relations et affectivité Flashcards
représentation définition
- rendre présent
- (re)produire au travers du filtre que constitue les processus inhérents aux méchanismes cognitifs de l’individu
perception sociale définition
La perception sociale englobe l’organisation de l’information sur des individus et le fait de leur attribuer des propriétés souvent sur la simple base d’indices sommaires.
Moscovici
notion de représentation sociale
- fondement socio-constructiviste: absence de rupture entre le monde et l’individu, entre l’intérieur et l’extérieur d’un individu ou d’un groupe
discours et représentation des acteurs
- discours de l’école sur elle même (contradiction entre
discours idéologique et fonctionnement inégalitaire) - discours des parents (p.ex les parents de milieux defavorisés ont
souvent la perception que l’école est séléctive à leurs détriment) - discours des inspecteurs (complexité du système de
représentation mais contradiction) - discours de l’enseignant (meme dualisme sous-jacent,
mais c’est toujours le model traditionel qui prédomine)
Pourquoi l’étude de la représentatione est-t-elle importante? (4)
- les erreurs qu’on fait sont des occasions de
developper son intelligeance - Un echec peut etre une preuve d’un manque
d’intelligeance - quand on apprend de nouvelles choses notre
intelligeance augmente - On peut apprendre beaucoup de choses mais on ne
peut pas vraiment changer notre intelligeance
qu’entend -t-on par représentation sociale de l’enseignant? (4)
- Appréhension de l’élève par l’enseignant
- Représentation des élèves
- Perception de soi
- situation de reference
Que faut-t-il prendre en compte lorsquon parle de l’appréhension de l’élève par lenseignant? (3)
- Système d’appréhension et perception de l’élève singulier
- Prototypes d’élèves
- Milieu social et relations pédagogiques
cognitif définition
Qui est lié au processus d’acquisition de connaissance.
effet halo définition
Dans notre système de représentations, la perception d’une personne, d’un groupe ou d’une chose est influencée par l’opinion que l’on a initialement pour son environnement (par exemple : famille, groupe, entreprise, ethnie, pays. auxquels elle appartient) ou pour l’une de ses caractéristiques. Il s’agit d’un biais cognitif fondé sur l’interprétation sélective d’informations qui va dans le sens de l’impression première ressentie sur son environnement ou sur une de ses caractéristiques et qui cherche à la renforcer.
Biais cognitif définition
Un biais cognitif est une forme de pensée qui met en oeuvre de manière systématique des distorsions dans le traitement de l’information. Il correspond à une sorte de court-circuit mental qui assure un traitement immédiat des informations internes (notre mémoire) ou externes (notre environnent) dont nous disposons à un moment donné pour faire le plus rapidement possible une analyse de la situation qui soit cohérente avec notre vision du monde. Notre cerveau interprète notre environnement en le simplifiant et forme des stéréotypes, des préjugés, des croyances, des catégorisations qui servent à ordonner le monde qui nous entoure.
Les biais cognitifs qui sont, en général, inconscients peuvent conduire à des erreurs de perception, de raisonnements, d’évaluation, d’interprétation logique, de jugement, d’attention etc., à des comportements ou à des décisions inadaptés. Ils font l’objet de nombreuses recherches dans les sciences cognitives, psychologie cognitive et psychologie sociale notamment. Ces études ont permis d’identifier plusieurs dizaines de biais cognitifs dans de nombreux domaines : mémorisation, perception, statistiques, logique, causalité, relations sociales, etc
système d’appréhension et de perception de l’élève singulier (3)
(l’appréhension de l’élève par lenseignant?)
- attitude face au travail
- valeurs cognitives + effet halo
- Conformité aux règles sociales et morales
expliquer la recherche solari 1981 (pas le résultat)
Comparaison de jugements portés par des maitresses d’école maternelle sur des élèves et observations précise des comportements de ces mêmes élèves dans 2 activités (écriture vs peinture) qui diffèrent selon:
a) le degrès de la complexité de la conduite
b) l’exigeance concernant la production
c) les conditions de la réalisation de la tache
d) la valence scolaire de l’activité
explique le résultat de la recherche de solari (1981)
les jugements de maîtresses n’ont de liens qu’avec les indices de comportements observés à valence scolaire la plus forte, de plus elles s’appuient davantages sur des indices comportementaux à forte valeur expressive, sans que ces indices n’aient forcéement une valeur fonctionnelle du point de vue de la mobilisation à la tache.
