Quiz 12 syst. somatosensoriel: applications cliniques Flashcards
Lequel ou lesquels sont VRAI?
A.Les centres supérieurs peuvent moduler la transmission de l’input nociceptif.
B. Les personnes ayant la fibromyalgie sont parfois plus sensibles à une diversité de stimuli de l’environnement (p.ex. le bruit, la lumière).
C. Le traitement rapide d’une douleur aigue peut prévenir l’installation de mécanismes de sensibilisation centrale et ainsi diminuer le risque de développement d’une douleur chronique.
D. La terme nociception est un synonyme de douleur.
A, B & C
Lequel ou lesquels sont FAUX?
A. Des sensations électriques de fourmillement et/ou de brûlure intense signalent souvent une douleur de type neuropathique.
B. L’hyperalgésie est une perception de douleur évoquée par un stimulus normalement non douloureux.
C. Les quatre étapes de la nociception sont la transduction, la transmission, l’interprétation et la perception.
D. La douleur chronique est un problème répandu, touchant environ 5-7% de la population adulte au Québec.
B, C, & D
Lequel ou lesquels sont VRAI?
A. Environ 20% des personnes amputées ont des sensations de membre fantôme.
B. La douleur neuropathique apparaît quand il y a une lésion ou une maladie du système nerveux somatosensoriel.
C. La co-occurrence d’un traumatisme crânien avec un trauma musculosquelettique réduit le risque de développer une douleur chronique en perturbant le traitement de l’information nociceptive.
D. L’intensité de la douleur perçue par une personne est un reflet direct du nombre de nocicepteurs activés.
B
Lequel ou lesquels sont FAUX?
A. Selon la théorie du portillon, il est possible de réduire la transmission de l’input nociceptif en activant les mécanorécepteurs de bas seuil.
B. La substance grise péri-aqueducale est impliquée dans les mécanismes descendants de contrôle de la douleur.
C. La matrice de la douleur est un terme utilisé pour décrire les structures cérébrales qui traitent et régulent l’information nociceptive.
D. Pour qu’on parle de douleur chronique, une personne doit avoir ressenti la même douleur en continu durant au moins 3 mois.
D
Lequel ou lesquels sont VRAI?
A. Un client avec un syndrome du tunnel carpien décrit des sensations des fourmillements et de picotements au niveau des doigts en l’absence de stimulation. Cette description correspond à de l’allodynie.
B. La douleur fantôme chez certaines personnes amputées s’explique par l’absence de réorganisation corticale suite à l’amputation. Lorsque le cortex se réorganise pour permettre l’utilisation de la région correspondant au membre amputé, il n’y a habituellement pas de douleur qui s’installe.
C. Le syndrome de douleur régionale complexe survient généralement suite à un trauma, parfois mineur, la douleur étant disproportionnée en intensité et en durée par rapport à l’atteinte initiale (i.e. persiste même si la lésion a bien guéri).
D. Des sensations référées au membre fantôme peuvent être évoquées par le toucher d’autres parties du corps.
C & D
Lequel ou lesquels sont FAUX?
A. L’insensibilité congénitale à la douleur réduit l’espérance de vie.
B. La prévalence de fibromylagie, de maladie arthritiques et de syndrome de douleur régionale complexe est plus élevée chez les femmes que chez les hommes.
C. La majorité des personnes souffrant de lombalgie présentent des anomalies au niveau de la colonne vertébrale visibles par imagerie par résonnance magnétique.
D. Des atteintes du schéma corporel sont parfois présentes chez les patients présentant des douleurs chroniques.
C
Lequel ou lesquels sont VRAI?
A. D’un point de vue mécanistique, on reconnaît trois grands types de douleur : la douleur nociceptive, la douleur neuropathique et la douleur multiphasique.
B. On peut qualifier de douleur neuropathique périphérique une douleur qui résulte d’une atteinte de la moelle épinière, comme par exemple les douleurs sous-lésionnelles chez une personne paraplégique.
C. La modulation de l’input nociceptif inclut de nombreux mécanismes endogènes inhibiteurs et facilitateurs.
D. On parle de sensibilisation centrale lorsqu’une baisse du seuil de décharge du neurone de 2e ordre de la voie nociceptive due à une altération de sa perméabilité membranaire résulte en un accroissement de la transmission de l’influx nociceptif.
C & D
Lequel ou lesquels sont VRAI?
A. Le cortex frontal, l’insula et le cortex cingulaire antérieur sont des structures impliquées dans la perception de la douleur.
B. La substance grise péri-aqueducale est impliquée dans les mécanismes descendants de contrôle de la douleur.
C. Il est possible de percevoir de la douleur sans qu’aucun stimulus nociceptif ne soit présent.
A, B & C