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MANUEL RECUEUIL DE TEXTES EA2 > 5 - BMCO - CMAI, FS > Flashcards

5 - BMCO - CMAI, FS Flashcards

1
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Qu’englobe la maintenance ?

A

L’ensemble des actions ayant pour objet de Maintenir, de Rétablir et d’Accroître le potentiel d’utilisation des matériels.

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2
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

La maintenance constitue …

A

Une mission générale permanente.

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3
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

La maintenance comprend 3 volets ?

A
  • la maintenance Préventive ;
  • la maintenance Corrective ;
  • la maintenance Prédictive.
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4
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

La maintenance préventive, elle doit permettre d’éviter la défaillance d’un matériel en cours d’utilisation. Son exécution rigoureuse a pour effet d’éviter :

A
  • L’immobilisation prolongée des équipements ;

- Des coûts souvent importants de remise en état.

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5
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

La maintenance préventive, comment sont réalisé les opérations de MPrév ?

A

selon un échéancier préétabli, en fonction :

  • du kilométrage parcouru,
  • des heures de fonctionnement ou
  • du temps écoulé.
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6
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

La maintenance corrective, quand survient-elle ?

A

Elle survient après la défaillance d’un matériel ou un accident.

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7
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Qu’est-ce que la maintenance prédictive et sur quoi est-elle basée ?

A

Forme de maintenance préventive, basée sur la mise en évidence, puis la surveillance, des points faibles des matériels, au moyen de bancs-tests.

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8
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Maintenance prédictive, lorsque un seuil critique est atteint qu’advient-il ?

A

L’opération de maintenance est déclenchée. Cette forme de maintenance est appelée à se développer.

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9
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Les opérations techniques de maintenance sont réalisées à deux niveaux techniques :

A
  • d’intervention n° 1 : détachement de maintenance réparation (DMR) ;
  • d’intervention n° 2 : ateliers du site de Voluceau.
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10
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE, qui effectuent les opérations du NTE ?

A
  • le personnel Utilisateur des matériels ;
  • le personnel des Remises des compagnies détentrices, instruit à cet effet ;
  • les Spécialistes également chargés des niveaux supérieurs (par exemple : les compresseurs d’air, les matériels NRBC autres que militaires, dont la maintenance préventive est assurée par le personnel chargé du NTI 2).
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11
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel utilisateur, les durées d’exécution des opérations sont … et n’entraînent pas …

A
  • très courtes

- d’indisponibilité du matériel.

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12
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel utilisateur, ces opérations sont limitées à …

A

des travaux simples et cependant absolument indispensables à la conservation des matériels

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13
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel utilisateur, ces opérations peuvent comporter l’exécution de :

A
  • Nettoyages ;
  • Graissages ;
  • Compléments de pleins (huile, carburant, eau) ;
  • Vérifications, resserrages et éventuellement de réglages simples.
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14
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opération d’entretien du NTE effectuée par le personnel utilisateur, en général quand sont-elles effectuées ?

A

A la prise de garde.

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15
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel AME, comment sont-ils formé et qu’entraine la durée de ces opérations ?

A
  • Stage AME répertorié au caf;

- Une courte indisponibilité du matériel.

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16
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel AME, elles comprennent :

A
  • le contrôle des opérations réalisées par les utilisateurs ;
  • les opérations systématiques préventives (visites périodiques, vérifications relatives au bon fonctionnement) ;
  • la mise en réparation à l’échelon supérieur pour les matériels qui en seraient justifiables mais après avoir exécuté toutes les opérations relevant du NTE.
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17
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations d’entretien du NTE effectuée par le personnel spécialiste, par qui sont assurées ces opérations ?

A

le NTE est assuré par les spécialistes chargés des NTI 1 et/ou 2.

Cette particularité est clairement indiquée dans les DFT et notes techniques traitant de ces matériels, qui fixent les responsabilités de chacun.

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18
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du Niveau Technique d’Intervention 1, par qui sont-elles réalisées ?

A

Par le personnel qualifié des détachements maintenance réparation (DMR).

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19
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 1, que comprennent-elles ?

