test Flashcards

1
Q

Concept

A

représentation mentale abstraite qui nous permet de catégoriser les éléments (objets et individus) du monde qui nous entoure.
– Abstrait : ne représente pas d’objet spécifique concret.
– Unité fondamentale de la connaissance, joue un rôle central dans la cognition.

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2
Q

Catégorie

A

regroupement concret d’objets représentant le concept.

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3
Q

Fonctions de concept et catégorie

A

Permet d’identifier rapidement des objets
– Par exemple, on réfère à la catégorie oiseau afin d’identifier les objets dans l’image ci-dessous.

Réduit la complexité de l’environnement
– Permet de regrouper les objets en classes (p. ex., oiseau), plutôt que d’y référer en fonction de leur singularité (p. ex., sarcelle à ailes vertes, serin de Burton

Réduit le besoin d’apprendre continuellement
– Lorsqu’on rencontre un nouvel objet, on peut référer aux objets de la même catégorie que l’on connaît déjà afin de connaître ses caractéristiques (permet de faire des inférences).
– Par exemple, si la sarcelle à ailes vertes est un oiseau, l’individu peut inférer qu’elle a des ailes, des plumes, etc., parce que ce sont des caractéristiques propres à un oiseau.

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4
Q

Étude classique de Bourne (1970) (règle logique)

A

Le nombre d’essais requis pour apprendre comment les objets sont catégorisés varie selon le type de règle.
– Au premier problème, le participant a besoin de plus d’essais pour apprendre la règle biconditionnelle que la règle conjonctive.

Cependant, une fois apprises, les quatre règles semblent être appliquées avec la même facilité.
– À partir du troisième problème, le nombre d’essais nécessaires afin d’apprendre la règle est près de 0 et ce, peu importe le type de règle.

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5
Q

catégories naturelles

A

• Définies selon des dimensions continues plutôt que discontinues
– Limites imprécises
• Organisées hiérarchiquement – Organisation par niveau
• Tous les membres d’une catégorie ne sont pas égaux; certains sont plus typiques que d’autres.
• Les caractéristiques ne sont pas nécessairement indépendantes.
– Par exemple,le fait d’avoir des plumes est relié au fait d’avoir des ailes.

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6
Q

Étude de Labov (1973) (tasse vs bols)

A

– N.B. Si 90% des participants ont identifié l’objet comme étant une tasse, 10 % ont identifié un bol.
• Plus l’objet est large, plus le pourcentage de participants ayant identifié l’objet comme étant une tasse diminue : plus les participants identifient l’objet comme étant un bol.

La classification des objets est influencée par le contexte de présentation.

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7
Q

Cohérence

A

nombre d’attributs commun entre les membres de la même catégorie

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8
Q

Caractère distincte

A

nombre d’attribues différents entre les membres des catégories différentes

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9
Q

Tanaka et Taylor (1991) Expert

A

niveau subordonnée (élevé, élevé) = expérience

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10
Q

Typicalité

A

La représentativité des membres de catégories.
– Les membres d’une catégorie ne sont pas tous équivalents.
– Certains membres sont plus typiques.

– Selon Rosch, un membre d’une catégorie sera jugé typique en fonction du nombre d’attributs qu’il partage avec les autres membres de sa catégorie.

– Les items typiques partagent plusieurs attributs avec les autres membres de la catégorie ET peu d’attributs avec ceux de catégories adjacentes.

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11
Q

le modèle du prototype

A

Le prototype d’une catégorie est défini comme étant la « moyenne » des membres de la catégorie.

• Prototypes : selon Rosch, l’activité de catégorisation utilise le prototype. Un objet nouveau sera classifié par sa comparaison avec un prototype : plus il ressemble au prototype, plus il sera catégorisé rapidement

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12
Q

Étude classique de Posner et Keele (1968) (points)

A
  • Au test de reconnaissance (phase 2), le participant rapporte souvent avoir vu l’ensemble prototype lors de la phase d’apprentissage et ce, même si les prototypes ne sont jamais présentés lors de l’apprentissage.
  • Si le participant reconnaît le prototype, c’est donc qu’il a créé une représentation moyenne (le prototype) lors de la phase d’apprentissage.
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13
Q

Rosch, Simpson et Miller (1976) (bonhomme batonnet)

A

• Plus la figure est typique…
– moins il y a d’erreurs.
– plus la catégorisation est rapide.

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14
Q

Modèle des exemplaires

A

La représentation d’une catégorie consiste en un nombre d’exemplaires.

