questions élèves Flashcards

1
Q

À combien est estimée la prévalence des troubles neurodéveloppementaux en milieu scolaire?

A

entre 5 et 15%

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que le trouble du spectre de l’autisme ait un taux de prévalence plus élevé chez les garçons

A

le trouble apparait de façon différente chez les filles et les garçons. En effet, les difficultés de communication sont moins atteintes chez les filles et les intérêts stéréotypés sont moins hors-normes. Ainsi, les symptômes sont moins explicites et donc moins diagnostiqués que lorsqu’ils se manifestent chez les garçons.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Lequel de ces énoncés est un moyen d’agir favorablement sur les difficultés d’apprentissage chez les personnes ayant un trouble neurodéveloppemental

a. diminuer le nombre d’évaluation<
b. un enseignement libre et non structuré
c. un enseignement intensif et individualisé

A

c. un enseignement intensif et individualisé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité ait un taux de prévalence plus élevé chez les garçons?

A

Chez les filles, les déficits attentionnels sont plus marqués alors que chez les garçons, l’hyperactivité est observée de manière plus prononcée. Ainsi, comme les gars manifestent des symptômes plus externalisés, alors que les filles manifestent des symptômes plus internalisés, les comportements d’hyperactivité sont plus à risque de porter l’attention des professionnels que les comportements internalisés (surtout dans un contexte scolaire, hyperactivité = plus dérangeant que innatention)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

À quel trouble sont associés ces critères diagnostiques : « Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Présence de mode de comportements, d’intérêts ou d’activités restreintes ou répétitifs. »

A

Trouble du spectre de l’autisme (TSA) de la catégorie des troubles neurodéveloppementaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Lequel trouble font partie des troubles de la communication?

A

trouble de la phonation

trouble de la fluidité verbale apparaissant pendant l’enfance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Nommez au moins deux troubles de la communication et décrivez ce qui est atteint sur le plan de la communication

A

phonation : compétences verbales, sur le plan de la prononciation
fluidité verbale apparaissant pendant l’enfance : atteinte au niveau de la fluidité verbale qui s’exprime par un bégaiement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

V/F
Les sujets féminins ont moins tendance que les sujets masculin à présenter, dès le départ, des caractéristiques inattentives

A

faux plus les gars

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Le trouble du spectre de l’autisme présente un taux de comorbidité de 70% avec quel(s) trouble(s)?

A

les troubles psychiatriques (au moins 1)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

identifiez les deux caractéristiques principales du TSA

A

déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés
présence de mode de comportements (inflexibilité/ rigidité, particularités sensorielles, comportements stéréotypés), d’intérêts ou d’activités restreints (intensité et/ou buts) ou répétitifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

V/F

un enfant qui présente un retard global de dév. à 3 ans est assuré d’avoir une DI une fois qu’il aura 5 ans? explique

A

faux, le développement de l’enfant étant inachevé à la petite enfance, sa trajectoire développementale peut être influencée de manière à ce que l’enfant ne développe pas un trouble DI, notamment si l’origine des retards ne sont pas expliqués par des facteurs biologiques et que l’enfant reçoit une stimulation plus intensive et des soins adéquats.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

V/F
plus l’enfant atteint du trouble déficitaire avec ou sans hyperactivité vieillit, plus les signes d’hyperactivité s’estompent

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quelle est la différence entre le syndrome de Gilles de la Tourette des autres formes de tics (troubles moteurs)?

A

Gilles de la Tourette : à la fois tics moteurs et verbaux qui persistent dans le temps
Autres formes : sont soit de types moteurs, soit de types verbaux et/ou de type provisoire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

V/F

les mouvements stéréotypés simples sont fréquents chez les jeunes enfants se développant normalement

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

V/F
les mouvements stéréotypés complexes (troubles moteurs) sont fréquents chez les jeunes enfants se développent normalement?

