Questions Livre Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. L’une des raisons qui poussent les gens à vouloir bénéficier d’une thérapie psychodynamique est leur besoin de trouver en la personne du thérapeute un « témoin » qui va reconnaître ce qu’ils ont traversé et qui va écouter leur histoire.

A

Vrai

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2
Q

Vrai ou faux. Bien qu’importante en thérapie, l’alliance thérapeutique reste tout de même moins cruciale que les techniques utilisées dans le cadre du traitement pour expliquer les résultats positifs ou négatifs de la thérapie.

A

Faux

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3
Q

Vrai ou faux. Lorsqu’un patient est sceptique face à la thérapie et face aux bénéfices qu’il pourra en retirer, mieux vaut ne pas tenter de thérapie.

A

Faux

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4
Q

Vrai ou faux. Le principal mécanisme d’action de la thérapie est de réussir à déterrer des éléments enfouis du passé.

A

Faux

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5
Q

Vrai ou faux. Gabbard suggère au thérapeute débutant, lorsque le patient lui pose des questions ou lui fait des commentaires qui le déstabilisent, de demeurer silencieux pour ne pas risquer une réponse qui froisserait le patient et nuirait ainsi à l’alliance thérapeutique.

A

Vrai

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6
Q

Quel énoncé parmi les suivants ne correspond pas aux idées de Gabbard ?
a) Le thérapeute a le droit d’être discret sur sa vie privée
b) Révéler sa religion est généralement peu efficace en psychothérapie
c) Le thérapeute pourrait révéler son homosexualité s’il pense que cela pourrait
favoriser le processus thérapeutique
d) Retourner au patient ses questions (« et vous, qu’en pensez-vous ? ») stimule
généralement l’exploration et la réflexion chez le patient

A

d) Retourner au patient ses questions (« et vous, qu’en pensez-vous ? ») stimule
généralement l’exploration et la réflexion chez le patient

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7
Q

Quel énoncé correspond de plus près à la pensée de Gabbard à propos du cadre et des limites ?
a) Ils constituent des règles claires qui doivent être respectées à la fois par le patient et le thérapeute
b) Ils sont le plus souvent des sources de tensions entre le patient et le thérapeute
c) Ils créent un cadre sécuritaire et rassurant pour l’exploration des pensées,
sentiments, perceptions, etc.
d) Ils ne devraient jamais être dépassés par le thérapeute

A

c) Ils créent un cadre sécuritaire et rassurant pour l’exploration des pensées,
sentiments, perceptions, etc.

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8
Q

Gabbard appelle ____________________ des ruptures sérieuses et répétitives du cadre thérapeutique, qui sont susceptibles de causer du tort au patient et à la thérapie.

a) Franchissements (ou dépassements) des limites
b) Infractions (ou violations) aux limites
c) a et b sont équivalents pour Gabbard

A

b) Infractions (ou violations) aux limites

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9
Q

Vrai ou faux. Des accolades régulières avec le patient sont un bon moyen de fortifier l’alliance thérapeutique auprès de patients ayant connu des carences affectives dans leur histoire personnelle.

A

Faux

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10
Q

Vrai ou faux. Gabbard recommande la prise de notes durant les entretiens de thérapie, car l’oubli d’une information importante pourrait faire réagir négativement le patient et l’inciter à mettre fin au suivi.

A

Faux

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11
Q

Résumez en deux lignes maximum pourquoi, selon Gabbard, il pourrait être risqué et contre- thérapeutique de ne pas demander des honoraires au patient.

A

Le patient pense qu’il a enfin trouvé cette figure imaginaire idéalisé (parent). Le patient pense que la thérapie n’a pas de valeur.

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12
Q

Quelle motivation inconsciente, selon Gabbard, pourrait inciter un patient à donner un cadeau à son thérapeute ?

a) Le désir de rendre quelque chose au thérapeute en échange des services reçus
b) Le désir de soudoyer le thérapeute pour s’attirer ses bonnes grâces
c) Un désir d’éviter la colère ou l’agressivité du thérapeute
d) Le désir d’éviter d’aborder certaines questions difficiles
e) a, b, c et d sont toutes des motivations inconscientes qui pourraient inciter un patient à donner un cadeau à son thérapeute

A

e) a, b, c et d sont toutes des motivations inconscientes qui pourraient inciter un patient à donner un cadeau à son thérapeute

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13
Q

Vrai ou faux. Idéalement, le thérapeute ne devrait jamais avoir de jugement intérieur sur son patient.

