test2 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que c’est l’identité ?

A

C’est le conflit éternel entre l’appartenance à un groupe et la différenciation de ce groupe, entre le besoin d’être différent des autres et d’être similaire aux autres (Codol, 1979).

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2
Q

Quelles sont les parties qui composent le soi selon Mead (1934, 1965) ?

A

Les parties qui composent le soi sont le moi et le je.

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3
Q

Qu’est-ce que c’est le moi ? et le je ?

A

Le moi représente l’intériorisation des évaluations et des jugements de l’environnement sociale. Si tout le monde te dit que tu es cool dès que tu est petit tu vas penser que tu es cool.Le je c’est la partie unique, personnelle de l’individu. Le je est la réaction aux jugements et évaluations de l’environnement. Le moi représente les attitudes des autres qu’on intériorise.

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4
Q

Si le moi est le même pour tout le monde, pourquoi nous ne sommes pas des robots ?

A

Parce que chaque personne réagi différemment aux évaluation et jugements des autres.

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5
Q

Qu’est-ce que c’est le moi conformiste et le je créatif ?

A

Le moi conformiste représente la personne qui se comporte toujours selon les attentes de son groupe social de référence. Le je créatif représente la personne avec une personnalité unique et bien définie, qu’on bien distinguer des autres membres de son groupe social de référence.

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6
Q

Est-ce que seulement l’individu subi l’influence de la société ?

A

L’individu intériorise les attitudes et croyances de la sociétés et réagit, donc lui même peut avoir une influence sur la société.

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7
Q

Qu’est-ce que c’est la personnalité de base selon Kardiner ?

A

C’est un type de personnalité qui est présente dans tous les membres d’une société. Ça permet de faciliter les relations sociales entre les individus. Elle permet la survie de la société.

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8
Q

Comme se crée la personnalité de base ?

A

Elle se crée à partir des expériences de vie communes.

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9
Q

Quels sont les éléments qui définissent l’identité selon Zavalloni (1973) ?

A
  • Il faut que l’individu pense que posséder une identité individuelle est un fait positif ;
  • Le caractère personnel doit être quelque chose de stable ;
  • Le soi représente plus que la somme des toutes les dimensions du soi ;
  • Il faut une sorte de solidarité pour les idéaux du groupe et l’identité commune.
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10
Q

Quelles sont les dimensions de l’identité sociale établies par Sarbin et Allen (1968) ?

A

Le statut, à savoir quelle est la position d’un individu occupe dans la hiérarchie sociale. La valeur, à savoir chaque position dans la société a aussi une valeur. La dernière dimension est l’implication : plus un rôle est important pour un individu plus ce rôle fera partie de son identité.

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11
Q

Qu’est-ce que c’est le « Twenty Satements Test » ?

A

Les sujets doivent répondre pour 20 fois de suite à la question « qui suis-je ? » et à chaque fois donner une réponse différente.

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12
Q

Quelles sont les premières réponses données par les groupes minoritaires ?

A

Les premières réponses concernent plus souvent le groupe d’appartenance, ou la catégorie qui les différencie, la catégorie plus saillante. Les femmes mentionnent le sexe, les juifs la religion et les noirs le groupe ethnique.

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13
Q

Quelles sont les catégories trouvées par Gordon à partie du TST ?

A
  • La première catégorie concerne les caractéristiques qu’on possède à partir de la naissance ;
  • La deuxième les caractéristiques acquises comme le fait de devenir parent ou la profession ;
  • La troisième catégorie concerne les croyances idéologiques et les identifications du niveau plus abstrait ;
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14
Q

Quelles sont les catégories trouvées par Gordon à partie du TST ?2

A
  • La quatrième les intérêts et les activités en dehors de la profession ;
  • La dernière concerne des caractéristiques plus personnelles telles que ses propres compétences et les valeurs éthiques. On remarque qu’on passe du pôle social au pôle individuel.
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15
Q

Mais quelle est la valeur que les individus associent à une catégorie dans laquelle ils s’identifient ?

A

Pour découvrir cette réponse les auteurs ont pris 8 catégories : nation, sexe, religion, profession, classe sociale, appartenance ou sympathies politiques, groupe d’âge et statut familial. Pour chaque catégorie il y a avait deux énoncés : « Nous les hommes sommes » et « eux les hommes sont » et pour chaque énoncé au moins 5 réponses étaient données.

