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psychologie cognitive examen 1 > toutes les questions de la matière pcq j'ai pas divisé en chapitres #lazy ass > Flashcards

toutes les questions de la matière pcq j'ai pas divisé en chapitres #lazy ass Flashcards

1
Q

nommez les deux critiques de l’introspection

A
  1. impossible de répliquer les résultats dans des laboratoires indépendants (réponses différentes)
  2. les gens ont-ils vraiment accès aux variables causales ?
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Q

vrai ou faux ?

La perspective béhavioriste observe les comportements humains

A

Vrai

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Q

vrai ou faux ?

Selon les béhavioristes, la pensée n’existe pas . Dans les deux cas, expliquez pourquoi

A

Vrai, pour les béhavioristes, la pensée n’est que le langage en subvocalisation.
Tout est appris dont le langage, la pensée n’est seulement qu’un langage qu’on entend dans notre tête, involontaire/automatique. Le cerveau n’est donc qu’une série de listes d’étapes à suivre selon tel contexte

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4
Q

Nommez les critiques de la perspective béhavioriste

A
  1. Boîte noire : qu’est-ce qui se passe entre S-R?
  2. Plusieurs évoquent des notions telles que les buts, motivations, plans, etc
  3. Insuffisant pour expliquer l’acquisition du langage
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5
Q

nommez deux utilités de l’intelligence artificielle

A
  1. Tester hypothèse sur opérations cognitives

2. Programmer des machine à reproduire comportement intelligent

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6
Q

qu’est ce qu’un input sensoriel ?

A

tout ce qui est dans l’environnement qui est perçu par le corps (interne et externe)

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7
Q

par quoi sont influencés le traitements ascendant et descendants ? (bottom-up et top-down)

A

bottom-up :par les caractéristiques du stimulus

top down : connaissances antérieures, les attentes, etc

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8
Q

nommez le chemin du traitement de l’information

A

Input
⇩
registre sensoriel ⇨filtre (attention)⇆reconnaissance des formes (visuel)
⇆sélection⇆MCT⇆MLT

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9
Q

Nommez les 3 approches pour étudier la cognition

A
  1. psychologie cognitive expérimentale
  2. approche computationnelle
  3. neuropsychologie cognitive
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10
Q

Quelles sont les limites de la psychologie cognitive expérimentale ?

A
  1. validité écologique (ça se passe rarement dans le quotidien/dans la vraie vie)
  2. bases neuronales (on sait pas ça se passe où dans le cerveau)
  3. différences individuelles
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11
Q

Quelles sont les limites de l’approche computationnelle ?

A
  1. validité écologique (ça se passe rarement dans la vraie vie)
  2. portée limitée
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12
Q

Quelles sont les limites de la neuropsychologie cognitive ?

A
  1. on étudie les processus indépendamment des autres facteurs,
  2. les lésions sont rarement spécifiques et localisées
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13
Q

Qu’est ce que qu’une expérience perceptuelle ?

A

Le fait qu’on puisse reconnaître et nommer des objets distincts

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14
Q

Expliquez le principe de base de la théorie des gabarits

A

Nous possédons tous un patron précis dans notre MLT que l’on utilise pour comparer avec l’input sensoriel. Il y a un certain degré de recouvrement entre le patron et l’objet ‘a reconnaître

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15
Q

Nommez les trois problèmes de la théorie des gabarits

A
  1. Différents patrons pour différentes orientations
  2. Grande variabilité des formes
  3. Interprétations multiples d’un même stimulus (la même stimulation peut être interprétée différemment selon le contexte)
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16
Q

Nommez une utilité, dans la vie quotidienne, dans laquelle on utilise la théorie des gabarits

A

les modèles informatiques de reconnaissance d’items (chèque, code barre, pin snap chat)

