termes exam synthese Flashcards

1
Q

Qu’est ce quel le ça? + 1 exemple de conflit

A

Le terme “ça” est une référence à l’une des trois instances de la structure de la personnalité dans la théorie psychanalytique de Sigmund Freud. Le “ça” est la partie la plus primitive et la plus instinctive de la personnalité, agissant sur les pulsions et les désirs fondamentaux, sans considération pour la réalité ou les conséquences sociales. Il est régi par le principe de plaisir et cherche la gratification immédiate des besoins et des désirs. Le “ça” est souvent en conflit avec le “surmoi”, la partie morale et sociale de la personnalité, ainsi qu’avec le “moi”, qui essaie de concilier les exigences du “ça” avec la réalité externe.

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2
Q

Qu’est-ce que le moi? + 1 exemple de conflit

A

Le “moi” est une autre des trois instances de la structure de la personnalité selon la théorie psychanalytique de Sigmund Freud. Le “moi” agit comme un médiateur entre les impulsions du “ça”, les normes morales du “surmoi” et les exigences de la réalité externe. Il opère principalement selon le principe de réalité, cherchant à trouver des moyens adéquats et socialement acceptables pour satisfaire les besoins et désirs du “ça” tout en tenant compte des contraintes et des normes de la société.

Le “moi” est également responsable des fonctions cognitives telles que la perception, la mémoire, la pensée et la prise de décision. Il cherche à équilibrer les désirs et les impulsions inconscientes avec les contraintes et les attentes de l’environnement extérieur, en tenant compte des conséquences à long terme et des réalités pratiques.

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3
Q

Qu’est-ce que le surmoi? + 1 exemple de conflit

A

Le “surmoi” est la troisième instance de la structure de la personnalité selon la théorie psychanalytique de Sigmund Freud. Il représente la partie morale et éthique de la personnalité, contenant les normes, les valeurs et les idéaux internalisés de la société ainsi que les règles et les interdictions parentales.

Le “surmoi” agit comme un système de contrôle interne, exerçant une influence sur les pensées, les sentiments et les comportements du sujet en appliquant des critères de moralité et de perfectionnement. Il peut générer des sentiments de culpabilité ou de honte en cas de transgression de ses normes, et il cherche souvent à refouler ou à réprimer les désirs et les impulsions du “ça” jugés inacceptables d’un point de vue moral ou social.

Ainsi, le “surmoi” agit en collaboration avec le “moi” pour réguler et modérer les impulsions du “ça”, et il joue un rôle crucial dans la formation du comportement moral et éthique d’un individu.

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4
Q

Quelle est l’équation du conditionnement classique?

A

(rat) SN -> rien.
(rat) SN +
(bruit)SI -> (peur)RI
(rat)SC -> (peur)RC

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5
Q

Incongruence entre le soi et l’organisme:

A

Cela se produit lorsque les expériences subjectives d’une personne ne correspondent pas à ses réactions physiologiques ou à ses sensations corporelles. Par exemple, une personne peut ressentir de la peur sans qu’il y ait de signes physiques évidents de peur, ce qui crée une dissonance entre ce qu’elle ressent et ce qu’elle observe dans son corps.

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6
Q

Incongruence entre le soi et le soi idéal:

A

Cette forme d’incongruence se produit lorsque la perception que quelqu’un a de lui-même ne correspond pas à son idéal personnel de qui il devrait être. Lorsque la personne perçoit un écart entre sa réalité actuelle et l’image idéalisée qu’elle a d’elle-même, cela peut entraîner des sentiments de frustration, de déception ou de faible estime de soi.

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7
Q

Assimilation :

A

Ce processus se produit lorsque les individus incorporent de nouvelles informations ou expériences dans leurs schèmes existants, qui sont des structures mentales organisées qui représentent des concepts ou des actions. En d’autres termes, l’assimilation consiste à intégrer de nouvelles informations dans des schèmes préexistants sans changer fondamentalement ces schèmes. Par exemple, un enfant qui a un schème pour les oiseaux peut assimiler une nouvelle observation, comme celle d’un moineau, à son schème existant d’oiseau.

