi la bioéthique nous explique qu’il y a un accroissement des inégalités ?

A

Les soins de santés sont très mal répartis et les richesses sont presque entièrement partagés par les gens riches sur Terre

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5
Q

expérimentations thérapeutiques dont la bioéthique parle ?

A

avant la bioéthique, il y avaient la plupart du temps des expérimentations cruelles, sans prise en compte de l’état mental et physique du cobaye où les expériences été menés sur des populations vulnérable.

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6
Q

qu’est ce que la recherche non-thérapeutique ?

A

un groupe de participant.es est sujet d’expérimentation pour qu’un autre groupe en bénéficie.

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7
Q

premier exemple d’abus d’expérimentations

A

l’étude de Tuskegee où traitement de la siphilis sur 400 personnes noires. Ça c’est passer en 1932 jusqu’a 1972, traiter pour leurs “sangs mauvais” lier a l’anémie ou autre. Ils n’ont pas reçu de bons traitements (pénicilline) pour les maladies contracter les menant à leurs morts. Sa à créer un manque de confiance en la médecine de la part de la communauté noire

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8
Q

deuxième exemple abus expérimental

A

pendant le 20e siècle, les nazis faisaient des expériences non thérapeutiques pour tester la nutritions, la résistance aux conditions extrêmes, essaie de gaz, greffes produit chimiques et autres sur des patients.

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9
Q

exemple canadiens sur abus expérimentaux

A

MK-ULTRA où MK-ULTRA à McGill et personnes malades (mental + physique) : 1950-1960 Docteur Ewen Cameron, Université McGill (Institute
Allan Memorial).
But de l’étude: développer des techniques de lavage de cerveaux (brainwashing) en utilisant des drogues puissantes (LSD, insuline) et des thérapies de choc. Participant.e.s: principalement personnes avec maladies mentales.
Fonds: CIA + Gouvernement canadien
Le but étant d’influencer le comportement humain

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10
Q

deuxième exemple canadien sur abus expérimentaux

A

a la fin de la seconde guerre mondiale, étude sur des communautés autochtones avec problèmes de malnutrition connue, Canada autorise deux études pour les besoins des études, doit maintenir la malnutrition

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11
Q

l’histoire de la bioéthique est connue par le biais de 4 évènements majeurs de l’histoire (nomme les 4 mais pas en détail + date)

A

le code de nuremberg (1947)
le rapport Belmont (1978)
la déclaration d’Helsinki (1964 à 2013)
principes d’éthiques biomédicales (1979)

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12
Q

parle du Code de Nuremberg

A

Le Code de Nuremberg (ou Code de Nuremberg) est un ensemble de principes éthiques établi à la suite des procès de Nuremberg, qui se sont déroulés après la Seconde Guerre mondiale pour juger les principaux criminels de guerre nazis. Ce code éthique a été formulé pour établir des normes en matière de recherche médicale impliquant des êtres humains et pour condamner les expérimentations médicales inhumaines et non éthiques menées par les médecins nazis pendant la guerre. Le Code de Nuremberg a été un jalon important dans l’établissement des normes éthiques pour la recherche médicale et a influencé le développement ultérieur de documents éthiques tels que la Déclaration d’Helsinki.

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13
Q

parle du rapport de Belmont

A

Établit 3 principes: 1) Le respect des personnes (autonomie) 2) Les principes de bienfaisance et de non-malfaisance: calcul des risques et bénéfices arrimée au devoir de ne pas nuire aux sujets. 3) Le principe de justice: distribution équitable du fardeau et des bénéfices de la recherche expérimentale qui ne doit pas exploiter certaines catégories sociales de sujets plus vulnérables que d’autres en raison de formes insidieuses de discrimination