A

faux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Avec quel trouble les mouvements stéréotypés complexes (troubles moteurs) sont-ils souvent observés ? Et, expliquez de quelle manière ils se manifestent

A

entre 4 et 16% des individus ayant un trouble du développement intellectuel se livrent à des stéréotypies et des automutilations. Ce taux est encore plus fréquent dans le cas de handicap intellectuel sévère-grave

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Nommez la comorbidité la plus fréquente en lien avec le trouble du spectre de la schizophrénie

A

troubles liés à une substance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Nommez au moins trois des cinq principaux symptômes observés chez les personnes souffrant des troubles psychotiques

A

idées délirantes
hallucinations
pensées/discours désorganisés

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quelle est la différence entre un symptôme négatif et positif observé chez une personne atteinte d’un trouble du spectre de la schizophrénie ? Donnez-moi un exemple pour chacun des symptômes

A

les symptômes positifs sont plus faciles à observer que les symptômes négatifs puisqu’ils sont apparents et s’ajoutent au comportement. Alors que les symptômes négatifs, eux, s’enlèvent au comportement, ils sont donc moins apparents, manifestes et donc plus difficiles à observer
Exemple
schizophrénie : hallucinations = symptômes positifs
schizophrénie : diminution expression émotionnelle = symptômes négatifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

V/F

la catatonie n’est pas exclusive aux troubles psychotiques

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

V/F

Le schizoaffectif se manifeste le plus souvent chez les hommes

A

faux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

nommez les deux types de délire

A

délires érotomaniaques

mégalomanie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Quelle est la principale différence entre le trouble schizophréniforme, le trouble psychotique bref et la schizophrénie

A

la persistance et durée des symptômes
schizophrénie : dure au moins 6 mois avec 1 mois avec des symptômes de la phase active
trouble schizophréniforme : dure moins de 6 mois
trouble psychotique bref : dur plus d’un jour et se résout en moins d’un moins

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Qu’est-ce qui différencie le trouble délirant des autres troubles psychotiques ou du spectre de la schizophrénie

A

l’absence de symptômes psychotiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

V/F
les personnes schizophrènes sont plus à risque de tentative de suicide en raison d’ordres hallucinatoires de se faire du mal ou de faire du mal aux autres, notamment présents lorsqu’ils consomment certaines substances

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Quels sont les deux types d’épisodes caractéristiques des troubles bipolaires

A

épisode de manie ou hypomanie et épisode de dépression

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Qu’est-ce qu’une manie ?

A

une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Quelle est la différence entre une manie et une hypomanie ?

A

une manie = persiste pendant au moins une semaine

hypomanie = symptômes présents pendant au moins 4 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

V/F

l’impulsivité est une caractéristique importante qui est observée chez le trouble bipolaire II

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

V/F
les épisodes dépressifs et hypomaniaques tendent à diminuer en fréquence et en durée chez les personnes qui souffrent du trouble bipolaire II

A

Faux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

V/F
environ 5 à 15% des sujets ayant un trouble bipolaire II développent un épisode maniaque, ce qui peut les amener à être finalement diagnostiqué bipolaire I

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

V/F
la personne qui souffre d’un trouble cyclothymique présente un risque important (15 à 50%) de développer un trouble bipolaire I ou II

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

V/F
L’accouchement peut être un déclencheur spécifique d’épisodes
hypomaniaques, qui peuvent survenir chez 10-20 % des femmes en population générale, et
plus spécifiquement au début de la période du post-partum.

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Quelle est la différence entre le trouble cyclothymique et les troubles bipolaires I et 2 ?

A

La durée et l’intensité des variations de l’humeur du trouble cyclothymique sont moins
importantes et se résorbent plus rapidement (en quelques jours) que celles observées dans les
troubles bipolaires 1 et 2

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Quelle est la caractéristique commune de tous les troubles dépressifs ?

A

La présence d’une humeur triste, vide ou irritable, accompagnée de modifications somatiques et
cognitives qui perturbent significativement les capacités de fonctionnement de l’individu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Quelle est la différence entre le trouble dépressif caractérisé du trouble dépressif persistant ?

