théorie de la personnalité (Chap1) Flashcards

1
Q

Que cherche à comprendre l’étude scientifique de la personnalité ?

A

À comprendre ce que nous sommes et pourquoi nous sommes ainsi. (p.3)

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2
Q

Les individus se ressemblent à bien des égards, pourtant ils sont différents à bien d’autres. V/F

A

Vrai (p.3)

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3
Q

Qu’est ce qui attire l’étudiant dans le psychologie de la personnalité?

A

c’est de trouver l’ordre et des rapports significatifs dans un labyrinthe complexe.(p.3)

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4
Q

La notion de personnalité invoque des caractéristiques psychologiques communes à tous les êtres humains, à la nature humaine ainsi qu’aux différences individuelles. V/F

A

Vrai (p.3)

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5
Q

Ce livre ne pourra sans doute pas répondre à toutes les questions que se posent ceux qui s’intéressent à la person- nalité, mais il fournira un certain nombre de réponses, ainsi qu’une manière de penser et d’étudier l’être humain. V/F

A

Vrai (p.3)

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6
Q

À quoi s’intéresse le psychologue de la personnalité ?

A

aux similitudes et aux différences entre les individus. (p.3)

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7
Q

Le théoricien de la personnalité s’intéresse également à l’ensemble de la personne et essaie de comprendre en quoi les différents aspects du fonctionnement de l’individu sont reliés entre eux. V/F

A

Vrai (p.3)

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8
Q

Comment fonctionne les individus ?

A

comme des ensembles organisés (p.3)

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9
Q

c’est à la lumière d’une telle organisation que nous devons les comprendre (Magnusson, 1999) V/F

A

Vrai (p.3)

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10
Q

Définir la personnalité ?

A

Représente les caractéristiques de la personne auxquelles renvoie sa manière habituelle de sentir, de penser et de se comporter (p.4)

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11
Q

On considérera une définition comme utile si elle permet à la psychologie de la personnalité de progresser en tant que science. V/F

A

Vrai (p.4)

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12
Q

Qu’exige l’exploration scientifique de notre part?

A

des efforts systématiques pour que nous parvenions à découvrir et à expliquer les cons- tances de la pensée, des émotions et des comportements manifestes de l’individu dans sa vie quotidienne.

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13
Q

Notre tâche de chercheur consiste à élaborer des théories qui permettent seulement d’observer ces constances. V/F

A

Faux permet d’observer et d’expliquer ces constances (p.4)

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14
Q

Que propose toute théorie de la personnalité?

A

des façons d’organiser et de systématiser un large éventail de phénomènes. (p.4)

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15
Q

que suggère t-elle aussi ?

A

des orientations utiles à la recherche. (p.4)

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16
Q

De façon générale, les théories nous permettent de réunir ce que nous savons déjà et nous proposent des moyens de découvrir ce que nous ne savons pas encore. V/F

A

Vrai (p.4)

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17
Q

les trois questions :

A

1) Quelles sont les caractéristiques des individus ?
2) Comment sont-ils devenus ce qu’ils sont ?
3) Pourquoi agissent-ils comme ils le font ?
(p. 4)

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18
Q

La question 1 se rapporte aux caractéristiques de la personne et à leurs interactions : l’individu est-il honnête, persévérant, manifeste-t-il un grand besoin d’accomplis- sement ? V/F

A

Vrai (p.5)

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19
Q

a question 2 concerne les déterminants de la personnalité de l’individu : dans quelle mesure et de quelle façon les facteurs génétiques et environnementaux interagissent-ils pour produire ce résultat ? V/F

A

Vrai (p.5)

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20
Q

La question 3 renvoie aux motivations : qu’est-ce qui pousse un individu à vouloir faire fortune ? un enfant à vouloir obtenir de bons résultats scolaires ? une mère à surprotéger son enfant ? V/F

A

Vrai (p.5)

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21
Q

quels sont les 5 aspects ?

