situation d'urgence sur le terrain Flashcards

1
Q

quelle est la première étape d’une intervention sur le terrain

A

L’arrivée sur les lieux

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2
Q

Qu’est-ce que l’arrivée sur les lieux comprend

A
  • Plan d’intervention d’urgence (PIU)
  • Rôle de chacun (défibrillateur, téléphone)
  • Gants / gazes / trousse / équipements
  • Évaluer la situation :
    Vérifier mécanisme de blessure
    Position du blessé
    Environnement sécuritaire pour vous et la victime
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3
Q

quelle est l’ordre de priorité entre mes assitants, moi et le blessé

A

1- MOI;
2- MES ASSITANTS;
3- LE BLESSÉ

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4
Q

Pourquoi mettre en place un PIU ?

A

En général, les situa3ons d’urgence se produisent soudainement !!! Donc, vous n’avez pas de temps pour discuter…
* Intervenir efficacement
* Faciliter la coordination entre les intervenants
* Communication
* Prévoir les possibles situations d’urgence
* Pratiquer
* Travailler en équipe
* SAUVER DES VIES

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5
Q

qu’est-ce qu’il est primordiale de déterminer lors de pratiques en équipes

A

Il est primordial de déterminer un leader et de définir préalablement le rôle de chacun en fonction de leurs compétences spécifiques lors des pratiques en équipe.

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6
Q

Lors d’un PIU quelle est la preparation psychologique

A
  • Être prêt mentalement : Même les intervenants chevronnés peuvent avoir des réactions émotives à des blessures ou à des situations bouleversantes
  • Se préparer à toute éventualité
  • Connaitre vos limites et élaborer des plans pour les surmonter
  • Apprendre à contrôler vos réactions
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7
Q

que doit contenir minimalement un PIU

A
  • Numéros de téléphone en cas d’urgence
  • Emplacement du DEA et du Sac Trauma
  • Adresse
  • Entrée de l’ambulance
  • Personnes contacts (avec titre)
  • Emplacements des téléphones (personne ciblée)
  • Plan d’intervention d’urgence (en quelques étapes simples et précise)
  • Optionnel: Liste des hôpitaux, centre de radiologie, cliniques médicales, dentistes, pharmacies, etc.
  • Plan détaillé du milieu (terrain, aréna, école, etc.)
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8
Q

quelle est la 2eme étape d’une intervention sur le terrain

A

le premier contact

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9
Q

que comprend le premier contact

A
  • Stabiliser la tête de l’athlète : Il faut toujours garder au minimum une main au niveau de la tête, mais idéalement les deux
  • Se présenter / communiquer / rassurer
  • Échelle de Glasgow (niveau de conscience, souvent entre du 13 et 15 dans le sportif)
  • Questions spécifiques
  • Ouvres tes yeux ?
  • Qu’est-ce qui est arrivé ?
  • Où as-tu mal ?
  • Bouges tes doigts/ pieds
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10
Q

qu’est-ce qu’un score de 15 indique sur l’échelle de Glasgow

A

indique que le joueur est pleinement conscient. Un résultat de moins de 15 peut signifier qu’un trauma:sme crânien peut être survenu.

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11
Q

qu’est-ce qu’un score de 13 et moins indique sur l’échelle de Glasgow

A

indique un traumatisme craniocérébral léger (TCCL) et nécessite le retrait du joueur et d’entamer le processus d’évaluation de commotion cérébrale.

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12
Q

qu’est-ce qu’un score de 11 et moins indique sur l’échelle de Glasgow

A

signifie un traumatisme crânien modéré à sévère, peut indiquer une atteinte neurologique importante et nécessite la référence à un professionnel de la santé spécialisé à évaluer les symptômes neurologiques

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13
Q

quelle est la 3eme étape d’une intervention sur le terrain

A

L’état de conscience

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14
Q

que faire si l’athlètes est insconscient

A

a) APPELER 9-1-1 (lever le poing pour situation d’urgence)
b) C-A-B
c) Défibrillateur

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15
Q

que faire si l’athlète est conscient

A

a) Évalution sur le terrain
b) Déplacement
c) Évaluation sur le bord du terrain
d) Décision : référer à un professionnel
* Retour au jeu
* Arrêt de jeu
**si un doute on s’abstient et on préfère faire consulter à l’urgence