A
  • Ccontrôle des opérations effectuées au NTE ;
  • Opérations systématiques préventives :
    . Visites et épreuves périodiques,
    . Vidanges,
    . Vérifications relatives au bon fonctionnement ;
  • Vérifications et réglages ;
  • Dépannages sur les lieux d’emploi ;
  • Echanges de sous-ensembles, d’organes élémentaires et de composants :
    . les échanges onéreux doivent être effectués après autorisation du chef de la section conduite de la maintenance de la CMAI ;
    . les rechanges réparables (RR) doivent rapidement être réintégrés au magasin pièces de rechange de la section logistique de la CMAI ;
  • Modifications dont la réalisation est prescrite à ce niveau ;
  • Mise en réparation au niveau supérieur après avoir exécuté toutes les opérations relevant des NTE et NTI 1.
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20
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 1, la durée d’exécution des ces opérations implique ?

A

Qu’elle ne doit pas entraîner une indisponibilité supérieure à :

  • 24 heures pour les engins opérationnels armés pour lesquels il existe une réserve et
  • 48 heures pour les autres matériels.
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21
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 2, qui effectuent ces opérations ?

A

Les ateliers de la compagnie de maintenance du GSS, site de Voluceau.

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22
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 2, quelle est leur but ?

A

Elles ont pour but de restituer au matériel un potentiel maximal en remédiant soit à:

  • des avaries nécessitant des moyens techniques supérieurs à ceux du NTI 1 ;
  • un vieillissement ou à une usure généralisée entraînant l’exécution de travaux importants.
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23
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 2, a quoi ces opération peuvent-elle être limitées ?

A

à celles imposées par l’exécution des seuls travaux reconnus nécessaires lors du contrôle à l’entrée des ateliers.

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24
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 2, elles peuvent prendre l’aspect d’une remise en état profonde qui comporte :

A
  • la dépose des ensembles, sous-ensembles et organes constitutifs détériorés ;
  • leur contrôle ;
  • leur réparation ;
  • le remontage du matériel complet à partir d’éléments (ensembles, sous-ensembles) récupérés, réparés ou neufs.
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25
Q

ORGANISATION GENERALE DE LA MAINTENANCE :

Opérations du NTI 2, elles peuvent comporter également :

A
  • le contrôle des opérations de NTE et NTI 1 ;
  • des opérations systématiques préventives (visites périodiques, épreuves périodiques) ;
  • des interventions tendant, à travers des modifications, à fiabiliser les matériels.
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26
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Le marquage a pour objet de :

A
  • indiquer l’appartenance de l’article ;
  • faire la distinction entre des matériels similaires appartenant à des organismes différents et éviter les substitutions (marquage d’identification) ;
  • permettre l’enregistrement individualisé sur fiches pour assurer aisément les contrôles périodiques (numérotation d’usinage ou d’inventaire) ;
  • repérer les dates de mise en service (millésime ou code couleur) ;
  • matérialiser un contrôle ou une vérification (poinçon, inscription) ;
  • contrôler les matériels sous garantie.
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27
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de propriété ou de réception, les véhicules et engins de la Brigade sont identifiés par une immatriculation :

A
  • 1° particulière à la Brigade;

- 2° + éventuellement une immatriculation civile.

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28
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de propriété ou de réception, a l’immatriculation s’ajoutent :

A

Les prescriptions spécifiques décrites dans la FIT 154

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29
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de propriété ou de réception, qu’Est-ce que n’exclue pas ces marques supplémentaires ?

A

ces marques supplémentaires n’excluent pas celles imposées par le code de la route, les normes françaises et européennes et les règlements en vigueur concernant, en particulier, le transport des matières dangereuses.

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30
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de propriété ou de réception, que portent Les petits engins à moteurs thermiques non mobiles, tels que les motopompes d’épuisement, les groupes électrogènes, les compresseurs, les scies ?

A

Un numéro attribué dans l’ordre de leur mise en service.

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31
Q

MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de propriété ou de réception, comment est facilité le regroupement des bouteilles de gaz comprimés lors d’opérations avec participation d’organismes étrangers à la Brigade ?

A

Celles-ci portent au milieu de leurs corps le sigle BSPP.

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32
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage d’affectation, que porte chaque engin sur son pare brise ?

A

Un étui patronymique adhésif fixé sur la face interne du pare-brise, dans le coin supérieur droit.

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33
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage d’affectation, que recèle l’étui patronyme de chaque engin ?

A

Un feuillet où sont mentionnés quatre chiffres configuré de la manière suivante :
Numéro du grpmt - Numéro de la cie - Numéro du cs (1 pour PC Cie puis par ordre alphabétique).

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34
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage d’usinage ou d’inventaire, comment sont réalisés ces marquages ?

