Thème 5 Flashcards
Avant 1960 quel était l’idée principale véhiculée sur la JP ?
d’un processus légaliste et formalisée c-a-d que l’on croyait que toutes les activités de la JP étaient pratiquées avec le souci ultime du respect absolue de la loi et exercé d’une manière très formelle en suivant la forme procédurale sans usage de discrétion aucune
La représentation de la JP comme une bureaucratie pure fit en sorte que les chercheurs considéraient les agents de la JP comme quoi ?
stricte et exempte d’erreur. Ils ne virent donc pas l’importance de questionner les pratiques de ces agences
Avant 1960, la JP était-elle perçue comme un système ?
non, une série d’agence indépendantes
À partir de quand certains Chercheurs commencent à percevoir JP comme « système » pour la 1ere fois ,série d’institutions (police, tribunaux, correctionnel) interdépendantes?
a partir des années 60
Quels sont les inputs dans un système ?
Les inputs sont l’ensemble des données qui entre dans le système.
Donnez des exemples d’inputs dans le système pénal
des affaires criminelles comportant leur propre particularité et circonstances et de leur protagoniste soit les contrevenant et les victimes. Tout au long du processus pénale ces données entre en contact avec les différents paliers décisionnels de JP, paliers qui ont comme taches de modifier les inputs
Quels sont les outputs?
les entités construite au contact du système et qui diffère nécessairement aux données de L’input
Pourquoi il est important de croire qu’il s’agit d’une conception systémique de la JP ?
Pour faire perdurer la croyance selon laquelle la JP est selon laquelle juste et équitable
Selon la conception systémique les parties opèrent comment ?
opèrent à l’unisson ou s’arriment à un plan cohérent dans le but d’assurer le fonctionnement homogène de l’unité
2 raisons permettent d’expliquer la persistance de la conception de la JP comme un systémique quelles sont-elles ?
- Est que cette conception vient appuyer d’avantage le modèle de justice donc renforme les bases idéologiques actuelles de la JP actuelle.
- Permet de concevoir la justice pénale comme une interdépendance d’agences et de ressources au sein de laquelle chaque décision et décideur est influencé par un objectif commun. (Objectif symbolique, maintien de la confiance du public dans la justice
Quelles sont les 4 composantes perturbatrices de la conception systémique de la JP ?
- Indépendance formelle des agences
- Caractère profondément humain de la JP
- Absence de directives opérationnelles uniformes
- Influence extérieure du public
Quelles sont les 6 réalités que peuvent illustrer l’indépendance des agences ?
- Possèdent leur propre mandat et objectifs formel/informels
- Subissent pressions internes ou externes
- Peuvent être influencées par objectifs personnels ou professionnels
- Subissent compétition inter agence
- Possèdent pouvoirs discrétionnaires étendus
- Sont assujetties à relations de pouvoir
l’influence extérieure du public se fait sentir du public de 3 manières différentes quelles sont-elles ?
- Influence et construction médiatique (surmédiatisation de quelques événements isolés possédant des circonstances similaires)
- Manifestations (procès contreversé pouvant avoir une influence sur la tournure du public
- Syndrome « pas dans ma cour » Je suis d’accord mais pas tout suite
complète l’affirmation suivante la justice pénale ne fonctionne pas tel un « système ». Elle fonctionne davantage tel un
appareil
Pourquoi dit-on que la JP travaille davantage tel un appareil ?
Car il s’agit d’un assemblage vaguement intégré et coordonné d’institutions ayant des objectifs et tâches liés mais séparés. Agences réunies pour exécuter un travail, observer un phénomène, prendre des mesures