A

Faux

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14
Q

Le principe ______________________ invite le thérapeute à éviter une gratification excessive des besoins et désirs transférentiels du patient.

a) De neutralité technique
b) De non-intervention
c) D’anonymat
d) D’abstinence

A

d) D’abstinence

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15
Q

Quel serait selon Gabbard et Wilkinson (1994) l’état d’esprit optimal du thérapeute ?

a) Résister à être aspirés dans le monde du patient et conserver leur capacité à observer ce qui se passe en eux
b) Se permettre d’être aspirés dans le monde du patient tout en conservant leur capacité d’observer ce qui se passe en eux
c) Résister à être aspirés dans le monde du patient et suspendre temporairement leur capacité à observer ce qui se passe en eux pour éviter toute distraction

A

b) Se permettre d’être aspirés dans le monde du patient tout en conservant leur capacité d’observer ce qui se passe en eux

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16
Q

Vrai ou faux. La meilleure façon de présenter une interprétation est de le faire de façon tentative, comme une hypothèse (« je me demande si… »), plutôt que comme une certitude qu’on énonce au patient.

A

Vrai

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17
Q

Résumez, en une ligne maximum, la ligne directrice que propose Gabbard pour indiquer à quel moment on devrait interpréter le transfert.

A

On devrait interpréter le transfert lorsqu’il est une résistance pour le processus thérapeutique.

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18
Q

Le terme ____________________ désigne une intervention utilisée par le thérapeute pour attirer l’attention du patient sur quelque chose qu’il évite.

a) Observation
b) Confrontation
c) Clarification
d) Validation empathique

A

b) Confrontation

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19
Q

Dire à un patient « vous avez tous les droits de vous sentir blessé quand quelqu’un vous traite comme ça » serait un bon exemple…

a) D’une interprétation
b) D’une confrontation
c) D’une validation empathique
d) D’un conseil

A

c) D’une validation empathique

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20
Q

Vrai ou faux. La recherche montre que les caractéristiques réelles (sexe, âge, apparence, ethnicité, etc.) du thérapeute n’ont que peu d’influence sur le développement du transfert.

A

Faux

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21
Q

Vrai ou faux. La recherche (p. ex., Mitchell, 1997) montre que les interprétations sont les interventions qui ont le plus d’impact sur les patients et dont ils se souviennent le plus.

A

Faux

22
Q

Quel objectif, parmi les suivants, ne fait pas partie de ceux de la psychothérapie psychodynamique ?

a) La résolution des conflits internes
b) La recherche d’une « vérité » ou d’une authenticité à propos de soi
c) Des relations approfondies
d) Un fonctionnement réflexif renforcé
e) Renoncer à trouver des selfobjects pour satisfaire nos besoins

A

e) Renoncer à trouver des selfobjects pour satisfaire nos besoins

23
Q

Vrai ou faux. Il est généralement profitable, tant pour le patiente que pour la thérapie, que le thérapeute se montre insistant sur la réalisation des objectifs thérapeutiques.

A

Faux

24
Q

Laquelle des caractéristiques suivantes ne correspond pas aux patients dits « introjectifs » selon la définition de Blatt (1992) ?
a) Ils sont essentiellement préoccupés par le développement de leur Moi
b) Ils considèrent les relations intimes comme secondaires
c) Le déni, le déplacement et le refoulement sont leurs principales défenses
d) Les changements thérapeutiques surviennent principalement grâce à l’introspection
acquise grâce aux interprétations

A

c) Le déni, le déplacement et le refoulement sont leurs principales défenses

25
Q

Résumez, en trois lignes maximum, la principale différence entre l’introspection et la rumination.

A

Introspection: examiner les expériences dans le passé et dans le présent en adoptant une attitude de curiosité, d’exploration extérieur et de possibilité de changement dans le futur
Rumination: considérer le passé avec une attitude de rejet
1.Tendance à favoriser un sens de liberté face au contraire émotionnelle
2.tendance à continuer d’emprisonner le patient dans ces contraintes et de maintenir l’angoisse

26
Q

Vrai ou faux. Selon la contribution des neurosciences, les représentations de soi et des autres ne sont pas des « choses » conservées dans la mémoire mais sont des connexions entre des unités mentales (idées, souvenirs, sensations et affects) qui s’activent ensemble sous certaines conditions.

A

Vrai

27
Q

Vrai ou faux. La recherche a bien démontré que les interventions les plus significatives étaient celles qui ciblaient les processus « profonds » ou inconscients, alors que les processus de pensée conscients sont nettement moins importants.

A

Vrai

28
Q

Vrai ou Faux. D’après Kohut et les psychologues du self, lorsqu’un patient se présente en thérapie avec une résistance, il est important de prendre de front cette résistance et de la confronter rapidement afin de trouver quelle est la signification pulsionnelle agressive ou sexuelle derrière elle.