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16
Q

voici d’autres types de transport urgent (ensemble des cas d’ambulance)

A
  • Des traumatismes multiples ou graves
  • Une instabilité ou l’absence des points ABC
  • Une hémorragie interne ou externe
  • Un déficit neurologique
  • Un niveau de conscience diminué ou inconscient
  • Des convulsions récurrentes
  • Une douleur thoracique (lorsque des troubles cardiaques ou une crise cardiaque sont soupçonnés)
  • Des brûlures avec signes de lésions par inhala[on
  • De graves brûlures
  • Une distension ou une sensibilité abdominale * Une blessure instable au bassin
  • Une fracture du fémur
  • Une amputation
  • Des complications lors de l’accouchement
  • Une hypothermie sévère
  • Une électrocution
  • Un mal de décompression
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17
Q

Pourquoi est-il important d’intervenir rapidement

A
  • Meilleures chances de survie = soins d’urgence le plus tôt possible
  • il faut rétablir la circulation cardiaque dans les 5 minutes suivant l’arrêt
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18
Q

Qu’est-ce que la CAB ou ABC signifie

A

C = cardio-vasculaire
A = Airway, voies respiratoires
B = breathing, respiration

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19
Q

que comprend le C : cardio-vasculaire

A

Prendre le pouls de l’artère carotide jusqu’à 10 secondes

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20
Q

quand faut-il vérifier les points ABC pour cas stable et instable

A
  • Cas instable : toutes les 5 minutes (atteint d’un trouble qui menace sa vie)
  • Cas stable : toutes les 10 minutes
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21
Q

quelle patient devrait être traiter pour un infarctus du myocarde

A

Tout patient qui ressent une douleur thoracique importante qui dure plus de 10 minutes
ou
une douleur à la poitrine accompagnée d’autres signes et symptômes d’un infarctus du myocarde

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22
Q

paramètre des compressions

A
  • Rythme = 100 à 120 par minute
  • 30 compressions en l’espace de 15 à 18 secondes
  • 5 cycles en 2 minutes
  • Position entre les deux mamelons

La profondeur des compressions thoraciques recommandée varie selon l’âge du patient.

Adultes : compression d’au moins 5 cm (environ 2 po).
*Évitez de comprimer plus profondément que 6 cm (2,4 po)

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23
Q

Voir tableau page 31 pour résumé de la réanimation cardiorespiratoire

A
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24
Q

Étape d’utilisation du DEA (encore dans le C = cardio-vasculaire)

A

1) Exposez et préparez la poitrine du patient. (raser, assécher)
2)Appliquer les électrodes (voir le plan)
* Une électrode est placée sur le côté supérieur droit de la poitrine
* L’autre sur le côté inférieur gauche (près du cœur)

