Rmoo Methode Engzgemen Flashcards
Les missions en phase « ATTENTE » du binôme de sécurité
se tenir à la disposition du chef d’agrès ou du contrôleur ;
assurer un contact avec les binômes engagés (visuel, veille radio…) ;
prendre connaissances de la structure bâtimentaire auprès du contrôleur ARI
veiller les alarmes sonores dans la zone d’exclusion ;
faire remonter les informations au contrôleur.
Procéder à la lecture du feu depuis l’extérieur
Les missions en phase « ACTION » du binôme de sécurité
- des missions de sauvetage :
o de victimes ;
o de sapeur-pompier(s) en difficulté. - des missions de soutien :
o aide à la sortie de victime ;
o assistance au binôme engagé (aide à la progression de tuyau, apport de
matériels….).
Dès connaissance d’une difficulté ou d’un appel d’un binôme engagé, les missions du
binôme de sécurité sont : - encliqueter mutuellement les SAD par le binôme ;
- assister le(s) binôme(s) engagé(s) ;
- Prendre sa mission auprès du contrôleur ARI et rendre compte de son engagement si engagement par radio ;
4.1. Les conditions minimales d’engagement
la pression minimale pour le premier engagement est de 270 bars
le contrôle croisé est réalisé et satisfaisant ;
le binôme est enregistré.
L’enregistrement DU BINOME COMPRENDS
L’enregistrement comprend :
l’identification des porteurs (noms) et la pression d’engagement ;
l’heure d’entrée
la remise des « clés » avec les plaquettes d’enregistrement au
contrôleur ARI ou laisser au point d’enregistrement
L’autonomie du binôme
Un engagement sous ARI comprend trois temps :
temps « aller » ;
temps « mission » ;
temps « retour ».
!!!!
Lorsque la pression dans la bouteille d’ARI descend en dessous de 55 bars environ, un
sifflet de fin de charge se déclenche, impliquant un retour systématique et immédiat du
binôme au point de pénétration.
Tout au long de la phase d’engagement, le porteur d’un ARI contrôle l’autonomie d’air
respirable dont il dispose.
!!!!
NELAR :
« URGENT, URGENT, URGENT »
N : nom de celui qui passe le message
E : engin d’affectation
L : localisation
A : air restant (du binôme)
R : renfort nécessaire (qui, avec quoi) ou pas.
La réception du message de détresse doit être confirmée (par le chef d’agrès, le
contrôleur…).
“AAALEERTER”
Air
Alerte
Alarme
Éclairer
Économiser l’air
Rester près du sol
Taper
Explorer
Remonter ma cagoule
Économiser l’air
La consommation du sapeur-pompier est variable selon l’effort effectué :
lors d’un effort intense, elle peut s’élever à 90 ou 100 litres/min ;
lors d’un effort modéré, elle se situe entre 40 et 70 litres/min ;
en mode « économie d’air », le porteur peut réduire sa consommation jusqu’à 10 litres/min.
Rôle du binôme d’appui et de soutien
- Contrôler l’ouvrant d’engagement
- Faciliter la progression et le replis des établissements
- Assurer la pérennité des itinéraires de repli des binômes engagés
- D’apporter du matériel au binôme engagé
- D’assurer la liaison de communication avec les binômes engagés et le contrôleur ARI lorsque la communication est dégradé
Réengagement du binôme
- une autonomie suffisante pour réaliser la mission( temps aller, mission, retour)
-Un état physique du binôme satisfaisant qui est validé par le contrôleur ARI et / ou par l’officier de santé du SSSM
Les règles de récupération des personnels
La récupération de base consiste à :
-Retirer le casque, poser l’ARI et son masque (à défaut de procédure de réhabilitation) ; Ouvrir la veste textile (à défaut de procédure de réhabilitation) ;
-Se refroidir (technique des bras dans le seau d’eau) ou se réchauffer ;
-S’hydrater ;
-Avoir une faible sollicitation physique (rester assis) ;
-Rendre compte de son état physique à son chef d’agrès et/ou à l’officier de santé SSSM
Le rôle et les missions du contrôleur ARI
Les missions du contrôleur ARI sont :
Contrôler un seul point d’accès ;
Effectuer les enregistrements ;
Gérer l’ensemble des binômes dont le binôme de sécurité ;
Disposer d’un moyen radio ;
Superviser au maximum 10 porteurs, soit 4 binômes, plus le binôme de sécurité ;
Garder toujours à proximité immédiate un binôme de sécurité ;
Rester constamment en relation avec le COS et le tenir informé du déroulement de
l’opération ;
Transmettre les informations en sa possession à l’ensemble des binômes ;
Prendre les mesures d’urgence en cas de besoin.
