App 1 Flashcards

1
Q

Définit TNCM

A
  • Syndrome traitre et progressif
  • Définit par des déficit multiple: perte de la mémoire/trouble du langage/ trouble de la capacité d’abstraction, du jugement ou le raisonnement
  • Comprend toujours au moins 2 types de déficit
  • Dégénératif
  • Compromettent Activité fonctionnelles/professionnelle/sociale
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2
Q

Quels sont les manifestation du TNCM ?

A
  • Trouble de la mémoire
  • Aphasie
  • Agnosie
  • Apraxie
  • Trouble touchant les capacités de raisonnement ou de jugement
  • Trouble du comportement
  • Trouble affectant les fonctions exécutives
  • Difficulté à exprimer sa pensée avec des mots
  • Difficulté à planifier et à organiser une activité ou à faire certaines actions
  • Altération du contrôle émotionnel, du comportement social ou de la motivation (irritabilité, apathie, labilité émotionnelle)
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3
Q

Quels sont les facteurs de risques du TNCM?

A
  • Âge : 80% ont plus de 75 ans
  • Niveau de scolarité : Plus le niveau de scolarité est élevé, plus les réserves neuronales sont élevées, favorise la multiplication des connexions synaptique = masque les effets du TNCM
  • Perte d’audition : après 55 ans
  • Facteur génétiques (Allèle augmente de 3 à 10x la maladie Alzheimer)
  • Lipoprotéine augmente le risque de TNCM
  • Habitude de vie : Manque d’activité physique, tabagisme, Ob, HTA au milieu de la vie
  • Facteur vasculaire : avc, souffle carotidien asymptomatique, diabète de type 2, HTA, hypotension, arythmies
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4
Q

Quels sont les facteurs de protection du TNCM?

A
  • Bonne santé cardiovasculaire
  • Régime alimentaire méditerranéen
  • Personne qui ne fume pas
  • Personne ayant un excellent réseau social et qui participe à des activités sociales
  • Pratique régulièrement de l’activité physique
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5
Q

Quels sont les caractéristiques du TNCM de type Alzheimer?

A
  • Début: Insidieux
  • Symptôme inauguraux: Pertes de mémoire, anomie
  • Évolution: Pertes progressive des capacités cognitives
  • Mémoire: Pertes de mémoire importante dès le début de la maladie
  • Apraxie: Perturbation aux stades modérés
  • Capacité visuoconstructive: Perturbation dès les premiers stades
  • Niveau de conscience: Pas d’atteinte
  • Hallucination: Peu fréquente
  • Idées délirante: Surtout au stades sévères
  • Changement sur le plan moteur: Seulement aux stades sévères (rigidité et myoclonie)
  • Risque de chutes: Seulement aux stades modérés et sévères
  • Incontinence urinaire: Seulement aux stades sévères
  • Dépression: Occasionnel
  • Personnalité: Peu de changements aux premiers stades, mais évolution imprévisible par la suite
  • Autres particularités: Perturbation du sommeil aux stades modéré et sévères, réflexe primitifs aux dernier stades
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6
Q

Quels sont les caractéristiques du TNCM à corps de Lewy

A
  • Début: Insidieux
  • Symptôme inauguraux: Troubles des fonctions exécutives, hallucination visuelles, Idées délirantes, Inattention, altération du niveau de conscience.
  • Évolution: perte progressive des capacités cognitives; fluctuation importante des capacité cognitives
  • Mémoire: Peu de trouble de la mémoire au premiers stades, mais augmentation de ces troubles avec le développement de la maladie
  • Apraxie: Déficit notable dès le début
  • Capacité visuoconstructive: Perturbation dès les premiers stables
  • Niveau de conscience: Atteinte
  • Hallucination: Présente dès le début
  • Idées délirante: Dès le début de la maladie
  • Changement sur le plan moteur: Dès le début de la maladie (rigidité, Bradykinésie)
  • Risque de chutes: Dès le début de la maladie
  • Incontinence urinaire: Seulement aux stades sévères
  • Dépression: Occasionnel
  • Personnalité: Modification de la personnalité
  • Autres particularités: Sensibilité accrue aux antipsychotique; Parkinsonisme
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7
Q

Quels sont les caractéristiques du TNCM de type frontotemporal

A
  • Début: Insidieux
  • Symptôme inauguraux: Modification des comportement et de la personnalité
  • Évolution: Perte progressive des fonctions cognitives
  • Mémoire: Pas de détérioration au premiers stades, détérioration aux stades modéré
  • Apraxie: Pas de détérioration aux stades léger et modéré. Perturbation par la suite
  • Capacité visuoconstructive: Pas de perturbation aux premiers stade, mais perturbation par la suite
  • Niveau de conscience: Pas d’atteinte
  • Hallucination: Peu fréquente
  • Idées délirante: Plutôt rare
  • Changement sur le plan moteur: Mouvements répétitifs ou stéréotypés
  • Risque de chutes: Seulement aux stades sévères
  • Incontinence urinaire: Fréquentes aux premiers stades
  • Dépression: Occasionnel
  • Personnalité: Modification majeure dès le début de la maladie
  • Autres particularités: Apathie importante; perturbation des habitudes alimentaires, Anosognosie dès le début de la maladie; indifférence émotionnel; manque d’empathie.
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8
Q

