Révision 07/2020 Flashcards

1
Q

1- composition de la garde au niveau CS:

A

1 Officier de Garde Compagnie (OGC) dans les PC de compagnie, officier ou major de l’unité, titulaire de la qualification correspondante et habilité par le commandant de groupement.
1 chef de garde, titulaire du certificat de chef de garde d’incendie, officier ou sous-officier dans les PC de compagnie, sous-officier dans les autres centres de secours
le personnel équipant les engins en service
le personnel du Poste de Veille Opérationnelle (PVO)
le service de jour

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2
Q

2- composition de la garde au niveau groupement:

A

1’Officier Supérieur de garde Groupement (OSG), titulaire de la qualification « officier supérieur de garde » et habilité par le Général sur proposition du sous-chef emploi
1’Officier Poste de Commandement (OPC), ou officier CMO appui (OCA) titulaire de la qualification « officier poste de commandement »
le personnel du poste de commandement tactique ou du CMO appui
le sous-officier « statique » et le personnel du Centre de Suivi Opérationnel (CSO)
les conducteurs

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3
Q

3- citer les UES:

A

Des Unités Elémentaires Spécialisées (UES) sont implantées de manière permanente à Kourou, Biscarrosse, à la bibliothèque nationale de France et au Louvre

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4
Q

4- citer les détachements permanent:

A

Des détachements permanents sont installés dans certains édifices publics tels que la Présidence de la République, les ministères de la Défense, de l’Intérieur et de la Justice, l’Assemblée Nationale, le musée d’Orsay et l’Hôtel national des Invalides, palais de la cité

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5
Q

5- groupe habitation:

A

2EP, MEA+VO, VSAV, Eq Med, CRAC

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6
Q

6- groupe ETARE:

A

1DN, 1VSAV, 1EP, 1OGC

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7
Q

7- renfort habitation, renforts secours:

A

RH: 5EP (2 echelle 3 plan), 2MEA, 2VSAV, 2Eq Med, CD, CRAC, PEV, Off secu, VlCdg, OGC, Off Prev,

RS: 1Gpe ETARE, 1Eq Med, GELD, Sec RSMU, Off prev, Off secu

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8
Q

8- code motif:

A

1) FEUX
2) ACCIDENT
3) SECOURS A VICTIME
4) PARTICIPATION A LA PROTECTION DES PERSONNES 5) ANIMAUX
6) EAU, GAZ, ELECTRICITE
7) PROTECTION DES BIENS
8) POLLUTION
9) RECONNAISSANCES -
RECHERCHES

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9
Q

9- cas OGC:

A

Il se rend obligatoirement sur les interventions dans les cas suivants :
Ø tous cas prévus par la grille de départ des secours ;
Ø toutes demandes ou envoi de groupes, renforts ou sections ;
Ø demande de moyens de renforcement (sur feu ou interventions particulières) ou d’un plan spécial ;
Ø demande d’un chef d’agrès ;
Ø intervention dans une ambassade, une légation, chez une autorité ou une personnalité publique ou impliquant une autorité ou une personnalité publique ou leurs proches ;
Ø accident de circulation sur son secteur impliquant un véhicule du corps ;
Ø sur ordre de l’officier responsable de l’EMO ou de l’OSG.
l se rend à son initiative sur les interventions lorsqu’il juge sa présence nécessaire, notamment :
Ø lorsqu’un chef de détachement (ou d’agrès) éprouve des difficultés ou manifeste de l’inquiétude ;
Ø pour une intervention autre que « secours à victime » ayant entraîné une victime décédée et toute intervention ayant entraîné de nombreuses victimes

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10
Q

10- discipline d’action de la part de l’éxécutant:

A

Ø la stricte observation des ordres reçus

Ø la recherche à son niveau du résultat escompté et de l’exécution parfaite de tous les actes y concourant

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11
Q

11- discipline au feu:

A

Ø de se protéger physiquement avec les Équipements de Protection Individuelle (EPI) et les moyens adaptés (gants, appareil respiratoire isolant, écran oculaire ou facial, arrimage, etc.)
Ø de conserver son sang-froid et sa sérénité
Ø d’opérer en silence en toute circonstance
Ø de rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique (cette règle ne souffre aucune exception lors d’une évolution sous ARI)
Ø de rendre compte sans délai des actions menées, ainsi que de tout fait nouveau ou de toute initiative

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12
Q

12- zonage sur intervention:

A

ZONE D’EXCLUSION

Il s’agit de la zone où les intervenants sont directement exposés aux effets du danger principal (par exemple, exposition au feu et aux fumées dans le cas d’un incendie ou à proximité des véhicules concernés sur un accident de la route). L’accès en est strictement réglementé et n’est autorisé qu’aux intervenants équipés de tenues de protection adaptées aux risques.

