ARC Flashcards
Quel DDx vient en premier lors de retour de voyage en zone tropicale (afrique), avec de la fièvre ?
le long
(14)
- Paludisme
- Fièvre entérique (thyphoïde/para-thyphoïde)
- Fièvre dengue
- Autre arboviroses
- Abcès amibien du foie
- VIH - SIDA
- Autre causes rares:
o borréliose
o fièvre hémoragique
o HBV/HCV/HAV
o leptospirose
o méningite
o rickettsiose
o trypanosomiase africaine
(pas oublier causes cosmopolites)
Les maladies infectieuse en milieu tropical
(8)
- Paludisme
- Fièvre entérique
- Fièvre dengue
- Autres arboviroses
- Rickettsioses
- Hepatites
- Tuberculose
- VIH - SIDA
Examens complémentaires lors fièvre après voyage en zone tropicale (7)
- Goutte épaisse
- Frottis
- Test rapide
- FSC
- ASAT/ALAT
- Créatinine
- Hémoculture
Quels sont les critères de gravités poussant pour une hospitalisation pour un patient présentant une fièvre de retour de voyage?
(8)
- BEG
- BEConscience
- Nausée/vomissement
- Parasitémie > 5%
- Anémie sévère
- IR
- élévation lactates > 5mM/L
- oedème pulmonaire
TTT de la malaria
a) Compliquée (1)
b) non compliquée (2)
a) Artésunate en IV
- b) Artémether + luméfantrine 4cp 2x/j pdt 3j
- Atovaquone + proguanil 4cp 1x/j pdt 3j
TTT fièvre typhoïde selon la gravité
(1)
(2)
- Si ø de résistance :
Ciprofloxacine 2x500mg / j pdt 10 à 14j PO - Si résistance :
Azithromycine 500mg x 1/j pdt 7 à 10j
ou
Ceftriaxone 2g/j pdt 7 à 10j
les deux en IV
Autres phatologies rarement aiguës et dangereuses après un retour de voyage avec de la fièvre. (6)
- leptospirose
- borréliose
- brucellose
- schistosmiase (fièvre de Katayama)
- leishmaniose
- maladie de chagas
A l’examen clinique, il faut particulièrement regarder les signes … pour un patient de retour de voyage avec de la fièvre.
(6)
- Exanthème cutané
- Conjonctivite
- Adénopathies
- Hépatomégalie
- Splénomégalie
- Signes neurologiques
Au niveau du labo on fait … pour chaque patient revenant d’un voyage avec de la fièvre.
(7)
- FSC
- CRP
- Bilirubine
- ASAT /ALAT
- Créatinine
- Recherche de paludisme : frottis sanguin et GE
- Sédiment urinaire
Selon les résultats des examens ou sispicion clinique pour un voyageur revenant avec de la fièvre on ajoute comme test: …
(8)
- Examen selles
- Hémoc
- Sérologies virales et ou B
- Sérologie parasitaires
- Culture d’urine
- PL si atteinte neuro
- Rx
- Echo
DDx des lombalgie avec leur prévalences
(9)
- Lombalgie commune = traduit une évolution mécanique normale
80% - Syndrome radiculaire sur hernie discale 10%
- Lombalgie spécifique ( peu probable en abs de red flag)
- Fracture de tassement vertébrale 4%
- Spondylolisthésis 3%
- Tumeur 0.7%
- Spondylarthrite ankylosante 0.3%
- Syndrome de la queue de cheval 0.04%
- Spondylodiscite infectieuse 0.01%
Red flags = signes d’alarme lors d’une lombalgie (8)
- Trauma récent
- Age: < 20 ans, > 55 ans
- Douleur à caractère inflammatoire
- Co-morbidités (y.c. médicaments)
- Fièvre
- Infection cutanée ou urinaire
- Déficit neurologique (y.c. troubles sphinctériens)
- Absence de syndrome lombo-vertébral
Yellow flags = risque de chronicité dans une lombalgie
(5)
- Problèmes psychologiques
- Comportement douloureux inapproprié
- Attitudes et croyances inappropriées par rapport aux lombalgies
- Problèmes professionnels ou conflits assécurologiques
- Physique en baisse
Quand faire des examens lors de lombalgie ?
(2)
Lorsqu’il y a la présence de red flags et si on suspecte une fracture de tassement vertébrale
Quels examens complémentaire faire lors de lombalgie?
(4 + 8)
- Rx
- Scintigraphie (métastase osseuse)
- IRM ( métastase vertébrale)
- FSC / VS / Calcium / Phasophate/ Albumine/ ASAT/ ALAT/ Créatinine/ Phasphatase alacline
- Minéralométrie (point de départ avant introduction au ttt)
Lombo-sciatique ?
= lombalgie commune avec irradiation dans le ou les membres inférieurs au dela du pli fessier accompagné de signes évocateurs d’un syndrome radiculaire
Sans syndrome radiculaire = sciatalgie
Lombo-cruralgie ?