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14
Q

parle de la déclaration d’Helsinki

A

c’est un document éthique qui énonce les principes directeurs pour la recherche médicale impliquant des êtres humains. Elle a été adoptée pour la première fois par l’Association médicale mondiale (AMM) en 1964 à Helsinki. Cette initiative a été élaborée pour garantir que la recherche médicale respecte les droits, la sécurité et le bien-être des participants humains vulnérables que d’autres en raison de formes de discrimination.
La déclaration d’Helsinki liste plusieurs points importants qui devraient guider la recherche, en voici deux qui sont intéressants et qui portent sur les populations et personnes vulnérables : 19.Certains groupes ou personnes faisant l’objet de recherches sont particulièrement vulnérables et peuvent avoir une plus forte probabilité d’être abusés ou de subir un préjudice additionnel. Tous les groupes et personnes vulnérables devraient bénéficier d’une protection adaptée. 20. La recherche médicale impliquant un groupe vulnérable se justifie uniquement si elle répond aux besoins ou aux priorités sanitaires de ce groupe et qu’elle ne peut être effectuée sur un groupe non vulnérable. En outre, ce groupe devrait bénéficier des connaissances, des pratiques ou interventions qui en résultent.

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15
Q

parle des principes de la bioéthique médicale

A

ouvrage de référence fondamental dans le domaine de la bioéthique. Ce livre a été très influent pour plusieurs raisons : fut le début du principisme, a eu une très bonne réception par un nombre important de scientifiques et d’intellectuels, était flexible dans son application, proposait une approche qui convenait à plusieurs cultures à travers le monde. La huitième, la plus récente, est sortie en 2019, 40 ans après la publication de la première édition, par les mêmes auteurs

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16
Q

qu’est ce que le principisme ?

A

Une approche en bioéthique qui repose sur l’identification et l’application de principes moraux fondamentaux pour orienter ou guider la prise de décisions. Appliquée sur les soins de santé et la recherche médicale.

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17
Q

que cherche le principisme ?

A

Cherche à équilibrer les principes (car n’a pas un principe qui est plus important que l’autre) et à les appliquer de manière contextuelle (chaque contexte est unique donc la réponse à une approche éthique) pour résoudre des dilemmes éthiques complexes.

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18
Q

quels sont les différences entre le déontologie et le principisme

A

Flexibilité
Principisme associé à l’éthique appliqué (particulièrement la bioéthique) alors que le déontologisme est associé à une panoplie d’enjeux éthiques normatifs, le principisme n’est pas aussi rigide que le déontologisme.
Rapport aux conséquences des actions différents

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19
Q

quels sont les 4 principes de la bioéthique contemporaine ?

A

L’autonomie (autonomy)
La non-malfaisance (nonmaleficence)
La bienfaisance (beneficence)
La justice (justice)

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20
Q

qu’est ce que l’autonomie ?

A

c’est l’obligation de respecter le choix et décisions de l’individus.

21
Q

de quoi se compose l’autonomie ?

A

Liberté de choix : on est libre de choisir le traitement qu’on veut et qui convient à nos besoins, de poursuivre une recherche ou non, etc.
Droit de refus : on est libre de refuser d’entamer ou de continuer un traitement pour les raisons qui nous sont propres, qu’elles soient morales, économiques, religieuses ou autre.
Respect de la confidentialité : renvoie aux violations accès non autorisé aux dossiers médicaux, fuites de données, divulgation non autorisée dans la recherche.Il y a des conséquences du bris de confidentialité.
Conséquences du bris de confidentialité, que ce soit en pratique de la médecine ou en recherche : Désengagement de la recherche médicale, Dommages à la relation médecin-patient, Impact psychologique sur les patients. Aussi, perte de confiance qui pourrait transcender le simple cadre de la recherche et se généraliser au monde scientifique ou médical, par exemple.
Respect des croyances culturelles et religieuses : exemple des Témoins de jéhova et transfusions sanguines

22
Q

qu’est ce qui compose le consentement éclairé ?

A

Information complète et compréhensible : informations complètes et compréhensibles sur la procédure médicale, le traitement, l’intervention de recherche, ou toute autre décision qui lui est présentée. Doit inclure les objectifs, les risques, les avantages, les alternatives et les conséquences possibles.
2. Le consentement doit être libre (volontaire) : coercion, relations de pouvoir, parents qui donneraient le consentement à la place des enfants matures, etc.
3. Capacité de consentir (compétence) : Doit être mentalement en état de consentir (état de psychose, drogues, etc.)