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17
Q

Nommez le principe de base sur quoi repose la théorie des traits

A

La décomposition des formes en traits constructifs fondamentaux

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18
Q

Vrai ou faux ? L’importance des traits distinctifs dans l’apprentissage et l’identification est un appui théorique qui renforce la validité de la théorie des traits

A

Vrai

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19
Q

Vrai ou faux? Le temps de réaction pour déterminer si des paires de stimuli sont identiques ou non est plus long lorsque les stimuli ont plusieurs traits en commun

A

Vrai, il est plus long de différencier que P et R que G et W

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20
Q

Vrai ou faux? Les processus cognitifs n’ont jamais intéressé personne avant 1950

A

Faux

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21
Q

Le début de l’étude expérimentale des processus cognitifs peut être associée à quelle période ?
A) fin 20e siècle
B) fin 19e siecle
C) début 19e siècle

A

B) fin du 19e siècle en allemagne (Wilhelm Wundt)

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22
Q

Les caricatures ont été utilisées pour démontrer l’importance de quoi ?

A

Les traits distinctifs

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23
Q

Vrai ou faux ? Il existe des neurones neurones associés à la détection de traits, de bordures et d’orientations spécifiques dans le cortex visuel primaire

A

Vrai , c’est un appui neuroanatomique de la théorie des traits qui se centre sur les caricatures

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24
Q

Vrai ou faux ? Selon la théorie des traits, notre reconnaissance est basée sur une liste de traits dans notre MLT

A

Vrai, c’est d’ailleurs une des critiques que l’on attribut ‘a cette théorie (difficile d’analyser les combinaisons/permutations)

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25
Q

si on considère seulement la théorie des traits, est-il possible qu’il y ait de multiples interprétations pour une même forme ?

A

oui, ex : confondre B et 13

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26
Q

Qui suis-je ? Je suis la théorie de reconnaissance de formes qui accorde le plus d’importance aux liens entre les traits, ce qui permet de percevoir une organisation

A

Théories structurelles

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27
Q

Qu’est-ce que les gestalts ?

A

principes fondamentaux de l’organisation de l’information visuelle

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28
Q

Nommez deux principes de regroupement qui permettent d’organiser l’environnement visuel, de le structurer et l’organiser selon la théorie des gestalt

A

absence de regroupement, similarité, proximité, fermeture/complétion, continuité, région commune, connectivité

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29
Q

Vrai ou faux? Les traits sont tous égaux

A

Faux, les sommets des formes (jonction des traits) sont plus importants que les contours

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30
Q

Expliquez brièvement sur quoi repose la théorie des géons

A

Chaque objet visuel serait associé à un nombre de géon qui nous permettrait de structurer l’objet (formes primitives de base : bloc, cylindre, sphère, arc, etc.)

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31
Q

vrai ou faux ? Dans l’expérience de Biederman & Cooper (1993) où il fallait différencier si les géons sont différents et leur taille, il était plus difficile pour les participants de les différencier lorsque les géons sont différents

A

Vrai

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32
Q

Qu’est-ce que l’agnosie visuelle ?

A

c’est un déficit dans l’identification des objets courants

mais avec une acuité visuelle normale

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33
Q

Vrai ou faux? Les connaissances sémantiques ne sont pas préservées/conservées chez une personne souffrant d’agnosie visuelle

A

Faux, les connaissances sont préservées, il y a plutôt un déficit spécifique à l’organisation visuelle pour accéder à l’organisation sémantique

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34
Q

Comment l’agnosie visuelle nous a permis de mieux comprendre la reconnaissance des objets

A

L’agnosie visuelle suggère une indépendance entre le traitement sensoriel, la reconnaissance des formes/objets, et la représentation à long terme de ces objets

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35
Q

Donnez la définition du registre sensoriel

A

Le registre sensoriel contient l’information brute telle que produite par les organes de sens

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36
Q

Vrai ou faux ? Le registre sensoriel permet de maintenir les info sur une longue période de temps

A

Non, quelques milisecondes

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37
Q

Expliquer le rapport partiel dans la tache de Sperling

A

Il faut rapporter une rangée indiquée par un son. On demande au participant de rapporter seulement une partie de l’information. Le son arrive après que l’image soit disparue. L capacité estimée en rapport partiel est plus élevée qu’en rapport complet

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38
Q

Qu’est ce que le masquage ?