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8
Q

Accommodation :

A

Contrairement à l’assimilation, l’accommodation se produit lorsque les individus modifient leurs schèmes existants pour tenir compte de nouvelles informations ou expériences qui ne correspondent pas à leurs schèmes actuels. Cela signifie ajuster ou créer de nouveaux schèmes pour intégrer de manière adéquate de nouvelles informations. Reprenant l’exemple précédent, si un enfant rencontre un pingouin pour la première fois, qui ne correspond pas à son schème d’oiseau traditionnel, il peut modifier son schème existant pour inclure cette nouvelle observation.

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9
Q

Mémoire à court terme (MCT) :

A

La mémoire à court terme, parfois appelée mémoire de travail, est un système de stockage temporaire et de traitement de l’information. Elle est responsable de retenir des informations pour de courtes périodes de temps, généralement de l’ordre de quelques secondes à quelques minutes, en fonction de divers facteurs tels que l’attention et la répétition. La MCT joue un rôle crucial dans des tâches cognitives telles que la résolution de problèmes, la prise de décision et la compréhension du langage.

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10
Q

Apprentissage latent :

A

L’apprentissage latent fait référence à un type d’apprentissage qui se produit sans démonstration immédiate de la nouvelle compétence ou connaissance acquise. Les comportements ou les connaissances apprises ne se manifestent pas immédiatement, mais peuvent être observés ultérieurement lorsque des incitations ou des circonstances spécifiques surviennent. Par exemple, un rat placé dans un labyrinthe sans incitation immédiate à apprendre le chemin optimal peut néanmoins acquérir cette connaissance, qui se manifestera lorsque des récompenses ou des motivations seront introduites.

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11
Q

Apprentissage par observation :

A

L’apprentissage par observation, se produit lorsque les individus acquièrent de nouvelles compétences, comportements ou connaissances en observant les actions, les comportements et les conséquences des autres, sans avoir à expérimenter ces conséquences eux-mêmes directement. Ce processus est souvent associé à la théorie de l’apprentissage social d’Albert Bandura, qui met en évidence le rôle crucial du modèle et des processus cognitifs tels que l’attention, la rétention, la reproduction et la motivation dans l’acquisition de nouvelles compétences par observation.

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12
Q

Angoisse réelle :

A

L’angoisse réelle, également appelée angoisse objective, est une réponse émotionnelle normale et adaptative à des situations ou des événements réels qui présentent une menace ou un danger pour la sécurité, la survie ou le bien-être d’un individu. Il s’agit d’une réaction naturelle face à des stimuli externes tangibles ou des événements stressants concrets. Par exemple, l’angoisse ressentie lors d’une situation dangereuse, comme un accident de voiture ou une catastrophe naturelle, est un exemple d’angoisse réelle.

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13
Q

Angoisse névrotique :

A

L’angoisse névrotique, également appelée angoisse subjective, est un concept de la psychanalyse qui fait référence à une angoisse excessive et irrationnelle qui ne trouve pas de cause apparente dans la réalité extérieure. Elle est souvent associée à des conflits internes inconscients, des peurs irrationnelles, des souvenirs refoulés ou des désirs inassouvis. L’angoisse névrotique peut être chronique et interférer avec le fonctionnement quotidien de l’individu, mais elle n’est pas nécessairement liée à des menaces externes objectives.

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14
Q

Angoisse morale :

A

L’angoisse morale se réfère à une forme d’angoisse ou de culpabilité qui résulte de la violation perçue des normes morales ou éthiques d’un individu. Elle est associée à un conflit interne entre les valeurs personnelles, les principes moraux et les actions réelles ou envisagées. Par exemple, une personne peut ressentir de l’angoisse morale après avoir menti, triché ou fait quelque chose qu’elle considère comme contraire à ses principes moraux. Cette angoisse peut être motivée par le désir de réparer la transgression morale ou de réconcilier le conflit interne.

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15
Q

Connaissance épisodique :

A

La connaissance épisodique fait référence aux souvenirs d’événements spécifiques et des expériences vécues dans un contexte temporel et spatial donné. Ces souvenirs sont liés à des épisodes autobiographiques uniques et sont souvent accompagnés de détails contextuels, tels que le moment, le lieu, les émotions ressenties et les personnes impliquées. Par exemple, se souvenir de son premier jour d’école ou d’un anniversaire spécial sont des exemples de connaissance épisodique.

Ces termes font référence à différents types de connaissances et de mémoire dans le domaine de la psychologie cognitive.

