Textes à trous Flashcards

1
Q

L’attention nous permet de mieux [.1.] certaines[.2.], de [.3.] avec plus de [.4.] et de[.5.]à certaines[.6.] de notre environnement. Elle a également pour rôle d’[.7.]de nous laisser envahir par des[.8.]. L’attentiondésigne notre [.9.] à nous [.10.] sur certaines [.11.] denotre environnement et à en [.12.] d’autres.
Autrement dit : Une des fonctions de l’attention était de permettre un [.13.] de la situation. Une autre de ses fonctions est de [.14.].

A
1 assimiler 
2 informations
3 répondre
4 rapidité 
5 précision
6 sollicitations 
7 d’éviter
8 stimulations inopportunes. 
9 capacité 
10 focaliser 
11 informations 
12 négliger 
13 meilleur traitement des informations 
14 limiter l’intrusion des informations non pertinentes.
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2
Q

L’orientation attentionnelle est l’[.1.] de nos [.2.] en direction d’un [.3.] de notre [.4.].

A

1 orientation
2 récepteurs sensoriels
3 signal
4 environnement.

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3
Q

Plusieurs facteurs déterminent et facilitent l’orientation attentionnelle :

a. L’[.1.] du signal
b. La [.2.] du changement dans le [.3.]
c. Le caractère [.4.] du changement

A

1 L’intensité
2 soudaineté
3 champ perceptif
4 imprévisible (inhabituel)

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4
Q

L’orientation attentionnelle aurait un caractère [.1.] (car [.2.] par le [.3.]). En effet, selon Jonides (1981) l’attention serait [.4.] de façon [.5.] par l’[.6.] du [.7.]. Elle aurait également un caractère [.8.] car la [.9.] est sous la dépendance des [.10.] et des [.11.]. Dans ce cas, elle ne serait pas [.12.].

A
1 exogène 
2 déclenchée 
3 stimulus)
4 captée 
5 automatique 
6 apparition 
7 stimulus. 
8 endogène 
9 préparation attentionnelle 
10 des buts 
11 représentations du sujet. 
12 automatique
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5
Q

On parle de [.1.], lorsque les [.2.] ou [.3.] ne sont pas [.4.]. Elle survient lorsque le changement brusque se produit au moment d’une [.5.] ou un [.6.]. Lors d’un changement progressif, elle peut se produire lorsqu’une [.7.] est stockée en [.8.] avec une quantité de [.9.].

En effet, une scène est stockée en mémoire de travail mais ne constitue pas une copie de la scène, il s’agit plutôt de la [.10.]. C’est pourquoi il est nécessaire d’avoir stocké en MT suffisamment de détails pour percevoir les changements. De plus, ces changements nécessitent de savoir dissocier les [.11.] de ce qui relève du [.12.] qui est une focalisation de certains aspects de celle-ci.

A
1 cécité attentionnelle
2 changements brusques
3 progressifs 
4 perçus. 
5 saccade oculaire 
6 clignement de paupières. 
7 scène 
8 mémoire de travail
9 détail insuffisante.
10 focalisation
11 les mécanismes perceptifs 
12 codage de la scène visuelle
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6
Q

Orientation attentionnelle expérience de Jonides :

Protocole :
Situation 1 : La cible est précédée d’un [.1.] en [.2.] du [.3.], soit du côté où la cible apparaîtra ([.4.]), soit du côté opposé ([.5.]). Un signal lumineux provoque de manière [.6.] une [.7.]. Ce signal réoriente donc [.8.].
Situation 2 : L’indice est une [.9.], au [.10.] de l’écran, pointant en direction de l’endroit où la cible va apparaître (indice valide) ou à l’opposé (indice non valide). Dans cette condition, la direction vers laquelle pointe la flèche doit être [.11.] par le sujet.

Résultats :
Les résultats montrent que l’indice central (flèche) n’influence le [.12.] dans le cas où l’[.13.].
En revanche, l[.14.] influence le temps de réponse [.15.].