A

Un numéro d’ordre ou un code barre programmé, d’une série unique pour le type de matériel considéré, est frappé ou gravé dans le métal, ou peint ou fixé sur le matériel.

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35
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage d’usinage ou d’inventaire, le numéro d’ordre concerne essentiellement :

A
  • les bouteilles de gaz comprimé dont le numéro est frappé par le constructeur ;
  • pour les bouteilles de plongée, en plus du matricule de fabrication, un numéro très lisible est peint sur leur corps afin de faciliter les contrôles.
    Ces matériels sont suivis par un numéro sur des fiches particulières permettant d’enregistrer les contrôles réglementaires à effectuer ;
  • les appareils respiratoires isolants ;
  • les détendeurs d’oxygène industriels ;
  • les aspirateurs équipant les VID qui sont matriculés sur les 3 éléments les plus importants ;
  • certains matériels spécifiques NRBC ;
  • les extincteurs ;
  • les éléments de protection individuelle (EPI).
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36
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage se la date de mise en service, que portent les échelles à coulisse, le matériels de levage et de désincarcération et ou ?

A

Ils portent sur leur corps, un code alphanumérique propre à la section logistique de la compagnie de maintenance.

37
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage se la date de mise en service, par qui sont-ils apposés et a quoi servent-ils ?

A

Ces marquages, apposés par la Brigade où les fournisseurs, servent à suivre les matériels qui nécessitent un recours auprès de ces derniers.

38
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, les teintes conventionnelles destinées à l’identification des récipients contenant des gaz sont fixées par …

A

des normes.

39
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, les teintes suivantes, destinées à l’identification des récipients contenant des gaz, sont le plus souvent rencontrées :

A
  • blanc pour l’oxygène ;
  • rouge pour l’hydrogène ;
  • marron clair pour l’acétylène ;
  • noir pour l’azote ;
  • marron avec une bande blanche pour l’héliox ;
  • bleu avec une bande blanche pour le protoxyde d’azote.
40
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, qu’est-il effectué en cas de mélange de gaz comprimés ?

A

les deux teintes doivent figurer ; la couleur prédominante étant celle du gaz qui constitue la base du mélange.

41
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, en cas de mélange de gaz qu’elle est l’exception tolérée ?

A

Les bouteilles d’air comprimé des scaphandres autonomes qui sont peintes en jaune pour améliorer la visibilité dans l’eau.

Toutefois, l’ogive de chaque bouteille est peinte en noir et marquée de deux bandes blanches croisées.

42
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, les bouteilles d’air comprimé des appareils respiratoires isolants sont peintes aux couleurs conventionnelles comme suit :

A
  • la bande circulaire blanche destinée à désigner l’oxygène contenu dans la bouteille est égale à 45 % de la hauteur de la bouteille, ogive exclue ;
  • le reste du corps est peint en noir (gaz principal : azote) ;
  • l’ogive est peinte en noir et marquée de deux bandes blanches croisées.
43
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, quel est le logiciel de suivi des extincteur ?

A

TRACEMAT

44
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, comment sont repéré les extincteurs ?

A

Chaque extincteur est repéré par une étiquette code barre apposée par la compagnie de maintenance sur le corps de l’appareil.

45
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, comment sont effectués les vérifications des équipements de protection individuelle contre les chutes ?

A

il est procédé à des vérifications obligatoires périodiques (VOP) afin de déceler en temps utile toute défectuosité.

Toutes les pièces textiles ainsi que les pièces métalliques sont répertoriées avec le numéro spécifique du fabricant.

46
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Marquage de contrôle ou de vérification, en quoi consiste t-il ?

A

Ce marquage consiste principalement à inscrire sur le matériel les dates de vérifications ou de contrôles.

47
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, Les principes généraux retenus sont :

A
  • Respect de la législation ;
  • Contrôle et repérage avec témoins de couleurs annuels semblables aux frettes des bouteilles ;
  • Inscription obligatoire sur le registre IMP/ST 44.
48
Q

IDENTIFICATION ET MARQUAGE DES MATERIELS :

Repérage ou marquage particulier, les dispositions spécifiques des contrôles et vérifications des EPI de 3e catégorie sont détaillées dans ?

A

L’IMP/ST 44.

49
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, au cours de l’intervention, le conducteur doit ?

A
  • Tient l’inventaire du matériel distribué ;
  • Vérifie la réintégration du matériel employé et distribué et, avant de quitter les lieux d’intervention, en rend compte au chef d’agrès.
50
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, au cours de l’intervention, si la totalité du matériel n’est pas réintégrée, le chef d’agrès doit ?