  • Les nouveaux exemplaires (nouveaux objets) sont comparés aux exemplaires déjà connus en mémoire.
  • Si le nouvel objet correspond à l’un des exemples en mémoire, il sera considéré comme appartenant à cette catégorie.
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15
Q

Schéma

A

ensemble de caractéristiques relatives à une situation.

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16
Q

Script

A

séquence structurée d’événements associés à une situation.

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17
Q

Brewer et Treyens (ordi)

A

Même si aucun ordinateur n’est présent dans la pièce, le participant rappelle en avoir vu un : afin de rappeler les objets, le participant fait appel à son schéma d’un bureau.
– À partir de ce schéma, il peut inférer qu’un ordinateur était présent.

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18
Q

Mémoire et inférence

A

les schéma activé peut influencer l’information qui est en mémorisé. Une situation donné n’active pas tjr le schéma idéal

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19
Q

Étude de Bransford et Johnson (1972) (titre)

A

• Si un schéma erroné est activé (lorsqu’aucun titre n’est fourni au participant), moins d’information est encodée relativement à la situation.

– Les informations qui ne sont pas compatibles avec le schéma (p. ex., le fait que l’homme ait enlevé son manteau) ne sont pas encodées.

– Conséquemment, le participant ne peut rappeler ces informations, ni en comprendre le sens.

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20
Q

Intraub et al. (poubelle)

A

• Lors de la reproduction d’une figure, le participant tend à dessiner plus loin que les frontières de la photo.

– Effet des «frontières» (boundary effect)
• L’examen d’une scène visuelle active un schéma correspondant qui est plus complet, contient plus d’informations que la scène présentée.

• Ce schéma est utilisé lors de la reproduction de l’image, ce qui fait en sorte que davantage d’informations sont rappelées.

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21
Q

Stéréotypes et inférences

A

La catégorisation simplifie la vie parce qu’elle nous donne un accès rapide à beaucoup d’informations et permet de déterminer nos actions envers des objets en fonction de leur appartenance à une catégorie.

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22
Q

Asch (1946) (honnête ou non)

A

Lorsque l’individu est décrit comme étant chaleureux (Groupe 1), 84 % des participants infèrent qu’il doit être honnête, comparativement à 59 % lorsque l’individu est décrit comme étant froid

• La catégorisation, au plan social, peut mener à de fausses inférences et au développement de préjugés.

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23
Q

Réseau hiérarchique

A

Un réseau hiérarchique est constitué de nœuds et de liens.
– Les nœuds représentent les concepts
– Les concepts peuvent être représentés à différents niveaux.
– Les liens relient les nœuds.

  • À chaque nœud sont associées les propriétés spécifiques au concept.
  • Les caractéristiques partagées par la grande majorité des membres de la catégorie sont emmagasinées à un niveau supérieur (principe d’économie).
  • Certains membres moins typiques ne partagent pas nécessairement toutes les caractéristiques de la catégorie, mais en font malgré tout partie.

– Il se peut que ces membres ne respectent pas toutes les caractéristiques associées au niveau hiérarchique supérieur (p. ex., dans le cas d’une autruche).

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24
Q

l’effet de niveaux

A

Si le réseau est hiérarchique, le temps de réponse augmentera en fonction du nombre de niveaux entre les termes (l’effet de niveaux).

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25
Q

Collins et Quillian (1969) (vérification d’énoncé)

A

• Le temps nécessaire afin de récupérer une propriété est additif au temps nécessaire afin de traverser un niveau.
– Il est plus long de vérifier une propriété (« possède ») que l’appartenance à une catégorie (« est
un »).

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26
Q

L’effet d’inversion de niveaux

A

– Parfois, le jugement est plus rapide pour comparer des concepts non adjacents (p. ex., un chimpanzé est un animal) que des concepts adjacents (p. ex., un chimpanzé est un primate).

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27
Q

• L’effet de typicalité

A

– Les membres d’une classe ne sont pas équivalents : certains concepts plus typiques (p. ex., moineau) sont catégorisés plus rapidement que d’autres concepts moins typiques (p. ex., poulet) même si le nombre de niveaux à traverser est le même .

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28
Q

Distribution de l’activation

A

Collins et Loftus (1975) proposent que l’organisation en mémoire sémantique n’est pas hiérarchique.
• Les liens entre les concepts ne sont pas tous de la même force.
– Laforced’association (distance sémantique) est représentée par la longueur de la ligne.
– Parexemple,lesconcepts
« Voiture » et « Camion » sont plus reliés que « Camion » et « Rue ».

