Anatomie(3) du membre supérieur, du tube digestif et des glandes annexes Flashcards

1
Q

33) concernant l’humérus :

il existe au tiers moyen de la diaphyse une gouttière de torsion pour le nerf médian

A

vrai

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2
Q

33) concernant l’humérus :

le capitulum s’articule avec la tête radiale

A

vrai

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3
Q

33) concernant l’humérus :

le tubercule majeur est situé médialement par rapport au tubercule mineur

A

faux, le tubercule majeur est situé latéralement par rapport au tubercule mineur

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4
Q

33) concernant l’humérus :

le col chirurgical est à la jonction entre la diaphyse et l’épiphyse distale

A

faux, le col chirurgical est à la jonction entre la diaphyse et l’épiphyse proximale

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5
Q

34) a propos de la scapula :

le bord spinal possède une zone épaissie formant le pilier de la scapula

A

faux, c’est le bord LATERAL de la scapula qui comprend le pilier

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6
Q

34) a propos de la scapula :

le processus coracoïde est un processus non articulaire orienté latéralement

A

vrai

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7
Q

34) a propos de la scapula :

la glène de la scapula est d’orientation ventrale, latérale et crâniale

A

vrai

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8
Q

34) a propos de la scapula :

l’épine de la scapula se poursuit crânialement par l’acromion

A

vrai

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9
Q

35) A propos des os de l’avant -bras :

le radius et l’ulna ont une tête située au niveau de leur épiphyse proximale

A

faux, la tête ulnaire est distale

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10
Q

35) A propos des os de l’avant -bras :

la pronation est définie comme une rotation de l’ulna autour du radius en partant de la position anatomique de référence

A

faux, lors de la pronation, c’est le radius qui tourne autour de l’ulna

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11
Q

35) A propos des os de l’avant -bras :

la diaphyse radiale possède une courbure physiologique facilitant les mouvements de pronation

A

faux, c’est le radius qui montre une courbure physiologique dite “pronatrice”

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12
Q

35) A propos des os de l’avant -bras :

le processus styloïde ulnaire se projette plus distalement que le processus styloïde radial

A

faux, le processus styloïde radial est plus distal que le processus styloïde ulnaire

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13
Q

36) a propos du squelette de la main ,:
les bases de tous les métacarpiens s’articulent entre la deuxième rangée du carpe par des articulations de type arthrodie

A

faux, le métacarpien 1 s’articule avec l’os trapèze via une articulation en selle (colonne du pouce)

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14
Q

36) a propos du squelette de la main ,:

les articulations métacarpo-phalangiennes sont des condylarthroses

A

vrai

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15
Q

36) a propos du squelette de la main ,:

l’articulation interphalangienne proximale du deuxième doigt est une condylathrose

A

faux, l’articulation interphalangienne proximale (IPP)du deuxième doigt est une trochléarthrose

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16
Q

36) a propos du squelette de la main ,:

l’opposition du pouce est facilitée par la position de celui-ci dans un plan plus dorsal que la paume

A

faux, le pouce est en situation de 3/4 ventral par rapport aux autres doigts

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17
Q

37) A propos
de l’articulation scapulo-humérale :
il s’agit d’une condylarthrose

A

faux, il s’agit d’une énarthrose

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18
Q

37) A propos
de l’articulation scapulo-humérale :
la tête humérale forme un angle de 135 degré avec la diaphyse

A

vrai

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19
Q

37) A propos
de l’articulation scapulo-humérale :
le défaut de congruence entre la tête humérale et la glène de la scapula est compensé par un fibrocartilage de type “ménisque”

A

faux le défaut de congruence est compensé par un fibrocartilage de type bourrelet

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20
Q

37) A propos
de l’articulation scapulo-humérale :
la membrane synoviale est insérée autour du col chirurgical

A

la membrane synoviale est insérée autour du col anatomique de l’humérus

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21
Q

38)
a propos des mouvements de sonnette de la scapula :
la rotation antérieure déplace l’angle inférieur de la scapula latéralement

A

faux, la rotation antérieure amène l’angle inférieur de la scapula en position ventrale

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22
Q

38)
a propos des mouvements de sonnette de la scapula :
le couple musculaire “petit pectoral et rhomboïde” permet une rotation postérieure de la scapula

A

vrai

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23
Q

38)
a propos des mouvements de sonnette de la scapula :
le couple musculaire “trapèze et serratus” permet une rotation postérieure de la scapula

A

faux, le couple musculaire “trapèze et serratus” permet une rotation antérieure de la scapula

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24
Q

38)
a propos des mouvements de sonnette de la scapula :
ces mouvements participent aux mouvements de circumduction de l’épaule

A

vrai

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25
Q

39) a propos des rapports entre plexus brachial et artère axillaire :
les faisceaux médial et latéral se rejoignent à la face antérieure de l’artère axillaire

A

vrai

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26
Q

39) a propos des rapports entre plexus brachial et artère axillaire :
le faisceau latéral reste sur la face latérale de l’artère axillaire sur l’ensemble de son trajet

A

vrai

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27
Q

39) a propos des rapports entre plexus brachial et artère axillaire :
les nerfs terminaux sont constitués avant le passage sous le muscle petit pectoral

A

vrai, les nerfs terminaux sont déjà constitués une fois le muscle petit pectoral passé

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28
Q

39) a propos des rapports entre plexus brachial et artère axillaire :
le faisceau postérieur passe ventralement par rapport à l’artère axillaire après son passage sous le muscle petit pectoral

A

faux, le faisceau postérieur reste postérieur à l’artère axillaire tout au long de son trajet

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29
Q

2014/ 32) la clavicule :

est un os long

A

vrai

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30
Q

32) la clavicule :

appartient au squelette du membre supérieur

A

vrai, c’est l’os le plus proximal du membre supérieur

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31
Q

32) la clavicule :

constitue avec la scapula le squelette de la ceinture scapulaire

A

vrai

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32
Q

32) la clavicule :

s’articule avec la deuxième côte

A

faux, la clavicule s’articule avec le sternum d’une part et la scapula d’autre part

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33
Q

33) L’articulation scapulo-humérale :

A. est une énarthrose.

A

vrai, c’est une articulation très mobile

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34
Q

33) L’articulation scapulo-humérale :

B. présente une cavité synoviale qui est traversée par le tendon du muscle court biceps.

A

faux;la cavité synoviale n’est pas traversée par le tendon du muscle court biceps.
le tendon du long biceps quant à lui est extrasynovial mais intracapsulaire

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35
Q

33) L’articulation scapulo-humérale :

C. possède un fibrocartilage intermédiaire.

A

vrai, il s’agit du bourrelet glénoïdal

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36
Q

33) L’articulation scapulo-humérale :

D. est animée par le muscle brachio-radial.

A

faux, le muscle brachio-radial intervient dans la flexion du coude

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37
Q

34) Au niveau de la main :

A. Le pouce est numéroté comme le premier doigt.

A

vrai

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38
Q

34) Au niveau de la main :

B. L’articulation métacarpo-phalangienne du troisième doigt est une condylarthrose.

A

vrai, les têtes des métacarpes constituent des condyles

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39
Q

34) Au niveau de la main :

C. Les phalanges sont toujours au nombre de 3 pour chaque doigt, c’est le métacarpien qui manque pour le squelette du pouce.

A

faux le métacarpe est bien présent pour le pouce.

il ne présente que 2 phalanges contrairement aux autres doigt qui en présentent 3

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40
Q

34) Au niveau de la main :

D. Le pouce est en situation ventrale par rapport aux autres doigts.

A

vrai, le pouce est en position 3/4 ventral par rapport aux 4 autres doigts

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41
Q

35) Dans l’ensemble squelettique du carpe :

A. le lunatum appartient à la première rangée des os du carpe.

A

vrai

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42
Q

35) Dans l’ensemble squelettique du carpe :

B. il y a 3 rangées transversales et deux colonnes verticales d’os courts.

A

faux, c’est l’inverse, il y a 2 rangées transversales et 3 colonnes verticales d’os courts

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43
Q

35) Dans l’ensemble squelettique du carpe :

C. les os trapèze et scaphoïde sont sur le bord uinaire du carpe.

A

faux, les os trapèze et scaphoïde sont sur le bord radial du carpe

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44
Q

35) Dans l’ensemble squelettique du carpe :

D. les métacarpiens s’articulent tous par une arthrodie avec la seconde rangée des os du carpe.

A

faux, les métacarpiens 2 à 5 s’articulent bien avec la seconde rangée des os du carpe via les arthrodies. le métacarpe 1 du pouce s’articule quand à lui par une articulation en selle avec le trapèze

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45
Q

36 A propos du plexus brachial :

A. II est formé à partir de racines rachidiennes provenant exclusivement de la moelle cervicale.

A

faux, le plexus brachial est formé à partir de racines rachidiennes provenant exclusivement de la moelle cervicale

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46
Q

36 A propos du plexus brachial :

B. Il est formé de 6 troncs et de 4 faisceaux.

A

faux, il comprend 3 troncs (supérieur, moyen, et inférieur) et 3 faisceaux (latéral, médial et postérieur)

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47
Q

36 A propos du plexus brachial :

C. Les nerfs radial et axillaire proviennent du faisceau postérieur.

A

vrai

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48
Q

36 A propos du plexus brachial :

D. Le nerf musculo-cutané est une branche terminale uniquement sensitive.

A

faux, il s’agit d’un nerf mixte

son rôle moteur concerne la flexion du coude, il innerve les muscles biceps et brachial

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49
Q

37 L’artère axillaire :

A. a son origine sur l’arc aortique.

A

faux, l’artère axillaire est dans la continuité de l’artère subclavière qui, elle, a son origine au niveau de l’aorte à gauche

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50
Q

37 L’artère axillaire :

B. vascularise une partie de la glande mammaire.

A

vrai, l’artère axillaire est à l’origine de l’artère acromio-thoracique qui donne l’artère thoracique vascularisant la glande mammaire

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51
Q

37 L’artère axillaire :

C. donne des branches collatérales qui forment un cercle anastomotique péri- articulaire.

A

vrai, elle donne les artères circonflexes antérieure et postérieure qui s’anastomosent au niveau de l’articulation scapulo-humérale

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52
Q

37 L’artère axillaire :

D. se poursuit immédiatement par l’artère radiale.

A

faux, elle se poursuit par l’artère humérale qui, elle, donne l’artère radiale et l’artère ulnaire

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53
Q

38 A propos des os de l’avant-bras :

A. Ce sont deux os longs parallèles en position de référence anatomique.

A

vrai

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54
Q

38 A propos des os de l’avant-bras :

B. Ils ne sont pas dans l’axe longitudinal de l’humérus ; il y a un «cubitus valgus».

A

faux, hors état pathologique, les os de l’avant-bras sont dans l’alignement de l’humérus;. un cubitus valgus est une pathologie

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55
Q

38 A propos des os de l’avant-bras :

C. La tête ulnaire est proximale.

A

faux, la tête ulnaire est distale

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56
Q

38 A propos des os de l’avant-bras :

D. La tête radiale est proximale.

A

vrai

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57
Q

38 Le nerf radial :

A. est issu du faisceau postérieur du plexus brachial.

A

vrai

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58
Q

38 Le nerf radial :

B. permet des mouvements d’extension du coude et de supination de l’avant- bras.

A

vrai

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59
Q

38 Le nerf radial :

C. est sensitivo-moteur.

A

vrai, il donne une branche sensitive ventrale et une branche motrice dorsale

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60
Q

38 Le nerf radial :

D. à l’étage du bras, passe au contact de la diaphyse humérale.

A

vrai, il y laisse une empreinte, au niveau de la gouttière de torsion de l’humérus

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61
Q

40 A propos de la vascularisation artérielle de la main :

A. C’est un système à deux arcades artérielles.

A

vrai, il forme 2 arcades palmaires : une superficielle et une profonde

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62
Q

40 A propos
de la vascularisation artérielle de la main :

B. Une arcade artérielle anastomose l’artère radiale et l’artère ulnaire.

A

vrai, ces anastomoses constituent les arcades palmaires

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63
Q

40 A propos de la vascularisation artérielle de la main :

C. L’arcade profonde est palmaire, l’arcade superficielle est sur la face dorsale de la main.

A

faux, les 2 arcades sont palmaires

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64
Q

40 A propos de la vascularisation artérielle de la main :

D. Toutes les artères de la main sont accompagnées d’une ou plusieurs veines.

A

vrai, le réseau veineux est plus volumineux que le réseau artériel, il existe un réseau veineux profond et un réseau veineux superficiel

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65
Q

28) La clavicule :

A. participe à l’ensemble fonctionnel de l’épaule.

A

vrai

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66
Q

28) LA clavicule :

B. fait partie du squelette du membre supérieur.

A

vrai

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67
Q

28) La clavicule :

C. constitue, avec la scapula, le squelette de la ceinture scapulaire.

A

vrai

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68
Q

28) La clavicule :

D. s’articule avec le sternum.

A

vrai, via une articulation en selle

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69
Q

29) L’articulation scapulo-humérale :

A. est une condylarthrose.

A

faux, l’articulation scapulo-humérale est une énarthrose

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70
Q

29) L’articulation scapulo-humérale :

B. présente une capsule articulaire qui est traversée par le tendon du muscle court biceps.

A

faux, la capsule articulaire est traversée par le tendon du muscle long biceps

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71
Q

29) L’articulation scapulo-humérale :

C. permet, entre autre, l’élévation et l’abaissement de la ceinture scapulaire.

A

faux les mouvements d’élévation et d’abaissement de la ceinture scapulaire sont permis principalement par l’articulation cleïdo-thoracique

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72
Q

29) L’articulation scapulo-humérale :

D. est animée par le muscle brachio-radial.

A

faux, le muscle brachio-radial intervient dans l’articulation du coude

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73
Q

30) Au niveau de la main, le pouce :

A. est numéroté comme le premier doigt.

A

vrai

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74
Q

30) Au niveau de la main, le pouce :

B. est constitué de pièces squelettiques plus épaisses que les quatre autres doigts.

A

faux, les pièces squelettiques du pouce ont la même épaisseur que celles des autres doigts

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75
Q

30) Au niveau de la main, le pouce :

C. a, comme les autres doigts, deux articulations inter phalangiennes.

A

faux, le pouce ne présente que 2 phalanges et donc une articulation inter-phalangienne
à la différence des autres doigt qui en présente 2

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76
Q

30) Au niveau de la main, le pouce :

D. est en situation de trois quarts ventrale par rapport aux autres doigts.

A

vrai

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77
Q

31) Dans l’ensemble du carpe :

A. on dénombre neuf pièces osseuses.

A

faux, le carpe comprend 8 pièces osseuses

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78
Q

31) Dans l’ensemble du carpe :

B. il y a trois rangées transversales et deux colonnes verticales d’os courts.

A

faux, c’est l’inverse,
il y a 2 rangées transversales
et 3 colonnes verticales d’os courts

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79
Q

31) Dans l’ensemble du carpe :

C. les os trapèze et scaphoïde sont sur le bord radial du carpe.

A

vrai

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80
Q

31) Dans l’ensemble du carpe :

D. les os lunatum et hamatum sont sur le bord ulnaire du carpe.

A

faux, l’os lunatum est “ à cheval” au niveau radial et ulnaire
tandis que l’os hamatum se situe sur la 2ème rangée transversale

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81
Q

32) A propos du plexus brachial :

A. Il est formé à partir des racines rachidiennes C5, C6, C7, Tl et T2.

A

faux, il est formé à partir des racines rachidiennes C5,C6,C7,C8 et T1

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82
Q

32) A propos du plexus brachial :

B. Il développe trois troncs et quatre faisceaux.

A

faux, il développe bien 3 troncs (supérieur, moyen et inférieur)
MAIS aussi 3 faisceaux (latéral, médial et postérieur )

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83
Q

32) A propos du plexus brachial :

C. Les nerfs radial et axillaire proviennent du faisceau postérieur.

A

vrai

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84
Q

32) A propos du plexus brachial :

D. Le nerf cutané médial de l’avant-bras est une branche terminale uniquement sensitive.

A

vrai

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85
Q

33) L’artère axillaire :

A. fait suite à l’artère subclavière.

A

vrai

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86
Q

33) L’artère axillaire :

B. vascularise en partie la glande mammaire.

A

vrai, via l’artère thoracique

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87
Q

33) L’artère axillaire :

C. est accompagnée par les faisceaux du plexus brachial sur une partie de son trajet.

A

vrai

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88
Q

33) L’artère axillaire :

D. se poursuit par l’artère brachiale ou humérale.

A

vrai

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89
Q

30) Parmi les pièces squelettiques suivantes, lesquelles appartiennent au membre supérieur :
A. le radius.

A

vrai, il appartient à l’avant-bras

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90
Q

30) Parmi les pièces squelettiques suivantes, lesquelles appartiennent au membre supérieur :

B. la scapula.

A

vrai, elle participe à la constitution de la ceinture scapulaire

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91
Q

30) Parmi les pièces squelettiques suivantes, lesquelles appartiennent au membre supérieur :

C. la clavicule.

A

vrai, elle participe à la constitution de la ceinture scapulaire

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92
Q

30) Parmi les pièces squelettiques suivantes, lesquelles appartiennent au membre supérieur :

D. le lunatum.

A

vrai, il fait partie des os du carpe

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93
Q

31) A propos de l’ensemble fonctionnel de l’épaule :

A. Il est formé par 3 articulations vraies et deux espaces de glissement.

A

vrai

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94
Q

31) A propos de l’ensemble fonctionnel de l’épaule :

B. Il est moins mobile que l’ensemble fonctionnel de la hanche.

A

faux, c’est l’articulation la plus mobile de l’organisme

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95
Q

31) A propos de l’ensemble fonctionnel de l’épaule :

C. Il constitue l’ensemble fonctionnel distal du membre supérieur.

A

faux, il constitue un ensemble fonctionnel proximal du membre supérieur

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96
Q

31) A propos de l’ensemble fonctionnel de l’épaule :

D. Parmi ses 3 articulations vraies qui le constituent, il y a une condylarthrose.

A

faux, il comprend une énarthrose (articulation scapulo-humérale) ,
une articulation en selle ( articulation sterno-costo-claviculaire)
et une arthrodie (articulation acromio-claviculaire)

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97
Q

32) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

A. C’est une énarthrose.

A

vrai

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98
Q

32) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

B. Le ligament coraco-huméral est intégré à la capsule articulaire.

A

faux, le ligament coraco-huméral est intégré à la capsule articulaire

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99
Q

32) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

C. Les ligaments gléno-huméraux sont sur la face dorsale de la capsule articulaire.

A

faux, les ligaments gléno-huméraux sont sur l bord ventral de la capsule articulaire

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100
Q

32) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

D. Elle a 3 axes de rotation et permet un mouvement de circumduction.

A

vrai

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101
Q

33) A propos des mouvements analytiques de la ceinture scapulaire :
A. Les mouvements d’élévation et d’abaissement se font dans un plan frontal.

A

vrai

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102
Q

33) A propos des mouvements analytiques de la ceinture scapulaire :

B. Les mouvements d’antépulsion et de rétropulsion se font autour d’un axe vertical au niveau de l’articulation cleïdo-thoracique.

A

vrai

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103
Q

33) A propos des mouvements analytiques de la ceinture scapulaire :

C. Le mouvement de sonnette de la scapula permet de placer la paume de la main sur la face postérieure de la tête.

A

vrai

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104
Q

33) A propos des mouvements analytiques de la ceinture scapulaire :

D. Les axes de l’articulation acromio-claviculaire permettent des mouvements de circumduction.

A

faux, ce sont les axes de l’articulation scapulo-humérale et de l’articulation cleïdo-thoracique qui permettent des mouvements de circumduction

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105
Q

34) A propos du plexus brachial :

A. Il est formé à partir de 4 racines nerveuses cervicales et une racine thoracique.

A

vrai il s’agit de C5 C6 C7 C8 et T1

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106
Q

34) A propos du plexus brachial :

B. Il est constitué de fibres nerveuses sensitives et de fibres motrices.

A

vrai

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107
Q

34) A propos du plexus brachial :

C. Le nerf musculo-cutané est une branche terminale qui provient du faisceau latéral.

A

vrai

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108
Q

34) A propos du plexus brachial :

D. Le nerf radial est une branche terminale qui provient du,faisceau médial.

A

faux, le nerf radial est une branche terminale qui provient du faisceau postérieur

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109
Q

: L’articulation scapulo-humérale :

A) est l’articulation la plus proximale du membre supérieur

A

faux, l’articulation la plus proximale du membre supérieur est l’articulation cleïdo-thoracique ( ou sterno-costo-claviculaire)

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110
Q

: L’articulation scapulo-humérale :

B) est une énarthrose

A

vrai

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111
Q

: L’articulation scapulo-humérale :

C) permet des mouvements de circumduction sur trois axes orthogonaux

A

vrai

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112
Q

: L’articulation scapulo-humérale :

D) est renforcée par des ligaments uniquement sur la face dorsale de la capsule

A

faux, ls ligaments gléno-huméraux sont insérés sur le bord ventral de la cavité glénoïdale

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113
Q

17: La capsule articulaire de l’articulation scapulo-humérale :
A) elle est constituée principalement de tissu conjonctif

A

vrai, les ligaments et tendons sont eux aussi considérés comme des tissus conjonctifs

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114
Q

17: La capsule articulaire de l’articulation scapulo-humérale :

B) elle est traversée par le long tendon du biceps mais ce dernier reste extra-synovial

A

vrai

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115
Q

17: La capsule articulaire de l’articulation scapulo-humérale :

C) le mouvement analytique de l’abduction scapulo-humérale se réalise selon un axe de rotation ventro-latéral

A

faux,le mouvement analytique de l’abduction scapulo-humérale se réalise selon un axe de rotation dans le plan sagittal

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116
Q

17: La capsule articulaire de l’articulation scapulo-humérale :

D) elle est associée au ligament acromio-épineux qui est le ligament suspenseur de cette articulation

A

faux, le ligament coraco-huméral suspend l’articulation scapulo-humérale

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117
Q

Q20 : Le plexus brachial est constitué par :

A) cinq racines nerveuses exclusivement cervicales

A

faux, le plexus brachial comprend 4 racines cervicales (C5 à C8) et une racine thoracique (T1)

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118
Q

Q20 : Le plexus brachial est constitué par :

B) quatre troncs

A

faux, le plexus brachial comprend 3 troncs (supérieur, moyen, et inférieur)

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119
Q

Q20 : Le plexus brachial est constitué par :

C) deux faisceaux

A

faux, le plexus brachial comprend 3 faisceaux (latéral, médial, postérieur)