A

Faux

29
Q

Comment l’association libre permet-elle de favoriser la prise de conscience chez le patient ? Soyez le plus bref et spécifique possible.

A

Permet d’élaborer une représentation des réseaux d’association implicite au patient

30
Q

Nommez un exemple de ce que Gabbard entend lorsqu’il affirme que l’un des facteurs thérapeutiques liés à la relation patient-thérapeute est que le patient peut intérioriser certaines attitudes émotionnelles du thérapeute.

A

Patient peut intérioriser des stratégies conscientes concernant la réflexion sur lui-même (deviens son propre thérapeute)

31
Q

Vrai ou faux. L’utilisation de stratégies secondaires (comme la suggestion ou la révélation d’informations personnelles par le thérapeute) n’a pas sa place en psychothérapie psychodynamique et devrait être réservée à d’autres approches.

A

Faux

32
Q

Quel énoncé à propos de la résistance en thérapie est vrai ?
a) Elle devrait être considérée comme un frein au traitement selon Freud
b) Le travail clinique devrait consister à lever les résistances pour permettre aux souvenirs
de remonter à la surface
c) Elle empêche d’avoir un éclairage sur les envies, fantasmes, conflits et désirs
d) Devant un patient qui résiste en se montrant silencieux, il est préférable d’insister
auprès de lui pour qu’il nous dise ce qu’il a en tête
e) Tous les énoncés précédents sont faux

A

c) Elle empêche d’avoir un éclairage sur les envies, fantasmes, conflits et désirs

33
Q

Résumez, en deux lignes maximum, la principale différence entre l’acting in et l’acting out selon Gabbard

A

Acting in: dans thérapie

Acting out: dans l’extérieur de la thérapie

34
Q

Vrai ou faux. Certaines formes d’acting out de la part du patient (p. ex., conduire en état d’ébriété) doivent être dénoncées vigoureusement par le thérapeute.

A

Vrai

35
Q

Vrai ou faux. Les commentaires lancés par le patient sur le pas de la porte, ou au moment où il s’apprête à quitter la séance, sont généralement insignifiants pour la thérapie et le thérapeute ne devrait pas trop leur prêter d’attention.

A

Faux

36
Q

Vrai ou faux. Un mode de résistance couramment observé est lorsque les patients prétendent avoir été « guéris » rapidement en thérapie, avant que les principaux enjeux n’aient été complètement explorés.

A

Vrai

37
Q

À la lumière du chapitre de Gabbard, quelle serait la meilleure stratégie qu’un thérapeute puisse adopter pour travailler avec le patient ses retards aux séances ?

a) Si un patient habituellement ponctuel est en retard à une séance, le thérapeute devrait immédiatement aborder la situation car elle indique presque assurément la présence d’une résistance
b) Face à un retard, le thérapeute devrait finir la rencontre plus tard pour permettre au patient de bénéficier du temps prévu, un temps pour lequel il paie
c) En cas de retard, le thérapeute devrait tout de même terminer la séance à l’heure prévue et si le patient réagit avec colère à la décision du thérapeute, explorer avec lui cette habitude qu’il a d’être en retard
d) a et c sont vrais
e) Aucune de ces réponses

A

c) En cas de retard, le thérapeute devrait tout de même terminer la séance à l’heure prévue et si le patient réagit avec colère à la décision du thérapeute, explorer avec lui cette habitude qu’il a d’être en retard

38
Q

Vrai ou faux. Les travaux en neurosciences sur le rêve (p. ex., Hobson, 1988) ont discrédité toute la valeur psychodynamique à l’analyse des rêves.

A

Faux

39
Q

Le mécanisme de/d’ _____________________, qui contribue à la formation du rêve, combine plus d’un désir, d’un sentiment ou d’une pulsion en une seule image manifeste du rêve.

a) Condensation
b) Déplacement
c) Représentation symbolique
d) Synecdoque
e) Élaboration secondaire

A

a) Condensation

40
Q

Quel énoncé parmi les suivants à propos du rêve et de son interprétation est faux ?
a) Les rêves peuvent être utilisés en thérapie comme des résistances par le patient
b) Une façon utile d’aborder l’analyse du rêve est de demander au patient ce qui lui vient
en tête quand il pense au rêve
c) Certains patients peuvent adopter une attitude « compétitive » et chercher à
interpréter les éléments du rêve avant que le thérapeute n’y parvienne
d) Comme les patients ont tendance à oublier leurs rêves, il est préférable de ne pas
retarder son interprétation, quitte à le faire avant que le patient n’ait fait ses
associations sur le contenu du rêve
e) a, b, c et d sont tous vrais

A

d) Comme les patients ont tendance à oublier leurs rêves, il est préférable de ne pas
retarder son interprétation, quitte à le faire avant que le patient n’ait fait ses
associations sur le contenu du rêve

41
Q

Vrai ou faux. Il est souvent plus embarrassant pour nos patients de nous parler de leurs rêveries éveillées que de celles de la nuit.