ZONE CONTROLEE

Il s’agit d’une zone tampon d’où est coordonné l’engagement des intervenants en zone d’exclusion. Ne doit s’y trouver que du personnel ayant le même niveau de protection vestimentaire qu’en zone d’exclusion (équipes de sécurité, PCA, réserve d’approche du matériel).

ZONE DE SOUTIEN

Cette zone est la plus excentrée. Comme les autres, elle est interdite au public, de manière à ne pas entraver l’action des secours. Il s’agit cependant d’une zone qui ne nécessite pas de protection particulière pour les personnes qui s’y trouvent. Les structures de soutien nécessaires au bon déroulement de l’intervention doivent être localisées dans cette zone : ZDI, PMA, PCP, zone des PC, zone de remise en condition du personnel, etc.

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13
Q

13- type de message:

A
Ø message de départ
Ø message de présentation
Ø message de demande de moyens
Ø message d’ambiance
Ø message de renseignements
Ø message de déplacement
Ø message de disponibilité
Ø message de rentrée
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14
Q

14- contexture message de rentrée:

A

1) utilisation des moyens et actions menées par les sapeurs-pompiers.
2) victimes : Ä pour les victimes civiles, préciser : nom, prénom, âge, sexe, nationalité (pour les étrangers) et catégorisation Ä pour les victimes militaires, préciser : grade, nom, prénom, n° d’incorporation ou matricule, unité de rattachement et catégorisation Ä s’il y a plusieurs victimes évacuées vers des hôpitaux différents, préciser leur destination pour chacune d’entre elles
3) Moyens de secours privés utilisés (RIA, extincteur, seau d’eau, colonne sèche ou humide, hydrant), en précisant s’ils ont été mis en œuvre avant ou après l’arrivée des secours de la Brigade.
4) Matériels laissés sur place.
5) Relèves et première ronde prévues (liste non exhaustive qui peut être complétée par la suite, jusqu’à la clôture de l’opération).
6) Cause supposée.
7) Description des dégâts provoqués par les SP.
8) Difficultés particulières rencontrées. Ex : « le stationnement sauvage de tels véhicules a interdit la mise en station de telle échelle » ; « retard dans la présentation des secours du à une circulation dense, etc. » ; « refus de signature de l’IAO sur la fiche bilan ».
9) Signalements auprès du bureau prévention et/ou des services publics.

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15
Q

15- signification CRS:

A

Compagnie Républicaine de Sécurité

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16
Q

16- signification LSO, LSS:

A

Lieu de stationnement Opérationnel, Lieu de Stationnement Santé

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17
Q

18- Signification A, B, C:

A

– A cch ct1 ou sgt simple
– B sous officier cgi
– C chef de garde du jour

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18
Q

19- signification ADAGIO, ANTARES, STRADA, RED, MMA:

A

adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours
application de diffusion de l’alerte et de gestion informatisée des opérations
système de transmissions de données alphanumériques
règle d’engagement des détachements
moyen mobile autonome

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19
Q

20- citer le principe de la manœuvre:

A

Ø Protéger les personnes Ä SAUVETAGES, MISES EN SÉCURITÉ
Ø Empêcher le feu de s’étendre en préservant ce qui n’est pas atteint Ä LUTTE CONTRE LES PROPAGATIONS
Ø Empêcher les gaz chauds et les fumées de se propager par toutes les voies possibles vers d’autres locaux et faciliter la pénétration des équipes d’attaque par la circulation d’air frais Ä VENTILATION
Ø Réduire, puis éteindre le feu Ä ATTAQUE et EXTINCTION
Ø Protéger les biens situés dans le voisinage Ä PROTECTION

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20
Q

21- citer la MGO:

A
  1. les reconnaissances
  2. les sauvetages et mises en sécurité
  3. les établissements
  4. la ventilation
  5. l’attaque
  6. la protection
  7. le déblai et le dégarnissage
  8. la surveillance
  9. les rondes
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21
Q

1- différent type de feux de moyens de transport

A

Automobile, ferroviaire, fluviale, aérien, TMD

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22
Q

2- tableau des différentes tensions

A
TRÈS BASSE TENSION (TBT) T ≤ 50 T ≤ 120
BASSE TENSION (BT) 50 < T ≤ 1 000 120 < T ≤ 1500
HAUTE TENSION (HT) T > 1 000 T > 1 500
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23
Q

3- règles de manœuvre de lance lors d’un feu électrique, distance de sécurité

A

S’il n’existe pas d’autre possibilité que la mise en œuvre d’une LDMR, seul le jet diffusé d’attaque est autorisé, en respectant une distance minimale de 2 mètres entre la lance et l’installation. Cette manœuvre sera effectuée par un porte-lance aguerri, qui doit : Ø manœuvrer dans un premier temps la lance dans une direction non dangereuse, puis diriger le jet avec précaution sur les pièces sous tension
Ø procéder par gestes lents et précis
Ø reculer à la moindre sensation de picotement
Ø faire attention au risque d’électrisation : éviter de marcher dans les eaux de ruissellement, qui peuvent conduire le courant Ø rester vigilant vis-à-vis des pièces métalliques avoisinantes (rambardes, canalisations, fils volants, etc.)