Analyse :
La réorientation de l’attention par l’[.16.] dans le [.17.] est donc [.18.].

A
1 signal lumineux 
2 périphérie 
3 champ visuel
4 indice valide
5 indice non valide. 
6 irrépressible 
7 saccade oculaire. 
8 l'attention.
9 flèche
10 centre 
11 traitée volontairement 

12 le temps de réponse
13 l’indice est valide.
14 l’indice périphérique i
15 dans tous les cas.

16 l’apparition soudaine d’un nouvel objet
17 champ visuel
18 automatique.

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7
Q

Bruner et Minturn (1955) démontrent que la perception est un [.1.] dans une expérience où les sujets doivent [.2.] les items ([.3.]) qu’on leur présente. Un des caractères est [.4.] et est interprété comme [.5.] selon le contexte dans lequel on le présente.
Dans le contexte des lettres, le sujet [.6.], il identifiera donc plus facilement une [.7.]. Dans le contexte des chiffres, il identifiera plus facilement un [.8.] avec la figure ambiguë. La [.9.] du sujet modifie donc l’[.10.] des objets de la situation. On voit bien avec cet exemple qu’on peut, avec un même stimulus, [.11.]. Ici, l’espace entre la barre verticale et les demi-cercles peut apparaître important ou être négligé selon le contexte, de sorte qu’on perçoit un [.12.] ou [.13.]. De fait, les stimuli que nous rencontrons dans la vie quotidienne sont [.14.]. La situation peut nous inviter à focaliser sur la couleur, la forme ou la signification du stimulus. Le sujet peut choisir, en fonction du [.15.], la [.16.].

A
1 processus actif
2 identifier le plus rapidement possible les items
3 lettres ou chiffres 
4 ambigu
5 B ou un 13 
6 s’attend à avoir des lettres, i
7 lettre. 
8 un chiffre 
9 préparation attentionnelle 
10 l’identification 
11 focaliser sur un aspect plutôt qu’un autre. 
12 caractère unitaire
13 deux chiffres formant un nombre. 
14 rarement unidimensionnels. 
15 du but qu’il souhaite atteindre
16 la dimension qu’il souhaite privilégier.
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8
Q

Fraisse (1961) a présenté au [.1.] des [.2.]. Il a utilisé trois types de caractères : [.3.]. Avant chaque essai, l’[.4.] du sujet est attirée sur un des [.5.]. On demande ensuite au sujet de [.6.], mais dans un [.7.] pour chacun des trois types de caractères. L’[.8.] d’un essai à un autre. Quel que soit l’[.9.], le [.10.] rapportés est [.11.] pour le type de caractères sur lequel le sujet a [.12.]. La [.13.] implique donc un [.14.] sur la [.15.]. Mais les résultats de Fraisse montrent également que si ces caractères doivent être [.16.], la performance est nettement [.17.] que s’ils doivent être rapportés en premier. Il ne faut donc pas négliger les effets de la [.18.].

A
1 tachistoscope 
2 planches de caractères.
3 lettres, chiffres ou signes de ponctuation. 
4 l’attention
5 trois types de caractères.
6 rappeler tous les caractères dont il se souvient, 
7 ordre particulier 
8 ordre varie 
9 ordre de rappel
10 le nombre d’éléments 
11 toujours plusimportant
12 focalisé
13 sélection attentionnelle 
14 meilleur traitement du stimulus 
15 dimension pertinente. 
16 rapportés en dernier, 
17 moins bonne 
18 limitation de la mémoire de travail.
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9
Q

Dans l’expérience de Broadbent (1954),il a comparé quatre conditions en croisant deux facteurs : la [.1.] et le [.2.].

Dans les situations de focalisation sur une [.3.] :
– en présentation visuelle, les stimuli sont constitués de [.4.]. Le sujet doit répéter les [.5.] ;
– en présentation auditive, les stimuli sont : soit des [.6.], soit des [.7.]. Le sujet doit rapporter ce qu’a dit [.8.].

