t1 Flashcards

1
Q

En 2008, le seuil de faible revenu avant impôt établi par Statistique Canada pour une famille de 4 personnes vivant dans la région de Québec se situait autour de 42000$.
V ou F

A

Vrai

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2
Q

À la Commission scolaire de la Capitale, l’École secondaire de Neufchâtel est moins défavorisée que l’École Joseph-François-Perrault
V ou F

A

Vrai

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3
Q

Il n’existe aucune corrélation entre le taux de pauvreté et la scolarité.

A

Faux

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4
Q

Les facteurs de risque qui rendent vulnérables les enfants dans leur cheminement scolaire sont seulement liés à leur famille.

A

Faux

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5
Q

À la Commission scolaire de la Capitale, l’indice de défavorisation de l’École secondaire Vanier est moins élevé que celui de l’École secondaire Roger-Comtois.

A

Faux

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6
Q

Il a été démontré que «la pauvreté ne se réduit pas au manque de revenu, elle s’accompagne de la non-insertion sociale et de la non-participation à la vie collective. Cette non-participation à la vie collective se traduit chez les jeunes par la non-participation à la vie scolaire ».

A

Vrai

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7
Q

La pauvreté peut être passagère ou chronique. Une personne qui vit une situation de pauvreté pendant 5 ans aura moins de chance de s’en sortir.

A

Vrai

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8
Q

La pauvreté relative désigne une situation où l’insuffisance des ressources ne garantit pas la satisfaction des besoins minimaux alors que la pauvreté absolue réfère à un accès insuffisant à des biens et services de base mais aussi à l’inégalité en matière de santé, d’accès à l’éducation, etc.

A

Faux

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9
Q

Les seuils de faible revenu après impôt de Statistique Canada pour 2008 sont plus bas pour les régions rurales que ceux utilisés pour les régions urbaines.

A

VRai

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10
Q

On a constaté que la pauvreté avait des effets sur différents aspects de la vie des personnes les plus vulnérables. Sur le plan scolaire, les enfants des milieux défavorisés risquent plus de décrocher et ont généralement des rendements scolaires inférieurs aux jeunes issus des milieux mieux nantis.

A

Vrai

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11
Q

La sous-scolarisation n’a aucun effet sur le niveau de revenu d’un individu et son intégration sur le marché du travail

A

Faux

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12
Q

Les aspirations élevées des parents en matière d’éducation n’ont aucun impact sur la réussite scolaire de leur enfant

A

Faux

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13
Q

Le Programme de soutien à l’école montréalaise et la stratégie d’intervention Agir autrement sont deux outils mis en place par le MELS pour contrer les effets de la défavorisation.

A

VRai

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14
Q

Ce type de pauvreté désigne une situation où l’insuffisance de ressources ne garantit pas la satisfaction des besoins minimaux. On suppose un revenu extrêmement bas.
A.

Pauvreté relative
B.

Pauvreté absolue
C.

Pauvreté durable
D.

Pauvreté passagère

A

pauvreté absolu

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15
Q

Divers constats ont été effectués quant aux effets de la pauvreté sur différents aspects de la vie des personnes les plus vulnérables.

Trouvez l’intrus:
A.

Le taux de mortalité infantile est plus élevé chez les moins nantis.
B.

Le taux de suicide est plus élevé en milieu défavorisé.
C.

Le risque de décrochage scolaire est plus élevé chez les personnes les plus pauvres.
D.

Les personnes pauvres seraient mieux informées de leurs droits.

A

D

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16
Q

Il a été démontré qu’il était important pour le milieu scolaire de reconnaître les caractéristiques de la défavorisation afin de mettre en place des moyens de contrer ses effets défavorables.

Trouvez l’intrus :
A.

La défavorisation est un état de désavantage relatif d’individus par rapport à un ensemble auquel ils appartiennent, par exemple, une communauté locale.
B.

La défavorisation n’a qu’un seul visage, le manque de ressources matérielles.
C.

La défavorisation résulte d’un ensemble de facteurs en interaction qui peuvent avoir des conséquences négatives sur la famille et sur l’élève.
D.

La défavorisation se retrouve en milieu urbain, semi-urbain ou rural.

A

B

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17
Q

Il est reconnu que la privation financière a des effets sur différents aspects de la vie des personnes les plus vulnérables à la pauvreté.

  1. Les décès attribuables aux accidents sont deux fois plus fréquents chez les enfants pauvres. Les décès dus à un incendie, une chute, à la noyade et aux accidents d’automobile sont quatre fois plus fréquents chez les enfants moins nantis.
  2. Les enfants pauvres ont généralement plus de caries dentaires.
  3. Les décès attribuables aux malformations congénitales sont 1,5 fois plus élevés chez les pauvres.
  4. Les décès attribuables aux maladies infectieuses sont 2,5 moins élevés chez les moins nantis.
  5. Deux fois plus de bébés pauvres que de bébés riches pèsent peu à la naissance, et les prématurés sont également plus nombreux chez les pauvres.
  6. Les enfants pauvres sont d’une taille et d’un poids supérieurs aux autres.

La réponse est :
A.

1, 2, 3 et 4
B.

1, 2, 3 et 5
C.

1, 2, 4 et 5
D.

3, 4, 5 et 6
E.

1, 2, 5 et 6

A

B

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18
Q
Selon Moreau (1995), les conséquences de la sous-scolarisation sont : 
1.L’intégration à l’emploi
2.Le niveau de revenu
3.La persévérance scolaire
4.La santé et les habitudes de vie
5.La richesse
6.La criminalité
La réponse est :
A.	