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16
Q

Connaissance sémantique :

A

La connaissance sémantique, également appelée mémoire sémantique, concerne les connaissances générales sur le monde, les concepts, les faits et les relations qui ne sont pas liés à des expériences spécifiques. Elle englobe des informations abstraites et générales sur des catégories d’objets, des règles, des définitions et des principes. Par exemple, savoir que Paris est la capitale de la France ou comprendre le concept de gravité sont des exemples de connaissance sémantique.

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17
Q

Connaissance procédurale :

A

La connaissance procédurale concerne les habiletés et les savoir-faire liés à l’exécution de tâches et de procédures. Elle implique la mémorisation des étapes et des séquences d’actions nécessaires pour accomplir une activité, souvent de manière automatique et sans nécessiter une conscience explicite des détails. Par exemple, savoir faire du vélo, jouer d’un instrument de musique ou conduire une voiture impliquent tous des formes de connaissance procédurale.

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18
Q

Acte manqué :

A

Un acte manqué, également appelé “acte manqué freudien”, se produit lorsque quelqu’un commet involontairement une erreur ou un lapsus qui révèle un désir ou un conflit inconscient. Selon la théorie freudienne, ces actes sont des manifestations de pensées ou de désirs refoulés qui s’expriment de manière indirecte. Par exemple, oublier le nom de quelqu’un que l’on connaît bien ou prononcer par erreur un mot inapproprié peuvent être interprétés comme des actes manqués.

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19
Q

Transfert

A

Le transfert se réfère au processus par lequel les sentiments, les émotions et les attitudes d’une personne envers une figure d’autorité ou une personne significative de son passé sont transférés ou projetés sur une autre personne, généralement le thérapeute, dans le contexte d’une relation thérapeutique. C’est un phénomène important en psychanalyse qui permet au patient de revivre des expériences émotionnelles passées et de travailler à les résoudre dans le cadre de la relation thérapeutique.

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20
Q

Lapsus :

A

Un lapsus est une erreur linguistique qui se produit lorsque quelqu’un parle ou écrit involontairement un mot incorrect, souvent à la place d’un mot qu’il voulait dire. Selon Freud, les lapsus sont des manifestations de pensées refoulées qui émergent de l’inconscient. Par exemple, dire “j’ai hâte de te voir” à la place de “j’ai hâte de te quitter” pourrait révéler un désir refoulé de se séparer de cette personne.

21
Q

Résistance :

A

La résistance est un mécanisme de défense inconscient par lequel le patient évite ou refuse de traiter certains contenus ou souvenirs douloureux ou menaçants. Ces contenus peuvent être refoulés dans l’inconscient, et la résistance peut entraver le progrès thérapeutique en empêchant l’exploration de ces matériaux. La reconnaissance et l’analyse des résistances sont essentielles dans la psychothérapie psychanalytique pour faciliter le travail sur les conflits refoulés.

22
Q

Association libre :

A

L’association libre est une technique utilisée en psychanalyse dans laquelle le patient est encouragé à exprimer librement ses pensées, ses sentiments et ses associations sans censure ni jugement. Cela permet d’accéder aux contenus de l’inconscient et de révéler des matériaux refoulés. Le thérapeute observe les associations du patient et cherche à identifier les schémas récurrents, les conflits inconscients et les souvenirs refoulés.

23
Q

Extinction du comportement :

A

L’extinction du comportement est un processus par lequel un comportement qui était précédemment renforcé cesse de se produire parce que le renforcement est retiré. En d’autres termes, le comportement cesse de se produire lorsqu’il n’est plus suivi d’une récompense ou d’un renforcement. Par exemple, si un chien ne reçoit plus de friandises après avoir aboyé, il peut éventuellement cesser d’aboyer.

24
Q

Stimulus discriminatif :

A

Un stimulus discriminatif est un stimulus qui signale à un organisme qu’une récompense ou un renforcement est disponible s’il émet un comportement spécifique. En d’autres termes, il indique à l’organisme quelle réponse est appropriée dans une situation donnée. Par exemple, dans un laboratoire de conditionnement opérant, un signal lumineux peut indiquer à un rat qu’une presse à barre est active et que des récompenses sont disponibles s’il appuie sur la barre.