Quels sont les caractéristiques du TNCM vasculaire

A
  • Début: Soudain ou insidieux
  • Symptôme inauguraux: Variable selon les nombreux sites des multiples infarctus cérébraux, mais les trouble des fonction exécutive semble dominer
  • Évolution: Possibilité de récupérer une partie des fonctions cognitives; pertes cognitive récupérable par paliers ou progressive par la suite
  • Mémoire: Peu de trouble de la mémoire dans les premiers stades; variabilité possible
  • Apraxie: Atteinte à des moments variables selon les stades de la maladie, selon la zone cérébrale affectée
  • Capacité visuoconstructive: Perturbation à des moments variables selon les stades de la maladie, selon la zone cérébrale affectée
  • Niveau de conscience: pas d’atteinte
  • Hallucination: peu fréquente
  • Idées délirante: occasionnellement
  • Changement sur le plan moteur: Dès le début, présence de signes et symptômes neurologique focaux; faiblesse musculaire
  • Risque de chutes: Dès le début de la maladie
  • Incontinence urinaire: Fréquentes aux premiers stades
  • Dépression: Très fréquente
  • Personnalité: Modification
  • Autres particularités: Labilité émotionnelle fréquente; réflexe de Babinski habituellement présent.
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9
Q

Qu’est-ce que le TNCM de type Alzheimer ?

A
  • Maladie évolutive
  • Chronique
  • Dégénérative
  • Touche le cerveau
  • Associé à l’avancement de l’âge, à un statut socioéconomique faible, à un niveau d’éducation pour faible, à un accès limité aux soins de santé
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10
Q

Quels sont les signes précurseurs/manifestations du TNCM de type Alzheimer?

A
  • Perte de mémoire nuisant aux AVQ
  • Difficulté à exécuter des tâches familières
  • Problème de langage
  • Désorientation dans le temps et l’espace
  • Jugement amoindri
  • Difficulté avec les notions abstraites
  • Objets égarés
  • Changement d’humeur ou de comportements
  • Changement de la personnalité
  • Perte d’intérêt
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11
Q

Comment diagnostic-t-on un TNCM de type Alzheimer?

A
  • Pas de diagnostic précis, mais plus par élimination
  • Prise de sang (entre autres la vitamine du complexe B
  • Examen physique
  • MEEM; évaluation des fonctions mentales et dans quelle catégorie (jugement, émotion, fonction exécutive, motrice)
  • Examen neurologique
  • ATCD médicaux
  • ECG et hémogramme (écarter anémie et AVC)
  • Le seul moyen d’être sur c’est via autopsie après la mort
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12
Q

Qu’est-ce que le test de l’horloge?

A

Test de l’horloge
- Qui peut l’évaluer? La majorité des professionnels de la santé

  • Quand l’évaluer ? En cas de suspicion de troubles cognitifs
  • Comment l’évaluer? Présenter à l’ainée une feuille avec un cercle de 10 cm et demander de placer les chiffres comme sur une horloge (s’assurer que l’aînée n’est pas accès à une horloge/montre)
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13
Q

Qu’est-ce que le test de fluence verbale?

A
  • Nommer 15 animaux différent (confirmer troubles cognitifs au niveau du langage)
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14
Q

Que permet le MEEM? (Mini examen état mental)

A
  • Permet de comparer l’évolution des pertes cognitives d’une personne âgée atteinte d’un TNCM avec les résultats normatifs d’études longitudinales (MEEM peut être diminué de 20% en un mois ce qui voudrait peut-être dire un délirium)
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15
Q

Que permet le MEEMS? (mini examen état mental pour cas sévère)

A

Utile pour assurer une surveillance clinique de l’état cognitif lorsque le TNCM est à un stade avancé

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16
Q

Quel est le rôle infirmier et ses intervention en contexte de TNCM de type Alzheimer?