A

la structure, le processus,la croissance et le développement, la psychopathologie et le changement de comportement. (p.5)

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22
Q

Le concept de structure se rapporte aux aspects les plus stables et durables de la personnalité, c’est-à-dire aux composantes de base de la théorie de la personnalité. V/F

A

Vrai (p.5)

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23
Q

De quelles concepts se rapportant à la structure s’est-on beaucoup servi ?

A

la réaction, l’habitude, le trait et le type. (p.5)

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24
Q

Le concept de trait s’applique à la stabilité de la réaction de l’individu dans une variété de situations et il peut être assimilé à ce que les profanes entendent ordinairement. V/F

A

Vrai (p.5)

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25
Q

Le concept de type est un regroupement de même traits V/F

A

Faux (p.5)

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26
Q

qu’indique-t-il ?

A

un degré supérieur de régularité et de généralité du comportement par rapport au simple trait. (p.5)

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27
Q

Comment se distingue les théories de la personnalité ?

A

par la façon dont elles organi- sent hiérarchiquement les composantes structurelles. (p.6)

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28
Q

Selon la hiérarchie adoptée, les composantes structurelles ont alors plus ou moins de poids et, par conséquent, contrôlent ou non le fonctionnement des composantes secondaires. V/F

A

Vrai (p.6)

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29
Q

Peut-oncaractériser les théories de la per- sonnalité par le nombre et le type de composantes structurelles qu’elles préconisent ainsi que par l’intérêt qu’elles accordent à la complexité ou à l’organisation du système. V/F

A

Vrai (p.6)

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30
Q

Il est aussi possible de comparer les théories en examinant les concepts motiva- tionnels dynamiques sur lesquels elles s’appuient pour expliquer le comportement. V/F

A

Vrai (p.6)e concept hédoniste, qui met en relief la recherche du plaisir et l’évitement de la douleur, sous-tend deux modèles : le modèle de réduction de la tension et le modèle de l’incitation.

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31
Q

Ces concepts se rapportent au comportement en tant qu’ensemble de Modèle de réduction de la tension. V/F

A

Faux (p.6)

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32
Q

Nommer les 3 grandes catégories de concepts motivationnels ?

A

les motivations de recherche de plaisir et d’évitement de la douleur, les motivations de croissance ou d’actualisation de soi et les motivations cognitives. (p.6)

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33
Q

Le concept hédoniste, qui met en relief la recherche du plaisir et l’évitement de la douleur, sous-tend deux modèles : le modèle de réduction de la tension et le modèle de l’incitation. V/F

A

Vrai (p.6)

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34
Q

comment un théoricien important de la personnalité qualifie ces modèles ?

A

théorie du bâton et théorie de la carotte (p.6)

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35
Q

Selon le modèle de réduction de la tension (bâton), des besoins internes, par exemple physiologiques, poussent l’individu à agir ; ceux-ci créent chez lui des tensions qu’il cherche à réduire par la satisfaction des besoins en question. V/F

A

Vrai (p.6)

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36
Q

Sur quoi le modèle de l’incitation (carotte) met-elle l’accent?

A

met l’accent sur un objet externe (un incitateur) qui attire ou repousse (pull) l’individu. (p.6)

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37
Q

modèle de l’incitation: On s’intéresse alors aux résultats, aux buts ou aux récompenses que l’individu cherche à atteindre, comme la richesse, la gloire, l’acceptation sociale ou le pouvoir. V/F

A

Vrai (p.7)

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38
Q

À la différence de ces théories axées sur le plaisir, d’autres soulignent les efforts de l’organisme pour se développer et se réaliser. V/F

A

Vrai (p.7)

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39
Q

selon cette approche que cherche l’individu ?

A

à se développer et à réaliser son potentiel, même au prix d’une tension accrue. (p.7)

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40
Q

Enfin, dans les théories cognitives de la motivation, on accorde de l’importance aux efforts de l’individu pour comprendre et prédire les événements qui surviennent dans son environnement. V/F

A

Vrai (p.7)

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41
Q

D’après ces théories, que manifeste-t-elles ?