Dès que possible, démarrer l’analyse du DEA

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25
Précaution à prendre lors de l'utilisation de DEA
NE TOUCHEZ PAS AU PATIENT PENDANT L’ADMINISTRATION DU CHOC N’ADMINISTREZ PAS DE CHOC AU PATIENT EN PRÉSENCE DE MATÉRIAUX INFLAMMABLES. N’UTILISEZ PAS UN DÉFIBRILLATEUR DANS UN VÉHICULE EN MOUVEMENT
26
Questionnement qu'on pourrait avoir quant à l'utilisation du DEA
* Si la poitrine du patient est trop petite pour espacer les électrodes de 2,5 cm (1 po), placez une électrode sur sa poitrine (partie antérieure) et l’autre dans son dos (partie postérieure). * L’utilisation normale d’un défibrillateur sur une femme enceinte est sans danger. * L’électrode d’un défibrillateur ne devrait pas être placée sur un timbre médicamenteux * Le patient peut avoir un stimulateur cardiaque implanté ou un défibrillateur implanté dans sa poitrine. (éloignez l’électrode de 2,5 cm (1 po)) * Si des bijoux (p. ex., collier ou perçage corporel) se trouvent à moins de 2,5 cm (1 po) de l’endroit où est placée l’électrode du défibrillateur, retirez le bijou avant d’appliquer l’électrode. * Si le patient est dans l’eau, sortez-le de l’eau avant la défibrillation. * S’il pleut ou s’il neige, assurez-vous que le patient est le moins mouillé possible, et meIez-le à l’abri des intempéries.
27
que comprend le A = airway, voies respiratoires
Regarder, écouter et sentir un maximum de 10 secondes Assurez-vous que les voies respiratoires du patient sont **dégagées** * (Gum, protège-dents, nourriture, gonflement de la gorge, etc.) * Si un patient parle, gémit ou pleure, on considère que ses voies respiratoires sont dégagées. **Ouverture des voies respiratoires** d’un patient inconscient: * Renverser la tête en arrière et soulever son menton (« Jaw trust ») * Repositionnent la langue et l’épiglotte de manière à ce qu’elles n’obstruent pas les voies respiratoires
28
avec quoi dégager les voie respiratoire (A)
Dégager les voies respiratoires avec une pince chirurgicale, vos doigts ou un dispositif à succion
29
que comprend le B : breathing, respiration
Vérifier la respiration pendant un maximum de 10 secondes
30
Un patient qui souffre de dyspnée (difficulté à respirer) peut présenter les signes et symptômes suivants ? Quelles S et S
* Expansion et rétraction inadéquates de la poitrine * Effort requis pour respirer * Fréquence respiratoire très lente ou très rapide
31
pour voir moyenne des singes vitaux par groupe d'âge = tableau page 38
32
Comment se servir du masque de poche lors du B = breathing
* Installer le masque de poche avec la valve et le filtre anti-reflux * Assurer de couvrir adéquatement le nez et la bouche sans fuite d’air * Maintenir l’ouverture des voies respiratoires avec la subluxation antérieure de la mâchoire « Jaw trust »
33
quand et combien d'insufflation donnée
Ratio de 2 insufflations : 30 compressions cardiaques
34
ballon marsque lors du breathing
Utliser le ballon masque muni d’un sac-réservoir pour l’administration de l’oxygène
35
vrai ou faux : un bombonne d'oxygène peut être utiliser lors du B = breathing
vrai
36
pour voir tableau des dispositifs d'administration de l'oxygène = diapo 44
37
quelles sont les 12 étapes de l'administration de l'oxygène
voir page 45 tableau
38
quoi utiliser lors du B (breathing) si inconscient
Si inconscient, utiliser une canules oropharyngées (Guedels) **Mesurer la distance entre le lobe de l’oreille au coin de la bouche **
39
quelle est la quatrième étape d'une intervention sur le terrain
examen primaire (cas de colonne ?)
40
quoi regarder lors de l'examen primaire
* Saignement / Déformité (voir secEon 7) * Passa.on de la tête * BODY SCAN
41
quoi regarder lors du body scan
**- CERVICAL (C-SPINE RULES)** **- Palpation de toutes les épineuses** - Tête (LCR) - Yeux (Pupilles) - Épaules / bras / mains (PMSC) - Colonne thoracique / lombaire - Quadrant abdominaux - Hanches - Cuisses / genoux / pieds (PMSC)
42
qu'est-ce que le CANADIAN-SPINE RULE
RÈGLE CANADIENNE DE STABILISATION SÉLECTIVE DE LA COLONNE (C-Spine Rule) un processus qui a été élaboré pour simplifier et normaliser l’évaluation des patients dont on soupçonne des blessures à la colonne vertébrale. Elle sert à déterminer s’il y a un risque suffisant de blessure à la colonne vertébrale pour justifier des RADIOGRAPHIES.