A
  • Évaluer la mémoire du client et le niveau de fonctionnement de ce dernier
  • Enseigner au client et proches aidants à utiliser des aide-mémoire (ex. calendrier, notes)
  • Surveiller l’apparition de problème physiologique associée à la maladie d’Alzheimer, comme la douleur, des difficultés de déglutition, une infection, une infection urinaire, une pneumonie, des lésions de pression et la constipation
  • Évaluer la consommation d’aliment et de liquides du client et élaborer un plan pour que celle-ci soit adéquate
  • Évaluer la sécurité personnelle du client et les facteurs de risque relatif à cette sécurité dans son environnement
  • Déterminer quels sont les facteurs susceptible d’occasionner des changements de comportement et élaborer des stratégies pour composer avec les comportements perturbateurs
  • Évaluer le degré de fardeau des proches aidants ainsi que leurs stratégies d’adaptation
  • Adresser le client et sa famille à des services communautaires, comme les centres de jour ou de répit
  • Aider le client à se nourrir
  • Administrer la pharmacothérapie prescrite
  • Aider le client à utiliser les toilettes, la chaise d’aisance ou la bassine à intervalle régulier
  • Prodiguer les soins d’hygiène personnelle, les soins de la peau et de la bouche
  • Assister le client dans ses AVQ
  • Utiliser les alarmes de lit et de chaise et exercer une surveillance régulière pour réduire les risques de chutes
  • Donner une consigne à la fois, aller lentement, sécurité (alarme de lit, surveiller risque de chutes, danger ménager comme rond de poêle), avoir contact visuel si pas agressivité, être près de la personne pour avoir contact et attention, être brusque, donner consignes claires, voir ton ferme (pas hésitant), pas infantilisé, toucher la personne
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17
Q

Quel est l’indication de l’ARICEPT ?

A
  • Déclin de la mémoire et de la cognition,
  • Trouble du sommeil,
  • Dépression,
  • Comportement perturbateurs (ex. Agitation, agressivité, désinhibition)
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18
Q

Quels sont les effets secondaires de l’ARICEPT?

A
  • No/Vo,
  • Diarrhée,
  • Anorexie,
  • Convulsion épileptique,
  • Bradycardie sinusale,
  • Bloc AV,
  • F.A.,
  • saignement GI
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19
Q

Que faut-il enseigner aux proches de la personne atteinte de TNCM de type Alzheimer ?

Phase initial

A
  • Obtenir le diagnostic pour éviter la confusion
  • Amener le proche à cesser la conduite automobile
  • Encourager la personne à participer à des activité/ rencontrer des amis, membre de la famille
  • Installer des repères dans la maison/établir une routine/établir un emplacement précis pour les produits essentiels
  • Ne pas reprendre la personne sur un énoncé fautif ou sur sa mauvaise mémoire
  • Inscrire la personne au programme MedicAlert Sécu-Retour
  • Établir une stratégie pour l’avenir
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20
Q

Que faut-il enseigner aux proches de la personne atteinte de TNCM de type Alzheimer ?

Phase intermédiaire

A
  • Installer des serrures aux portes pour assurer la sécurité de la personne
  • Fournir des vêtements de protection contre l’incontinence urinaire et fécale
  • S’assurer que le logis est bien éclairé et sécuritaire
  • Étiqueter les tiroirs et les robinet (chaud/froid)
  • Apprendre à reconnaitre les comportements perturbateurs et savoir composer avec (distraction/diversion)
  • Placer à la vue des éléments qui stimule sa mémoire, comme des photos de famille/amis
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21
Q

Que faut-il enseigner aux proches de la personne atteinte de TNCM de type Alzheimer ?

Phase avancée

A
  • Instaurer une cédule pour les toilettes pour éviter incontinence
  • Prodiguer les soins en fonction des besoins, y compris les soins buccaux et de la peau
  • Contrôler la consommation d’aliments et de liquides afin de s’assurer que celle-ci est adéquate
  • Maintenir la communication par la parole et le toucher
  • Envisager le placement dans un établissement de soins prolongé si la prestation de soins s’avère trop difficile
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22
Q

Quels sont les facteurs contextuels reliées à l’apparition des SCPD (Syndrome comportementaux et psychologique de la démence)?

A
  • Facteurs neurologiques : Rôle d’une régions cérébrale précise, Déséquilibre des neurotransmetteur, Détérioration du rythme circadien, réduction des capacités motrice
  • Facteurs cognitifs : attention, mémoire, habilités visuospatiales, habiletés du langage
  • État de santé de la personne : Santé générale, état affectif, autonomie fonctionnelle
  • Facteur démographiques et historiques : Âge, sexe, niveau de scolarité, traits de personnalité avant la maladie, ATCD de stress psychosocial, Réduction au stress
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23
Q

Quels sont les facteurs proximaux reliées à l’apparition des SCPD (Syndrome comportementaux et psychologique de la démence)?

