TEST EXPLOSIFS – QUESTIONNAIRE DE CONNAISSANCE DES MATERIELS. Flashcards

1
Q

N°1 – Les charges perforantes légères, moyennes et lourdes sont des :
A. Charges creuses combinées.
B. Charges creuses élémentaires.
C. Charges creuses chargées à l’hexal.

A

B. Charges creuses élémentaires.

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2
Q

N°2 – Un explosif progressif est utilisé en général :
A. Pour créer une brèche dans un mur.
B. Pour provoquer un effondrement de rochers.
C. Pour réaliser des cratères dans le sol.

A

B. Pour provoquer un effondrement de rochers.

C. Pour réaliser des cratères dans le sol.

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3
Q

N°3 – Quelle est la consitution d’un pétard de charge allongée.
A. Poids total de 7,3 kg et de 5 kg d’explosif (tolite).
B. Poids total de 6,3 kg et de 4 kg d’explosif (héxolite).
C. Poids égale entre la charge d’explosif et de la masse totale.

A

B. Poids total de 6,3 kg et de 4 kg d’explosif (héxolite).

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4
Q

N°4 – Un détonateur électrique est constitué par un détonateur pyrotechnique équipé d’un inflammateur électrique.
A. VRAI.
B. FAUX.

A

A. VRAI.

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5
Q

N°5 – Pour amorcer un pain de plastique avec un pain détonant, on utilise :
A. Un raccord indétectable modèle 1952.
B. 1 nœud 4 tours autour du pain.
C. 1 boucle nouée.

A

C. 1 boucle nouée.

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6
Q
N°6 – La charge coupante moyenne coupe :
	A. 30 cm de blindage, 50 cm de béton.
	B. 30 cm de blindage, 60 cm de béton.
	C. 20 cm de blindage, 60 cm de béton.
	D. 20 cm de blindage, 50 cm de béton.
A

B. 30 cm de blindage, 60 cm de béton.

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7
Q

N°7 – Une unité collective de charge allongée est composée de :
A. 10 pétards, 9 manchons et 1 ogive.
B. 6 pétrads, 5 manchons et 1 ogive.
C. 8 pétards, 7 manchons et 1 ogive.

A

C. 8 pétards, 7 manchons et 1 ogive

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8
Q

N°8 – Une file de pétards de charges allongées placée sous un réseau concertina fait une brèche de :
A. 4 m de large.
B. 5 m de large.
C. 6 m de large.

A

B. 5 m de large.

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9
Q

N°9 Une charge coupante légère coupe :
A. 8 cm d’acier sur 40 cm.
B. 30 cm de béton sur 40 cm.
C. 20 cm de béton sur 50 cm.

A

C. 20 cm de béton sur 50 cm.

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10
Q

N°10 – Un élément de charge coupante légère ou moyenne est composée de :
A. 5,2 kg de tolite.
B. 3,8 kg d’héxolite.
C. 4,4 kg d’héxolite.

A

C. 4,4 kg d’héxolite.

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11
Q
N°12 – Pour relier un cordeau dérivé au cordeau maître, je peux utiliser :
	A. Un nœud plat.
	B. Un noed tête d’alouette.
C. Un nœud relais 4 tours.
	D. Un nœud de cabestan.
A

B. Un noed tête d’alouette.

C. Un nœud relais 4 tours.

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12
Q
N°13 – Les conducteurs électriques KL4.
	A. Mesurent 800 m.
	B. Sont livrés sur une bobine DR8.
	C. Mesurent 400 m.
	D. Ne peuvent pas être reliés bout à bout pour une destruction à une distance de 1200 m.
A

B. Sont livrés sur une bobine DR8.

C. Mesurent 400 m.

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13
Q

N°14 – Qu’est-ce que la déflagration ?
A. Un effet de poussée progressive.
B. Une vitesse de transformation modérée.
C. La combustion accélérée par l’accroissement de la pression et de la température.
D. Une vitesse de transformation de l’ordre du cm par seconde.

