b Flashcards

1
Q

tiroir antérieur
tibia va vers larriere
talus vers alavant

stabiliser
autre main

A

Test du tiroir antérieur à la cheville :
But du test : Vérifier l’intégrité de la stabilité antérieure de l’articulation tibiotalaire.
Position du patient : Décubitus dorsal, jambes testées en flexion avec pied à
plat sur la table.
Position de l’évaluateur : Debout en bout de table, face au patient.
Procédure : Magee, p. 932 fig. 13-76 B (méthode 2).
Indication d’un test positif : Augmentation de la translation postérieure de la
mortaise par comparaison au côté sain et sensation de fin de mouvement molle.
Magee, p. 932.
Faux négatif : si le patient n’est pas bien relâché, la tension produite par les
muscles périarticulaires peut limiter le mouvement et masquer une réponse
positive.

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2
Q
A

) Pronateurs de la cheville
(isotonique)
Position du patient : assis sur
une chaise, pied à plat au sol. La
cheville est en position neutre et
l’articulation sous-talaire en
position de supination. Une bande
élastique entoure le côté latéral du
pied et est attachée médialement
à un point fixe. Le patient stabilise
son genou avec ses deux mains.
Procédure : Le patient effectue
un mouvement de pronation
complète, ce qui étire la bande
élastique.

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3
Q

orreiler
sac de sable
10 degrés de flexion pantaire avec genou
Indication d’un test positif : La translation postérieure du talus est diminuée
(hypomobilité) ou est augmentée (hypermobilité) par rapport au côté sain

A

Glissement postérieur du talus
But du test : Vérifier l’intégrité de la mobilité accessoire postérieure du talus à
l’articulation tibio-talaire.
Position du patient : assis,
jambes allongées, pieds
dépassant en bout de table.
L’extrémité de la jambe peut
être appuyée sur un sac de
sable au besoin.
Position de l’évaluateur :
Debout, latéralement à la
cheville. La main crâniale
fixe la mortaise en exerçant
une pression verticale vers
le sol. La main caudale saisit
le talus entre le pouce et
l’index alors que les doigts
effectuent une prise du pied
permettant de contrôler la
position de l’articulation. Le
coude du côté caudal est
maintenu en extension.
Procédure : L’articulation
tibio-talaire est d’abord
placée en position de repos
(10° de flexion plantaire).
Glissement postérieur du
talus selon un plan parallèle
aux surfaces articulaires en
poussant vers le sol
(mouvement de dépression
de l’épaule)

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4
Q

thomas modifié
1) fesse appuyé
2)orreiller
3) genou pris avec les mains
lâcher main
crete illiaque et eias
amener coxo fémroal a sa limite deflexion
conserver cette limite

A

Pour le psoas, l’angle entre le tronc et la hanche
est de moins de 5° d’extension. Pour le droit antérieur, la flexion du genou est
inférieure à 90°. Pour le tractus iliotibial, l’angle est de plus de 0° vers l’abduction
ou le tibia est en rotation latérale par comparaison au côté sain. : Pour examiner la souplesse du psoas, l’évaluateur s’assure que le
patient est bien relâché et que la hanche n’est pas en abduction, puis il observe
l’angle à la hanche. Pour valider son observation, il peut diminuer l’angle de
flexion du genou en exerçant une légère poussée de quelques degrés sur le
talon, dans le sens de l’extension du genou, pour éliminer l’action du rectus
femoris qui pourrait créer un flexum à la hanche dans cette position s’il est
rétracté. Ce mouvement vers l’extension du genou doit être entièrement passif.
L’évaluateur peut ensuite examiner la sensation de fin de mouvement en fixant
l’épine iliaque antérosupérieure avec la main crâniale et en exerçant une
pression vers le sol sur la partie distale de la cuisse avec la main caudale.
Pour évaluer la souplesse du rectus femoris, l’évaluateur observe l’angle au
genou dans la même position. Pour que la comparaison des angles aux genoux
soit valide, les deux hanches doivent être dans la même position articulaire. Pour
évaluer la sensation de fin de mouvement, il exerce une pression sur la partie
distale de la jambe avec sa main caudale dans le sens de la flexion du genou
alors qu’il maintient la position de la hanche en appuyant sur la cuisse distale en
direction du sol avec la main crâniale.
Pour l’évaluation de la souplesse du tractus iliotibial, l’évaluateur observe la
position d’abduction de la hanche et la rotation tibiale latérale. Pour évaluer la
sensation de fin de mouvement, l’évaluateur place d’abord la hanche en
extension puis il stabilise le bassin controlatéral en effectuant une prise ferme sur
l’aile iliaque controlatérale avec la main crâniale pour contrer l’élévation. Il exerce
ensuite une pression sur la cuisse distale du côté évalué vers l’adduction avec sa
main caudale pour évaluer la souplesse du tractus iliotibial. La position du genou
peut être maintenue à l’aide de la jambe ipsilatérale de l’évaluateur qui s’appuie
sur la jambe antérieure du patient.

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5
Q
A

ements physiologique et accessoire, selon l’approche Mulligan. Par
exemple, pour la flexion du genou, le patient effectuera une flexion passive
assistée en utilisant une sangle alors que le thérapeute effectuera simultanément
un glissement postérieur tibio-fémoral.

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6
Q

Indication d’un test positif : Augmentation de l’amplitude de valgus ou du
bâillement à l’interligne articulaire médiale, douleur à l’interligne et sensation de
fin de mouvement molle.

e test à 20-30° est
considéré comme le vrai test
d’instabilité médiale.

A

9) Test de stress en valgus : But du test : vérifier l’intégrité de la stabilité
médiale du genou.
Position du patient : Décubitus dorsal avec jambes allongées.
Position de l’évaluateur : Magee, p. 811.
Procédure : Magee, p.811, fig. 12-58. L’index palpe l’interligne.
Indication d’un test positif : Augmentation de l’amplitude de valgus ou du
bâillement à l’interligne articulaire médiale, douleur à l’interligne et sensation de
fin de mouvement molle.
Faux positif : mauvaise stabilisation du genou.
Faux négatif: Le patient n’est pas
bien relâché.
Note clinique: Une réponse positive
à 0° indique une lésion affectant la
stabilité dans d’autres plans de
mouvement. Le test à 20-30° est
considéré comme le vrai test
d’instabilité médiale.
La seconde méthode de stabilisation
du tibia entre le bras et le tronc de
l’évaluateur décrite par Magee, tel
que démontré sur la photo ci-dessus,
a l’avantage de permettre le
positionnement des doigts de la main
médiale au niveau de l’interligne
médial pour palper le bâillement. Elle
permet aussi d’assurer une
excellente stabilisation.

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Perfectly
7
Q
A

) Glissement postérieur du tibia
But du test : Vérifier l’intégrité de la mobilité en
glissement accessoire postérieur tibio-fémoral.
Position du patient : Assis en bout de table, genou
en position de repos à 30° de flexion.
Position de l’évaluateur : Assis avec les mains
(éminences thénar) placées au niveau de la face
antérieure du tibia proximal, adjacent à l’interligne
articulaire. Les malléoles du patient sont stabilisées
entre les genoux de l’évaluateur.
Procédure : Glissement postérieur du tibia en
parallèle au plan des plateaux tibiaux.
Indication d’un test positif : La translation
postérieure du tibia est diminuée (hypomobilité) ou
est augmentée (hypermobilité) par rapport au côté sain.

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