= lombalgie avec irradiation dans la face antérieur de la cuisse qu’il y ait ou non un syndrome radiculaire
a) Syndrome radiculaire
VS
b) Claudication neurogène
a) Douleur qui suit un dermatome + signe d’irritation
b) Irradiant dans le MI + symétrique + progressif à la marche + ø dlr au repos
Infection urinaire compliquée sont avec les facteurs :
(11)
- Diabète
- Immunosuppression
- Grossesse
- Atcd de pyélite / calcul/ anomalie des voies excrétrices
- Sonde en place
- Intervention urologique récente
- Infection acquise à l’hopital
- Sexe masculin
- Age avancé
- ttt AB récent
- Infections récidivantes ≥ 4 / an
TTT de l’IUB simple ?
- Nitrofurantoïne 2x100 mg/j pendant 5 jours
- Fosfomycine 3 g en dose unique
ø de co-trimoxazole => R de E.Coli , ni de quinolone
TTT de l’IUB compliquée ?
(2)
- Nitrofurantoïne PO 2x100 mg/j durant 5-7 jours
- Norfloxacine 2x400 mg/j durant 7 jours ( = quinolone)
=> Le traitement antibiotique doit être réévalué après réception de la culture et de l’antibiogramme
Signes clinique que l’on recherche dans une IU
(7)
- Fièvre
- Dlr loge renale
- Atcd
- Pyélonéphrite = Inflammation du rein due à une infection bactérienne.
- Lithiase
- Ecoulement vaginale
- Grossesse
- Diabète
- Immuno sup
La microbiologie des infections urinaires ?
(4)
- Infections communautaires : E. coli (75-85% )
- Entérobactéries (Klebsiella sp. et Proteus sp. qui comptent pour environ 4% ).
- Le staphylocoque coagulase négatif (S. epidermidis et S. saprophyticus) est retrouvé dans moins de 4%
=> Si malformation des VE /obstacles ou matériel –> les entérocoques et les Pseudomonas (5-10%) sont plus fréquemment retrouvés.
Définition d’IUB récidivante ?
= plus de 2 épisode en 6mois ou 3 en 1 an
Prophylaxie possible lors d’IU récidivante
(2)
- Fosfomycine PO 3g tt 10j
- Cotrimoxazole PO 160/180 2x/sem
TTT pyélonéphrite IUH simple
(2)
- Ciprofloxacine 500mg PO 2x/j pdt 7j
- CEftriaxone / cefuroxime PO pdt 10j
TTT de l’IU chez l’homme ?
(1)
- Fluoroquinolone si le profil de résistance le permet.
Peut aller de 7 jours en cas d’absence de signes de prostatite (cystite uniquement) à 14 jours d’emblée pour une prostatite
Pathologies aiguës et dangereux à traiter en urgence après un retour de voyage avec de la fièvre
(7)
- Paludisme
- Fièvre entérique (thyphoïde / parathyphoïde)
- Rickettsiose
- Abcès amibien du foie
- Méningite / méningo-encéphalite
- Trypanosomiase africaine rare
- Fièvre virale hémorragique rare
Triade du syndrome mononucléosique
(3)
- état fébrile
- pharingite
- adénopathie
Les possibles diagnostiques pour une triade mononucléosique
(6)
+
(3)
- EBV
- HIV
- CMV
- Toxoplasmose rare
- Syphilis secondaire
- (vérifier Rougeole)
Non infectieux:
- Allergie
- MAI
- Néoplasie
Symptômes et signes d’alarme qui font penser à une affection grave tels que ulcère ou un cancer
- Perte de poids > 5%
- dysphagie / odynophagie
- vomissement persistants
- ictère
- hématémèse/ méléna
- déficit ferique inexpliqué
Examens pour détecter HP ?