nome les prototypes d’éleves dans l’apprehension de l’élève par l’enseignant (4)
a) actif, sociable et intelligeant
b) appliqué, discipliné
c) passif, replié sur lui même et peu doué
d) peu travailleur, dissipé et indiscipliné
qu’influence le milieu social et la relation pedagogique de l’élève (3)
- Différence dans l’attribution des causes d’un échec
- effet pygmalion
- inégalité de traitement avec des contradictions. La pratique est à volonté égalisatrice, mais les interactions demeurent séléctives
effet pygmalion définition
le fait de croire en sa réussite augmente ses probabilités de succès
Qu’influence la representation des élèves?
8
- processus produit
- processus médiateur
- cognition sociale
- perception de leur enseignant
- perception du comportement de leur enseignant
- traitement différentiel de l’enseignant
- perception de soi
- effet pygmalion
processus médiateur définition
représentation des éleves
une meilleure compréhention des processus d’enseigmenet et des possibilités de s’ameillorer peuvent emerger lorsqu’on examine de quel manière les einseignants et l’environnement d’apprentissage est vécu et interprété par les élèves
cognition sociale définition (représentation des éleves)
- connaissance des autres
- connaissance de soi
- connaissance des processus psychologiques
- connaissance des systèmes sociaux
Perception de leur enseigant
représentation des éleves vers 7-8 ans
enfants modifient leurs descritions de personnes ( de caracteristiques observables à indices plus abstraits)
Perception de leur enseigant
représentation des éleves vers 10 - 12 ans
les élèves perçoivent p. ex l’enseignant efficace comme chaleureux, amical et soutenant, qui commande clairement, qui motive et tient une certaine discipline, qui est fléxible dans les procédures
de quoi dépend la perception de leur enseigant
(représentation des éleves en général)
(2)
les perceptions positives des entiments de l’enseignant envers l’élève dépend de l’estime de soi, de la réussite te des comportements desirables en classe.
dans certains cas les différences individuelles influencent la perception, mais peu d’études sur le sujet
en quoi le traitement differentiel de l’enseignant peut aider les élèves?
Le traitement différentiel de l’enseignant peu informer les élèves sur les attentes et modifier leurs propres attentes et leur motivation.
divers études montre que les élèves dans la classe perçoivent les comportaments de l’enseignant envers un “bon” élève comme ayant des attentes élevés, une demande scolaire importante et des privilèges, et envers un “mauvais” comme ayant moins de chances de démonter ses connaissances, mais faisant l’object de plus de vigileance
quelles sont les implications du traitement différentiel de l’enseignant? (5)
- important pour les enseignants de connaitre le monde de l’école à partir de la perspective des élèves
- Les interventions de l’enseignant peuvent parfois échouer à cause d’une mauvaise compréhension des intentions du maître de la part des élèves
- les élèves sont en général très sensibles aux comportements différentiels de l’enseignant.
- en dirigeant leur attention vers la perception des élèves, les enseignants peuvent utiliser les interpretations des élèves pour ameillorer leur efftcacité
- Il est difficile d’affiremer qu’une vision de la classe est plus pertinante qu’une autre
perception de soi (4)
- image propre
- image sociale
- effet pygmalion
- situation de référence
image propre définition
moi perçu + moi déclaré
description de soi faite par le sujet de son propre point de vue
se constutue pour beaucoup à partir des infos venants d’autrui, par le biais de la signification que lui porte le sujet. Cette construction ne se fait pas seulement “à partir de” mais aussi “par rapport” et “en réaction à”, ainsi qu’en ftc des besoins et motivations d’un moi autonome
image sociale définition
description de soi-même donnée par le sujet lorsqu’il se place du point de vue d’autrui
dans la perception de soi (des élèves) explique ce qu’est la “situation de référence”
les situation de référence est celle privilègiée, à partir de laquelle le sujet construit ses jugements (p.ex une situation scolaire pour la caractéristique “intelligeance”)
explique la recherche de Gilly, Lacour et Meyer (1971-2)
60 garçons (30 mauvais et 30 bons) sont placés dans 6 classes
en entretient individuel ils se notent sur 12 caracteristiques à plus ou moins forte valence scolaire, du point de vue de 5 personnes différentes (5images)
quels sont les résultats de la recherche de 1971-2 de Gilly, lacou et Meyer?