43
que signifie RMCV
Restriction des mouvements de la colonne vertébrale (RMCV) Toute technique visant à limiter le mouvement du cou et / ou de la colonne vertébrale du patient. Ex.: Stabilisation manuelle, un collet cervical ou une immobilisa:on sur une planche dorsale
44
quand applique la C-spine rule
* Traumatisme indiqué * Le patient est conscient * Signes vitaux stables * Âge≥16ans * Aucune paralysie aiguë * Aucune maladie de la colonne vertébrale * Aucune chirurgie cervicale antérieure
45
Quelles sont les facteurs de risques d'une fracture vertébrale selon le C-spine rule
* 65 ans et plus * Paresthésie dans les extrémités * Un mécanisme dangereux Le mécanisme de blessure est souvent le meilleur guide pour déterminer si une personne a subi une blessure à la tête et/ou à la colonne vertébrale
46
quels sont les types de mécanismes dangereux
* Chute de plus de 3 pieds / 1 mètre / 5 marches d’escalier * AVM (>100 km/h), éjection de l’automobile * Coup axial à la tête survenant lors d’un plongeon (spearing) * Accidents de véhicules récréatifs motorisés * Accidents de vélo / collision Une blessure provoquée par un accident au cours duquel le casque du patient est sévèrement endommagé ou brisé * Un coup violent à la tête ou au tronc * Une blessure pénétrante à la tête, au cou ou au tronc * Tout incident causé par une électrocution (ou foudre)
47
vrai ou faux : toujours suspecter une atteinte vertébrale chez un patient trouvé sans connaissance pour des raisons inconnues
vrai : important
48
quand est-il sécuritaire d'évaluer le ROM en cervical s'il n'y a pas de facteur de risque élevé
* AVM : simple collision arrière, sauf si : -dévié dans la voie inverse -heurté par un autobus ou un poids lourd -tonneaux -collision avec un véhicule arrivant à haute vitesse * Position = assise * Ambulatoire à un moment donné après la blessure * Apparition retardée de douleur dans le cou après la blessure * *** Aucune douleur à la palpation des épineuses de la colonne cervicale** (
49
Si tout les critères de sécurité de l'évaluation du ROM sont rempli que faut il faire
Tester la capacité de tourner activement la tête : Tourner la tête de 45 degrés à gauche et à droite (normalement si fracture ne devrait pas être à l'aise d'aller à 45° *Test complémentaire : * Flexion latérale résistée en posi=on neutre des deux côtés
50
Très important de comprendre le C-spine rule voir page 58
51
Que faire si C-spine rule positif et palpation de toutes les épineuses vertébrale et suspicion de fracture
Mettre un **COLLET CERVICAL**
52
comment savoir quelle grandeur mettre le collet cervical
Mesurer à l’aide de ses doigts la distance entre le sommet du trapèze du pa6ent et le bas de son menton (Figure 12–16) Les dernières recommanda6ons suggère la mesure moins 1 doigt (ex.: Mesure de 3 doigts, donc le collier est ajusté à 2 doigts)
53
vrai ou faux : les collets cervicaux rigides fournissent une RMCV adéquate
faux : Il est important de noter que bien que les collets cervicaux rigides réduisent le mouvement et une certaine amplitude du mouvement, ces dispositifs ne fournissent pas à eux seuls une RMCV adéquate. * Si le collet est trop court, il n’apporte pas un soutien suffisant * S’il est trop grand, il peut provoquer une hyperextension du cou * Les collets rigides existent dans différentes tailles (adulte, pédiatrique)
54
dans un cas de colonne, une fois le collet cervical installé, il faut immobiliser quoi?
le reste du corps
55
vrai ou faux : Une RMCV manuelle doit être maintenue tout au long d'un cas de colonnne même lorsque le collet cervical est installé
vrai
56
quelles sont les principes pour plancher
Idéalement minimum 3 personnes * Stabilisation rectiligne de la colonne vertébrale * Différentes technique (ex.: rotation en bloc du patient) * Minimiser le plus possible les mouvements du patient * Divers protocoles et équipements
57
dans un cas de colonne si le patient est en DV que faire
Si le pa=ent est couché sur le ventre, vous devez le placer en posi=on couchée sur le dos.
58
comment rouler qqn sur le dos
Idéalement 3 personnes * Penser à le rouler directement sur la planche dorsale afin de limiter les mouvements * Visualiser la position de vos mains avant de procéder * Pendant cette rotation, la tête doit être maintenue dans la position dans laquelle le patient a été trouvé * Elle peut être placée en position neutre en utilisant la technique de la stabilisation rectiligne une fois que la rotation est effectuée (si indiqué)