- Test respiratoire à urée
- Ag dans les selles
Pour les 2 tests on doit arrêter les IPP 2 s avant
Examens complémentaires lors de dyspepsie
- Test HP
- TTT par IPP puis OGD si récidive à 1an ou pas rep au ttt
- test HP puis OGD ø recommandé
- OGD directement ø recommandé
- Mesures préventives
(pour le test à urée + Ag dans les selles, les IPP doivent être arrêtés 2sem avant)
TTT HP
est une quadrithérapie
- IPP
- 2 ou 3 AB métronidazole clarithromycine amoxicilline tétracycline
- bismuth
vérifie le ttt à +4s
Critère rome 4 = dyspepsie fonctionnel
1 ou + :
- Répletion post prandiale
- satiété précoce
- douleur epigastrique
- brulure épigastrique
et
- Pas d’évidence de patho structurelle
- pdt 3 mois consécutifs avec début sympt min 6mois avant
Prévalence des vertiges
- 4 à 30% chez les plus de 65ans
+10% tous les 5ans - les femmes sont plus touchées +30%
Physiopathologie des vertiges
- Vertige vestibulaire d’origine périphérique ou central
- Pré-syncope => hypoperfusion cérébrale sec
- Déséquilibre du contrôle postural
=> n’est pas un réel vertige - Malaise psychogène
Les 3 questionnaires pour dépister l’alcoolique
- AUDIT => différence entre dépendance et excès
- ASSIST => toutes substances
- ACME => savoir si y’a un pb d’alcool, ø différence entre excès et dépendance
les 6 A lors de l’entretient pour une consommation de substance
- Ask
- Assess = évaluer
- Advise
- Agree
- Assist
- Arrange = suivi
Diagnostique de dépendance si on présente 3 des 6 manifestations suivantes pdt 1 mois durant la dernière année
- Désir puissant ou compulsif de consommer
- Difficulté de contrôler l’utilisation
- Syndrome de sevrage
- Tolérance aux effets
- Abandon progressif d’autres sources de plaisir
- Poursuite de la consommation malgré les conséquences nocives
Examens de labo pour l’alcoolique (7)
- Taux dans l’air
- MCV
- GGT
- ASAT/ALAT
- CDT
- Enzy pancréatiques (suivi du pancréas)
- Alcoolémie/Alcoolurie
TTT de l’IUH compliquée
- Ciprofloxacine 500mg 2x/j pdt 14j
- ± Gentamicine 5mg/kg iv en dose unique
- ± Ceftriaxone 2g iv d u
TTT IUH simple
- Ciprofloxacine 500mg 2x/j pdt 7 à 10j
TTT de l’entorse
- Cannes
- AINS
- Glace locale
SAOS on recherche à l’anamnèse (7)
- ronflement avec pauses
- sensation d’étouffement
- réveils nocturnes fréquents
- asthénie avec endormissement diurne
- troubles de la concentration et mémoire
- céphalée matinales
- trouble érectile
FR pour SAOS
(4)
- obésité
- cou large ( >40 pr H et > 43 pr H)
- rétromandibulie
- obstruction des cavités nasales
Etiologie non obstructive de SAOS
(3)
- IC
- post AVC du tronc
- Opiacés
Score NoSAS
à combien on dit qu’il y’a des AS
(2)
Evalue la présence d’apnée du sommeil
Score > 8 suggère la présence d’apnées du sommeil

Echelle de Epworth =?
Score (3)
Degrée de somnolence + pour évolution
Evaluation de 0 à 3 sur des situations où on peut s’endormir
Score totale:
o en dessous de 8 = assez reposé
o 9-14 déficit de sommeil revoir les habitudes
o > 15 possible trouble du sommeil
SAOS posé quand on a au moins 1 critère :
(4)
- Somnolence, sommeil non réparateur, fatigue ou insomnie
- Étouffement durant le sommeil
- Ronflement, pause respiratoire
- HTA, trouble thymique, trouble cognitif, cardiopathie ischémique, AVC, insuffisance cardiaque avancée, fibrillation auriculaire, diabète type 2
avec un IAH ≥5
Sévérité SAOS
score (3)
- léger 5-14 IAH
- modéré 15-29
- sévère ≥30
Points clé de entretient motivationnel
(3)
- Collaboration
- Autonomie
- Evocation
Symptômes de sevrage alcoolique
(8)
CI au sevrage (2)
- sueurs
- tremblement
- tachycardie
- insomnie
- agitation
- irritabilité
- nausées
- vomissements
RARE et CI absolue au sevrage ambulatoire
- épilapsie
- délirum
Principe thérapeutiques au sevrage de l’alcool
- Benzo
- Vit B1
- Apport hydro-électrolytique orale abondant
- Environnement calme
Echelle de CIWA pour définir la dose de benzo à mettre pour le sevrage de l’alcool évalue :
- Nausée vomissement
- Tremblements
- Sureurs paroxystiques
- Anxiété
- Agitation
- Tbl perception tactiles
- Tbl orientation
- Céphalées
- Tbl perceptions visuelles
- Tbl perceptions auditives
TTT phamacologique dans le sevrage alcool
- Benzo
- Vit B1
- Acamprosate
- Naltrexone
- Baclofen
- Disulfiram = antabus
TTT de l’HIV recommandé ?
- Trithérapie
- La prophylaxie ( = cotrimoxazole) est recommandé pour :
- des taux de CD4 <200uL
- récidives de candidose buccale
- immunosuppression
EI des INTI (= Inhibiteurs nucléosidiques/nucléotidiques de la transcriptase inverse)
(6)
- Nausées
- Lipoatrophie (Zidovudine)
- Réactions d’hypersensibilité (Abacavir)
- Dyslipidémie (Zidovudine)
- Hyperlactatémie (Zidovudine)
- Insuffisance rénale (Tenofovir)
Facteurs de susceptibilité à l’alcool
(3)
- Anamnèse familiale
- Consommation d’autres substances ou dépendances
- Difficultés psycho-sociales
EI des INNTI (=Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse)
- Dépression
- Troubles du sommeil
- Céphalées, idéations suicidaires (efavirenz)
- Rash,
- Syndrome d’hypersensibilité (névirapine)
- Hépatite
EI des IP (= inhibiteur de la protéase)
- Diarrhée,
- Nausées,
- Vomissements
- Douleurs abdominales
- Dyslipidémie
- Hyperbilirubinémie (Atazanavir)
EI de IN (= inhibiteur de l’intégrase)
- Nausées,
- Diarrhée,
- Céphalées
- Insomnie (Dolutégravir)
EI de l’inhibiteur de fusion pour VIH
Réaction au site d’injection
a) Ulcère vs b) Gastrite
a) plaie qui pénètre la paroi
b) plaie uniquement de la muqueuse
Dyspepsie touche …% de la population, dont …% est chronique.
