Trouble neurodéveloppementaux Flashcards

1
Q

Quel trouble est caractérisé par des déficits intellectuels et adaptatifs dans les domaines conceptuels, sociaux et pratiques?

A

Handicap intellectuel (trouble du développement intellectuel)

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Q

Le critère A du handicap intellectuel dit qu’il y a un déficit des fonctions intellectuelles. De quelles fonctions s’agit-il?

A

La raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, l’abstraction, le jugement, l’apprentissage scolaire et l’apprentissage par l’expérience

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3
Q

Vrai ou faux. Le critère A du handicap intellectuel doit être confirmé par l’évaluation clinique et les tests d’intelligence individuels standardisés?

A

Vrai

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4
Q

Dans le handicap intellectuel, au critère B le déficit des fonctions adaptatives se traduit par un échec dans l’accession aux normes habituelles de développement socioculturel. Que permettent ces normes?

A

L’autonomie et la responsabilité sociale

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5
Q

Au critère B du handicap intellectuel, si la personne n’a pas d’assistance au long cours, les déficits adaptatifs vont limiter le fonctionnement dans un ou plusieurs champs d’activité de la vie quotidienne tel que?

A

La communication, la participation sociale, l’indépendance, dans des environnements variés tels que la maison, l’école, le travail, la collectivité

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6
Q

Pour le critère C du handicap intellectuel, le début du déficit intellectuel et adaptatif doit avoir lieu à quel moment?

A

Pendant la période du développement

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7
Q

Vrai ou faux. Le terme diagnostique handicap intellectuel a pour équivalent le diagnostic de troubles du développement intellectuel dans la CIM-11 (Classification international des maladies)?

A

Vrai

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8
Q

Quels sont les 4 niveaux de sévérité du handicap intellectuel?

A

1 Léger
2 Moyen
3 Grave
4 Profond

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9
Q

De quel diagnostic d’handicaps intellectuels est-il question? Diagnostic réservé aux sujets de moins de 5 ans quand le degré de sévérité clinique ne peut être évalué avec certitude. Diagnostiqué quand la personne n’accède pas aux stades attendus de son développement dans plusieurs domaines du fonctionnement intellectuel. Requiert une réévaluation ultérieure.

A

Retard global du développement

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10
Q

Le diagnostic d’handicap intellectuel non spécifié est réservé aux sujets de plus de 5 ans quand l’évaluation du degré d’handicap intellectuel au moyen des méthodes disponibles est rendue difficile voire impossible en raison de ?

A

Altérations sensorielles ou physiques, comme lors de cécité, de surdité précédant l’acquisition du langage, de troubles locomoteurs ou de la présence de sévères problèmes de comportement ou d’un trouble mental associé

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11
Q

Quels sont les différents diagnostics des troubles de la communication ?

A
  • Trouble du langage
  • Trouble de la phonation
  • Trouble de la fluidité verbale apparaissant durant l’enfance
  • Trouble de la communication sociale
  • Trouble de la communication non spécifié
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12
Q

Le critère A du diagnostic du trouble du langage se caractérise par des difficultés persistantes d’acquisition et d’utilisation du langage dans ses différentes modalités (parlé, écrit, signes ou autre forme) dues à un manque de compréhension ou de production incluant certains éléments. Quels sont-ils ?

A

1 Vocabulaire restreint (connaissance et utilisation des mots)
2 Carence de structuration de phrases (assembler des mots et les accorder pour faire des phrases grammaticales et morphologiques)
3 Déficience du discours (utilisation du vocabulaire et association des phrases pour exprimer ou décrire un sujet ou une série d’événements, ou pour tenir une conversation)

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13
Q

Vrai ou faux. Le critère B du trouble du langage est des capacités de langage, de façon marquée et quantifiable, inférieures au niveau escompté pour l’âge du sujet ?

A

Vrai

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14
Q

Quelles sont les limitations fonctionnelles résultant du critère B du trouble du langage ?

A
  • La communication efficiente
  • La participation sociale
  • Les résultats scolaires
  • Le rendement professionnel
    Soit de manière isolée, soit dans n’importe quelle combinaison
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15
Q

Au critère C du trouble du langage, les symptômes débutent durant quelle période du développement ?

A

La période précoce du développement

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16
Q

Vrai ou faux. Le critère D dit que les difficultés ne sont pas imputables à un déficit auditif ou à d’autres déficiences sensorielles, à un déficit moteur cérébral ou à une autre affection neurologique ou médicale, et elles ne sont pas mieux expliquées par un handicap intellectuel ou par un retard global du développement ?