les enfants qui reussissent bien à l’école donnent d’eux même une image propre beaucoup plus positive que les autres (particulièrement dans les caractéristiques à forte implication scolaire, mais qui s’étend également à tout un ensemble de valeur dont le travail scolaire dépend peu ou pas du tout.
on constate que chez les bons seule la caracteristique beauté est différente
Chez les mauvais les images sociales parentales sont en général les plus favorables, alors que celle du maître est la moin favorable, les difference sont en general plus grandes pour les caracteristiques à faible valence scolaire
en te basant sur la recherche de 1971 de lacour, Meyer et Gilly explique ce qu’implique une difference entre image propre et image sociale
lorqu’on observe une difference significative entre image parentale et image du maître, l’image propre se trouve deux fois entre deux (memoire et force); dans les deux cas, l’image propre correspond à l’image du maître (perceverence et beauté); dans un cas elle correspond à celle des parents (autonomie-débrouillardise)
qulles conclusions peut t on tirer de la recherche de Gilly, lacour et Meyer (1971)?
(5)
- assez grande cohérence de la representation de soi
- degré d’accord nettement moins marqué chez les mauvais que chez les bons élèves
- Bien que les images des mauvais élèves soient moins favorables, ils se présentent sous un jour plus favorable par l’intermediaire des images sociales parentales que par l’intermediaire de celle du maître
- les bons élèves donnent d’eux-même une représentation très unifiée
- la dysharmonie chez les mauvais contribue à entretenir un certain doute sur la valeur de soi
Explique l’expérience de Rosenthal
20 étudiants en psychologie sont pris comme expérimentateur et doivent recolter des infos auprès de sujets.
Procédure: monter à chacun de ses sujets une série de 10 photos- portraits, chaque sujet devant indiquer le prognostique de réussite ou d’echec avec une npte pouvant aller de -10 à +10.
à la moitié fut dit que le résultat “bien établi” est de +5 à l’autre 1/2 ont a dit -5
résultat de l’expérience de Rosenthal (6)
- Les scores vont clairement dans le sens des attentes
- les experimentateurs qui obtiennent le plus grand
effet dans les prophéties sont ceux qui - aux yeux de
leurs sujets - ont un rand plus élevé et conduisent
leurs expériences d’une façon plus professionnelle et
plus compétante - les processus de communication est très subtile
- pas d’effet d’apprentissage chez les sujets
- Ameilloration des “capacités” de l’expérimentateur
- si les expérimentateurs sont fortement encouragés à
influencer les résultats, le phénomène inverse se
produit (“repli en arrière”)
apprentissage des labyrinthes Rosenthal et fode (1963)
explique l’expérience et le résultat
60 rats, 12 expérimentateurs, labyrinthe en T (avec nourriture dans le bras le plus sombre)
Résultats: les rats étiquetés comme les plus doués le deviennent effectivement (les experimentateurs les concidèrent comme plus intelligeants, plus agréables et plus faciles)
apprentissage des labyrinthe de Ingraham et Harrington (1966)
explique l’expérience et le résultat
Expérimentateurs avertis que les rats pouvaient présenter quelques différences génétiques (rats plus aptes) mais qu’ils devaient en chercher la confirmation dans leurs expériences
Résultats: résultats suppérieur chez les rats dont les expérimentateurs l’attendait effectivement
apprentissage des labyrintes
Burnham (1966)
expérience + résultat
23 rats, 23 expérimentateurs, labyrinthe en T
La moitié des rats ont subi une lésion du cerveau par ablation du cortex, l’autre moitié n’a subie qu’une opération fictive. les rats sont étiquetés en 4 groupoes. la moitié correctement l’autre non. les expériementateurs doivent découvrir les effets des lesions sur le dressage
résulutat:
- rats indemnes et étiquetés comme tels : meilleure performance
- rats avec lésion (étiquetés correctement ou non) : l’attente ne change rien
- rats indemnes étiquetés avec lésion : résultats similaires que les vrais rats avec lésion
explique l’expérience de Oak school
école publique élementaire
“pré-test pour prognostiquer l’epanouissement des élèves” (en réalité juste un test d’apptitude générale)
20% des élèves sont, de manière aléatoire désigniés comme “démarreurs
6 mois plus tard on mesure l’évolution (avec le meme test)
résultats de l’éxpérience de Oak school
groupe contrôle: +8.4
groupe “démarreur”: +12.2
=> les jeunes enfants sont plus malléables, leur réputation est moins établie dans l’école et ils sont plus sensibles à leur enseignant.