A

Vrai

42
Q

Résumez, en une ligne, le « fantasme idéal » commun à la plupart des relations thérapeutiques, tel que défini par Smith (1977).

A

C’est un désir d’avoir tous ses besoins réunis dans une relation (perfection)

43
Q

Vrai ou faux. L’empreinte sexuelle, telle que définie par Person (1980), est très rarement sinon jamais en contradiction avec le comportement habituel et le style relationnel de la personne.

A

Faux

44
Q

Vrai ou faux. Devant un patient réticent à parler de ses fantasmes secrets, le thérapeute devrait lui rappeler que les secrets n’ont pas sa place en thérapie et l’encourager plutôt à utiliser l’association libre pour en parler.

A

Faux

45
Q

Vrai ou Faux. Il est déconseillé d’aborder de manière trop directe avec un patient les fantasmes souvent puissants autour du suicide et de son impact imaginé sur les autres, afin de ne pas renforcer ou accentuer ces fantasmes.

A

Faux

46
Q

Les premières conceptualisations de Freud sur le contre-transfert…

a) Sont encore considérées comme exactes par les psychodynamiciens aujourd’hui
b) Avaient une connotation légèrement péjorative
c) Considéraient le contre-transfert comme une information utile
d) Voyaient le contre-transfert comme le résultat des conflits non résolus du thérapeute
e) a et c sont vrais
f) b et d sont vrais
g) a, b, c et d sont vrais

A

f) b et d sont vrais

47
Q

L’identification projective peut être considérée comme…

a) Une défense intrapsychique
b) Une forme de communication interpersonnelle
c) L’un des obstacles les plus puissants au succès de la thérapie
d) a et b sont vrais
e) a, b et c sont vrais

A

d) a et b sont vrais

48
Q

Vrai ou Faux. En ce qui concerne l’identification projective en contexte psychothérapeutique, la nature préexistante de certaines relations d’objet, de certains conflits et des certaines défenses chez le thérapeute déterminera si oui ou non le thérapeute s’identifiera à la projection du patient.

A

Vrai

49
Q

Selon la définition de Racker (1968), on parle de contre-transfert ___________________ lorsque le thérapeute s’identifie à un aspect du Moi qui a été projeté; ce processus est lié de près à l’empathie.

a) Concordant
b) Complémentaire
c) Narcissique
d) En miroir

A

a) Concordant

50
Q

Après avoir identifié un contre-transfert au sein de la relation thérapeutique, qu’est-ce que le thérapeute peut faire pour le gérer?

a) Le thérapeute, en contenant et en tolérant les états du patient, permet au patient lui- même de mieux tolérer ses propres états et de les ré-intérioriser sans se sentir dépassé
b) Le thérapeute peut utiliser le contre-transfert au service de la formulation d’une interprétation sur le monde interne du patient
c) Le thérapeute peut utiliser judicieusement des informations personnelles pour aider le patient à reconnaître l’impact qu’il a sur les autres
d) a et b sont vrais
e) a, b et c sont vrais

A

e) a, b et c sont vrais

51
Q

Quel énoncé à propos du contre-transfert est FAUX ?

a) La crainte d’être perçu comme sadique avec le patient s’il ne satisfait pas ses désirs peut amener certains thérapeutes à agir un contre-transfert de sauveur
b) Le thérapeute, face à un patient narcissique, peut se sentir ennuyé et somnolent en raison d’un sentiment de ne pas avoir d’importance pour le patient, ce dernier étant trop captivé par son propre discours
c) Le contre-transfert érotique peut se manifester par des fantasmes de sauvetage, plus acceptables aux yeux du thérapeute
d) Les thérapeutes, surtout débutants, peuvent projeter leur attirance érotique sur le patient et ainsi nier leurs propres sentiments
e) Tous les énoncés précédents sont vrais

A

a) La crainte d’être perçu comme sadique avec le patient s’il ne satisfait pas ses désirs peut amener certains thérapeutes à agir un contre-transfert de sauveur

52
Q

Résumez en deux lignes maximum la notion d’espace analytique telle qu’elle a été élaborée par Ogden (1986), à partir des travaux de Winnicott (1971).

A

Les patients éprouvent le transfert à la fois comme réel et non réel, alors que le thérapeute peut expérimenter à la fois le contre transfert comme à la fois réel et non réel