A

La durée et l’intensité des symptômes sont plus importantes chez le trouble dépressif persistant.
En effet, ceux-ci doivent être présents à raison d’un jour sur deux depuis au moins deux ans chez
les adultes et d’au moins un an chez les enfants et les adolescents.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Combien de temps une personne doit présenter les symptômes caractéristiques aux troubles
dépressifs pour pouvoir obtenir un diagnostic de trouble dépressif caractérisé

A

2 semaines

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Vrai ou faux ? De nombreux troubles bipolaires débutent par un ou plusieurs épisodes
dépressifs, et une proportion substantielle de sujets qui semblent initialement présenter un
trouble dépressif caractérisé se révèlent en fait au cours du temps souffrir d’un trouble
bipolaire.

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Vrai ou Faux ? La persistance de symptômes dépressifs d’intensité élevée seulement est un
facteur prédictif marqué de récurrence du trouble chez les personnes qui en souffrent.

A

Faux. La persistance de symptômes dépressifs, même d’intensité légère, pendant la rémission,
est un facteur prédictif marqué de récurrence

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Nommez les symptômes des deux troubles mentaux auxquels ceux appartenant au trouble
dysphorique prémenstruel sont comparables en termes d’intensité (mais pas en termes de
durée)

A

épisode dépressif caractérisé

anxiété généralisée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Expliquez ce qui distingue le trouble dépressif caractérisé d’un deuil.

A

Pour distinguer deuil et épisode dépressif caractérisé (EDC), il peut être utile de considérer que
dans le deuil les sentiments prédominants sont le vide et la perte, alors que dans un EDC c’est
plutôt une humeur dépressive persistante et une incapacité à anticiper la joie ou le plaisir. La
dysphorie dans le deuil est susceptible de diminuer d’intensité au fil des jours et des semaines et
survient par vagues. Ces vagues ont tendance à être associées à des pensées ou des souvenirs
de la personne décédée. L’humeur dépressive d’un EDC est plus persistante et n’est pas liée à
des pensées ou des préoccupations spécifiques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Vrai ou faux ? Les sujets présentant une phobie spécifique ont un risque plus élevé de
développer d’autres troubles ?

A

Vrai, le trouble spécifique est souvent un trouble primaire (celui qui a été diagnostiqué en
premier) à l’enfance.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Qu’est-ce que la dysmorphie musculaire?

A

Une forme d’obsession d’une dysmorphie corporelle qui est caractérisée par la
croyance que son propre corps n’est pas assez développé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

Vrai ou faux, le mutisme sélectif est un trouble de la communication observé chez les enfants
seulement.

A

Faux, le mutisme sélectif est un trouble de la catégorie des troubles anxieux puisqu’il représente
une incapacité régulière à parler dans des situations sociales dans lesquelles l’enfant est
supposé bien parler puisqu’il est capable de parler dans d’autres situations

45
Q
Parmi les énoncés suivants, lequel n’appartient pas à une dimension symptomatologique d’un 
trouble obsessionnel compulsif 
1. Le nettoyage
2. La symétrie
3. La pensée interdite ou taboue
4. Le perfectionnisme
5. La peur de faire du mal
A

perfectionnisme

46
Q

Nommez les deux caractéristiques partagées par l’ensemble des troubles anxieux et expliquez
ce qui les distingue.

A

La peur et l’anxiété.
La peur est la réponse émotionnelle à une menace imminente réelle ou perçue. La
peur est plus souvent associée à des poussées d’hyperactivité neurovégétative
nécessaires pour fuir ou combattre, évaluer le danger immédiat et permettre les
conduites d’échappement.
L’anxiété est l’anticipation d’une menace future. L’anxiété est plus souvent associée
à une tension musculaire et une vigilance dans la préparation au danger futur et à
des conduites de prudence ou d’évitement

47
Q

Quelle est la stratégie d’adaptation inadaptée la plus fréquemment observée chez les
troubles anxieux ?

A

évitement

48
Q

Vrai ou faux ? Le taux de prévalence des troubles anxieux est plus élevé chez les hommes que
chez les femmes.