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16
Q

Mais quelle est la valeur que les individus associent à une catégorie dans laquelle ils s’identifient ?2

A

Après on a utilisé ce matériel pour demande aux individus s’ils sont favorables, neutres ou contraires à un énoncé et si pour eux c’était important. Ensuite on cherche de comprendre les significations que les sujets donnent à chaque énoncé du type « nous les XX sommes » et « eux les XX sont ».

17
Q

Mais quelle est la valeur que les individus associent à une catégorie dans laquelle ils s’identifient ?Résultats3

A

Le contenu appartenant à l’individu et le contenu du collectif sont indissociables, chacun renvoie à des représentations communes.
Vue que ces représentations sont très abstraites il y a des individus qui représentent parfaitement le prototype d’une société (prototype identifiel) et d’autres individus qui sont l’exact contraire (prototype différentiels).

18
Q

Quelles sont les propositions de Tajfel et Turner (1979) ?

A
  • Les individus ont besoin d’un estime de soi positive ;
  • Les groupes possèdent des connotations positives et négatives : si des connotations positives sont associées à notre groupe ça améliore notre estime de soi ;- Pour faire en sorte que notre groupe possède un haut prestige, il faut un écart positif dans la comparaison avec d’autres groupes, sinon sa entraine un bas prestige.
19
Q

Quelles principes découlent à partir des propositions de Tajfel et Turner (1979) ?

A
  • Les individus ont besoin d’un estime de soi positive ;
  • Les individus ont besoin de percevoir leur groupe comme positif ;
  • Si le groupe n’est pas perçu positivement, les individus vont essayer de quitter le groupe ou d’augmenter la perception du groupe dans la comparaison intergroupe.
20
Q

Quels sont les facteurs qui peuvent influencer la discrimination entre groupes ?

A
  • Il faut que les individus aillent intériorisés leur appartenance à un groupe ;
  • Il faut une situation où une comparaison entre groupes soit possible, avec des critères pertinents ;
  • Plus un autre groupe est comparable au propre, plus la comparaison intergroupe va être possible.
21
Q

Qu’est-ce qu’on remarque à partir du paradigme des groupes minimaux ?

A

Les individus préfèrent renoncer à une partie de leur gain pour établir un écart positif avec une autre groupe de comparaison. Au lieu d’avoir plus d’argent, mais moins que l’autre groupe, ils préfèrent avoir moins d’argent, mais plus que l’autre groupe.

22
Q

Expérience de Brown (1978)

A

Dans une usine il y a deux types d’ouvriers, un type qui s’occupe du développement l’autre qui s’occupe de la production. Le développement gagne plus que la production. Les chercheurs demandent à chaque groupe combine les deux groupe devraient gagner.

23
Q

Expérience de Brown (1978)Résultats

A

Le groupe qui gagne plus (développement) préfère une stratégie qui lui permet de gagner plus, le groupe qui gagne moins (production) préfère une stratégie qui le met au même niveau par rapport à l’autre groupe. Le groupe dominé préfère une parité de gain, le groupe dominant veut garder le pouvoir et ne veut pas renoncer à son avantage.

24
Q

Quels sont les deux pôles conceptualisés par Tajfel et Turner ?

A

Dans un côté les individus sont complétement définis par leurs relations interpersonnelles et pas du tout par les catégories sociales auxquelles ils appartiennent. D’autre côté les individus sont complétement définis par leurs groupes sociaux et pas du tout par leurs relations interpersonnelles ou leurs caractéristiques idiosyncratiques.

25
Q

A quelles identités corresponds les différents comportements ?

A

Au comportement entre groupes correspond l’identité sociale. Au comportement entre individus, à savoir la comparaison inter individuel correspond l’identité individuelle.

26
Q

Est-ce que les individus font tous le temps une différenciation entre groupes ?

A

Si un individu accède à une estime de soi positive grâce à son groupe, il ne va pas faire de la discrimination avec les membres de son groupe. Si l’individu accède à une estime de soi positive grâce à la discrimination envers les membres de son groupe, il ne va pas faire de la discrimination intergroupe.

27
Q

Qu’est-ce que c’est le processus de dépersonnalisation (ou d’auto-stéréotypie) ?