A

Lorsque deux informations visuelles sont présentées rapidement en succession dans la même région spatiale,la première information est « effacée » par la nouvelle information (le masque).

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39
Q

Vrai ou faux ? Même si le masque empêche l’identification consciente du stimulus, il peut quand même être traité

A

Vrai

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40
Q

Vrai ou faux ? les stimuli masqués peuvent affecter notre perception des stimuli subséquents

A

Vrai, comme par exemple dans la tendance ‘a reproduire les expressions faciales

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41
Q

Quelle est la différence entre le masquage et le clignement attentionnel ?

A

Le phénomène de masquage est en lien avec les caractéristiques du registre sensoriel.Le premier stimulus a été remplacé si rapidement que l’information qui le concerne n’a pas pu se rendre bien loin dans la chaîne de traitement. Tandis que le clignement attentionnel réfère davantage à l’attention sélective et se produit plus loin dans la chaîne de traitement de l’information. Il s’agit d’un phénomène qu’on pourrait presque dire inverse au masquage: c’est le traitement d’un premier stimulus qui peut nuire au traitement d’un deuxième, si celui-ci est présenté rapidement après le premier

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42
Q

Vrai ou faux ? La relations entre les traits sont particulièrement importants dans la reconnaissance des visages ?

A

Vrai, de plus, le traitement global (holistique) est aussi plus important (visage au complet)

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43
Q

Les visages sont-ils spéciaux ? Nommez les arguments pour

A
  1. Traitement particulièrement holistique
  2. Gyrus fusiforme (traitement des visages dans cerveau)
  3. Prosopagnosie (déficit de reconnaissance spécifique au visage)
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44
Q

Les visages sont-ils spéciaux? Nommez les arguments contre

A
  1. D’autres stimuli activent les aires cérébrales requises pour le traitement des visages, notamment les voitures (pas nécessairement biologiquement déterminé)
  2. L’humain acquiert une certaine expertise (le visage est l‘’objet’’ avec lequel on est le plus en contact, avec lequel on a le + d’expérience)
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45
Q

Nommez les 3 points sur lesquels l’attention met l’emphase

A
  1. aspect volontaire de l’attention
  2. La capacité attentionnelle est limitée
  3. Ignorer est un processus actif
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46
Q

Vrai ou faux ? L’attention est difficile à définir comme un concept unitaire car elle semble regrouper une variété de fonctions: être attiré, porter attention,se concentrer,se préparer et maintenir son attention.

A

Vrai

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47
Q

Dans l’attention sélective, deux types de facteurs influencent la sélection, lesquels ?

A
  1. Endogènes (top down, actifs, volontaires) intérieur

2. Exogènes (bottom up, passifs, involontaires) extérieur

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48
Q

Résumez la tache d’écoute dichotique

A

On envoie deux messages, dans chacune des oreilles du participant et on lui demande de répéter seulement un des deux messages. Pour vérifier où se situe le filtre, on vérifie ce que le participant sait du contenu à ignorer

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49
Q

Quel constat pouvons-nous faire suite à la tache d’écoute dichotique ?

A

La sélection est efficace car il est possible de filtrer l’information qui n’est pas pertinente pour la tâche
(une grande quantité d’information qui est filtrée ne parvient pas à la conscience (MCT))

50
Q

À quelle étape, dans le traitement de l’information, la sélection hâtive du message à traiter (filtre) se fait-elle ?

A

traitement perceptuel

51
Q

À quelle étape, dans le traitement de l’information, la sélection tardive du message à traiter (filtre) se fait-elle ?