A
  • Facteurs personnels : insatisfaction des besoins physiques de base
  • Environnement physique : Intensité de la lumière, niveau du bruit, T°
  • Environnement social : Climat de l’unité, stabilité du personnel, mixité du personnel
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24
Q

Quels sont les comportement d’agitation physique non agressif? en contexte de SCPD

A
  • Commettre des gestes indécents
  • S’emparer des objets des autres
  • Uriner ou déféquer de façon inappropriée
  • Cogner des objets sans les briser
  • S’habiller de façons incorrecte
  • S’isoler
  • Négliger son hygiène
  • Manger la nourriture des autres
  • Faire des gestes insultants, mais pas obscènes
  • Ne pas suivre les directives
  • Mettre dans sa bouche des objets inappropriés
  • Faire des avances sexuelles
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25
Q

Quels sont les comportements d’agitation physique agressifs? En contexte de SCPD

A
  • Briser des objets
  • Tordre des objets
  • Pincer
  • Griffer
  • Donner des coups de coude
  • Mordre
  • Donner des coups de pieds
  • Frapper les autres
  • S’automutiler
  • Cracher sur les autres
  • Bousculer les autres
  • Empoigner les autres
  • Voler les objets des autres
  • Posséder un objet pour blesser les autres
  • Utiliser un objet pour frapper les autres
26
Q

Quels sont les comportement d’agitation verbale non agressif? en contexte de SCPD

A
  • Parler constamment
  • Répéter des phrases ou des mots
  • Émettre des sons répétitifs
27
Q

Quels sont les comportement d’agitation verbale agressif? en contexte de SCPD

A
  • Utiliser un langage indécent ou blasphémer
  • Crier ou hurler
  • Menacer de blesser les autres
  • Menacer de s’automutiler
  • Utiliser un langage hostile, accusateur envers les autres.
28
Q

Qu’est-ce que l’inventaire d’agitation de Cohen-Mansfield?

A
  • Compléter avec les proches et les autres intervenant une échelle comportant 29 comportements avec une cote associé
  • À compléter avant le début du traitement et après 4 semaines
  • Additionner les cotes et plus le nombre est haut, plus le patient présente de l’agitation et des comportements agité fréquemment
  • Si réductions des comportements de 25 à 50% = traitement efficace
  • Une évaluation doit être faite pour chaque quart de travail car les comportements varient au cours de la journée
29
Q

Quels sont les objectifs du programme de prévention des SCPD?

Objectifs généraux

A

I. Assurer le respect et la sécurité de l’aîné qui erre

II. Maintenir et favoriser l’autonomie fonctionnelle de l’aîné en exploitant ses capacités résiduelles

III. Assurer le respect et la sécurité des individus partageant le même milieu

30
Q

Quels sont les objectifs du programme de prévention des SCPD?

Objectifs spécifiques

A

I. L’aîné ne se place pas dans des situations dangereuses pour sa santé

II. L’entourage se sente respecté en dépit des déplacements de la personne qui erre

III. L’aîné puisse errer sans importuner son entourage

31
Q

Connaitre l’arbre décisionnel de la prise en charge des SCPD?

A
  • L’approche est-elle justifiée? OUI –> Le recadrage est-il possible ? OUI –> Changer la vision des intervenants sur le comportement
  • L’approche est-elle justifiée? OUI –> Le recadrage est-il possible ? NON –> Évaluation : Décrire les SCPD: Dossier ou instrument/ Déterminer les causes sous-jacentes: examen clinique/ Si le cas est complexe: grille d’observation clinique
  • L’approche est-elle justifiée? OUI –> Le recadrage est-il possible ? NON –> Intervention: Les comportement sont les cibles des interventions. Des interventions sont planifié à tous les niveaux : individuel, environnemental et interactionel. Tous les intervenant et professionnels doivent appliquer le plan 24h/24 7jours/7. Des médicaments et des contentions physiques peuvent être utiliser s’ils sont indiqués.
  • L’approche est-elle justifiée? OUI –> Le recadrage est-il possible ? NON –> Réévaluation: Il faut évaluer le plan de traitement après 4 semaines d’interventions./ Si des médicaments sont administré, surveiller les effets indésirables.
  • L’approche est-elle justifiée ? NON –> modifier l’approche.
32
Q

