Aérosols Flashcards
Aérosols
dispersion d’un solide ou d’un liquide dans un gaz.
voies aériennes supérieures
‐Les fosses nasales et les sinus,
‐La bouche (organe commun aux voies digestives et respiratoires), ‐Le pharynx (rhino‐pharynx, bucco‐pharynx et organes lymphoïdes), ‐Le larynx.
voie pulmonaire
‐la trachée,
‐les bronches,
‐les alvéoles pulmonaires.
Il existe de nombreuses formes pour l’administration par les voies aériennes dont les principales sont :
- sol pour gargarisme
- collutoire
- prép nasales
- poudre pour inhalation
-les pâtes, les pastilles, les tablettes et comprimés à sucer, les gommes
à mâcher
différentes présentations pour inhalation
cigarettes, poudres fumigatoires, poudres à priser, gaz anesthésiques, bâtons inhalateurs,
Toutes ces formes sont difficiles à classer de façon rigoureuse. Chacune d’elles peut atteindre des niveaux différents en fonction de son mode d’administration et de ses propriétés physiques.
vrai
jusqu’à ou parviennent les formes liquides ou pâteuses
donner exemple :
cavité buccale, aux fosses nasales et au pharynx.
gouttes et pommades nasales, des collutoires administrés en badigeonnages et des gargarismes.
de quoi dépend le niveau de pénétration en ce qui est des pulvérisations
d des particules dispérsés
citer les 2 Formes rhinopharyngées
‐Instillations nasales
‐Pulvérisations
Instillations nasales : c quoi , préf par qui
- gouttes nasales aqueuses ou huileuses, aussi les pommades nasales. - préférées pour les nourrissons.
Pulvérisations
-elles sont plus efficaces
- diffusion meilleur
- limitée aux VASup
Formes buccopharyngées
‐ Collutoires pour badigeonnages : necessitent un coton hydrophile ou un battonet
‐ Collutoires pour pulvérisations : meilleur répartition, adm plus facile
Formes rhino‐buccopharyngées
- formes liquides (pulvérisations)
- d’avantages : facilité d’emploi, meilleur dosage, stérilité mieux conservée en cours d’utilisation et diffusion supérieure.
-limites : la taille des ’’particules’’. les sinus sont difficilement pénétrés.nécessité du recours à la voie générale pour les atteindre.
Préparations pour inhalation : galénique, visée, action,
- vapeurs, d’aérosols, de poudres, solutions, dispersions liquides, émulsions ou suspensions.
- partie inf des vr
- locale ou sys
Des co‐solvants ou des solubilisants appropriés peuvent être employés dans leur formulation.
La pharmacopée distingue quatre catégories particulières de preparations pour inhalation, trois
liquides et une solide :
‐ Vapeur
- Liquides -> nébuliseurs
‐ Liquides -> d’inhalateurs pressurisés à valve doseuse (asthme)
‐ Poudres
Préparations destinées à être converties en vapeur
- Solutions, dispersions ou comprimés effervescents + eau chaude = dégagement des vapeurs aussitôt inhalées par le patient
‐Préparations liquides dispensées au moyen de nébuliseurs :
- Convertissent les liquides en aérosols
- Ils permettent l’inhalation de la dose prescrite à un débit approprié
- La taille des particules : dépôt de la préparation dans la partie inférieure du tractus respiratoire.
- pH : 3 - 8,5
- En récipients multidoses : un ou plusieurs antimicrobiens appropriés.
Préparations liquides dispersées au moyen d’inhalateurs pressurisés à valve doseuse
Solutions / dispersions comportant une valve doseuse et maintenues sous pression par des gazs comprimés.
Les récipients doivent répondre aux exigences de la monographie « Préparations pharmaceutiques pressurisées ».
‐Poudres pour inhalation
- Poudre unidose ou multidose.
- Délivrées avec un inhalateur approprié.
- Dans le cas des formes multidoses, l’inhalateur comporte un système doseur intégré qui délivre des doses unitaires à partir d’une poudre ou d’un mélange de poudres.
- Les formes unidoses peuvent être des capsules ou des doses de poudre en alvéoles, en complexe d’aluminium par exemple.
Préparations nasales
- Liquide semi solides ou solides
- Non irritantes et aucun effet indésirable sur les fonctions de la muqueuse nasale et de ses cils.
- Isotoniques
- Présence de conservateurs antimicrobiens
Préparations nasales: La pharmacopée distingue cinq catégories différentes :
- Préparations liquides pour instillation ou pulvérisation nasale ( récipient avec nébuliseur ou pressurisé avec ou sans valve doseuse )
‐Poudres nasales
‐Préparations nasales semi‐solides
‐Solutions pour lavage nasal
‐Bâtons pour usage nasal
Problèmes liés à la voie aérienne
- Tenir compte pour leur formulation des moyens naturels ( immunologique, mouvements ciliaires ) défense des voies aériennes.
- L’ensemble, cils et mucus, forme une sorte de tapis roulant qui assure l’évacuation des particules, Il y a convergence de toutes les particules étrangères à éliminer vers l’oesophage.
- L’épithélium cilié il n’y en a pas au niveau des sinus.
- Le mucus doit avoir une viscosité optimale pour que les mouvements ciliaires puissent se faire d’où l’importance de l’humidification convenable des voies aériennes. Il est d’autre part légèrement alcalin : son pH entre 7 et 8.
- Dans la formulation des médicaments maintenir le pH entre 6,4 et 9 pour ne pas arrêter les mouvements ciliaires. La pharmacopée fixe comme limite du pH à ne pas dépasser pour les préparations aqueuses : 3 et 8,5.
- Vasoconstricteurs ( ++ interet ), mais leur usage prolongé peut conduire à une rhinite médicamenteuse.
-> muqueuse sèche et crouteuse -> disparition de cils et les glandes s’atrophient -> vasodilatation secondaire permanante
Problèmes liés à la forme
Ils doivent répondre aux essais prescrits pour ces formes, à des essais de pH, de viscosité, ..
Systèmes de dispersion
Nébuliseurs
Préparations pharmaceutiques pressurisées
Autres pulvérisateurs
Nébuliseurs
- Les nébuliseurs transforment extemporanément médicamenteux en fines particules de l’ordre du micron qui sont dirigées vers les alvéoles pulmonaires sans être arrêtées par les obstacles que peuvent constituer les voies respiratoires supérieures, c’est‐à‐dire les parois buccales et le pharynx.