A

Faux, le trouble est plus présent chez les femmes

49
Q

Nommer ce qui distingue principalement les différents troubles anxieux.

A

Le type d’objets ou le type de situations qui induisent la peur, l’anxiété ou le
comportement d’évitement et le raisonnement cognitif associé.

50
Q

Vrai ou Faux ? Les phobies spécifiques qui se développent durant l’enfance et l’adolescence
sont susceptibles de croître et de décroître durant cette période.

A

vrai

51
Q

Qu’est-ce qui distingue l’agoraphobie d’une phobie spécifique ou encore d’une anxiété sociale
?

A

Dans l’anxiété sociale, l’accent se porte sur la peur d’être jugé négativement. La phobie
spécifique de type situationnel doit être diagnostiquée plutôt que l’agoraphobie si la peur,
l’anxiété ou l’évitement sont limités à une seule des situations agoraphobogènes (utilisation des
transports publics, se trouver dans des espaces ouverts, se trouver dans des lieux clos, se
trouver dans une file d’attente ou dans une foule, se trouver seul en dehors de la maison dans
d’autres situations). Dans l’agoraphobie, au moins deux des situations agoraphobogènes
nommées ici doivent être présentes.

52
Q

Comment se nomme le trouble qui présente les caractéristiques suivantes : anxiété excessive
et persistante ainsi qu’une inquiétude à propos de domaines variés, y compris les
performances scolaires ou professionnelles, que le sujet trouve difficile à contrôler. De plus, la
personne éprouve des symptômes physiques comme de l’agitation, une sensation d’être
tendu ou énervé, le fait de se fatiguer facilement, des difficultés à se concentrer ou des
passages à vide, une irritabilité, une tension musculaire et des perturbations du sommeil ?

A

trouble anxiété généralisé

53
Q

Comment se nomme le trouble qui se manifeste par l’expérience d’attaques de panique
récurrentes et inattendues chez une personne qui présente des préoccupations ou une
inquiétude persistante d’avoir de nouvelles attaques de panique, ou encore qui modifie son
comportement de manière inadaptée pour éviter d’autres attaques de panique

A

trouble panique

54
Q

Vrai ou Faux. Une personne qui fait des attaques de panique présente nécessairement un
trouble panique.

A

faux

55
Q

Vrai ou Faux. Les attaques de panique sont des montées soudaines de peur intense ou de
malaise intense qui sont toujours prévisibles.

A

Faux, parfois elles sont inattendues, dans le sens où l’attaque de panique apparaît sans raison
apparente.

56
Q

Qui suis-je ? Je représente des pensées, pulsions ou images récurrentes et persistantes qui
sont ressenties comme intrusives et inopportunes chez les personnes souffrant de troubles
obsessionnels compulsifs.

A

Des obsessions.

57
Q

Qui suis-je ? Je représente des comportements répétitifs ou des actes mentaux que le sujet se
sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles qui doivent être
appliquées de manière inflexible chez les personnes souffrant de troubles obsessionnels
compulsifs.

A

compulsions

58
Q

Vrai ou Faux ? L’obsession d’une dysmorphie corporelle est un trouble des conduites
alimentaires.

A

Faux, l’obsession d’une dysmorphie corporelle fait partie des troubles obsessifs compulsifs e

59
Q

Qui suis-je ? Je suis un trouble qui se manifeste par des difficultés persistantes à se
débarrasser ou à se séparer de biens, indépendamment de leur valeur intrinsèque, ce qui
amène au résultat d’un besoin impérieux de les conserver et de la détresse associée au fait de
s’en débarrasser.

A

La thésaurisation pathologique (syllogomanie)

60
Q

Vrai ou Faux ? Plus le niveau d’insight est élevé chez une personne obsessive compulsive, plus
la personne reconnait le dysfonctionnement de ses croyances et plus elle peut être en mesure
de mieux les contrôler.

A

vrai

61
Q

Nommez un facteur de protection clair lié au rétablissement de la personne ayant un trouble
de stress post-traumatique.

