Questions Flashcards
citez les 3 zones du PJ ainsi que les distances
zone d’exclusion : minimum 100m pouvant aller jusqu’à 500m et plus
zone contrôlée : 50 m au delà de la zone d’exclusion
zone de soutien
quelles sont les principes du PJ
‒ extraction rapide de toutes les personnes présentes dans la zone qui les expose à un danger NRBC immédiat ;
‒ évaluation rapide du risque NRBC ;
‒ création d’un périmètre de sécurité ;
‒ tri visuel permettant la différenciation rapide entre les impliqués et les victimes blessées ou présentant des signes d’atteinte par des agents NRBC ;
‒ prise en charge des victimes par une décontamination d’urgence, puis une médicalisation de l’avant et une éventuellement décontamination approfondie ;
‒ prise en charge spécifique des premiers intervenants.
CAT décontamination d’urgence ? (PJ)
- un déshabillage d’urgence si cela n’a pas encore été réalisé (enlèvement de la première couche de vêtements au minimum
- la décontamination sèche par l’utilisation du gant poudreur sur les parties découvertes ;
- passage à la BUMD chaîne valide et invalide (OMS OMP)
- le rhabillage avec une tenue « papier » et le port éventuel d’une cagoule de fuite ou d’un masque de type FFP3 ;
- en cas de contamination radiologique, il fait procéder au déshabillage, au rhabillage sommaire par des vêtements de type « papier » et fait coiffer un masque de type FFP3 par les victimes ;
expliquez le cheminement d’un impliqué qui devient victime ? (PJ)
PRI PUIS SAS PRI SI DETECTION POSITIVE ON REDIRIGE VERS PRV
Missions du 1er moyen (PJ) ?
demande de moyens si cas échéant MGO NRBC puis extraction tri visuel
quelles sont les différentes tenues selon les zones ?
zone d’exclusion: ARI TDF SI FEU ou ARI TLD ou TLD APRF
zone contrôlée : TDF ARI ou TLD APRF
zone de soutien: pas de tenue de protection spécifique
volumes d’engins zone d’exclusion ?
2 groupes ramassages et 2 OGC avec EMDA sur demande
Définition des différentes victimes EU, U1, U2 et U3 ?
EU: Il s’agit de victimes à l’état critique, dont le pronostic vital est immédiatement menacé, qui doivent
être médicalement prises en charge sur site par les équipes de réanimation pré-hospitalières (BSPP
et/ou SAMU) et bénéficier d’une évacuation rapide individuelle vers des structures hospitalières
pouvant accueillir, après régulation, ce type de patient
U1 :Il s’agit de victimes à l’état grave, dont le pronostic vital est potentiellement menacé, qui doivent
bénéficier d’une médicalisation de type dégradé (dont la prise en charge médicale ne se fera pas
forcément de manière individuelle) et être rapidement évacuées par moyen de transport non
médicalisé vers des structures hospitalières ciblées capables de prendre en charge, après régulation
et déclenchement de Plan Blanc interdépartemental, plusieurs blessés de ce type
U2 :Ces victimes ne sont pas valides et nécessitent un transport couché, si possible, par moyen de
transport non médicalisé
U3:Ces victimes sont valides et peuvent être évacuées au moyen de transports collectifs (RATP, BSPP,…).
reconnaissance d’attaque ?
Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement sont pénibles, laborieuses ou menaçantes, de par la proximité immédiate du sinistre, de ses effets directs ou de conditions de progression particulièrement éprouvantes, il s’agit d’une « reconnaissance d’attaque
reco périphérique ?
Lorsqu’un binôme, sous ARI, remplit une mission de reconnaissance où les conditions d’engagement supportables n’entament que modérément ses capacités de résistance et d’endurance physique, il s’agit d’une « reconnaissance périphérique ».
reco à vue ?
Lorsqu’un binôme, porteur de l’ARI, remplit une mission de reconnaissance dans un périmètre éloigné du sinistre afin de concourir au tour du feu effectué par le chef de garde, dans des conditions d’engagement n’entamant pas ses capacités de résistance et d’endurance physique il s’agit d’une « reconnaissance à vue ».
objet d’une reconnaissance ?
- réaliser immédiatement les sauvetages, les mises en sécurité, l’évacuation ou le confinement
- s’approcher le plus près possible du foyer principal pour juger de son emplacement, de son étendue, de sa nature et surtout des risques d’extension dans les plans verticaux et horizontaux
- déterminer le mode d’extinction approprié, les points d’attaque et les cheminements à suivre pour y parvenir
- apprécier la configuration du bâtiment, des communications intérieures, des murs, des toits, et des dispositifs de sécurité (Tirer Lâcher, commande de désenfumage, barrage des fluides, etc.)
temps d’engagements et pressions reco attaque ?
280 bars 25min 35min 200bars 25 min
temps d’engagements et pressions reco périphérique?