Dans les situations de focalisation sur une [.9.] :
– en présentation visuelle, il y a une rangée de [.10.]. Le sujet doit répéter les [.11.] ;
– en présentation auditive, le sujet entend [.12.] prononcés par une [.13.] et doit répéter les [.14.].

Le sujet est [.15.] [.16.] la présentation. Dans le premier cas, il peut opérer une [.17.]. Dans le second cas, il [.18.]. L’efficacité de la [.19.] est donnée par la différence entre ces [.20.]. Cette différence représente le [.21.] par rapport aux situations où il n’y a pas de préparation.

Le gain de la sélection attentionnelle est plus important lorsque c’est une [.22.] qui doit être surveillée. On peut remarquer également que le gain est plus important en [.23.] qu’en [.24.]. Enfin, la différence entre les deux types de dimensions est plus importante en présentation [.25.] qu’en présentation [.26.]. [.27.] et [.28.] apparaissent donc bien comme des facteurs importants dans la sélection attentionnelle.

A

1 la modalité sensorielle (visuelle ou auditive)
2 type de caractéristique focalisée (physique ou sémantique).

3 dimension physique :
4 deux rangées de chiffres de couleurs différentes (rouge et noir).
5 les chiffres d’une des deux couleurs ;

6 chiffres, prononcés par une voix masculine,
7 des lettres, prononcées par une voix féminine.
8 l’homme ou la femme.

9 dimension sémantique :
10 lettres et une rangée de chiffres et une seule couleur. 
11 chiffres ou les lettres ;
12 des lettres et des chiffres 
13 même voix
14 chiffres ou les lettres.
15 prévenu de la dimension pertinente 
16 avant ou après 
17 sélection attentionnelle. 
18 il ne le peut pas. 
19 préparation attentionnelle 
20 deux conditions. 
21 gain de la sélection attentionnelle
22 une dimension physique qui doit être surveillée. 
23 en présentation auditive 
24 présentation visuelle. 
25 présentation auditive
26 présentation visuelle
27 Types de caractéristiques 
28 modalités sensorielles
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10
Q

La préparation attentionnelle a pour effet un [.1.] plus [.2.] et plus [.3.] du stimulus.

A

1 traitement
2 rapide
3 précis

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11
Q

Dans l’expérience de [.1.], il utilise deux lampes.
Le sujet doit indiquer, à chaque essai, [.2.] en [.3.] correspondant.
Comme le sujet ne sait pas à l’avance quelle lampe va s’allumer, il ne peut préparer sa réponse.

Les stimuli sont précédés d’un [.4.] (un son ou un signal lumineux) et l’expérimentateur fait [.5.] entre le signal et la [.6.] (0, 30, 70, 120, 200, 350 ou 700 millisecondes). Cet intervalle reste [.7.] d’essais. Afin que le sujet ne puisse pas se préparer pour l’essai suivant, l’intervalle entre [.8.] variait de 1,5 à 2,5 secondes. Les résultats permettent d’observer que la présence d’un signal auditif [.9.] par rapport à la situation contrôle. La diminution la plus forte est observée pour un délai de [.10.]. Dans la condition où le signal est présenté [.11.], le temps de réponse est également [.12.] que dans la situation contrôle. La diminution maximale est obtenue aux alentours de [.13.]. L’[.14.] n’est donc pas le même dans les deux modalités. Un signal lumineux est [.15.] qu’un signal auditif

A

1 Bertelson (1967),
2 laquelle des deux lampes s’allume
3 en appuyant sur le bouton

4 signal préparatoire 
5 varier l’intervalle 
6 survenue du stimulus 
7 constant sur une série
8 deux essais
9 réduit le temps de réponse 
10 70 à 120 millisecondes.
11 visuellement, 
12 plus court 
13 120 à 200 millisecondes. 
14 plus long à traiter
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12
Q