=>différence entre les genres: les filles s’epanouissent d’avantages dans le domaine du raisonnement et les garçons dans le domaine verbale.
=>différence selon le groupe (minoritaire ou non): les enfants du groupe minoritaire sont plus avantagés par les préjugés favorables que les autres
=> les grains sont d’autant plus grands que les élèves se situent dans la moyenne au niveau du text d’aptitude (potentiel à developper) et l’avantage des préjugés perssistent deux ans plus tard
=> les démarreurs ont été concidérés par leurs enseignants comme:
- plus susseptibles de réussir plus tard
- plus interessants
- doués d’une plus grande curiosité intellectuelle
- plus heureux
=> de plus ils se referent plus souvent à ce que ces élèves savent faire et n’ont pratiquement pas de problème de discipline
quel était le comportement à légard des élèves “démarreurs” dans l’expérience de l’Oak school?
il était:
plus chaleureux
observation avec plus d’attention
renforcements plus rappides et plus pertinants
meilleure communication ( plus compétant, aimable, etc.)
qu’ont généré les comportement des enseignats dans l’éxpérience de l’Oak school auprès des élèves “démarreurs”?
ils ont fait que les élèves:
- renforcent leur confiance en eux
- augmentent leur motivation
- modifient leur manière d’apprendre
- ameillorent par conséquence leurs résultats
recherche
jamieson, Lydon, Stewart et Zanna (1987)
explique
64 sujets issus de 4 classes, 1 enseignante
après la première heure de cours, mesure de la perception des compétences de l’enseignante. analyse des données (pas de différence significatives entre les classes)
assigniation de deux classes aux conditions d’attente positives
manupulation lors de l’entretiens. on informe que les autres élèves et l’expérimentateur perçoivent l’enseignante comme très capable.
l’enseignante n’est pas au courant du statu des classes
à la fin de l’entretiens les élèves répondent une nouvelle fois au questionnaire
On constate alors des difference par rapport à la première évaluation
mesures:
comportement non-verbal de l’élève
performance de l’élève:
- note finale basée sur les travaux, la participation, l’effort, l’absentéisme, etc
- note moyenne de travaux (basées sur l’evaluation “subjective” de l’enseignante et des test standardisés)
résultats de l’expérience de jamieson, lydon, stewart et zanna (1987)
Les différences entre les notes finales sont plus attribuables aux différence entre loes test objectifs que subjectifs.
dans la phase de débriefing, l’enseignante revèle avoir perçu les classes de maniere differente
Conclusion:
_ les attentes des eleves ont un impact sur leur comportement non-verbal et sur leurs performances dans une situation réelle
- plusieurs processus directs et indirects
- généralistation difficile à faire
attribution définition
il s’agit de l’attribution (à soi-même ou à autrui) des raisons d’un comportement que le sujet ne se limite pas à décrire généralement
recherche
schachter et singer (1962)
explique
espérience annoncée comme portant sur les capacité visuelles des étudiants après injection de vitamine "suproxin". 3 groupes (a) information correcte, (b) information incorrecte et (c) aucune information les sujets vont ensuite etre mis en contact avec des referents, c'est à dire des personnes supposés avoir pris une dose de suproxin qui vont soit etre euphoriques vs en colère
explique l’erreur fondementale d’attribution
le biais est une surestimation des caractèristiques personnelles au détriment des influences situationelles. toute situation prescrit certains rôles qui ont une influence importante sur le comportement du sujet
** recherche de ross et amabile ** (1977)
explique + résultats
les sujets sont répartis aléatoirement entre questionnaires et questionnés
résultats:
les questionneurs se jugent plus intelligents que les questionnée… ces derniers partagent le meme avis en oubiant les contraintes dues au rôle imosés
explique la difference entre acteur et observateur
l’acteur juge plus son action par rapport à d’autres actions passées (ses propres actions) alors que l’observateur compare l’action aux actes d’autres personnes et à ses propres actes. ainsi, l’acteur risque de donner plus de poids aux attributions situationnelles alors que l’ôbservateur en donnera plus aux attributions dispositionnelles.