A

soutien social

62
Q

Vrai ou faux? Le fait d’être témoin d’un acte d’agression d’une personne sans en être victime
peut être suffisant pour déclencher le TSPT.

A

vrai

63
Q

Nommez deux manières de revivre l’évènement traumatisant chez les personnes atteintes du
syndrome de stress post-traumatique.

A

Des rêves pénibles

Des souvenirs récurrents, involontaires et envahissants de l’évènement

64
Q

Vrai ou faux, le trouble réactionnel de l’attachement est fréquemment observé chez les
enfants pris en charge sous la loi de la protection de l’enfance (de la jeunesse).

A

Faux, ce trouble est rarement observé, et ce même dans des populations d’enfants ayant
souffert de négligences graves.

65
Q

Vrai ou faux. Le fait d’être une femme peut augmenter les chances d’être exposé à un
évènement déclencheur lié au trouble de stress post-traumatique.

A

vrai

66
Q

Vrai ou faux, la négligence parentale, notamment dans sa forme la plus grave est
fréquemment observée comme facteur de risque environnemental pour un bon nombre de
troubles mentaux

A

vrai

67
Q

Expliquez comment les symptômes observés chez les personnes atteintes du trouble de stress
post-traumatiques varient d’une personne à l’autre.

A

Chez certains individus,
La peur de revivre l’expérience traumatique et les symptômes émotionnels et comportementaux qui l’accompagnent peuvent être au premier plan.
Pour d’autres, l’anhédonie ou des états d’humeur dysphoriques et les cognitions négatives peuvent être particulièrement douloureux.
Chez certains autres individus, l’éveil et des symptômes de réaction extériorisée sont prédominants, tandis que chez d’autres, des symptômes dissociatifs sont au premier plan.
Enfin, certaines personnes présentent des combinaisons de ces groupes
de symptômes.

68
Q

Vrai ou faux ? Bien que le trouble stress aigu puisse évoluer vers un trouble stress
posttraumatique (TSPT) après trois mois, il peut également s’agir d’une réponse de stress
transitoire qui évolue favorablement dans les mois qui suivent l’exposition au traumatisme et
qui n’aboutit pas à un TSPT

A

Faux, le trouble du stress aigu peut évoluer vers un trouble de stress post-traumatique après un
mois.

69
Q

Vrai ou Faux. Approximativement la moitié des individus qui développent finalement un TSPT
présentent initialement un trouble stress aigu

A

vrai

70
Q

Identifiez quels symptômes du trouble dissociatif est négatif parmi les suivants

a. La fragmentation de l’identité
b. La dépersonnalisation,
c. La déréalisation
d. L’amnésie

A

amnésie

71
Q

Identifiez la catégorie de trouble à laquelle appartient cette définition :
Ces troubles caractérisés par une perturbation et/ou une discontinuité dans
l’intégration normale de la conscience, de la mémoire, de l’identité, des émotions, de
la perception, de la représentation du corps, du contrôle moteur et du comportement.
Les symptômes dissociatifs peuvent perturber tous les domaines du fonctionnement
psychologique.

A

troubles dissociatifs

72
Q

Vrai ou faux. Le stress peut aggraver les symptômes dissociatifs et les rendre plus implicites.

A

Faux, le stress peut aggraver les symptômes dissociatifs et les rendre plus explicites

73
Q

Identifiez au moins deux différentes formes d’amnésie dissociative et en donnez un bref
exemple pour chacune des formes.

A

L’amnésie peut être localisée (c.-à-d. un événement ou une période de temps- pendant un
placement), sélective (c.-à-d. un aspect spécifique d’un événement- ex : un abus) ou bien
globale/généralisée (c.-à-d. l’identité et l’histoire personnelle).

74
Q

Identifiez la caractéristique commune entre les différents troubles à symptomatologie
somatique ou apparentés

A

La prééminence de symptômes somatiques associés à une détresse et à un handicap qui sont
significatifs

75
Q

Vrai ou faux. La personne qui souffre de trouble factice recherche une récompense
/gratification claire et objective?