A

un besoin de stabilité ou de connaissance plutôt qu’un besoin de plaisir ou d’actualisation de soi. (p.7)

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42
Q

L’individu peut chercher à maintenir une image de soi stable et à s’assurer que les autres se comportent d’une manière prévisible ; dans ce cas, il privilégie la stabilité et la prévisibilité, même au prix de la douleur ou de l’inconfort V/F

A

Vrai (p.7)

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43
Q

l’individu peut à l’occasion préférer un événement désagréable si ce dernier permet de rendre l’environnement plus stable et plus prévisible (Swann, 1992, 1997). V/F

A

Vrai (p.7)

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44
Q

À chaque époque ses théories de la motivation V/F

A

Vrai (p.8)

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45
Q

Jusqu’aux années soixante, les théories de la motivation basées sur les pulsions internes étaient assez répandues. La baisse de l’intérêt manifesté à l’égard des pulsions et de la réduction de la tension a par la suite favorisé l’émergence des modèles de croissance et d’actualisation de soi. V/F

A

Faux (p.8)

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46
Q

Qu’observe-t-on dans la foulée dela révolution cognitive des années soixante ?

A

un intérêt marqué pour les motivations cognitives de stabilité et de prévisibilité. (p.8)

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47
Q

De nos jours, on constate un regain d’intérêt pour les théories dites des buts, qui présentent une vision de l’individu cherchant activement à atteindre des objectifs déterminés. V/F

A

Faux (p.8)

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48
Q

les théoriciens de la personnalité ont tendance à s’en tenir à un seul modèle de motivation. V/F

A

Vrai (p.8)

49
Q

il se peut que l’individu manifeste divers types de motivation à l’occasion : la quête de plaisir sous la forme de la réduction de la tension ou de l’atteinte d’un objectif, la recherche d’actualisation de soi ou encore la recherche de stabilité et de prévisibilité cognitives. V/F

A

Vrai (p.8)

50
Q

Nommer les deux catégories de déterminants de la personnalité ?

A

les déterminants génétiques et les déterminants environnementaux. (p.8)

51
Q

C’est la fameuse controverse nature-culture, la nature correspondant à la contribution des gènes, et la culture à l’importance du milieu. V/F

A

Vrai (p.8)

52
Q

Manifestement, les deux types de déterminants comptent beaucoup dans la formation de la personnalité. V/F

A

Vrai (p.8)

53
Q

Quel rôle joue les facteurs génétiques ?

A

Un rôle clé dans le développement de l’intelligence et du tempérament. (p.9)

54
Q

Facteurs génétiques : un rôle important dans celui des valeurs, des idéaux et des croyances. V/F

A

Faux (p.9)

55
Q

On dit souvent que les parents sont des « environnementalistes » à la nais- sance de leur premier enfant, mais qu’ils deviennent des « V/F

A

Vrai (p.9)

56
Q

les gènes contribuent à façonner nos différences en tant qu’êtres humains et nos ressemblances en tant qu’individus. V/F

A

Faux (p.10)

57
Q

Parmi les déterminants environnementaux de la personnalité, les expériences individuelles que nous vivons en tant que membres d’une culture donnée sont primordiales. V/F

A

Vrai (p.10)

58
Q

Chaque mode de comportement parental a un effet sur le développement de la personnalité de l’enfant. V/F

A

Vrai (p.11)

59
Q

Les parents influencent le comportement de leurs enfants d’au moins trois façons : nommer-les

A

1) Par leurs comportements, ils créent des situations qui suscitent un certain com- portement chez l’enfant (par exemple, la frustration entraîne l’agressivité).
2) Ils agissent en qualité de modèles auquel l’enfant peut s’identifier.
3) Ils récompensent certains comportements plutôt que d’autres.
(p. 11)

60
Q

Pourquoi les enfants d’une même famille sont si différents ?