25
Q

Règle de contingence :

A

La règle de contingence se réfère à la relation entre un comportement, un stimulus discriminatif et un renforcement. Elle spécifie les conditions sous lesquelles un comportement sera renforcé en présence d’un stimulus discriminatif. En général, pour qu’un comportement soit renforcé, il doit être émis en présence du stimulus discriminatif et être suivi du renforcement. Par exemple, dans le conditionnement opérant, un rat peut appuyer sur une barre (comportement) en présence d’un signal lumineux (stimulus discriminatif) et recevoir une récompense (renforcement) seulement lorsque le comportement est effectué en présence du signal lumineux.

26
Q

Renforcement positif :

A

Le renforcement positif se produit lorsqu’un comportement est suivi de l’ajout d’un stimulus agréable ou souhaitable, ce qui augmente la probabilité que le comportement se reproduise à l’avenir. En d’autres termes, le renforcement positif consiste à donner quelque chose de plaisant à la suite d’un comportement souhaité. Par exemple, si un étudiant reçoit une récompense (comme des éloges ou une friandise) pour avoir bien travaillé sur ses devoirs, il est plus susceptible de continuer à bien travailler à l’avenir.

27
Q

Renforcement négatif :

A

Le renforcement négatif se produit lorsqu’un comportement est suivi du retrait ou de l’évitement d’un stimulus aversif ou désagréable, ce qui augmente la probabilité que le comportement se reproduise à l’avenir. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le terme “négatif” ne signifie pas mauvais, mais plutôt le retrait ou l’absence. Par exemple, si un conducteur atténue le bruit de la sonnerie en bouclant sa ceinture de sécurité, il est plus susceptible de boucler sa ceinture à l’avenir pour éviter le bruit désagréable.

28
Q

Punition positive :

A

La punition positive se produit lorsqu’un comportement est suivi de l’ajout d’un stimulus aversif ou désagréable, ce qui diminue la probabilité que le comportement se reproduise à l’avenir. En d’autres termes, la punition positive consiste à infliger quelque chose de désagréable ou d’aversion à la suite d’un comportement non désiré. Par exemple, si un chien reçoit une secousse électrique pour avoir sauté sur le canapé, il est moins susceptible de sauter sur le canapé à l’avenir.

29
Q

Punition négative :

A

La punition négative se produit lorsqu’un comportement est suivi du retrait ou de la suppression d’un stimulus agréable ou souhaitable, ce qui diminue la probabilité que le comportement se reproduise à l’avenir. Encore une fois, le terme “négatif” fait référence au retrait ou à la suppression. Par exemple, si un adolescent se voit retirer ses privilèges de conduite pour avoir enfreint les règles de la maison, il est moins susceptible de répéter le comportement à l’avenir.

30
Q

Déplacement :

A

Le déplacement est un mécanisme de défense par lequel une personne déplace ses émotions, ses désirs ou ses pensées d’un objet, d’une personne ou d’une situation à une autre qui est moins menaçante ou moins anxieuse. Cela se produit souvent lorsque les sentiments ou les impulsions inconfortables associés à une situation sont transférés vers une autre situation qui est plus acceptable ou socialement tolérée. Par exemple, une personne qui est en colère contre son patron peut exprimer cette colère envers sa famille après le travail, au lieu de la diriger vers son patron.

31
Q

Projection :

A

La projection est un mécanisme de défense par lequel une personne attribue ses propres pensées, émotions, motivations ou traits indésirables à quelqu’un d’autre. Cela se produit souvent de manière inconsciente, et la personne peut être inconsciente de ses propres sentiments ou motivations, les attribuant plutôt à une autre personne. Par exemple, une personne qui ressent de la jalousie envers un collègue peut projeter cette jalousie en accusant le collègue d’être jaloux d’elle.

32
Q

Formation réactionnelle :

A

La formation réactionnelle est un mécanisme de défense par lequel une personne exprime un comportement ou une attitude opposé à ses désirs ou ses impulsions inconscients. Cela se produit souvent lorsque les désirs ou les impulsions inacceptables sont refoulés dans l’inconscient et que la personne réagit de manière excessive dans la direction opposée. Par exemple, une personne qui ressent un fort désir de violence peut adopter une attitude de gentillesse et de pacifisme extrêmes.

33
Q

Rationalisation :

A

La rationalisation est un mécanisme de défense par lequel une personne justifie ou explique ses pensées, ses sentiments ou ses comportements de manière logique ou socialement acceptable, plutôt que de reconnaître les véritables motivations ou désirs. Cela se produit souvent pour atténuer l’anxiété ou le stress associé à des actions ou des pensées conflictuelles. Par exemple, une personne qui n’a pas été acceptée dans une université de choix peut rationaliser en disant que l’école n’était pas vraiment ce qu’elle voulait de toute façon.