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120
Q

Q20 : Le plexus brachial est constitué par :

D) sept branches terminales toutes sensitivo-motrices

A

faux, les nerfs cutané médial de l’avant-bras et cutané du bras sont sensitifs purs

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121
Q

Q21 : Dans la systématisation du plexus brachial :

A) le nerf axillaire est constitué d’axones provenant des racines C6; C7 et C8

A

faux, le nerf axillaire est constitué d’axones provenant des racines C5 et C6

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122
Q

Q21 : Dans la systématisation du plexus brachial :

B)le nerf radial commande les mouvements d’extension du coude et de supination
de l’avant-bras

A

vrai

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123
Q

Q21 : Dans la systématisation du plexus brachial :

C) le nerf musculo-cutané est sensitif et moteur

A

vrai

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124
Q

Q21 : Dans la systématisation du plexus brachial :

D) le nerf obturateur existe pour les membres supérieur et inférieur

A

faux, le nerf obturateur est un nerf des membres inférieurs

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125
Q

Q22 : Dans la main :

A) les métacarpiens II, III, IV et V constituent le plancher de la paume de la main

A

vrai

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126
Q

Q22 : Dans la main :

b) la tête phalangienne des phalanges est toujours distale

A

faux, on parle de tête pour les métacarpes; elles sont bien distales;on parle de trochlée pour les phalanges

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127
Q

Q22 : Dans la main :

C) les articulations inter phalangiennes proximales se situent entre PI et P2

A

vrai

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128
Q

Q22 : Dans la main :

D) le premier métacarpien s’articule directement avec l’os scaphoïde du carpe

A

faux, le premier métacarpien s’articule directement avec l’os trapèze du carpe

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129
Q

Q23 : Dans l’organisation générale de la vascularisation des membres :
A) il y a deux réseaux veineux, un profond au contact des artères et un superficiel sous cutané

A

vrai

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130
Q

Q23 : Dans l’organisation générale de la vascularisation des membres :

B) les réseaux veineux superficiel et profond ne communiquent jamais entre eux, sauf à la racine des membres

A

faux, il existe également des veines communicantes à différents niveaux

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131
Q

Q23 : Dans l’organisation générale de la vascularisation des membres :

C) il y a des réseaux anastomotiques artériels à hauteur des articulations

A

vrai

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132
Q

Q23 : Dans l’organisation générale de la vascularisation des membres :

D) les artères et les nerfs ont souvent des trajets communs

A

vrai

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133
Q

22) A propos des cavités abdomino-pelvienne et péritonéale :

A. La cavité abdominale contient la majeure partie du tube digestif.

A

vrai

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134
Q

22) A propos des cavités abdomino-pelvienne et péritonéale :

B. Le détroit supérieur du bassin délimite caudalement la cavité péritonéale.

A

vrai

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135
Q

22) A propos des cavités abdomino-pelvienne et péritonéale :

C. Le diaphragme thoraco-abdominal délimite crânialement la cavité abdomino-pelvienne.

A

vrai

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136
Q

22) A propos des cavités abdomino-pelvienne et péritonéale :

D. Le mésocolon transverse délimite caudalement l’étage sus-méso colique.

A

vrai

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137
Q

23) A propos des quadrants de l’abdomen :

A. Le jéjunum est palpable dans l’épigastre.

A

faux, le jéjunum est palpable dans la région ombilicale

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138
Q

23) A propos des quadrants de l’abdomen :

B. Le rectum est palpable en fosse iliaque gauche.

A

faux, le rectum est palpable dans la région pubienne ou hypogastre

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139
Q

23) A propos des quadrants de l’abdomen :

C. La glande hépatique déborde caudalement ie plan subcostal.

A

faux, la glande hépatique occupe tout l’hypochondre droit et s’étend sur l’épigastre et sur l’hypochondre gauche
elle n’est pas palpable car entièrement recouverte par le gril costal

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140
Q

23) A propos des quadrants de l’abdomen :

D. L’estomac est palpable dans l’hypochondre gauche.

A

faux, l’estomac se situe dans l’hypochondre gauche et ne dépasse pas le plan subcostal caudalement Il n’est donc pas palpable dans cette zone

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141
Q

24) A propos de l’estomac :

A. Le cardia se projette à hauteur de T12.

A

faux, le cardia se projette à hauteur de T11

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142
Q

24) A propos de l’estomac :

B. L’incisure cardiale est située entre l’œsophage abdominal et l’antre pylorique.

A

faux, l’incisure cardiale se situe entre le fundus et le cardia

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143
Q

24) A propos de l’estomac :

C. Ses 3 couches musculaires sont réparties sur toute la circonférence gastrique.

A

faux, la couche musculaire oblique interne est absente de la petite courbure

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144
Q

24) A propos de l’estomac :

D. La petite courbure est convexe vers la droite.

A

faux, la petite courbure
est CONCAVE vers la DROITE

et donc convexe vers la gauche

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145
Q

25) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac:

A. Elle provient du tronc cœliaque qui naît à hauteur de T12.

A

vrai

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146
Q

25) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac:

B. L’artère gastrique droite naît de l’artère gastro-duodénale.

A

faux, l’artère gastrique droite naît

de l’artère hépatique propre

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147
Q

25) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac:

C. L’artère gastrique gauche se divise en branches gastriques gauches antérieure et postérieure.

A

vrai

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148
Q

25) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac:

D. L’artère gastrique postérieure vascularisé la face dorsale de l’antre pylorique.

A

faux, l’artère gastrique postérieure vascularise le fundus

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149
Q

22) A propos des vascularisations veineuse et lymphatique de l’estomac :
A. Le cardia présente un triple retour veineux : portai, cave inférieur et cave supérieur.

A

vrai, le retour veineux portal se fait par la veine gastique gauche,
le retour veineux cave inférieur par la veine phrénique inférieure gauche
et le retour veineux cave supérieur par les veines azygos et hémi azygos

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150
Q

22) A propos des vascularisations veineuse et lymphatique de l’estomac :

B. La veine gastro-omentale droite se draine directement dans la veine porte.

A

faux, la veine gastro-omentale droite se draine dans la veine mésentérique supérieure

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151
Q

22) A propos des vascularisations veineuse et lymphatique de l’estomac :

C. Le territoire lymphatique gastrique gauche comprend l’intégralité du fundus.

A

faux, c’est le territoire lymphatique splénique qui comprend l’intégralité du fundus

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152
Q

22) A propos des vascularisations veineuse et lymphatique de l’estomac :

D. Les lymphonœuds pancréatiques supérieurs drainent les lymphonœuds spléniques.

A

vrai

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153
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’intestin grêle :
A. L’artère mésentérique supérieure est un rapport ventral du 3ème duodénum.

A

vrai

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154
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’intestin grêle :

B. Les arcades vasculaires de deuxième ordre sont des anastomoses transversales au plus près du bord mésentérique du tube digestif.

A

faux, ce sont les arcades vasculaires du 1er ordre (arcade bordante) qui se situent au plus près du bord mésentérique du tube digestif

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155
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’intestin grêle :

C. Les artères droites naissent de l’arcade bordante.

A

vrai

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156
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’intestin grêle :

D. L’artère colique inférieure droite vascularisé l’iléon.

A

vrai, l’artère colique inférieure droite ou artère iléo-colique ou artère iléo-caeco-appendiculo-colique participe à la vascularisation de la région iléo-colique

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157
Q

27) A propos des colons :

A. L’angle colique gauche est plus crânial que l’angle colique droit.

A

vrai, l’angle colique gauche se projette à hauteur de la 8ème côte gauche
tandis que
l’angle colique droit se projette à hauteur de la 10ème côte droite

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158
Q

27) A propos des colons :

B. La majeure partie du colon transverse fait partie du colon gauche.

A

faux, le colon gauche comprend 1/3 du colon transverse

contre 2/3 pour le colon droit

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159
Q

27) A propos des colons :

C. La base de l’appendice est située sur la face antéro-médiale du cæcum.

A

faux, la base de l’appendice naît du bord postéro-médial du caecum

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160
Q

27) A propos des colons :

D. Les bandelettes coliques du colon sigmoïde et du rectum sont au nombre de deux.

A

faux; le rectum se présente pas de bandelettes coliques

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161
Q

28) A propos du cæcum et de l’appendice :

A. La racine du méso appendice est située sur la face dorsale du mésentère.

A

faux, la racine du méso-appendice située en regard du bord crânial de la dernière anse iléale

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162
Q

28) A propos du cæcum et de l’appendice :

B. Ils sont mobiles.

A

vrai

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163
Q

28) A propos du cæcum et de l’appendice :

C. Ils sont toujours situés en fosse iliaque droite.

A

faux, le caecum et l’appendice sont dans la fosse iliaque droite dans 70% des cas

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164
Q

28) A propos du cæcum et de l’appendice :

D. Le point de Mac Burney est situé sur la ligne inter épineuse.

A

faux
c’est le cas du point de lanz
le point de Mac Burney est situé à mi-distance d’une ligne allant de l’épine iliaque antéro-supérieure droite à l’ombilic

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165
Q

30 A propos de la vascularisation des colons :

A. Les lymphonœuds paracoliques sont situés au niveau de l’arcade bordante colique.

A

vrai

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166
Q

30 A propos de la vascularisation des colons :

B. Les lymphonœuds mésocoliques droits se drainent dans les lymphonœuds mésentériques supérieurs.

A

vrai

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167
Q

30 A propos de la vascularisation des colons :

C. La veine colique moyenne rejoint la veine mésentérique inférieure.

A

faux; la veine colique moyenne se draine dans la veine mésentérique supérieure

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168
Q

30 A propos de la vascularisation des colons :

D. L’artère colique gauche ne vascularisé que le colon descendant.

A

faux; l’artère colique gauche va en direction de l’angle colique gauche

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169
Q

31 A propos des voies biliaires extra hépatiques :

A. La vésicule biliaire participe à la production de la bile.

A

faux, la vésicule biliaire a un rôle de réservoir de bile

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170
Q

31 A propos des voies biliaires extra hépatiques :

B. Le conduit hépatique commun fait partie des voies biliaires accessoires.

A

faux, le conduit hépatique commun fait partie des voies biliaires principales

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171
Q

31 A propos des voies biliaires extra hépatiques :
s.
C. Le conduit cholédoque pénètre le col du pancréas à sa face dorsale.

A

faux, le conduit cholédoque pénètre la tête du pancréas à sa face dorsale

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172
Q

31 A propos des voies biliaires extra hépatiques :

D. L’ampoule hépato-pancréatique s’abouche dans le deuxième duodénum au niveau de la papille duodénale majeure.
.

A

vrai

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173
Q

32 A propos du pancréas :

A. Les vaisseaux mésentériques supérieurs passent dans l’incisure pancréatique.

A

vrai

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174
Q

32 A propos du pancréas :

B. Le duodénum forme des empreintes sur la tête du pancréas.

A

vrai

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175
Q

32 A propos du pancréas :

C. Sa vascularisation artérielle provient du tronc cœliaque et de l’artère mésentérique supérieure.

A

vrai

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176
Q

32 A propos du pancréas :

D. Les trois branches artérielles du tronc cœliaque participent à sa vascularisation.

A

faux; seules les branches splénique et hépatique commune participent à la vascularisation du pancréas

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177
Q

24) A propos des quadrants de l’abdomen :

A. La région ombilicale est aussi appelée « région hypogastrique ».

A

faux, l’hypogastre correspond à la région pubienne

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178
Q

24) A propos des quadrants de l’abdomen :

B. Le flanc droit contient le colon descendant.

A

faux, le flanc droit contient le colon ascendant

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179
Q

24) A propos des quadrants de l’abdomen :

C. La limite caudale de l’épigastre est une ligne horizontale passant par l’ombilic.

A

faux, la limite caudale de l’épigastre est une ligne horizontale passant par les bords caudaux des 10 ème côtes, au niveau de la limite inférieure du gril costal

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180
Q

24) A propos des quadrants de l’abdomen :

D. On palpe l’estomac dans l’hypochondre gauche.

A

vrai une partie de l’estomac est palpable à ce niveau

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181
Q

25) L’estomac :
A. est un viscère mobile entre deux points fixes qui sont le cardia et l’antre.
.

A

faux, l’estomac est bien un viscère mobile mais entre 2 points fixes qui sont le cardia et le pylore
l’antre est une partie de l’estomac

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182
Q

25) L’estomac :

B. est un viscère thoraco-abdomino-pelvien.

A

faux, l’estomac est un viscère thoraco-abdominal et non pelvien

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183
Q

25) L’estomac :

C. comporte trois couches musculaires réparties sur toute la circonférence gastrique.

A

faux, les fibres de la couche musculaire oblique interne sont absentes de la petite courbure

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184
Q

25) L’estomac :

D. est exclusivement situé à gauche de la ligne médiane.

A

faux, il s’étend non seulement au niveau de l’hypochondre gauche mais également au niveau de la ligne médiane, dans la région épigastrique

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185
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. Elle provient du tronc cœliaque qui naît à hauteur de T11

A

faux, la vascularisation artérielle de l’estomac provient bien du tronc coeliaque mais celui-ci
naît à hauteur de T12

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186
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère gastrique droite naît de l’artère hépatique commune.

A

faux, l’artère gastrique droite naît (ou artère pylorique) naît de l’artère hépatique propre

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187
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. Les artères gastro-omentales droite et gauche vascularisent la grande courbure.

A

vrai

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188
Q

26) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. L’artère gastrique postérieure naît de l’artère gastrique gauche.

A

faux, l’artère gastrique postérieure naît de l’artère splénique

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189
Q

27) A propos du duodénum :

A. Il est mobile entre deux points fixes qui sont le pylore et l’angle duodéno- jéjunal.

A

faux, le duodénum est un viscère fixe, fixé par le muscle de Treitz

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190
Q

27) A propos du duodénum :

B. Sur une vue ventrale, il est en forme de cadre ouvert vers la gauche.

A

vrai

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191
Q

27) A propos du duodénum :

C. Il se projette strictement à hauteur des corps vertébraux L1 à L3.

A

faux, la partie D3 du duodénum se projette à hauteur de L4

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192
Q

27) A propos du duodénum :

D. Il reçoit les enzymes pancréatiques au niveau du deuxième duodénum par un orifice unique.

A

faux, les enzymes pancréatiques se déversent dans D2 via le canal accessoire de Santorini à travers la papille duodénale mineure d’une part et à travers le canal de Wirsung via la papile duodénale majeure d’autre part

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193
Q

28) L’artère mésentérique supérieure :

A. naît de l’aorte, à hauteur de L1, sur son bord latéral gauche.

A

faux, l’artère mésentérique supérieure naît de l’aorte à hauteur de L1 mais au niveau de sa face VENTRALE

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194
Q

28) L’artère mésentérique supérieure :

B. a une direction ventrale et caudale.

A

vrai

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195
Q

28) L’artère mésentérique supérieure :

C. passe crânialement puis ventralement par rapport au processus unciné.

A

vrai, elle passe devant le crochet du pancrés ou processus unciné

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196
Q

28) L’artère mésentérique supérieure :
.
D. donne comme première branche l’artère iléo-colique.

A

faux, l’artère iléo-colique est la branche terminale de l’artère mésentérique supérieure

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197
Q

29) A propos des colons :

A. La distinction « colon droit/colon gauche » est, entre autres, fonctionnelle.

A

vrai, elle est également embryologique

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198
Q

29) A propos des colons :

B. La majeure partie du colon transverse fait partie du colon gauche.

A

faux, les 2/3 du colon transverse appartiennent au colon droit

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199
Q

29) A propos des colons :

C. Les bandelettes coliques, dérivant de la couche musculaire longitudinale interne, convergent au niveau de la base de l’appendice.

A

faux, les bandelettes coliques convergent bien au niveau de l’appendice
mais
elles dérivent de la couche musculaire longitudinale externe
et non interne

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200
Q

29) A propos des colons :

D. L’arcade bordante colique anastomose les systèmes artériels mésentériques supérieur et inférieur entre eux.

A

vrai

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201
Q

30) A propos de la glande hépatique :

A. Sa face viscérale est visible sur une vue antérieure.

A

faux, c’est la face supérieure du diaphragmatique du foie qui est visible en vue de face

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202
Q

30) A propos de la glande hépatique :

B. Elle est en contact avec la veine cave inférieure.

A

vrai, la veine cave inférieure est très adhérente au tissu hépatique

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203
Q

30) A propos de la glande hépatique :

C. Son bord antérieur est palpable dans l’hypochondre droit

A

faux, à l’état physiologique, le bord antérieur est sous-costal et n’est donc pas palpable

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204
Q

30) A propos de la glande hépatique :

D. La veine porte gauche se termine par le récessus de Rex.

A

vrai

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205
Q

31) A propos de la rate :

A. Elle participe à la digestion.

A

faux, la rate appartient au réseau lymphatique

elle n’a pas de rôle dans la digestion

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206
Q

31) A propos de la rate :

B. Tous ses bords sont crénelés.

A

faux, seul son bord antérieur est crénelé

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207
Q

31) A propos de la rate :

C. Sa face rénale est la face inférieure.

A

faux, la face inférieure ou base de la rate est colique

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208
Q

31) A propos de la rate :

D. Une rate normale est située en arrière de la ligne axillaire postérieure, et palpable dans l’hypochondre gauche.

A

faux, une rate normale est toujours située dans l’hypochondre gauche, derrière la ligne axillaire moyenne et non palpable

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209
Q

34) A propos de l’estomac :

B. Le cardia se projette en T12.

A

faux, c’est l’inverse, l’antre est une portion horizontale et le corps gastrique est vertical

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210
Q

34) A propos de l’estomac :

B. Le cardia se projette en T12.

A

faux, le cardia se projette en T11

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211
Q

34) A propos de l’estomac :

C. Le pylore se projette en L1

A

vrai

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212
Q

34) A propos de l’estomac :

D. Sa paroi musculaire est constituée de 3 couches de fibres musculaires lisses

A

vrai

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213
Q

35) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. Elle provient entièrement du tronc cœliaque.

A

vrai

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214
Q

35) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. Elle se distribue dans les parois du viscère à partir des courbures.

A

vrai

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215
Q

35) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. Les anastomoses sont très nombreuses entre les différentes artères.

A

vrai

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216
Q

35) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. L’artère gastrique droite est une branche collatérale de l’artère splénique.

A

faux, l’artère gastrique droite est une branche collatérale de l’artère hépatique propre

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217
Q

36) L’intestin grêle :

A. comprend successivement le jéjunum puis l’iléon.

A

vrai

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218
Q

36) L’intestin grêle :

B. est vascularisé par l’artère mésentérique supérieure.

A

vrai

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219
Q

36) L’intestin grêle :

C. est vascularisé par l’artère mésentérique inférieure.

A

faux, c’est l’artère mésentérique supérieure qui vascularise l’intestin grêle

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220
Q

36) L’intestin grêle :

D. n’a jamais d’accolement péritonéal sur la paroi postérieure.

A

faux, le duodénum est fixé via un accolement du péritoine viscéral au péritoine pariétal postérieur

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221
Q

37) L’ensemble des colons comprend :

A. le cæco-appendice.

A

vrai

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222
Q

37) L’ensemble des colons comprend :

B. le colon transverse.

A

vrai

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223
Q

37) L’ensemble des colons comprend :

C. le diverticule de Meckel.

A

faux, le diverticule de Meckel appartient à l’intestin grêle

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224
Q

37) L’ensemble des colons comprend :

D. le rectum.

A

vrai,la partie supérieure du rectum appartient au colon gauche fonctionnel

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225
Q

38) A propos de la glande hépatique :

A. Elle est située sous les deux coupoles diaphragmatiques.

A

vrai, la plus

grande partie se situe sous la coupole droite

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226
Q

38) A propos de la glande hépatique :

B. Elle est suspendue par le ligament falciforme.

A

vrai

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227
Q

38) A propos de la glande hépatique :

C. Elle est vascularisée par l’artère hépatique commune qui peut provenir de l’artère mésentérique inférieure.

A

faux, l’artère hépatique commune provient du tronc coeliaque

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228
Q

38) A propos de la glande hépatique :

D. Son hile est situé à la face viscérale de la glande.

A

vrai

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229
Q

39) A propos de la voie biliaire accessoire :

A. Elle est formée par la vésicule et le canal cholédoque.

A

faux, elle comprend la vésicule biliaire et le canal cystique
le canale cholédoque correspond à la fusione entre le canal cystique et le canal hépatique, il fait partie de la voie biliaire principale

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230
Q

39) A propos de la voie biliaire accessoire :

B. Elle joue le rôle de réservoir pour la bile.

A

vrai

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231
Q

39) A propos de la voie biliaire accessoire :

C. Le canal cystique est en partie inclus dans le pédicule hépatique.

A

vrai

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232
Q

39) A propos de la voie biliaire accessoire :

D. Elle se termine conjointement avec le canal pancréatique principal.

A

faux, elle se termine conjointement avec le canal hépatique commun pour former le canal cholédoque

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233
Q

40) La rate :

A. est une glande exocrine.

A

faux, la rate n’est pas une glande mais appartient au réseau lymphatique

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234
Q

40) La rate :

B. est normalement totalement recouverte par le gril costal.

A

vrai

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235
Q

40) La rate :

C. présente 4 faces et 3 bords.

A

vrai

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236
Q

40) La rate :

D. est vascularisée entièrement par l’artère splénique.

A

vrai

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237
Q

36) A propos de l’estomac :

A. C’est une partie du tube digestif qui se poursuit par le duodénum.

A

vrai

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238
Q

36) A propos de l’estomac :

B. Ses parois font l’objet d’une vascularisation artérielle abondante.

A

vrai

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239
Q

36) A propos de l’estomac :

C. Ses parois sont formées de 3 couches musculaires.

A

vrai

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240
Q

36) A propos de l’estomac :

D. Des anastomoses porto-caves peuvent se développer dans la jonction gastro¬œsophagienne.

A

vrai

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241
Q

37) A propos de l’intestin grêle :

A. Il est formé successivement par le jéjunum puis par l’iléon.

A

vrai

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242
Q

37) A propos de l’intestin grêle :

B. Les anses jéjunales ont généralement une orientation verticale.

A

faux, les anses intestinales ont une orientation horizontale pour le jéjunum et verticale pour l’iléon

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243
Q

37) A propos de l’intestin grêle :

C. Sa vascularisation artérielle dépend entièrement de l’artère mésentérique supérieure.

A

vrai

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244
Q

37) A propos de l’intestin grêle :

D. Le diverticule de Meckel est toujours présent.

A

faux, le diverticule de Meckel est un reliquat embryologique qui est rarement présent

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245
Q

38 Dans le pédicule hépatique, sont placés successivement d’avant en arrière :
A. les voies biliaires.

A

vrai

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246
Q

38 Dans le pédicule hépatique, sont placés successivement d’avant en arrière :

B. une partie des canaux pancréatiques.

A

faux, les canaux pancréatiques ne font pas partie du pédicule hépatique
ils rejoignent les voies biliaires en aval

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247
Q

38 Dans le pédicule hépatique, sont placés successivement d’avant en arrière :

C. l’artère hépatique et ses branches.

A

vrai

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248
Q

38 Dans le pédicule hépatique, sont placés successivement d’avant en arrière :

D. la veine porte.

A

vrai

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249
Q

39 Dans la cavité péritonéale, les colons sont reconnaissables macroscopiquement par la présence sur leur surface :
A. de bandelettes longitudinales.