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24
Q

4- signification CPCU

A

LA COMPAGNIE PARISIENNE DE CHAUFFAGE URBAIN

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25
Q

7- classification matières dangereuses

A
1 Matières et objets explosibles
2 Gaz
3 Liquides inflammables
4 Solides inflammables
5 Comburants ou peroxydes
6 Matières toxiques
7 Matières radioactives
8 Matières corrosives

Matières dangereuses diverses, provoquant une réaction violente spontanée
C’est toujours un numéro composé de 4 chiffres, un seul numéro est attribué à chaque matière et permet d’identifier la matière concernée. Voici quelques exemples :
1202 = gasoil
1203 = essence

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26
Q

Immeuble 1° Première famille :

A

Elle comprend :
- Habitations individuelles isolées ou jumelées à un étage sur rez-de-chaussée, au plus.
- Habitations individuelles à rez-de-chaussée groupées en bande.
Toutefois, sont également classées en première famille les habitations individuelles à un étage sur rez-de-chaussée, groupées en bande, lorsque les structures de chaque habitation, concourant à la stabilité du bâtiment, sont indépendantes de celles de l’habitation contiguë.

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27
Q

Immeuble 2° Deuxième famille :

A

Elle comprend :

  • Habitations individuelles isolées ou jumelées de plus d’un étage sur rez-de-chaussée.
  • Habitations individuelles à un étage sur rez-de-chaussée seulement, groupées en bande, lorsque les structures de chaque habitation, concourant à la stabilité du bâtiment, ne sont pas indépendantes des structures de l’habitation contiguë.
  • Habitations individuelles de plus d’un étage sur rez-de-chaussée groupées en bande.
  • Habitations collectives comportant au plus trois étages sur rez-de-chaussée.
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28
Q

Immeuble 3° Troisième famille :

A

Elle comprend les habitations dont le plancher bas, du logement le plus haut, est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol utilement accessible, aux engins de secours et de lutte contre l’incendie. Cette Troisième est divisée en deux sous-familles.

La Troisième famille A qui comprend les habitations répondant à l’ensemble des prescriptions suivantes :

  • Comporter au plus sept étages sur rez-de-chaussée.
  • Comporter des circulations horizontales de manière à ce que la distance, entre la porte palière de logement la plus éloignée et l’accès de l’escalier, soit au plus égale à sept mètres.
  • Être implantées de telle sorte qu’au rez-de-chaussée les accès aux escaliers soient atteints par la voie.

La Troisième famille B qui comprend les habitations ne satisfaisant pas les prescriptions de la Troisième famille A. Ces habitations doivent être implantées de telle sorte que les accès aux escaliers soient situés à moins de 50 mètres d’une voie ouverte à la circulation.

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29
Q

Immeuble 4° La Quatrième famille :

A

Cette famille comprend les habitations dont le plancher bas, du logement le plus haut, est situé à plus de 28 mètres et à 50 mètres au plus au-dessus du niveau du sol utilement accessible, aux engins de secours et de lutte contre l’incendie.
Si l’immeuble dépasse les 50 mètres, il est rangé dans la catégorie des Immeubles de Grande Hauteur.
Comme pour la Troisième famille B, ces habitations doivent être implantées de telle sorte que les accès aux escaliers soient situés à moins de 50 mètres d’une voie ouverte à la circulation.

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30
Q

9- caractéristiques ERP

A

• Établissements installés dans un bâtiment
Ø public de passage dans les magasins, centres commerciaux, salles d’expositions, etc.
Ø enfants dans les établissements d’enseignement
Ø personnes dépendantes dans les établissements sanitaires

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31
Q

10- définition volume clos

A

Il s’agit d’un volume fermé, aux accès rares ou complexes, naturellement obscur, qui se trouve généralement en partie basse des immeubles (caves, sous-sols, parcs de stationnement, chaufferie, réserves, locaux techniques, etc.). Cependant, dans certains immeubles modernes, il peut se trouver en étage.

