Analyse des scènes auditives Flashcards

1
Q

Prob du jour: À partir des vibrations de l’air parvenant aux tympans, comment on fait pour savoir Ds une salle pleine de monde

A
  • Combien de personnes parlent en même temps?
  • Combien d’instruments sont en train de jouer?
  • Lesquels jouent plus fort ou sont plus proches?
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2
Q

Def synthèse auditive

A

Aptitude à former le tout d’un stimulus sonore à partir de ses parties présentées séparément
(ex.: phonèmes -> vont faire des mots, notes -> vont faire de la musique)
- Le tt est plus grand que la somme de ses parties (gestalt)
-Éléments sont regroupés, intégrés, fusionnés, pour former un mm objet sonore

-Comment fait-on pour ségréger des objets sonores dont les signaux acoustiques émis sont fusionnés? Ségrégation de d’autres composantes de lenv sonore afin de les affecter à des objets différents

Il semble que le cerveau ne traite pas de la même manière les 3 grands types de son dans notre environnement: il y a des circuits qui traitent diff les sons de lenv, de la parole humaine et de la musique( aide à segreger des sons de nature diff)

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3
Q

Synthèse auditive
Bregman (1990)

A

À conceptualisé la façon dont les sons s’organisent en éléments perceptifs chargés de sens en se basant notamment sur plusieurs principes énoncés par les psychologues de la Gestalt.
- Montre que le lien entre ce qui est présenté et ce qui est entendu n’est pas tjrs direct cerv doit composer avec tt le contexte ds lequel arrivent les stimuli

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4
Q

Bregman (1990): Son modèle identifie pour l’organisation des
évènements acoustiques:

A

Organisation est bidimensionnel
• Une dimension horizontale (intégration séquentielle) et
• Une dimension verticale (intégration simultanée ou spectrale)
La notion de distance (ou séparation) en vision se décline alors pour un objet auditif en:
• Distance dans le temps
• Distance en fréquence (distance spectrale)
- spectrogramme: Variation des sons en fréquence en fct du temps

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5
Q

Stream (ligne auditive)

A

Stream (ligne auditive): est à l’expérience psychologique auditive ce que lobjet est à la vision
* permet de regrouper des qltés acoustiques qui sont reliées

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6
Q

Synthèse auditive (heuristiques)

A

Heuristiques de la Gestalt appliqués
à la perception de l’objet visuel :

Heuristiques de la Gestalt appliqués
à la perception de l’objet auditif :
• Continuité
• Proximité temporelle
• Proximité tonale
• Familiarité
Font en sorte qu’on associe des notes ensemble

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7
Q

Mutation d’interruption

A

sons courts sont continus et sons longs sont discontinus sur le plan physique.
Mais sur le plan perceptif ils semblent respectivement discontinus et continus. Se produit juste qd les 2 sons sont des voyelles identiques ou ont la mm structure spectrale

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8
Q

Continuité et effet de restauration

A

continuité illusoire des tons est l’illusion auditive provoquée lorsqu’une tonalité est interrompue pendant une courte période, pendant laquelle une bande étroite de bruit est jouée ex. En vision: on voit un triangle mm si caché par d’autres formes devant
- Son interrompu par un silence mais on perçoit une continuité qd ce silence est rempli par un bruit plus intense (c comme un rétablissement/restauration du son qd on met le bruit blanc, occlusion maximale)
-On continue à entendre la mélodie derrière mm avec l’occlusion (bruit blanc, ttes les freqs sont ds le son)
-on vient enlever un segment de l’info sensorielle (mais on a l’impression qu’on ajoute juste qqch par dessus) (occlusion auditive)

Ajouter du bruit améliore la compréhension!!!