A

vrai

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250
Q

39 Dans la cavité péritonéale, les colons sont reconnaissables macroscopiquement par la présence sur leur surface :

B. d’appendices épiploïques.

A

vrai

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251
Q

39 Dans la cavité péritonéale, les colons sont reconnaissables macroscopiquement par la présence sur leur surface :

C. d’haustrations.

A

vrai

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252
Q

39 Dans la cavité péritonéale, les colons sont reconnaissables macroscopiquement par la présence sur leur surface :

D. d’une couleur caractéristique.

A

faux, les colons n’ont pas de couleur caractéristique

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253
Q

40 L’appendice peut prendre les orientations suivantes :

A. iliaque droit.

A

faux, l’appendice peut prendre les orientations :
pelvienne(vers le petit bassin)
méso-coeliaque (vers l’ombilic)
latéro-caecal (dans la gouttière pariéto-colique)
ou rétro-caecale (dans la fossete rétro-caecale)

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254
Q

40 L’appendice peut prendre les orientations suivantes :

B. mésocoeliaque.

A

vrai

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255
Q

40 L’appendice peut prendre les orientations suivantes :

C. sous costal gauche.

A

faux, l’appendice peut prendre les orientations :
pelvienne(vers le petit bassin)
méso-coeliaque (vers l’ombilic)
latéro-caecal (dans la gouttière pariéto-colique)
ou rétro-caecale (dans la fossette rétro-caecale)

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256
Q

40 L’appendice peut prendre les orientations suivantes :

D. rétro caecale.

A

vrai

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257
Q

Q24 : Topographie de surface de la paroi abdominale :

A) la rate est dans l’hypochondre gauche

A

vrai

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258
Q

Q24 : Topographie de surface de la paroi abdominale :

B) le cæco-appendice est dans la fosse iliaque droite

A

vrai

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259
Q

Q24 : Topographie de surface de la paroi abdominale :

C) la vésicule biliaire est dans le flanc gauche

A

faux, la vésicule biliaire est située dans l’hypochondre droit

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260
Q

Q24 : Topographie de surface de la paroi abdominale :

D) le colon sigmoïde se projette dans la région épigastrique

A

faux, le colon sigmoïde se situe dans la fosse illiaque gauche

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261
Q

Q25 : l’estomac :

A) fait suite à l’œsophage

A

vrai

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262
Q

Q25 : l’estomac :

B) se poursuit par le premier duodénum

A

vrai

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263
Q

Q25 : l’estomac :

C) présente une grande et une petite courbure

A

vrai

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264
Q

Q25 : l’estomac :

D) est fixé au péritoine pariétal postérieur par l’accolement de Treitz

A

faux, l’estomac est mobile dans la cavité péritonéale.

l’accolement de Teitz concerne l’ensemble duodéno-pancréatiaque

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265
Q

Q26 : L’intestin grêle
A) est une succession d’anses intestinales, subdivisée en iléon puis en jéjunum dans le sens du transit du bol alimentaire

A

faux, c’est l’inverse

l’intestin grêle se compose du jéjunum puis de l’iléon dans le sens du transit du bol alimentaire

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266
Q

Q26 : L’intestin grêle

B) est vascularisé par l’artère mésentérique supérieure et l’artère mésentérique inférieure

A

faux, l’intestin grêle est uniquement vascularisé par l’artère mésentérique supérieure

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267
Q

Q26 : L’intestin grêle

C) est suivi du colon gauche

A

faux, l’intestin grêle se poursuit par le caecum et le colon ascendant

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268
Q

Q26 : L’intestin grêle

D) est reconnaissable à la présence de bandelettes sur sa surface

A

faux, c’est le cas des colons et non de l’intestin grêle

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269
Q

Q27 : Les colons :

A) ils ont la forme d’un cadre

A

vrai

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270
Q

Q27 : Les colons :

B) le cæcum en fait partie

A

vrai

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271
Q

Q27 : Les colons :

C) ils peuvent présenter un diverticule de Meckel

A

faux, c’est l’intestin grêle qui peut présenter un diverticule de Meckel

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272
Q

Q27 : Les colons :

D) ils n’ont aucun accolement avec le péritoine pariétal postérieur

A

faux, les colons ascendant et descendant présentent des zones d’accolement avec le péritoine pariétal postérieur appelées accolement de Toldt

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273
Q

1) A propos de l’humérus :

A. Il s’agit d’un os plat.

A

A. Faux il s’agit d’un os long. En effet, une seule dimension domine (la longueur).

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274
Q

1) A propos de l’humérus :

B. Il va constituer le squelette de l’avant-bras.

A

B. Faux Il va constituer le squelette du bras (entre l’épaule et le coude). L’avant- bras est le segment compris entre le coude et le poignet.

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275
Q

1) A propos de l’humérus :

C. Ses épiphyses sont constituées d’apophyses.

A

C. Vrai On les appelle également « processus ».

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276
Q

1) A propos de l’humérus :

D. Les apophyses peuvent être ou non articulaires.

A

D. Vrai Lorsqu’elles sont articulaires, elles sont recouvertes de cartilage, lorsqu’elles sont non articulaires, elles sont uniquement osseuses.

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277
Q

2) A propos de l’humérus :

A. La tête de l’humérus est une surface lisse d’un volume de 2/3 de sphère.

A

A. Faux La tête de l’humérus est une surface lisse et régulière d’un volume d’1/3 de sphère. C’est l’épiphyse proximale du fémur qui est constituée d’un volume de 2/3 de sphère.

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278
Q

2) A propos de l’humérus :

B. La tête de l’humérus est entièrement recouverte de cartilage.

A

B. Vrai

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279
Q

2) A propos de l’humérus :

C. L’épiphyse distale comprend deux tubercules.

A

C. Faux C’est l’épiphyse proximale qui comprend les deux tubercules majeur et mineur. L’épiphyse distale comprend la trochlée humérale et le capitulum ainsi que les fossettes radiale et coronoïde.

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280
Q

2) A propos de l’humérus :

D. Les tubercules majeur et mineur sont visibles sur une vue ventrale du bras.

A

D. Vrai

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281
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

A. L’empreinte visible la plus crâniale est la gouttière de torsion.

A

A. Faux La gouttière de torsion est l’empreinte diaphysaire la plus caudale. Elle est due au passage du nerf radial sur la diaphyse.
Les deux autres empreintes diaphysaires sont situées sur pratiquement le même plan transversal : l’empreinte du deltoïde et le trou nourricier.

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282
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

B. Le trou nourricier est présent sur la face médiale.

A

B. Vrai Il est dû au passage d’une artère.

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283
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

C. La diaphyse est également appelée « corps ».

A

c. Vrai

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284
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

D. La terminaison du deltoïde crée une empreinte sur la face latérale de la diaphyse.

A

D. Vrai

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285
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

A. Le col chirurgical est plus souvent le siège de fractures que le col anatomique.

A

A. Vrai

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286
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

B. Le col chirurgical se situe entre la tête de l’humérus et l’origine des tubercules.

A

B. Faux Le col anatomique se situe entre la tête de l’humérus et l’origine des tubercules.

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287
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

C. Le col anatomique se situe entre l’épiphyse et la diaphyse.

A

C. Faux Le col chirurgical se situe entre l’épiphyse et la diaphyse.

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288
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

D. Le sillon intertuberculaire laisse passer le tendon du long biceps.

A

D. Vrai

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289
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

A. La fossette coronoïde est au-dessus du capitulum.

A

A. Faux La fossette cORonoïde est au-dessus de la tROchlée humérale, alors que la fossette rAdiALe est au-dessus du CApituLum (Condyle)

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290
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

B. La fossette radiale est au-dessus du capitatum.

A

B. Faux Attention au petit piège, il ne s’agit pas du capitatum mais du capitulum… Le capitatum est un os du poignet (il se termine par « atum » comme l’hamatum ou le lunatum par exemple).

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291
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

C. L’articulation latérale est une articulation de type trochléarthrose.

A

C. Faux L’articulation latérale, celle qui permet l’articulation humérus-radius, est un condyle. En revanche l’articulation médiale, celle qui permet l’articulation humérus-ulna, est une trochlée.

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292
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

D. L’épiphyse distale est aplatie dans le sens gauche-droit.

A

D. Vrai Elle est aplatie transversalement.

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293
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

A. L’épiphyse proximale possède une corticale mince et de l’os compact.

A

A. Faux L’épiphyse proximale possède une corticale mince et de l’os spongieux.

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294
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

B. L’épiphyse proximale est adaptée aux forces en torsion.

A

B. Faux L’épiphyse proximale est adaptée aux forces en compression. En effet, c’est à cet endroit que les forces en provenance de l’omoplate par exemple vont se transmettre.
La diaphyse est adaptée aux forces en torsion.

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295
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

C. La diaphyse possède une corticale épaisse avec un canal médullaire de moelle jaune.

A

c. Vrai L’épiphyse est constituée de moelle rouge chez l’adulte et chez l’enfant, alors que la diaphyse est constituée de moelle rouge chez l’enfant, qui se transforme en moelle jaune chez l’adulte.

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296
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

D. L’orientation des travées osseuses est différente entre épiphyse proximale et distale.

A

D. Vrai Cela est dû au fait que l’orientation de travées osseuses est fonction des forces mécaniques qui s’appliquent sur les pièces squelettiques, et celles-ci sont différentes entre épiphyse proximale et épiphyse distale.

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297
Q

7) A propos de la clavicule :

A. Cet os est concave ventralement au tiers médial.

A

A. Vrai Il est concave dorsalement au tiers latéral. Il est possible de palper sa clavicule pour retrouver cette information.

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298
Q

7) A propos de la clavicule :

B. Le deltoïde ne s’insère que sur sa face supérieure.

A

B. Vrai Il s’y insère au tiers latéral.

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299
Q

7) A propos de la clavicule :

C. Le grand pectoral s’insère médialement sur ses faces supérieure et inférieure.

A

C. Vrai

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300
Q

7) A propos de la clavicule :

D. Son épiphyse proximale s’articule avec la clavicule.

A

D. Vrai Grâce à une articulation en selle.

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301
Q

8) A propos de la clavicule :

A. Elle a pour rôle de permettre un mouvement du bras dans le plan transversal.

A

A. Vrai Elle a pour rôle de latéraliser le membre supérieur, c’est-à-dire de permettre une abduction-adduction, dans un plan transversal.

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302
Q

8) A propos de la clavicule :

B. Son extrémité latérale s’appelle l’acromion.

A

B. Faux Son extrémité latérale s’articule avec l’acromion par une arthrodie, mais ne s’appelle pas l’acromion.

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303
Q

8) A propos de la clavicule :

C. Le trapèze s’insère ventralement sur la clavicule.

A

C. Faux Le trapèze est un muscle dorsal, il s’insère dorsalement sur la clavicule.

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304
Q

8) A propos de la clavicule :

D. La clavicule du cheval est plus longue que celle de l’homme.

A

D. Faux Le cheval ne peut pas réaliser d’abduction-adduction de son membre supérieur, sa clavicule est plus courte que celle de l’homme.

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305
Q

9) A propos de la scapula :

A. Le bord latéral peut être divisé en 2 côtés.

A

A. Faux C’est le bord spinal qui peut être divisé en un petit côté supérieur et un grand côté inférieur. Le bord latéral est celui qui comprend le pilier et il n’est pas divisé en 2.

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306
Q

9) A propos de la scapula :

B. L’épine de la scapula est ventrale par rapport aux côtes.

A

B. Faux L’épine de la scapula est la protubérance osseuse que l’on peut voir sur une personne de dos. Elle est très dorsale et plus dorsale par rapport aux côtes.

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307
Q

9) A propos de la scapula :

C. Le processus coracoïde est un processus articulaire qui permet l’articulation avec la clavicule.

A

C. Faux Attention, le processus coracoïde est un processus non articulaire, il n’y a pas de cartilage.

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308
Q

9) A propos de la scapula :

D. Le pilier est un renforcement osseux qui est dans le prolongement de la cavité glénoïdale.

A

D. Vrai Le pilier appartient au bord latéral et permet de renforcer l’articulation
scapulo-huméraie.

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309
Q

10) A propos de la scapula :

A. L’épine de la scapula se poursuit par une excroissance osseuse nommée acromion.

A

A. Vrai

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310
Q

10) A propos de la scapula :

B. L’angle supérieur est dans la continuité d’un grand côté supérieur.

A

B. Faux L’angle supérieur se poursuit au niveau du bord spinal par un petit côté supérieur, alors que l’angle inférieur est dans la continuité du grand côté inférieur au niveau du bord spinal.

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311
Q

10) A propos de la scapula :

C. L’angle inférieur est dans la continuité d’un petit côté inférieur.

A

C. Faux

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312
Q

10) A propos de la scapula :

D. Sur une vue de face, ie processus coracoïde est orienté vers l’observateur.

A

D. Vrai Une vue de face est synonyme d’une vue ventrale. Or le processus coracoïde est orienté ventralement, donc sur une vue de face, le coracoïde se dirige bien vers l’observateur.

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313
Q

11) A propos de la scapula :

A. Cet os plat est concave dorsalement.

A

A. Faux C’est effectivement un os plat, mais il est concave ventralement.

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314
Q

11) A propos de la scapula :

B. Il a pour rôle de stabiliser l’ensemble clavicule et sternum.

A

B. Faux Il a pour rôle de stabiliser la ceinture scapulaire, c’est-à-dire l’ensemble clavicule et scapula.

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315
Q

11) A propos de la scapula :

C. La tête humérale est orientée dorsalement, médialement, et crânialement.

A

c. Vrai Vous pouvez essayer de vous orienter dans l’espace, et voir comment est orientée votre tête humérale, tout en sachant que la scapula est dorsale par rapport à l’humérus et que ces deux os s’articulent ensemble.

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316
Q

11) A propos de la scapula :

D. La scapula est un os intermédiaire entre l’humérus et la colonne vertébrale.

A

D. Vrai

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317
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

A. Il est constitué du radius latéralement et de l’ulna médialement.

A

A. Vrai Attention, cela n’est vrai qu’en position anatomique de référence, c’est-à- dire en supination, car lorsque le membre supérieur se met en pronation, le radius tourne autour de l’ulna.

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318
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

B. L’incisure radiale est située sur le radius.

A

B. Faux L’incisure radiale est située sur l’ulna, l’incisure ulnaire est située sur le radius. Ces incisures permettent l’articulation avec la tête radiale et la tête ulnaire respectivement.

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319
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

C. La tête radiale est distale.

A

C. Faux La tête radiale est proximale, c’est la tête ulnaire qui est distale. Il faut bien se souvenir que ces deux os sont inversés spatialement.

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320
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :
.
D. La glène anti-brachiale est située sur le radius au niveau distal.

A

D. Vrai

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321
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

A. Le processus styloïde ulnaire est plus imposant que le processus styloïde radial.

A

A. Faux Le processus styloïde radial est plus imposant que son équivalent ulnaire.
En effet, lorsque notre membre supérieur est en supination, au niveau distal, il est bien plus facile de palper le processus styloïde radial que le processus styloïde ulnaire.

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322
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

B. Le processus coronoïde se trouve juste au-dessus de l’incisure trochléaire.

A

B. Faux Le processus coronoïde est juste au-dessous de l’incisure trochléaire.

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323
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

C. La courbure supinatrice du radius est plus marquée que la courbure ulnaire.

A

C. Faux II ne s’agit pas de la courbure supinatrice mais de la courbure pronatrice du
radius, et cette courbure permet d’éloigner la tubérosité bicipitale de l’ulna. Elle est cependant plus marquée que la courbure ulnaire.

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324
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

D. La tubérosité ulnaire est le lieu d’insertion du muscle biceps.

A

D. Faux C’est la tubérosité radiale qui est également appelée tubérosité bicipitale.
C’est donc sur la tubérosité radiale que s’insère le muscle biceps.

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325
Q

15) A propos du carpe :

A. Il est constitué de 2 colonnes et S rangées.

A

1

A. Faux Il est constitué de 3 colonnes et 2 rangées. Cet item est un item récurrent.

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326
Q

15) A propos du carpe :

B. C’est un ensemble constitué de 8 pièces osseuses.

A

B. Vrai Il est composé du scaphoïde, lunatum, triquetrum, pisiforme (et non pas piriforme), trapèze, trapézoïde, capitatum, et hamatum.

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327
Q

15) A propos du carpe :

C. Le capitatum comporte une protubérance osseuse.

A

C. Vrai C’est l’os qui est situé au centre de la 2ème rangée.

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328
Q

15) A propos du carpe :

D. Il s’articule avec les métatarsiens.

A

D. Faux Attention, le carpe s’articule avec les métacarpiens via des arthrodies. Les métatarsiens sont les os des doigts du pied, (petit moyen mnémotechnique : P de métacarpiens comme Poignet)

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329
Q

16) A propos des os du carpe :

A. Le trapèze est plus latéral que le trapézoïde.

A

A. Vrai

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330
Q

16) A propos des os du carpe :

B. Le scaphoïde appartient à la colonne du pouce.

A

B. Vrai

il faut savoir que le pouce est latéral dans la position anatomique de référence

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331
Q

16) A propos des os du carpe :

C. Le pisiforme est plus médial que le lunatum.

A

c. Vrai

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332
Q

16) A propos des os du carpe :

D. Le lunatum et le capitatum appartiennent à la même colonne

A

D. Vrai

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333
Q

17) A propos du squelette de la main :

A. La gouttière formant le canal carpien est ventrale.

A

A. Vrai Elle est rehaussée latéralement par le scaphoïde et le trapèze ; et médialement par le pisiforme et l’hamatum.

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334
Q

17) A propos du squelette de la main :

B. Tous les métacarpiens s’articulent avec la phalange proximale via des condyles.

A

B. Vrai

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335
Q

17) A propos du squelette de la main :

C. Toutes les articulations inter-phalangiennes sont de type trochléearthroses.

A

c. Vrai

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336
Q

17) A propos du squelette de la main :

D. Toutes les articulations métacarpo-phalangiennes sont de type arthrodies.

A

D. Faux Attention à ne pas oublier que pour le pouce, c’est une articulation en selle, ce qui fait que le pouce est plus mobile par rapport aux métacarpes que les autres doigts.

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337
Q

18) A propos du squelette de la main :

A. Il permet une préhension uniquement fine.

A

A. Faux Il permet à la fois une préhension fine et une préhension forte.

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338
Q

18) A propos du squelette de la main :

B. Les métacarpiens forment le squelette de la paume de la main.

A

B. Vrai Ces métacarpiens sont en particulier immobiles, surtout avec le carpe (avec les arthrodies).

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339
Q

18) A propos du squelette de la main :

C. Le pouce est formé de 2 phalanges uniquement.

A

C. Vrai A la différence des autres doigts qui en possèdent 3, le pouce ne possède que 2 phalanges.

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340
Q

18) A propos du squelette de la main :

D. Le pouce est en situation de 3/4 ventrale par rapport aux autres doigts.

A

D. Vrai

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341
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

A. Il est composé de 3 articulations vraies.

A

A. Vrai Il est composé de 3 articulations vraies (articulation scapulo-humérale, sterno-costo-claviculaire, et articulation acromio-claviculaire), et de 2 espaces de glissement (la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne et l’articulation scapulo-thoracique).

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342
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

B. L’articulation scapulo-thoracique est une articulation vraie.

A

B. Faux C’est un espace de glissement.

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343
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

C. L’angle entre la tête de l’humérus et la diaphyse de l’humérus est de 120°.

A

C. Faux Cet angle est de 135° environ, et cela est similaire pour le fémur au niveau du membre inférieur.

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344
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

D. La 2ème articulation scapulo-humérale est une syssarcose.

A

D. Faux La 2ème articulation scapulo-humérale comprend une bourse séreuse sous- acromio deltoïdienne. C’est l’articulation scapulo-thoracique qui est une syssarcose.

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345
Q

20) A propos des types d’articulation :

A. L’articulation scapulo-humérale est une trocoïde.

A

A. Faux L’articulation scapulo-humérale est une énarthrose. Il vous est conseillé de faire une fiche avec toutes les articulations vues dans le cours et leur type.

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346
Q

20) A propos des types d’articulation :

B. L’articulation sterno-costo-claviculaire est une condylarthrose.

A

B. Faux L’articulation sterno-costo-claviculaire est une articulation en selle très mobile.

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347
Q

20) A propos des types d’articulation :

C. L’articulation acromio-claviculaire est une trochléarthrose.

A

C. Faux L’articulation acromio-claviculaire est une arthrodie, elle est presque immobile.

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348
Q

20) A propos des types d’articulation :

D. L’articulation scapulo-thoracique est une arthrodie.

A

D. Faux L’articulation scapulo-thoracique n’est pas une articulation vraie, c’est un espace de glissement.

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349
Q

21) A propos des fibrocartilages :

A. L’articulation sterno-costo-claviculaire peut être stabilisée par un ménisque.

A

A. Vrai Elle peut aussi être stabilisée par un disque, cela dépend des individus.

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350
Q

21) A propos des fibrocartilages :

B. L’articulation sterno-costo-claviculaire peut être stabilisée par un disque.

A

B. Vrai

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351
Q

21) A propos des fibrocartilages :

C. L’articulation scapulo-humérale est stabilisée par un bourrelet.

A

C. Vrai Il s’agit du bourrelet giénoïdal.

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352
Q

21) A propos des fibrocartilages :

D. L’articulation acromio-claviculaire est stabilisée par un disque.

A

D. Faux L’articulation acromio-claviculaire est stabilisée par un ménisque. L’articulation sterno-costo-claviculaire est la seule articulation vue dans le cours pouvant être stabilisée par un disque.

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353
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

A. La cavité glénoïdale est concave latéralement.

A

A. Faux Attention, la cavité glénoïdale n’est pas concave, elle est plane. De cela résulte un défaut de congruence entre la tête de l’humérus et la cavité glénoïdale, compensé par le bourrelet giénoïdal.