23
Q

qu’est ce que la non divulgation intentionnelle ?

A

C’est quand une personne ou une entité (comme une entreprise ou une institution) ne divulgue pas intentionnellement ou délibérément certaines informations qu’elle est censée partager ou rendre publiques légal dans certaines situations d’urgence ou lorsque les patients renoncent à leur droit d’être informés.

24
Q

qu’est ce qui compose la non-malfaisance ?

A

Démarche négative (obligation de ne pas causer de tort aux patient.e.s, que ce soit intentionnellement ou par omission).
Calcul risque/bénéfices : Avantages élevés = risques élevés tolérés. Avantages faibles/aucun avantages = risques doivent être faibles
Minimisation des risques : plusieurs éléments sont à notre disposition : Examen éthique indépendant, Gestion des conflits d’intérêts, Formation continue, Formation éthique.
Négligence : peut se matérialiser dans le non-respect des protocoles de recherche, des normes éthiques, des lois et des réglementations.
Traitements/recherches futiles : lorsque bénéfice attendu pour le patient ou la société est jugé extrêmement limité.

25
Q

qu’est ce que l’acharnement thérapeutique ?

A

Le fait de pratiquer ou d’entreprendre des actes ou des traitements alors qu’ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
des soins médicaux intensifs et invasifs sont maintenus ou prolongés de manière excessive chez un patient en fin de vie ou dont l’état de santé est désespéré, malgré l’absence de bénéfice médical prévisible

26
Q

qu’est ce que la règle du double effet ?

A

Une action entraine un résultat souhaiter qui est accompagné d’un risque ou d’un résultat non souhaitable. Dans ce cas, on doit essayer de réduire l’élément non souhaitable
La règle du double effet est souvent cité dans le contexte de l’administration de médicaments palliatifs en fin de vie, où l’utilisation d’opioïdes pour soulager la douleur peut avoir comme effet secondaire indésirable la suppression de la respiration. Tant que l’intention est de soulager la douleur du patient et que les avantages de la gestion de la douleur l’emportent sur les risques, l’application de la règle du double effet peut justifier l’utilisation d’opioïdes dans de tels cas.

27
Q

qu’est ce que le concept de la pente glissante ?

A

Argument qui soutient que la prise d’une certaine mesure ou décision entraînera inévitablement une série de conséquences indésirables, souvent graves
Valide : progression est logiquement liée à la suivante, et les conséquences sont raisonnables et basées sur des prémisses vérifiables
Fallacieuse : Dans un argument de pente glissante fallacieux, les prémisses sont souvent spéculatives, alarmistes ou exagérées, ce qui rend la progression illogique ou non fondée.

28
Q

qu’est ce que la bienfaisance ?

A

Démarche positive (activement chercher à apporter des bénéfices aux patient.e.s et/ou aux participant.es des recherches)
Obligation de soins compétents : plusieurs aspects, dont Qualité des soins, Sécurité des patients, Communication efficace
Évaluation continue : processus d’examen et de réflexion constant sur les questions éthiques et morales qui se posent dans le domaine de la bioéthique

29
Q

quelles sont les cinq règles de la bienfaisance selon Beauchamp et Childress ?

A

Protéger et défendre les droits d’autrui.
Empêcher que des dommages soient causés à autrui.
Supprimer les conditions qui pourraient nuire à autrui.
Aider les personnes en situation de handicap.
Sauver les personnes en danger

30
Q

qu’est ce que le paternalisme ?

A

concerne la manière dont une personne ou une institution exerce un contrôle ou une influence sur les choix et les actions d’une autre personne dans le but de la protéger ou de la guider. Entre souvent en conflit avec le principe d’autonomie, la liberté individuelle, le droit au refus

31
Q

qu’est ce que le paternalisme faible ?