A

traitement sémantique

52
Q

nommez les caractéristiques de la sélection hâtive

A

1.Sélection efficace
2.Peu d’information conservée sur les stimuli ignorés
3.Seule l’information perceptuelle est extraite (changement de tonalité/intensité)
3.Changements pourtant « évidents » par remarqués
(changement de langue,mot répété plusieurs fois)

53
Q

nommez les caractéristiques de la sélection tardive

A
  1. Certaines informations sémantiques semblent passer le filtre
  2. s’applique dans le Cocktail party effect
  3. Liste permanente de stimuli qui vont attirer notre attention
  4. Selon le contexte (le contexte nous prépare à accueillir un certain type d’information et le seuil d’attention va être diminué pour accueillit cette information)
  5. Mesure indirectes :
    Réponses physiologiques aux mots émotifs ignorés (même si les gens n’ont pas porté attention à ces mots, on voit une réponse électrothermique à l’écoute de ces mots)
54
Q

Vrai ou faux ? Dans la capacité attentionnelle limité, plus une tâche est simple, plus il y a de ressources libres et plus la sélection sera tardive dans la séquence de traitement de l’information

A

Vrai

55
Q

Qu’est ce que la cécité attentionnelle ?

A

C’est lorsqu’un stimulus qui a été traité d’un point de vue sensoriel n’est pas traité d’un point de vue attentionnel (même au point de fixation, l’observateur ne perçoit pas l’objet inhabituel)

56
Q

Qu’est ce que la cécité au changement ?

A

C’est l’incapacité à détecter un changement dans une scène visuelle. (typiquement observé quand un clignement ou une coupure survient dans la recherche visuelle)

57
Q

Vrai ou faux ? Selon l’expérience de Hollingworth et Henderson (2002), il existe un lien entre détection et le nombre de fixations

A

Faux

58
Q

nommez les deux phénomènes qui illustrent les limites de notre représentation mentale du monde

A
  1. cécité attentionnelle

2. cécité au changement

59
Q

Selon la théorie du canal unique, peut-on faire plusieurs choses en même temps ? Si oui/non, pourquoi ?

A

Non car la théorie du canal unique suggère qu’il existe un goulot d’étranglement dans le traitement de l’information, donc qu’un seul élément peut être traité à la fois. (première tache doit être terminée avant de pouvoir effectuer la deuxième)

60
Q

Quels phénomènes psychologiques (2) appuient la théorie du canal unique?

A
  1. clignement attentionnel

2. période réfractaire psychologique

61
Q

décrivez la tache du clignement attentionnel (blink)

A

On présente une séquence rapide de stimuli avec un nombre de distracteurs (qui varient) dans lesquels il y a deux cibles à identifier (souvent lettres et chiffres)

62
Q

décrivez en quoi consiste la période réfractaire psychologique

A

On présente au participant deux stimuli en succession rapide : S1 (un son) et S2 (un flash lumineux) .Le participant répond par R1 (bouton gauche) ou R2 (bouton droit). Le délai entre la présentation des deux stimuli est manipulé (intervalle inter stimuli)

63
Q

Vrai ou faux ? Pendant la tache qui mesure la période réfractaire psychologique, on effectue deux choses en même temps

A

Faux, on croit qu’on fait deux choses en même temps mais on fait deux tâches rapidement en alternance

64
Q

Qu’est ce qu’un intervalle inter-stimuli ?

A

C’est le temps entre le premier et le deuxième stimulus

65
Q

Comment fait-on pour déterminer la durée de la période réfractaire psychologique ?