Quels sont les principe de la démarche systémiques des SCPD

A
  1. Les soignants doivent adopter une approche centrée sur l’aîné présentant des SCPD
    - Avant de faite l’évaluation en profondeur, s’assurer d’avoir un mode de communication appropriée à la situation
    - Avant de faire une évaluation en profondeur, se demander s’il est nécessaire d’intervenir; Le SCPD est-il réellement dangereux pour l’ainé ou pour autrui? Le SCPD entraine-il de la détresse psychologique chez l’aîné
  2. Toute intervention devrait être retenue seulement à la suite d’une évaluation de la condition de santé de l’aîné présentant des SCPD
  3. Les facteurs qui contribuent à l’apparition des SCPD devraient être les cibles des intervenant plutôt que le SCPD lui-même
  4. Le plan de soins doit viser des cibles à plusieurs niveaux (individuel, environnementale et interactionnel); les SCPD sont multifactoriel et peuvent s’expliquer par la combinaison d’un besoin non comblé (individuel), d’un environnement non-adapté (environnementale) et d’une approche non adéquate de la part des soignants. (Interactionnel)
  5. Les interventions doivent être appliquées en continu, 24h/24, 7 jours/7
  6. Le recours aux médicaments psychotropes pour traiter un SCPD doit être justifié. Il devrait se limiter aux cas extrêmes, lorsque les traitements non-pharmacologiques ont échoué. Les antipsychotiques seront envisagé seulement si le SCPD représente un danger pour lui-même ou pour son entourage ou s’il cause une détresse psychologique majeure
  7. Le plan de traitement doit être appliqué par tous les soignants et professionnels de la santé
  8. L’efficacité du plan de traitements doit être évaluer à tous les 4 semaines d’application
  9. L’interdisciplinarité est un atout pour la gestion des cas complexes de SCPD. Ainsi, lorsque l’inf. procède à son examen clinique, elle avise toujours le médecin de la situation afin qu’il déterminer s’il est pertinent d’effectuer des examens médicaux. Il faut rappeler que des problèmes comme l’infection urinaire ou respiratoire, un débalancement du diabète, un IDM ou des problèmes d’élimination sont tous des causes médicales des Symptômes comportementaux et psychologiques de la démence
33
Q

Quels sont les approches possible pour prévenir les SCPD ?

A
  • Principes de base de communication:
    Nom de famille, vouvoyer, pas infantiliser, attitude calme et souriante, pas confrontation, ne pas surprendre etc.
  • Histoire biographique:
    Meilleure compréhension de la personnalité et des particularités de l’aîné permet de prévenir SCPD
  • Environnement:
    Tenir compte du niveau de stimulation
    Sursimulation et sous-stimulation sont 2 causes fréquentes de SCPD
  • Écoute active adaptée:
    Stimuler conversation, manifester intérêt
    Tenir une conversation et s’exprimer malgré propos incohérent
  • Stratégies décisionnelles:
    Offrir possibilité de prendre des décisions et faire des choix
    Utile pour personne autoritaire, travail qui donnait des ordres et personnalité prémorbide
  • Diversion:
    Amener à diriger pensée envahissante ailleurs
    Idée qui amène un comportement dérangeant et qu’on veut faire changer
  • Validation
    Identifier émotions de l’aînée, les reconnaître et lui permettre de les exprimer
    Utile lors d’hallucinations, illusions, idées délirantes cet
  • Toucher:
    Communiquer affection, réconfort, tendresse au moyen du toucher
    Utile lorsque peur, émotions intenses, ennui, isolement
  • Méthode discontinue:
    Ajusté le rythme des soins, le fragmenté
    Diminué le stress, la fatigue physique et attentionnelle de l’aîné
  • Gestion du refus:
    Gérer humainement et efficacement le refus
    X
34
Q

Quels sont les intervention qui vise la communication efficace dans un contexte de SCPD?

A
  • Commencer la conversation en appelant la personne par son nom et en se présentant soi-même
  • Utiliser un ton de voix doux et rassurant
  • Établir et maintenir le contact avec la personne avec le regard, la voix ou le toucher
  • Aborder la personne avec un visage souriant et détendu
  • Éviter d’envahir trop rapidement l’espace vital de la personne
  • Utiliser des gestes et recourir à la démonstration pour se faire comprendre
  • Utiliser des phrases positives, courtes et concrètes
  • Parler lentement et articuler clairement
  • Poser une question à la fois, donner une consigne à la fois
  • Respecter le rythme de la personne, particulièrement si elle a besoin de plus de temps pour répondre
  • Éviter de hausser la voix si la personne ne répond pas
  • Accorder de l’importance à la communication non-verbale
  • Se déplacer lentement, éviter les gestes brusques
  • Éviter d’utiliser des termes infantilisants
35
Q

Quels sont les approche non-pharmacologique en lien avec les SCPD?

A
  • Approche multisensorielle
  • Thérapie centré sur l’émotion
  • Approches environnementales
  • Thérapie cognitives
  • Approche centré sur l’activité physique
  • Thérapie récréative et occupationnelle
  • Approche béhavioriste
36
Q

Quels sont les facteurs prédisposant de l’errance?

A
  • Maladie Neuropathologique
  • Satisfaction des besoins de base (faim, soif, constipation)
  • Facteurs psychiatriques et psychologiques (dépression, anxiété)
  • Autres facteurs (style de vie, caractéristique prémorbide, trait de personnalité)
37
Q

Quels sont les facteurs précipitant de l’errance?

A
  • Interaction avec les soignants
  • Médicaments
  • Environnement
38
Q

Quels sont les types d’errance ?

