Question fin Flashcards
Des chercheurs soulèvent que l’agression sexuellle en enfance serait liée à plusieurs effets négatifs sur la santé sexuelle et intime à l’âge adulte. Nomme ces effets tels que rapporté dans l’Article de Vaillancourt - Morel 2015
- une faible fréquence des rapports sexuels ou une sexualité inversement accentuée
- des attitudes sexuels négatives
- insatisfaction sexuelle
- moindre estime de soi sexuelle
- infidèlité
- risque accru de revictimisation sexuelle
- vaste gamme de dysfonction sexuelles
Aron 2012 ainsi que Colangelo et keefe-cooperman ont concluent que le comportement et fonctionnement sexuel des adultes rappportant des AS en enfance semblaient s’organiser selon deux types des voies (pathways)
1) internalisé: l’évitemement soir par des flashback d’Abu, les sentiments négatifs et les dysfonctionnements
2) externalisé: comportements sexuels compulsifs externalisés ou de l’hypersexualité ou sexualité addictive
Selon l’étude de Skegg, nada-raja et Paul 2010, chez quels genre l’agression sexuelle en enfance est associée au plus niveau de compoulsion ?
Homme
Selon l’étude de Plant, Plant et Miller 2005, chez quels genre l’AS en enfance est associé au plu niveau de compulsion sexuelle?
Les deu
xdans l’échantillon issu de la population générale intérrogé dans cette étude (Vaillancourt-Morel), ……..% des femmes et …….% des hommes ont rapportés au moins un épisode d’AS en enfance?
F: 20
H: 19
Selon l’article de Vaillancourt-Morel, l’AS en enfance est associé à de plus hauts niveaux de ……….. et de ………., qui a leur tour prédisent un ajustement dyadique plus faible
Évitement sexuel
Compulsion sexuelle
V ou F
Selon les résultats obtenus ds l’étude de Vaillancourt-Morel 2015, il ne peut pas y avoir de co occurence d’évitement sexuel et de compulsivité sexuelle chez une même personne?
Faux pas mutuellement exclusif
Selon les écrits scientifiques, la prévalence de difficultés sexuelles chez les hommes s’identifiant comme homo varient entre ……….% (L’au et al 2008) et ……..% et plus (hirshfield et al 2010)
42,5
75
Comparativement aux homme hétérosexuels, décrivez la prévalence des troubles du désir hypoactif et du trouble érectile chez les hommes non hétérosexuels selon les écrits scientifiques recensés
L’éjaculation retardée est plus fréquente que le trouble érectile
Le désir hypoactif est aussi un des plus prévalent
Comparativement aux homme hétérosexuel, décrivez la prévalence du trouble d’éjaculation précoce chez les hommes ne s’identifiant pas comme hétérosexuels selon les écrits scientifiques (Ivankovic)
Une prévalence moindre de l’éjaculation précoce pour les hommes non hétérosexuels
Pour le trouble d’jaculation précoce, quelle est l’explication offertes de différents auteurs (cove, Boyle)
La pénétration est moins centrale pour les hommes non hétérosexuels que pour les. Hommes hétérosexuels
Des taux significativement plus élevés de problèmes de santé mentale sont observés chez les hommes non hétérosexuels, comparativement aux homme hétérosexuel .
Quelle explication fournissent les différents auteurs (Fingerhut)
- la stigmatisation social et la discrimination en lien avec les minorités sexuels est vu comme une source importante de la diminution du B-ê psychologique, vulnérabilité au stress chronique et des problèmes de SM
Décrivez la conceptualisation du modèle du stress des minorité de meyer
3 processus
1) externe : évènements stressants tel que les expériences de victimisation ou de discrimination en raison de l’orientation sexuelle
2) interne : homophobie intériorisée
3) interne attente de victimisation et discrimination
V ou F
Selon ce qui est mentionné dans la section résultat de l’article de Ivankovic, les hommes s’identifiant comme non hétérosexuels rapportent significativement plus de difficultés sexuelle quels les hommes hétérosexuels
F
LEs auteurs s’attendaient à ce que plus le niveau de stress minoritaire endossé par les participants était élevé, plus ces derniers étaient à risque de signaler des problèmes sexuels.
Selon ce qui est mentionné leur hypothèse a t elle été prouver?
Non contraierement à leurs attentes, aucun différence significative entre les deux groupes a été observée .
Les difficultés sexuelles les plus souffrantes ont été observée plus fréquemment chez les hétérosexuels