A

C. La combustion accélérée par l’accroissement de la pression et de la température.
A. Un effet de poussée progressive.

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14
Q

N°15 – Qu’est-ce que la détonation ?
A. La vitesse de transformation qui est de l’ordre de l’hectomètre par seconde.
B. Un explosif qui déflagre.
C. La vitesse de transformation qui est de l’ordre du km par seconde.
D. La création d’une onde de choc associée à une réaction chimique.

A

C. La vitesse de transformation qui est de l’ordre du km par seconde.
D. La création d’une onde de choc associée à une réaction chimique.

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15
Q

N°16 – Selon quels critères classe-t-on un explosif ?
A. Effet utilie, sensibilité, stabilité.
B. Effet thermique, solidité, sensibilité.
C. Effet acoustique, rigidité, stabilité.

A

A. Effet utilie, sensibilité, stabilité.

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16
Q

N°17 – Mode d’action ou effet mécanique de l’explosif brisant :
A. Explose progessivement grâce à un bourrage conséquent.
B. Les explosifs brisants sont tous employés comme primaires.
C. Réaction chimique instantanée accompagnée d’un effet brisant sur tout corps au contact.

A

C. Réaction chimique instantanée accompagnée d’un effet brisant sur tout corps au contact.

17
Q
N°18 – L’ITS peut exécuter :
	A. 100 tirs.
	B. 200 tirs.
	C. 300 tirs.
	D. 500 tirs.
A

D. 500 tirs.

18
Q

N°19 – La tolite est :
A. Très sensible aux chocs et frottements.
B. Souvent mélangée à d’autres explosifs.
C. Soluble dans l’eau.

A

B. Souvent mélangée à d’autres explosifs.

19
Q

N°20 – L’héxolite 60/40 est :
A. Constitué de 40% de tolite et de 60% d’hexogène.
B. Très sensible aux chocs et frotements.
C. Utilisée dans la fabrication des pétards de 250 gr réglementaires français.

A

A. Constitué de 40% de tolite et de 60% d’hexogène.

C. Utilisée dans la fabrication des pétards de 250 gr réglementaires français.

20
Q
N°21 – La charge coupante lourde est composée de :
	A. 2 éléments.
	B. 5 éléments.
	C. 7 éléments.
	D. 8 éléments.
A

C. 7 éléments.

21
Q

N°22 – Le relais d’amorçage est :
A. Un détonateur.
B. Sert à relier un cordeau détonant à une charge.
C. Est rempli d’explosif primaire.
D. Est équipé de pas de vis standard de 10 mm.

A

B. Sert à relier un cordeau détonant à une charge.

D. Est équipé de pas de vis standard de 10 mm.

22
Q

N°23 – Dans les explosifs secondaire on trouve :
A. Du fulminate de mercure.
B. Des explosifs nitratés.
C. De l’azoture de plomb.

A

B. Des explosifs nitratés.

23
Q

N°24 – Dans les explosifs primaires on trouve :
A. Des explosifs nitrés.
B. Des explosifs composés d’héxal.
C. Des explosifs composés de tricinate de plomb.

A

C. Des explosifs composés de tricinate de plomb.

24
Q
N°25 – Le trèfle sur le pétard de 250 gr signifie :
	A. Sigle de l’usine de fabrication.
	B. inter-opérabilité OTAN.
	C. Est consitué de tolite.
	D. Bonne chance.
A

B. inter-opérabilité OTAN.

25
Q
N°26 – Le cordeau détonant contient :
	A. 6 gr d’hexolite au mètre.
	B. 6 gr de pentrite au mètre.
	C. 11 gr de pentrite au mètre.
	D. 11 gr d’hexolite au mètre.
A

C. 11 gr de pentrite au mètre.

26
Q
N°27 – En corps de troupe, les dépôts dans lesquels sont stockés les explosifs et artifices est doté d’un statut de stockage approuvé par :
	A. Le génie.
	B. Le matériel.
	C. Le matériel et le génie.
	D. Le chef de corps.
A

B. Le matériel.

27
Q

N°28 – Dans un dépôt de mise en place d’un marquage très lisible indiquant la nature des explosifs et artifices de chaque pile est :
A. Interdit.
B. Obligatoire.
C. Peut-être éventuellement réalisé.
D. Ne doit pas être réalisé pour éviter les vols.