1, 2, 3 et 4
B.

1, 2, 3 et 5
C.

1, 2, 4 et 6
D.

3, 4, 5 et 6
E.

1, 2, 5 et 6

A

C

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19
Q

Il a été démontré que les facteurs de protection liés au milieu scolaire sont importants pour la réussite scolaire des élèves issus des milieux défavorisés.
1. Il est important que le personnel ait des croyances positives à l’égard des élèves des milieux défavorisés.
2. Il est important que le climat scolaire soit paisible et favorable.
3. Il a été démontré que la qualité des relations entre les enseignants et les élèves n’avait aucun impact sur la réussite scolaire.
4. La collaboration et une communication satisfaisante entre les partenaires sont des éléments essentiels pour la réussite scolaire des élèves moins bien nantis.
5. Il est important que les pratiques pédagogiques soient adaptées aux caractéristiques des élèves pauvres.
La réponse est :
A.

1, 2, 3 et 4
B.

1, 3, 4 et 5
C.

1, 2, 3 et 5
D.

1, 2, 4 et 5

A

D

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20
Q

Il n’y a aucune différence au niveau du taux de pauvreté qu’on soit une femme ou un homme.

A

F

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21
Q

Il existe un écart important dans le domaine de la scolarisation entre les pays riches et les pays pauvres. C’est en Amérique du Sud que l’on retrouve le plus d’enfants non scolarisés au niveau primaire.

A

Faux

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22
Q

Les prestations pour enfants font partie des revenus des familles québécoises.

A

Vrai

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23
Q

En 2007, l’Alberta est la province canadienne qui détient le plus haut taux de pauvreté alors que la Colombie-Britannique est la province la plus riche.

A

Faux

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24
Q

En 2007, le taux de pauvreté des personnes vivant au Québec était près de 10,7 % et il était plus bas que celui des personnes vivant en Colombie-Britannique.

A

VRai

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25
Q

Une personne qui reçoit des prestations d’aide sociale vit sous le seuil de faible revenu établi par Statistique Canada.

A

vrai

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26
Q

Dans les pays pauvres, promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes n’est pas un bon moyen d’enrayer la pauvreté.

A

Faux

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27
Q

En 2007, le taux de pauvreté des personnes seules vivant au Canada était plus bas que celui des familles.

A

Faux

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28
Q

Il a été démontré que la scolarisation des filles dans les pays pauvres avait un impact positif sur la santé et celle de leurs enfants et sur la lutte contre la pauvreté.

A

VRai

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29
Q

De 2001 à 2008, le nombre de filles scolarisées en Afghanistan est passé de 15 000 à 2,2 millions.

A

Vrai

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30
Q

Quel est l’indicateur du seuil de pauvreté utilisé pour décrire l’extrême pauvreté sur le plan mondial?
A.

6 25 $ par jour
B.

5 25 $ par jour
C.

2 $ par jour
D.

1 $ par jour

A

1$ par jour

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31
Q

Le pourcentage de la population dont le revenu est inférieur à 1 $ par jour (données de 1981-2003) se retrouve principalement :
A.

En Amérique du Sud
B.

En Afrique subsaharienne
C.

En Afrique et en Europe de l’Est
D.

En Europe de l’Est et en Asie du Sud

A

B En afrique subsaharienne

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32
Q

Quel était le taux de pauvreté des enfants canadiens en 2007?
A.

7,5%
B.

9,5%
C.

10,5%
D.

11,5%
E.

12,5%

A

9,5%

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33
Q

La Banque Mondiale a établi plusieurs constats concernant l’éducation à travers le monde.
A.

Il existe un écart important dans le domaine de l’éducation entre riches et pauvres et entre pays.
B.

Le nombre d’enfants en âge de fréquenter l’école et qui ne sont pas scolarisés a chuté entre 1999 et 2008.
C.

C’est en Afrique subsaharienne que le taux de scolarisation du primaire reste le plus faible.
D.

Sur le plan mondial, il y a plus de femmes analphabètes que d’hommes.
E.

Tous ces éléments décrivent bien la situation de l’éducation sur le plan mondial.

A

E

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34
Q

Les taux de pauvreté sont nettement plus élevés chez certains groupes d’enfants.
Cherchez l’intrus.
A.

En 2005, les taux de pauvreté chez les enfants immigrants sont plus élevés que chez les enfants non immigrants.
B.

En 2005, les enfants des Inuits sont plus pauvres que ceux des Premières-Nations.
C.

En 2005, les enfants n’appartenant pas à une minorité visible sont moins pauvres que ceux appartenant à une minorité visible.
D.

En 2005, les enfants appartenant aux groupes ethniques japonais et philippins sont moins pauvres que ceux appartenant aux communautés noires.

A

B Les inuits sont plus pauvres que les premières nations

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35
Q

Que constate-t-on des tendances en matière de pauvreté, selon le type de famille, entre 1976-2007?
Le taux de pauvreté des familles monoparentales dont le chef est une femme diminue de façon importante.
Les familles biparentales ont toujours affiché des taux de pauvreté peu élevés.
Le nombre de personnes seules en âge de travailler vivant dans la pauvreté est plus élevé que jamais.
Les taux de pauvreté des femmes en âge de travailler sont plus bas que celui des hommes.
Les taux de pauvreté des aînés ont chuté au cours des 30 dernières années.
La réponse est :
A.

1, 2, 3 et 4
B.

1, 2, 4 et 5
C.