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9
Q

Proximité tonale

A

Similarité entre la freq de 2 sons les fait paraître ensemble
(éléments distincts sont perçus de façon groupée si leur fréquence est similaire)
Ex: l’alternance entre deux fréquences conduit à la perception de:
• 2 flots sonores si les fréquences sont très différentes (Ségrégation de ces sons car trop éloignées une de l’autre)
• 1 seul flot sonore (ressemblant à un galop) si les fréquences sont proches
- C naturel, freq qui vont se ressembler sont à peu près ds le mm range (donc on entend 1 voix)
Si 2 voix (1 grave et 1 aigu) parlent en mm temps on entend 2 voix

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10
Q

Capture et relâchement de capture auditive

A

Dans cet exemple, il s’agit de juger si les notes X et Y sont ascendantes ou descendantes. (C assez difficile mais possible)
- Le fait d’ajouter un distracteur D rend difficile la réalisation de la tâche. (C la capture: on ajoute 1 note de plus basse fred avant et 1 après (et ds l’audition les notes de basses freq ont bcp + de pouvoir sur le cerv) donc L’attention sera + déployé pour les basses freqs et non pour les hautes (x et y)

Cependant, si l’on rajoute une série d’éléments similaires au distracteur D, cela provoque la création d’un flux sonore ségrégué emprisonnant le distracteur. Ainsi, un « relâchement de la capture » se produit et il est alors de
nouveau plus facile d’effectuer la tâche. Fait que cerv analyse 2 flow, et on sera capable de faire la tache (car analyser de façon indépendante)

Manipuler la capacité du cerv avec la proximité tonale de faciliter une ségrégation perceptive

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11
Q

Proximité temporelle

A

éléments distincts sont perçus de façon groupée s’ils sont rapprochés dans le temp signalant le début ou la fin d’un objet auditif
-Sons qui sont rapprochés ensemble on les voit comme ensemble
Sons séparées sont vu comme distincts

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12
Q

Familiarité

A

Des éléments distincts sont perçus de façon groupée s’ils forment un objet familier
(Modulation descendante du traitement du stimulus auditif)= effet des connaissances sur notre perception
-On groupe les notes d’une mélodie ensemble qd on la connaît
-Vu qu’on connaît la mélodie, mm si on les joint les 2 chansons ensemble on verra les 2 séparés mm si sont joués en mm temps
-Faut connaître les mélodies à ou b ou les 2 pour les discriminer qd sont mis ensemble

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13
Q

Principe de similarité

A

Dans un flux sonore comprenant plusieurs évènements: Les sons qui se ressemblent fortement (même timbre) et qui sont rapprochés dans le temps sont considérés comme provenant de la même source.

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14
Q

Perception de la parole

A

Régions qu’on pensent responsable de la parole (+ spécifiquement du langage), aires réservées à la production et à la compréhension du langage
- production son: + en avant
-interpréter et percevoir: + en arrière
-Chose unique au hum: le langage et bcp du cerv s’en occupe
Le langage c pas auditif mais c une composante principale

Broca= affecte capacité produire parole, partie inférieur du lobe frontal
Wernicke= diff de comprehension du langage, partie sup du lobe temporal

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15
Q

perception de la parole et formants

A

Parole humaine est probablement le stimulus le + complexe mais cerv réussit pareil à décoder la parole humaine
- stimulus complexe
-parole est un signal réel, continu, d’énergie finie et non stationnaire
• Le spectrogramme montre que sa structure est variable dans le temps
•Caractérisée par les formants (similaires aux harmoniques; = le max d’énergie spectrale de fréquences de résonance
vocale distinctives).
•Les formants sont la signature de la prononciation des voyelles (Cordes vocales)
•Les transitions de formants sont la signature des consonnes.