A

Le recours au paternalisme pour protéger les personnes de leur propre conduite non volontaire. Les gens justifient son acceptation lorsqu’une personne peut être incapable de prendre des décisions raisonnables et autonomes.

32
Q

qu’est ce que le paternalisme fort ?

A

Interventions visant à prévenir ou à atténuer un préjudice causé à une personne ou à en bénéficier, même si les choix et les actions risqués de la personne sont éclairés, volontaires et autonomes.

33
Q

lequel des deux paternalisme préserve l’autonomie ?

A

le paternalisme faible

34
Q

qu’est ce que la justice ?

A

Obligation d’équité dans la distribution des risques et des bénéfices de la recherche

35
Q

qu’est ce qui compose la justice ?

A

Égalité d’accès aux soins de santé : L’égalité d’accès aux soins de santé est un principe fondamental en bioéthique qui affirme que tous les individus devraient avoir un accès équitable et non discriminatoire aux soins médicaux, quelles que soient leur origine, leur statut socio-économique, leur race, leur sexe, ou d’autres caractéristiques personnelles. Ce principe vise à garantir que la distribution des ressources médicales et des services de santé soit juste et que les disparités en matière de santé soient réduites.
Inclusion en recherche : la non-inclusion de certaines tranches de la population dans la recherche, comme les femmes, augmentent leur risque en ce qui a trait à certaines maladies. L’inclusion dans la recherche en bioéthique est un principe éthique qui stipule que toutes les personnes, quel que soit leur sexe, leur âge, leur origine ethnique, leur condition de santé, ou d’autres caractéristiques personnelles, doivent avoir la possibilité de participer équitablement et de manière éthique à la recherche biomédicale. Cela vise à garantir que la recherche reflète la diversité de la population et que les bénéfices potentiels de la recherche soient accessibles à tous. L’inclusion dans la recherche bioéthique vise à éviter la discrimination et à ce que les avantages de la recherche soient pour tout le monde, et non une tranche de la population.
Les population WEIRD (western, educated, industrial, rich, democracies).
Santé publique : La justice en santé publique cherche à promouvoir l’équité et à minimiser les disparités en santé.
Droit à la non-discrimination : Le droit à la non-discrimination est un principe fondamental des droits de l’homme qui garantit que toutes les personnes sont traitées de manière égale et équitable, sans distinction de race, de sexe, d’origine ethnique, de religion, d’orientation sexuelle, de handicap, ou d’autres caractéristiques personnelles. Vise à contrer toute forme de discrimination, de stigmatisation ou de traitement inéquitable
Justice sociale : La justice est un principe visant à garantir l’équité, l’égalité des chances et le respect des droits de chaque individu au sein d’une société. Elle s’efforce de réduire les inégalités économiques, sociales, et politiques en mettant en place des politiques, des lois et des institutions qui favorisent l’accès équitable aux ressources, aux services, et aux opportunités pour tous les membres de la société, indépendamment de leur origine, de leur statut socio-économique, de leur race, de leur religion, ou d’autres caractéristiques personnelles
Justice distributive (allocation éthique des ressources limitées) : concentre sur la manière dont les ressources, les avantages, les opportunités et les charges devraient être répartis au sein d’une société. Système de santé publique ou privée? Semi privée? La façon dont on réparti nos ressources, même de manière générale (impôts, etc.) influence sur la santé de la population.

36
Q

qu’est ce qu’un dilemme éthique ?

A

Un dilemme éthique est une situation dans laquelle un individu est obligé de choisir entre deux actions qui affecteront le bien-être d’un être sensible, et les deux actions sont raisonnablement justifiées comme étant bonnes, aucune des deux actions n’est facilement justifiée comme étant bonne, ou la bonté des actions sont incertaines.
C’est un conflit de valeurs dont la solution n’est pas évidente où il faut y réfléchir.

37
Q

où est ce que s’applique la bioéthique ?