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29
Q

Meyer et Schvaneveldt (1971) (mots associé)

A

• Lorsque les deux mots sont associés (p. ex., chat et chien), la réponse est plus rapide (effet de préparation sémantique).
– La lecture du premier mot active la représentation de ce mot en mémoire.
– Cette activation se propage aux concepts associés.
– Conséquemment, lors de la lecture du deuxième mot, ce dernier est déjà activé en mémoire. Il est donc reconnu plus rapidement.

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30
Q

l’interdépendance des processus cognitifs

A
  • On doit percevoir les sons ou les lettres pour être en mesure d’entendre ou de lire des mots.
  • On doit garder les premiers mots d’une phrase en mémoire à court terme pour parvenir à comprendre la phrase. On assume un rôle de la boucle phonologique.
  • Les nouveaux mots qu’on apprend sont entreposés en mémoire à long terme et ils peuvent en être récupérés. Les nouveaux mots appris sont organisés selon un réseau sémantique complexe.
31
Q

Chomsky

A

un seul aspect du langage est attribuable à des processus spécifiques au langage : la récursivité. Tous les autres aspects du langage sont expliqués par des processus cognitifs non nécessairement liés au langage.

32
Q

Pinker

A

Selon Pinker, le langage est une habileté unique avec des fonctions spécifiques (pas seulement la récursivité).

33
Q

représentation

A

est un phénomène mental qui correspond à un ensemble plus ou moins conscient, organisé et cohérent de caractéristiques concernant un objet, une personne ou un événement. En d’autres mots, les représentations mentales sont comme une image interne de notre environnement.

34
Q

Winawer et ses collaborateurs (2007) (couleur/langue)

A

• Les chercheurs ont observé que les Russes répondaient plus lentement lorsque les 2 choix de couleurs étaient dans la même catégorie (intra-catégorie), que lorsque les 2 choix de couleurs étaient dans des catégories différentes (inter-catégorie).
– Il serait donc plus facile de différencier des couleurs qui portent des noms différents (inter-catégorie) que des couleurs qui portent le même nom (intra-catégorie).

• Ils ont aussi observé que les Américains répondaient à la même vitesse dans les 2 conditions, c’est-à-dire que les couleurs soient dans la même catégorie ou non.

– En effet, puisqu’un seul mot est utilisé pour décrire toutes les teintes de bleu en anglais, la condition inter-catégorie ne peut pas faciliter la discrimination des couleurs.

35
Q

L’hypothèse des représentations séparées

A

qu’il existe des représentations conceptuelles distinctes, une pour chaque langue.

36
Q

L’hypothèse de la représentation commune

A

stipule qu’il existe une représentation conceptuelle commune à toutes les langues.

37
Q

Goggin et Wickens (1971) (liste de mots bilingue)

A
  • Lorsque la langue est changée (d’anglais à espagnol ou d’espagnol à anglais), la performance augmente, comme c’est le cas lorsque la catégorie est changée (p. ex., de fruits à professions).
  • Ce résultat semble être un appui à l’hypothèse des représentations conceptuelles multiples du lexique chez les personnes multilingues.

– En effet, le relâchement de l’interférence proactive (augmentation de la performance au 4e essai) est observé lorsque les mots à mémoriser appartiennent à des catégories psychologiques distinctes.

38
Q

Caramazza et Brones (1980) (mots sont de la même catégorie)

A

Le temps de réponse n’augmente pas lorsque la langue de la catégorie et du mot est différente.

39
Q

Griffin (2001) (L’horloge et la pomme sont au-dessus des souliers.)

A

le temps pris avant de commencer la phrase ne varie pas selon la codabilité des images B et C. Indique que les participants commencent à parler dès qu’ils ont trouvé un mot pour l’image A.

la planification du langage oral ne se rend pas jusqu’au niveau de la locution ou de la phrase.

40
Q

Ferreira et Swets (2002) (math)

A

• Quand la situation pose peu de contraintes sur quoi dire et quand le dire, la planification peut être considérable (jusqu’au niveau de la phrase). Lorsque le temps est limité et/ou les demandes sont élevées, il y a peu de planification du discours.

41
Q

Le modèle séquentiel

A
  1. Élaboration du contenu du message; (sémantique)
  2. Sélectionduvocabulaireàutiliseretdu rôle grammatical de chaque mot; (syntaxique)
  3. Mise en ordre des morphèmes et des mots pour former une phrase; (morphologique)
  4. Sélection des sons constituant les mots.(phonologique)
42
Q

modèle parallèle

A

– Les 4 niveaux interviennent simultanément et interagissent (c.-à-d. s’influencent mutuellement).
– Les représentations construites à chaque niveau de traitement sont disponibles à tout moment dans le système.
– Comme dans un réseau, lorsqu’une unité (p. ex., un mot, un concept) est activée à un niveau, elle envoie de l’activation aux unités reliées à tous les niveaux (mécanisme d’activation diffusante).