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32
Q

11- citer la règle des 4I

A

Ø Identifier le véhicule et ses caractéristiques Ø Inspecter les éléments constitutifs
Ø Interdire les actions potentiellement dangereuses
Ø Intervenir conformément à chaque type de motorisation

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33
Q

12- Risque d’explosion (généré, déclenché, phase

A

Le risque d’explosion est généré par la présence :
Ø d’un gaz combustible ou de vapeurs de liquides inflammables dont la concentration se situe dans leur plage d’explosibilité1
Ø de poussières en suspension dans l’air
Ø de produits explosifs par nature
Ø d’un récipient ou d’une conduite sous pression
L’explosion peut être déclenchée par :
Ø une source externe (étincelle, flamme)
Ø un échauffement trop important (surpression)
Ø un refroidissement trop rapide (choc thermique)
Ø un choc mécanique
Ø un apport brusque de comburant
Dans tous les cas, l’intervention, qui est avant tout une mission de sauvegarde, consiste à :
Ø RECONNAÎTRE le risque
Ø PROTÉGER l’environnement
Ø SUPPRIMER le risque

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34
Q

1- définition du DN

A

Le Départ Normal est gabarisé pour répondre à un feu d’appartement de 70 m² situé en étage, accessible aux moyens élévateurs aériens et restant dans son volume.

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35
Q

2- phase EGE

A

EMBRASEMENT GÉNÉRALISÉ (EG)
C’est l’étape de la combustion où le feu passe progressivement d’une situation localisée à un embrasement généralisé des matériaux combustibles présents dans le volume.
1 stratification des fumées, 2 apparition d’ange danseurs, 3 apparition roll-over, 4 amplification rayonnement, 5 pyrolise, 6 flash over

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36
Q

3- signe Backdraft

A

EXPLOSION DE FUMÉES Déflagration ou détonation de gaz surchauffés présents dans le volume. Elle se produit lors de l’apport d’oxygène dans un volume mal ventilé présentant un déficit en comburant. Les Anglo-saxons utilisent le terme de « Backdraft » pour désigner une explosion de fumées.
1 développement en volume clos, 2 diminution comburant, 3 surpression du volume, 4 backdraft

37
Q

4- gaz détecter par l’altair 4x, leur plage

A

CO AB = 20 AH = 100 en ppm
O2 AB = 19 AH = 23 en % dans l’air
H2S AB = 5 AH = 10 en ppm
CH4 AB = 20 AH = 40 % de la LIE

38
Q

SAUVETAGES

A

Action visant à soustraire d’un péril immédiat une personne qui, sans aide extérieure, serait vouée à une mort certaine

39
Q

MISE EN SECURITE

A

Action visant à extraire, en l’accompagnant, une personne menacée par un danger auquel elle ne peut se soustraire d’elle-même

40
Q

CONFINEMENT

A

Opération visant à ordonner à des personnes de se maintenir à l’abri d’un danger ambiant, en se calfeutrant à l’intérieur des locaux dans lesquels elles se trouvent

41
Q

EVACUATION

A

Opération visant à ordonner préventivement à des personnes de se déplacer hors des limites d’un périmètre de sécurité, au besoin en les accompagnant, afin qu’elles ne se trouvent pas exposées aux effets d’un danger évolutif

42
Q

RA

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes, il s’agit d’une « reconnaissance d’attaque ».

43
Q

RP

A

Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique, il s’agit d’une « reconnaissance périphérique ».

44
Q

RV

A

Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique il s’agit d’une « reconnaissance à vue ».

45
Q

7- règles établissement de tuyau

A
  • faire une grande réserve en boucle au point d’attaque ou à la division pour les gros tuyaux et au point d’attaque pour les petits tuyaux
  • dérouler le premier tuyau et successivement tous les autres en serrant le plus près possible la bordure du trottoir ou du mur
  • éviter de couper les rues, si cela est indispensable, disposer les tuyaux perpendiculairement à l’axe de la chaussée. Cette opération doit se faire le plus près possible du point d’attaque
  • employer le moins possible de tuyaux en leur faisant prendre le chemin le plus court et en évitant leur enchevêtrement
  • éviter de leur faire subir des torsions, des plis ou des coudes brusques surtout aux angles des murs
  • ne pas les laisser reposer sur des décombres brûlants
  • les mettre à l’abri de la chute des matériaux
46
Q

mission des EP

A
  • réaliser des sauvetages
  • combattre les feux
  • secourir les victimes
  • effectuer des opérations diverses1
47
Q
  • mission des MEA
A
  • réaliser les sauvetages et mises en sécurité
  • faciliter les reconnaissances1
  • participer aux opérations de ventilation2
  • établir des lances
  • effectuer des opérations diverses3
48
Q

10- différent niveau de barrage de gaz

A

Il existe 4 niveaux de barrage du gaz sur les robinets de branchement :
organe de coupure générale (sous trottoir/ en façade)
robinet pied de conduite
robinet de branchement particulier
robinet de compteur

49
Q

12- différente position de l’ari

A

Binôme sous ARI
Binôme porteur de l’ARI
ARI en position d’attente

50
Q

15-compte rendu reco

A

J’ai vu ! (Le cheminement et sa longueur, la nature et l’importance du feu, les volumes ou les dimensions des locaux sinistrés, les autres accès éventuels) = ANALYSE
J’ai fait ! (amarrer la ligne guide, etc.) = ACTION
Je redoute ! (évolution du sinistre, risques de propagations dangers particuliers) = ESTIMATION
Je propose ! (moyens hydrauliques à utiliser, engagement) = ANTICIPATION