59
quelle techinique est la meilleur lors de déplacement de qqn
celle è 6 personnes car moins de déplacement de la tête
60
étapes pour plancher qqn dans un cas de colonne à partir de DD
* Un intervenant assure la stabilisation rectiligne de la colonne cervicale (leader) * Le deuxième et le troisième croise leurs mains * Le leader explique les étapes * L’équipe effectue la rotation en bloc du patient * Tourner l’athlète en bloc à 90 degrés * Rouler le patient sur la planche dorsale tout en gardant la colonne vertébrale droite * Attacher le patient avec les courroies
61
quoi faire/quoi s'assurer lorsqu'il faut plancher un cas de colonne
* Avant d’attacher les courroies, assurez-vous que le patient soit dans une bonne position sur la planche * Attacher les mains et pieds avec bandages triangulaires * Placer un coussinet sous ou autour de la tête pour maintenir ceje position neutre. * Attacher la poitrine du patient à la planche dorsale, puis le bassin et les jambes (Figure 12–18) * Immobilisez toujours la tête en dernier (Ferno)
62
vrai ou faux : lors du body scan de l'examen primaire, il faut être prudetn avec les hanches
vrai : Étant donné que les fractures du bassin peuvent provoquer d'autres lésions internes graves, faites preuve de prudence et manipulez la région avec délicatesse. N'appuyer pas sur la crête iliaque
63
quelle est la cinquième étape d'une intervention sur le terrain
l'examen secondaire (commotion?)
64
que comprend l'examen secondaire?
la partie subjective et objective des SS
65
Que singnifie le SAMPLE de l'examen subjectif
S = signes et symptômes A = allergies M = médicaments P = passé/présent médical L = last meal, dernier repas E = événement ayant précédé l'incident
66
quelles sont les autres données subjectives à questionner lors de l'examen secondaire
* Douleur * Sensoriel * Nausée * Tinnitus * Parole * Confusion * Personnalité
67
Que signifie le PMSC de l'examen objectif
* P ouls (60 à 80/min) * M oteur * S ensoriel (neuro) * Capillary refill / Sa O2
68
quelles sont les autres données objectives à aller chercher lors de l'examen secondaire
* Respiratoire (12-20/min) * Tension artérielle (120/80) * Saturation * Température * Glycémie * Réaction pupillaire * Vision (quadrant) * Audition * Peau (chaude/froide/sèche/humide)
69
quand vérifier le Capillary refill / Sa O2 et comment
La saturométrie devrait être utilisée lorsque l’oxygénation d’un patient est préoccupante, et aussi pour : * Trouble neurologique, respiratoire ou cardio-vasculaire. * Signes vitaux anormaux * Effet de dépresseurs respiratoires * morphine, diazépam, midazolam * Traumatismes multi systémiques
70
quelle réaction regardez lors de l'examen secondaire
**Réaction Pupillaire** Regardez attentivement si les pupilles sont égales et comment chacune réagit à la lumière. 1) Cacher l’œil pour bloquer la lumière, puis la laisser pénétrer. 2) Pointer une lumière dans chaque œil, puis la retirer Les pupilles doivent avoir : * Le même diamètre * Être rondes * Réagir à la lumière
71
qu'est-ce qui peut être intéressant de mesuré lors de l'examen secondaire
La glycémie : en millimoles par litre (glucomètre) * Glycémie normale varie entre 4 mmol/L et 8 mmol/L * Hypoglycémie : glycémie inférieure à 4 mmol/L * Hyperglycémie : glycémie supérieure à 8 mmol/L Généralement, il est reconnu que l’amplitude normale est: * Avant les repas - 4 à 6 mmol/L * Après les repas - Inférieure à 5 à 8 mmol/L **Discuter avec votre athlète diabé5que de ses habitudes
72
que faire en cas de doute de commotion
*** En cas de doute, retirez immédiatement l'athlète du jeu!** * Avisez l'entraîneur que le joueur ne retournera assurément pas au jeu avant 15 min * Remplir complètement le questionnaire SCAT6 * Discutez des résultats du SCAT6 avec un professionnel de la santé, l’entraîneur et/ou le parent responsable de l’athlète pour la prise de décision : a) Avisez l'athlète avec le professionnel, l'entraîneur et/ou le parent de la décision. b) Si l'athlète retourne au jeu, restez particulièrement vigilant. Questionnez-le régulièrement. c) S'il ne retourne pas au jeu, avisez les parents. Et informez-les de la démarche à suivre pour la suite des choses, donnez-leur l'information nécessaire concernant les commotions cérébrales et référez à un professionnel compétent pour le suivi et prise en charge
73