A

La réponse réside non seulement dans les différences constitutionnelles (biologiques) entre frères et sœurs, mais aussi dans les expériences variées qu’ils vivent dans leur famille et à l’extérieur de celle-ci (p.11)

61
Q

À la surprise générale, les expériences individuelles (dans le milieu non partagé) peuvent s’avérer plus mar- quantes pour le développement de la personnalité que les expériences communes (au sein de la famille). V/F

A

Vrai (p.11)

62
Q

On laisse donc entendre que les enfants font de nombreux apprentissages à la maison, mais que ceux-ci sont restreints au milieu familial et qu’ils s’effacent souvent devant la pression au conformisme exercée par leurs pairs. V/F

A

Vrai (p.12)

63
Q

À quoi sert un groupe d’amis ?

A

sert à socialiser l’individu en l’amenant à accepter de nouvelles règles de comportement et lui procure des expériences qui auront des effets durables sur le développement de sa personnalité. (p.12)

64
Q

Selon cette approche, les liens parentaux sont importants au début du développement, mais ce sont les relations avec les pairs qui assurent le développement ultérieur plus durable de la personnalité. V/F

A

Vrai (p.12)

65
Q

Pour expliquer les divers aspects du comportement humain, que doit offrir une théorie global de la personnalité?

A

ffrir des analyses permettant de comprendre pourquoi certains individus sont en mesure de gérer le stress de la vie quotidienne et sont en général heureux, alors que d’autres présentent des comportements psychopathologiques. (p.13)

66
Q

une telle théorie doit proposer des psychothérapies ou des moyens de modifier les formes pathologiques de comportement. V/F

A

Vrai (p.13)

67
Q

Que doivent expliquer les théoriciens de la personnalité?

A

le processus de changement ou de résistance au changement et indiquer pourquoi certains individus acceptent de changer et d’autres non. (p.13)

68
Q

Les théories actuelles de la personnalité reposent en général sur une conception philosophique de la nature humaine. V/F

A

Vari (p.14)

69
Q

Théorie actuelle de la personnalité: Que dit la première théorie ?

A

La personne est un être qui raisonne, choisit et décide (approche rationnelle) (p.14)

70
Q

Théorie actuelle de la personnalité: Que dit la seconde théorie ?

A

Elle est un animal irrationnel agissant sous la force de ses pulsions (approche psychodynamique) (p.14)

71
Q

Théorie actuelle de la personnalité : la troisième ?

A

La personne est un organisme qui réagit automatique- ment aux stimuli extérieurs (approche mécaniste). (p.14)

72
Q

Théorie actuelle de la personnalité : la quatrième ?

A

lle est un être qui traite l’information à la manière d’un ordinateur (approche du traite- ment de l’information) (p.14)

73
Q

Cette dernière approche diffère de la première en ce qu’elle ne suppose pas que les processus cognitifs sont parfaits et purement rationnels. V/F

A

Vrai (p.14)

74
Q

Que doit-on tenir compte selon les théoriciens de la personnalité ?

A

tenir compte des facteurs internes et des événements du milieu environnant pour définir le comportement. (p.15)

75
Q

Ils convergent toutefois sur l’importance accordée aux uns et aux autres. V/F

A

Faux (p.15)

76
Q

Depuis la publication de l’ouvrage de Mischel, la controverse au sujet des variables internes et externes (ou personne-situation) a suscité beaucoup d’intérêt. V/F

A

Vrai (p.15)

77
Q

Il y eut un premier débat pour déterminer si ce sont les individus ou les situations qui régissent le comportement, puis un second pour établir lesquelles des variables personnelles ou des variables situationnelles sont les plus déterminantes. V/F

A

Vrai (p.15)

78
Q

Sur quoi insistent les chercheurs ?

A

sur l’interaction des variables personnelles et situationnelles, malgré la persistance de désaccords fondamentaux. (p.15)

79
Q

Même lorsque les personnes, les situations et les interactions sont considérées comme des facteurs importants V/F

A

Vrai (p.15)

80
Q

il subsiste des différences théoriques quant à l’identification des facteurs internes et externes, et aux types d’interaction. V/F

A

Vrai (p.15)

81
Q

Certains théoriciens de la personnalité soulignent l’importance de la continuité de la personnalité au fil du temps (Caspi et Roberts, 1999). V/F

A

Vrai (p.16)