34
Q

Empathie :

A

L’empathie est la capacité de comprendre et de partager les émotions, les pensées et les expériences d’autrui. C’est la capacité de se mettre à la place de quelqu’un d’autre et de ressentir ce qu’il ressent. L’empathie implique non seulement de reconnaître les émotions des autres, mais aussi de les ressentir de manière similaire. Elle joue un rôle crucial dans les relations sociales, la communication et le soutien émotionnel.

35
Q

Expérience subjective :

A

L’expérience subjective se réfère à la manière dont un individu perçoit et interprète le monde qui l’entoure, en fonction de ses propres pensées, émotions, sensations et perceptions. Chaque personne a une expérience subjective unique et individuelle du monde, influencée par des facteurs tels que son histoire personnelle, sa culture, ses croyances et ses valeurs. L’étude de l’expérience subjective est importante pour comprendre la diversité de la perception humaine et la nature de la conscience.

36
Q

Libre arbitre :

A

Le libre arbitre est le concept philosophique selon lequel les individus ont la capacité de prendre des décisions et d’agir indépendamment de toute contrainte extérieure ou de toute détermination préalable. Il suggère que les individus ont un contrôle volontaire sur leurs propres actions et choix. Cependant, le concept de libre arbitre est complexe et fait l’objet de débats philosophiques depuis des siècles, car il soulève des questions sur la nature de la causalité, de la détermination et de la responsabilité morale.

le degré de contrôle que nous avons sur nos propres actions et choix (libre arbitre).

37
Q

Thérapie centrée sur la personne :

A

La thérapie centrée sur la personne, également connue sous le nom de thérapie centrée sur le client, est une approche thérapeutique développée par Carl Rogers. Cette approche met l’accent sur la création d’un environnement thérapeutique empathique, non directif et sans jugement, où le thérapeute aide le client à explorer ses propres sentiments, pensées et expériences de manière autonome. La thérapie centrée sur la personne repose sur trois conditions fondamentales : l’empathie du thérapeute, l’acceptation inconditionnelle du client et la congruence du thérapeute. Cette approche met l’accent sur la confiance en la capacité innée du client à s’auto-réguler et à trouver des solutions à ses propres problèmes.

38
Q

Considération positive conditionnelle :

A

La considération positive conditionnelle se réfère à l’approbation, à l’amour ou à l’estime qui sont accordés à une personne sous certaines conditions ou critères spécifiques. Cela signifie que l’affection ou l’approbation d’une personne dépend de son comportement ou de ses actions conformes aux attentes ou aux normes établies par les autres. Par exemple, un parent qui n’exprime son amour pour son enfant que lorsqu’il obtient de bonnes notes à l’école peut être considéré comme offrant une considération positive conditionnelle.

39
Q

Considération positive inconditionnelle :

A

La considération positive inconditionnelle se réfère à l’affection, à l’amour ou à l’estime qui sont accordés à une personne sans condition préalable. Cela signifie que l’affection ou l’approbation sont offertes librement et sans réserve, indépendamment du comportement ou des actions de la personne. Dans le cadre de la théorie de la personnalité de Rogers, la considération positive inconditionnelle est essentielle pour favoriser le développement et la croissance personnelle. Elle implique d’accepter et d’apprécier pleinement une personne pour ce qu’elle est, sans jugement ni attente de changement.

40
Q

Immersion :

A

L’immersion est une méthode utilisée dans certains types de thérapie, notamment la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), où un individu est exposé de manière intensive et prolongée à une situation, un objet ou une expérience qui suscite de l’anxiété ou de la peur. L’objectif est de permettre à la personne de s’habituer progressivement à la source de son anxiété ou de sa peur, en la confrontant de manière répétée et prolongée. Cette exposition graduelle peut aider à réduire la réaction de peur ou d’anxiété et à favoriser l’adaptation.

41
Q

Façonnement :

A

Le façonnement est une technique utilisée dans l’apprentissage et le conditionnement, où les comportements désirés sont renforcés progressivement en récompensant des réponses qui se rapprochent de l’objectif final. Cela implique de renforcer des comportements successifs qui se rapprochent de la réponse souhaitée, jusqu’à ce que le comportement final soit atteint. Par exemple, dans l’entraînement des animaux, le façonnement est utilisé pour enseigner des comportements complexes en récompensant les étapes successives qui mènent au comportement final désiré.