A

Faux, l’établissement du diagnostic de trouble factice nécessite l’absence de récompenses
objectives claires.

76
Q

Donnez un exemple de trouble factice imposé à autrui.

A

Une mère qui rend son enfant malade en cachette.

77
Q

Différenciez dans vos mots le trouble à symptomatologie somatique de la crainte excessive
d’avoir une maladie

A

Le trouble à symptomatologie somatique représente l’existence de symptômes et de signes
positifs (des symptômes somatiques pénibles associés à des pensées, des sensations et des
comportements anormaux secondaires à ces symptômes) plutôt que sur l’absence d’explication
médicale de cette symptomatologie somatique. Ainsi le trouble à symptomatologie
somatique ne repose pas sur les symptômes somatiques à proprement parler, mais plutôt sur la
manière dont ils sont présentés et interprétés.
La crainte excessive d’avoir une maladie quant à elle, se manifeste par une préoccupation liée
au fait d’avoir ou de pouvoir développer une affection médicale sérieuse et non diagnostiquée.
Les symptômes somatiques sont absents ou, s’ils sont présents, ils sont seulement de faible
intensité. La détresse du sujet n’est pas liée principalement à la plainte physique en elle-même,
mais plutôt à l’anxiété concernant la signification ou la cause de cette plainte. Les troubles
dissociatifs.

78
Q

Quel trouble suis-je ? Je suis présent lorsqu’il y a une ingestion répétée d’une ou de plusieurs
substances non nutritives ou non comestibles, de façon continue pendant une période d’au
moins un mois.

A

le PICA

79
Q

Le mérycisme consiste à ….
A) Une ingestion répétée de substances non comestible ou non nutritives
B) Le fait de s’arracher la peau de manière compulsive.
C) Le fait de s’arracher les cheveux de manière compulsive.
D) Une régurgitation répétée de la nourriture après un repas.

A

D)

80
Q

Nommez une des fonctions possibles du mérycisme.

A

L’autoapaisement ou l’autostimulation

81
Q

Vrai ou Faux ? L’obésité est un trouble mental du DSM-5.

A

faux

82
Q

Quel trouble suis-je? Je suis une femme qui mesure plus de 5 pieds 8 et j’ai 23 ans. J’ai une
peur intense de prendre du poids ou de devenir grosse. Lorsque je me regarde dans le miroir,
je suis immense. J’ai donc peu d’estime de moi. Je réduis donc les portions d’apports
énergétiques, malgré ces stratégies, je pèse quand même 100 llivres.

A

anorexie mentale

83
Q

Qu’est-ce qui distingue l’anorexie mentale de la restriction ou évitement de l’ingestion
d’aliments dans les troubles des conduites alimentaires ou de l’ingestion des aliments ?

A

La restriction ou l’évitement de l’ingestion d’aliments n’est pas lié une préoccupation excessive
quant au poids ou à la forme du corps.

84
Q

Quelle est la différence entre la boulimie et un comportement d’accès hyperphagique ?

A

Le comportement d’accès hyperphagique ne comporte pas de comportements compensatoires
inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids ne présente pas nécessairement
une estime de soi influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.

85
Q

Dans vos mots, expliquer ce qu’est l’identité de genre.

A

Une catégorie de l’identité sociale qui se réfère à l’identification de l’individu comme masculin,
féminin ou parfois d’une catégorie autre que masculin-féminin.

86
Q

Qui suis-je ? Je m’identifie transitoirement ou de manière persistante avec un genre différent
du genre qui m’est attribué à la naissance.

A

transgenre

87
Q

Qui suis-je ? Je suis un individu qui souhaite, ou a déjà subi, une transition sociale du genre
masculin vers le genre féminin ou l’inverse.

A

transsexuel

88
Q

Vrai ou faux? Les personnes atteintes de dysphorie de genre présentent une congruence
marquée entre le genre auquel ils ont été assignés et le genre exprimé

A

Réponse : Faux. Ils présentent une non-congruence.