A

L’individu qui s’identifie beaucoup avec son groupe va renoncer à ses caractéristiques personnelles et va acquérir les caractéristiques du groupe. Il va augmenter les ressemblances avec les membres de son groupe et les différences avec les hors-groupes. Il va acquérir les qualités qui stéréotypent son propre groupe.

28
Q

Quels sont les niveaux de la définition du soi selon Turner (1987) ?

A
  • Niveau supra-ordonné : à ce niveau on se distingue par rapport aux autres espèces. Notre groupe est « les êtres humains ».
  • Niveau intermédiaire : à ce niveau correspond l’identification avec notre groupe, à savoir l’identité sociale et la discrimination intergroupes ;
  • niveau subordonné : à ce niveau correspond l’identité personnelle, l’individu se perçoit comme un être unique à l’intérieure du groupe.
29
Q

Qu’est-ce que c’est le concept de particularisation proposé par Billig (1985) ?

A

C’est un processus à travers lequel un individu appartenant à une catégorie essaie de se distinguer des autres individus appartenant à la même catégorie. Ça correspond à la discrimination inter personnelle.

30
Q

Qu’elle serait une autre façon de concevoir l’identité ?

A

Au lieu de concevoir l’identité comme la relation entre deux pôles opposés (identité personnelle et sociale) on peut penser qu’elles agissent de la même façon, à savoir, si la discrimination intergroupe est forte aussi la discrimination interpersonnelle sera forte.

31
Q

Qu’est-ce que a montré Codol (1975)

A

Il a montré la conformité supérieure du soi, à savoir plus un individu s’identifie avec les normes d’un groupe, plus il se distingue des membres du groupe parce que il adhère aux normes plus que eux. Si par exemple la course est l’élément important d’un groupe et si un individu est le plus vite de son groupe, il est à la fait similaire (même dimension : course), mais différent (il est le meilleur).

32
Q

Expérience de Deschamps (1984)

A

Soit on crée une différenciation catégorielle entre les individus (vous avez une préférence pour cet auteur plutôt que pour un autre), soit rien du tout. Dans la condition de différenciation catégorielle la différenciation envers l’autre groupe augmente, mais aussi envers les membres du propre groupe. Selon cette étude, donc, l’identification à un groupe n’amène pas à une annulation des différences avec les autres membres du propre groupe.

33
Q

Expérience de Deschamps et Volpato (1984)

A

Dans cette étude on augmente la différenciation envers les membres du propre groupe. Cette différenciation amène à une accrue discrimination intergroupe.

34
Q

Quels sont les deux côtés du continuum de l’identié ?

A

D’un côté il y a l’identité personnelle et d’autre côté l’identité sociale. D’un côté, pour avoir une estime de soi positive on se différencie d’autrui d’autre côté des autres groupes.

35
Q

Quelle est une condition necéssaire pour le biais intergroupe ?

A

La saillance de la catégorisation.

36
Q

Qu’est-ce que pense Codol (1975)

A

Il pense que plus on s’identifie au groupe plus on va se distinguer des membres du groupe.

37
Q

Qu’est-ce que c’est le sociocentrisme ? et l’égocentrisme ?

A

Le sociocentrisme est la différenciation entre notre groupe et un autre groupe. L’égocentrisme est la différenciation entre soi et un autre membre du même groupe.

38
Q

Expérience de Brown et Williams (1984)Modèle des covariations des similitudes et des différences

A

On mesure le dégré de identification de trois groupes des travailleurs, un au dessus un au milieu et un au dessous de la hiérarchie. Après on mesure les comparaisons intergroupes et intragroupes. Les deux groupes supérieurs font autont des différencentiations intergroupes que intragroupes. Le groupe inférieure il ne fait pas de différenciation intragroupe, seulement intergroupe.

39
Q

Expérience de Doise (1976)

A

Des enfants doivent juger des photos de l’autre sexe et après du même sexe.Avec anticipation, ils savent qu’ils doivent juger le propre sexe, sans il pense seulement le sexe opposé. Avec anticipation on perçoit plus des différences entre les groupes et plus de ressemblance à l’intérieur des groupes. Dans la condition de anticipation les garçons perçoivent des ressemblances par rapport aux photos des filles. Les groupes priviligiés font les deux types de différenciations.