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354
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

B. La tête de l’humérus est 3 fois plus volumineuse que la cavité glénoïdale.

A

B. Vrai

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355
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

C. La cavité synoviale s’insère en partie sur le cartilage giénoïdal au niveau proximal.

A

C. Vrai Il y a en fait deux cavités synoviales dans cette articulation.
La lère cavité synoviale s’insère au-dessus du tendon du long biceps.
L’autre cavité synoviale s’insère en périphérie du cartilage giénoïdal et sur le cartilage giénoïdal.

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356
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

D. L’insertion distale de la cavité synoviale se situe au niveau du col chirurgical de l’humérus.

A

D. Faux L’insertion distale des 2 cavités synoviales se situe au niveau du col anatomique de l’humérus, dans le sillon intertuberculaire.

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357
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

A. Il est protégé par un double feuillet de tissu synovial et par un ligament.

A

A. Vrai Il est également protégé par le ligament huméral transverse.

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358
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

B. Il s’insère au bord caudal de la cavité glénoïdale.

A

B. Faux Il s’insère au bord crânial de la cavité glénoïdale.

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359
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

C. Son trajet est d’abord transversal puis vertical.

A

C. Vrai

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360
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

D. Il est extra capsulaire et intra synovial.

A

D. Faux Il est intra capsulaire (dans la capsule) mais extra synovial. En effet, on voit sur le schéma qu’il n’est pas directement au contact du liquide synovial, puisque ce tendon se situe entre les deux cavités synoviales. Il est cependant tout de même à l’intérieur de la capsule articulaire

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361
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

A. Le ligament coraco-huméral se termine par le ligament huméral transverse.

A

A. Vrai C’est ce ligament huméral transverse qui va fermer ventralement le sillon intertuberculaire, et qui protège le tendon du long biceps.

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362
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

B. Le ligament coraco-huméral appartient à la capsule.

A

B. Faux Le ligament coraco-huméral est indépendant de la capsule, c’est un ligament à distance.

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363
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

C. La capsule articulaire est renforcée par des ligaments uniquement au niveau ventral.

A

C. Vrai Ce sont les ligaments gléno-huméraux de Farabeuf. Ils sont au nombre de 3 et forment un « Z » à la face ventrale de la capsule. Ils se terminent uniquement sur le tubercule mineur (ils passent de la scapula qui est médiale à l’humérus qui est latéral ; or le tubercule mineur est médial).

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364
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

D. La capsule articulaire est donc plus solide ventralement.

A

Faux Malgré ce renforcement ventral, c’est à ce niveau que la capsule articulaire est la plus fragile. C’est donc à ce niveau que la capsule va se déchirer lors des luxations antéro-internes de l’articulation scapulo-humérale.

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365
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

A. Chez l’Homme, il s’agit en fait d’un muscle qui s’est atrophié.

A

A. Vrai Il peut exister chez certains vertébrés mais il est atrophié chez l’Homme.

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366
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

B. Il a pour rôle la suspension du membre supérieur.

A

25) A propos du ligament coraco-huméral :

B. Vrai En effet, il est situé à la partie supérieure du membre supérieur.

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367
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

C. Il s’insère au niveau proximal sur les deux parties du processus coracoïde.

A

C. Vrai Il s’insère à la fois sur la partie verticale du processus coracoïde et sur sa partie horizontale.

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368
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

D. Il s’insère distalement sur les tubercules majeurs et mineurs.

A

D. Vrai

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369
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

A. La première côte est longue.

A

A. Faux La première côte est très courte.

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370
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

B. Le cartilage présent sur les incisures claviculaires du sternum déborde sur le premier cartilage costal.

A

B. Vrai Il déborde de quelques millimètres sur le premier cartilage costal.

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371
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

C. La cavité articulaire est séparée en deux compartiments.

A

C. Vrai On peut noter un compartiment latéral et un compartiment médial.

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372
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

D. Le compartiment latéral a un rôle d’amortisseur.

A

D. Faux Le compartiment médial et inférieur (celui qui touche le sternum) a un rôle d’amortisseur alors que le compartiment latéral et supérieur (celui qui touche la clavicule) est le siège des mouvements.

373
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

A. Le ligament interclaviculaire s’insère uniquement sur les clavicules.

A

A. Faux Le ligament interclaviculaire entrecroise ses fibres au niveau du sternum, donc il possède également une insertion sur le sternum.

374
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

B. Le ligament interclaviculaire est fragile.

A

B. Faux Le ligament interclaviculaire est un ligament solide, du fait de l’entrecroisement de ses fibres énoncé ci-dessus.

375
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

C. Le muscle subclavier est un ligament à distance.

A

c. Faux Le muscle subclavier n’est pas un ligament puisque c’est un muscle. C’est le ligament costo-claviculaire qui est un ligament à distance, au même titre que le ligament coraco-huméral et les ligaments coraco-claviculaires.

376
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

D. Le ligament costo-claviculaire s’insère sur la jonction entre Kl et le premier cartilage costal.

A

D. Vrai C’est un ligament à nouveau très solide.

377
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

A. Le ligament costo-claviculaire fait partie de cette articulation.

A

A. Faux Le ligament costo-claviculaire fait partie de l’articulation cléïdo-thoracique. Ce sont les ligaments coraco-claviculaires qui appartiennent à cette articulation.

378
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

B. Les ligaments coraco-claviculaires sont au nombre de 2.

A

B. Faux Les ligaments coraco-claviculaires sont au nombre de 3, au même titre que les ligaments gléno huméraux de Farabeuf. Ce sont des ligaments à distance.

379
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

C. Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent au niveau de l’angle supérieur du processus coracoïde.

A

c. Vrai Ils s’insèrent d’autre part sur la partie inférieure de la clavicule.

380
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

D. Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent de la partie médiale à la moitié de la partie inférieure de la clavicule.

A

D. Vrai Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent de la partie latérale à la moitié de la partie inférieure de la clavicule. Cela paraît logique puisque la clavicule est plus médiale que la scapula.

381
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :
A. La voûte acromio claviculaire surplombe la tête humérale.

A

A. Vrai Elle a de ce fait un rôle de protection de la tête humérale.

382
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

B. La bourse séreuse est au-dessus du muscle supra épineux.

A

B. Vrai

383
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

C. Le muscle deltoïde est plus médial que la bourse séreuse sous acromio- deltoïdienne.

A

c. Faux Le muscle deltoïde est plus latéral que la bourse séreuse.

384
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

D. Le ligament acromio-coracoïdien est au-dessous de la bourse séreuse.

A

D. Faux Le ligament acromio-coracoïdien est au-dessus de la bourse séreuse.

385
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :
A. Le muscle supra épineux s’insère sur la limite supérieure du tubercule mineur.

A

A. Faux Le muscle supra épineux s’insère sur la limite supérieure du tubercule majeur.

386
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

B. Le muscle supra épineux initie le mouvement d’adduction scapulo-humérale.

A

B. Faux Ce muscle initie le mouvement d’abduction scapulo-humérale, c’est-à-dire lorsque le bras s’éloigne du tronc.

387
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

C. La bourse séreuse sous acromio deltoïdienne est constituée de 2 feuillets.

A

C. Vrai On peut voir un feuillet superficiel et un feuillet plus profond, et ces deux feuillets glissent l’un sur l’autre.

388
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

D. La bourse séreuse sous acromio deltoïdienne peut se reconstituer de façon efficace.

A

D. Vrai Même si elle est fragile, elle peut se reconstituer de façon efficace.

389
Q

31) A propos des mouvements de l’articulation scapulo humérale :
A. La rotation interne/rotation externe se fait selon un axe transversal.

A

faux (cf tableau p18 )UE5 entrainement

390
Q

31) A propos des mouvements de l’articulation scapulo humérale :

B. Les mouvements d’abduction/adduction se font selon un plan frontal.

A

vrai

391
Q

31) A propos des mouvements de l’articulation scapulo humérale :

C. Les mouvements de rétropulsion/antépulsion se font selon un axe vertical.

A

faux

392
Q

31) A propos des mouvements de l’articulation scapulo humérale :

D. Les mouvements de rétropulsion/antépulsion se font selon un plan sagittal.

A

vrai

393
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :
A. L’abduction envoie le membre supérieur ventralement.

A

A. Faux L’abduction éloigne le membre supérieur du tronc (1 seul D dans abDuction et 1 seul D dans en Dehors), alors que l’adduction rapproche le membre supérieur du tronc (2 D dans aDDuction, et 2 D dans en DeDans).
L’antépulsion envoie le membre supérieur ventralement, et la rétropulsion envoie le membre supérieur dorsalement.

394
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

B. La rotation postérieure est synonyme du mouvement de supination.

A

B. Faux On ne parle que de rotation interne (synonyme de pronation) et de rotation externe (synonyme de supination) pour l’articulation scapulo-humérale ; les termes de rotation antérieure/postérieure sont utilisés dans l’articulation cléïdo thoracique.

395
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

C. La rétropulsion éloigne le coude du tronc.

A

c. Faux On ne parle que de rotation interne (synonyme de pronation) et de rotation externe (synonyme de supination) pour l’articulation scapulo-humérale ; les termes de rotation antérieure/postérieure sont utilisés dans l’articulation cléïdo thoracique.

396
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

D. L’antépulsion est synonyme d’extension du membre supérieur.

A

D. Faux L’antépulsion est synonyme de flexion du membre supérieur alors que la rétropulsion est synonyme d’extension du membre supérieur.

397
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

A. Ces mouvements sont aidés par la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne.

A

A. Vrai Les mouvements de l’épaule sont réalisés par l’articulation scapulo- humérale et assistés par la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne (ou deuxième articulation scapulo-humérale).

398
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

B. Ils permettent une circumduction scapulo-humérale.

A

B. Vrai

399
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

C. La rotation interne/externe résulte d’un mouvement de l’avant-bras.

A

c. Faux La rotation interne/externe ne concerne que l’humérus, et donc pas l’avant-bras mais le bras.

400
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

D. Une circumduction est l’association de plusieurs mouvements qui sont stabilisés dans les positions de l’espace.

A

D. Vrai

401
Q

34) A propos des mouvements de l’articulation cléïdo-thoracique :
A. L’élévation/abaissement se fait selon un plan horizontal.

A

faux voir tableau UE5 entrainement p20

402
Q

34) A propos des mouvements de l’articulation cléïdo-thoracique :

B. L’antépulsion/rétropulsion se fait selon un plan frontal.

A

faux

403
Q

34) A propos des mouvements de l’articulation cléïdo-thoracique :

C. La rotation avant/arrière déplace la scapula selon un plan frontal.

A

vrai

404
Q

34) A propos des mouvements de l’articulation cléïdo-thoracique :

D. La rotation avant/arrière déplace la scapula sur un axe sagittal.

A

vrai

405
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :
A. Ces mouvements ont lieu dans l’articulation déi’do-thoracique.

A

A. Vrai

406
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

B. Ils sont aidés par une articulation et un espace de glissement.

A

B. Vrai Ils sont aidés par l’articulation scapulo-thoracique (qui est un espace de glissement) et l’articulation cléïdo scapulaire.

407
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

C. La rotation en avant/arrière déplace la clavicule selon un axe perpendiculaire à son grand axe.

A

C. Faux La rotation en avant/arrière déplace la clavicule selon son axe, ou alors déplace l’omoplate autour de son axe sagittal.

408
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

D. Le mouvement d’antépulsion projette l’ensemble épaule/clavicule ventralement.

A

D. Vrai

409
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

A. C’est un espace graisseux.

A

A. vrai

410
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

B. Elle est située entre deux plans du muscle rhomboïde.

A

B. Faux C’est un espace graisseux entre deux plans du muscle serratus, elle située de part et d’autre du muscle serratus.

411
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

C. Elle permet de limiter l’usure du squelette et du tissu musculaire.

A

c. Vrai

412
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

D. Les mouvements de la ceinture scapulaire/thorax sont réalisés par cette articulation.

A

D. Faux Attention, l’articulation scapulo-thoracique aide aux mouvements de ceinture scapulaire/thorax, mais les mouvements ne sont pas réalisés sein de l’articulation scapulo-thoracique.

413
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :
A. Les mouvements de rotation en avant/arrière permettent un mouvement de sonnette de la scapula.

A

A. Vrai Les mouvements de sonnette de la scapula sont le fait de passer sa main derrière ses cheveux (rotation en avant) et de remettre son coude en
arrière (rotation en arrière). Ce mouvement s’effectue quand on se brosse les cheveux d’arrière en avant et inversement.

414
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

B. La rotation postérieure est rendue possible par les muscles rhomboïdes et serratus.

A

B. Faux La rotation postérieure est rendue possible par les muscles rhomboïde et petit pectoral, alors que la rotation antérieure est rendue possible par les muscles serratus et trapèze.

415
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

C. La rotation antérieure est rendue possible par les muscles petits pectoraux et trapèzes.

A

C. Faux

416
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

D. Ils permettent une circumduction de l’ensemble fonctionnel de l’épaule.

A

D. Vrai On peut donc stabiliser l’épaule et donc le membre supérieur dans toutes les positions. Il faut également se souvenir qu’il y a quelques degrés d’amplitude de mouvement sur l’arthrodie.

417
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

A. Elle est réalisée par le plexus brachial.

A

A. Vrai

418
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

B. Les scalènes moyens et antérieurs s’insèrent sur le tubercule antérieur des processus transverses.

A

B. Faux Le scalène antérieur s’insère sur le tubercule antérieur des processus transverses. Le scalène postérieur et le scalène moyen s’insèrent sur le tubercule postérieur des processus transverses.

419
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

C. La racine motrice de la moelle est de petit diamètre.

A

C. Vrai

420
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

D. Il y a plus d’afférences sensitives que d’efférences motrices.

A

D. Vrai La racine dorsale de la moelle (sensitive) est de plus gros diamètre que la
racine ventrale de la moelle (motrice). Il y a donc plus d’afférences sensitives que d’efférences motrices.

421
Q

39) A propos du plexus brachial :

A. Il est constitué de 4 racines cervicales et 3 thoraciques.

A

A. Faux Le plexus brachial est constitué de 4 racines cervicales (de C5 à C8, +/- C4) et d’une seule thoracique (Tl, +/- T2)

422
Q

39) A propos du plexus brachial :

B. Il est constitué par les branches postérieures des nerfs mixtes.

A

B. Faux Il est constitué par les branches antérieures des nerfs mixtes.

423
Q

39) A propos du plexus brachial :

C. La branche antérieure du nerf mixte est destinée à innerver les muscles para-vertébraux.

A

C. Faux C’est la branche postérieure qui a ce rôle.

424
Q

39) A propos du plexus brachial :

D. Ce plexus brachial est indéformable.

A

D. Faux Le plexus brachial est déformable et dynamique. Bien sûr, il est déformable seulement jusqu’à un certain niveau, car au-delà d’une limite, on peut assister à une rupture du plexus brachial.

425
Q

40) A propos du plexus brachial :

A. Le plexus brachial est constitué de trois triangles.

A

A. Faux Le plexus brachial est constitué de deux triangles seulement, le triangle axillaire et le triangle cervical. Ces deux triangles sont opposés par le sommet.

426
Q

40) A propos du plexus brachial :

B. Le triangle cervical a pour base la colonne vertébrale.

A

B. Vrai C’est donc une base verticale. Son sommet est le même que le triangle axillaire (puisqu’ils sont opposés par le sommet), et correspond au défilé costo-claviculaire.

427
Q

40) A propos du plexus brachial :

C. Le triangle axillaire a pour sommet le défilé costo claviculaire.

A

C. Vrai

428
Q

40) A propos du plexus brachial :

D. L’artère axillaire traverse le défilé costo claviculaire avec le plexus brachial.

A

D. Vrai Ce défilé costo claviculaire est un point de faiblesse du plexus brachial.

429
Q

41) A propos du plexus brachial :

A. Les troncs se réunissent en racines, elles-mêmes donnant naissance aux faisceaux.

A

A. Faux Les 5 racines (ce qui part de la moelle, référez-vous au cours d’anat 1), se réunissent en 3 troncs qui finissent par donner 3 faisceaux.

430
Q

41) A propos du plexus brachial :

B. Le faisceau latéral permet l’innervation du muscle brachial.

A

B. Vrai Le faisceau latéral va donner le nerf musculo-cutané. C’est ce nerf qui permettra l’innervation du muscle brachial.

431
Q

41) A propos du plexus brachial :

C. La racine C5 permet d’innerver le muscle diaphragme.

A

c. Faux Le diaphragme est exclusivement innervé par le nerf phrénique. La racine de ce nerf prend naissance en C4.

432
Q

41) A propos du plexus brachial :

D. Le tronc moyen va rejoindre le tronc inférieur.

A

D. Faux Le tronc moyen va rejoindre le tronc supérieur.

433
Q

42) A propos du plexus brachial :

A. Les 3 troncs vont donner chacun un faisceau postérieur.

A

A. Vrai

434
Q

42) A propos du plexus brachial :

B. Le faisceau latéral naît des troncs supérieur et moyen.

A

B. Vrai

435
Q

42) A propos du plexus brachial :

C. Le faisceau médial naît des troncs supérieur et moyen.

A

C. Faux Il s’agit du faisceau latéral. Le faisceau médial naît du tronc inférieur.

436
Q

42) A propos du plexus brachial :

D. Le faisceau postérieur donnera le nerf radial et le nerf ulnaire.

A

D. Faux Le faisceau postérieur donnera le nerf radial et le nerf axillaire.

437
Q

43) A propos du plexus brachial :

A. Les nerfs radial et axillaire ont pour rôle l’abduction, la pronation, et l’extension du membre supérieur.

A

A. Faux Les nerfs radial et axillaire (faisceau postérieur) ont pour rôle l’abduction, la supination, et l’extension du membre supérieur.

438
Q

43) A propos du plexus brachial :

B. Sur le plexus brachial, il y a plusieurs branches collatérales.

A

B. Vrai Ces branches collatérales permettent d’innerver les muscles de proximité, et elles sont de plus petit diamètre que les branches terminales.

439
Q

43) A propos du plexus brachial :

C. Le nerf médian est un nerf comportant peu d’axones.

A

C. Faux Le nerf médian est le résultat de la réunion des faisceaux latéral et médial, il possède donc un très grand nombre d’axones et présente un très gros diamètre.

440
Q

43) A propos du plexus brachial :

D. Les nerfs cutanés médiaux du bras et de l’avant-bras sont uniquement sensitifs.

A

D. Vrai De manière générale, un nerf « cutané » est soit uniquement sensitif, soit mixte. Dans ce cas, les nerfs cutanés médiaux du bras et de l’avant-bras sont uniquement sensitifs.

441
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

A. Il se situe autour du tronc de l’artère axillaire.

A

A. Vrai C’est un encorbellement nerveux autour du tronc axillaire.

442
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

B. Le plexus brachial est développé en arrière du muscle rhomboïde.

A

B. Faux Le plexus brachial est développé en arrière du muscle petit pectoral.

443
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

C. Le faisceau médial du plexus brachial croise l’artère subclavière sur sa face médiale.

A

C. Faux Le faisceau médial croise l’artère axillaire, et non pas l’artère subclavière située plus haut, sur son bord et sa face médiale.

444
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

D. Ce faisceau médial passe d’infra-aortique à supra-aortique.

A

D. Faux Puisqu’il sous-croise l’artère axillaire sur sa face médiale, il passe de supra¬aortique à infra-aortique.

445
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :
A. Le nerf ulnaire provient des racines de C6 à Tl.

A

A. Faux Le nerf ulnaire provient des racines C8 et Tl.

446
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

B. Le nerf musculo-cutané provient des racines C8 et Tl.

A

B. Faux

447
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

C. Le nerf médian provient des racines C6 à Tl.

A

C. Vrai

448
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

D. Le nerf cutané médial du bras provient de la racine Tl uniquement.

A

D. Vrai

449
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

A. Un vaisseau principal se termine souvent par une bifurcation.

A

A. Vrai On retrouve cela par exemple au niveau de l’aorte, qui se divise en artère iliaque commune droite et gauche.

450
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

B. Les branches collatérales sont nombreuses au niveau des articulations.

A

B. Vrai On retrouve un nombre particulièrement important de collatérales au niveau de l’épaule, du coude, ou du carpe.

451
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

C. Ces collatérales s’anastomosent avec des cercles étagés transversaux.

A

C. Vrai Encore une fois cela est particulièrement visible au niveau des articulations.

452
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

D. Il existe des anastomoses entre le tronc principal et les troncs accessoires.

A

D. Vrai

453
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

A. On compte souvent 2 à 3 artères pour une veine.

A

A. Faux On compte souvent 2 à 3 veines pour 1 artère.

454
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

B. Les veines superficielles au niveau du membre supérieur sont les veines saphènes.

A

B. Faux Les veines superficielles au niveau du membre supérieur sont appelées les veines basiliques.
Au niveau du membre inférieur (cf cours d’anat 1), ces veines superficielles sont les veines grande et petite saphène.

455
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

C. Les veines superficielles sont visibles par transparence et permettent les ponctions veineuses.

A

C. Vrai Lors d’une prise de sang par exemple, c’est dans les veines visibles (notamment la veine basilique) que l’aiguille est plantée.

456
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

D. Les veines communicantes permettent de réunir le réseau profond et le réseau superficiel.

A

D. Vrai

457
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

A. Au niveau du bras, on repère 2 cloisons intermusculaires.

A

A. Vrai Il s’agit de la cloison intermusculaire interne et de la cloison intermusculaire externe.

458
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

B. L’artère axillaire reste dans la loge ventrale.

A

B. Vrai

459
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

C. C’est en amont du coude que l’artère humérale donne l’artère radiale et l’artère ulnaire.

A

C. Faux L’artère humérale donne les artères radiale et ulnaire en aval du coude. L’artère humérale franchit donc l’interligne articulaire, c’est-à-dire l’espace entre 2 surfaces articulaires.

460
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

D. L’anastomose superficielle entre les artères radiale et ulnaire est en « U »

A

D. Faux L’anastomose superficielle entre les artères radiale et ulnaire est en « V », alors que l’anastomose profonde entre ces deux artères est en « U ».

461
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

A. Le nerf radial a son trajet dans la cloison intermusculaire interne.

A

A. Faux Le nerf radial a son trajet dans la cloison intermusculaire externe. Le nerf radial fait référence au radius qui est bien latéral.