Quelle proportion représente la dyspepsie fonctionnelle ?
- 1% => 25%
- 2/3
Causes principales de dyspepsie
- a fonctionnelle
- b organique
Fonctionnelle
- Dysfonction motrice
- Hyperalgie viscérale
- post-infection
- psychologique
Organique
- Ulcère gastroduodénal
- Oesophatie de relfux
- Carcinome gastrique/oeso
- EI médicaments
- Patho pancréas
- Lithiase biliaire
- Gastrite chronique
Les multiples facteurs de risque cardio-vasculaire
(6)
- Hypertension artérielle non contrôlée
- Tabagisme
- Dyslipidémie
- Intolérance au glucose
- Obésité
- Sédentarité
Syndrome métabolique
Définition et les caractéristiques
(5)
Constitué de l’association de 3 des 5 facteurs de risque cardiovasculaire
- Obésité à prédominance abdominale : tour de taille
> 102 cm (hommes) ou > 88 (femmes) - Taux bas de HDL-cholestérol :
< 1 mM/l (hommes) ou < 1.3 mM/l (femmes) - Hypertriglycéridémie :
> 1.7 mM/l - Intolérance au glucose :
> 6,1 mM/l - Hypertension artérielle systolique :
tension artérielle > 130/85 mmHg.
Les 2 score du risque CV
o ne tienent pas compte de ? (4)
- Score du GSLA risque d’événement coronarien à 10 ans
Haut risque >20% - Score SCORE risque de mortalité cardiovasculaire à 10 ans
Haut risque ≥5% - <10%
o Diabète
o Obésité adbominale
o Intolérance au glucose
o Sédentarité
Anti-hypertenseurs et ceux de première intention
- Inhibiteurs ECA
- Antagoniste de l’angiotensine II
- Anticalcique
- Diurétique
- —– ø 1er choix
- ß-bloquant (pas recommandé en 1ère intention)
- Autres non utilisés en première intention : inhibiteur de la rénine, alphabloquants, sympathicolytiques à action centrale
ttt non pharmacologique
- Diminution du sel
- diminution du poids
- alimentation riche en fruits, légumes et laitages écrémés et pauvre en sel et en graisses saturées
- Une alimentation riche en potassium
- L’activité physique aérobique régulière
- Limiter l’apport d’alcool
- L’arrêt du tabac
Les conditions entraînant une résistance au traitement HTA sont : (9)
- Erreur de mesure de la tension artérielle
- HTA dite “de blouse blanche”
- Non-observance thérapeutique
- Obésité, qui implique de mesurer la tension artérielle avec une grande manchette si la circonférence du bras est supérieure à 33 cm.
- Abus d’alcool
- Régime riche en sel
- HTA secondaire, notamment le syndrome d’apnées du sommeil
- Prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, qui causent une rétention hydrosaline et une inhibition des prostaglandine vasodilatatrices
- inefficacié du ttt
Outils de l’entretient motivationnel
- Ecouter
- Evoquer/Demander
- Valoriser
- Informer
- Susciter changement
- Eviter le réflexe correcteur
Les différentes forme de vertige chez la personne âgée
- vertige vestibulaire (ça tourne)
- pré syncope (s’évanouir)
- déséquilibre par déficit du contrôle postural (manque d’équilibre ø vertige!!!)
- malaise psychogene ( manque d’air; sensation tête vide svt associé à hyperventilation)
Diagnostique et TTT des vertiges vestibulaire périphérique d’origine cupulolithiase
Diagnostique par manœuvre de Dix-Hallpike
TTT par la manœuvre de Semont, Epley et Brandt Doroff
Les 3 formes périphérique des vertiges chez les personnes âgés
- Meniere
- Cupulolithiase
- Neuronite vestibulaire idiopathique
DDx des maladie professionelles se présentant comme lombalgie chro
- Lombalgie chronique
- troubles musculo-squelettiques
- maladies associées aux vibrations du corps entier
Triade de manière (3)
- vertige
- acouphène
- hypoacousie unilatérale
TTT menière
- Vasodilatateur
- Antiémétique
- Bétahistidine
Critères de dépendance alcoolique
- Désir puissant ou compulsif d’utiliser une substance.
- Difficulté à contrôler l’utilisation.
- Syndrome de sevrage (manque) physique ou psychique lors de l’arrêt.
- Tolérance aux effets de la substance, besoin d’une quantité plus importante pour obtenir l’effet désiré.
- Abandon progressif d’autres sources de plaisir et d’intérêt au profit de l’utilisation de la substance ou de sa recherche.
- Poursuite de la consommation malgré la survenue de conséquences nocives.
Critères d’usage nocif de l’alcool
- Mode de consommation qui est préjudiciable à la santé.
- Complications physiques et/ou psychiques.
- Utilisation d’une ou de plusieurs substances a entraîné des troubles psychologiques ou physiques.