42
Q

Désensibilisation systématique :

A

La désensibilisation systématique est une technique utilisée pour traiter les phobies et les troubles anxieux. Elle implique une exposition progressive et contrôlée à la source de l’anxiété ou de la peur, souvent en utilisant une hiérarchie des peurs graduée. La personne est exposée à des stimuli anxiogènes de manière progressive, commençant par ceux qui suscitent une anxiété légère et progressant vers ceux qui provoquent une anxiété plus intense. L’objectif est de réduire l’anxiété en apprenant des techniques de relaxation et en modifiant les associations négatives avec les stimuli anxieux.

43
Q

Contreconditionnement :

A

Le contreconditionnement est une technique utilisée pour modifier une réponse émotionnelle ou comportementale en associant une nouvelle réponse ou un nouveau stimulus à une réponse déjà existante. L’idée est de remplacer une réponse indésirable par une réponse souhaitée en réassociant la situation ou le stimulus avec une réaction différente. Par exemple, dans le traitement des phobies, le contreconditionnement peut être utilisé en associant progressivement un stimulus anxiogène avec une réponse de relaxation, afin de remplacer la peur par une réponse de calme.

44
Q

Thérapie aversive :

A

La thérapie aversive est une approche thérapeutique qui implique l’utilisation intentionnelle de stimuli désagréables ou aversifs pour supprimer ou éliminer un comportement indésirable. Cela peut inclure l’application de conséquences désagréables ou douloureuses en réponse à un comportement spécifique. Par exemple, la thérapie aversive a été utilisée dans le passé pour traiter des comportements tels que la dépendance à l’alcool en associant la consommation d’alcool avec des effets désagréables, comme la nausée ou la douleur. Cependant, cette approche est controversée et est moins fréquemment utilisée de nos jours en raison de préoccupations éthiques et de ses limitations.

45
Q

Algorithme :

A

En psychologie cognitive, un algorithme est une méthode systématique et étape par étape pour résoudre un problème ou atteindre un objectif. Les algorithmes garantissent une solution correcte lorsqu’ils sont appliqués correctement, mais ils peuvent être lents et exigeants en termes de ressources cognitives. Par exemple, la méthode de résolution de problèmes mathématiques que vous avez apprise à l’école est un exemple d’algorithme.

46
Q

Heuristique :

A

Une heuristique est une règle générale ou un raccourci mental utilisé pour prendre des décisions ou résoudre des problèmes plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs que les algorithmes. Les heuristiques peuvent être utiles pour traiter efficacement les informations dans des situations complexes, mais elles peuvent également conduire à des erreurs systématiques, connues sous le nom de biais cognitifs. Un exemple d’heuristique est le raccourci mental “utiliser l’exemple le plus représentatif” lors de la prise de décisions.

47
Q

Interférence proactive :

A

L’interférence proactive se produit lorsqu’un apprentissage antérieur interfère avec la capacité à mémoriser de nouvelles informations. Cela signifie que les informations apprises précédemment rendent plus difficile la mémorisation ou le rappel de nouvelles informations. Par exemple, si vous apprenez un nouveau numéro de téléphone, mais que vous avez du mal à vous en souvenir parce que vous vous souvenez encore de votre ancien numéro, cela pourrait être dû à une interférence proactive.

48
Q

Interférence rétroactive :

A

L’interférence rétroactive se produit lorsqu’un nouvel apprentissage interfère avec la capacité à se rappeler des informations apprises précédemment. Cela signifie que les nouvelles informations perturbent la récupération des informations plus anciennes. Par exemple, si vous avez appris une nouvelle langue et que cela affecte votre capacité à vous rappeler des mots dans une langue que vous avez apprise auparavant, cela pourrait être dû à une interférence rétroactive.

49
Q

Encodage spécifique :

A

L’encodage spécifique se réfère à la capacité à se souvenir d’informations lorsque les conditions de récupération sont similaires à celles de l’encodage initial. En d’autres termes, le souvenir est amélioré lorsque l’environnement ou le contexte de récupération correspond étroitement à celui de l’encodage initial. Par exemple, si vous étudiez pour un examen dans la même salle où vous avez appris le matériel, vous pouvez mieux vous souvenir des informations car l’environnement est similaire à celui de l’encodage initial.