82
Q

Selon cette perspective, l’enfant « est le père de l’homme » et, lorsque l’individu atteint l’âge de vingt-cinq ans environ, sa personnalité est déjà fixé (Costa et McCrae, 1994). V/F

A

Faux (p.16)

83
Q

En revanche, d’autres théoriciens de la personnalité font valoir le peu de continuité entre l’enfance et l’âge adulte (Lewis, 1999). V/F

A

Vrai (p.16)

84
Q

Selon cette approche, on ne s’étonne pas qu’il soit si difficile de prédire ce que deviendra l’enfant et l’on comprend que l’adulte adopte des modes de comportement fort différents de ceux de son enfance.V/F

A

Vrai (p.16)

85
Q

Que soutiennent certains psychologues ?

A

la prévisibilité du comportement de l’enfance à l’âge adulte est très limitée, étant donné tous les événements fortuits qui jouent un rôle dans le développement humain (p.16)

86
Q

La stabilité de la personnalité est une question simple et les réponses reposent en partie sur l’aspect qui est pris en considération. V/F

A

Faux (p.16)

87
Q

il n’y a pas de consensus parmi les théoriciens de la personnalité au sujet du degré de stabilité du comportement dans l’ensemble des situations et au fil du temps.V/F

A

Vrai (p.16)

88
Q

Que traduit généralement le comportement humain?

A

une structure, une organisation et une intégration. (p.17)

89
Q

Traditionnellement, on a mis l’accent sur le soi en tant que concept pour trois raisons : d’abord, parce que la conscience que nous avons de nous-mêmes représente un aspect important de notre expérience phénoménologique ou subjective ; ensuite, parce que de nombreuses recherches révèlent que la façon dont nous nous percevons influe sur notre comportement dans de nombreuses situations ; enfin, comme l’avons mentionné précédemment, parce que le soi en tant que concept est une hypothèse qui permet de rendre compte des aspects organisés et unifiés du fonctionnement de la personnalité humaine. V/F

A

Vrai (p.17)

90
Q

S’interrogeant sur la nécessité de recourir au soi en tant que concept, l’éminent théoricien Gordon Allport (1958) laisse entendre que de nombreux psychologues qui ne se sont pas appuyés sur la notion en question ont été incapables d’expliquer l’intégration, l’organisation et l’unité de la personne humaine.V/F

A

Vrai (p.17)

91
Q

Quelles sont les préoccupations des psychologues ?

A

a façon d’expliquer les aspects organisés de la person- nalité et l’utilité du soi en tant que concept dans ce rôle. (p.17)

92
Q

Quelle est l’autre grand débat chez les théoriciens ?

A

La conceptualisation du rôle des différents états de conscience dans le fonctionnement de l’individu. (p.17)

93
Q

Dans l’ensemble, ils reconnaissent que nous ne sommes pas toujours attentifs ou sensibles aux facteurs qui influent sur notre comportement. V/F

A

Vrai (p.18)

94
Q

Pourquoi il y a des réserves sur la théorie de l’inconscient élaboré par Freud ?

A

ils ont l’impression que l’inconscient, tel que Freud le définit, sert à expliquer trop de phénomènes et qu’il ne se prête pas à l’investigation empirique. (p.18)

95
Q

Qu’englobe la personnalité ?

A

les cognitions (les processus de la pensée), les affects (les émotions et les sentiments) et le comportement manifeste.(p.18)

96
Q

Tous les psychologues ne considèrent pas que ces trois aspects méritent également d’être étudiés et, même lorsqu’ils en conviennent, ils ne décèlent pas entre ceux-ci les mêmes interactions. V/F

A

Vrai (p.18)

97
Q

Que privilégie le béhaviorisme radical ?

A

privilégie l’étude du comportement manifeste et rejette celle de processus internes comme les pensées et les émotions. (p18)

98
Q

des théories cognitives sont apparues et ont établi leur emprise sur la psychologie de la personnalité. V/F

A

Vrai (p.18)

99
Q

Qu’assiste-t-on depuis quelques années ?

A

à un regain d’intérêt pour l’étude des affects proprement dits et de leurs répercussions sur la pensée et la conduite.(p.18)

100
Q

En quoi se distinguent les psychologues de la personnalité et leurs différence ?