[.1.] a imaginé un dispositif composé d’un disque tournant à vitesse constante (8 secondes par tour) sur lequel on a tracé [.2.] passant devant un pointeur. L’angle formé par les deux rayons est calculé de façon à ce que le [.3.]. Les intervallesutilisés sont de 200, 400, 600, 800, 1 600 et 3 200 millisecondes. La tâche du sujet consiste à [.4.] lorsqu’il entend un clic. Ce clic survient au moment où l’un des deux rayons passe devant le pointeur, mais le sujet ne sait pas lequel, de sorte qu’on est assuré qu’il est [.5.] si le délai lui permet de maintenir sa préparation. Pour le contrôler, le clic se produit à certains essais [.6.]. Si le sujet maintient sa préparation, il pourra répondre [.7.]. Dans le cas contraire, sa réponse sera [.8.].
Les temps de réponse [.9.] devant le pointeur sont relativement constants, que ce soit dans le cas d’un clic sur le premier rayon ou dans le cas d’un clic sur le second. En apparence, la préparation attentionnelle a été [.10.] pour tous les intervalles étudiés. Dans ces deux conditions, l’arrivée du stimulus est [.11.], la vitesse du disque étant constante. Le sujet pouvait donc parfaitement [.12.] après le premier rayon et [.13.] à l’approche du second. C’est effectivement ce qui se passe pour les [.14.]. Pour ces intervalles, le temps de réponse pour les clics à mi-passage est [.15.]. Les sujets [.16.] entre les deux rayons. Le maintien de la préparation n’est donc possible que pour des [.17.]. Si la situation exige de maintenir une préparation plus longue, les sujets ont tendance à [.18.], puis à se [.19.].

A
1 Gottsdanker (1975) 
2 deux rayons 
3 le second rayon passe devant le pointeur un certain temps après le premier. 
4 appuyer sur un bouton l
5 préparé entre les deux rayons 
6 entre les deux rayons.
7 rapidement. 
8 plus longue.
9 synchronisés avec le passage d’un des rayons 
10 maintenue 
11 parfaitement prévisible
12 se démobiliser 
13 se préparer à nouveau 
14 durées supérieures à 600 millisecondes. 
15 nettement plus long. 
16 ne maintiennent donc pas leur préparation 
17 des durées brèves. 
18 relâcher leur attention, 
19 préparer à nouveau
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13
Q

[.1.] a utilisé des chiffres et des lettres et mesuré le temps de réponse à ces deux types de stimulus. La moitié des sujets devaient [.2.]. Dans ce cas, la réponse à fournir repose sur des [.3.]. L’autre moitié des sujets devait indiquer la réponse en [.4.]. La correspondance entre [.5.] devait donc [.6.]. Les résultats montrent que le temps de réponse [.7.] dans la seconde condition, mais pas dans la première. Le nombre d’éventualités n’a donc un effet sur le temps de réponse que s’il [.8.].

A

Theios (1975)
2 lire des chiffres et des lettres
3 associations en mémoire à long terme
4 appuyant sur la touche correspondante d’un clavier.
5 stimuli et touches
6 être apprise.
7 augmente avec le nombre d’alternatives
8 n’y a pas de liaisons entre stimulus et réponse en mémoire à long terme.

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14
Q

[.1.] ont étudié les deux aspects de l’attention dans une expérience devenue classique. Selon eux, il convient de distinguer deux types de préparation de la réponse, l’une [.2.] qui serait déclenchée par la survenue du signal dans le champ visuel et l’autre [.3.] qui interviendrait dans les cas où il est nécessaire de [.4.]. Dans leur expérience, les sujets doivent indiquer si les [.5.]. Seuls les cas d’[.6.], les autres cas servant d’[.7.] pour éviter que le sujet n’ait à répondre systématiquement oui. Chaque stimulus est précédé d’un [.8.] qui peut être une lettre identique (signal congruent), différente (signal non congruent) ou un signe + (neutre).