462
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

B. Le nerf radiai possède une branche motrice ventrale.

A

B. Faux Le nerf radial possède une branche sensitive dorsale et une branche motrice ventrale.

463
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

C. Le nerf médian va innerver les muscles courts de la main.

A

C. Vrai Le nerf médian a un long trajet dans le bras et dans l’avant-bras, et il franchit le canal carpien pour se terminer dans les muscles courts de la main.

464
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

D. Le nerf ulnaire passe dans la gouttière formée par l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral.

A

D. Vrai

465
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

A. La cavité pelvienne fait partie de l’abdomen.

A

A. Vrai C’est une sous segmentation du péritoine.

466
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

B. Elle est fermée à son extrémité caudale par le plancher pelvien.

A

B. Vrai

467
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

C. L’appareil urinaire se situe dans le péritoine.

A

C. Faux Les reins avec les uretères sont dans le retropéritoine, en arrière du péritoine.

468
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

D. Les muscles droits de l’abdomen délimitent l’abdomen ventralement.

A

D. Vrai

469
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

A. L’estomac se situe dans l’hypochondre droit.

A

2) A propos de la cavité abdominale :

A.faux, L’estomac se situe dans l’hypochondre gauche

470
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

B. La région inguinale fait partie de la cavité abdominale.

A

B. Faux Le ligament inguinal délimite la fosse iliaque au-dessus qui fait partie de la cavité abdominale, et la région inguinale en dessous qui n’en fait pas partie.

471
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

C. La rate se situe dans le flanc gauche.

A

C. Faux Elle se situe dans l’hypochondre gauche.

472
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

D. La région ombilicale se situe au-dessus de l’hypogastre.

A

D. Vrai

473
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

A. Le jéjunum et l’iléon se trouvent dans la région de l’hypogastre.

A

A. Faux Ils se trouvent dans la région péri ombilicale ou mésocœliaque.

474
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

B. Le diamètre du colon diminue en allant vers le sigmoïde.

A

B. Vrai

475
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

C. Le colon sigmoïde forme une boucle dans la fosse iliaque gauche.

A

C. Vrai

476
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

D. Il existe une ligne de démarcation claire entre le jéjunum et l’iléon.

A

D. Faux Il n’existe pas de ligne de démarcation entre le jéjunum et l’iléon.

477
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

A. Un méso est un accolement de deux feuillets de péritoine pariétal,

A

A. Faux Un méso est un accolement de deux feuillets de péritoine viscéral dérivant de la splanchnopleure.

478
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

B. Le méso dorsal contient un riche réseau vasculaire et nerveux.

A

B. Vrai

479
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

C. Le méso ventral existe sur toute la hauteur du tube digestif.

A

c. Faux Les 2/3 caudaux du tube digestif n’ont pas de méso ventral.

480
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

D. Le méso dorsal est situé sur la face ventrale de l’aorte.

A

D. Vrai Le méso dorsal est situé entre la face ventrale de l’aorte et la face dorsale du tube digestif.

481
Q

5) A propos des mésos :

A. Un accolement péritonéal est un accolement entre péritoine pariétal et péritoine viscéral.

A

vrai

482
Q

5) A propos des mésos :

B. Les mésos vont être considérablement modifiés par la croissance du tube digestif.

A

vrai

483
Q

5) A propos des mésos :

C. Les mésos contiennent des lobules graisseux.

A

vrai

484
Q

5) A propos des mésos :

D. Le tube digestif est recouvert de péritoine pariétal.

A

faux le tube digestif est recouvert du péritoine viscéral

485
Q

6) A propos de l’estomac :

A. C’est un réservoir extensible jusqu’à 5 litres.

A

A. Faux C’est un réservoir extensible jusqu’à 2 litres.

486
Q

6) A propos de l’estomac :

B. Il est totalement immobile.

A

B. Faux II est mobile entre deux points fixes que sont le cardia et le pylore.

487
Q

6) A propos de l’estomac :

C. Le pylore se situe en regard de L2.

A

c. Faux Le pylore se situe en L1et le cardia en T11

488
Q

6) A propos de l’estomac :

D. Pour moitié au moins, il est protégé par le gril costal droit.

A

D. Faux Pour moitié au moins, il est protégé par le gril costal gauche.

489
Q

7) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

A. La grande courbure est composée d’une partie verticale et d’une partie horizontale.

A

A. Faux C’est la petite courbure qui est composée d’une partie verticale et d’une partie horizontale.

490
Q

7) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

B. L’incisure cardiale se situe entre l’antre et le corps de l’estomac.

A

B. Vrai

491
Q

7) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

C. Le fundus peut aussi se nommer corps de l’estomac.

A

C. Faux Ce sont 2 parties distinctes.

492
Q

7) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

D. L’antre est la partie la plus déclive de l’estomac.

A

D. Vrai

493
Q

8) A propos de la vascularisation de l’estomac :

A. La totalité de la vascularisation gastrique provient du tronc coeliaque.

A

A. Vrai

494
Q

8) A propos de la vascularisation de l’estomac :

B. Le tronc cœliaque nait en regard de L1

A

B. Faux Le tronc cœliaque nait en regard de T12.

495
Q

8) A propos de la vascularisation de l’estomac :

C. Le tronc cœliaque se divise en un trépied artériel de forme constante.

A

C. Vrai

496
Q

8) A propos de la vascularisation de l’estomac :

D. L’artère gastrique gauche s’anastomose avec l’artère gastro-omentale droite.

A

D. Faux L’artère gastrique gauche s’anastomose avec l’artère gastrique droite.

497
Q

9) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. L’artère gastrique gauche a un trajet concave vers le haut.

A

A. Faux L’artère gastrique gauche a un trajet concave vers le bas,

498
Q

9) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère gastrique gauche atteint la petite courbure gastrique.

A

B. Vrai

499
Q

9) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. L’artère gastrique gauche naît directement du tronc cœliaque.

A

C. Vrai

500
Q

9) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. Le grand épiploon est richement vascularisé.

A

D. Vrai

501
Q

10) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. L’artère splénique passe sur la face ventrale l’estomac puis rejoint la rate.

A

A. Faux L’artère splénique passe sur la face dorsale l’estomac puis rejoins la rate.

502
Q

10) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère splénique va donner l’artère gastro-omentale gauche.

A

B. Vrai

503
Q

10) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. L’artère gastro-omentale gauche va donner l’artère omentale gauche.

A

C. Vrai

504
Q

10) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. L’artère hépatique devient l’artère hépatique commune une fois qu’elle a donné l’artère gastro-duodénale.

A

D. Faux L’artère hépatique commune devient l’artère hépatique propre une fois qu’elle a donné l’artère gastro-duodénale.

505
Q

11) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. L’artère splénique donne quelques vaisseaux pour l’estomac.

A

vrai comme l’artère gastrique postérieure

506
Q

11) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère gastrique droite nait de l’artère gastro-omentale gauche.

A

faux l’artère gastrique droite nait de l’artère hépatique propre

507
Q

11) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. Le cercle artériel de la grande courbure associe l’artère gastro-omentale gauche et l’artère gastrique gauche.

A

faux, le cercle artériel de grande courbure associe l’artère gastro-épiploïque droite et l’artère coronaire stomachique

de plus le cercle artériel de la petite courbure est formé par l’artère coronaire stomachique et l’artère pylorique

508
Q

11) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. Le cercle artériel de la grande courbure est plus riche que le cercle artériel de la petite courbure.

A

faux, le cercle artériel de la grande courbure est plus pauvre et moins abondant que le cercle artériel de la petite courbure

509
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

A. Le territoire gastrique gauche couvre une partie de la petite courbure et du cardia.

A

A. Vrai

510
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :
.
B. L’ensemble de l’estomac est drainé dans les lymphonoeuds cœliaques.

A

B. Vrai

511
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

C. Le territoire splénique comprend le fundus et quelques centimètres de la petite courbure.

A

C. Faux Il comprend le fundus et quelques centimètres de la grande courbure.

512
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

D. Le conduit thoracique se draine dans la veine sous-clavière gauche.

A

D. Vrai

513
Q

13) A propos du duodénum :

A. L’angle entre D2 et D3 se nomme l’angle inférieur gauche.

A

A. Faux L’angle entre D2 et D3 se nomme l’angle inférieur droit.

514
Q

13) A propos du duodénum :

B. Il présente un cadre ouvert à droite.

A

B. Faux Il présente un cadre ouvert à gauche.

515
Q

13) A propos du duodénum :

C. L’angle duodéno-jéjunal est profond et mobile.

A

C. Faux Il est profond et fixe, fixé par le muscle de Treitz à la colonne vertébrale.

516
Q

13) A propos du duodénum :

D. Le deuxième côté du duodénum est le côté le plus long du duodénum.

A

D. Vrai Avec D3, ils font tous deux 8 cm en moyenne.

517
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

A. Il comprend successivement l’iléon puis le jéjunum.

A

A. Faux Il comprend successivement le jéjunum puis l’iléon.

518
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

B. Il y a une disproportion très forte entre la longueur de l’intestin et la racine de son méso.

A

B. Vrai

519
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

C. Les anses du jéjunum ont une orientation verticale.

A

C. Faux Les anses du jéjunum ont une orientation horizontale.

520
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

D. Les anses de l’iléon ont une orientation horizontale.

A

D. Faux Les anses de l’iléon ont une orientation verticale.

521
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

A. Le diverticule de Meckel est présent chez tout le monde.

A

A. Faux Le diverticule de Meckel n’est pas présent chez tout le monde, il est donc inconstant.

522
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

B. La racine du mésentère mesure 30 cm.

A

B. Faux Elle mesure 16 cm, et la longueur de l’Intestin est de 6 mètres.

523
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

C. Une anse grêle comprend un bord libre et un bord mésentérique.

A

C. Vrai

524
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

D. La racine du mésentère représente l’insertion primitive du méso contre la paroi postérieure.

A

D. Vrai

525
Q

16) A propos du jéjunum et de l’iléon :

A. Le plan musculaire est composé entre autre d’une couche circulaire superficielle.

A

A. Faux Le plan musculaire est composé d’une couche circulaire interne et d’une couche longitudinale externe. De façon générale les couches musculaires internes sont circulaires. Un moyen mnémotechnique est : « INTERdit de faire le CIRque ! »

526
Q

16) A propos du jéjunum et de l’iléon :

B. Le plan musculaire se trouve entre le péritoine viscéral et la sous-muqueuse.

A

B. Vrai

527
Q

16) A propos du jéjunum et de l’iléon :

C. Les anses grêles sont mobiles.

A

C. Vrai

528
Q

16) A propos du jéjunum et de l’iléon :

D. Les valvules conniventes augmentent plus la surface de la muqueuse que les villosités.

A

D. Faux Les valvules conniventes augmentent la surface de la muqueuse de 1/3, alors que les villosités l’augmentent de 5 à 6 fois.

529
Q

17) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

A. Elle a son origine sur la paroi latérale de l’aorte en L1

A

A. Vrai Elle naît au-dessus de l’artère rénale.

530
Q

17) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

B. Elle va donner 14 à 16 branches iléales.

A

B. Faux Elle va donner 12 à 15 branches jéjunales et 2-3 branches iléales.

531
Q

17) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

C. Elle participe à la vascularisation de la région iléo-colique.

A

C. Vrai

532
Q

17) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

D. L’artère iléo-cæco-appendiculo-colique est une artère terminale.

A

D. Vrai

533
Q

18) A propos des colons :

A. Cæcum et appendice sont situés dans le flanc droit.

A

A. Faux Ils sont situés dans la fosse iliaque droite.

534
Q

18) A propos des colons :

B. L’angle gauche du colon se situe dans l’hypochondre gauche.

A

B. Vrai

535
Q

18) A propos des colons :

C. Ils comprennent 2 couches musculaires.

A

C. Vrai Une longitudinale externe et une circulaire interne.

536
Q

18) A propos des colons :

D. Le colon descendant est fixe.

A

D. Vrai Comme le colon ascendant.

537
Q

19) A propos des colons :

A. La rate repose sur l’angle gauche du colon.

A

.

A. Vrai

538
Q

19) A propos des colons :

B. Les appendices épiploïques sont des bosses visibles sur le colon.

A

B. Faux Ce sont des franges graisseuses. Ce sont les haustrations qui sont des bosses successives, visibles en surface sur le colon.

539
Q

19) A propos des colons :

C. Les bandelettes sont des renforcements de la paroi musculaire circulaire.

A

C. Faux. Les bandelettes sont des renforcements de la paroi musculaire longitudinale externe.

540
Q

19) A propos des colons :

d. Il existe 3 bandelettes au niveau du colon transverse.

A

D. Vrai

541
Q

20) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :
A. Le colon droit est vascularisé par l’artère mésentérique supérieure.

A

A. Vrai

542
Q

20) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

B. Le colon droit comprend les 1/3 du colon transverse.

A

B. Faux Le colon droit comprend 2/3 du colon transverse.

543
Q

20) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

C. Le colon droit comprend le cæcum.

A

c. Vrai

544
Q

20) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

D. Le colon gauche comprend le rectum dans sa totalité.

A

D. Faux Seule la partie supérieure du rectum appartient au colon droit.

545
Q

21) A propos du cæcum et de l’appendice :

A. La racine du méso appendice a son origine en en regard du bord crânial de la dernière anse iléale.

A

A. Faux L’appendice a son méso qui a son origine en arrière de la dernière anse iléale.

546
Q

21) A propos du cæcum et de l’appendice :

B. La plupart du temps, le cæco-appendice est en position iliaque droite.

A

B. Vrai Dans 70% des cas.

547
Q

21) A propos du cæcum et de l’appendice :

C. L’accolement de Toldt droit représente l’accolement entre le colon ascendant et le péritoine pariétal postérieur.

A

C. Vrai

548
Q

21) A propos du cæcum et de l’appendice :

D. L’appendice peut se loger dans la gouttière pariéto-colique.

A

D. Vrai

549
Q

22) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

A. Une orientation mésocoeliaque signifie qu’il se situe vers l’ombilic.

A

A. Vrai

550
Q

22) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

B. Une orientation latéro-caecale signifie que l’appendice est en position ventrale et latérale par rapport au cæcum.

A

B. Faux Cela signifie que l’appendice va être dans la gouttière pariéto-colique.

551
Q

22) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

C. Une orientation rétro-caecale signifie que l’appendice est en avant du cæcum.

A

C. Faux Elle est en arrière du cæcum.

552
Q

22) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

D. Une orientation rétro-caecale signifie que l’appendice est dans la fossette rétro caecale.

A

D. Vrai

553
Q

23) A propos des variations du cæco-appendice :

A. Le point de Lanz se situe entre l’ombilic et l’épine iliaque antéro-supérieure.

A

A. Faux Le point de Mac Burney se situe entre l’ombilic et l’épine iliaque antéro- supérieure.

554
Q

23) A propos des variations du cæco-appendice :

B. Le point de Lanz se situe au milieu d’une ligne horizontale transversale bi-iliaque.

A

B. Faux Le point de Lanz se situe au tiers droit d’une ligne horizontale transversale bi-iliaque.

555
Q

23) A propos des variations du cæco-appendice :

C. Le point de Lanz correspond à la base de l’appendice.

A

C. Faux Le point de Mac Burney correspond à la base de l’appendice. Le point de Lanz correspond à la pointe de l’appendice.

556
Q

23) A propos des variations du cæco-appendice :

D. La position iliaque gauche est très commune.

A

D. Faux Elle est au contraire très rare.

557
Q

24) A propos de la vascularisation du colon droit :

A. L’arcade bordante forme une anastomose entre artère mésentérique supérieure et artère mésentérique inférieure.

A

A. Vrai

558
Q

24) A propos de la vascularisation du colon droit :

B. L’artère colique droite accessoire est inconstante.

A
  1. Vrai
559
Q

24) A propos de la vascularisation du colon droit :

C. Le flux lymphatique va des ganglions épicoliques directement dans les ganglions mésocoliques.

A

C. Faux Il passe en avant dans les ganglions paracoliques.

560
Q

24) A propos de la vascularisation du colon droit :

D. L’artère iléo colique transverse est une petite artère inconstante.

A

D. Faux L’artère iléo-colique transverse est constante.

561
Q

25) A propos de la vascularisation du colon gauche :

A. Le réseau veineux est calqué sur le réseau artériel.

A

A. Faux Le réseau veineux n’est pas calqué sur le réseau artériel. En effet on peut constater que la veine mésentérique inférieure ne suit pas l’artère mésentérique inférieure.

562
Q

25) A propos de la vascularisation du colon gauche :

B. L’arcade bordante est une anastomose entre la veine mésentérique supérieure et la veine mésentérique inférieure.

A

B. Faux Attention, l’arcade bordante est une anastomose entre mésentérique supérieure et l’artère mésentérique inférieure. l’artère

563
Q

25) A propos de la vascularisation du colon gauche :

C. L’artère mésentérique inférieure donne les artères sigmoïdiennes.

A

C. Vrai

564
Q

25) A propos de la vascularisation du colon gauche :

D. La terminaison de l’artère mésentérique inférieure se fait au niveau du rectum.

A

D. Vrai Elle va se terminer par l’artère rectale supérieure.

565
Q

26) A propos de la glande hépatique :

A. C’est la glande la plus volumineuse de l’organisme, elle est indispensable à la vie.

A

A. Vrai Au-delà de quelques heures sans fonctionnement hépatique, la mort est inévitable.

566
Q

26) A propos de la glande hépatique :

B. Le ligament falciforme est uniquement présent sur sa face postérieure.

A

B. Faux Le ligament falciforme est visible à la face antérieure de la glande hépatique.

567
Q

26) A propos de la glande hépatique :

C. Le ligament falciforme est fixé à la face caudale du diaphragme.

A

C. Vrai

568
Q

26) A propos de la glande hépatique :

D. La veine cave inférieure est à distance de la glande hépatique.

A

D. Faux La veine cave inférieure est presque collée à la glande hépatique, elle est très adhérente à la glande. Un traumatisme de la glande hépatique peut entraîner un traumatisme de la veine cave inférieure.

569
Q

27) A propos de la glande hépatique :

A. Le ligament coronaire est plus fin que les ligaments triangulaires.

A

A. Faux C’est l’inverse, le ligament coronaire est plus épais que les ligaments triangulaires.

570
Q

27) A propos de la glande hépatique :

B. Les loges sous phréniques sont en dépression, elles vont donc repousser les phénomènes pathologiques.

A

B. Faux Les loges sont bien en dépression, mais de ce . fait, elles vont aspirer les phénomènes pathologiques

571
Q

27) A propos de la glande hépatique :

C. Le ligament rond est l’ex-veine ombilicale.

A

C. Vrai

572
Q

27) A propos de la glande hépatique :

D. L’area nuda est dépourvue de péritoine viscéral.

A

D. Vrai

573
Q

28) A propos de la glande hépatique :

A. Les différents secteurs hépatiques sont dépendants les uns des autres.

A

A. Faux Ils sont indépendants les uns des autres. Cela veut dire que l’on peut en enlever un sans perturber le fonctionnement global de la glande. On parle dans ce cas d’hépatectomies partielles avec vascularisation conservée.

574
Q

28) A propos de la glande hépatique :

B. La fissure principale sépare le foie en un foie droit et un foie gauche.

A

B. Vrai

575
Q

28) A propos de la glande hépatique :

C. Le récessus de Rex se situe à droite de la glande.

A

C. Faux Il se situe à gauche de la glande, et c’est la terminaison de la branche portale gauche.

576
Q

28) A propos de la glande hépatique :

D. La scissure droite correspond à la position de la veine sus-hépatique droite.

A

D. Vrai

577
Q

29) A propos des voies biliaires :

A. la fissure gauche correspond au sillon ombilical.

A

A. Vrai

578
Q

29) A propos des voies biliaires :

B. La bile est stockée dans la vésicule biliaire qui l’excrète lors de la digestion.

A

B. Vrai

579
Q

29) A propos des voies biliaires :

C. Le canal cholédoque réunit les conduits hépatiques gauche et droit.

A

C. Faux Il réunit le canal hépatique et le canal cystique. C’est le canal hépatique qui réunit les conduits hépatiques gauche et droit.

580
Q

29) A propos des voies biliaires :

D. Le canal cholédoque déverse son contenu dans le 2’™ duodénum.

A

D. Vrai

581
Q

A. propos des voies biliaires :

La vésicule biliaire est indispensable à la vie.

A

A. Faux Elle n’a qu’un rôle de réservoir, on peut donc très bien s’en passer. C’est pour cela que l’on dit que la vésicule biliaire fait partie de la voie biliaire accessoire. Cela est différent de la voie biliaire principale, constituée du canal hépatique et du canal cholédoque.

582
Q

a propos des voies biliaires :

B. La vésicule biliaire est formée du fundus, du corps et du col.

A

B. Vrai

583
Q

a propos des voies biliaires :

C. Le canal cystique fait partie des voies biliaires principales.

A

C. Faux La vésicule biliaire et le canal cystique font partie de la voie biliaire accessoire.

584
Q

a propos des voies biliaires :

D. Le canal cholédoque s’abouche dans le sphincter d’ODDI.

A

D. Vrai

585
Q

31) A propos du pancréas :

A. Le corps du pancréas se situe dans le cadre duodénal.

A

A. Faux Il n’y a que la tête qui se situe dans le cadre duodénal.

586
Q

31) A propos du pancréas :

B. Au niveau du corps du pancréas il y a la marque de l’artère mésentérique supérieure.

A

B. Faux La marque de l’artère mésentérique supérieure se situe au niveau du processus unciné ou crochet.

587
Q

31) A propos du pancréas :

C. Au niveau de la queue du pancréas, il y a la gouttière des vaisseaux spléniques sur sa face ventrale.

A

C. Vrai

588
Q

31) A propos du pancréas :

D. La queue du pancréas est à hauteur de la 10ème côte.

A

D. Faux La queue du pancréas est à hauteur de la 11ème côte.

589
Q

32) A propos du pancréas :

A. C’est une glande mixte, endocrine et exocrine.

A

A. Vrai

590
Q

32) A propos du pancréas :

B. Le corps pancréatique prolonge le col vers la droite.

A

B. Faux Le corps pancréatique prolonge le col vers la gauche.

591
Q

32) A propos du pancréas :

C. Le conduit pancréatique de Wirsung est un canal accessoire.

A

C. Faux Le conduit de Wirsung est le canal principal du pancréas. C’est le canal de Santorini qui est accessoire.

592
Q

32) A propos du pancréas :

D. Le canal de Santorini s’abouche dans la papille duodénale mineure.

A

D. Vrai

593
Q

33) A propos de la vascularisation du pancréas :

A. L’artère mésentérique supérieure donne l’artère pancréatico-duodénale inférieure à son bord droit.

A

A. Vrai

594
Q

33) A propos de la vascularisation du pancréas :

B. Il existe de nombreuses anastomoses antre l’artère mésentérique inférieure et le tronc cœliaque.

A

B. Faux Les anastomoses sont entre l’artère mésentérique supérieure et le tronc cœliaque.

595
Q

33) A propos de la vascularisation du pancréas :

C. L’artère pancréatique inférieure s’anastomose avec l’artère splénique.

A

C. Vrai

596
Q

33) A propos de la vascularisation du pancréas :

D. L’artère grande pancréatique vascularisé le corps du pancréas.

A

D. Vrai

597
Q

34) A propos de la rate :

A. C’est une glande qui appartient au réseau lymphatique.

A

A. Faux La rate n’est pas une glande, mais un organe lymphoïde.

598
Q

34) A propos de la rate :

B. Son bord antérieur est lisse.

A

B. Faux C’est le bord postérieur qui va être lisse. Le bord antérieur va être crénelé.

599
Q

34) A propos de la rate :

C. Sa face gastrique est convexe.

A

C. Faux C’est la face diaphragmatique qui est convexe en regard du diaphragme. Les faces gastrique et rénale sont quant à elles concaves en regard de l’estomac et des reins.