A

il faut comparer le temps de réponse au deuxième stimulus (TR2) obtenu dans les deux conditions/expériences
ex: TR2(b) - TR2(a)

66
Q

Vrai ou faux ? Dans la théorie du bassin de ressources générales, plusieurs activités peuvent être menées en même temps, si la quantité de ressources demandées n’excède pas la capacité totale du bassin

A

Vrai

67
Q

Vrai ou faux? Dans la théorie du bassin de ressources générales, si deux tâches requièrent des ressources, il y a un apport insuffisant donc une ￬ de la performance

A

Vrai

68
Q

Pourquoi mesure-t-on la performance résiduelle lors des expériences utilisant des tâches secondaires (subsidiaires) dans la théorie du bassin de ressources générales

A

afin d’étudier les ressources requises par une tâche cognitive

69
Q

Qu’est-ce que l’interférence sélective ?

A

le fait que les processus interfèrent entre eux davantage s’ils partagent des ressources communes
(ex : chanter une chanson en même temps d’avoir une conversation)

70
Q

Quel est le fondement de la théorie des ressources multiples ?

A

Deux tâches peuvent être effectuées en même temps sans coût à la performance si celles-ci ne sollicitent pas le même type de ressources (ressources attentionnelles distinctes pour différents processus)

71
Q

Nommez les caractéristiques des processus contrôles

A
  1. Lents
  2. Demandent des ressources attentionnelles (processus cognitif)
  3. Traitement en série (on ne peut pas traiter l’info en ∥, une chose à la fois)
  4. Accessibles à la conscience
  5. Peuvent être utilisés de façon flexible (interrompus, inhibés, etc)
    Ex : prendre des notes, parler, faire une recette, faire de la bicyclette
72
Q

Nommez les caractéristiques des processus automatiques

A
  1. Rapides
  2. Ne demandent pas d’attention ou d’intention
  3. Traitement ∥
  4. Généralement pas accessibles à la conscience
  5. Inévitables (si le stimulus approprié est présenté, il est toujours enclenché même si c’est en dehors du focus d’attention)
  6. Très difficile à modifier une fois appris
73
Q

Décrivez en quoi consiste le Stroop

A

On présente une liste de mot qu’on demande aux participants de lire. Il y a deux traitements possibles pour un même stimulus :identifier la couleur du stimulus et lire le mot (extraire le sens). On compare les temps de réaction et les erreurs.

74
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus congruent ?

A

Dans la tache de Stroop, le stimulus est congruent lorsque la couleur correspond au sens du mot (sémantique) ex: rouge écrit en rouge

75
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus incongruent?

A

Dans la tache de Stroop, le stimulus est incongruent lorsque la couleur ne correspond pas au sens du mot (pas sémantique) ex: vert écrit en rouge

76
Q

Décrivez en quoi consiste la tache de recherche visuelle

A

Le participant doit identifier deux dimensions soit la couleur et la forme. On détermine si la cible et présente ou absente et on varie le nombre de distracteurs

77
Q

La tache de recherche visuelle permet de déterminer le type de traitement. Si l’effet du nombre de distracteurs sur le temps de réaction⇧on parle alors de traitement…

A

traitement sériel

78
Q

La tache de recherche visuelle permet de déterminer le type de traitement. Si l’effet du nombre de distracteurs sur le temps de réaction ⇨ on parle alors de traitement…

A

traitement parallèle

79
Q

Qu’est-ce que l’effet pop-out ?

A

Les singletons d’attributs (trait distinctif) captent l’attention. De plus l’Inspection de conjonction est plus exigeante (jumeler la couleur et la forme : demande plus de ressources cognitives)

80
Q

Donnez la définition de la MCT

A

C’est la structure qui permet le maintien de l’information qui a été sélectionnée depuis le registre sensoriel.
C’est une interface avec la mémoire à long terme

Elle peut aussi être définit comme étant l’ensemble des processus permettant de maintenir active et de manipuler l’information nécessaire aux activités courantes

81
Q

à quoi sert le mécanisme d’auto-répétition dans la MCT?

A

C’est le mécanisme utilisé pour que l’information soit maintenue dans la MCT

82
Q

Quelles sont les trois sources d’informations en MCT?