A

Vrai

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17
Q

De quel trouble est-il question ? Critère A difficulté persistante de la production de phonèmes interférant avec l’intelligibilité du discours ou empêchant la communication orale de message.

A

Trouble de la phonation

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18
Q

Le critère B du trouble de la phonation stipule que la perturbation réduit l’efficacité de la communication, ce qui compromet un ou plusieurs des éléments suivants. Quels sont ces éléments ?

A
  • La participation sociale
  • La réussite scolaire
  • Les performances professionnelles
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19
Q

Le critère C du trouble de la phonation dit que ?

A

les symptômes débutent pendant la période précoce du développement

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20
Q

De quel trouble est-il question ? Critère D: les difficultés ne sont pas imputables à des pathologies congénitales ou acquises, telles qu’une infirmité motrice cérébrale, une fente palatine, une surdité ou une perte de l’audition, une lésion cérébrale traumatique, ou toute autre affection neurologique ou médicale.

A

Le trouble de la phonation

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21
Q

De quel trouble est-il question ? Critère A: Perturbations de la fluidité verbale et du rythme de la parole ne correspondant pas à l’âge du sujet et aux compétences langagières. Elles persistent dans le temps.

A

Trouble de la fluidité verbale apparaissant durant l’enfance (bégaiement)

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22
Q

Quelles sont les manifestations caractérisant le critère A du trouble de la fluidité verbale apparaissant durant l’enfance ?

A

1 Répétition de sons et de syllabes
2 Prolongation de sons, aussi bien de consonnes que de voyelles
3 Mots tronqués (ex. pauses dans le cours d’un mot)
4 Blocages audibles ou silencieux (pauses dans le discours, comblées par autre chose ou laissées vacantes)
5 Circonlocutions (substitution de mots pour éviter un mot problématique
6 Tension physique excessive accompagnant la production de certains mots
7 Répétition de mots monosyllabiques entiers (ex. je je je je je le vois)

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23
Q

Le critère B du trouble de la fluidité verbale (enfance) dit que la perturbation de la fluidité verbale entraîne une anxiété de la prise de parole ou des limitations à quels niveaux ?

A

Aux niveaux de l’efficience de la communication, de l’interaction sociale, de la réussite scolaire ou professionnelle, soit de manière isolée, soit dans n’importe quelle combinaison

24
Q

Vrai ou faux ? Le critère C du trouble de la fluidité verbale (enfance) dit que les symptômes débutent pendant la période précoce du développement.

A

Vrai

25
Q

Vrai ou faux ?Au critère D du trouble de la fluidité verbale la perturbation n’est pas imputable à un trouble moteur du langage ou à un déficit sensoriel, un trouble de la fluidité en lien avec une atteinte neurologique ou une autre affection médicale, et n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental.

A

Vrai

26
Q

Dans le trouble de la communication sociale (pragmatique) le critère A se défini de la sorte: difficultés persistantes dans l’utilisation sociale de la communication verbale et non verbale, se manifestant par l’ensemble des éléments suivants. Quels sont ces éléments ?

A

1 Déficiences dans l’utilisation de la communication à des fins sociales, comme saluer quelqu’un ou échanger des informations, d’une façon appropriée au contexte social
2 Perturbation de la capacité à adapter sa communication au contexte ou aux besoins de l’interlocuteur, comme s’exprimer de façon différente en classe ou en cour de récréation, parler différemment à un enfant ou à un adulte, et l’emploi d’un langage trop formel
3 Difficultés à suivre les règles de la conversation et de la narration, comme attendre son tour dans la conversation, reformuler ses phrases si l’on n’est pas compris, et savoir comment utiliser les signaux verbaux et non verbaux pour réguler une interaction
4 Difficultés à comprendre ce qui n’est pas exprimé explicitement (sous-entendus) ainsi que les tournures figurées ou ambiguës du langage (idiomes, humour, métaphores, significations multiples devant être interprétées en fonction du contexte)

27
Q

Pour le critère B du trouble de la communication sociale (pragmatique), quelles sont les limitations fonctionnelles que les déficiences entraînent ?

A
  • Communication effective
  • Intégration sociale
  • Relations sociales
  • Réussite scolaire
  • Performances professionnelles
28
Q

À quel moment débute les symptômes du trouble de la communication sociale (pragmatique) (Critère C) ?