Les principes d’engagement
toute exploration sous ARI, les trois principes suivants doivent être respectés :
Le binôme engagé doit être enregistré ;
Le binôme possède un moyen de communication sauf mode dégradé ;
L’itinéraire de repli est facilement identifiable par les membres du binôme (principe de la
ligne de vie).
On peut distinguer plusieurs types de missions données à un binôme en lien avec un engagement :
La mission de recherche de victime(s) ;
La mission de recherche de foyer(s) ;
La mission de recherche combinée.
De quoi est constitué un EAS (espace d’attente sécurisé)
Un EAS constitue une zone à l’abri des fumées, des flammes et du rayonnement thermique.
Les six méthodes de reconnaissance sont :
Les six méthodes de reconnaissance sont :
La reconnaissance à vue ;
La reconnaissance au moyen d’une ligne de vie « méthode courante » ;
La reconnaissance sur moyen hydraulique « méthode circulaire » ;
La reconnaissance sur ligne guide filaire « méthode circulaire » ;
La reconnaissance au moyen d’une ligne de vie « méthode latérale » ;
La méthode « AIDES ».
Les itinéraires de secours sont réalisables :
Les itinéraires de secours sont réalisables :
du 1er étage au 2ème étage au moyen d’échelles à coulisses ;
du 3ème étage et au-delà via la mise en œuvre de moyens élévateurs aériens.
L’évacuation générale
Le contenu du message est :
« Evacuation, Evacuation, Evacuation ».
La transmission est réalisée :
Par n’importe quel intervenant ;
Par message radio en priorité ;
Et en complément, par tous dispositifs :
o Alarme de repli des véhicules (commandé depuis l’arrière du véhicule) ; o 2 tons et avertisseurs sonores des véhicules (klaxon) ;
o Mégaphone portatif et/ou « Public address » des engins ;
o Sifflets.
L’évaluation de la situation à la survenue d’un incident
Quel est/quels sont le(s) problème(s) ?
L’environnement est-il stable ou peut-il se dégrader ?
Quelle est mon autonomie en air ?
Ai-je besoin d’assistance pour me sortir de cette situation ?
PROCEDIS
Part du feu
Refroidissement
Obstruction
Coupée
Étouffement
Dispersion
Inhibition/Inertage
Soufflage
Quels sont les différentes zones opérationnel
Zone interdite (noire)
Zone d’exclusion (rouge)
Zone contrôlée (Orange)
Zone de soutien (verte)
Zone public
Citez les 6 règles générales dans le règlement d’établissement des tuyaux en écheveau.
- Il est indispensable de disposer d’un moyen radio pour sa propre sécurité et la mise en eau des établissements ;
-L’établissement des tuyaux se fait de la prise d’eau vers l’incendie ;
-Il est vivement recommandé de ne pas faire courir les intervenants pour établir les tuyaux ;
-La mise en eau des établissements se fait toujours sur ordre ;
-Dans les étages, la mise en eau se fait au niveau N-1 si les circulations ne sont pas compartimentées ; -En espace clos ou semi-clos, la mise en eau se fait dès la présence d’un plafond de fumée.
Qu’est-ce que le facteur chute ?
Le facteur de chute (Fc) est le rapport entre la hauteur de chute (H) en mètres et la longueur de corde qui amortit la chute (L) en mètres.