On voit souvent les 3 ou 4 ou 5 formants pour décrire un phonème

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16
Q

Perception de la parole et les harmoniques

A

Importance des harmoniques pour le timbre de la voix ex. A
-On a besoin de bcp d harmonique pour être bien perçu

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17
Q

Machines pour apprendre à parler

A
  • linguistes s’intéresse bcp à tout ça car on peut se rapprocher de la création de machines qui nous aideraient à parler et apprendre une autre langue

Francophone qui apprend le japonais
- on sait exactement les formants d’un japonais qui dit sushis
- donc qd nos on l’apprend le logiciel regarde nos formants pour voir si on le dit bien

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18
Q

perception de la parole c d’abord…

A

et avant tout percevoir des categories. Ex de la catégorisation perceptive de stimuli sonores similaires
- Qd on përcoit il faut que le décodage de l’info sensorielle soit simplifié et amplifier (pour que le cerv sache ce qu’il est imp à decoder)
- multitude de signaux acoustiques auxquels nous sommes exposés ne conduit qu’à la perception d’un nombre limité de catégories. Cela a pour effet de simplifier (optimiser) ce que nous entendons.

Cerv fait choix basé sur des aprioris et catégorise l’info (donc on a pu besoin d’analyser les infos subtiles qui prennent du temps à traiter car sont ds une catégorie)

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19
Q

Ex de la catégorisation perceptive de
stimuli sonores similaires

A

Ba da et ga
- variations subtiles: Mm formants, puissance et range de freq mais on est qd mm capable de les discriminer entre eux
- ça se ressemble mais c la transition de formants qui est pas pareil (la consonne)
- Il y a de l’ambiguïté donc mm si le son c un mélange des 2 ont va entendre soit un ba soit un da. Personne va entendre un mélange des deux ex.bada
- preuve que le cerv pour le langage va davantage catégoriser que analyser point par point chacune des variations spatiotemporelles auditives

20
Q

Perception du langage et épileptiques

A

Appui neurophysiologique à cette categorisation perceptive
- On peut enregistrer directement sur le cortex des épileptiques très sévères avec des électrodes
- on a vu une organisation en catégories qd on faisait écouter et voir des choses aux patients
- il semble avoir une ségrégation neuronale (c pas tjrs la mm région qui s’active pour un ba un da et un ga)

21
Q

Problèmes posés par ce type de stimulus complexe: soit la parole

A

•Comment découper un signal sonore continu en mots?
•Comment reconnaître la parole parmi ttes les variations naturelles (genre, timbre, interférences, etc.) ?
- on est très bon
-On peut enlever 50% de l’info visuelle mais on sera qd mm capable de lire ce texte (on le lit mm avec bcp d’info senso enlever)
* plus dur de faire cet exercice qd c une langue seconde (Première fois qu’on entend une langue= tt nous apparaît comme une chose, on est pas capable de segreger les mots uns des autres)

22
Q

( top down et bottom up)

A
  • on peut pas percevoir la parole sur la base purement du signal acoustique et de l’info sensorielle. Il faut avoir une connaissance/compréhension top down de la langue (fondamentale pour la perception de la parole)
    Top down: connaissance et compréhension
    Bottom up: signal acoustique
    Les 2 ensemble permettent de perception de la parole
23
Q

Importance de la lecture labiale

A

Parole c auditif mais aussi visuel
• La perception du langage est influencée par des informations provenant de d’autres modalités sensorielles
comme la vision.
- Si on regarde la pers qui ns parle c plus facile de la comprendre et de l’écouter (lecture labiale)
• L’observation visuelle ou même tactile du mouvement des lèvres peut par exemple aider à réduire l’ambiguïté des sons du langage.
Ex: Entendre le mot de 2 syllables sans visuel (À)= plus dur et pas bcp de monde reconnaîssent le mot
Mais qd on voit la pers le dire on reconnaît le mot (AV) (voir les articulateurs phonologiques)
ON SE SERT DE LA LECTURE LABIALE QD C UTILE