A

Recherche médicale
Santé reproductive
Soins de fin de vie
Transplantation d’organes
Génétique et génomique
neuroéthique
éthique de la recherche sur les animaux, environnement et sur la santé publique

38
Q

qu’est ce qu’implique la recherche médical ? (en terme de sujet)

A

La recherche impliquant des sujets humains
La recherche impliquant des sujets animaux non-humains
La recherche impliquant des cellules souches
Discute des principes et des lignes directrices éthiques régissant la recherche impliquant des sujets humains, des sujets animaux et des technologies émergentes.

39
Q

qu’est ce que la santé reproductive ?

A

Elle explore les dilemmes éthiques entourant la procréation et le contrôle des naissances.

40
Q

qu’est ce qui compose la santé reproductive ?

A

La procréation assistée : ensemble de techniques médicales conçues pour aider les individus ou les couples à concevoir un enfant lorsque cela est difficile ou impossible par des moyens naturels.
La fécondation in vitro : est une technique de reproduction assistée . Elle consiste en la fertilisation des ovules par les spermatozoïdes en dehors du corps de la femme, en laboratoire, avant de transférer un ou plusieurs embryons résultants dans l’utérus de la femme. Enjeux éthiques : choisir des embryons en fonction de caractéristiques génétiques, Statut des embryons, accessibilité de la pratique.
La gestation pour autrui : quand une personne porte et donne naissance à un enfant pour un couple ou une autre personne.
Dons de gamètes : don de sperme ou don d’ovules, est une pratique médicale dans laquelle un individu (le donneur) fournit ses spermatozoïdes ou ses ovules pour être utilisés dans des traitements de procréation assistée par des personnes ou des couples ayant des problèmes de fertilité ou d’autres raisons médicales

41
Q

la santé reproductive comprend aussi l’avortement, la stérilisation, le diagnostic prénatal et la contracpetion ? vrai ou faux ?

A

vrai

42
Q

en quoi se compose les soins de fin de vie ?

A

L’euthanasie
L’aide médicale à mourir et suicide assisté
Le maintien en vie artificiel prolongé
L’éthique de l’arrêt ou du refus d’un traitement de survie
L’acharnement thérapeutique
Les soins palliatifs

43
Q

qu’est ce qui compose la transplantations d’organes ?

A

Les dons d’organes
La vente d’organes
Les transplantations inter-espèces
Les pénuries d’organes
Les risques pour les donneur.es et receveur.es
L’attribution d’organes
La répartition équitable des organes

44
Q

en quoi consiste la génétique et la génomique ?

A

Les tests génétiques prédictifs
L’édition génétique (ex. CRISPR-Cas9)
Le clonage
La discrimination génétique où des situations où des individus ou des groupes sont traités de manière injuste ou discriminatoire en raison de leurs caractéristiques génétiques, de leur prédisposition génétique à certaines maladies ou de l’information génétique les concernant
La protection de la vie privée génétique

45
Q

qu’est ce qui compose la neuroéthique ?

A

Les avancées en neurosciences
La manipulation cérébrale
La neuroamélioration
Le libre arbitre et la responsabilité morale
L’équité et l’accès aux neurotechnologies

46
Q

en quoi constitue l’éthique de la recherche sur les animaux ?

A

La réduction de la souffrance animale
La protection des espèces
L’éthique animale, antispécisme et sentience
La remise en question de la pertinence de certaines recherches

47
Q

qu’est ce que l’éthique environnementale ?

A

es changements climatiques
L’épuisement des ressources
La perte/conservation de la biodiversité
Les conséquences des avancées technologiques

48
Q

qu’est ce que la justice environnementale ?

A

La justice environnementale est un concept qui vise à garantir l’équité et la justice dans la distribution des bénéfices et des fardeaux environnementaux au sein de la société. Elle reconnaît que les populations vulnérables et défavorisées sont souvent les plus touchées par les problèmes environnementaux, tels que la pollution de l’air, l’accès limité à l’eau potable, la dégradation des écosystèmes et les conséquences du changement climatique.

49
Q

qu’est ce qui constitue l’éthique de la santé publique ?

A

Distribution équitable des ressources de santé
Vaccination
Quarantaine
Mesures sanitaires/couvre-feu