A

distinctions : par le poids ou l’attention qu’ils accordent à chacun de ces trois aspects du fonctionnement humain, qu’il s’agisse de ce qui va être étudié, des méthodes de recherche appropriées ou de la façon d’évaluer la personnalité.
différences : aussi dans les liens de causalité qu’ils établissent entre la pensée, les émotions et le comportement. (p.18)

101
Q

Alors que certains théoriciens accordent la primauté aux affects, d’autres mettent l’accent sur le rôle de la cognition dans l’affect et le comportement. V/F

A

Vrai (p.18)

102
Q

Cependant, ce qui importe n’est pas tant de savoir si les événements appartenant au passé ont des conséquences durables ou si la façon d’envisager l’avenir a des répercussions sur le présent (les théoriciens reconnaissent sans peine que les deux possibilités existent et qu’elles se produisent), que de préciser le rôle respectif des expériences appartenant au passé et des prévisions d’avenir, ainsi que de lier leur influence à ce qui arrive dans le présent. V/F

A

Vrai (p.18)

103
Q

Dans leur tentative pour décrire, expliquer et prédire le comportement humain, les théoriciens de la personnalité se heurtent à de nombreux problèmes. V/F

A

Vrai (p.19)

104
Q

citer 3 des 7 préoccupations des théoriciens de la personnalité ?

A

la conception philosophique de la personne.
le rôle du passé, du présent et de l’avenir comme déterminants du comportement.
la constance des comportements à travers les diverses situations et la stabilité de la personnalité dans le temps (p.20)

105
Q

la portée : Une bonne théorie doit englober et expliquer un grand nombre de phénomènes. V/F

A

Vrai (p.21)

106
Q

la portée : Pour qu’une théorie soit bonne, qu’est ce qu’elle doit couvrir ?

A

chacun des aspects de la personnalité qui ont été traités précédemment. (p.21)

107
Q

la parcimonie : La théorie doit être non seulement générale mais également simple et parcimonieuse. V/F

A

Vrai (p.22)

108
Q

la parcimonie : que doit-elle expliquer ?

A

des phénomènes variés d’une manière économe et logique. (p.22)

109
Q

la pertinence scientifique : comment évalue-t-on une théorie?

A

d’après son utilité scientifique (p.22)

110
Q

Qu’est ce qui permet de définir les variables et les concepts ?

A

la traduction empirique de Hall et Lindzey (p.22)

111
Q

Il existe donc un accord entre les chercheurs et les utilisateurs de la théorie quant à la signification des concepts et des variables et à la possibilité de les mesurer. V/F

A

Vrai (p.22)

112
Q

Quelles sont les 3 critères qui permet de comparer et d’évaluer les théories de la personnalité ?

A

La portée de la théorie, sa parcimonie et sa pertinence scientifique (p.22)

113
Q

Quelles sont les deux questions qu’on se pose lors de la comparaison des théories ?

A

Traitent-elles des mêmes phénomènes?

Sont-elles à un même niveau de développement? (p.22)

114
Q

une nouvelle théorie moins développée n’en pourra pas moins produire quelques observations importantes et permettre une percée dans des domaines encore vierges. V/F

A

Vrai (p.22)

115
Q

Les théories guident toujours nos efforts pour étudier et comprendre l’être humain. V/F

A

Vrai (p.23)

116
Q

théories : qu’est ce qui est essentiel ?

A

elles soient présentées clairement et qu’elles soient vérifiées. (p.23)

117
Q

quelle est la tâche des psychologues de la personnalité ?

A

rendre leur théorie explicite et ouverte à un examen scientifique. (p.23)

118
Q

Idéalement, une théorie de la personnalité doit permettre de comprendre ce qui nous différencie les uns des autres et ce que nous avons de commun avec les autres. V/F

A

Vrai (p.23)

119
Q

Nous devons concevoir des théories qui assurent une organisation cohérente des faits connus et laissent de la place à l’exploration de nouvelles avenues.
V/F

A

Vrai (p.23)