A

B. Obligatoire.

28
Q

N°29 – Le transport d’explosifs par voie routière en période normale peut-être effectué :
A. De manière visible obligatoirement (panneaux « explosifs »…).
B. De manière non-visible obligatoirement (bâches fermées, pas de marquage).
C. L’un ou l’autre suivant les ordres du commandement.

A

C. L’un ou l’autre suivant les ordres du commandement.

29
Q

N°30 – Amorcer un cordeau détonant, c’est réaliser sa jonction avec un autre artifice ou un pétard capable de l’initier.
A. VRAI.
B. FAUX.

A

A. VRAI.

30
Q

N°31 – En cas de raté pyrotechnique, passé le délai d’attente et la mèche lente ne fumant plus, le DMO :
A. Va voir seul la cause du non fonctionnement.
B. Va voir avec un artificier.
C. Va voir avec un MMO.

A

A. Va voir seul la cause du non fonctionnement.

31
Q

N°32 – Pour détruire un engin isolé, on utilise en général une charge :
A. La plus petite possible.
B. De 250 gr minimum.
C. Avec mise de feu pyrotechnique.

A

B. De 250 gr minimum.

C. Avec mise de feu pyrotechnique.

32
Q

N°33 – Lors de la mise en œuvre d’explosif à l’instruction, il est autorisé de couper un mèche lente en cours de combustion :
A. Seulement en cas de besoin.
B. Seulement en cas de besoin au plus proche du détonateur.
C. Non, cela est interdit.

A

B. Seulement en cas de besoin au plus proche du détonateur.

33
Q

N°34 – Lors d’une séance d’explosif sur polygone, où se trouve stocké l’explosif ?
A. Dans un véhicule, hors de la zone dangereuse.
B. Dans un abri avec le personnel participant à l’instruction, à 150 mètres du lieu de l’explosion.
C. Dans un endroit isolé situé à 150 mètres du lieu de l’explosion

A

C. Dans un endroit isolé situé à 150 mètres du lieu de l’explosion

34
Q

N°35 – Dans le cas de plusieurs détachement dans une même ZMO, le coordonnateur est :
A. Le plus ancien des DMO.
B. Celui qui terminera sa séance en dernier.
C. N’importe lequel des DMO, il suffit qu’il soit désigné.
D. Un officier des armes qualifié qui a sous sa responsabilité l’ensemble des Secteurs de Mise en Œuvre et de la zone dangereuse.

A

D. Un officier des armes qualifié qui a sous sa responsabilité l’ensemble des Secteurs de Mise en Œuvre et de la zone dangereuse.

35
Q

N°36 – Le raccord ID 52 permet de :
A. Raccorder directement un cordeau détonant sur un pétard.
B. Raccorder deux cordeaux détonants entre eux.
C. Raccorder sur du PLANP un cordeau détonant en assurant une bonne transmission de la détonation.

A

A. Raccorder directement un cordeau détonant sur un pétard.

36
Q

N°37 – Le relais d’amorçage par cordeau détonant :
A. Ne contient pas d’explosif, sa seule fonction étant de raccorder le cordeau détonant sur un pétard.
B. Permet d’amorcer un détonateur avec un cordeau détonant.
C. Contient de la pentrite.

A

C. Contient de la pentrite.

37
Q

N°38 – Avantage du montage électrique en parallèle :
A. Le circuit est contrôlable dans sa totalité une fois installé.
B. La résistance totale est supérieure à la somme restante.
C. Un détonateur défectueux n’empêche pas le fonctionnement des autres détonateurs.

A

C. Un détonateur défectueux n’empêche pas le fonctionnement des autres détonateurs.

38
Q

N°39 – Pour raviver la transmission de la détonation sur un cordeau détonant, on placera un pétard relais tous les :
A. 150 m.
B. 200 m.
C. 300 m.

A

B. 200 m.

39
Q

N°40 – Les conditions d’utilisation de tous les polygones explosifs doivent faire l’objet de consignes établies par :
A. Le service du matériel.
B. Le commandant d’armes.
C. Le service du génie dont dépend le régiment.

A

B. Le commandant d’armes.