A

Les informations entrantes depuis le registre sensoriel et les informations récupérées depuis la MLT. Il y a aussi, les informations produites par les activités cognitives réalisées en MCT

83
Q

Définissez la tache de rappel sériel et ce quelle implique

A

C’est une tâche classique utilisée pour mesurer la capacité de la mct (combien d’infos peut-on maintenir en tête ). Le matériel à mémoriser est présentée en ordre, un item à la fois (en série). On présente des listes de longueurs différentes et on calcule le % correct pour chaque longueur. L’ordre est très important

84
Q

Qu’est-ce qu’un empan mnésique/mnémonique ?

A

C’est la capacité du nombre d’items, lettres, mots, formes, endroits, etc, pouvant être gardés actifs simultanément en mémoire

85
Q

Que représente le magic number 7 ?

A

7±2 items, c’est le nombre d’items de référence qui peuvent être gardés à l’esprit dans une tâche de jugement perceptuel

86
Q

Vrai ou faux ? peu importe l’unité utilisée, l’empan mnésique demeure le même

A

Faux, l’empan dépend de l’unité utilisée :
Chiffres : 8.0
Lettres : 7.1
Mots courts : 5.5

87
Q

Nommez les 3 façons de définir un item (par un regroupement de stimuli)

A
  1. Un regroupement de stimuli rapprochés dans le temps
  2. Un regroupement de stimuli rapprochés dans l’espace (ex: JNB PWE YHB)
  3. Un regroupement de stimuli ayant une signification (ex: PFKLCNTVA)
88
Q

Vrai ou faux ? Le fait que la mémorisation d’items avec une signification est plus facile (p. ex. RDI vs WGU) démontre que la MLT joue un rôle dans le fonctionnement de la MCT.

A

Vrai

89
Q

Vrai ou faux ? Un ensemble connu (ayant une signification) est plus facile à mémoriser.

A

Vrai

90
Q

Qu’est-ce qu’un regroupement (chunk)?

A

C’est une unité d’information qui correspond à quelque chose (une connaissance) en MLT

91
Q

La tâche de Brown & Peterson présente une liste d’items à mémoriser. Les participants doivent ensuite effectuer une tâche distractrice, typiquement du comptage à rebours à voix haute. Est-il vrai d’affirmer que cette tâche empêche l’auto répétition ?

A

Oui, cette tâche empêche l’auto répétition, on peut donc mesurer la trace de la MCT

92
Q

Nommez deux causes de l’oubli en MCT

A
  1. Estompage : passage du temps

2. Interférence : nouvelles infos en MCT

93
Q

Vrai ou faux ? L’interférence rétroactive stipule que c’est le matériel déjà en mémoire qui diminue l’efficacité de la récupération du nouveau matériel

A

Faux, c’est plutôt l’interférence proactive

94
Q

Dans une tache de rappel libre une série d’items est présentée, un item à la fois, et le participant les rappelle dans n’importe quel ordre. Peut-on affirmer que les premiers items rapportés par les participants bénéficient plus du phénomène de l’interférence ?

A

Oui car ce sont les premiers éléments. Souvent, ce seront ceux qui seront les plus rapportés (nombre de répétitions plus élevé)

95
Q

Vrai ou faux ? La primauté associée à un transfert en MLT

A

Vrai

96
Q

Vrai ou faux ? La récence associée à une récupération en MCT ?

A

Vrai

97
Q

Pourquoi est-il plus difficile de se rappeler des items du milieu dans la tache de rappel libre ?

A

Parce que les éléments du milieu ont un effet de primauté ET de récence (comprimés entre les premiers et derniers éléments)

98
Q

Qu’est-ce que l’effet de similitude phonologique ?