600
Q

34) A propos de la rate :

D. Elle repose sur l’angle droit des colons.

A

D. Faux Elle va reposer sur l’angle gauche des colons.

601
Q

35) A propos de la rate :

A. Elle est vascularisée par des branches de l’artère splénique.

A

A. Vrai

602
Q

35) A propos de la rate :

B. Les artères polaires supérieure et inférieure vascularisent des segments indépendant de parenchyme splénique.

A

B. Vrai La rate est segmentée. Cela rend possible des splénectomies, c’est-à-dire enlever un morceau de rate sans gêner son fonctionnement.

603
Q

35) A propos de la rate :

C. Elle est toujours en avant de la ligne axillaire moyenne.

A

C. Faux Elle va se situer toujours en arrière de la ligne axillaire moyenne.

604
Q

35) A propos de la rate :

D. Elle est centrée sur l’orientation de la 10ème côte.

A

D. Vrai

605
Q

1) A propos de l’humérus :

A. Il s’agit d’un os plat.

A

A. Faux il s’agit d’un os long. En effet, une seule dimension domine (la longueur).

606
Q

1) A propos de l’humérus :

B. Il va constituer le squelette de l’avant-bras.

A

B. Faux Il va constituer le squelette du bras (entre l’épaule et le coude). L’avant- bras est le segment compris entre le coude et le poignet.

607
Q

1) A propos de l’humérus :

C. Ses épiphyses sont constituées d’apophyses.

A

C. Vrai On les appelle également « processus ».

608
Q

1) A propos de l’humérus :

D. Les apophyses peuvent être ou non articulaires.

A

D. Vrai Lorsqu’elles sont articulaires, elles sont recouvertes de cartilage, lorsqu’elles sont non articulaires, elles sont uniquement osseuses.

609
Q

2) A propos de l’humérus :

A. La tête de l’humérus est une surface lisse d’un volume de 2/3 de sphère.

A

A. Faux La tête de l’humérus est une surface lisse et régulière d’un volume d’1/3 de sphère. C’est l’épiphyse proximale du fémur qui est constituée d’un volume de 2/3 de sphère.

610
Q

2) A propos de l’humérus :

B. La tête de l’humérus est entièrement recouverte de cartilage.

A

B. Vrai

611
Q

2) A propos de l’humérus :

C. L’épiphyse distale comprend deux tubercules.

A

C. Faux C’est l’épiphyse proximale qui comprend les deux tubercules majeur et mineur. L’épiphyse distale comprend la trochlée humérale et le capitulum ainsi que les fossettes radiale et coronoïde.

612
Q

2) A propos de l’humérus :

D. Les tubercules majeur et mineur sont visibles sur une vue ventrale du bras.

A

D. Vrai

613
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

A. L’empreinte visible la plus crâniale est la gouttière de torsion.

A

A. Faux La gouttière de torsion est l’empreinte diaphysaire la plus caudale. Elle est due au passage du nerf radial sur la diaphyse.
Les deux autres empreintes diaphysaires sont situées sur pratiquement le même plan transversal : l’empreinte du deltoïde et le trou nourricier.

614
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

B. Le trou nourricier est présent sur la face médiale.

A

B. Vrai Il est dû au passage d’une artère.

615
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

C. La diaphyse est également appelée « corps ».

A

c. Vrai

616
Q

3) A propos de la diaphyse humérale :

D. La terminaison du deltoïde crée une empreinte sur la face latérale de la diaphyse.

A

D. Vrai

617
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

A. Le col chirurgical est plus souvent le siège de fractures que le col anatomique.

A

A. Vrai

618
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

B. Le col chirurgical se situe entre la tête de l’humérus et l’origine des tubercules.

A

B. Faux Le col anatomique se situe entre la tête de l’humérus et l’origine des tubercules.

619
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

C. Le col anatomique se situe entre l’épiphyse et la diaphyse.

A

C. Faux Le col chirurgical se situe entre l’épiphyse et la diaphyse.

620
Q

4) A propos des cols de l’humérus :

D. Le sillon intertuberculaire laisse passer le tendon du long biceps.

A

D. Vrai

621
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

A. La fossette coronoïde est au-dessus du capitulum.

A

A. Faux La fossette cORonoïde est au-dessus de la tROchlée humérale, alors que la fossette rAdiALe est au-dessus du CApituLum (Condyle)

622
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

B. La fossette radiale est au-dessus du capitatum.

A

B. Faux Attention au petit piège, il ne s’agit pas du capitatum mais du capitulum… Le capitatum est un os du poignet (il se termine par « atum » comme l’hamatum ou le lunatum par exemple).

623
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

C. L’articulation latérale est une articulation de type trochléarthrose.

A

C. Faux L’articulation latérale, celle qui permet l’articulation humérus-radius, est un condyle. En revanche l’articulation médiale, celle qui permet l’articulation humérus-ulna, est une trochlée.

624
Q

5) A propos de l’épiphyse distale de l’humérus :

D. L’épiphyse distale est aplatie dans le sens gauche-droit.

A

D. Vrai Elle est aplatie transversalement.

625
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

A. L’épiphyse proximale possède une corticale mince et de l’os compact.

A

A. Faux L’épiphyse proximale possède une corticale mince et de l’os spongieux.

626
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

B. L’épiphyse proximale est adaptée aux forces en torsion.

A

B. Faux L’épiphyse proximale est adaptée aux forces en compression. En effet, c’est à cet endroit que les forces en provenance de l’omoplate par exemple vont se transmettre.
La diaphyse est adaptée aux forces en torsion.

627
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

C. La diaphyse possède une corticale épaisse avec un canal médullaire de moelle jaune.

A

c. Vrai L’épiphyse est constituée de moelle rouge chez l’adulte et chez l’enfant, alors que la diaphyse est constituée de moelle rouge chez l’enfant, qui se transforme en moelle jaune chez l’adulte.

628
Q

6) A propos de la structure interne de l’humérus :

D. L’orientation des travées osseuses est différente entre épiphyse proximale et distale.

A

D. Vrai Cela est dû au fait que l’orientation de travées osseuses est fonction des forces mécaniques qui s’appliquent sur les pièces squelettiques, et celles-ci sont différentes entre épiphyse proximale et épiphyse distale.

629
Q

7) A propos de la clavicule :

A. Cet os est concave ventralement au tiers médial.

A

A. Vrai Il est concave dorsalement au tiers latéral. Il est possible de palper sa clavicule pour retrouver cette information.

630
Q

7) A propos de la clavicule :

B. Le deltoïde ne s’insère que sur sa face supérieure.

A

B. Vrai Il s’y insère au tiers latéral.

631
Q

7) A propos de la clavicule :

C. Le grand pectoral s’insère médialement sur ses faces supérieure et inférieure.

A

C. Vrai

632
Q

7) A propos de la clavicule :

D. Son épiphyse proximale s’articule avec la clavicule.

A

D. Vrai Grâce à une articulation en selle.

633
Q

8) A propos de la clavicule :

A. Elle a pour rôle de permettre un mouvement du bras dans le plan transversal.

A

A. Vrai Elle a pour rôle de latéraliser le membre supérieur, c’est-à-dire de permettre une abduction-adduction, dans un plan transversal.

634
Q

8) A propos de la clavicule :

B. Son extrémité latérale s’appelle l’acromion.

A

B. Faux Son extrémité latérale s’articule avec l’acromion par une arthrodie, mais ne s’appelle pas l’acromion.

635
Q

8) A propos de la clavicule :

C. Le trapèze s’insère ventralement sur la clavicule.

A

C. Faux Le trapèze est un muscle dorsal, il s’insère dorsalement sur la clavicule.

636
Q

8) A propos de la clavicule :

D. La clavicule du cheval est plus longue que celle de l’homme.

A

D. Faux Le cheval ne peut pas réaliser d’abduction-adduction de son membre supérieur, sa clavicule est plus courte que celle de l’homme.

637
Q

9) A propos de la scapula :

A. Le bord latéral peut être divisé en 2 côtés.

A

A. Faux C’est le bord spinal qui peut être divisé en un petit côté supérieur et un grand côté inférieur. Le bord latéral est celui qui comprend le pilier et il n’est pas divisé en 2.

638
Q

9) A propos de la scapula :

B. L’épine de la scapula est ventrale par rapport aux côtes.

A

B. Faux L’épine de la scapula est la protubérance osseuse que l’on peut voir sur une personne de dos. Elle est très dorsale et plus dorsale par rapport aux côtes.

639
Q

9) A propos de la scapula :

C. Le processus coracoïde est un processus articulaire qui permet l’articulation avec la clavicule.

A

C. Faux Attention, le processus coracoïde est un processus non articulaire, il n’y a pas de cartilage.

640
Q

9) A propos de la scapula :

D. Le pilier est un renforcement osseux qui est dans le prolongement de la cavité glénoïdale.

A

D. Vrai Le pilier appartient au bord latéral et permet de renforcer l’articulation
scapulo-huméraie.

641
Q

10) A propos de la scapula :

A. L’épine de la scapula se poursuit par une excroissance osseuse nommée acromion.

A

A. Vrai

642
Q

10) A propos de la scapula :

B. L’angle supérieur est dans la continuité d’un grand côté supérieur.

A

B. Faux L’angle supérieur se poursuit au niveau du bord spinal par un petit côté supérieur, alors que l’angle inférieur est dans la continuité du grand côté inférieur au niveau du bord spinal.

643
Q

10) A propos de la scapula :

C. L’angle inférieur est dans la continuité d’un petit côté inférieur.

A

C. Faux

644
Q

10) A propos de la scapula :

D. Sur une vue de face, ie processus coracoïde est orienté vers l’observateur.
d’une vue ventrale. Or le processus coracoïde est orienté ventralement, donc sur une vue de face, le coracoïde se dirige bien vers l’observateur.

A

D. Vrai Une vue de face est synonyme d’une vue ventrale. Or le processus coracoïde est orienté ventralement, donc sur une vue de face, le coracoïde se dirige bien vers l’observateur.

645
Q

11) A propos de la scapula :

A. Cet os plat est concave dorsalement.

A

A. Faux C’est effectivement un os plat, mais il est concave ventralement.

646
Q

11) A propos de la scapula :

B. Il a pour rôle de stabiliser l’ensemble clavicule et sternum.

A

B. Faux Il a pour rôle de stabiliser la ceinture scapulaire, c’est-à-dire l’ensemble clavicule et scapula.

647
Q

11) A propos de la scapula :

C. La tête humérale est orientée dorsalement, médialement, et crânialement.

A

c. Vrai Vous pouvez essayer de vous orienter dans l’espace, et voir comment est orientée votre tête humérale, tout en sachant que la scapula est dorsale par rapport à l’humérus et que ces deux os s’articulent ensemble.

648
Q

11) A propos de la scapula :

D. La scapula est un os intermédiaire entre l’humérus et la colonne vertébrale.

A

D. Vrai

649
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

A. Il est constitué du radius latéralement et de l’ulna médialement.

A

A. Vrai Attention, cela n’est vrai qu’en position anatomique de référence, c’est-à- dire en supination, car lorsque le membre supérieur se met en pronation, le radius tourne autour de l’ulna.

650
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

B. L’incisure radiale est située sur le radius.

A

B. Faux L’incisure radiale est située sur l’ulna, l’incisure ulnaire est située sur le radius. Ces incisures permettent l’articulation avec la tête radiale et la tête ulnaire respectivement.

651
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

C. La tête radiale est distale.

A

C. Faux La tête radiale est proximale, c’est la tête ulnaire qui est distale. Il faut bien se souvenir que ces deux os sont inversés spatialement.

652
Q

13) A propos du squelette de l’avant-bras :

D. La glène anti-brachiale est située sur le radius au niveau distal.

A

D. Vrai

653
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

A. Le processus styloïde ulnaire est plus imposant que le processus styloïde radial.

A

A. Faux Le processus styloïde radial est plus imposant que son équivalent ulnaire.
En effet, lorsque notre membre supérieur est en supination, au niveau distal, il est bien plus facile de palper le processus styloïde radial que le processus styloïde ulnaire.

654
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

B. Le processus coronoïde se trouve juste au-dessus de l’incisure trochléaire.

A

B. Faux Le processus coronoïde est juste au-dessous de l’incisure trochléaire.

655
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

C. La courbure supinatrice du radius est plus marquée que la courbure ulnaire.

A

C. Faux II ne s’agit pas de la courbure supinatrice mais de la courbure pronatrice du
radius, et cette courbure permet d’éloigner la tubérosité bicipitale de l’ulna. Elle est cependant plus marquée que la courbure ulnaire.

656
Q

14) A propos du squelette de l’avant-bras :

D. La tubérosité ulnaire est le lieu d’insertion du muscle biceps.

A

D. Faux C’est la tubérosité radiale qui est également appelée tubérosité bicipitale.
C’est donc sur la tubérosité radiale que s’insère le muscle biceps.

657
Q

15) A propos du carpe :
A. Il est constitué de 2 colonnes et S rangées.
B. C’est un ensemble constitué de 8 pièces osseuses.
C. Le capitatum comporte une protubérance osseuse.
D. Il s’articule avec les métatarsiens.
E. Les items A, B, C et D sont faux.
A. Faux Il est constitué de 3 colonnes et 2 rangées. Cet item est un item récurrent.

A

15) A propos du carpe :
A. Il est constitué de 2 colonnes et S rangées.
B. C’est un ensemble constitué de 8 pièces osseuses.
C. Le capitatum comporte une protubérance osseuse.
D. Il s’articule avec les métatarsiens.
E. Les items A, B, C et D sont faux.
A. Faux Il est constitué de 3 colonnes et 2 rangées. Cet item est un item récurrent.

658
Q

15) A propos du carpe :

B. C’est un ensemble constitué de 8 pièces osseuses.

A

B. Vrai Il est composé du scaphoïde, lunatum, triquetrum, pisiforme (et non pas piriforme), trapèze, trapézoïde, capitatum, et hamatum.

659
Q

15) A propos du carpe :

C. Le capitatum comporte une protubérance osseuse.

A

C. Vrai C’est l’os qui est situé au centre de la 2ème rangée.

660
Q

15) A propos du carpe :

D. Il s’articule avec les métatarsiens.

A

D. Faux Attention, le carpe s’articule avec les métacarpiens via des arthrodies. Les métatarsiens sont les os des doigts du pied, (petit moyen mnémotechnique : P de métacarpiens comme Poignet)

661
Q

16) A propos des os du carpe :

A. Le trapèze est plus latéral que le trapézoïde.

A

vrai

Il faut savoir que le pouce est latéral dans la position anatomique de référence.

662
Q

16) A propos des os du carpe :

B. Le scaphoïde appartient à la colonne du pouce.

A

vrai

663
Q

16) A propos des os du carpe :

C. Le pisiforme est plus médial que le lunatum.

A

vrai

664
Q

16) A propos des os du carpe :

D. Le lunatum et le capitatum appartiennent à la même colonne.

A

vrai

665
Q

17) A propos du squelette de la main :

A. La gouttière formant le canal carpien est ventrale.

A

A. Vrai Elle est rehaussée latéralement par le scaphoïde et le trapèze ; et médialement par le pisiforme et l’hamatum.

666
Q

17) A propos du squelette de la main :

B. Tous les métacarpiens s’articulent avec la phalange proximale via des condyles.

A

B. Vrai

667
Q

17) A propos du squelette de la main :

C. Toutes les articulations inter-phalangiennes sont de type trochléearthroses.

A

17

c. Vrai

668
Q

17) A propos du squelette de la main :

D. Toutes les articulations métacarpo-phalangiennes sont de type arthrodies.

A

D. Faux Attention à ne pas oublier que pour le pouce, c’est une articulation en selle, ce qui fait que le pouce est plus mobile par rapport aux métacarpes que les autres doigts.

669
Q

18) A propos du squelette de la main :

A. Il permet une préhension uniquement fine.

A

A. Faux Il permet à la fois une préhension fine et une préhension forte.

670
Q

18) A propos du squelette de la main :

B. Les métacarpiens forment le squelette de la paume de la main.

A

B. Vrai Ces métacarpiens sont en particulier immobiles, surtout avec le carpe (avec les arthrodies).

671
Q

18) A propos du squelette de la main :

C. Le pouce est formé de 2 phalanges uniquement.

A

C. Vrai A la différence des autres doigts qui en possèdent 3, le pouce ne possède que 2 phalanges.

672
Q

18) A propos du squelette de la main :

D. Le pouce est en situation de % ventrale par rapport aux autres doigts.

A

D. Vrai

673
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

A. Il est composé de 3 articulations vraies.

A

A. Vrai Il est composé de 3 articulations vraies (articulation scapulo-humérale, sterno-costo-claviculaire, et articulation acromio-claviculaire), et de 2 espaces de glissement (la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne et l’articulation scapulo-thoracique).

674
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

B. L’articulation scapulo-thoracique est une articulation vraie.

A

B. Faux C’est un espace de glissement.

675
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

C. L’angle entre la tête de l’humérus et la diaphyse de l’humérus est de 120°.

A

C. Faux Cet angle est de 135° environ, et cela est similaire pour le fémur au niveau du membre inférieur.

676
Q

19) A propos du complexe articulaire de l’épaule :

D. La 2ème articulation scapulo-humérale est une syssarcose.

A

D. Faux La 2ème articulation scapulo-humérale comprend une bourse séreuse sous- acromio deltoïdienne. C’est l’articulation scapulo-thoracique qui est une syssarcose.

677
Q

20) A propos des types d’articulation :

A. L’articulation scapulo-humérale est une trocoïde.

A

A. Faux L’articulation scapulo-humérale est une énarthrose. Il vous est conseillé de faire une fiche avec toutes les articulations vues dans le cours et leur type.

678
Q

20) A propos des types d’articulation :

B. L’articulation sterno-costo-claviculaire est une condylarthrose.

A

B. Faux L’articulation sterno-costo-claviculaire est une articulation en selle très mobile.

679
Q

20) A propos des types d’articulation :

C. L’articulation acromio-claviculaire est une trochléarthrose.

A

C. Faux L’articulation acromio-claviculaire est une arthrodie, elle est presque immobile.

680
Q

20) A propos des types d’articulation :

D. L’articulation scapulo-thoracique est une arthrodie.

A

D. Faux L’articulation scapulo-thoracique n’est pas une articulation vraie, c’est un espace de glissement.

681
Q

21) A propos des fibrocartilages :

A. L’articulation sterno-costo-claviculaire peut être stabilisée par un ménisque.

A

A. Vrai Elle peut aussi être stabilisée par un disque, cela dépend des individus.

682
Q

21) A propos des fibrocartilages :

B. L’articulation sterno-costo-claviculaire peut être stabilisée par un disque.

A

B. Vrai

683
Q

21) A propos des fibrocartilages :

C. L’articulation scapulo-humérale est stabilisée par un bourrelet.

A

C. Vrai Il s’agit du bourrelet giénoïdal.

684
Q

21) A propos des fibrocartilages :

D. L’articulation acromio-claviculaire est stabilisée par un disque.

A

D. Faux L’articulation acromio-claviculaire est stabilisée par un ménisque. L’articulation sterno-costo-claviculaire est la seule articulation vue dans le cours pouvant être stabilisée par un disque.

685
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

A. La cavité glénoïdale est concave latéralement.

A

A. Faux Attention, la cavité glénoïdale n’est pas concave, elle est plane. De cela résulte un défaut de congruence entre la tête de l’humérus et la cavité glénoïdale, compensé par le bourrelet giénoïdal.

686
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

B. La tête de l’humérus est 3 fois plus volumineuse que la cavité glénoïdale.

A

B. Vrai

687
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

C. La cavité synoviale s’insère en partie sur le cartilage giénoïdal au niveau proximal.

A

C. Vrai Il y a en fait deux cavités synoviales dans cette articulation.
La lère cavité synoviale s’insère au-dessus du tendon du long biceps.
L’autre cavité synoviale s’insère en périphérie du cartilage giénoïdal et sur le cartilage giénoïdal.

688
Q

22) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

D. L’insertion distale de la cavité synoviale se situe au niveau du col chirurgical de l’humérus.

A

D. Faux L’insertion distale des 2 cavités synoviales se situe au niveau du col anatomique de l’humérus, dans le sillon intertuberculaire.

689
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

A. Il est protégé par un double feuillet de tissu synovial et par un ligament.

A

A. Vrai Il est également protégé par le ligament huméral transverse.

690
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

B. Il s’insère au bord caudal de la cavité glénoïdale.

A

B. Faux Il s’insère au bord crânial de la cavité glénoïdale.

691
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

C. Son trajet est d’abord transversal puis vertical.

A

C. Vrai

692
Q

23) A propos du tendon du muscle long biceps :

D. Il est extra capsulaire et intra synovial.

A

D. Faux Il est intra capsulaire (dans la capsule) mais extra synovial. En effet, on voit sur le schéma qu’il n’est pas directement au contact du liquide synovial, puisque ce tendon se situe entre les deux cavités synoviales. Il est cependant tout de même à l’intérieur de la capsule articulaire

693
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

A. Le ligament coraco-huméral se termine par le ligament huméral transverse.

A

A. Vrai C’est ce ligament huméral transverse qui va fermer ventralement le sillon intertuberculaire, et qui protège le tendon du long biceps.