2, 3, 4 et 5
D.

1, 3, 4 et 5
E.

1, 2, 3 et 5

A

E 1 2 3 et 5

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36
Q

L’analphabétisme comporte des coûts pour les personnes peu alphabétisées, mais n’entraîne pas de coûts économiques et sociaux pour l’ensemble de la société.

A

Faux

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37
Q

L’immigration implique nécessairement l’analphabétisme.

A

Faux

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38
Q

Au Québec, les adultes analphabètes peuvent s’alphabétiser par le biais des groupes populaires d’alphabétisation ou par le réseau des commissions scolaires.

A

VRai

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39
Q

Les analphabètes complets forment 7 % de la population canadienne. Les analphabètes complets sont incapables de lire la plupart des documents écrits courants, ils ne reconnaissent que les éléments de base, soit leur permis de conduire ou l’étiquette d’un mode d’emploi. Ce groupe comprend aussi les gens souffrant d’incapacités intellectuelles.

A

Vrai

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40
Q

« L’alphabétisation peut être définie comme l’enseignement ou l’apprentissage de base du code écrit (lecture, écriture, calcul), généralement dans la langue maternelle, la langue dominante ou la langue d’usage d’une société. Elle fait habituellement référence à l’acquisition des connaissances et compétences de base dont chacun a besoin dans un monde en rapide évolution ».

A

vrai

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41
Q

Favoriser l’éveil à la langue écrite dès la petite enfance n’est pas un bon moyen de prévenir l’analphabétisme.

A

Faux

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42
Q

La capacité de lecture et d’écriture constitue une exigence pour 98 % des emplois existant au Canada.

A

Vrai

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43
Q

Il n’y a aucun lien entre l’analphabétisme et les difficultés scolaires vécues au primaire.

A

Faux

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44
Q

L’alphabétisation contribue au développement des individus, mais aussi d’une collectivité, d’une société.

A

Vrai

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45
Q

Il est impossible d’établir des liens entre l’analphabétisme, le chômage, la pauvreté, les accidents du travail, les problèmes de santé, etc.

A

faux

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46
Q

En raison de la croissance démographique, on estime que le nombre de Canadiens d’âge adulte ayant un faible niveau de littératie passera de 12 à 15 millions d’ici les prochaines années.

A

vrai

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47
Q

Certains intervenants du milieu de l’alphabétisation croient qu’un bon moyen pour contrer l’analphabétisme est de modifier le modèle social. Ils souhaitent donc une « modification significative du système économique et politique actuel pour réduire l’écart entre les riches et les pauvres ».

A

vrai

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48
Q

L’intervention auprès des familles est un bon moyen de prévention de l’analphabétisme. Parmi les actions les plus répandues, on retrouve l’aide aux devoirs, les activités de littératie, les ateliers pour les jeunes à risque de décrochage scolaire, etc.

A

Vrai

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49
Q

En 2003, l’Enquête internationale sur l’alphabétisation et les compétences adultes fut menée. Les résultats démontrent que seulement 4% des personnes vivant au Québec éprouvent des difficultés en résolution de problèmes.

A

Faux

50
Q

Plusieurs jeunes analphabètes ne terminent pas l’école; ils sont donc en situation de décrochage scolaire.

A

Vrai

51
Q

Une enquête menée par Statistique Canada en 1991 a permis de déterminer certains niveaux en lecture. 9 % de la population canadienne peut reconnaître des mots, mais avoue avoir de la difficulté à comprendre le matériel de lecture usuelle. Ces individus se retrouvent au :
A.

Niveau 1
B.

Niveau 2
C.

Niveau 3
D.

Niveau 4

A

niv 2

52
Q

Comment peut-on reconnaître une personne analphabète?
A.

Dire qu’on a oublié ses lunettes, qu’on a mal aux yeux, donc qu’on ne peut pas lire.
B.

Dire qu’on a mal au bras, à la main et qu’on ne peut pas écrire.
C.

Avoir de la difficulté à remplir un formulaire, à composer un numéro de téléphone, à signer son nom.
D.

Prendre des notes pratiques à l’aide de dessins simples (ex. tracer un signe de $ pour ne pas oublier d’apporter l’argent de sa cotisation).
E.

Tous les éléments qui précèdent sont des indices utilisés par des personnes analphabètes.

A

E

53
Q

Voici une série de constats concernant l’alphabétisation au Québec. (2 points)
Trouvez l’intrus.
A.

Au début du XXe siècle, le taux d’analphabétisme est très bas au Québec.
B.

Le développement de l’alphabétisation a démarré avec la Révolution tranquille.
C.

Dans les années 1979, l’alphabétisation s’est surtout développée au sein d’un réseau d’organismes populaires.
D.

Au début des années 1980, le milieu scolaire commence à s’intéresser à l’alphabétisation en tant que telle.

A

AAu début du XXe siècle, le taux d’analphabétisme est très bas au Québec

54
Q

Voici le parcours des jeunes adultes dits analphabètes dans l’univers de l’écrit.
1.Ces jeunes peuvent vivre des difficultés au niveau de leur développement psychomoteur pouvant entraîner des difficultés de langage (problèmes d’articulation, etc.).
2.La majorité de ces jeunes adultes a vécu un parcours scolaire irrégulier au primaire et plus encore au secondaire.
3.La plupart ont interrompu leur parcours scolaire à 16 ans; ils n’ont pas terminé leur secondaire.
4.Ils ont un très bon souvenir de l’école, surtout au secondaire.
5.La très grande majorité d’entre eux poursuivent leur alphabétisation par la voie de l’éducation des adultes.
La réponse est :
A.