A
  • Errance de recherche : La personne chercher quelque chose, souvent chargé d’angoisse et comporte de fréquentes sollicitations auprès des autres personnes présentes. Les tentatives de raisonnement et d’apaisement de l’entourage peuvent engendrer des réactions défensives. La validation peut être aidante
  • Errance d’éloignement : L’aîné qui erre présente un désir de fuite (d’éloignement). Son errance reflète la non-acceptation du lieu ou de sa non-reconnaissance. Elle peut aussi exprimer un désir de liberté. Associée à un phénomène d’égarement
  • Errance d’exploration : L’aîné qui erre explore en ouvrant les portes, en manipulant les objets rencontrés au hasard ou en fouillant dans les placards. Plus paisible. Associé à l’intrusion dans l’espace personnel d’autrui
  • Errance compulsive : La personne qui erre de façon compulsive présente généralement des atteintes sévères et communique peu. Son trajet est linéaire et stéréotypé et elle peut marcher jusqu’à l’épuisement. Ce type d’errance est associé au risque de bousculer autrui.
  • Errance de turbulence nocturne : Erre la nuit et peut être en mode exploration, s’accompagne d’activité d’habillage ou de prise d’aliment et est sous-entendu, problème lié au sommeil
  • Errance de talonnage : L’aîné qui erre talonne une personne de façon continu ou sporadique. Peut traduire l’ennui et le désir de contact humain ou encore le besoin de communiquer un besoin non-comblé. Ce comportement peut être importun pour les soignants en raison de l’agacement que cause le fait d’être suivi.
39
Q

Quels sont les conséquences négatives de l’errance?

A
  • Accroît besoin nutritionnels et hydriques, favorise risques déshydratation et de pertes de poids
  • Personne a du mal à rester assise durant la période de repas
  • S’expose d’avantages aux blessures
  • Augmente le risque de chute et les facteurs de risque de la fracture de la hanche
  • PA peut s’égarer, se blesser et décéder
  • PA est susceptible de bousculer qqn à l’équilibre fragile au passage
40
Q

Quels sont les conséquences positives de l’errance?

A
  • Maintien du tonus musculaire, de la masse osseuse et du fonctionnement pulmonaire, intestinal et vésical
  • Permet Pa de conserver sa mobilité
  • Facilite son sommeil
  • Permet de socialiser
  • Maintien de son autonomie fonctionnelle
41
Q

Quels sont les interventions de rechange afin de gérer l’errance ?

A
  • Musique
  • Massage
  • Luminothérapie
  • Aromathérapie et bains chauds
  • Tâche d’engagement et de valorisation
  • Réminiscence
  • Activité physique- artistique
  • Contact humain réel ou stimulé
  • Zoothérapie
  • Renforcement positif
  • Réduction stimulations
  • Modification de l’ambiance
  • Barrières visuelles et objectives
  • Adaptation lieu et activités quotidiennes
  • Contrôle de la douleur
  • Réadaptation rythme circadien
  • Diminutions contentions
  • Interventions technologiques
  • ECT
42
Q

Quels sont les mesures à prendre en cas d’éloignement ou d’égarement d’une personne qui erre ?

A

En prévention :

  • Milieu clinique : Compter les résidents à chaque changement de quart de travail
  • Établir une procédure indiquant qu’un aîné, seul ou accompagné, est sorti à l’extérieur et, par la suite, qu’il est de retour

Communauté :

  • Vérifier de temps à autre que la personne se trouve toujours là où on croit qu’elle est
  • Avertir ses voisins que la personne atteinte d’un TNCM risque d’errer
  • Demander aux amis, voisin, commerçants locaux et membres de Parent-Secours d’être vigilants en raison d’un possible épisode d’errance. Leur demander de communiquer avec les proches s’ils pensent voir la personne errer

Tous les milieux :

  • Disposer d’une photo récente de la personne qui erre ainsi que d’une fiche comprenant les informations essentielles la concernant : description physique détaillée, date de naissance, numéro d’assurance maladie, Information et contact important
  • Garder toujours à portée de la main les données essentielles ainsi que les numéros d’urgence à composer si une personne est portée disparue. Dans un moment d’énervement, ils pourraient être difficile à retrouver.
43
Q

Quel est la différence entre soins de fin de vie, soins palliatif et soins prolongés?

A
  1. Soins prolongés; visent le maintien, l’amélioration et l’optimisation de l’autonomie fonctionnelle des aînées en perte d’autonomie, ainsi que la recherche de la meilleure qualité de vie possible. Visent à ralentir la progression des maladies chroniques et à prévenir l’apparition de complications.
  2. Soins palliatifs; Interventions susceptibles de prolonger la vie sont effectuées au besoin pour corriger des problèmes de santé réversibles, par moyes jugés acceptables par la personne ou par son représentant et dans le seuil intérêt de la personne. Axer le confort, prendre soins de quelqu’un qu’on ne peut pas guérir
  3. Soins de fin de vie; soins qui entourent le mourir et la mort de même que les services qui permettent de s’y préparer. Ils s’intéressent principalement aux besoins physiques et psychosociaux de la personne et de la famille. Dernière semaine. Même objectif que les soins palliatifs
44
Q

Quels sont les différents niveau de soins ?