A

Pendant la période précoce du développement (aussi possibilité que les déficiences se fasse remarquer seulement au moment où les besoins de communication sociale dépassent les capacités limitées de la personne)

29
Q

De quel trouble est-il question ? Critère D: les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale ou neurologique ni à des capacités limitées dans les domaines du vocabulaire et de la grammaire, et ils ne sont pas mieux expliqués par un trouble du spectre de l’autisme un handicap intellectuel, un retard global du développement ou un autre trouble mental.

A

Trouble de la communication sociale (pragmatique)

30
Q

Vrai ou faux ? Le trouble de la communication non spécifié est utiliser lorsque les problèmes de communications apportent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants, sans que les critères d’un autre trouble soit complètement atteint.

A

Vrai

31
Q

Au critère A du trouble du spectre de l’autisme, les déficits se retrouvent à quel niveau ?

A

Au niveau de la communication et des interactions sociales

32
Q

1 Les déficits de la réciprocité sociale ou émotionnelle, 2 les déficits des comportements de communication non verbaux utilisés au cours des interactions sociales et 3 les déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, sont des exemples des ?

A

éléments constituant le déficit de la communication pouvant être rencontrés dans le trouble du spectre de l’autisme

33
Q

Au critère B du trouble du spectre de l’autisme, les déficits se retrouvent à quel niveau ?

A

Au niveau du caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités

34
Q

Vrai ou faux ? Pour établir le critère B du trouble du spectre de l’autisme, il faut retrouver au moins deux éléments de ce critère au cours de la période actuelle ou dans les antécédents.

A

Vrai

35
Q

1 Caractère stéréotypé ou répétitif des mouvements, de l’utilisation des objets ou du langage, 2 intolérance au changement, adhésion inflexible à des routines ou à des modes comportementaux verbaux ou non verbaux ritualisés, 3 Intérêts extrêmement restreints et fixes, anormaux soit dans leur intensité, soit dans leur but ou 4 Hyper ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement, sont des exemples des ?

A

éléments constituant le caractère restreint et répétitif des comportements, des intérêts ou des activités pouvant être rencontrés dans le trouble du spectre de l’autisme

36
Q

Dans les critères A et B du trouble du spectre de l’autisme, il est important de spécifié la sévérité actuelle. Sur quels éléments repose la sévérité ?

A

1 Les déficits de la communication sociale

2 Les modes comportementaux restreints et répétitifs

37
Q

Au critère C du trouble du spectre de l’autisme les symptômes doivent être présents à quelle étape du développement ?

A

Les étapes précoces du développement (mais peuvent ne pas être pleinement manifestes avant que les demandes sociales dépassent les capacités limitées de la personnes, ou peuvent être masqués par des stratégies apprises)

38
Q

Vrai ou faux ? Le critère D du trouble du spectre de l’Autisme stipule que les symptômes occasionnent un retentissement cliniquement significatif en termes de fonctionnement actuel social, scolaire/professionnel ou dans d’autres domaines importants.

A

Vrai

39
Q

Vrai ou faux ? La déficience intellectuelle et le trouble du spectre de l’autisme sont fréquemment associés.

A

Vrai

40
Q

Qu’est-ce qui permet un diagnostic de comorbidité entre un trouble du spectre de l’autisme et un handicap intellectuel ?

A

L’altération de la communication sociale doit être supérieure à ce qui serait attendu pour le niveau de développement général

41
Q

Vrai ou faux ? Le critère E du trouble du spectre de l’autisme stipule que ces troubles ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel ou un retard global du développement.

A

Vrai

42
Q

Vrai ou faux ? La définition (critère A) du déficit de l’attention/hyperactivité est: un mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité-impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement.

A

Vrai

43
Q

Comment ce définit l’inattention et l’hyperactivité du déficit de l’attention/hyperactivité ?

A

Six (cinq pour les 17 ans et plus) symptômes persistent depuis au moins 6 mois, à un degré qui = pas niv de dév. et affectent directement les activités sociales et scolaires/professionnelles

44
Q

Les symptômes de l’inattention, du déficit de l’attention/hyperactivité, peuvent s’abrégé par l’abréviation PSyÉduCatiOn Très ProDuctiOn. À quoi correspondent chacune des lettres majuscules ?