5, 4 et 3
B.

4, 3 et 2
C.

3, 2 et 1
D.

3, 4 et 5
E.

1, 2 et 5

A

C

55
Q

Il existe différentes interventions en alphabétisation; l’atelier autobiographique permet aux jeunes analphabètes de :
A.

Briser leur isolement.
B.

Prendre conscience qu’ils ont des connaissances, entre autres, de l’écrit.
C.

Porter un regard critique sur leurs capacités à développer leur autonomie.
D.

Se transformer.
E.

Tous ces éléments décrivent bien les bienfaits de l’atelier autobiographique

A

E

56
Q

Le taux de décrochage scolaire a diminué de façon très importante depuis 20 ans tant chez les garçons que chez les filles. Toutefois, le taux de scolarisation des filles est supérieur.

A

v

57
Q

La baisse du TSD (taux de sans-diplôme) permet à l’État de déplacer ses dépenses sociales vers d’autres fins utiles

A

V

58
Q

Selon le MELS (2005), le raccrochage est la situation de l’adolescent qui a quitté l’école sans l’obtention de son diplôme, n’est pas réinscrit l’année suivante, n’a pas déménagé hors territoire et n’est pas mort.

A

F

59
Q

Le décrochage scolaire peut être une forme de décrochage social car décrocher de l’école est une situation qui fragilise les élèves. «Les statistiques sur le chômage des jeunes confirment que la non-insertion dans l’école entraîne souvent une non-insertion dans la société ».

A

V

60
Q

Les jeunes issus des milieux défavorisés ont moins de chance de décrocher que ceux provenant des milieux mieux nantis

A

F

61
Q

il n’y a aucune corrélation entre l’abandon scolaire et les difficultés reliées aux compétences et aux pratiques parentales et la faible scolarité des parents.

A

F

62
Q

En 2006, le taux de réussite des élèves du secteur public était plus élevé que celui des élèves fréquentant les écoles privées.

A

F

63
Q

Plusieurs recherches ont démontré que le décrochage scolaire n’est pas un acte spontané, mais plutôt le résultat d’une série de facteurs, dont plusieurs interviennent dès la petite enfance. Par exemple, un enfant qui présente des troubles de langage à son entrée à l’école accumule dès la première année un retard qui pourrait, à terme, mener au décrochage.

A

V

64
Q

Il n’y a aucune incidence entre le revenu d’une personne lorsqu’elle se retrouve sur le marché du travail et son degré de scolarité.

A

F

65
Q

Les jeunes qui risquent d’abandonner l’école vont souvent se lier avec des personnes qui vivent le même type de difficultés. Les adolescents ont en effet tendance à se regrouper dans des réseaux homogènes et leur développement social est fortement influencé par les amis qu’ils fréquentent.

A

V

66
Q

Les recherches ont démontré que les décrocheurs ont une attitude positive face à l’école, aux enseignants et à l’apprentissage. Ils voient plutôt l’école comme une source de bonnes expériences et ils se différencient également des autres par leur bonne performance scolaire, particulièrement en français et en mathématiques.

A

F

67
Q

Le climat de la classe et de l’école, les méthodes pédagogiques, les relations enseignant/élèves et le soutien apporté au personnel enseignant sont des facteurs qui peuvent contribuer au décrochage scolaire notamment au secondaire

A

V

68
Q

Un moyen de contrer le décrochage scolaire est la valorisation de la formation professionnelle. « Plusieurs facteurs limitent les inscriptions à la formation professionnelle. D’abord, en dépit des progrès constatés, le secteur des métiers et de la formation professionnelle est moins valorisé qu’il devrait l’être objectivement. Une enquête auprès de jeunes Québécois au secondaire deuxième cycle révèle que près de 70 pour cent des jeunes ne s’inscrivent pas en formation professionnelle car, d’après la perception qu’ils en ont, les métiers qu’elle offre « ne sont pas intéressants ». De fait, l’attitude et les préjugés qu’ont certains parents et intervenants scolaires portent les jeunes à croire qu’une formation professionnelle ne serait pas aussi « valable » qu’une formation collégiale ou universitaire, alors que les besoins du marché du travail jouent en faveur des métiers spécialisés. Cette situation est dommageable, tant pour la société que pour nombre de jeunes qui pourraient s’épanouir en exerçant un métier correspondant à leurs talents et à leurs goûts »

A

V

69
Q

Certains concepts permettent d’évaluer qualitativement et quantitativement l’adhésion à certaines valeurs selon le sexe et la classe sociale.
A.

Distances et proximités scolaires
B.

Réussite éducative et réussite scolaire
C.

Persévérance et diplomation
D.

Exclusion scolaire et sociale

A

ADistances et proximités scolaires

70
Q

Cette notion a deux composantes : la performance, qui touche aux résultats et aux parcours sans retard, et la persévérance, qui a trait à la prolongation de la scolarité.
A.

Raccrochage scolaire
B.

Décrochage scolaire
C.

Réussite éducative
D.

Réussite scolaire

A

D réussite scolaire

71
Q

Poursuite d’un programme d’études en vue de l’obtention d’une reconnaissance des acquis.
A.

Persévérance scolaire
B.

Diplomation
C.

Raccrochage scolaire
D.