51
Q

16- mesure générale reco attaque

A
  • aucun engagement initial si l’ARI présente une pression inférieure à 280 bars
    • chaque accès doit être contrôlé par un responsable muni d’un TGR avec la mise en place d’un binôme de sécurité
    • utilisation de l’ARI (masque coiffé)
    • aucun rengagement ultérieur si l’ARI présente une pression inférieure à 200 bars
    • utilisation de la ligne de vie
    • établissement d’un moyen hydraulique de 500 l/min. au point d’accès.
    • dans tous les cas après une absence de 25 minutes de l’équipe partie en « reconnaissance d’attaque », le responsable du TGR donne l’ordre au binôme de sécurité de s’engager pour partir à sa recherche et rend compte au COS
    Seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser justifie l’engagement immédiat d’un binôme de reconnaissance sur ordre, sans la mise en place préalable d’un « binôme de sécurité », du TGR et de l’établissement d’un moyen hydraulique. Dans ce cas, l’usage de la ligne guide est laissé à l’initiative du chef d’agrès ou du COS
52
Q

17- comment réaliser contrôle croisé de epi

A
Le casque et la cagoule
Le masque de l’ARI
L’ARI
 Les gants
La tenue textile
Les contrôles divers
53
Q

18- longueur ligne guide

A

50 m

54
Q

19- citer principe, tactique, technique de ventilation

A
Les principe de ventilation
la ventilation naturelle
la ventilation mécanique.
 Les techniques de ventilation
ventilation par surpression
ventilation par dépression. 3)
Les tactiques de ventilation
ventilation d’attaque
ventilation de protection.
55
Q

Cat devoir du porte lance

A

Avant de pénétrer dans un local
• placer sa plaquette patronymique sur le TGR • effectuer un contrôle croisé des EPI
• se placer le plus près possible du sol, en dehors de l’axe de l’ouvrant
• régler sa lance en jet diffusé d’attaque et disposer de 500 l/min Si le local est fermé, différentes actions et vérifications devront être réalisées avant d’y pénétrer, via le O.T.O.O.T.EM.
Observer :
• la nature de l’ouvrant (sens d’ouverture, type de poignée, matériaux)
• la présence de signes d’alarme significatifs d’un accident thermique, et si ils sont perceptibles, ne pas ouvrir le local et rendre compte immédiatement à son chef d’agrès Principaux signes de l’explosion de fumées à la porte :
▪ fumées grasses et de couleur anormale, sortent sous pression des interstices
▪ chaleur importante de la porte et des huisseries
Tester :
Évaluer la chaleur radiante de l’ouvrant en projetant un minium d’eau sur le haut de la porte, son cantonnement et le mur.
Observer :
la réaction du test. Cette méthode n’est qu’une indication, la nature de la porte pouvant faire varier le résultat.
Ouvrir :
la porte sous couvert du chef d’agrès selon les principes suivants :
▪ le binôme se place à la porte en respectant la règle des 4 C :
Chef à la lance
Coordination
Contrôle de l’ouvrant
Servant en dehors du Cône d’expansion
▪ ouvrir la porte sur ordre du chef d’équipe (ouvrez ! - halte !)
▪ le chef d’équipe pénètre suffisamment afin de rechercher d’éventuelles victimes, observer la configuration du local, rechercher le foyer et analyser les fumées
Test du plafond de fumées :
En présence d’une couche de fumées en partie haute d’un volume, le test du plafond doit être effectué par le porte-lance avant toute pénétration, et régulièrement lors de progressions, afin de garantir la sécurité du binôme. Le test du plafond de fumées consiste à évaluer l’ambiance thermique de la couche de fumées en projetant l’eau dans celle-ci dans le but de séquencer la progression. Projeter un minimum d’eau en jet diffusé d’attaque dans la couche de fumées à 1 ou 2 m à l’endroit où l’on doit progresser. 2 résultats possibles :
• le test retombe en gouttelettes, le binôme peut progresser
• le test se vaporise ou si difficilement interprétable, le porte lance réalisera une impulsion Le test du plafond de fumées sera réalisé dans les conditions suivantes :
• pas de victime visible
• pas de foyer visible
• pas de phénomène thermique visible
• pas de chaleur inacceptable
Engagement Minimum :
des personnels d’attaque dans le volume concerné par le sinistre.