en tant qu’observateur, le sujet a plus tendance à étiqueter les autres de manière catégorielle. cette information à caractère dispositionnel est relativement durable et difficile à infirmer par la suite
relations enseignant élève au niveau sociologique
rapport pédagogique = rapport de domination
l’école a pour but d’adapter l’enfant au milieu social dans lequel il est destiné à vivre. l’enseignant est donc le représentant légitime de la socièté
La classe sociale privilégiée détient la culture et les outils fondementaux (savoir, savoir-faire et savoir-dire) et vise donc - par le biais de l’école- la concervation du pouvoir. Le système scolaire reproduit les inégalités sociales et garentit la concervation de la hierarchie sociale. l’enseignant est un rouage fondemental de cette reproduction
relations enseignant élève, rôle et statu de l’enseignant
Statu: position par rapport aux autres
rôle: structure des comportements en vue d’atteindre un but (type de comportement requis)
les nouvelles pedagogies ont tenté de modifier ce rapport hiérarchique: aucun changement + perception de manipulation
bien que le statu de l’enseignant et des élèves ne puissent être égaux ou inversés, tout dépend de la manière dont l’enseignant parciculier conçoit son statut et perçoit celui des élèves
la pratique d’enseignenment est un travail relationnel et l’enseignant doit assumer la dynamique des interactions qui comprennent de la reciprocité, de la domination, de la dépendance et des conflits
il y a un lien étroit entre comportements d’empathie, de congruence et conciderations positives et de la réussite des élèves
le contexte dans lequel l’interaction a lieu risque d’influencer sur l’interaction et diminuer conséquement l’impact de la personalité de l’enseignant. le rôle que prend l’enseignant en classe va donc etre catalyseur des interactions
relations enseignant élève , rôle et statu de l’enseigant en formation adulte
situation un peu différent (reversibilité des rôles), mais grande similitudes (hiérarchie)
congruence
La congruence, c’est montrer un alignement cohérent entre ce que nous ressentons et les actions que nous menons, les idées que nous avons et les paroles que nous formulons. Pour faire simple et connu, c’est dire ce que l’on fait et faire ce que l’on dit.
dans les relations enseignant - élève de quoi dépend l’autorité
L’autorité depend essentiellement de la crédibilité du sujet qui la détient.
1. accepter la contestation
2. être perseverant
3. être juste
4. reconnaitre ses erreurs
5. avoir une consistance
6. ne pas être rigide
7. tenir ce qu’on promet
il faut donc meler exigeances et bienveillence
l’enseignant apprécié est celui qui est compétant et cohérent.
chercher à séduire ne permet pas le respect de l’autre
=> asspect repressif massivement présent, meme dans le contexte acctuel. On peut bien essayer de cacher, de légaliser, de légitimer l’autorité, son arbitraire ne cesse de ressortir et de se manifester
=> facilité de penser que l’enfant “normal” a envie d’aller à l’école, être discipliné, de fournir des efforts et d’être évalué. ceci est bien evidement un leurre et l’autorité est donc indispensable pour pousser les élèves à travailler, avec une pression bien dosée
dimension affective pour évaluer et juger leurs maître (relations enseignant - élève)
- Les jeunes élèves mettent en avant le rôle affectivo-
relationnel - les plus agées commencent à privilégier la dimension
cognitive de la relation pédagogique (sans rejeter
l’asspect affectif) - les enfants en difficulté mettent en avant le coté affectivo-.relationnel
dans les “mesure” des relation dans les relations entre maître et élève quels sont les principaux résultats des recherches? (10)
- fort degré d’accord dans la perception des élèves au
sujet d’un enseignant - les plus jeunes élèves cherchent plus d’autorité que
les paires plus âgés - peu d’accord entre élèves et enseignant, d’autant
plus s’il s’agit de “moins bon enseignants - représentation similaire du “profile idéal
- perception des élèves moins favorable après leur
passage au secondaire - dans les degrés plus élevés, plus de coopération et
responsabilisation - Filles: perception généralement plus positive de
l’enseignant que les garçons. - Variation du degrès d’autorité selon les matières
(langue plus math perçu + autoritaires) - réussite des éleves en lien avec des profils élevés
dans les dimensions sévérité et directivité
10.Attitude positive des élèves en lien avec des profils
élevés dans “directivité”, “soutiens”, “empathie” et
“responsabilisation”
11.Peu de differences dans les profils perçu par les
éleves selon leur culture
cite 3 avantages et trois desavantages de “mesurer” les relations entre enseignant et élève
+ validité des perceptions des élèves
+ valeur accordé aux perceptions des élèves
+ complémentarité des regards
+ incitation à la réflexivité
+ moyen de se rassurer
+ repositionnnement par rapport aux élèves
- de simples outils
- absence d’objectivité
- reticences des enseignants
-> doute sur la capacité des élèves à donner un
jugement valide
-> concour de popularité
-> place importante à l’élève et à son affectivité
dans les relation élève maître quelle est l’importance du feed-back?