Réussite éducative

A

A

72
Q

Janos (1996) a démontré qu’il existait 4 types de décrocheurs. Certains aiment l’école et s’y disent engagés par contre, ils présentent un rendement scolaire un peu faible et ils proviennent de milieux socioéconomiques plus défavorisés. À quel type de décrocheurs appartiennent-ils?
A.

Sous-performants
B.

Désengagés
C.

Discrets
D.

Inadaptés

A

C discret

73
Q

Trouvez l’intrus.
Il existe différents élèves à risque de décrocher sur le plan scolaire. Voici leurs caractéristiques :
A.

Le sexe – être un garçon
B.

Des stratégies d’adaptation (coping) infructueuse
C.

Une vision positive de l’école conjuguée à des situations de réussite scolaires
D.

Des relations difficiles avec les adultes

A

CUne vision positive de l’école conjuguée à des situations de réussite scolaires

74
Q

Le Rapport du Groupe d’action sur la persévérance et la réussite scolaires au Québec a été déposé au printemps 2009. Plusieurs constats ont été effectués.
A.

Une analyse statistique des conséquences du décrochage démontre que les non-diplômés touchent des revenus annuels moyens inférieurs à ceux des diplômés, constituant un manque à gagner de l’ordre de 439 000 $ au bout de leur vie active (en valeur non actualisée).
B.

Plus touchés par le chômage, les non-diplômés composent la majorité des assistés sociaux et constituent l’essentiel de la population carcérale, alors qu’ils sont minoritaires dans la société. Enfin, les décrocheurs vivent moins longtemps et ils sont plus exposés au risque de dépression.
C.

Le décrochage scolaire a aussi de graves conséquences pour la société dans son ensemble. Les non-diplômés participent généralement moins à la vie citoyenne et ils contribuent donc moins au renforcement du tissu social québécois.
D.

Tous ces éléments ont été constatés par les membres du Groupe Ménard.

A

D

75
Q

De nombreuses recherches ont démontré les impacts positifs de l’utilisation de l’ordinateur à l’école. Voici une série de constats effectués par les chercheurs québécois.
La mauvaise réponse est :
A.

L’utilisation de l’ordinateur augmente la motivation des garçons.
B.

Les garçons ont une attitude plus positive envers les TIC que les filles.
C.

Les garçons ont plus tendance à explorer les logiciels et les possibilités qu’offre l’ordinateur.
D.

Les élèves en difficulté sont très autonomes avec le traitement de texte et la recherche dans internet pour les travaux scolaires.
E.

Les élèves ayant des difficultés de comportement sont plus intéressés, plus calmes et plus concentrés lorsqu’ils travaillent avec un ordinateur.

A

DLes élèves en difficulté sont très autonomes avec le traitement de texte et la recherche dans internet pour les travaux scolaires.

76
Q

Le service de cybermentorat au secondaire Academos est subventionné par le Secrétariat à la jeunesse du gouvernement du Québec, comme mesure de la Stratégie d’action jeunesse combattant le décrochage scolaire. Les activités d’Academos existent depuis 1999 et il a été démontré qu’elles étaient bénéfiques pour les élèves.

Voici les principaux bénéfices :
1. Précision du choix de carrière
2. Meilleure compréhension du monde du travail
3. Apprentissage de l’utilisation de l’ordinateur
4. Tous les élèves ont entrepris des études universitaires
5. Obtention d’informations utiles au choix de carrière.
La réponse est :
A.

1, 2 et 3
B.

1, 2 et 5
C.

1, 2 et 4
D.

3, 4 et 5
E.

1, 3 et 5

A

B

77
Q

Le rapport Ménard présente différentes statistiques concernant la variabilité du décrochage scolaire à l’échelle régionale.
1. Le taux de diplomation de la région de la Capitale-Nationale est plus élevé que celui de la région de Montréal.
2, Le taux de diplomation le moins élevé est celui de la région du Nord-du-Québec.
3. Il y a moins de diplomés dans Chaudière-Appalaches qu’en Gaspésie.
4. La Mauricie connaît un taux de diplomation plus élevé que celui de l’Abitibi.
5. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean obtient le plus haut taux de diplomation.
La réponse est :
A.

1, 2 et 3
B.

1, 2 et 5
C.

1, 2 et 4
D.

3, 4 et 5
E.

1, 3 et 5

A

C

78
Q

Des projets visant la sécurité alimentaire constituent un moyen efficace de réduire l’intensité de la pauvreté en permettant aux personnes démunies d’élargir les choix alimentaires à leur portée tout en conservant leur dignité.

A

V

79
Q

L’empowerment n’est pas un état, mais bien un processus et ce dernier se développe, s’apprend et se transmet.

A

V

80
Q

Le programme des Centres de Formation en Entreprise et Récupération (CFER) répond bien aux principes d’intervention en milieux défavorisés puisqu’il est basé sur un partenariat avec la communauté; en effet, ce programme est fondé sur la collaboration avec des entreprises contribuant au développement durable. Par exemple, on y retrouve des entreprises de récupération du bois, des ordinateurs, de papier, etc.

A

V

81
Q

Dans le programme de soutien à l’école montréalaise, différentes mesures sont mises de l’avant. Il a été convenu que la valorisation et la promotion de la formation personnelle et technique n’étaient pas des mesures appropriées.

A

Faux

82
Q

Il a été démontré qu’il était inutile de soutenir les élèves de milieux défavorisés lors du passage du primaire au secondaire.

A

Faux

83
Q

M. Carl Larouche de l’UQTR s’est intéressé au processus d’empowerment ou d’autonomisation et aux rôles parentaux. Il a constaté que l’empowerment n’avait aucun effet sur le développement des compétences parentales.