56
Q

courbe de développement du feu

A
Le développement d’un feu suit toujours les quatre étapes suivantes :
• naissance
• croissance
• plein développement
• décroissance
57
Q

mode de propagation du feu

A
Transmission de la combustion par transfert de chaleur
La chaleur peut se transmettre par :
• conduction
• convection
• rayonnement
Transmission de la combustion par déplacement de substances en combustion :
les gaz
les liquides
les solides (escarbille)
58
Q

devoirs généraux de l’équipe

A
  • réaliser les missions ordonnées par leur chef d’agrès
  • rendre compte de l’exécution de leurs missions et/ou des difficultés rencontrées
  • prévoir un itinéraire de repli pour toutes missions entreprises
  • se tenir obligatoirement, à la disposition de leur chef d’agrès, dans leurs engins d’affectation s’ils n’ont pas reçu de mission
  • le 2e servant recueille les renseignements nécessaires à l’établissement du rapport d’intervention
59
Q

CAT pour barrer le gaz

A

• La fermeture d’un barrage s’effectue toujours par un quart de tour dans le sens des aiguilles d’une montre
• ne pas forcer sur un barrage
• ne jamais revenir en arrière
• après fermeture d’un barrage sous trottoir, refermer le couvercle
À l’issue d’une manœuvre de fermeture d’un barrage sous trottoir, inscrire à la craie la mention « GAZ BARRÉ »

60
Q

définition point fixe

A

Tout objet d’une certaine masse ou d’une structure convenablement ancrée dans le sol ou dans les murs, sur lequel il est possible de s’amarrer constitue un point fixe.
Il doit :
• résister aux forces exercées lors des amarrages
• résister au choc produit par une chute éventuelle du sapeur-pompier

61
Q

nomenclature échelles à main

A
Echelle à crochet :
2.40 - 4.25   9Kg
Echelle à coulisse petit modèle :
3.60 - 5.60  23Kg
Echelle à coulisse grand modèle :
5 - 9     34Kg
3 plans 
6 - 15    90Kg
62
Q

citer les objets des reconnaissances

A
  • réaliser immédiatement les sauvetages, les mises en sécurité, l’évacuation ou le confinement
  • s’approcher le plus près possible du foyer principal pour juger de son emplacement, de son étendue, de sa nature et surtout des risques d’extension dans les plans verticaux et horizontaux
  • déterminer le mode d’extinction approprié, les points d’attaque et les cheminements à suivre pour y parvenir
  • apprécier la configuration du bâtiment, des communications intérieures, des murs, des toits, et des dispositifs de sécurité (Tirer Lâcher, commande de désenfumage, barrage des fluides, etc.)
63
Q

différents type d’établissement

A

horizontaux
verticaux
rampant

64
Q

tuyaux utilisé selon les établissements

A

Alimentation: 70 ou 110
Manœuvre 70 ou 110
Attaque: 70 et 45 ou de 110

65
Q

30- différents points d’eau

A
  • poteau d’incendie (PI)
  • bouche d’incendie (BI)
  • aspiration (nappe ou cours d’eau)
  • relais (engin, motopompe, ESAVI…)
66
Q

34- distance mise en place VO

A

◦ à une distance de 1 à 6 m, 5 m étant la distance optimale

67
Q
  • définition porte lance et double porte lance
A

Porte lance
Premier élément du binôme d’attaque désigné pour manœuvrer la lance

Double porte-lance
Second élément du binôme d’attaque désigné pour faciliter et aider le porte-lance à la manœuvre de la lance et à la progression de l’établissement

68
Q
  • définition point d’attaque
A

Désigné initialement par le chef d’agrès, le point d’attaque est l’emplacement du porte lance à partir duquel il procède à l’attaque du sinistre. Le point d’attaque, qui peut varier au cours du sinistre, est choisi de manière à pouvoir attaquer le foyer principal et/ou couper les propagations

69
Q

définition inertage

A

Conséquence d’une action du binôme d’attaque destinée à rendre inoffensif le plafond de fumées par impulsion ou par la technique du crayonnage

70
Q

39- définir lecture du feu

A

CEFF

C Chaleur
E Environnement
F Flamme
F Fumée

71
Q

citer les classes de feu

A
A Sec
B Gras 
C Gaz
D Métaux
E Auxiliaire de cuisine
72
Q

donner les différents agents extincteurs

A
eau
eau dopée
mousse
co2
poudre
autre agents (sable…)
73
Q

type de foisonnement

A

Il existe 3 types de foisonnement utilisés par les sapeurs pompiers :
• le bas foisonnement
• le moyen foisonnement
• le haut foisonnement

74
Q

règles générales de manœuvre de la lance

A

atteindre un foyer avec une portée efficace • absorber la chaleur par une répartition convenable de l’eau
• se protéger ou préserver une structure par la création d’un écran d’eau

75
Q

donner 4D

A

Diffusion type de jet
Débit débit à appliquer
Direction orientation du jet
Durée temps d’application