- Critiques et conséquences sociales négatives.
- Dommages dans les domaines somatiques, psychoaffectifs ou sociaux.
Examens de labo pour l’alcoolémie
- Ethylomètre
- MCV
- GGT
- ASAT/ALAT
- CDT (on fait plus de phet mtn)
- Enzymes pancréas (suivi)
- Alcoolémie/urie
Les lésions les plus fréquentes hors atteintes des ligaments :
- Fracture maleolaires
- Fracture du pilon tibial
- Fracture de l astragale = Talus ( en contacte avec tibia)
- Fracture du calcaneum (talon)
- Fracture de la base du 5e metatarsien
- Luxation tendons peroniers
- Lésions tendon d Achille
- Autres plus rare

Critère d indications aux examens radiologique pour une entorse
(4)
Critères d Ottawa :
- Chez patient moins 55ans avec douleur locale associés à:
- Incapacité de se mettre en appui immédiatement après accident et aux urgences
- Sensible à palpation bord inférieur de la malléole
- Sensible à la palpation osseuse du scaphoide ou la base du 5e Métatarsien
Préventions pour hommes de 53ans
- mesure de la TA 1x/an
- dosages des taux de cholestérol 1x/5 ans :
- total
- HDL
- LDL
- sérologies :
- VIH
- hépatite B
- syphilis
- conseil arrêt du tabac
- recherche de sang fécal occulte 1x/2 ans ou colonoscopie 1x/10 ans
- rappel vaccin contre tétanos/diphtérie 1x/10 ans + l’hépatite B si FR
- dépistage de l’abus d’alcool par questionnaire AUDIT ou ACME,
- dépistage de la dépression par questionnaire
- mesure du poids et de la taille, IMC
- glycémie si surcharge pondérale ou obésité
Préventions pour femmes de 53ans
- Mammographie 1x/2 ans
- Frottis du col utérin (Papanicolau) 1x/3 ans
- Conseil : alimentation riche en calcium
Déterminer les critères de choix des interventions préventives
- Prévenir un problème de santé publique important 0> mortalité, incidence et/ou une prévalence élevée
- Preuves scientifiques de l’efficacité
=> diagnostic précoce et adéquat + traitement améliorant le pronostic (dépistage)
=> diminution du risque futur de morbidité et/ou de mortalité - Bénéfice net pour la santé de la population
- Applicable
- Acceptable
- Avoir un rapport coût/efficacité favorable.
Anamnèse familiale positive =?
(2)
- Si évènement CV parenté au premier degré
≤55 H et ≤65 F - AVC ≤50ans
Stades de HTA
(7)
- Optimale <120 - <80
- Normale 120-129 - 80-84
- Normale haute 130-139 - 85-89
- HTA 1 140-159 - 90-99
- HTA 2 160-179 - 100-109
- HTA 3 > 180 - >110
- HTA isolée >140 - >90
Indication MAPA
(7)
- HTA résistante
- Variabilité tensionnelle
- Suspicion d’HTA « blouse blanche »
- Suspicion d’HTA masquée
- Suspicion d’HTA nocturne ou d’absence de rythme circadien
- Dysautonomie, hypotension orthostatique, post-prandiale ou médicamenteuse
- HTA chez la femme enceinte
Red flags de urgence hypertensive
On recherche : (4)
- Système nerveux central
Céphalées sévères - Nausées/vomissements - Altération de l’état de conscience - Troubles neurologiques focaux - Epilepsie - Système cardio-vasculaire
Douleurs thoraciques - Dyspnée - Reins
Oligo-anurie - Hemorragie
Epistaxis sévère
Examen que l’on fait pour HTA (6)
- FSC
- K
- Créatinine
- SU
- Enzymes cardiaques, ECG
- FO
Présentation typique des symptômes de l’asthme
(6)
- Toux
- Dyspnée
- Respiration sifflante
- Oppression thoracique
- Expirum prolongé
- Sibilances haute tonalité
DDx de l’asthme (11)
- BPCO
- Bronchite infectieuse
- EP
- IC
- RGO
- Rhino-sinusite
- Toux post-inf/médoc
- Attaque panique
- Corps étranger / tumeur
- Dysfonction des cordes vocales
- Hyperventilation
Quels sont les diagnostiques graves à éliminer lors de l’anamnèse pour une fièvre lors d’un retour de voyage?