A

Objectif A : Prolonger la vie par tous les soins nécessaires

Objectif B : Prolonger la vie par des soins limités

Objectif C : Assurer le confort prioritairement à prolonger la vie

Objectif D : Assurer le confort uniquement, sans viser à prolonger la vie

45
Q

Que sont les différents soins de confort associée à la fin de vie ?

A

Soins d’hygiène : Importance de préserver l’apparence de la personne, ce qui contribue à l’estime de soi en plus de favoriser la présence et le rapprochement de l’entourage. Le laisser-aller dans les soins d’hygiènes contribue à l’isolement de la personne en fin de vie et au sentiment d’humiliation

Soins de la peau : L’hydratation de la peau à l’aide d’une crème hydratante aide au bien-être de la personne. Une peau sèche peut affecter différents aspects comme le sommeil et peut provoquer des lésions de grattage. Prévention des lésions de pressions +++

Contrôle de la douleur : Les personnes en situation de DEG souffre souvent de douleurs ostéo-articulaire en plus de d’autre douleur d’origine variée. Il est donc. Primordial de contrôler la douleur dans les soins de fin de vie et l’évaluation de celle-ci permet d’assurer le confort de la personne en soins palliatives.

Approche face à l’anorexie et à la déshydratation : L’anorexie est un symptôme fréquent en fin de vie, car il s’accompagne généralement de phase terminale des maladies chroniques. L’hydratation et l’alimentation doivent être révisé dans un contexte de soins de vie, car elle peut causer plus de problèmes que de bienfaits si non adaptée. Envisager l’introduction de supplément alimentaire est souvent recommander.

Contrôle de la constipation
Plus présent chez la personne en fin de vie, à cause de la prise de médicaments (anticholinergique, opioïdes) 32 à 87% des personnes en situation de soins de fin de vie souffrent de constipation et par conséquents il y aura des laxatifs de prescrit pour prévenir la constipation.

46
Q

Explique le concept de douleur dans un contexte de soins de fin de vie et de soins palliatifs

A
  • Douleur est; l’expression d’une lésion mécanique organique et un phénomène complexe et multidimensionnel, augmenter par l’appréhension de la mort imminente.
  • Interventions; effectuer monitorage de la douleur, déterminer l’intensité, s’assurer de l’efficacité de l’approche pharmacologique et de l’approche non pharmacologiques
47
Q

Quels sont les Sx/Sx de la détresse respiratoire chez la personne en fin de vie?

A
  • Gêne respiratoire intolérable et constante au repos
  • Tachypnée (>28 respirations par minutes)
  • Attention obnubilée par le besoin d’air
  • Utilisation des muscles respiratoires accessoires (tirage intercostal et sus-claviculaire)
  • Cyanose
  • Grognement en fin d’expiration
  • Battement des ailes du nez
  • Embarras bronchique sévère
48
Q

Quels est la composition du protocole de détresse respiratoire chez la personne en fin de vie ?

A
  1. Midazolam (Versed); Sédatif
  2. Mélange seringue d’opioïde et de scopolamine; opioïde permet de diminuer la tachypnée et la scopolamine sert à assécher les sécrétions
49
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système tégumentaire

A
  • Apparition de marbrures sur la peau des pieds et des mains, les jambes et les bras
  • Peau moite et froide
  • Apparence cireuse du visage
  • Apparence cyanosé du nez, des lèvres, des doigts et des mains
  • Teint grisâtre
  • Diminution ou disparition de l’oedème si présent
50
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système respiratoire

A
  • Respiration superficielle
  • Respiration rapide ou lente
  • Respiration irrégulière
  • Respiration de Cheyne-Stokes (période d’apnée entrecoupé de respiration rapide et de grande amplitude)
  • Incapacité à tousser et à éliminer les sécrétions, de sorte que la respiration s’accompagne de gargouillis (encombrement des bronches causé par les sécrétions bronchiques appelé râle terminal)
51
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système génitaux-urinaire

A
  • Diminution progressive de la quantité d’urine (oligurie)
  • Urine très foncé
  • Incapacité à uriner (anurie)
  • Incontinence urinaire
  • Possible évacuation de la vessie quelque instant avant la mort ou immédiatement après
52
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système gastro-intestinale

A
  • Quelques heure ou quelque jour sans manger ou boire
  • Perte de la maitrise sphinctérienne et possibilité d’incontinence fécale
  • Possible évacuation fécale quelque instant avant la mort ou immédiatement après
53
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système musculosquelettique

A
  • Très grande faiblesse
  • Affaissement de la machoire (bouche demeure entrouverte)
  • Yeux mi-ouvert et regard vitreux
  • Perte de réflexe cornéen (clignement des paupières si atteinte de la cornée
  • Difficulté de déglutition
  • Difficulté d’élocution
  • Assistance nécessaire lors de changement de position au lit
54
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système cardiovasculaire

A
  • Pouls faible et difficile à prendre
  • Pouls irrégulier
  • Pouls rapide
  • Diminution de la PA
55
Q

Quels sont les manifestation physique de la mort imminente?