89
Q

Vrai ou faux. Le pyromane agit pour obtenir un bénéfice commercial ou encore pour
manifester une idéologie sociopolitique ?

A

Faux, c’est davantage pour le plaisir, la gratification ou le soulagement ressenti lorsqu’il allume
des incendies, les contemple ou en participe aux événements qui en résultent.

90
Q

Les troubles disruptifs se caractérisent par des périodes nettement délimitées durant laquelle
l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante.

A

Faux, ce sont davantage les épisodes maniaques qui se caractérisent de cette manière

91
Q

En général, les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites tendent être
plus présent chez les hommes ou les femmes?

A

chez les hommes

92
Q

Le trouble oppositionnel avec provocation représente :
a. Un ensemble de conduites répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les
droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du
sujet (agression envers des personnes ou des animaux, destruction de biens matériels,
fraude ou vol, violations graves de règles établies).
b. Une irritabilité chronique, sévère et persistante. Cette irritabilité sévère se traduit par
deux manifestations cliniques importantes, dont la première consiste en des crises de
colère fréquentes. La seconde manifestation d’irritabilité sévère consiste en une
humeur irritable de façon persistante ou colérique, qui est présente de manière
chronique entre les crises de colère sévères.
c. Un ensemble de comportements d’attachement gravement perturbés et en
inadéquation avec le stade du développement, dans lequel l’enfant ne se tourne que
peu ou rarement vers une figure d’attachement pour être consolé, aidé, protégé ou
entouré d’affection. La caractéristique essentielle est l’absence ou le caractère très
limité des liens d’attachement entre l’enfant et les adultes donneurs de soin.
d. Des comportements qui nuisent aux droits d’autrui (p. ex. agression, destruction de
propriété́) et/ou qui exposent le sujet à des conflits significatifs avec les normes
sociétales ou les personnes en position d’autorité́
.
e. Un ensemble fréquent et persistant d’une humeur colérique/irritable, d’un
comportement querelleur/ provocateur ou d’un esprit vindicatif.
f. Accès agressifs impulsifs (ou de colère) qui surviennent en réponse à une provocation
mineure par une personne proche ou intime et durent typiquement moins de 30
minutes.

A

E)

93
Q

Vrai ou faux. Plusieurs des symptômes qui définissent les troubles disruptifs, du contrôle des
impulsions et des conduites sont des comportements qui sont rencontrés à un certain degré
chez les sujets à développement normal, notamment chez les garçons.

A

vrai

94
Q

Expliquez le lien développemental présent entre le trouble oppositionnel avec provocation et
le trouble des conduites.

A

La majorité des cas de troubles des conduites aurait antérieurement rempli les critères du
trouble oppositionnel avec provocation, au moins chez les personnes pour lesquelles le trouble
des conduites émerge avant l’adolescence. Cependant, la plupart des enfants ayant un trouble
oppositionnel avec provocation ne développent finalement pas de trouble des conduites

95
Q

Vrai ou Faux ? La plupart des enfants ayant un trouble oppositionnel avec provocation
développent un trouble des conduites.

A

faux

96
Q

Vrai ou faux? Avoir un niveau plus bas de contrôle de soi n’est pas un facteur de risque au
développement d’un trouble lié à la consommation d’une substance.

A

Faux, les sujets avec des niveaux plus bas de contrôle de soi, lesquels peuvent être plus à risque
de développer des troubles liés à la consommation d’une substance.

97
Q

Vrai ou faux? Le sevrage est un syndrome qui se produit quand les concentrations sanguines
ou tissulaires d’une substance augmentent à la suite d’une consommation massive et
prolongée.