A

C’est le principe selon lequel la capacité de la MCT est diminuée lorsque les stimuli sont similaires phonologiquement (erreurs ⇧)

99
Q

Vrai ou faux ? Le rythme de prononciation selon la langue a de l’influence sur l’effet de longueur du mot

A

Vrai car on transpose le stimulus visuel en stimulus acoustique (chinois < anglais)

100
Q

Vrai ou faux ? l’empan sera forcement plus petit pour un mot plus court

A

Faux, c’est le contraire, l’empan sera plus grand pour un mot plus court

101
Q

Vrai ou faux ? le nombre de lettres n’a pas d’importance mais c’est le nombre de sons différents qui importe

A

Vrai, le rappel sera facilité pour les mots avec moins de syllabes

102
Q

Quelle est la différence majeure entre Sperling et Rumelhart ?

A

Rumelhart suppose que la reconnaissance se produit par identification des traits d’une forme (+ de temps = + grand nombre de traits qu’il peut reconnaître

103
Q

Alors que dans sa tache Sperling propose que les sujets peuvent rapporter une moyenne de 4,5 lettres dans le rapport intégral en raison d’une limitation de la mémoire, Rumelhart considère plutôt que ce résultat se traduit à cause d’une limitation….

A

une limitation perceptive

104
Q

Vrai ou faux ? À mesure que le registre d’information se dégrade, non seulement le temps disponible pour l’utiliser diminue mais il devient aussi plus difficile à utiliser car il est de moins en moins précis

A

Vrai, c’est Rumelhart qui en arrive à cette conclusion

105
Q

Qu’est-ce que l’effet de supériorité du mot ?

A

C’est le principe qui explique qu’une lettre est mieux reconnue lorsqu’elle fait partie d’un mot que lorsqu’elle apparaît seule ou dans un non-mot (ex : le b parait plus évident dans le mot : “table”, que dans “haynb”)

106
Q

Vrai ou faux ? L’effet de supériorité du mot est un exemple de traitement bottom-up

A

Faux, c’est un exemple de traitement top-down à cause du contexte verbal du mot

107
Q

Le modèle d’activation interactive qui nous a permis d’expliquer l’effet de supériorité du mot repose sur une hypothèse, laquelle ?

A

La perception visuelle implique un traitement parallèle. Premièrement, toutes les lettres sont traitées simultanément ainsi que la reconnaissance qui a lieue dans trois niveau d’abstraction différents.

108
Q

Quels sont les 3 niveaux d’abstractions différents où

la reconnaissance a lieu dans le traitement parallèle du modèle d’activation interactive ?

A
  1. le niveau : trait
  2. le niveau: lettre
  3. le niveau : mot
109
Q

Quels sont les deux types de connexions entre les 3 niveaux d’abstraction du modèle d’activation interactive ?

A
  1. connexions excitatrices : réaction positive à un indice pour un concept (ex: une ligne verticale réforme la possibilité qu’une lettre soit k)
  2. connexions inhibitrices : réaction négative à un indice pour un concept (ex: une ligne verticale fournit un témoignage négatif pour la lettre C)
110
Q

Nommez une faille du modèle d’activation interactive

A

Toutes les lettres d’un mot doivent être placées dans l’ordre exact

111
Q

nommez les 6 éléments qui composent les modèles de réseau neuronal

A
  1. Une série d’unités de traitement sont appelés nœuds
  2. les nœuds sont reliés par un patron de connexions (excitatrices ou inhibitrices)
  3. Les règles d’activation spécifient la façon dont les nœuds combinent les inputs excitateurs et inhibiteurs
  4. L’état d’activation détermine l’activation des nœuds à divers degrés
  5. Les fonctions d’output des nœuds établissent un lien entre les niveaux d’activation et les outputs
  6. La règle d’apprentissage opère le changement entre les connexions et les nœuds
112
Q

Quels sont les avantages du réseau neuronal ?