(3)
- Hépatite virale
- Abcès amibien
- Méningite bactérienne
Signes de gravités Asthme
(2)
- Abs sibilance
- hypoventilation = silence
Examens complémentaires de asthme
+
(4)
(4)
- DEP = débit expératoire de pointe
Variabilité > 10% diurne et/ou réversible avec gain >20% => significatif - Spirométrie (VEMS ; CFV)
=> Tiffeneau = VEMS/CVF ≤70% pathologique obstructive
Détermine sévérité et sa réversibilité - Test de provocation à la métacholine
- Test au NO exhalé
- Bilan allergologique
- Bilan ORL
- Tests biologique
- Radiologie
TTT aigue de l’asthme
(2)
- ß2 aginiste inhalés (Ipramol + Ventolin)
Si nécessaire ajoute :
- Corticoïdes IV ou PO (Prédnisone)
- O2
Si insuffisant ou asthme sévère => hopitale
Les différentes classes d’asthme (4)
- Modéré DEP >50%
- Sévère DEp 30-50%
- Aigue grave <30%
Abs diminution des sibilances
Arythmie
Trouble de la conscience - Arrête respiratoire imminent DEP
Pause respiratoire
Les differents types d’asthmes (phénotypes) (5)
o asthme allergique o asthme non allergique o asthme à début tardif o asthme avec obstruction bronchique fixé o asthme associé à l obésité
TTT de l’asthme chronique
- Adapter le ttt
- Proposer un enseignement
- Groupe de soutient
Incubation pour maladie donne fièvre lors de retour de voyage
- <7 j
- ≥7 j
- ≥4 s
- Diphtérie
Peste
Dysentérie B.
Borréliose / Ricket. / Arbovirus - Paludisme
VIH
Leishmaniose
Hepatite A E C - Tuberculose
Hepatite B

Critères de gravité du paludisme à P.Falciparum
Critère d’hospitalisation
Manifestations cliniques
- Prostration
- Troubles de conscience
- Détresse respiratoire (respiration acidosique)
- Convulsions multiples
- Collapsus cardiovasculaire (Tas < 70mmHg)
- Œdème pulmonaire (radiologique)
- Saignement anormal
- Ictère (bilirubine totale > 50 μmol/l)
- Hémoglobinurie
Manifestations biologiques
- Anémie sévère (Hb < 8g/dl)
- Hypoglycémie (< 2.2mmol/l)
- Acidose métabolique (bicarbonate plasmatique < 15mmol/l))
- Insuffisance rénale aigüe (sans amélioration après réhydratation) : diurèse < 400 ml/24h, créatinine > 265 μmol/l.
- Hyperlactatémie (> 5mmol/l)
- Hyperparasitémie (> 5%)
Les lombalgies spécifiques (7)
- Fractures / Tassements
- Pathologies dégénératives et ou mécaniques
- Infections
- Pathologies tumorales
- Rhumatismes inflammatoires
- Pathologies neurologiques
- Pathologies rétro-péritonéales et abdominales
Symptômes et signes de gravité dans diarrhée aiguë
- Syndrome dysentérique
- Durée > 3 jours
- Déshydratation légère
- Fièvre > 38°
cmb selles / j et cmb de temps
Diarrhée aigue
Diarrhée persistante
Diarrhée chronique
Syndrome dysentrique
Diarrhées sécrétoires
Diarrhée aigue : > 3selles/j pdt < 14j
Diarrhée persistante : > 3 selles/j pdt 14 à 30j
Diarrhée chronique : > 3 selles/j pdt > 30j
Syndrome dysentrique : selles muco-sanglante, EF, douleurs abdominales marquées
Diarrhées sécrétoires : par opposition au syndrome dysentrique, selles aqueuses, non muco-sanglantes, absence de fièvre, douleurs abdominales légères. (+svt viral)
Critères d’hospitalisation immédiate lors de diarrhée
- Péritonite
- Hypovolémie, sepsis, instabilité hémodynamique.
- Confusion, léthargie
- Hydratation orale impossible
- Déshydratation importante
Situations à risque de complications pour la diarrhée aigue
- Ages extrêmes : nourrissons, > 65ans
- Prise d’antibiotiques récente
- Hospitalisation récente
- Co-morbidités significative (immunosuppression ? MICI ? Diabète ? IRC ?)
- Grossesse
- Rapports sexuels par voie anale.
Critère Rome III
(3+3)
Pour le diagnostique de l’intestin irritable (SII)
- Douleurs ou inconfort abdominal survenant au moins 3j/ mois durant les 3 derniers mois
- Début des symptômes depuis au moins 6 mois
- Présence d’au moins 2 des critères suivants :
- Amélioration par la défécation
- Survenue associée à une modification de la fréquence des selles
- Survenue associée à une modification de la consistance des selles
En abs signe alarme = Sn 65% et Sp100%
Situation à risque de dénutrition chez la personne âgée
- Toute affection aigue décompensation d’une patho chronique ou sévère
- Médicaments
- Démence, ES*
- Problèmes psycho-socio-environnementaux
- Isolement, dépression, perte d’autonomie*
- Troubles bucco-dentaire
- Troubles de la déglutition
- Régime restrictifs
- Alcool*
Critère de diagnostique de la dénutrition
un ou + des critères suivants :
- Perte de poids involontaire de 5% en 1 mois ou 10% en 6 mois
- IMC < 21
- Albuminémie < 35 g/l
=> Risque de dénutrition : < 25 = sévère, 26-30=modéré, 31-35=léger, > 35=aucun
- Hypocholestérolémie < 1.6 mmol/l
- MNA < 17/30
DDx de dyspepsie fonctionnel par ordre croissant
(10)
- Dyspepsie fonctionnelle
- Infection à Helicobacter pylori
- Ulcère gastrique/duodénal
- Reflux gastro-oesophagien
- Cancer gastrique / oesophagien
- Colopathie
- Lithiase visiculaire
- Pancréatite aigue
- Angor
- Infarctus myocardique inférieur
Red flags dyspepsie
(7)
- Perte de poids >5%
- Dysphagie/odynophagie
- Vomissement
- Ictère
- Hématémèse/méléna
- Déficit en fer
- Atcd Famille
Signes évoquants une origine autre que le tube digestif supérieur dans les dyspepsies
(13)
- Symptômes B
- vomissements persistants
- dysphagie progressive
- odynophagie
- hématémèse
- méléna
- histoire familiale de cancer gastro-duodénal
- chirurgie gastrique antérieure
- prise chronique d’AINS
- anémie ou carence martiale inexpliquée
- ictère
- masse abdominale palpable ou lymphadénopathie
- origine ethnique (Japon, Portugal)
TTT de la dyspepsie
Il existe 4 classes de médicaments :
- Inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)
- Anti-histaminiques-H2 (Anti-H2)
- Procinétiques
- Antacides de contact et protecteurs de la muqueuse
Score de Marburg ?