43
Q

Peterson et Savoy (1998) (fusée)

A

observent que si le mot écrit sonne comme le mot dominant, il est nommé plus rapidement que s’il sonne différemment.
– Cet effet de similitude phonologique suggère que le mot dominant est activé au niveau phonologique, tel que prédit par les 2 modèles.

Par contre, lorsque le mot écrit sonne comme le mot non dominant, il est aussi nommé plus rapidement.

– Ce résultat suggère que le mot non dominant est aussi activé au niveau phonologique, ce qui appuie le modèle de traitement parallèle.

44
Q

Anticipation

A

utilisation d’un élément avant son emploi approprié dans la phrase parce qu’il correspond à un élément à venir.

45
Q

Persévération

A

Utilisation d’un élément qui convenait plus tôt dans la phrase, mais qui est impropre par la suite.

46
Q

Omission

A

oubli d’un élément de la phrase.

47
Q

Substitution

A

remplacement d’un élément par un autre

48
Q

Inversion

A

transposition de 2 éléments de la phrase

49
Q

Interpretation des lapsus

A

Une erreur se produit lorsque l’unité ayant la plus grande activation n’est pas appropriée.

Selon le modèle parallèle, les erreurs d’anticipation et d’inversion sont possibles par le fait que plusieurs sons et mots d’une phrase sont simultanément activés lors de la planification.

les inversions ont tendance à se produire entre des sons/mots qui sont rapprochés dans la phrase, car la partie de la phrase qui est traitée tend à être plus activée que les autres parties de la phrase.

50
Q

L’hypothèse d’un accès direct

A

les graphèmes d’un mot sont directement associés à la signification du mot.

51
Q

L’hypothèse d’une médiation phonologique

A

les graphèmes d’un mot sont traduits en phonèmes avant d’être associés à la signification du mot.

52
Q

Bradshaw et Nettleton (1974). (paires neutre vs hétérophone)

A

s la 2e condition, les participants commençaient à lire le 2e mot des paires au même moment pour les paires hétérophones que pour les paires neutres.

53
Q

van Orden (1987) (catégorie homophone)

A

a observé que les participants commettaient plus de fausses alarmes lorsque le mot était un homophone que lorsqu’il était neutre.

les participants devraient confondre les homophones puisque leur représentation des mots proviendrait de leur prononciation (identique) et non de leur orthographe.

54
Q

l’hypothèse d’une double voie

A

les processus permettant de comprendre le langage varieraient en fonction de la situation.

55
Q

Voie lexicale :

A

– Elle correspond à l’hypothèse de l’accès direct.
– Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en parallèle.
– Elle est utilisée lorsque le mot écrit est connu.

56
Q

Voie non lexicale :

A

– Elle correspond à l’hypothèse d’une médiation phonologique.
– Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en série.
– Elle est utilisée lorsque le mot écrit est inconnu.

57
Q

Stratégies de récupération

A

Ces stratégies sont utilisées lors de la récupération lorsqu’aucune stratégie n’a été utilisée à l’encodage.

58
Q

Stratégies de mémorisation

A

Ces stratégies doivent être utilisées lors de l’encodage.

59
Q

Mnémotechnique

A

Méthode permettant d’organiser ou d’élaborer le matériel à mémoriser, et de fournir un indice de récupération efficace.

60
Q

principe du crochet

A

– À l’encodage, l’imagerie se traduit par l’activation d’une image intégrant un crochet et l’information à mémoriser.

– Lors de la récupération, la réactivation de l’image mentale permet de récupérer l’information mémorisée.

61
Q

les mnémotechniques sont-elles efficaces ?

A

– Les images servent de contexte à l’encodage et permettent d’élaborer la trace.
• Permet d’organiser le matériel à l’aide d’une structure connue : tous les items sont associés à une même structure (p. ex., une liste verbale emmagasinée en MLT).
• Permet de rendre les items distincts en les associant à une image spécifique : chaque item est associé à une image différente.
– Les images servent aussi d’indice de récupération.
• Principe de spécificité de l’encodage : les indices sont des images qui ont été utilisées lors de l’encodage.

62
Q

Bizarrerie

A

– La bizarrerie attire l’attention.

• Le participant croit qu’il a mieux encodé l’information, mais ce n’est pas nécessairement le cas.

63
Q

L’interactivité

A

produit un encodage par élaboration • Les liens entre les deux items sont plus faciles à créer
lorsqu’ils sont en interaction.
• En créant des liens entre les items, l’interactivité produit un contexte enrichi qui affecte directement le rappel.