pour voir signe et symptôme de différentes blessures à la tête = tableau dipao 76
74
quelle est la 6ème étape d'une intervention sur le terrain
Les déplacements
75
étape des déplacement avec assistance
1. Décubitus dorsal 2. Assis 3. Positon 4 pattes 4. Sur les genoux 5. Debout
76
étape des déplacements à partir de DV
1. Décubitus ventral 2. Position 4 pattes 3. Sur les genoux 4. Debout
77
étapes de gestion des plaies
1) Pression directe 2) Arrêter le saignement 3) Désinfection 4) Bandage stérile 5) Sécuriser le bandage
78
quand faire des point de sutures et leur utilité
* Nécessaires lorsqu’il est possible qu’une plaie ne guérisse pas proprement autrement. * Accélèrent le processus de guérison * Aident à prévenir les infections * Réduisent l’apparence des cicatrices * Une plaie devrait être cousue ou suturée dans les premières heures suivant la blessure
79
Exemple de plaies qui peuvent nécessiter des points
* Plaie hémorragique * Plaie aux côtés ébréchés * Plaie d’une longueur supérieure à 2,5 cm (1 po) * Plaie sur le visage ou sur la tête * Plaie béante ou à travers laquelle on aperçoit le muscle ou l’os * Plaie sur une jointure, sur les mains ou les pieds * Perforation large ou profonde * Objet enfoncé profondément ou sur une large zone * Morsure humaine ou animale
80
étape pour arrêter une hémorragie externe
1. Patient en position assise ou couchée. 2. Pression directe sur la plaie avec une main gantée. 3. Appliquez une pression ferme sur le gaze stérile 4. Appliquez un bandage pour maintenir une pression directe 5. Si le sang passe à travers le pansement, ajoutez des pansements et des bandages supplémentaires 6. Ne retirez pas les pansements ou les bandages imbibés de sang 7. Si l’hémorragie persiste et que la plaie se trouve sur un membre, posez un garrot au dessus de la blessure Bien que ce soit douloureux, cette mesure est nécessaire pour sauver la vie du patient
81
vrai ou faux : si un garrot est trop douloureux il faut l'enlever
faux : Bien que ce soit douloureux, cette mesure est nécessaire pour sauver la vie du patient
82
quand utilisé un garrot
Lors des situations où vous êtes incapable d’arrêter l’hémorragie Ces situations peuvent inclure : * Un incident impliquant des pertes massives de sang * Une blessure dans un environnement qui devient non sécuritaire * Un patient qui perd du sang à partir d’une plaie à laquelle vous n’avez pas accès
83
comment poser un garrot (protocole)
1. S'assuer qu'aucune autre technique de maitrise de l'hémorragie n'est efficace 2. Posez un garrot de 5 à 10 cm au dessus de la blessure et juste au-dessus de toute articulation à l'intérieur de cette plage 3. Serrez le garrot jusqu'à ce que l'hémorragie cesse 4. Maintenez le garrot en place 5. continuez d'appliquer une pression directement sur la plaie si possible 6. Indiquez l'heure de pose du garrot 7. S'assurez de classer le patient dans la catégorie de transport urgent
84
quelles sont les SS d'une hémorragie interne
Mécanisme de blessure +++ Les signes et les symptômes d’une éventuelle hémorragie interne ne sont pas toujours manifestes et peuvent mettre un certain temps à apparaître : * Décoloration de la peau (ecchymose) * Sensibilité, enflure ou durcissement des tissus mous * Anxiété ou agitation * Respiration rapide (tachypnée) * Peau froide, moite au toucher, pâle ou bleuâtre * Nausées et vomissements * Soif excessive * Détérioration du niveau de conscience * Pouls faible et rapide * Chute de la tension artérielle
85
comment accroitre les chances de réussite de réimplantation lors d'une amputation/arrachement
1. Rincez rapidement cette partie du corps avec une solution saline 2. Enveloppez-la dans une gaze stérile 3. Placez-la dans un sac de plastique 4. Placez ce sac à l’intérieur d’un sac plus grand, et refroidissez-le avec de la glace ou un sachet réfrigérant 5. Indiquez visiblement sur le sac le nom du patient, la date et l’heure **Les patients ayant subi des amputations sont habituellement classés dans la catégorie de transport urgent**
86
vrai ou faux : on puet réduire les luxations