evalue quoi ? Analyse (5)
- Permet d’exclure une maladie coronarienne chez les patients qui se présentent avec DRS

Quels sont les 2 questionnaires à faire remplir par le patient en soins palliatif de fin de vie?
- ESAS ( douleur; fatigue; nausé; déprime; anxiété; somnolence; appétit; respirer ; se sentir bien)
- HADS (anxiété et dépression)
Définition de l’asthme en symptômes / examen observable
(3)
et asthme professionnel
- Obstruction => Tiffeneau VEMS/CVF ≤70%
- Réversibilité aux BD (aug de >12% et 200ml du VEMS)
- Variabilité DEP >20%
- Variation du DEP entre j congé et travail > 15-20%
- Variation intra-journalière du DEP les jours de travail >15%-20% (<15% jours de congé)
Que demande-t-on pour éliminer un risque de trouble de l’hémostase?
- Ménorragies = des règles de durée anormalement longues et abondantes
- Hématomes récidivants
- Epistaxis bilatérales
- Gingivorragies
- Saignement prolongé
- Hémorragie post-op
- Hémorragie post-partum
- Hémorragie nécessitant transfusion
Les 2 affections graves à exclure en cas de pharingite :
(2)
- Abcès péri-amygdalien et rétro-pharyngé
- Epiglottite
Utilisation du score de Centor quand ?
Quels symptômes il cherche?
On l’utilise lors de sucpicion de pharingite aiguë
- Fièvre ≥ 38º
- abscence de toux
- exsudat de l’amygdale
- adénopathie cervicales antérieurs douloureuses
Quel test / score on fait pour un pharingite aigue ?
(3)
- Score de Centor
- Frottis de gorge
- Test streptococcique rapide (TSR) => performance influencé par la technique de prélèvement

TTT de la pharingite aigue
- 1er choix : Pénicilline V 3x1Mio U/j PO pdt10 jours
- 2 ème choix ou si allergie à la pénicilline :
- Clarithromycine 2x250 mg/j PO pdt 10 jours
- Azithromycine 1x500 mg/j PO pdt 5 jours.
- TTT douleur
- AINS ou du paracétamol.
- Topique spray / pastille anesthésique et antiseptique
TTT pharingite permet d’éviter :
(3)
- Risque d’otite moyenne
- Abcès pharingé
- rhumatisme articulaire aigue
Définition de rhinosinusite =?
est une infection des muqueuses du nez et des sinus d’une durée inférieure à 4 semaines.
TTT Rhino-sinusite Bactérienne
Seulement si haut proba B si non ttt symptomatique
1er choix :
- Amoxicilline Ac clavulanique 3x625 mg/j ou 2x1g/j pdt 5-7 jours
- Cefuroxime 2x250 mg/j pdt 5-7 jours
2ème choix si allergie à la pénicilline :
- Clarithromycine 2 x 250 mg/j PO durant 5-7 jours
- Azithromycine 1 x 500 mg/j PO durant 3 jours
- Doxycycline 200 mg/j pdt 5-7 jours
3ème choix si allergie à la pénicilline, forme sévère ou résistance au traitement:
- Levofloxacine 500 mg/j PO durant 7-10 jours
- Moxifloxacine 400 mg/j PO durant 7-10 jours
TTT symptomatique des VAS
(5)
- AINS
- Paracétamol
- Rinçage nasal au NaCl 0.9%
- Corticoïdes nasaux
- Vasoconstricteurs intra-nasaux / orale
TTT otite moyenne
(3)
(2)
+
(2)
TTT
antibiotiques recommandés
1er choix :
- Céfuroxime 2 x 500 mg/j PO durant 5-7 jours
- Amoxycilline 2 x 500 mg/j PO durant 5-7 jours
- Amoxyciline-acide clavulanique 2 x 1 g /j PO durant 5-7 jours
2ème choix si allergie à la pénicilline
- Clarithromycine 2 x 250 mg/j PO durant 5-7 jours
- Azithromycine 1 x 500 mg/j PO durant 3 jours
- AINS ou antalgique
- Vasoconstricteur par voie nasale
les patients à risque de complications de la grippe:
- Personnes de ≥ 65 ans
- Adultes de tout âge avec une maladie chronique
- Femmes enceintes à tout âge gestationnel et durant 2 semaines post-partum.