Système nerveux

A
  • État de sommeil profond (coma ou semi-coma)

- Agitation possible

56
Q

Regain d’énergie

A
  • Cette manifestation peut survenir après quelque jours de coma ou de semi-coma
  • La personne peut demander à se lever
  • La personne peut demander à manger
  • La personne communique avec son entourage
  • Cette période est de durée variable
  • La mort survient généralement peut de temps après le regain d’énergie
  • Cette manifestation représente une grande source d’espoir pour la famille
57
Q

Quels sont les interventions envers les proches d’une personne en fin de vie ?

A
  • Intégrer un programme de suivi de deuil pour les aider à réaménager leur vie en absence du défunt dans le PSTI
  • Soutenir et accompagné le mourant dans les deuils présents et à venir
  • La personne devrait pouvoir exprimer librement sa colère, son anxiété, son désespoir et sa culpabilité
  • Expliquer que réactions sont normales
  • Être présent
  • Respecter le désir du patient d’avoir de l’intimité ou d’avoir besoin de parler (ou de se taire), l’honnêteté de son attitude et ses réponses sont essentiels au processus de deuil
58
Q

Justifié les soins de bouches lors de patient en fin de vie

A
  • La prévalence des problèmes de bouche chez la personne mourante est élevée (la sécheresse de la bouche, les odeurs, l’irritation de la muqueuse buccale et la présence de lésions non infectées avec un risque accru de moniliase)
  • Nous pouvons nommer les effets secondaires de certains médicaments (ex. : la morphine, les antidépresseurs), les déficits nutritionnels, la cachexie, la respiration orale, l’administration d’oxygène, la perte d’autonomie et une diminution des forces physiques de la personne quant à son hygiène buccale.
  • Nous avons remarqué que la qualité des soins entourant l’hygiène buccale permet à l’ensemble des personnes gravement malades de s’alimenter et de s’hydrater plus longtemps.
59
Q

Justifier l’administration des traitements non-pharmacologiques et pharmacologiques pour la douleur

A
  • Évaluer la douleur de manière régulière; nature, intensité, site, qualité, facteurs qui la diminuent ou qui l’augmentent
  • Réduire irritants possibles comme humidité, chaleur, froid ou pression qui altèrent la peau
  • Analgésiques réguliers et ED pour offrir un soulagement constant
  • Approches complémentaires; technique de l’imagerie mentale, le massage, l’acupuncture, l’emploi de chaleur et du froid, le toucher thérapeutique et les techniques de relaxation et de distraction.
  • Évaluer l’efficacité des mesures de soulagement à intervalles réguliers afin de s’assurer que le régime médicamenteux convient au client
  • Ne pas tarder ou refuser des mesures de soulagement de la douleur à un client en phase terminale
60
Q

Quels sont les soins usuel à la suite d’un décès?

A
  • Fermer les yeux du client
  • Retirer les tubes et les pansements
  • Laver le patient
  • Le positionner sur le dos, un oreiller placer sous la tête
  • Allouer l’intimité et le temps nécessaire à la famille qui souhaite rester au chevet du défunt
  • Si autopsie, ne pas retirer tube
61
Q

Quels sont les dispositions légales en lien avec le don d’organes, de tissus et l’aide médicale à mourir?

A
  • Avoir plus de 14 ans
  • Avoir signé derrière sa carte d’assurance maladie
  • S’assurer d’informer la famille dans le but que ceux-ci puissent valider et signer le formulaire de consentement au décès de la personne
62
Q

Quel est la procédure du don d’organe?

A
  1. Vérifier, auprès de l’un ou l’autre des organismes qui assurent la coordination des dons d’organes ou de tissus et qui sont désignés par le ministre conformément à l’article 2.0.11 de la Loi sur la Régie de l’assurance maladie du Québec (chapitre R-5), l’existence d’un consentement au prélèvement d’organes ou de tissus après son décès, dans les registres de consentement établis par l’Ordre professionnel des notaires du Québec et par la Régie de l’assurance maladie du Québec, afin de s’assurer de la dernière volonté qu’il a exprimée à cet égard conformément au Code civil du Québec;
  2. Transmettre à un tel organisme, lorsqu’il y a consentement, tout renseignement médical nécessaire concernant le donneur potentiel et les organes ou les tissus qui pourraient être prélevés.