La rétroaction comporte au moins une de ces deux composante:
- composante appréciative - affective: dont l’objet et d’agir sur les émotions de l’élève afin d’exercer une influence dur son comportement
- composante informationnelle et cognitive: apporte des reperes sur la pertinance, la qualité ou la richesse de ses productions
dans les relations maître élève quels sont les rétroactions possibles lors d’un feedback?
rétroaction positives: - encourager - valoriser - récompenser - adhérer rétroactions négatives destructives: - établir une réputation - prendre à témoin - culpabiliser - présumer un manque de volonté - menacer rétroactions "négatives" constructrices: - viser l'effort - viser les conséquences de l'effort - être persuadé de la réussite - soutenir - valorier le potentiel - valoriser les efforts
Le feed-back doit renseigner de manière juste sur la performance (sans mentir)
pourquoi y a t il des diversités de relations pedagogiques? (5)
- exigeances institutionnelles
- programmes déterminés
- en lieu fermé et “privé”
- Gestion individuelle
- formation continue
quelles sont les dérives des relations pédagogiques? (5)
- volonté des toute puissance
- comportement fonctionant comme allant de soi:
influence et manipulations - accusation et devalorisation
- qualifications et jugement peremptoires, précipités
et inconditionnels: phrases assassines, paroles de
mépris et de violence - abus de pouvoir: fuite, agression, censure, etc
- débordement de l’ego: rapport de force, attitudes
paranoîaques - relations trop affectives, aliénantes, génératrices de
dépendance (entrave à l’autonomie)
quels sont les dilèmes de la communication en classe?
5
- dans la prise de parole des élèves, comment
ménager une certaine équité sans blesser les uns et
faire violence aux autres, sans interferer avec les
règles du jeux social - Dans la libérté d’expression comment susiter les
interactions sans trop s’exposer au bavardage? - Dans la spontanéité des élèves, comment contrôler la
prise de parole sans stériliser les échanges - comment pratiquer l’humour en classe pour détendre
l’atmosphère sans s’exposer aux risques de
débordement - Au sujet de la vie priver, comment faire entrer la vie et
le vécu des élèves sans attenter à la sphère intime
des élèves? - Au niveau de l’affection, comment manifester auprès
des élèves sans qu’elle risque de prêter à une
mauvaise interpretation
comment ameillorer son autorité à l’école? (5)
- noter les problèmes
- auto-observer (utilisation d’une caméra)
- Avoir une bonne hygiène de vie
- se préparer psychologiquement avant les cours
- respecter les élèves
- avoir des stratégies préventives pour éviter les
débordements - aller à la rencontre des élèves et se mettre à leur
portée - donner un sentiment de justice
- etre constructif dans les interactions
- croire au potentiel des élèves
- inclure les parents
- développer des projets
explique l’hypothese de la téorie de l’équilibre
Il ne s’agit plus de savoir si la perception d’autrui est plus ou moins exacte, mais ce qu’il se passe quand l’autre a connaissance de la perception dont il est l’object
L’hypothèse est que l’information en retour donné à l’un des partenaires aura un effet benefique sur ses relations avec l’autre.
Globalement, la théorie de l’équilibre postule que chaque individu a un besoin de cohérence cognitive. Lorsque cette cohérence n’est plus assurée le sujet va tendre à retrouver un état d’équilibre.