- Résidents d’institutions de soins pour personnes âgées ou malades chroniques
Prévention des IVRS (4)
- Lavage ou désinfection des mains
- Vaccin anti-grippal
- Prophylaxie par antiviral personnes à risque
- Vaccin anti-pneumococcique
- Arrêt du tabac pour les fumeurs R 1.5 fois plus élevé
TTT Ab empirique lors de diarrhée aigue
Fluroroquinolones :
- Norfloxacine 400 mg ; 2x /24h
- Ciprofloxacine 500 mg 2x /24h
Macrolides :
- Azythromycine 500 mg 1x /24h
- *Métronidazole** 500 mg 3x /24h, 10-14 jours ou
- *Vancomycine** 125 mg 4x /24h, 10-14 jours
TTT de diarrhée aigue symptomatique
- Réhydratation
- Prévention
- Lopéramide (immodium)
- Probiotique
DDx de la diarrhée aigue
- Infectieuse (5)
- non - infectieuse (1)
- Bacterienne invasive
- Shigella, Campylobacter, Salmonella, EIEC,
- Listeria monocytogène (surtout chez femme enceinte)*
- Bacterienne non invasive
- ETEC (turista), choléra si épidémie
- Clostridium difficile (si antibiothérapie ou hosp récente)*
- Virale
- Rotavirus, Norovirus*
- Intoxication alimentaire
- Staph aureus, Clostridium perfingens, Bacillus cereus*
- Parasitose
- Giardia lambdia, Entamoeba histolytica, Cryptosporidium, Cyclospora
- Si immunosupression : Isospora, Microsporidie*
- Maladie inflammatoire chronique intestinale inaugurale
Examne complémentaires si diarrhée persistante +3j sans amélioration ou complication
- Laboratoire
- Hemoc
- Leucocytose dans les selles
- Recherche de germes

Critères de gravité de la diarrhée chronique (9)
- Inappétence, perte de poids, malnutrition, déshydratation
- Hématochézie, méléna, hématémèse
- Etat fébrile fluctuant, prise récente d’antibiotique
- Douleurs abdominales sévères et progressives
- Diarrhées chroniques sévères, nocturnes
- Age de début des symptômes > 50 ans, début récent des symptômes
- Anamnèse familiale positive cancer colorectal ou maladie inflammatoire intestinale chronique
- Anomalie à l’examen clinique : masse abdominale, signes d’anémie
- Anomalies biologiques : troubles électrolytiques, anémies, carences, dénutrition, syndrome inflammatoire
Examen complémentaire pour diarrhée chronique (SII) (9)
et si > 50ans
Normalement pas d’exament complémentaire
Un minima serait :
- FSC,
- CRP,
- électrolytes,
- albumine,
- tests hépatiques,
- ferritine,
- TSH,
- anticorps anti-transglutaminase.
Recherche de parasites dans les selles à discuter si voyage récent.
_____
Coloscopie
TTT médicamenteux du SII
- Fibres alimentaires (Métamucil®, Mucilar®) en cas de constipation
- Lopéramide cas de diarrhées sévères
- Spasmolytiques anticholinergique
- Antidépresseurs de types SSRI et tricycliques, si +++ douleurs et/ou dépression
DDx des douleurs abdominales chroniques
- Fonctionnelles
- Intolérance alimentaire
- Néoplasie
- Inflammatoire
- Infectieux
- Gynechologique
- Autres

Examen labo chez la PA dénutrie
- FSC
Anémie macrocytaire => déficit en ac folique / B12 / alcool - Chimie sanguine
Urée —> Aug lors hémorragie dig haute
Créatinine
Albumine
Ferritine
CRP
Vit B12
Folate = Vit B9
25-OH Vit D
Choléstérol total
Digoxinémie
TSH peut indiquer des prob psy
COntraception d’urgence
(3)
- RS-72h Levonorgestrel
- RS-5j Ulipristal acetate
- RS - 5j DIU cuivre
Quelles investigations pour une douleur thoracique, avec score de marbug à 3 et PPréT 40%
(=> doit exclure maladie Coro)
- ECG Repos
- ECG effort
- IRM cardiaque de tresse
(si pense à truc poumon/musculo-squelettique => RX)
DDx de la dlr articulaire aiguë
(6 + 4)
DDx
EXCLURE : o Arthrite septique
o Arthrite microcristallines (1 arti) =
- goute (urate de sodium)
- pseudo-goutte (pyrophosphate de Ca)
o Arthropathies dégénératives
o Arthrite inflammatoire
- lupus érythémateux disséminé,
- autres connectivites,
- polyarthrite rhumatoïde débutante,
- spondylarthropathies.
o Arthrite infectieuses
o Arthrite réactive post-infectieuse = ø germe réaction infla. post.
o Trauma
o Virus (+arti.)
o Epanchement
o Kyste