694
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

B. Le ligament coraco-huméral appartient à la capsule.

A

B. Faux Le ligament coraco-huméral est indépendant de la capsule, c’est un ligament à distance.

695
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :

C. La capsule articulaire est renforcée par des ligaments uniquement au niveau ventral.

A

C. Vrai Ce sont les ligaments gléno-huméraux de Farabeuf. Ils sont au nombre de 3 et forment un « Z » à la face ventrale de la capsule. Ils se terminent uniquement sur le tubercule mineur (ils passent de la scapula qui est médiale à l’humérus qui est latéral ; or le tubercule mineur est médial).

696
Q

24) A propos de l’articulation scapulo-humérale :
.
D. La capsule articulaire est donc plus solide ventralement.

A

Faux Malgré ce renforcement ventral, c’est à ce niveau que la capsule articulaire est la plus fragile. C’est donc à ce niveau que la capsule va se déchirer lors des luxations antéro-internes de l’articulation scapulo-humérale.

697
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

A. Chez l’Homme, il s’agit en fait d’un muscle qui s’est atrophié.

A

A. Vrai Il peut exister chez certains vertébrés mais il est atrophié chez l’Homme.

698
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

B. Il a pour rôle la suspension du membre supérieur.

A

B. Vrai En effet, il est situé à la partie supérieure du membre supérieur.

699
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

C. Il s’insère au niveau proximal sur les deux parties du processus coracoïde.

A

C. Vrai Il s’insère à la fois sur la partie verticale du processus coracoïde et sur sa partie horizontale.

700
Q

25) A propos du ligament coraco-huméral :

D. Il s’insère distalement sur les tubercules majeurs et mineurs.

A

D. Vrai

701
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

A. La première côte est longue.

A

A. Faux La première côte est très courte.

702
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

B. Le cartilage présent sur les incisures claviculaires du sternum déborde sur le premier cartilage costal.

A

B. Vrai Il déborde de quelques millimètres sur le premier cartilage costal.

703
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

C. La cavité articulaire est séparée en deux compartiments.

A

C. Vrai On peut noter un compartiment latéral et un compartiment médial.

704
Q

26) A propos de l’articulation cléïdo-thoracique :

D. Le compartiment latéral a un rôle d’amortisseur.

A

D. Faux Le compartiment médial et inférieur (celui qui touche le sternum) a un rôle d’amortisseur alors que le compartiment latéral et supérieur (celui qui touche la clavicule) est le siège des mouvements.

705
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

A. Le ligament interclaviculaire s’insère uniquement sur les clavicules.

A

A. Faux Le ligament interclaviculaire entrecroise ses fibres au niveau du sternum, donc il possède également une insertion sur le sternum.

706
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

B. Le ligament interclaviculaire est fragile.

A

B. Faux Le ligament interclaviculaire est un ligament solide, du fait de l’entrecroisement de ses fibres énoncé ci-dessus.

707
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

C. Le muscle subclavier est un ligament à distance.

A

c. Faux Le muscle subclavier n’est pas un ligament puisque c’est un muscle. C’est le ligament costo-claviculaire qui est un ligament à distance, au même titre que le ligament coraco-huméral et les ligaments coraco-claviculaires.

708
Q

27) A propos de l’articulation sterno-costo-claviculaire :

D. Le ligament costo-claviculaire s’insère sur la jonction entre Kl et le premier cartilage costal.

A

D. Vrai C’est un ligament à nouveau très solide.

709
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

A. Le ligament costo-claviculaire fait partie de cette articulation.

A

A. Faux Le ligament costo-claviculaire fait partie de l’articulation cléïdo-thoracique. Ce sont les ligaments coraco-claviculaires qui appartiennent à cette articulation.

710
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

B. Les ligaments coraco-claviculaires sont au nombre de 2.

A

B. Faux Les ligaments coraco-claviculaires sont au nombre de 3, au même titre que les ligaments gléno huméraux de Farabeuf. Ce sont des ligaments à distance.

711
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

C. Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent au niveau de l’angle supérieur du processus coracoïde.

A

c. Vrai Ils s’insèrent d’autre part sur la partie inférieure de la clavicule.

712
Q

28) A propos de l’articulation cléïdo-scapulaire :

D. Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent de la partie médiale à la moitié de la partie inférieure de la clavicule.

A

D. Vrai Les ligaments coraco-claviculaires s’insèrent de la partie latérale à la moitié de la partie inférieure de la clavicule. Cela paraît logique puisque la clavicule est plus médiale que la scapula.

713
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :
A. La voûte acromio claviculaire surplombe la tête humérale.

A

A. Vrai Elle a de ce fait un rôle de protection de la tête humérale.

714
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

B. La bourse séreuse est au-dessus du muscle supra épineux.

A

B. Vrai

715
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

C. Le muscle deltoïde est plus médial que la bourse séreuse sous acromio- deltoïdienne.

A

c. Faux Le muscle deltoïde est plus latéral que la bourse séreuse.

716
Q

29) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

D. Le ligament acromio-coracoïdien est au-dessous de la bourse séreuse.

A

D. Faux Le ligament acromio-coracoïdien est au-dessus de la bourse séreuse.

717
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :
A. Le muscle supra épineux s’insère sur la limite supérieure du tubercule mineur.

A

A. Faux Le muscle supra épineux s’insère sur la limite supérieure du tubercule majeur.

718
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

B. Le muscle supra épineux initie le mouvement d’adduction scapulo-humérale.

A

B. Faux Ce muscle initie le mouvement d’abduction scapulo-humérale, c’est-à-dire lorsque le bras s’éloigne du tronc.

719
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :

C. La bourse séreuse sous acromio deltoïdienne est constituée de 2 feuillets.

A

C. Vrai On peut voir un feuillet superficiel et un feuillet plus profond, et ces deux feuillets glissent l’un sur l’autre.

720
Q

30) A propos de la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne :
.
D. La bourse séreuse sous acromio deltoïdienne peut se reconstituer de façon efficace.

A

D. Vrai Même si elle est fragile, elle peut se reconstituer de façon efficace.

721
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :
A. L’abduction envoie le membre supérieur ventralement.

A

A. Faux L’abduction éloigne le membre supérieur du tronc (1 seul D dans abDuction et 1 seul D dans en Dehors), alors que l’adduction rapproche le membre supérieur du tronc (2 D dans aDDuction, et 2 D dans en DeDans).
L’antépulsion envoie le membre supérieur ventralement, et la rétropulsion envoie le membre supérieur dorsalement.

722
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

B. La rotation postérieure est synonyme du mouvement de supination.

A

B. Faux On ne parle que de rotation interne (synonyme de pronation) et de rotation externe (synonyme de supination) pour l’articulation scapulo-humérale ; les termes de rotation antérieure/postérieure sont utilisés dans l’articulation cléïdo thoracique.

723
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

C. La rétropulsion éloigne le coude du tronc.

A

c. Faux

724
Q

32) A propos des mouvements de l’articulation scapulo-humérale :

D. L’antépulsion est synonyme d’extension du membre supérieur.

A

D. Faux L’antépulsion est synonyme de flexion du membre supérieur alors que la rétropulsion est synonyme d’extension du membre supérieur.

725
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

A. Ces mouvements sont aidés par la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne.

A

A. Vrai Les mouvements de l’épaule sont réalisés par l’articulation scapulo- humérale et assistés par la bourse séreuse sous acromio deltoïdienne (ou deuxième articulation scapulo-humérale).

726
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

B. Ils permettent une circumduction scapulo-humérale.

A

B. Vrai

727
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

C. La rotation interne/externe résulte d’un mouvement de l’avant-bras.

A

c. Faux La rotation interne/externe ne concerne que l’humérus, et donc pas l’avant-bras mais le bras.

728
Q

33) A propos des mouvements de l’épaule :

D. Une circumduction est l’association de plusieurs mouvements qui sont stabilisés dans les positions de l’espace.

A

D. Vrai

729
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :
A. Ces mouvements ont lieu dans l’articulation déi’do-thoracique.

A

A. Vrai

730
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

B. Ils sont aidés par une articulation et un espace de glissement.

A

B. Vrai Ils sont aidés par l’articulation scapulo-thoracique (qui est un espace de glissement) et l’articulation cléïdo scapulaire.

731
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

C. La rotation en avant/arrière déplace la clavicule selon un axe perpendiculaire à son grand axe.

A

C. Faux La rotation en avant/arrière déplace la clavicule selon son axe, ou alors déplace l’omoplate autour de son axe sagittal.

732
Q

35) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

D. Vrai

A

D. Vrai

733
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

A. C’est un espace graisseux.

A

A. Vrai

734
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

B. Elle est située entre deux plans du muscle rhomboïde.

A

B. Faux C’est un espace graisseux entre deux plans du muscle serratus, elle est située de part et d’autre du muscle serratus.

735
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

C. Elle permet de limiter l’usure du squelette et du tissu musculaire.

A

c. Vrai

736
Q

36) A propos de l’articulation scapulo-thoracique :

D. Les mouvements de la ceinture scapulaire/thorax sont réalisés par cette articulation.

A

D. Faux Attention, l’articulation scapulo-thoracique aide aux mouvements de la ceinture scapulaire/thorax, mais les mouvements ne sont pas réalisés au sein de l’articulation scapulo-thoracique.

737
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :
A. Les mouvements de rotation en avant/arrière permettent un mouvement de sonnette de la scapula.

A

A. Vrai Les mouvements de sonnette de la scapula sont le fait de passer sa main derrière ses cheveux (rotation en avant) et de remettre son coude en
arrière (rotation en arrière). Ce mouvement s’effectue quand on se brosse les cheveux d’arrière en avant et inversement.

738
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

B. La rotation postérieure est rendue possible par les muscles rhomboïdes et serratus.

A

B. Faux La rotation postérieure est rendue possible par les muscles rhomboïde et petit pectoral, alors que la rotation antérieure est rendue possible par les muscles serratus et trapèze.

739
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

C. La rotation antérieure est rendue possible par les muscles petits pectoraux et trapèzes.

A

C. Faux

740
Q

37) A propos des mouvements de la ceinture scapulaire/thorax :

D. Ils permettent une circumduction de l’ensemble fonctionnel de l’épaule.

A

D. Vrai On peut donc stabiliser l’épaule et donc le membre supérieur dans toutes les positions. Il faut également se souvenir qu’il y a quelques degrés d’amplitude de mouvement sur l’arthrodie.

741
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

A. Elle est réalisée par le plexus brachial.

A

A. Vrai

742
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

B. Les scalènes moyens et antérieurs s’insèrent sur le tubercule antérieur des processus transverses.

A

B. Faux Le scalène antérieur s’insère sur le tubercule antérieur des processus transverses. Le scalène postérieur et le scalène moyen s’insèrent sur le tubercule postérieur des processus transverses.

743
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

C. La racine motrice de la moelle est de petit diamètre.

A

C. Vrai

744
Q

38) A propos de l’innervation du membre supérieur :

D. Il y a plus d’afférences sensitives que d’efférences motrices.

A

D. Vrai La racine dorsale de la moelle (sensitive) est de plus gros diamètre que la
racine ventrale de la moelle (motrice). Il y a donc plus d’afférences sensitives que d’efférences motrices.

745
Q

39) A propos du plexus brachial :

A. Il est constitué de 4 racines cervicales et 3 thoraciques.

A

A. Faux Le plexus brachial est constitué de 4 racines cervicales (de C5 à C8, +/- C4) et d’une seule thoracique (Tl, +/- T2)

746
Q

39) A propos du plexus brachial :

B. Il est constitué par les branches postérieures des nerfs mixtes.

A

B. Faux Il est constitué par les branches antérieures des nerfs mixtes.

747
Q

39) A propos du plexus brachial :

C. La branche antérieure du nerf mixte est destinée à innerver les muscles para-vertébraux.

A

C. Faux C’est la branche postérieure qui a ce rôle.

748
Q

39) A propos du plexus brachial :

D. Ce plexus brachial est indéformable.

A

D. Faux Le plexus brachial est déformable et dynamique. Bien sûr, il est déformable seulement jusqu’à un certain niveau, car au-delà d’une limite, on peut assister à une rupture du plexus brachial.

749
Q

40) A propos du plexus brachial :

A. Le plexus brachial est constitué de trois triangles.

A

A. Faux Le plexus brachial est constitué de deux triangles seulement, le triangle axillaire et le triangle cervical. Ces deux triangles sont opposés par le sommet.

750
Q

40) A propos du plexus brachial :

B. Le triangle cervical a pour base la colonne vertébrale.

A

B. Vrai C’est donc une base verticale. Son sommet est le même que le triangle axillaire (puisqu’ils sont opposés par le sommet), et correspond au défilé costo-claviculaire.

751
Q

40) A propos du plexus brachial :

C. Le triangle axillaire a pour sommet le défilé costo claviculaire.

A

C. Vrai

752
Q

40) A propos du plexus brachial :

D. L’artère axillaire traverse le défilé costo claviculaire avec le plexus brachial.

A

D. Vrai Ce défilé costo claviculaire est un point de faiblesse du plexus brachial.

753
Q

41) A propos du plexus brachial :

A. Les troncs se réunissent en racines, elles-mêmes donnant naissance aux faisceaux.

A

A. Faux Les 5 racines (ce qui part de la moelle, référez-vous au cours d’anat 1), se réunissent en 3 troncs qui finissent par donner 3 faisceaux.

754
Q

41) A propos du plexus brachial :

B. Le faisceau latéral permet l’innervation du muscle brachial.

A

B. Vrai Le faisceau latéral va donner le nerf musculo-cutané. C’est ce nerf qui permettra l’innervation du muscle brachial.

755
Q

41) A propos du plexus brachial :

C. La racine C5 permet d’innerver le muscle diaphragme.

A

c. Faux Le diaphragme est exclusivement innervé par le nerf phrénique. La racine de ce nerf prend naissance en C4.

756
Q

41) A propos du plexus brachial :

D. Le tronc moyen va rejoindre le tronc inférieur.

A

D. Faux Le tronc moyen va rejoindre le tronc supérieur.

757
Q

42) A propos du plexus brachial :

A. Les 3 troncs vont donner chacun un faisceau postérieur.

A

A. Vrai

758
Q

42) A propos du plexus brachial :

B. Le faisceau latéral naît des troncs supérieur et moyen.

A

B. Vrai

759
Q

42) A propos du plexus brachial :

C. Le faisceau médial naît des troncs supérieur et moyen.

A

C. Faux Il s’agit du faisceau latéral. Le faisceau médial naît du tronc inférieur.

760
Q

42) A propos du plexus brachial :

D. Le faisceau postérieur donnera le nerf radial et le nerf ulnaire.

A

D. Faux Le faisceau postérieur donnera le nerf radial et le nerf axillaire.

761
Q

43) A propos du plexus brachial :

A. Les nerfs radial et axillaire ont pour rôle l’abduction, la pronation, et l’extension du membre supérieur.

A

A. Faux Les nerfs radial et axillaire (faisceau postérieur) ont pour rôle l’abduction, la supination, et l’extension du membre supérieur.

762
Q

43) A propos du plexus brachial :

B. Sur le plexus brachial, il y a plusieurs branches collatérales.

A

B. Vrai Ces branches collatérales permettent d’innerver les muscles de proximité, et elles sont de plus petit diamètre que les branches terminales.

763
Q

43) A propos du plexus brachial :

C. Le nerf médian est un nerf comportant peu d’axones.

A

C. Faux Le nerf médian est le résultat de la réunion des faisceaux latéral et médial, il possède donc un très grand nombre d’axones et présente un très gros diamètre.

764
Q

43) A propos du plexus brachial :

D. Les nerfs cutanés médiaux du bras et de l’avant-bras sont uniquement sensitifs.

A

D. Vrai De manière générale, un nerf « cutané » est soit uniquement sensitif, soit mixte. Dans ce cas, les nerfs cutanés médiaux du bras et de l’avant-bras sont uniquement sensitifs.

765
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

A. Il se situe autour du tronc de l’artère axillaire.

A

A. Vrai C’est un encorbellement nerveux autour du tronc axillaire.

766
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

B. Le plexus brachial est développé en arrière du muscle rhomboïde.

A

B. Faux Le plexus brachial est développé en arrière du muscle petit pectoral.

767
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

C. Le faisceau médial du plexus brachial croise l’artère subclavière sur sa face médiale.

A

C. Faux Le faisceau médial croise l’artère axillaire, et non pas l’artère subclavière située plus haut, sur son bord et sa face médiale.

768
Q

44) A propos de la position du plexus brachial :

D. Ce faisceau médial passe d’infra-aortique à supra-aortique.

A

D. Faux Puisqu’il sous-croise l’artère axillaire sur sa face médiale, il passe de supra¬aortique à infra-aortique.

769
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

A. Le nerf ulnaire provient des racines de C6 à Tl.

A

A. Faux Le nerf ulnaire provient des racines C8 et Tl.

770
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

B. Le nerf musculo-cutané provient des racines C8 et Tl.

A

B. Faux

771
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

C. Le nerf médian provient des racines C6 à Tl.

A

C. Vrai

772
Q

45) A propos de la systématisation du plexus brachial :

D. Le nerf cutané médial du bras provient de la racine Tl uniquement.

A

D. Vrai

773
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

A. Un vaisseau principal se termine souvent par une bifurcation.

A

A. Vrai On retrouve cela par exemple au niveau de l’aorte, qui se divise en artère iliaque commune droite et gauche.

774
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

B. Les branches collatérales sont nombreuses au niveau des articulations.

A

B. Vrai On retrouve un nombre particulièrement important de collatérales au niveau de l’épaule, du coude, ou du carpe.

775
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

C. Ces collatérales s’anastomosent avec des cercles étagés transversaux.

A

C. Vrai Encore une fois cela est particulièrement visible au niveau des articulations.

776
Q

46) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

D. Il existe des anastomoses entre le tronc principal et les troncs accessoires.

A

D. Vrai

777
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

A. On compte souvent 2 à 3 artères pour une veine.

A

A. Faux On compte souvent 2 à 3 veines pour 1 artère.

778
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

B. Les veines superficielles au niveau du membre supérieur sont les veines saphènes.

A

B. Faux Les veines superficielles au niveau du membre supérieur sont appelées les veines basiliques.
Au niveau du membre inférieur (cf cours d’anat 1), ces veines superficielles sont les veines grande et petite saphène.

779
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

C. Les veines superficielles sont visibles par transparence et permettent les ponctions veineuses.

A

C. Vrai Lors d’une prise de sang par exemple, c’est dans les veines visibles (notamment la veine basilique) que l’aiguille est plantée.

780
Q

47) A propos de l’arbre vasculaire des membres :

D. Les veines communicantes permettent de réunir le réseau profond et le réseau superficiel.

A

D. Vrai

781
Q

49) A propos de la figure ci-dessus :

A. Le numéro 4 correspond à l’artère subscapulaire.

A

A. Vrai

782
Q

49) A propos de la figure ci-dessus :

B. Le numéro 1 est contenu dans le creux axillaire.

A

B. Vrai Le creux axillaire est limité par la clavicule au sommet et par le muscle grand pectoral en bas.

783
Q

49) A propos de la figure ci-dessus :

C. Le numéro 2 naît en dessous du petit pectoral.

A

C. Faux Le petit pectoral est un muscle qui est en 3 faisceaux, et qui possède une insertion sur le processus coracoïde et sur K4, K5, K6.
L’artère acromio-thoracique naît au-dessus du petit pectoral.

784
Q

49) A propos de la figure ci-dessus :

D. Au niveau du bord inférieur du grand pectoral, le numéro 1 devient l’artère radiale.

A

D. Faux L’artère axillaire (1) devient l’artère humérale au niveau du bord inférieur du grand pectoral.

785
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

A. Au niveau du bras, on repère 2 cloisons intermusculaires.

A

A. Vrai Il s’agit de la cloison intermusculaire interne et de la cloison intermusculaire externe.

786
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

B. L’artère axillaire reste dans la loge ventrale.

A

B. Vrai

787
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

C. C’est en amont du coude que l’artère humérale donne l’artère radiale et l’artère ulnaire.

A

C. Faux L’artère humérale donne les artères radiale et ulnaire en aval du coude. L’artère humérale franchit donc l’interligne articulaire, c’est-à-dire l’espace entre 2 surfaces articulaires.

788
Q

50) A propos du paquet vasculo-nerveux :

D. L’anastomose superficielle entre les artères radiale et ulnaire est en « U »

A

D. Faux L’anastomose superficielle entre les artères radiale et ulnaire est en « V », alors que l’anastomose profonde entre ces deux artères est en « U ».

789
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

A. Le nerf radial a son trajet dans la cloison intermusculaire interne.

A

A. Faux Le nerf radial a son trajet dans la cloison intermusculaire externe. Le nerf radial fait référence au radius qui est bien latéral.

790
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

B. Le nerf radiai possède une branche motrice ventrale.

A

B. Faux Le nerf radial possède une branche sensitive dorsale et une branche motrice ventrale.

791
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

C. Le nerf médian va innerver les muscles courts de la main.

A

C. Vrai Le nerf médian a un long trajet dans le bras et dans l’avant-bras, et il franchit le canal carpien pour se terminer dans les muscles courts de la main.

792
Q

51) A propos du paquet vasculo-nerveux :

D. Le nerf ulnaire passe dans la gouttière formée par l’épicondyle médial et l’épicondyle latéral.

A

D. Vrai

793
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

A. La cavité pelvienne fait partie de l’abdomen.

A

A. Vrai C’est une sous segmentation du péritoine.

794
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

B. Elle est fermée à son extrémité caudale par le plancher pelvien.

A

B. Vrai

795
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

C. L’appareil urinaire se situe dans le péritoine.

A

C. Faux Les reins avec les uretères sont dans le retropéritoine, en arrière du péritoine.

796
Q

1) A propos de la cavité abdominale :

D. Les muscles droits de l’abdomen délimitent l’abdomen ventralement.

A

D. Vrai

797
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

A. L’estomac se situe dans l’hypochondre droit.

A

A. Vrai Il se situe dans l’hypochondre gauche.

798
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

B. La région inguinale fait partie de la cavité abdominale.

A

B. Faux Le ligament inguinal délimite la fosse iliaque au-dessus qui fait partie de la cavité abdominale, et la région inguinale en dessous qui n’en fait pas partie.