24
Q

Lecture labiale et age

A

ON SE SERT DE LA LECTURE LABIALE MAIS PAS DE LA MM FAÇON SELON NOTRE ÂGE
- il y a un Effet d’apprentissage/d’expérience a l’utilisation des indices de d’autres modalités senso (on comprend qd on grandit que si on regarde les pers qui ns parlent ça va ns aider= on apprend cela vers l’enfance et devient maximal à l’adolescence)
-gain visuel maximale chez les adultes et les ados mais pas chez les enfants

25
Q

AV-A=gain visuel

A

Et ce gain visuel la est maximale qd on a une qté intermédiaire (moyenne) de bruit (12dB)
- pk? Car c souvent le bruit ambiant qu’on a autour de ns donc on sait qu’en se servant des infos autour de ns c possible de décoder le message

26
Q

L’effet McGurk exemple

A

C en fait une erreur expérimentale: On entend ba mais qd on regarde on entend da alors que les lèvres disent en fait ga
- S’intéresse à l’acquisition du langage chez les enfs
- Ce qu’on choisit d’entendre c ce qui fait plus de sens avec cquon voit donc on entend un da
-Montre l’influence exercée par des signaux visuels sur le traitement du langage
-ex d’Interaction audio visuel pour la parole

27
Q

L’effet McGurk def

A

illusion multimodale mettant en évidence les interactions entre la vision et l’audition.
-Impliqué à des niveaux très précoces du traitement de l’info (bas niveau) c très sensoriel et pas cognitif
C’est un effet qui résiste à de nombreuses manipulations expérimentales:
• Différentes langues
• Avec des enfants Et mm de très jeunes enfs ex. Les preverbaux (avaient préférence pour le son compatible avec le visuel)
• Avec des composantes auditives et visuelles provenant d’une femme et d’un homme
• Lorsque les observateurs touchent _ plutôt que regardent_ un visage
• Effet sur la représentation auditive dans le cortex auditif (Illusion fait appel à cortex frontal et des aires auditives)

28
Q

Effet cocktail party :

A

Capacité de percevoir la parole dans un environnement
bruyant
Effet d’abord étudié à l’intention des contrôleurs aériens
(Cherry, 1953)
Exemple de ségrégation Figure (voix de l’interlocuteur,
signal cible)/Fond (bruit ambiant, signaux compétiteurs)

29
Q

Facteurs déterminant la capacité de ségrégation
figure-fond de la parole :

A

• Position spatiale des sources sonores (Basé sur les indices de localisation)
• (Signal cible et signaux compétiteurs)
• Accès à la lecture labiale
• Timbre du signal cible
• Accent du signal cible
• Rythme du signal cible (Debi)
• Attention (auditive et visuelle)

30
Q

Quel est le rôle de l’attention visuelle? Étude

A

-Rôle de l’attention sur la perception de l’interlocuteur qd il y a du bruit
-Juste retenir: attention peut aider à suivre un interlocuteur mm si il y a du bruit
-2 conds: 3 pers disent leur mot en mm temps (ba, da, ga) (interférence) ou Pers du centre dit 1 des 3 mots (pas interférence) mais les vidéos clignotent rapidement (flicker)
- distracteurs (pers sur le côté)= flick a 19hz
- pers au centre=flick a 25hz
-On est meilleur à trouver le bon mot qd il n’y a pas d’interférence et le temps de réaction est + rapide (RT)
- retenir: On est capable d’enregistrer l’activité du cerv et de la voir à 19hz et de la voir à 25hz (on voit donc la rep spécifique au distracteurs et la rep spécifique à la cible)
- hyp: Hyp: le signal associé à la pers du centre (qd tu portes attention à la pers du centre) allait augmenter
- rés c le contraire qu’on a observé: qu’on porte attention à la pers du centre ou non change rien pour le cerv. L’effet attentionnelle se joue sur les distracteurs et nn sur la cible (donc qd on faisait jouer les 3 videos ensemble, on avait beau dire aux pers de porter attention au centre, qd tlm parle en mm temps et qu’il y en a 2 plutôt qu’un ça attire l’attention)