A

P: difficulté à Prêter attention aux détails, ou fait des fautes d’étourderie dans les devoirs scolaires, le travail ou d’autres activités
S: difficulté à Soutenir son attention au travail ou dans les jeux
É: semble ne pas Écouter quand on lui parle personnellement
C: souvent, ne se Conforme pas aux consignes et ne parvient pas à mener à terme ses devoirs scolaires, ses tâches domestiques ou ses obligations professionnelles
O: difficulté à Organiser ses travaux ou activités
T: souvent, évite, a en aversion, ou fait à contrecoeur les Tâches qui nécessitent un effort mental soutenu
P: Perd souvent ses objets nécessaires à son travail ou à ses activités
D: souvent facilement Distrait par des stimuli externes
O: Oublis fréquents dans la vie quotidienne

45
Q

Les symptômes de l’hyperactivité, du déficit de l’attention/hyperactivité, peuvent s’abrégé par l’abréviation RLCTRPRAI. À quoi correspondent chacune des lettres majuscules ?

A

R: Remue souvent les mains ou les pieds, ou se tortille sur son siège
L: se Lève souvent en classe ou dans d’autres situations où il est supposé rester assis
C: souvent, Court ou grimpe partout, dans des situations où cela est inapproprié
T: souvent incapable de se tenir Tranquille dans les jeux ou les activités de loisir
R: agit souvent comme s’il était “monté sur Ressorts”
P: Parle souvent trop
R: laisse souvent échapper la Réponse à une question qui n’est pas encore entièrement posée
A: difficulté à Attendre son tour
I: Interrompt souvent les autres ou impose sa présence

46
Q

Le critère B du déficit de l’attention/hyperactivité stipule que

A

Plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité étaient présents avant l’âge de 12 ans

47
Q

Le critère C du déficit de l’attention/hyperactivité dit que plusieurs symptômes d’inattention ou d’hyperactivité-impulsivité sont …

A

présents dans au moins deux contextes différents

48
Q

Vrai ou faux ? Au critère D du déficit de l’attention/hyperactivité on doit mettre clairement en évidence que les symptômes interfèrent avec ou réduisent la qualité du fonctionnement social, scolaire ou professionnel.

A

Vrai

49
Q

Vrai ou faux ? Au critère E du déficit de l’attention/hyperactivité il est dit que les symptômes ne surviennent pas exclusivement au cours d’une schizophrénie ou d’un autre trouble psychotique, et ils ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental.

A

Vrai

50
Q

Le trouble spécifique des apprentissages ce définit (critère A) de la sorte: Difficultés à apprendre et à utiliser des compétences scolaires ou universitaires, comme en témoigne la présence d’au moins un des symptômes. Pendant combien de temps le ou les symptômes doivent avoir persisté et cela malgré quoi?

A

Pendant 6 mois, malgré la mise en place de mesures ciblant ces difficultés

51
Q

Les symptômes du trouble spécifique des apprentissages, peuvent s’abrégé par l’abréviation LLÉÉNR. À quoi correspondent chacune des lettres majuscules ?

A

L: Lecture des mots inexacte
L: difficultés à comprendre le sens de ce qui est Lu
É: difficultés à Épeler
É: difficultés d’expression Écrite
N: difficultés à maîtriser le sens des Nombres, les données chiffrées ou le calcul
R: difficultés avec le raisonnement mathématique

52
Q

Vrai ou faux ? Le critère B dit que les compétences scolaires ou universitaires perturbées sont nettement au-dessous du niveau escompté pour l’âge chronologique du sujet, et ce de manière quantifiable.

A

Vrai

53
Q

À quel niveau, le trouble spécifique des apprentissages interfère de façon significative ?

A

les performances scolaires, universitaires ou professionnelles, ou avec les activités de la vie courante

54
Q

Vrai ou faux ? Au critère B du trouble des apprentissages, des antécédents avérés de difficultés d’apprentissages perturbantes peuvent se substituer à une évaluation standardisée, pour les individus de 17 ans et plus.

A

Vrai

55
Q

À quel moment le trouble des apprentissages débutent-ils habituellement (critère C) ?

A

Au cours de la scolarité mais peuvent ne pas se manifester entièrement tant que les demandes concernant ces compétences scolaires ou universitaires altérées ne dépassent pas les capacités limitées du sujet

56
Q

De quel trouble est-il question ? Critère D, les difficultés d’apprentissage ne sont pas mieux expliquées par un handicap intellectuel, des troubles non corrigés de l’acuité visuelle ou auditive, d’Autres troubles neurologiques ou mentaux, une adversité psychosociale, un manque de maîtrise de la langue de l’enseignement scolaire ou universitaire ou un enseignement pédagogique inadéquat.

A

Trouble spécifique des apprentissages