A
  1. Ce modèle dépeint plus fidèlement le fonctionnement du cerveau
  2. Ce modèle révèle la manière dont nous apprenons
  3. Ce modèle prend en compte simultanément les contraintes plus faibles
113
Q

Selon le modèle du filtre de Broadbend, à quelle étape du traitement de l’information l’effet de goulot se produit-il ? Et quelle structure détermine quelle information atteindra cette étape ?

A

À l’étape de la reconnaissance des formes et c’est l’attention

114
Q

Vrai ou faux? Dans le modèle du filtre de Broadbend, l’étape de la reconnaissance des formes est protégée par le filtre (l’attention) contre les surcharges d’informations perceptives

A

Vrai, on parle alors du canal perceptif à capacité limitée

115
Q

Dans le modèle de l’atténuation de Treisman, on présente des messages différents au participant et il doit les répéter a voix haute immédiatement. On parle d’effet de contexte et de seuil . Définissez ces deux concepts

A

L’effet de contexte représente l’influence du contexte environnant sur la reconnaissance des formes tandis que le seuil représente l’intensité minimum nécessaire pour faire la reconnaissance d’un mot.

116
Q

Vrai ou faux ? Dans le modèle de l’atténuation de Treisman, le seuil varie selon les mots

A

Vrai, certains mots ont des seuils plus bas que d’autres ce qui leur permettra d’être plus facilement reconnus

117
Q

Expliquez le phénomène de l’atténuation

A

L’atténuation représente la diminution de la force sonore d’un message auquel on ne prête pas attention. Donc, les mots du canal ignoré sont entendus subjectivement moins forts que les mots du canal écouté.

118
Q

Quelles sont les deux étapes les plus importantes dans le modèle de la mémoire sélective de Deutsch ? Expliquez pourquoi

A

L’étape de la reconnaissance des formes et celle de la sélection car les deux messages sont reconnus mais seuls les mots que la sélection autorise à entrer dans la mémoire pourront être rappelés

119
Q

Le modèle de la capacité de Kahneman soutient que le volume de capacité disponible varie en fonction du niveau d’activation de certaines taches. Que reflètent alors les dispositions permanentes et les intentions temporaires dans ce modèle ?

A
  1. Les dispositions permanentes reflètent les règles de l’attention involontaire (ex: le fait d’entendre son propre nom)
  2. Les intentions temporaires reflètent nos objectifs spécifiques (volontaire) (ex : chercher quelqu’un dans une foule)
120
Q

Vrai ou faux ? L’attention involontaire est influencée par l’attention volontaire (dans le modèle de la capacité)

A

Vrai, lorsque l’on a montré à des participants des cibles dans lesquels allaient se présenter les symboles = ou X et un indice sur une de ces cibles, l’attention involontaire portée à l’indice dépendait de l’attention volontaire portée à une caractéristique spécifique de la cible
(ex: si la cible se basaient sur la couleur pour sélectionner la cible, il fallait aussi que l’indice soit en couleur pour qu’il attire l’attention)

121
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage incident ?

A

Type d’apprentissage qui se produit en l’absence d’un effort conscient. Nous disposons d’informations fréquentielles, spatiales et temporelles même lorsque nous ne tentons pas d’apprendre celles-ci. (ex: on sait qu’un mot est plus susceptible de commencer par la lettre t que par la lettre z)

122
Q

Nommez les deux applications potentielles des études sur l’attention et en quoi elles consistent

A
  1. L’entrainement des jeunes conducteurs (programme d’entrainement qui consiste a déplacer des cibles rouges et jaunes dans secteurs à risque lors d’une conduite simulée) - permet de mesurer l’attention sélective vis-à-vis des aspects critiques de l’environnement
  2. L’utilisation des téléphones cellulaires (suivre la trace d’une cible sur un ordinateur puis appuyer sur un bouton lorsqu’un signal lumineux était rouge tout en écoutant de la musique ou en ayant un cellulaire) - Les conducteurs n’encodent pas aussi bien l’information visuelle lorsqu’ils sont dans une conversation

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