76
Q

type/application des jets

A

jet droit
jet diffusé d’attaque
jet diffusé de protection

77
Q

composante du triangle du feu

A

combustibles
comburants
énergie d’activation

78
Q

donner le risque des fumées

A
  • Inflammable et explosif car elles sont chargées en particules imbrûlées ou résultent d’une combustion incomplète
  • Toxique car leur composition et leur température rendent le milieu irrespirable
  • Opaque par la présence de particules de suie ou d’aérosols provoquant un écran qui réduit la visibilité. Dans certains cas, lorsque les fumées sont très denses, les sons sont assourdis
  • Rayonnant car elles transportent une grande partie de la chaleur. Les fumées émettent un rayonnement thermique d’autant plus important que leur température est élevée
  • Envahissant et mobile car elles se comportent comme un fluide en s’infiltrant et se répandant dans tous les volumes qui lui sont ouverts
79
Q
  • composition des fumées
A
de vapeur d’eau
• d’hydrocarbures
• de dioxyde de carbone
• de monoxyde de carbone
• des suies
• d’autres gaz (cyanure d’hydrogène, chlorure d’hydrogène…)
80
Q

expliquer les FGI

A

Il s’agit de fumées composées essentiellement de gaz de combustion et de pyrolyse qui forment avec l’air un mélange inflammable ou explosif (flash fire ou smoke explosion). À ce moment-là, les 2 côtés du triangle du feu sont réunis, il ne manque plus que l’énergie d’activation. L’explosion de fumées et l’embrasement généralisé ont lieu dans le volume sinistré. La FGI peut avoir lieu, quant à elle, dans les volumes adjacents par accumulation de fumées

81
Q

définir le bleve

A

Le BLEVE (acronyme de l’anglais: « boiling liquid expanding vapor explosion ») peut être défini comme une vaporisation violente à caractère explosif consécutif à la rupture d’un réservoir contenant un liquide à une température significativement supérieure à sa température d’ébullition à la pression atmosphérique.

82
Q

Armement EP

A
dévidoir tournant muni d’un tuyau semi-rigide de 35 mm et de tuyaux 45 mm équipés d'une lance (LDT)
pompe
2 dévidoirs mobiles à panier
 tuyaux de différents diamètres
matériels de sauvetage et d'exploration
citerne d'eau
 réserve d'émulseur
ligne d'attaque (LA)
matériels de secours à victimes
moyen mouillant / moussant (sur certains EP)
matériels divers
lances
83
Q
  • Pose court-circuiteur
A

Avant toute intervention:
Poser la partie inférieure du court-circuiteur sur le rail de roulement (dit « négatif »). Ne pas se positionner dans l’axe du court-circuiteur
Approcher la partie supérieure du rail conducteur (dit « positif ») et tourner la tête à l’opposé
Plaquez fermement le court-circuiteur sur le rail conducteur sans le lâcher, la tête toujours tournée à l’opposé
Les court-circuiteurs ne doivent pas être mis en place :
- sur les coupons de protection situés au niveau des sectionnements automatiques, et des sous-sectionnements. Ils sont signalés par des flèches noires et jaunes peintes sur le mur du tunnel.
- sur les barres de guidage côté quai. Elles sont isolées et repérées en principe par des bandes alternativement noires et jaunes, pour les lignes où circulent les trains à roues munies de pneumatiques ; toutefois, elles ne doivent jamais être considérées comme étant isolées ou hors tension par la seule présence de ces repères - sur les pans inclinés situés aux extrémités des rails de traction

84
Q

Description LSPCC (composition + utilisation)

A
LSPCC EP:
1 corde 30m 3000kg 12,5mm
1 protection de corde
1 harnais taille L 1500kg
1 harnais taille XL 1500kg
1 descendeur type 8 2000kg
1 poulie à joue fixe 2000kg
3 anneaux de sangle rouge 1,50m 2000kg
3 anneaux de sangle bleu 0,80m 2000kg
1 mousqueton à fermeture automatique double sécurité 2000kg
6 mousquetons à virole à vis 2000kg
2 mousquetons demi lune 2000kg
housse pour harnais XL
sac de transport jaune
LSPCC MEA:
1 corde 60m 3000kg 12,5kg
6 anneaux de sangle bleu
9 mousquetons à virole à vis
1 sac de transport bleu
85
Q