Par ailleurs les auteurs font varier la [.9.]. Dans les cas de forte congruence (80 % des stimuli sont précédés d’une lettre identique), le filtrage des stimuli non pertinents est rendu [.10.]. Les auteurs s’attendent donc à ce que seul l’[.11.] sur les items congruents soit présent. Dans le cas de faible congruence (20 % des stimuli sont précédés d’une lettre identique), le filtrage des items non congruents est [.12.].Les auteurs s’attendent donc à trouver, en plus de l’[.13.] sur les items congruents, un [.14.] sur les items non congruents.L’effet de facilitation est mesuré en [.15.] entre la situation [.16.] et la situation [.17.]. L’effet d’inhibition est évalué par la [.18.] entre la situation [.19.] et la situation [.20.].

Les résultats montrent un effet de facilitation, mais pas d’inhibition dans la situation de [.21.]. Les temps de réponse sont [.22.] pour la situation congruente, mais pas pour la situation non congruente. En revanche, on retrouve les [.23.], dans la situation de congruence [.24.]. Les temps de réponse sont plus courts pour les stimuli [.25.] et plus longs pour les stimuli [.26.]. La préparation [.27.] n’est donc pas sélective, tandis que la préparation [.28.] l’est.

A

1 Posner et Snyder (1975)
2 automatique
3 contrôlée
4 limiter l’intrusion des stimuli non pertinents.
5 deux lettres qui sont présentées sont ou non les mêmes.
6 d’identité entre les lettres sont intéressants,
7 remplissage
8 signal préparatoire

9 proportion de cas de congruence. 
10 moins nécessaire. 
11 effet de facilitation sur les items congruents soit présent. 
12 plus critique.
13 l’effet de facilitation
14 effet d’inhibition sur les items non congruents.
15 calculant la différence 
16 congruente 
17 neutre.
18 différence 
19 non congruente 
20 neutre.
21 de congruence forte. 
22 plus courts 
23 les deux effets attendus, facilitation et inhibition, 
24 faible.
25 non congruents. 
26 congruents
27 automatique
28 contrôlée
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15
Q

La situation d’[.1.] ([.2.], 1958). Elle dérive des situations de [.3.]. Dans la situation d’[.4.], au lieu de présenter un message unique aux sujets, on diffuse des messages [.5.]. Au moment du rappel, on demande alors aux sujets d’[.6.] où ils ont été présentés, oubien de rappeler [.7.], mais toujours dans l’[.8.], la liste d’items présentés à chaque oreille.Lorsque les six chiffres sont présentés aux deux oreilles à la fois, les rappels corrects sont de près de [.9.]. Ce qui est normal, puisque nous sommes, dans ce cas, dans une [.10.]. En situation d’écoute dichotique où les six chiffres sont partagés entre les deux oreilles, la performance chute à [.11.] de rappels corrects si on demande un [.12.] et à [.13.] si on demande un [.14.]. La difficulté de la situation d’écoute dichotique avec rappel par oreille tiendrait, selon Broadbent, à la nécessité de [.15.]. Dans le rappel total, le sujet devrait [.16.] le message arrivant à l’oreille droite et à l’oreille gauche et [.17.] de l’une et de l’autre. L’attention ne serait déplacée [.18.], ce qui explique les différences observées.

A
1 écoute dichotique 
2 Broadbent, 1958 
3 mesure d’empan mnésique.
4 écoute dichotique
5 des messages différents dans chacune des oreilles. 
6 d’énumérer les chiffres dans l’ordre 
7 séparément
8 ordre de présentation
9 95 %. 
10 classique d’empan mnésique
11 20 % 
12 un rappel total 
13 65 % 
14 rappel par oreille
15 déplacer l’attention d’une oreille à l’autre. 
16 traiter séparément 
17 stocker successivement les informations 
18 qu’une seule fois au lieu des trois pour le rappel total
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