A
  • Dresser l’inventaire (en double exemplaire) du matériel laissé sur les lieux de l’intervention. Pour cela il utilise un bon vert normalisé (IMP/B 30 bis) sur lequel il inscrit en 1re ligne : « Laissé en prêt pour l’intervention de telle adresse, etc. » ;
  • Signer ce bon de prêt contradictoirement avec le commandant des opérations de secours ou un adjoint désigné par ce dernier ;
  • Garder un exemplaire du bon de prêt, remet l’autre au commandant des opérations de secours.
51
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, après l’intervention le COS ou l’adjoint désigné doit ?

A
  • Récapituler (en double exemplaire) les différents bons de prêt ;
  • Signer ce bon de prêt contradictoirement avec le commandant de l’unité du secteur concerné ou son représentant désigné (officier adjoint, chef de remise) ;
  • Garder un exemplaire du bon récapitulatif, remet l’autre ainsi que les différents bons constitutifs au commandant de l’unité du secteur concerné.
52
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, Lorsque l’intervention a pris fin le ss-off chef de remise de la cie du secteur ?

A
  • Récupère les matériels (en cas de récupération partielle, établit un nouveau bon qu’il remet au chef du service de surveillance) ;
  • Assurer la restitution des matériels aux autres unités après collationnement avec les bons de passage en compte et les messages.
53
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, que se passe t-il en cas de litige lorsque la cie ne récupère pas la totalité de son matériel ?

A

Les litiges font l’objet d’un compte-rendu d’accident matériel (CRAMAT) de la compagnie qui ne récupère pas la totalité de son matériel.

54
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE, en cas de litige, que se passe t-il pour le matériel rendu indisponible ?

A

Il peut sur demande du détenteur dépositaire être remplacé temporairement ou définitivement par la compagnie de maintenance dans l’attente du résultat d’une enquête, d’une récupération, etc.

La sortie des comptes des matériels incriminés est assujettie à une décision du commandement.

55
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES, lorsque du matériel est laissé sur les lieux d’intervention après la suppression du service de surveillance, ou pour des opérations particulières telles que le bâchage ou l’étaiement, la procédure pour le CA est la suivante :

A
  • Dresse la liste du matériel laissé sur place ;
  • fait Renseigner trois exemplaires du bon de prise en charge provisoire (IMP/ST 25) et les fait signer par le responsable de l’immeuble ou de l’établissement (en principe le propriétaire ou le sinistré) dès la mise en place du matériel ou lors du retrait du service de surveillance ;
  • Avise ce responsable que le bâchage ou l’étaiement est réalisé à titre de dépannage et qu’il lui appartient de prendre des dispositions pour rendre rapidement le matériel laissé sur place, la durée n’excédant pas un mois.
56
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES, qu’advient-il des 3 exemplaires ?

A

Un exemplaire du bon de prise en charge provisoire (triplicata) est laissé au sinistré qui devra le restituer en même temps que le matériel.

Le duplicata est transmis à la CMAI – Section logistique techniques quinze jours après l’opération si la réintégration n’a pas été possible entre-temps.

Le primata est gardé en instance par le chef de remise de la compagnie du secteur concerné afin qu’il puisse rendre le matériel, lors de la récupération, à la compagnie ayant procédé à la pose ou ayant laissé le matériel sur place après une intervention.

57
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES, comment le CDU du secteur fait-il contrôler le matériel laissé chez un sinistré ?

A

Il fait visiter par un gradé le matériel laissé sur place, fréquemment et au minimum dans la semaine qui suit l’intervention et huit jours avant la date limite prévue pour la récupération.

A ces occasions, le sinistré est invité à se renseigner, auprès de sa compagnie d’assurance, pour les modalités de mise en place de matériel de location.

58
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES, si nécessaire le CDU peut :

A
  • Faire récupérer le matériel à l’expiration du délai d’un mois ;
  • Rendre compte à la CMAI – Section logistique du résultat de la récupération, au cas où il a transmis le « bon de prise en charge provisoire » (IMP/ST 25).
59
Q

MATERIELS EMPLOYES ET LAISSES SUR LES LIEUX D’INTERVENTIONEUX :

PASSAGE EN COMPTE ET RECUPERATION ENTRE PERSONNEL DE LA BRIGADE ET SINISTRES, que se passe t-il pour le CDU si la récupération n’est que partielle ou impossible ?

lorsqu’il est récupéré le CDU a … pour le restituer à … .