31
Q

Attention fonctionne de 2 façons/roles

A

• amplifie le signal d’intérêt (Aug le traitement de l’info pour la cible) ou/et
• diminuer le traitement de l’info pour l’info pas pertinente
- porter attention c Aug une chose et/ou diminuer les autres choses
- Si on porte attention aux autres sur le côté on ne suit pas bien la convo (qd on a des distracteurs)
-Montre que attention joue un rôle sur la performance mais pas nécessairement sur l’interlocuteur devant ns mais plutôt sur les autres à côté (sinon on suit pas bien la convo devant ns)

32
Q

composantes élémentaires de la musique sont:

A

volume, la hauteur tonale, le contour, la durée (ou le
rythme), le tempo, le timbre, la position spatiale, la
réverbération.
-cerveau organise ces éléments perceptifs en
représentations plus élaborées selon la mesure,
l’harmonie, la mélodie.

33
Q

Flux auditif (auditory streaming)

A

• Un joueur joue une partie A, puis un autre joueur commence à jouer une partie B.
• Les notes qu’ils jouent sont isochrones c’est-à-dire qu’elles sont espacées de façon égale dans le temps.
• La partie A commence seule; ensuite la partie B s’ajoute. Lorsque le second joueur entame sa partie, l’ensemble A +
B donne naissance à un ensemble de rythmes irréguliers (les deux flux sont intégrés en un seul)

34
Q

Telemann, Bach

A
  • on a 1 seule personne au clavier mais on entend plusieurs voix (Impression que c plusieurs pers/instruments mais c 1 pers)
  • par la proximité et les autres heuristiques
35
Q

L’architecture acoustique d’une salle de concert

A

Ingénieur veut qu’il y ait de la résonance mais courte et qu’elle donne de la couleur au son plutôt qu’elle la duplique (ou donne de l’écho)
-Réverbération utilisé pour estimer distance des objets de ns (si résonne= c plus loin)
* reverberation est précieuse ds salles de concert mais doit être très courte (qqls millisecondes)
- utilisation de l’effet de préséance
-Importance de la réverbération (optimale à 80-100 ms).
Si délais plus grand, il y a échos (le pire ennemi des salles de concert)

36
Q

’effet de préséance (precedence effect)

A

une stratégie pour réduire la confusion de la direction d’un son (indirect) due à la réverbération

37
Q

L’amusie

A

-Absence de perception musicale

• Trouble de l’expression ou de la compréhension
discriminante des signaux musicaux.
• Ce trouble peut affecter les composantes rythmiques ou les composantes mélodiques de la musique. Trouble du traitement de la tonie
- Congénitales: surtout pour les variations mélodiques qu’ils ont de la misère, 4% de la pop, sans lésions apparentes, - fréquente
- Qd c acquis: dimension mélodique + affecté, dommages au cerv (lésions), + fréquente
• Certaines lésions cérébrales peuvent conduire à des cas d’amusie sans que la compréhension du langage n’en soit affecté
- Savent titre et les mots et savent décoder les sons + aigus et graves d’une chose de lenv
C vrm spécifique à ce qui est mélodique de la musique, spécifique au niv de la musique
• L’effet de la lesion semble dépendre du niveau de
connaissance musicale du sujet. Plus celle-ci est élevée, plus la perception musicale se fait de manière analytique, donc plus elle dépend d’une grande intégrité de l’hémisphère gauche

38
Q

Perception de la musique (diagramme)

A

Input auditif: Info senso auditive catégorisé soit comme étant de la musique ou de la parole
- si catégorisé comme étant de la musique: on aura une org mélodique et temporelle
- si catégorisé comme étant de la parole: représentation lexicale et association à des souvenirs
Explique pk on peut avoir un prob ds 1 dimension et pas d’un l’autre

39
Q

Perception de la musiques chez aphasique et amusiques

A

Il y a une dissociation entre les aphasique et les amusiques (pas au mm endroit ds le cerv)
- aphasiques: perte de capacité langagière
- amusiques: perte capacité musique
* c pk on peut avoir une amusie sans avoir une diff de langage car pas aux mm endroits ds le cerv

40
Q

Zatorre et perception de la musique

A

HD: + responsable pour le traitement de la mélodie
HG; + responsable pour le traitement du contenu et les aspects temporelles
- modules diffs mais aussi une spécialité hémisphérique!!