280 bars 30 min pause non imposée 200 bars 30 min
temps d’engagements et pressions reco à vue
280 bars porteur de l’ari illimté
Hauteur d’utilisation matelas de sauvetage ?
15m maxi
rôle sergent de jour ?
- il tient à jour, en permanence, la liste de garde et des services de jour. Il informe immédiatement les intéressés de tout changement de fonction les concernant ;
- il vérifie que l’équipage des engins est au complet lors des départs en intervention ;
- il gère l’absence d’un personnel au départ des secours - il fait appliquer l’ordre et la discipline au PVO, notamment en faisant respecter l’interdiction d’y fumer d’y manger et d’y boire ;
- il aide le stationnaire dans la gestion du PVO, notamment lorsqu’il reçoit simultanément plusieurs appels, en particulier dans le cadre du plan délestage ; – il prend toutes les dispositions pour s’assurer de la fermeture des portes de remise à chaque départ de secours et de la sécurité du site en général ;
- il se rend systématiquement au PVO et y reste jusqu’au retour des engins dans les cas suivants :
- intervention particulière ou de longue durée nécessitant de prévenir et de rendre compte à l’officier de garde compagnie ;
- départ de l’OGC ;
- feu ou explosion du niveau du départ normal sur le secteur administratif de la compagnie
- pour un feu ou explosion dans un ÉTARÉ, il rend compte à l’officier de garde compagnie, s’il est déjà engagé sur une autre intervention
- déclenchement d’un plan spécial (et notamment le plan délestage), il applique les consignes s’y rapportant et précisées dans les textes en vigueur ;
- il s’assure que le stationnaire a alerté l’officier de garde compagnie dans tous les cas prévus
- en cas d’opération importante ou de déclenchement d’un plan spécial, il prévient le commandant de compagnie et le chef de centre s’ils ne sont pas de garde ;
- en cas d’opération de longue durée, il fait préparer une boisson (chaude en hiver) et un ravitaillement, qui seront transportés sur les lieux de l’opération par un personnel de la compagnie territorialement compétente, en zone de remise en condition du personnel ;
- il assiste le chef de garde à la rentrée des secours pour les opérations à effectuer au retour d’intervention.
citez les cas OGC ?
- tous cas prévus par la grille de départ des secours ;
- toutes demandes ou envoi de groupes, renforts ou sections ;
- demande de moyens de renforcement (sur feu ou interventions particulières) ou d’un plan spécial ; * demande d’un chef d’agrès ;
- intervention dans une ambassade, une légation, chez une autorité ou une personnalité publique ou impliquant une autorité ou une personnalité publique ou leurs proches ;
- accident de circulation sur son secteur impliquant un véhicule du corps ;
- sur ordre de l’officier responsable de l’EMO ou de l’OSG
- lorsqu’un chef de détachement (ou d’agrès) éprouve des difficultés ou manifeste de l’inquiétude ;
- pour une intervention autre que « secours à victime » ayant entraîné une victime décédée et toute intervention ayant entraîné de nombreuses victimes
Règle des 4i ?
identifier
inspecter
interdire
intervenir
cat macaron cercle bleus sur véhicule tiers ?
symbolise le don d’organes
informer le responsable de la police
le médecin de l’umh ou ar si présent
l’iao en cas de transport
caractéristiques hydrogène ?
- 4 fois plus léger que l’air ;
- extrêmement inflammable
- large plage d’inflammabilité : 4 à 75% ;
- sa flamme est peu visible (elle est uniquement colorée par la combustion des particules présentes dans l’air ambiant) ;
- elle est très chaude (2000°C) ;
- elle est très peu radiante (risque de ne pas percevoir la flamme et de se retrouver dedans) ;
- le principal indicateur pour repérer une flamme d’hydrogène est le bruit ;
- seul un contrôle à la caméra thermique permet de la visualiser parfaitement.
- Une fuite H2 enflammée haute pression ne peut pas être éteinte par une lance incendie.
note chien d’aveugle 3 cas possibles ?
- chien bléssé : pris en charge par le VRA puis transport véto malf si besoin
- maitre UR transporté avec son chien par le même vecteur (préciser à la coordi)
- maître UA hospitalisation longue durée chien transporté par VRA à paris (école chien d’aveugle)
risque électrique basse tension consignes pour le porte lance ?
distance 2M mini entre la lance et l’installation
- manœuvrer dans un premier temps la lance dans une direction non dangereuse puis diriger le jet avec précaution sur les pièces sous tension ;
- procéder par gestes lents et précis ;
- reculer à la moindre sensation de picotement ;
- faire attention au risque d’électrisation : éviter de marcher dans les eaux de ruissellement, qui peuvent conduire le courant ;
- rester vigilant vis-à-vis des pièces métalliques avoisinantes (rambardes, canalisations, fils volants, etc.
caractéristiques générales gaz naturelle
méthane (CHA 86 a 98%) densité 0.55 LIE 5% LSE 15%
odorant grâce au tétrahydrothiophène(THT) ou mercaptan