A

Faux, c’est lorsqu’elles diminuent. Après avoir développé des symptômes de sevrage, la
personne peut consommer la substance pour soulager ces symptômes

98
Q
Quels comportements activent des systèmes de récompense similaires à ceux activés par des 
substances addictives ?
a. Comportements de jeu de hasard et d’argent
b. Compulsions
c. Paraphilies
d. Achats compulsifs
e. Dépendance aux jeux vidéos
f. Cyberdépendance
g. A et B
h. B et D
i. B, D, E et F
j. A, D, E et F
A

A D E F

99
Q

Dans les troubles liés à une substance et troubles addictifs, certains effets comportementaux
peuvent se manifester dû à certains changements cérébraux, lesquels

A

Rechutes répétées, Envie impérieuse de consommer la substance

100
Q

Vrai ou Faux ? Les troubles de la personnalité apparaissent généralement lors de la petite
enfance ou du début de l’adolescence

A

Faux. Ils se développent généralement à la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte.

101
Q

Parmi les critères diagnostiques suivants, lequel ne fait pas partie des critères diagnostiques
du trouble de la personnalité limite ?
a) Sentiment de vide
b) Peur de l’abandon et évitement de l’abandon
c) Menaces suicidaires et automutilation
d) Comportements bizarres et excentriques
e) Aucune de ces réponses

A

D)

102
Q

Morgane entre dans son 5 à 7 en robe de soirée très décolletée. En discutant avec ses
collègues, elle rapporte beaucoup la conversation à elle et à son apparence physique de la
soirée. En se déplaçant vers une autre table, sa collègue titube et quelques gouttes de vin
rouge tombent sur la robe de Morgane. Celle-ci constate le dégât et se met à hurler et à
pleurer très fort. Tous les yeux sont sur elle et elle quitte la pièce en pestant. À quel trouble de
la personnalité son comportement s’apparente-il ?

A

Trouble de la personnalité histrionique

103
Q

En quelques lignes, nommez les distinctions entre le Trouble Obsessionnel-Compulsif (TOC) et
la Personnalité obsessionnelle compulsive?

A

D’abord, les personnes ayant un Trouble Obsessionnel-Compulsif vivent de la souffrance en lien
avec un manque de contrôle face à leurs compulsions, alors que les personnes ayant un trouble
de la Personnalité obsessionnelle compulsive sont à l’aise avec leurs compulsions et les utilisent
comme un mécanisme de réduction d’anxiété, pour en arriver à un perfectionnisme et un
contrôle. Ensuite, les comportements émis par les personnes ayant un TOC amènent des
résultats plutôt à court terme, tandis que les comportements émis par les TPOC tendent à
procurer une satisfaction plus à long terme.

104
Q

Comment caractérise-t-on les symptômes des personnes qui présentent un trouble de la
personnalité ?

A

durable
rigide
envahissant

105
Q

En combien de groupes sont séparés les troubles de la personnalité et quelles sont les
principales caractéristiques de ces groupes ?

A

En trois groupes :
Groupe A : (comportements bizarres/excentriques)
Groupe B : (comportements théâtraux/émotifs)
Groupe C : (comportements anxieux)

106
Q

Jolaine est convaincue qu’elle a hérité les dons de voyance de son arrière-grand-mère. Elle ne
peut qu’avoir des visions lors de pleines lunes à la présence de ses trois chats noirs. Elle est
aussi convaincue qu’une personne sera marquée de malchance si elle marche sous une
échelle. À quel trouble ses comportements s’apparentent-ils

A

Trouble de la personnalité schizotypique

107
Q

Joshua est en couple avec Julie depuis 3 mois. Au début de leur relation, il était en adoration
devant elle et il répétait à tout le monde à quel point elle était exceptionnelle. Depuis 2
semaines, Julie est très occupée par son travail et elle passe moins de temps avec lui. Joshua
croit que Julie veut le quitter, lorsqu’elle rentre du travail aujourd’hui, il la confronte et
menace de se suicider si elle le quitte pour un autre homme. À quel trouble ses
comportements s’apparentent-ils ?

A

trouble de la personnalité limite

108
Q

Vrai ou faux ? La transgenralité est un trouble mental.

A

faux

109
Q

Vrai ou Faux, la paraphilie est un trouble sexuel.

A

Faux, seules les paraphilies qui induisent de la souffrance ou un désarroi à la personne qui les vit
ou celle qui les subit représentent des troubles mentaux.