5. Fertilisation Flashcards
pH limite où la culture d’une espèce est encore possible
pH (eau) critique
pH trop bas : diminue le rendement
apport de chaux
qu’est-ce que l’intervalle adéquat de pH
intervalle de pH qui permet d’exprimer le potentiel du champ
effet du pH
effet sur le rendement
disponibilité des éléments (carence ou toxicité)
activité biologique du sol : neutre = bactérie, acide = champignons
propriétés physique du sol
efficacité des produits phytosanitaire
intervalle de pH visé en grande culture
entre 6 et 7 : visé = 6,5
les éléments les + importants sont + disponibles
Mesure de l’acidité active (ions H+ ds solution du sol).
pH eau
indique s’il faut chauler ou non
Tient compte de l’acidité active et échangeable
du sol.
pH tampon
indique quelle quantité de chaux à appliquer pour relever le pH de départ au pH visé
calcul de l’IVA de la chaux (indice de valeur agricole)
IVA = pouvoir neutralisant % (ÉCC) * efficacité % (finesse de mouture)
ÉCC = équivalent en CaCO3 pur
V ou F
la chaux fine est plus efficace que la chaux conventionnelle
vrai
+ fine = + efficace = meilleur IVA
pouvoir neutralisant est le même
quantité de chaux à apporter calcul
on considère que l’IVA théorique = 100%
on considère que l’humidité théorique = 0% ou 100% MS
on considère que la prof d’inc. théorique = 17 cm (sol minéraux) ou 20 cm (sol organique)
Qtité chaux (t/ha) = (Besoin en chaux (fct tableau) * prof réelle * IVA théorique * humidité théorique en MS) / prof. théorique * IVA réelle * MS réelle
chaux calcique propriétés
forte proportion de CaCO3 et peu ou pas de Mg
Chaux magnésienne
MgCO3 : 5-20% de Mg
Chaux dolomitique
MgCO3 : 20 % et +
comment savoir quelle chaux utiliser en pratique
teneur en Mg melich 3
moins de 100 kg/ha dans les sols sableux : apport en Mg
moins de 150 kg/ha dans les autres sol : apport en Mg
magnésienne ou dolomitique
particularités pour l’application de chaux
application après céréales : meilleure portance
éviter le contact de la chaux avec le fumier fraichement épandu et non enfoui : CaCO3 favorise la volatilisation de l’N ammoniacale : mettre la chaux avant opir
G1 et G2 : chaux conv = fractionner en 2 applications si + de 7t/ha, chaux fine = fractionner en 2 applications si 3 à 5 t/ha
G3 : limiter les doses entre 2t et 5t/ha
travail réduit ou semis direct : travaux de chaulage doit être fait au labour avant de convertir en semis direct
semis-direct : chaulage d’entretien : max 3t/ha
chaulage à taux variable
grâce à des GPS : localise les zones moins productives
période d’échantillonnage des sols
printemps = meilleure période si les sols sont ressuyés, avant le semis
à l’automne = plus pratique : fin août sept, limite l’influence de l’activité microbienne
en été : période moins propice à cause de l’activité microbienne qui est à son max : pH tampon sous-estimé et recommandation en chaux surestimés
qu’est-ce que l’ISP
indice de saturation en P : permet de savoir à quel point P est disponible dans le sol : + il y a de Al, moins P va être dispo
Pm3 * 100 / Al m3
qu’est-ce qu’un abaque
on détermine l’apport qu’on devrait faire avec les grilles de fertilisation
après on vérifie l’abaque pour la culture et en fonction du rendement estimé et du P dans les sols (selon analyse du sol), on vérifie qu’on ne dépasse pas la recommandation maximale
fertilisation dans l’avoine et l’orge pure
Quel engrais ? et comment on l’applique ?
Application d’un engrais complet, épandu à la volée et
incorporé avant le semis
urée : 46-0-0
DAP : 18-46-0
0-46-0
0-0-60
V ou F
l’avoine pure a besoin de beaucoup d’N
FAUX
besoin faible en N : pas la meilleure culture pour valoriser les fumiers en saison, on les valorisera en post-récolte
risques de verse pcq lignification tardive
V ou F
l’orge pure répond bien à l’N
faux
orge brassicole : diminue apport en N : diminue la protéine : on veut amidon
valorisation engrais org possible au printemps, mais surtout en post-récolte
apport en N de l’orge ou de l’avoine grainé
besoin en N ajusté à la baisse : on veut laisser une chance à la culture de s’implanter, faut pas quelle étouffe
V ou F
en semoir combiné, on peut appliquer de l’urée
faux
fertilisation dans le blé panifiable : quelle élément
on veut de la protéine : fertilisation en N +
mais pas trop pcq verse et maladies
fertilisation blé d’automne
combler les besoins en P et en K au semis
azote : dépend du précédent culturale : si soya, applique pas
fertilisation dans le blé panifiable : période d’application d’N
après tallage jusqu’au gonflement (risque de briser les plants)
lisier : appliqué en pré semis incorporé ou l’année d’avant avec engrais vert
en bio : si met lisier : attend 3 mois avant la récolte
voie d’Accès, c’est quoi :
les roues du tracteur passe toujours au même place à chaque intervention
application tardive d’engrais possible
fertilisation dans le maïs
besoin +++ d’N
fumier ou lisier : automne précédent, printemps ou post-levée (lisier)
engrais minéral
- pré-semis : NPK
- démarrage : N ou NP ou NPK
- post-levée : N
engrais de démarrage dans le maïs
5 cm à coté et 5 cm en dessous de la semence
max 55 kg/ha si N
max 90 kg/ha si N et K
si urée = source de N : limiter à 30 et 60
Engrais granulaire dans le maïs au semis
max 10kg/ha N et K
éviter l’urée et le DAP avec la semence