A

Faux

84
Q

Les recherches ont démontré que la durée de l’intervention au préscolaire n’avait aucun impact sur le développement des enfants et de la maturité scolaire.

A

Faux

85
Q

Dans une école du Lac-Saint-Jean, les élèves de 3e, 4e et 5e secondaire éprouvant des difficultés dans les matières des examens officiels sont invités à participer à un programme particulier. Celui-ci repose sur des heures supplémentaires d’enseignement en petits groupes en dehors des heures de classe. Pour ce faire, l’école engage du personnel enseignant supplémentaire pour offrir à chaque élève vingt heures de cours le midi, le soir, et le samedi. Les résultats sont encourageants. Ce type d’intervention est une forme de dépistage précoce.

A

Faux

86
Q

Lors de l’évaluation du Programme de soutien l’école montréalaise, il a été démontré que des modifications au calendrier scolaire n’avaient aucun impact sur la réussite scolaire des enfants des milieux défavorisés

A

Faux

87
Q

Un principe d’intervention du programme FECRE est basé sur le capital social. Celui-ci fait référence aux normes et aux réseaux qui facilitent l’action collective et s’intéresse aux relations entre les acteurs d’une communauté et les réseaux qu’ils forment. Cette approche suppose un investissement dans la mise en place de réseaux fonctionnels clairement établis et solides entre les différents acteurs de la famille (parents, enfants, famille élargie), de l’école (élèves, personnel enseignant, direction, personnel professionnel, personnel de soutien) et de la communauté (éducatrices et éducateurs, intervenantes et intervenants communautaires, institutionnels, culturels, municipaux, etc.).

A

v

88
Q

Plusieurs écoles québécoises vivant en milieux défavorisés ont implanté la stratégie d’intervention Agir autrement. À l’école secondaire Jean-Gauthier d’Alma, on a constaté que la responsabilisation ou « l’autocontrôle » était un bon moyen de prévenir le décrochage scolaire.

A

V

89
Q

Un bon moyen de favoriser la réussite scolaire est de préparer les jeunes enfants à l’apprentissage scolaire (ex: favoriser l’implantation de programmes de prévention favorisant l’éveil à la lecture et à l’écriture auprès des familles vivant en milieux défavorisés)

A

V

90
Q

Dans le cadre de l’intervention auprès des élèves du préscolaire, il n’est pas nécessaire d’ajuster ou d’adapter les actions en tenant compte du contexte dans lequel elles s’actualisent.

A

F

91
Q

Il a été démontré que dans une école efficace, le personnel enseignant a des attentes élevées à l’égard de tous les élèves

A

V

92
Q

En 2003, N. Rousseau a réalisé une recherche pour tenter de décrire et de comprendre l’expérience des élèves fréquentant un CFER. L’analyse des données a permis de faire ressortir différents thèmes reliés à l’expérience scolaire des élèves.
A.

Ces élèves ont le sentiment d’être compris et pris au sérieux.
B.

Ces élèves disent que différentes façons d’aborder un sujet sont utilisées.
C.

Ces élèves disent que les enseignants sont concentrés sur le programme scolaire, mais pas sur la personne.
D.

Seules les réponses A et B sont bonnes.

A

D.

Seules les réponses A et B sont bonnes.

93
Q

J’ai été instaurée en 2002 par le MELS dans le but de favoriser la réussite des élèves du secondaire en milieu défavorisé. Mes bases reposent sur les assises suivantes :
Une connaissance approfondie des problèmes par un diagnostic effectué par le milieu scolaire et la contribution de recherches universitaires;
Des atouts et acquis à développer par le biais de l’expertise des milieux scolaires au niveau local et régional, des plans de réussite bonifiés;
Une démarche branchée sur le milieu par le biais du partenariat et de la mise en commun des solutions au sein d’une même commission scolaire, d’une région et des fonds monétaires répartis dans les milieux défavorisés les plus marqués. Qui suis-je?
A.

Le Programme soutien à l’école montréalaise
B.

Logiciel de dépistage du décrochage scolaire
C.

L’école des parents
D.

La stratégie d’intervention Agir autrement

A

D.

La stratégie d’intervention Agir autrement

94
Q

J’ai pour but d’aider l’élève dans le développement de son identité et de mettre en évidence les liens entre les apprentissages disciplinaires et les réalités du monde du travail. Qui suis-je?
A.

Le Programme de soutien à l’école montréalaise
B.

L’approche orientante
C.

Le programme CFER
D.

La stratégie d’intervention Agir autrement

A

B.

L’approche orientante

95
Q

______________ se définit par la capacité de l’individu à faire face à une difficulté ou à un stress important, de façon non seulement efficace, mais aussi susceptible d’engendrer une meilleure capacité de réagir plus tard à une difficulté.
A.

Capital social
B.

Résilience
C.

Autonomisation
D.

Prévention
E.

Intervention précoce

A

B.

Résilience

96
Q

La notion ______________fait référence à la possibilité pour les personnes de mieux contrôler leur vie et d’être des agentes et agents de changement de leur propre développement. Elle nécessite une analyse systématique du milieu et la prise en considération des personnes désirant agir leur pouvoir. Cette approche orientera la conception des activités définies dans les différents plans d’action des écoles participantes.
A.

Capital social
B.

Résilience
C.

Autonomisation
D.

Prévention
E.

Intervention précoce

A

C.