A

Si la récupération est impossible ou n’est que partielle dans un délai d’un mois et si le commandant de l’unité du secteur n’est pas lui-même détenteur du matériel, il avise le commandant de l’unité détenteur dépositaire.

Ce dernier adresse alors à la CMAI – Section logistique un CRAMAT motivé de sortie des comptes et de remplacement.

1 mois
A la CMAI.

60
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris possède du matériel en réserve opérationnelle, appelé à servir dans les cas suivants :

A
  • opérations liées à la pollution d’un plan d’eau ;
  • opérations liées aux inondations ;
  • opérations liées aux troubles urbains ;
  • opérations liées aux interventions grandes intempéries ;
  • opérations autres ;
  • opérations véhicules et engins.
61
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Ou sont stockés les matériels de réserve ?

A

sein du magasin (matériels complets) de la section logistique, sur le site de Voluceau.

62
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Composition du lot pollution ?

A
  • 150 épuisettes ;

- 100 bacs plastiques pour récupération de poissons morts.

63
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Composition du lot inondation ?

A
  • 3 000 sacs à terre (vides, à remplir par les intervenants avec moyens de fortune) ;
  • 10 vides caves avec UC comprenant chacune 1 tuyau de 110 X 20
    avec 2 demi- raccords, 1 tuyau de 110 X 20 m avec 1 demi raccord, 1 tricoises de 100 mm ;
  • 24 ESI avec UC comprenant chacune 4 avirons, 1 gaffe de marinier, 6 gilets de
    sauvetage, 1 bouée de sauvetage ;
  • 2 berces de transport pour ESI, chaque berce pouvant emporter 4 ESI avec UC.
64
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Composition du lot troubles urbains ?

A
  • 30 raccords de réduction de 50 X 40 mm ;
  • 30 raccords de réduction de 65 X 50 mm.

Ces raccords sont destinés aux sapeurs-pompiers civils envoyés en renfort des unités de la Brigade.

65
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Inventaire des autres matériels détenus par la CMAI ?

A
  • 40 tuyaux PIL de 110MM X 40M ;
  • Émulseur :
    2000 litres d’émulseur en bidons de 20 litres à 3/6 % ;
    4000 litres d’émulseur en bâche de 1000 litres à 3/6 %.
66
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Quand sont-ils mis en service ?

A

Ces matériels sont mis en service à la demande expresse du COS.

67
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Comment sont-ils acheminés sur intervention ?

A

Ils sont acheminés sur zone par la compagnie de maintenance.

68
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

Comment s’effectue la perception et la réintégration sur zone ?

A

Sous la responsabilité de l’unité en charge de l’intervention (un bon mouvement est établi entre la section LOG de la CMAI et l’unité en charge de l’intervention).

69
Q

MATERIELS, EQUIPEMENT ET FOURNITURES DE LA RESERVE BRIGADE STOCKES A LA CMAI :

L’entretien et le renouvellement de ces matériels de la CMAI sont à la charge de …

A

la CMAI – Section logistique.

70
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Quels sont les mesures communes prisent ?

A

Des caisses de transport sont mises à la disposition des utilisateurs.

71
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures communes, ses caisses doivent être utilisées pour …

A

les transports et il convient de veiller à leur bonne conservation par quelques opérations simples d’entretien (vis à resserrer, clous à remettre, peinture à rénover).

72
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures communes, a quoi faut-il penser lors des échanges mensuels ?

A
  • Eviter le chargement brutal et en vrac d’articles coûteux et fragiles ;
  • Veiller à ne pas aggraver les détériorations ;
  • Fixer solidement sur l’objet à réparer une étiquette sur laquelle sont précisés l’unité, le numéro de nomenclature et la défectuosité constatée (aussi précise et détaillée que possible).
73
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières, seuls les matériels … doivent se trouver dans … .

A
  • prévus par les notices techniques ou les fiches d’unité collective ;
  • les engins.
74
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières, quel est le cas particulier pour l’armement des UC ?

A

Pour les matériels ne figurant pas sur les UC, leur présence et leur utilisation sont couvertes par une note d’ESMAT (essai de matériel).

  • Ils sont placés aux endroits prévus et leur arrimage doit être soigneusement réalisé.
  • Il n’est pas admissible qu’un accessoire puisse tomber sur le sol lors de l’ouverture d’une porte de coffre.
  • Il importe de faire preuve de bon sens, d’initiative et de faire la chasse aux négligences ou aux solutions de facilité.
75
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières, les ARI doivent-être soigneusement …

A

calés dans leurs emplacements et les masques protégés des heurts et des souillures par une housse de protection en toile.