41
Q

Acouphènes et 2 catégories

A

acouphène correspond au sentiment de la présence d’un bruit en l’absence de toute stimulation auditive externe (C vrm dans notre tête, souvent un son aigu et fatiguant)
2 catégories;
- acouphène objectif: génération de bruit par l’organisme capté par la cochlée (+rare)
-Acouphène subjectif (illusoire) +++: perception d’un son en l’absence de toute stimulation sonore.
• environ 15-20% de la population en général au Québec à des degrés variables de sévérité (1% avec acouphènes sévères).
• la sévérité est plus ou moins sévère. Le bruit perçu peut être continu ou intermittent, souvent plutôt aigu.

42
Q

Hypoacousie et types

A

Perte d’acuité auditive
-Acouphène corrélé intimement à la perte d’acuité auditive

  • Hypoacousie de conduction : Lésion de l’oreille externe ou
    moyenne (e.g. otitis, etc.)
  • Hypoacousie de transduction : Lésion des cellules ciliées
    cochléaires
  • Hypoacosuie induite par le bruit
  • Hypoacousie causée par une lésion du nerf auditif ou du
    tronc cérébral
    -Hypoacousie sélective aux hautes fréquences
    attribuable à l’âge = Presbyacousie
43
Q

Presbyacousie

A

-Hypoacousie sélective aux hautes fréquences
attribuable à l’âge

causée par des changements morphologiques au niveau:
- de la cochlée (Détérioration des cells ciliées)
- du nerf auditif (altérations des axones avec l’âge)
- et Lié au son fort ds notre enfance (écouter de la musique forte ds nos oreilles)

44
Q

-Hypoacousie, acouphène et vieillissement

A

Prévalence: + on vieillit, + le risque d’acouphène augmente
Intimement reliée Perte audition avec l’âge

45
Q

Activation cérébrale : Hypoacousie et acouphène

A

perception auditive lors d’ un épisode d’acouphène est associée à une activation cérébrale similaire à celle observée lors la perception d’un signal acoustique de l’environnement
(Lockwood et al., Neurology, 1998)
- 2 cortex auditif sont activés si on présente un son à droite (car bilatéral à partir de la cochlée) mais + activé du côté controlatéral donc gauche)
-preuve que les acouphènes sont une hallucination: dit qu’il en a 1 ds le coté droit mais on voit pas d’activation du coté droit (juste 1 du coté gauche)

46
Q

Hypoacousie, acouphène et réorganisation
corticale
Pk on a des acouphènes?

A

lésion des cellules ciliées sensibles aux hautes fréquences entraîne une déafférentation des cellules corticales qui, par leur activité spontanée, induisent une perception auditive.
Les cellules ciliées inhibent normalement cette activité spontanée.
-Qd on vieillit et perd la capacité d’entendre les autres freq, on a + de propension à entendre les hautes freqs (donc à avoir des acouphènes)
- cells ciliées meurent donc envoient pu de signal au cerv comme faisaient avant (deafferentation)
-org tonotopique: si une partie ne reçoit pu d’efferences des cells ciliées (deafferentation), les autres régions du cerv vont la prendre pour l’utiliser pour être meilleur (plasticité cérébrale mais qui peut être très dérangeant et pas tjrs adaptatif)

47
Q

L’intensité de l’acouphène est généralement inversement proportionnelle au :

A

Niveau de bruit ambiant
Niveau d’activité cognitive