Autonomisation

97
Q

Un programme de nutrition prénatale aide les femmes enceintes (celles qui sont à risque étant donné leur faible revenu, leur mode de vie, etc.) à bien se nourrir et à surveiller leur santé et leur poids. Les enfants qui naissent avec un déficit pondéral risquent de rencontrer de nombreuses difficultés de développement, ce qui les rend encore plus vulnérables face à la négligence et à la violence. Un tel programme est un bon exemple de :
A.

Prévention primaire
B.

Prévention secondaire
C.

Prévention tertiaire

A

B.

Prévention secondaire

98
Q

Le but du programme Vers le pacifique est de prévenir la violence par la promotion des conduites pacifiques. Ce programme s’adresse tant aux petits de 4 ans et 5 ans, qu’aux enfants de niveau primaire et aux élèves du secondaire. Les objectifs et les activités sont proposés spécifiquement en fonction du niveau des enfants et des jeunes. Ce programme permet de prendre une part active dans la résolution des situations conflictuelles. Ce type de programme est un bon exemple de :
A.

Prévention primaire
B.

Prévention secondaire
C.

Prévention tertiaire

A

APrévention primaire

99
Q

J’ai été mise en place par le MELS en 2009 et je vise un taux de diplomation ou de qualification de 80% en 2020. Diverses voies de réussite sont mises de l’avant pour atteindre ces taux, par exemple la préparation à l’entrée à l’école des enfants de milieux défavorisés ou en difficulté. Qui suis-je ?
A.

Le Programme soutien à l’école montréalaise
B.

La campagne L’École j’y tiens
C.

Le programme FECRE
D.

Le programme CFER
E.

La stratégie d’intervention Agir autrement

A

B.

La campagne L’École j’y tiens

100
Q

Les programmes de formation parentale ont pour but d’aider les familles des enfants qui sont en danger d’être maltraités ou négligés ; on constate des déficiences dans la manière dont les parents s’occupent des enfants. L’une des méthodes les plus couramment utilisées pour corriger la situation consiste à offrir aux parents des programmes de formation et de soutien. Par exemple, les mères et leurs enfants participent en groupe à un programme de jour… Travailleurs sociaux et auxiliaires familiales font équipe. L’intervention prend un caractère très concret. Le personnel fait la démonstration des tâches quotidiennes à remplir et des soins à donner à l’enfant. On prépare un repas, on le sert, et on fait une sortie. Pendant que les enfants font la sieste, les mères participent à un groupe d’entraide, animé par un travailleur social. La discussion porte sur les questions que soulèvent les parents : méthodes d’éducation, affirmation de soi, relations humaines. On discute ouvertement de sexualité et d’éducation afin de prévenir les situations d’abus sexuel… Tous les mois, on établit des objectifs individuels avec chaque parent; ces objectifs portant aussi bien sur la vie personnelle que sur l’éducation des enfants ».

Ce type de programme est un bon exemple de :
A.

Prévention primaire
B.

Prévention secondaire
C.

Prévention tertiaire

A

C.

Prévention tertiaire

101
Q
Le programme d’éducation préscolaire, soutenu par le MELS, vise le développement global des enfants de 4 et 5 ans. Il vise aussi à leur donner le goût de l’école et il permet de mettre en place les bases de la scolarisation. Les domaines de maturité scolaire visés par le programme d’éducation préscolaire sont :
Santé physique
Compétences sociales
Maturité affective
Développement cognitif et langagier
Connaissances générales et communication
La réponse est :
A.	

1, 2 et 3
B.

1, 2 et 5
C.

1, 2 et 4
D.

2, 3, 4 et 5
E.

1, 2, 3, 4 et 5

A

E.

1, 2, 3, 4 et 5

102
Q

Différentes pratiques québécoises s’adressant aux enfants du préscolaire sont basées sur des principes spécifiques de qualité. D’une façon générale, les éléments associés à ces principes de qualité reposent sur les bases suivantes :

Trouvez l’intrus.
A.

Ressources humaines qualifiées
B.

Formation continue inaccessible
C.

Assises théoriques solides
D.

Activités adaptées à l’âge des enfants
E.

Objectifs précis

A

B.

Formation continue inaccessible

103
Q

Les enfants des milieux défavorisés font plus souvent l’objet de l’attention, des félicitations et autres marques d’appréciation prodiguées par le personnel enseignant alors que les élèves issus des milieux favorisés sont plus souvent critiqués et punis par le personnel enseignant.

A

f

104
Q

Le dernier Rapport national sur l’état de santé de la population du Québec fait ressortir différents constats. Au cours d’une période de 10 ans, l’état de santé de l’ensemble des enfants de moins de 18 ans a connu des progrès, mais les écarts de santé entre les enfants des milieux favorisés et défavorisés n’ont pas régressé.

A

V

105
Q

Les aspirations élevées des parents en matière d’éducation peuvent avoir un impact sur la mobilité sociale de leurs enfants.

A

V

106
Q

Le programme de prévention LÉA (Lire et Écrire à la maison) a pour objectifs de développer les habiletés sociales des adolescentes et adolescents de plus de 15 ans et de les amener à réfléchir sur la violence dans les relations amoureuses.

A

F

107
Q

Selon le pédiatre social Gilles Julien, un principe de base à respecter dans l’intervention en milieux défavorisés est le travail en équipe effectué par plusieurs spécialistes tels les médecins, travailleurs sociaux, les psychoéducateurs, les enseignants, etc.

A

V

108
Q

Les études démontrent que les expériences en littératie dans la famille n’avaient aucune influence sur la réussite scolaire des élèves des milieux défavorisés.