76
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières, dans le cas des tuyaux roulés en écheveaux, outre les précautions mentionnées supra, faire effectuer …

A

un turn-over fréquent avec les tuyaux roulés sur eux-mêmes.

77
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières pour les lances, préserver des heurts les orifices de lances pour éviter leur détérioration et la modification du débit. Les vis des poignées de manœuvre doivent être vérifiées régulièrement et le stockage doit être effectué dans la configuration suivante :

A
  • vanne ouverte ;
  • jet bâton ;
  • position purge.
78
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières pour les injecteurs mobiles a mousse, Outre les incidents consécutifs à un mauvais rinçage après utilisation (collage des billes - clapets), le mauvais fonctionnement est souvent provoqué par …

A

un écrasement ou une déformation du tuyau du tube plongeur qui doit être maintenu allongé et non plié à angle vif.

79
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières pour les crics hydrauliques portables,

A
  • Les maintenir en position basse au repos ;
  • les utiliser selon leur tonnage (peint sur le corps et frappé à froid sur la semelle) ;
  • vérifier (AME) les niveaux d’huile hydraulique ;
  • vis de descente pour purge jamais desserrée à fond.
80
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Mesures particulières pour les échelles a coulisses ?

A

Ne doivent pas être huilées ni graissées, mais doivent subir un nettoyage régulier.

Les talons antidérapants doivent être présents et en excellent état.

Vérifiez également le bon fonctionnement des parachutes.

81
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux véhicules pour transport gaz, Quel que soit le type de véhicule utilisé et la quantité des gaz transportés, il faut impérativement à bord au
moins … extincteurs homologués dans la catégorie transport :

A

2

  • l’un à poudre polyvalente destiné à combattre les feux de moteurs ;
  • l’autre :
    . soit CO2 de 5 kg ;
    . soit à poudre polyvalente de 6 kg.
82
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux véhicules pour transport gaz (à lire) :

A
  • Chaque extincteur doit pouvoir être retiré instantanément de son support.
  • Les bouteilles doivent être solidement arrimées.
    Il est interdit de fumer en chargeant ou en déchargeant les gaz inflammables (que les bouteilles soient vides ou pleines).
83
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux véhicules pour transport gaz, Durant le transport dans les véhicules fermés, il est recommandé d’assurer …

A

ventilation de la caisse afin d’éviter l’accumulation des gaz.

84
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux véhicules pour transport gaz, que doit-il être fait pendant les opérations de chargement et de déchargement ?

A

le moteur du véhicule doit être arrêté.

85
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux bouteilles transportées, les bouteilles doivent obligatoirement comporter …

A

l’étiquette de danger portant le numéro de code du gaz, mis en place par le distributeur titulaire du marché Brigade.

86
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux bouteilles transportées, les étiquettes de danger portant le numéro de code du gaz doivent être conservées en place pendant …

A

toute la durée du transport

87
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux bouteilles transportées, quels véhicules peut effectués leurs transports et en quelle quantité ?

A

seuls les véhicules de servitude sont autorisés à effectuer ce type de transport qui ne doit concerner que des quantités extrêmement limitées.

88
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux bouteilles transportées, la mise en place de panneaux de signalisation est-elle imposée pour leur transport ?

A

Non puisqu’il s’agit de transport occasionnel.

89
Q

TRANSPORT- PROTECTION ET PRESERVATION DU MATERIEL :

Dispositions propres aux bouteilles transportées, les étiquettes de danger doivent être conservées en place pendant toute la durée du transport :

  • un … pour … doivent protéger les robinets des bouteilles.
  • lors du déchargement, éviter … .
  • les … ne doivent être en aucun cas en contact avec … .
  • le transport de personnel avec l’oxygène peut s’effectuer sous réserve que :
  • il est interdit de transporter des … dans la caisse du véhicule transportant des gaz.
A
  • un chapeau et un bouchon de sécurité pour le butane et le propane ;
  • les chocs ;
  • têtes des bouteilles d’oxygène / des corps gras ;
  • . les bouteilles soient calées ;
    . le poids total gaz et bouteilles n’excède pas 300 kg ;
  • liquides inflammables

MANUEL RECUEUIL DE TEXTES EA2 (12 decks)

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