64
Q

Méthodes verbales

A

• Utilisées lors de l’encodage pour renforcer une récupération dans l’ordre.
• Le matériel à mémoriser doit être bien connu du participant.
– L’indice permet de rappeler les items dans un certain ordre.
• La phrase ou le mot fournit une structure facilitant le rappel dans l’ordre.

65
Q

Étude de Peper et Mayer (1986) (prise de note)

A

Résultats
– Le groupe qui a pris des notes est meilleur dans le test de
résolution de problèmes que le groupe qui n’a pas pris de notes.
– Le groupe qui n’a pas pris de notes est meilleur dans le test de reconnaissance mot à mot que le groupe ayant pris des notes.

66
Q

Prise de note

A

• La prise de notes favorise l’intégration de l’information aux connaissances en MLT.

– Cette forme d’élaboration permet de décontextualiser l’information et de la transférer à d’autres domaines lors de la résolution de problèmes.

– Permet de transformer et de réorganiser l’information selon la structure en MLT, ce qui rend difficile la reconnaissance mot à mot.

67
Q

Étude de Slotte et Lonka (1999) (qualité et quantité de note)

A

• Plus le participant prend de notes, plus sa performance est élevée.
– Plus le participant prend de notes, plus il a d’informations disponibles lors de sa révision.
• Le type de test importe peu.

• La performance augmente en fonction de la qualité des notes, surtout pour le test de synthèse.
• La qualité des notes serait reliée à la quantité d’élaboration, ce qui permet de faire des liens entre les parties du contenu.
– L’élaboration du contenu est peu pertinente dans un test de définitions où le participant doit faire un rappel de l’information par cœur et où la compréhension des notions n’est pas nécessaire.

68
Q

ÉtudedeKeppel(1964) (étude distribué)

A

L’apprentissage distribué mène à une meilleure performance que l’apprentissage massif, peu importe que le délai soit de 1 ou 8 jours.

69
Q

Étude distribué

A

– Si le 2e apprentissage est le lendemain (apprentissage distribué), l’information moins bien apprise aura eu le temps d’être oubliée.

  • Le participant peut alors utiliser d’autres stratégies afin de mieux mémoriser cette information.
  • Cet apprentissage devient très résistant à l’oubli.

– Si le 2e apprentissage suit immédiatement le 1er (apprentissage massif), l’information n’aura pas eu le temps d’être oubliée et le participant ne pourra pas constater que l’apprentissage n’a pas été efficace.
• D’autres stratégies ne seront pas utilisées.

70
Q

Frase et Schwartz (1975) (auto questionnement)

A

• Le questionnement (ou autoquestionnement) favorise le rappel comparativement à l’étude sans question.
– Permetl’intégrationdel’informationànosconnaissances.
• Il n’y a pas de différence entre le fait de générer soi-
même les questions ou d’utiliser des questions formulées par quelqu’un d’autre.

71
Q

mot sur le bout de la langue

A

– L’individu croit posséder l’information en mémoire, mais n’arrive pas à la récupérer.
– L’individu a l’impression que l’information peut surgir en mémoire à n’importe quel moment.
– L’individu peut utiliser une stratégie d’aide à la
récupération de connaissances afin de faciliter la récupération.

72
Q

« période d’incubation ».

A

Parfois, lorsque l’individu est dans un état TOT, il peut décider d’arrêter sa recherche en mémoire pendant un moment et d’y revenir plus tard. Cette période d’arrêt est appelée

73
Q

Étude de Choi et Smith (2005) (TOT -attendre) et pourquoi

A

L’état TOT semble un bon prédicteur de la performance.

Attendre une période de temps avant la récupération de l’information est une stratégie utile.

– Seloncertainschercheurs,lorsd’unétatTOT,larécupérationde la bonne réponse est bloquée par l’apparition répétée de la même mauvaise réponse (la même mauvaise réponse est constamment activée en mémoire).

– Lorsdelapérioded’incubation,l’informationrécurrentepeutêtre oubliée et laisse place à la bonne information.

74
Q

Brown et McNeill (1966) (info partiel) et pourquoi

A

• Dans 57 % des états TOT, le participant peut rapporter la première lettre du mot et dans 49 % des cas, le participant peut rapporter un mot avec une sonorité similaire.

– La bonne réponse n’est pas assez activée en mémoire pour pouvoir être récupérée.

– Cependant, elle peut être un peu activée de sorte que de l’information partielle peut être récupérée, comme la première lettre du mot.

– Le rappel de cette information partielle peut, à son tour, servir d’indice de récupération et permettre la récupération du contenu recherché.