faux : seulement conseiller comment faire
87
quels matériels peut être utilisé pour la geston des déformités / fractures au quadrant sup
* Écharpes * Bandages élastiques * Attelles rigides (Splint)
88
situation dans lesquels utilisé les écharpes
-fracture de la clavicule -fracture de l'humérus/ luxation ant GH
89
voir image de bandage élastique et attelles rigides diapo 94, 95
90
S et S de fracture des orbites (3)
* Vision double ou trouble * Engourdissement au-dessus du sourcil ou à la joue * Écoulement nasal abondant.
91
caractéristiques des fractures des orbites
* Les fractures de la partie inferieure de l’orbite sont les plus fréquentes * Elles peuvent causer la paralysie du regard, ce qui signifie que le patient ne pourra pas suivre le doigt vers le haut * Placez des compresses froides autour de l’orbite afin de réduire l’enflure, sans exercer une pression sur la fracture * Doit être rapidement transporté en position couchée sur le dos * Une chirurgie est habituellement nécessaire et qu’une déficience visuelle permanente est possible * Souvent associées à des commotions cérébrales
92
comment gérer les fractures des orbites
*GESTION D’UN CAS DE COLONNE
93
comment peut se manifester une fracture du crâne
* Dommages visibles au cuir chevelu * Difformité́ du crâne ou du visage * Douleur * Œdème * Des liquides (clairs ou rosés) s’écoulant du nez, des oreilles, de la bouche ou d’une blessure à la tête * La taille inhabituelle des pupilles * Des contusions autour des yeux (yeux de raton laveur) * Des contusions derrière les oreilles (signes de Battle)
94
vrai ou faux : En raison du risque de traumatisme au cerveau, les fractures du crâne sont très graves
vrai
95
comment gérer une fracture du crâne
*GESTION D’UN CAS DE COLONNE
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vrai ou faux : il y a des attelles rigides (splint) aussi pour le membre inf
vrai voir page 99
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étapes pour gérer une fracture du fémur (traction)
1) Placer l’attelle et ajuster la longueur afin que la courroie de la cheville soit à la bonne hauteur 2) Tenir le dispositif de l’attelle pendant l’allongement 3) Attacher la courroie proximale à la cuisse 4) Appliquer la courroie distale à la cheville 5) Lever la poignée et l’ajuster à la quantité de traction adéquate 6) Mettre les courroies de support et immobiliser avec la jambe saine
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étapes pour enlever le casque protecteur au foot par exemple
1. Stabilisation cervicale manuelle : une main saisit la mâchoire inférieure tout en reposant l’avant-bras sur le sternum pour plus de stabilité et tandis que l’autre main va à l’arrière de la tête (région occipitale), saisissant la tête sans la soulever du sol. 2. Enlever la mentonnière et la grille protectrice (ex.: football) avec un tournevis ou un « Quick release » selon les modèles. 3. L’intervenant retire ensuite les appuis-joue intérieurs ou dégonfle le système de coussin d’air du casque (à l’aide d’une seringue ou d’une pompe à air). (ex.: football) 4. L’intervenant enlève ensuite le casque doucement, en veillant à le renverser en arrière pour ne pas toucher le nez du patient.
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étapes pour enlever les épaulettes exemple au foot
1. Une fois le casque enlever, l’intervenant à la tête place ensuite ses deux mains de chaque côté de l’ouverture pour le cou des épaulières pendant que l’autre intervenant stabilise la tête 2. Lorsqu’il faut couper le chandail, il faut TOUJOURS le couper de la tête vers les pieds pour éviter les coupures accidentelles (ex.: Jugulaires) 3. Il faut ensuite couper les lacets, les « tiwrap » ou les ganses ou utiliser le dispositif « quick release » sur certains modèles 4. Il faut veiller à ce qu’il y ait suffisamment d’espace pour passer les épaulières par-dessus le nez du patient afin de ne pas causer une extension cervicale excessive 5. Avec la tête bien stabilisée, un ou deux intervenants tirent les épaulettes en crânial pour les glisser sous la tête sans accrocher le visage ou les oreilles au passage 6. Une fois les épaulières retirées, l’intervenant reprend la stabilisation manuelle de la tête du patient et la descend vers le sol (avec des serviettes au besoin)