REGLES DE SECURITES GENERALE

en Reconnaissance

A

Les reconnaissances sous ARI doivent toujours s’effectuer dans le sens du tirage hormis dans le cas express d’un sauvetage. ! Si une situation présente un tirage défavorable à un engagement sécurisé des équipes de reconnaissance, et que les secours sont dans l’impossibilité technique ou tactique d’en inverser le sens par une ventilation opérationnelle, le COS doit interdire toute « reconnaissance d’attaque » et procéder directement à l’extinction du sinistre par l’extérieur conformément au BSP 118.
Seule la notion de victime ou de sauvetage à réaliser, constaté par le COS, justifie qu’un binôme de reconnaissance s’engage d’emblée, sur ordre, avant même la mise en place d’un binôme de sécurité, d’un moyen hydraulique et du Tableau de gestion des reconnaissances (TGR), ce qui induit une prise de risque. Dans ce cas, l’usage de la ligne guide est laissée à l’initiative du COS. Dans la conduite des reconnaissances, il convient de privilégier la pénétration par les communications existantes et notamment par les escaliers. Quand ils sont impraticables ou qu’ils menacent ruine, les fenêtres sont atteintes à l’aide d’échelles (compte-rendu immédiat pour les locaux qui n’ont pas pu faire l’objet d’une reconnaissance et pour ceux atteints par l’extérieur). Les portes ne doivent être forcées que si nécessaire.
Le COS devra disposer d’un chemin de repli par niveau. Une échelle à main ou un MEA par niveau. Un BEA pour 2 niveaux
Un binôme engagé en reconnaissance est indissociable.
Dès lors que plusieurs reconnaissances sont engagées, le COS les organisent sur la base de : 1 binôme par niveau

86
Q

Description TGR

A

L’entête:
• du numéro du point d’accès : Il est défini par le commandant des opérations de secours. Il correspond de préférence à l’ordre d’activation successif des points d’accès sur le secteur.
(Exemple : - 11 pour le 1er point d’accès du secteur 1 -
12 pour le 2e point d’accès du secteur 1
22 pour le 2e point d’accès du secteur 2 etc.)
• de la fréquence radio à utiliser : La fréquence radio à utiliser sur le secteur dont dépend le point d’accès est définie par le commandant des opérations de secours (canaux tactiques)
• du nom du responsable du point d’accès : C’est au minimum un caporal-chef titulaire du CT1 SP
• du nom du chef de secteur : Il est désigné par le commandant des opérations de secours Il peut avoir sous sa responsabilité jusqu’à 3 points d’accès maximum
La partie principale:
• Identité des binômes : La partie gauche du tableau est constituée de 8 emplacements destinés à recevoir les plaquettes patronymiques des sapeurs pompiers qui vont s’engager en reconnaissance Avant de s’engager, chaque intervenant remet la clef de son ICS munie de sa plaquette patronymique au responsable du point d’accès qui renseigne la colonne « CS / ENGINS »
• Types de reconnaissances engagées : Le responsable du point d’accès coche le type de reconnaissance commandé à l’équipe :
RA pour une « Reconnaissance d’Attaque » - - RP pour une « Reconnaissance Périphérique»- RV pour une « Reconnaissance à Vue »
• Règles de sécurité : Elles sont signalées par un fond coloré en : rouge pour les « reconnaissances d’attaque », les horaires prévisibles de sortie, le binôme de sécurité orange pour les « reconnaissances périphériques » verte pour les « reconnaissances à vue »
• Durée d’engagement : Lorsqu’un binôme s’engage, le responsable du point d’accès inscrit pour chaque sapeur pompier la pression de la bouteille d’air de l’ARI En se reportant à l’horloge de référence du tableau, il inscrit ensuite l’heure d’entrée et l’heure prévisible de sortie : - 25 minutes pour une « reconnaissance d’attaque » - 30 minutes pour une « reconnaissance périphérique » - sans objet pour une « reconnaissance à vue »
• Mission : Le responsable du point d’accès fixe une mission au binôme avant de l’engager Le chef d’équipe réalise au dos du tableau le schéma de l’itinéraire emprunté
• Afin d’éviter qu’un sapeur pompier ne puisse se réengager plus de 2 fois, le responsable du point d’accès doit : - entourer sur la plaquette patronymique le chiffre 1 à l’issue du 1er compte rendu de reconnaissance - retirer la plaquette patronymique du TGR et la conserver jusqu’à la fin de l’intervention à l’issue du second compte rendu
• Les tableaux peuvent s’accrocher les uns aux autres afin de constituer une série de plusieurs TGR pour suivre l’engagement successif d’un nombre important de binômes au niveau d’un même point d’accès

87
Q

ARI LA BOUTEILLE

A
protection d'ogive
étiquette de fabrication
marquage bspp
étiquette de validités
protection fond
robinet avec indicateur de pression
raccord alpha-click femelle
volume: 6,8L / 300 bars / autonomie 40 minutes environ / revêtement intérieur en aluminium/ recouvert d'un bobinage en fibre de carbone et de verre
88
Q

ARI LE DOSSERET

A
poignée d'extraction
témoin annuel
poignée de portage
plaque d'identification
puce RFID
emplacement longe de reconnaissances
sabot de protection
89
Q

ARI LE DOSSARD

A

la plaque dorsale
le harnais
le système pneumatique et de détente