A

F

109
Q

La mission de la maternelle est de préparer l’entrée à l’école des enfants. Devant le constat que certains d’entre eux éprouvent des difficultés dès le début de leur scolarisation, on a choisi en 1997, d’augmenter sa fréquentation de demi-temps à temps plein. Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la Réforme de l’éducation.

A

V

110
Q

Les enfants de milieux modestes ne sont pas plus souvent en retard sur le plan des apprentissages scolaires que leurs compagnons des milieux favorisés.

A

F

111
Q

Selon le pédiatre social Gilles Julien, il est important de reconstruire chez les enfants de milieux défavorisés une base affective, seule façon de leur redonner la capacité de faire confiance aux autres.

A

V

112
Q

Le dernier Rapport national sur l’état de santé de la population du Québec nous apprend que les jeunes des milieux défavorisés sont moins nombreux à obtenir leur diplôme d’études secondaires (DES); cependant, le taux d’obtention du DES est plus élevé chez les garçons que chez les filles.

A

F

113
Q

Les personnes pauvres ont une culture centrée sur le temps présent; ils n’ont pas tendance à planifier, à s’organiser à long terme.

A

V

114
Q

Suzanne Laliberté, travailleuse sociale en milieu scolaire, a constaté que les parents issus des milieux défavorisés ont souvent vécu une expérience scolaire négative. Ils ont donc un peu de difficultés « à se brancher avec le milieu scolaire »; ils se sentent incompétents, ils ont peur d’être jugés, de ne pas comprendre le langage pédagogique.

A

V

115
Q

Selon le dernier Rapport national sur l’état de santé de la population du Québec, le taux des jeunes pris en charge par les directions de protection de la jeunesse est le même dans les milieux défavorisés et favorisés alors que deux fois plus d’enfants subissent la violence sévère de la part de leurs parents dans les familles à faible revenu que dans les familles à revenu moyen ou élevé.

A

F

116
Q

Les enfants issus des milieux défavorisés sont différents et non pas déficients. Les recherches démontrent qu’ils ont les mêmes capacités d’apprentissage. Leurs différences sont essentiellement culturelles et sociales.

A

V

117
Q

Les personnes issues des milieux défavorisés développent une culture surtout centrée sur l’écrit.

A

F

118
Q

L’apprentissage, le rendement scolaire et le développement social des élèves de milieux défavorisés peuvent être influencés par les comportements et les attitudes du personnel enseignant et des administrateurs scolaires.

A

V

119
Q

Selon les résultats présentés dans le Rapport national sur l’état de santé de la population du Québec, les jeunes de milieux favorisés consultent plus souvent les médecins que ne le font ceux des milieux moins nantis. Par contre, ils consultent moins souvent les dentistes et les spécialistes de la vue.

A

f

120
Q

Il a été démontré qu’il était important d’améliorer la formation des enseignantes et enseignants Œuvrant en milieu défavorisé. Il est important que le personnel enseignant ait :
A.

Une meilleure connaissance des familles.
B.

Une meilleure connaissance des quartiers défavorisés.
C.

Une meilleure connaissance des groupes communautaires œuvrant auprès des milieux défavorisés.

D.

Il est important que la formation du personnel enseignant soit basée sur les trois conditions qui précèdent.

A

D.

Il est important que la formation du personnel enseignant soit basée sur les trois conditions qui précèdent.

121
Q

Il a été démontré qu’il existait des liens entre l’échec scolaire et le milieu d’appartenance.

Trouvez l’intrus.
A.

L’échec scolaire en milieux défavorisés et dans les communautés culturelles est expliqué en partie par les valeurs et les conceptions des apprentissages différents dans la famille et à l’école.
B.

Certains enfants arrivent à l’école avec des connaissances beaucoup plus faibles que les autres; ils viennent généralement de familles peu stimulantes au plan cognitif ou qui connaissent des situations socioaffectives difficiles.
C.

Il n’y aucun lien entre le niveau de scolarité de la mère et les facteurs prédictifs de l’échec scolaire.
D.

Les problèmes socioaffectifs dans la famille peuvent avoir une influence directe sur le succès scolaire étant donné les problèmes d’attention, de concentration et les désordres émotionnels qu’ils entraînent.

A

C.

Il n’y aucun lien entre le niveau de scolarité de la mère et les facteurs prédictifs de l’échec scolaire.

122
Q

Dans la capsule vidéo La face cachée du passage primaire-secondaire, on y apprend que « terminer son primaire, puis entreprendre ses études secondaires ne se fait pas toujours sans heurt… Pour les jeunes, il s’agit d’un moment charnière où leur niveau de motivation peut avoir un impact déterminant sur la poursuite de leurs études ».

Les recherches ont démontré qu’il était important de réaliser des activités de nature pédagogique ou sociale avec les élèves du primaire et du secondaire. Qu’a-t-on constaté?
1. Augmenter la quantité et la durée des activités tout en soignant la qualité du climat relationnel s’avèrent être des pratiques gagnantes.
2. Ces activités permettent aux élèves du primaire de se familiariser avec les façons de faire des enseignants du secondaire.
3. L’analyse des données démontre que ce type d’activités n’a aucun impact sur les pratiques pédagogiques du personnel enseignant.
A.

Les réponses 1) et 2) sont vraies.
B.

La réponse 3) est vraie.
C.

Seule la réponse 1) est vraie
D.

La réponse 2) est fausse

A

A.

Les réponses 1) et 2) sont vraies.