799
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

C. La rate se situe dans le flanc gauche.

A

C. Faux Elle se situe dans l’hypochondre gauche.

800
Q

2) A propos de la cavité abdominale :

D. La région ombilicale se situe au-dessus de l’hypogastre.

A

D. Vrai

801
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

A. Le jéjunum et l’iléon se trouvent dans la région de l’hypogastre.

A

A. Faux Ils se trouvent dans la région péri ombilicale ou mésocœliaque.

802
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

B. Le diamètre du colon diminue en allant vers le sigmoïde.

A

B. Vrai

803
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

C. Le colon sigmoïde forme une boucle dans la fosse iliaque gauche.

A

C. Vrai

804
Q

3) A propos de la cavité abdominale :

D. Il existe une ligne de démarcation claire entre le jéjunum et l’iléon.

A

D. Faux Il n’existe pas de ligne de démarcation entre le jéjunum et l’iléon.

805
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

A. Un méso est un accolement de deux feuillets de péritoine pariétal,

A

A. Faux Un méso est un accolement de deux feuillets de péritoine viscéral dérivant de la splanchnopleure.

806
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

B. Le méso dorsal contient un riche réseau vasculaire et nerveux.

A

B. Vrai

807
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

C. Le méso ventral existe sur toute la hauteur du tube digestif.

A

c. Faux Les 2/3 caudaux du tube digestif n’ont pas de méso ventral.

808
Q

4) A propos de l’embryologie de la cavité abdominale :

D. Le méso dorsal est situé sur la face ventrale de l’aorte.

A

D. Vrai Le méso dorsal est situé entre la face ventrale de l’aorte et la face dorsale du tube digestif.

809
Q

1) A propos des mésos :

A. Un accolement péritonéal est un accolement entre péritoine pariétal et péritoine viscéral.

A

vrai

810
Q

1) A propos des mésos :

B. Les mésos vont être considérablement modifiés par la croissance du tube digestif.

A

vrai

811
Q

1) A propos des mésos :

C. Les mésos contiennent des lobules graisseux.

A

vrai

812
Q

1) A propos des mésos :

D. Le tube digestif est recouvert de péritoine pariétal.

A

faux il est recouvert de péritoine viscéral

813
Q

2) A propos de l’estomac :

A. C’est un réservoir extensible jusqu’à 5 litres.

A

A. Faux C’est un réservoir extensible jusqu’à 2 litres.

814
Q

2) A propos de l’estomac :

B. Il est totalement immobile.

A

B. Faux II est mobile entre deux points fixes que sont le cardia et le pylore.

815
Q

2) A propos de l’estomac :

C. Le pylore se situe en regard de L2.

A

c. Faux Le pylore se situe en Ll et le cardia en Tll.

816
Q

2) A propos de l’estomac :

D. Pour moitié au moins, il est protégé par le gril costal droit.

A

D. Faux Pour moitié au moins, il est protégé par le gril costal gauche.

817
Q

3) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

A. La grande courbure est composée d’une partie verticale et d’une partie horizontale.

A

A. Faux C’est la petite courbure qui est composée d’une partie verticale et d’une partie horizontale.

818
Q

3) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

B. L’incisure cardiale se situe entre l’antre et le corps de l’estomac.

A

B. Vrai

819
Q

3) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

C. Le fundus peut aussi se nommer corps de l’estomac.

A

C. Faux Ce sont 2 parties distinctes.

820
Q

3) A propos de l’anatomie descriptive de l’estomac :

D. L’antre est la partie la plus déclive de l’estomac.

A

D. Vrai

821
Q

4) A propos de la vascularisation de l’estomac :

A. La totalité de la vascularisation gastrique provient du tronc coeliaque.

A

A. Vrai

822
Q

4) A propos de la vascularisation de l’estomac :

B. Le tronc cœliaque nait en regard de Ll.

A

B. Faux Le tronc cœliaque nait en regard de T12.

823
Q

4) A propos de la vascularisation de l’estomac :

C. Le tronc cœliaque se divise en un trépied artériel de forme constante.

A

C. Vrai

824
Q

4) A propos de la vascularisation de l’estomac :

D. L’artère gastrique gauche s’anastomose avec l’artère gastro-omentale droite.

A

D. Faux L’artère gastrique gauche s’anastomose avec l’artère gastrique droite.

825
Q

5) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. L’artère gastrique gauche a un trajet concave vers le haut.

A

A. Faux L’artère gastrique gauche a un trajet concave vers le bas,

826
Q

5) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère gastrique gauche atteint la petite courbure gastrique.

A

B. Vrai

827
Q

5) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. L’artère gastrique gauche naît directement du tronc cœliaque.

A

C. Vrai

828
Q

5) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. Le grand épiploon est richement vascularisé.

A

D. Vrai

829
Q

1) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

A. L’artère splénique passe sur la face ventrale l’estomac puis rejoint la rate.

A

A. Faux L’artère splénique passe sur la face dorsale l’estomac puis rejoins la rate.

830
Q

1) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

B. L’artère splénique va donner l’artère gastro-omentale gauche.

A

B. Vrai

831
Q

1) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

C. L’artère gastro-omentale gauche va donner l’artère omentale gauche.

A

C. Vrai

832
Q

1) A propos de la vascularisation artérielle de l’estomac :

D. L’artère hépatique devient l’artère hépatique commune une fois qu’elle a donné l’artère gastro-duodénale.

A

D. Faux L’artère hépatique commune devient l’artère hépatique propre une fois qu’elle a donné l’artère gastro-duodénale.

833
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

A. Le territoire gastrique gauche couvre une partie de la petite courbure et du cardia.

A

A. Vrai

834
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :
dans les lymphonoeuds cœliaques.

B. L’ensemble de l’estomac est drainé dans les lymphonoeuds cœliaques.

A

B. Vrai

835
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

C. Le territoire splénique comprend le fundus et quelques centimètres de la petite courbure.

A

C. Faux Il comprend le fundus et quelques centimètres de la grande courbure.

836
Q

12) A propos de la circulation lymphatique :

D. Le conduit thoracique se draine dans la veine sous-clavière gauche.

A

D. Vrai

837
Q

13) A propos du duodénum :

A. L’angle entre D2 et D3 se nomme l’angle inférieur gauche.

A

A. Faux L’angle entre D2 et D3 se nomme l’angle inférieur droit.

838
Q

13) A propos du duodénum :

B. Il présente un cadre ouvert à droite.

A

B. Faux Il présente un cadre ouvert à gauche.

839
Q

13) A propos du duodénum :

C. L’angle duodéno-jéjunal est profond et mobile.

A

C. Faux Il est profond et fixe, fixé par le muscle de Treitz à la colonne vertébrale.

840
Q

13) A propos du duodénum :

D. Le deuxième côté du duodénum est le côté le plus long du duodénum.

A

D. Vrai Avec D3, ils font tous deux 8 cm en moyenne.

841
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

A. Il comprend successivement l’iléon puis le jéjunum.

A

A. Faux Il comprend successivement le jéjunum puis l’iléon.

842
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

B. Il y a une disproportion très forte entre la longueur de l’intestin et la racine de son méso.

A

B. Vrai

843
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

C. Les anses du jéjunum ont une orientation verticale.

A

C. Faux Les anses du jéjunum ont une orientation horizontale.

844
Q

14) A propos de l’intestin grêle :

D. Les anses de l’iléon ont une orientation horizontale.

A

D. Faux Les anses de l’iléon ont une orientation verticale.

845
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

A. Le diverticule de Meckel est présent chez tout le monde.

A

A. Faux Le diverticule de Meckel n’est pas présent chez tout le monde, il est donc inconstant.

846
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

B. La racine du mésentère mesure 30 cm.

A

B. Faux Elle mesure 16 cm, et la longueur de l’Intestin est de 6 mètres.

847
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

C. Une anse grêle comprend un bord libre et un bord mésentérique.

A

C. Vrai

848
Q

15) A propos de l’intestin grêle :

D. La racine du mésentère représente l’insertion primitive du méso contre la paroi postérieure.

A

D. Vrai

849
Q

11) A propos du jéjunum et de l’iléon :

A. Le plan musculaire est composé entre autre d’une couche circulaire superficielle.

A

A. Faux Le plan musculaire est composé d’une couche circulaire interne et d’une couche longitudinale externe. De façon générale les couches musculaires internes sont circulaires. Un moyen mnémotechnique est : « INTERdit de faire le CIRque ! »

850
Q

11) A propos du jéjunum et de l’iléon :

B. Le plan musculaire se trouve entre le péritoine viscéral et la sous-muqueuse.

A

B. Vrai

851
Q

11) A propos du jéjunum et de l’iléon :

C. Les anses grêles sont mobiles.

A

C. Vrai

852
Q

11) A propos du jéjunum et de l’iléon :

D. Les valvules conniventes augmentent plus la surface de la muqueuse que les villosités.

A

D. Faux Les valvules conniventes augmentent la surface de la muqueuse de 1/3, alors que les villosités l’augmentent de 5 à 6 fois.

853
Q

11) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

A. Elle a son origine sur la paroi latérale de l’aorte en Ll.

A

A. Vrai Elle naît au-dessus de l’artère rénale.

854
Q

11) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

B. Elle va donner 14 à 16 branches iléales.

A

B. Faux Elle va donner 12 à 15 branches jéjunales et 2-3 branches iléales.

855
Q

11) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

C. Elle participe à la vascularisation de la région iléo-colique.

A

C. Vrai

856
Q

11) A propos de l’artère mésentérique supérieure :

D. L’artère iléo-cæco-appendiculo-colique est une artère terminale.

A

D. Vrai

857
Q

11) A propos des colons :

A. Cæcum et appendice sont situés dans le flanc droit.

A

A. Faux Ils sont situés dans la fosse iliaque droite.

858
Q

11) A propos des colons :

B. L’angle gauche du colon se situe dans l’hypochondre gauche.

A

B. Vrai

859
Q

11) A propos des colons :

C. Ils comprennent 2 couches musculaires.

A

C. Vrai Une longitudinale externe et une circulaire interne.

860
Q

11) A propos des colons :

D. Le colon descendant est fixe.

A

D. Vrai Comme le colon ascendant.

861
Q

11) A propos des colons :

A. La rate repose sur l’angle gauche du colon.

A

A. Vrai

862
Q

11) A propos des colons :

B. Les appendices épiploïques sont des bosses visibles sur le colon.

A

1
B. Faux Ce sont des franges graisseuses. Ce sont les haustrations qui sont des bosses successives, visibles en surface sur le colon.

863
Q

11) A propos des colons :

C. Les bandelettes sont des renforcements de la paroi musculaire circulaire.

A

C. Faux. Les bandelettes sont des renforcements de la paroi musculaire longitudinale externe.

864
Q

11) A propos des colons :

0. Il existe 3 bandelettes au niveau du colon transverse.

A

D. Vrai

865
Q

11) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :
A. Le colon droit est vascularisé par l’artère mésentérique supérieure.

A

A. Vrai

866
Q

11) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

B. Le colon droit comprend les 1/3 du colon transverse.

A

B. Faux Le colon droit comprend 2/3 du colon transverse.

867
Q

11) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

C. Le colon droit comprend le cæcum.

A

c. Vrai

868
Q

11) A propos de la division fonctionnelle et embryologique des colons :

D. Le colon gauche comprend le rectum dans sa totalité.

A

11)

D. Faux Seule la partie supérieure du rectum appartient au colon droit.

869
Q

11) A propos du cæcum et de l’appendice :

A. La racine du méso appendice a son origine en en regard du bord crânial de la dernière anse iléale.

A

A. Faux L’appendice a son méso qui a son origine en arrière de la dernière anse iléale.

870
Q

11) A propos du cæcum et de l’appendice :

B. La plupart du temps, le cæco-appendice est en position iliaque droite.

A

B. Vrai Dans 70% des cas.

871
Q

11) A propos du cæcum et de l’appendice :

C. L’accolement de Toldt droit représente l’accolement entre le colon ascendant et le péritoine pariétal postérieur.

A

C. Vrai

872
Q

11) A propos du cæcum et de l’appendice :

D. L’appendice peut se loger dans la gouttière pariéto-colique.

A

D. Vrai

873
Q

11) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

A. Une orientation mésocoeliaque signifie qu’il se situe vers l’ombilic.

A

1

A. Vrai

874
Q

11) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

B. Une orientation latéro-caecale signifie que l’appendice est en position ventrale et latérale par rapport au cæcum.

A

B. Faux Cela signifie que l’appendice va être dans la gouttière pariéto-colique.

875
Q

11) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

C. Une orientation rétro-caecale signifie que l’appendice est en avant du cæcum.

A

C. Faux Elle est en arrière du cæcum.

876
Q

11) A propos des variations de la pointe de l’appendice :

D. Une orientation rétro-caecale signifie que l’appendice est dans la fossette rétro caecale.

A

D. Vrai

877
Q

11) A propos des variations du cæco-appendice :

A. Le point de Lanz se situe entre l’ombilic et l’épine iliaque antéro-supérieure.

A

A. Faux Le point de Mac Burney se situe entre l’ombilic et l’épine iliaque antéro- supérieure.

878
Q

11) A propos des variations du cæco-appendice :

B. Le point de Lanz se situe au milieu d’une ligne horizontale transversale bi-iliaque.

A

B. Faux Le point de Lanz se situe au tiers droit d’une ligne horizontale transversale bi-iliaque.

879
Q

11) A propos des variations du cæco-appendice :

C. Le point de Lanz correspond à la base de l’appendice.

A

C. Faux Le point de Mac Burney correspond à la base de l’appendice. Le point de Lanz correspond à la pointe de l’appendice.

880
Q

11) A propos des variations du cæco-appendice :

D. La position iliaque gauche est très commune.

A

D. Faux Elle est au contraire très rare.

881
Q

11) A propos de la vascularisation du colon droit :

A. L’arcade bordante forme une anastomose entre artère mésentérique supérieure et artère mésentérique inférieure.

A

A. Vrai

882
Q

11) A propos de la vascularisation du colon droit :

B. L’artère colique droite accessoire est inconstante.

A
  1. Vrai
883
Q

11) A propos de la vascularisation du colon droit :

C. Le flux lymphatique va des ganglions épicoliques directement dans les ganglions mésocoliques.

A

C. Faux Il passe en avant dans les ganglions paracoliques.

884
Q

11) A propos de la vascularisation du colon droit :

D. L’artère iléo colique transverse est une petite artère inconstante.

A

D. Faux L’artère iléo-colique transverse est constante.

885
Q

11) A propos de la vascularisation du colon gauche :

A. Le réseau veineux est calqué sur le réseau artériel.

A

A. Faux Le réseau veineux n’est pas calqué sur le réseau artériel. En effet on peut constater que la veine mésentérique inférieure ne suit pas l’artère mésentérique inférieure.

886
Q

11) A propos de la vascularisation du colon gauche :

B. L’arcade bordante est une anastomose entre la veine mésentérique supérieure et la veine mésentérique inférieure.

A

B. Faux Attention, l’arcade bordante est une anastomose entre mésentérique supérieure et l’artère mésentérique inférieure. l’artère

887
Q

11) A propos de la vascularisation du colon gauche :

C. L’artère mésentérique inférieure donne les artères sigmoïdiennes.

A

C. Vrai

888
Q

11) A propos de la vascularisation du colon gauche :

D. La terminaison de l’artère mésentérique inférieure se fait au niveau du rectum.

A

D. Vrai Elle va se terminer par l’artère rectale supérieure.

889
Q

11) A propos de la glande hépatique :

A. C’est la glande la plus volumineuse de l’organisme, elle est indispensable à la vie.

A

A. Vrai Au-delà de quelques heures sans fonctionnement hépatique, la mort est inévitable.

890
Q

11) A propos de la glande hépatique :

C. Le ligament falciforme est fixé à la face caudale du diaphragme.

A

B. Faux Le ligament falciforme est visible à la face antérieure de la glande hépatique.

891
Q

11) A propos de la glande hépatique :

C. Le ligament falciforme est fixé à la face caudale du diaphragme.

A

C. Vrai

892
Q

11) A propos de la glande hépatique :

D. La veine cave inférieure est à distance de la glande hépatique.

A

D. Faux La veine cave inférieure est presque collée à la glande hépatique, elle est très adhérente à la glande. Un traumatisme de la glande hépatique peut entraîner un traumatisme de la veine cave inférieure.

893
Q

11) A propos de la glande hépatique :

A. Le ligament coronaire est plus fin que les ligaments triangulaires.

A

A. Faux C’est l’inverse, le ligament coronaire est plus triangulaires. épais que les ligaments

894
Q

11) A propos de la glande hépatique :

B. Les loges sous phréniques sont en dépression, elles vont donc repousser les phénomènes pathologiques.

A

B. Faux Les loges sont bien en dépression, mais de ce fait, elles vont aspirer les phénomènes pathologiques.

895
Q

11) A propos de la glande hépatique :
.
C. Le ligament rond est l’ex-veine ombilicale.

A

C. Vrai

896
Q

11) A propos de la glande hépatique :

D. L’area nuda est dépourvue de péritoine viscéral.

A

D. Vrai

897
Q

11) A propos de la glande hépatique :

A. Les différents secteurs hépatiques sont dépendants les uns des autres.

A

A. Faux Ils sont indépendants les uns des autres. Cela veut dire que l’on peut en enlever un sans perturber le fonctionnement global de la glande. On parle dans ce cas d’hépatectomies partielles avec vascularisation conservée.

898
Q

11) A propos de la glande hépatique :

B. La fissure principale sépare le foie en un foie droit et un foie gauche.

A

B. Vrai

899
Q

11) A propos de la glande hépatique :

C. Le récessus de Rex se situe à droite de la glande.

A

C. Faux Il se situe à gauche de la glande, et c’est la terminaison de la branche portale gauche.

900
Q

11) A propos de la glande hépatique :

D. La scissure droite correspond à la position de la veine sus-hépatique droite.

A

D. Vrai

901
Q

11) A propos des voies biliaires :

A. la fissure gauche correspond au sillon ombilical.

A

A. Vrai

902
Q

11) A propos des voies biliaires :

B. La bile est stockée dans la vésicule biliaire qui l’excrète lors de la digestion.

A

B. Vrai

903
Q

11) A propos des voies biliaires :

C. Le canal cholédoque réunit les conduits hépatiques gauche et droit.

A

C. Faux Il réunit le canal hépatique et le canal cystique. C’est le canal hépatique qui réunit les conduits hépatiques gauche et droit.

904
Q

11) A propos des voies biliaires :

D. Le canal cholédoque déverse son contenu dans le 2’™ duodénum.

A

D. Vrai

905
Q

11) A propos des voies biliaires :

A. La vésicule biliaire est indispensable à la vie.

A

A. Faux Elle n’a qu’un rôle de réservoir, on peut donc très bien s’en passer. C’est pour cela que l’on dit que la vésicule biliaire fait partie de la voie biliaire accessoire. Cela est différent de la voie biliaire principale, constituée du canal hépatique et du canal cholédoque.

906
Q

11) A propos des voies biliaires :

B. La vésicule biliaire est formée du fundus, du corps et du col.

A

B. Vrai

907
Q

11) A propos des voies biliaires :

C. Le canal cystique fait partie des voies biliaires principales.

A

C. Faux La vésicule biliaire et le canal cystique font partie de la voie biliaire accessoire.

908
Q

11) A propos des voies biliaires :

D. Le canal cholédoque s’abouche dans le sphincter d’ODDI.

A

D. Vrai

909
Q

11) A propos du pancréas :

A. Le corps du pancréas se situe dans le cadre duodénal.

A

A. Faux Il n’y a que la tête qui se situe dans le cadre duodénal.

910
Q

11) A propos du pancréas :

B. Au niveau du corps du pancréas il y a la marque de l’artère mésentérique supérieure.

A

B. Faux La marque de l’artère mésentérique supérieure se situe au niveau du processus unciné ou crochet.

911
Q

11) A propos du pancréas :

C. Au niveau de la queue du pancréas, il y a la gouttière des vaisseaux spléniques sur sa face ventrale.

A

C. Vrai

912
Q

11) A propos du pancréas :

D. La queue du pancréas est à hauteur de la 10ème côte.

A

D. Faux La queue du pancréas est à hauteur de la llème côte.

913
Q

11) A propos du pancréas :

A. C’est une glande mixte, endocrine et exocrine.

A

A. Vrai

914
Q

11) A propos du pancréas :

B. Le corps pancréatique prolonge le col vers la droite.

A

B. Faux Le corps pancréatique prolonge le col vers la gauche.

915
Q

11) A propos du pancréas :

C. Le conduit pancréatique de Wirsung est un canal accessoire.

A

C. Faux Le conduit de Wirsung est le canal principal du pancréas. C’est le canal de Santorini qui est accessoire.

916
Q

11) A propos du pancréas :

D. Le canal de Santorini s’abouche dans la papille duodénale mineure.

A

D. Vrai

917
Q

11) A propos de la vascularisation du pancréas :

A. L’artère mésentérique supérieure donne l’artère pancréatico-duodénale inférieure à son bord droit.

A

A. Vrai

918
Q

11) A propos de la vascularisation du pancréas :

B. Il existe de nombreuses anastomoses antre l’artère mésentérique inférieure et le tronc cœliaque.

A

B. Faux Les anastomoses sont entre l’artère mésentérique supérieure et le tronc cœliaque.

919
Q

11) A propos de la vascularisation du pancréas :

C. L’artère pancréatique inférieure s’anastomose avec l’artère splénique.

A

C. Vrai

920
Q

11) A propos de la vascularisation du pancréas :

D. L’artère grande pancréatique vascularisé le corps du pancréas.

A

D. Vrai

921
Q

11) A propos de la rate :

A. C’est une glande qui appartient au réseau lymphatique.

A

A. Faux La rate n’est pas une glande, mais un organe lymphoïde.

922
Q

11) A propos de la rate :

B. Son bord antérieur est lisse.

A

B. Faux C’est le bord postérieur qui va être lisse. Le bord antérieur va être crénelé.

923
Q

11) A propos de la rate :

C. Sa face gastrique est convexe.

A

C. Faux C’est la face diaphragmatique qui est convexe en regard du diaphragme. Les faces gastrique et rénale sont quant à elles concaves en regard de l’estomac et des reins.

924
Q

11) A propos de la rate :

D. Elle repose sur l’angle droit des colons.

A

D. Faux Elle va reposer sur l’angle gauche des colons.

925
Q

11) A propos de la rate :

A. Elle est vascularisée par des branches de l’artère splénique.

A

A. Vrai

926
Q

11) A propos de la rate :

B. Les artères polaires supérieure et inférieure vascularisent des segments indépendant de parenchyme splénique.

A

B. Vrai La rate est segmentée. Cela rend possible des splénectomies, c’est-à-dire enlever un morceau de rate sans gêner son fonctionnement.

927
Q

11) A propos de la rate :

C. Elle est toujours en avant de la ligne axillaire moyenne.

A

C. Faux Elle va se situer toujours en arrière de la ligne axillaire moyenne.

928
Q

11) A propos de la rate :

D. Elle est centrée sur l’orientation de la 10ème côte.

A

D. Vrai