question classe Flashcards
1
Q
1. Quelle molécule est responsable de l’acidose métabolique suite à l’intoxication à l’éthylène glycol? a. Acide gluconique b. Acide glycolique c. Acide glutamique d. Acide glycérique e. Acide glucuronique
A
b
2
Q
- Concernant l’éthylène glycol, quel énoncé décrit le mieux les facteurs de
risques liés à son intoxication.
a. L’espèce la plus sensible est le chat vivant dans des régions à climat
tempéré et l’incidence d’intoxications est maximale en hiver.
b. L’espèce la plus sensible est le cheval vivant dans des régions rurales
et l’incidence d’intoxications est maximale au printemps.
c. L’espèce la plus sensible est le chien vivant dans des régions à climat
océanique et l’incidence d’intoxications est maximale en hiver.
d. L’espèce la plus sensible est le bovin vivant dans des régions à climat
tempéré et l’incidence d’intoxications est maximale en été.
e. L’espèce la plus sensible est le veau vivant dans des régions à climat
aride et l’incidence d’intoxications est maximale à l’automne.
A
a
3
Q
- Quelle est la prévalence d’intoxication à l’éthylène glycol?
a. Entre 15% et 20%
b. Entre 20% et 25%
c. Entre 25% et 30%
d. Entre 30% et 35%
e. Entre 35% et 40%
A
c
4
Q
- Edgar, un chat mâle castré de 5 ans, s’intoxique à l’éthylène glycol. Celui-ci
est amené à la clinique vétérinaire par son propriétaire. Suite à leur arrivée, la
vétérinaire procède, entre autres, à une analyse urinaire. Mis à part la
cristallurie, quelle anomalie majeure sera présente à l’urologie?
a. Glycosurie
b. Protéinurie
c. Kalliurie
d. Hématurie
e. Polyurie
A
D
5
Q
- Choisir l’énoncé qui décrit le mieux l’approche thérapeutique lors d’une
intoxication à l’éthylène glycol.
a. Décontaminer par lavage gastrique et administrer un agent émétique,
peu importe l’état du patient
b. Réhydrater l’animal en corrigeant l’acidose métabolique à l’aide d’une
fluidothérapie de NaHCO3
c. Réhydrater l’animal en corrigeant l’alcalose métabolique à l’aide
d’une fluidothérapie de NH4Cl
d. Administrer des antagonistes non compétitifs de l’éthylène glycol tels
que l’éthanol ou le formépizole
e. Séquestrer l’éthylène glycol non absorbé dans l’intestin à l’aide d’une
suspension orale de charbon activé
A
b
6
Q
- Identifiez la méthode la plus appropriée de gestion du risque lié à l’éthylène
glycol :
a. Prix élevé dissuasif pour décourager l’achat
b. Entreposage hors de la portée des animaux
c. Interdiction de la détention par des particuliers
d. Ajout d’un amer intolérable pour tout animal
e. Formation obligatoire et permis d’utilisation
A
b
7
Q
7. Lorsqu’il atteint sa cible, soit les cellules β (béta) des îlots pancréatiques, le xylitol induit: a. Hypersécrétion de glucagon b. Hypersécrétion de trypsinogène c. Hypersécrétion d’insuline d. Hypersécrétion de lipase e. Hypersécrétion de somatostatine
A
c
8
Q
- Parmi les énoncés suivant sur le xylitol, lequel est faux:
a. Le rein est le principal siège d’élimination du xylitol
b. Il est métabolisé par la voie des pentoses phosphates
c. Il induit une hypoglycémie et de la nécrose hépatique
d. Sa dose minimale hépatotoxique chez le chien est 0,5 mg/kg
e. Il produit des radicaux libres agents de stress oxydatif
A
a
9
Q
- Pour quelles espèces le xylitol est-il toxique?
a. Humain et caprin
b. Rat et bovin
c. Chien et lapin
d. Humain et chien
e. Rat et cheval
A
c
10
Q
10. Quelle caractéristique physiologique est un facteur de risque pour l’intoxication au xylitol? a. Animal en fin de gestation b. Animal souffrant d’obésité c. Animal souffrant de cachexie d. Animal de moins de 2 mois e. Aucune de ces réponses
A
e
11
Q
- Parmi les énoncés suivant, quelle combinaison de signes cliniques correspond
à une intoxication au xylitol ?
a. Léthargie, anorexie, vomissement
b. Agitation, anorexie, diarrhée
c. Choc anaphylactique, diarrhée, réflexes augmentés
d. Ataxie, diarrhée, tachycardie
e. Vomissement, oedème facial, ataxie a
A
a
12
Q
12. Lors d’intoxication au xylitol, quel changement n’est pas observé dans les tests de pathologie clinique ? a. Hypokaliémie b. Hyperglycémie c. PT et PTT augmentés d. ALT et AST augmentés e. Hypophosphatémie
A
b
13
Q
- Concernant l’approche thérapeutique, quel élément n’est pas utilisé contre
l’intoxication au xylitol ?
a. Apomorphine ou H2O2 pour faire vomir l’animal
b. Charbon activé pour la décontamination
c. Dextrose I.V. ou repas fréquents contre l’hypoglycémie
d. Vitamine K pour les troubles de coagulation
e. N-acétylcystéine comme hépatoprotecteur
A
b
14
Q
- Le pronostic d’une intoxication au xylitol est:
a. Toujours bon car l’intoxication est auto-limitante
b. Bon si l’intoxication est détectée et présentée rapidement
c. Bon si l’animal survit après 3 jours
d. Sombre lors des premières 24h
e. Sombre, car il n’y a pas de traitement
A
b
15
Q
- Parmi les énoncés suivant, lequel est vrai concernant la réglementation de
l’étiquetage du xylitol pour des aliments transformés ?
a. Sur l’étiquette, le xylitol doit être indiqué à partir d’une quantité
supérieure ou égale à 0,05mg/kg.
b. Sur l’étiquette, le xylitol peut uniquement être associé avec
l’édulcorant nommé tagatose
c. Sur l’étiquette, le xylitol doit être séparé des autres polyalcools si sa
quantité dépasse 0,1mg/kg.
d. Sur l’étiquette, le xylitol doit toujours figurer séparément des sucres et
autres édulcorants.
e. Sur l’étiquette, le xylitol peut être inscrit dans la catégorie générique
« agents édulcorants »
A
d
16
Q
- Lequel de ces produits commerciaux ne contient généralement pas de xylitol ?
a. Gomme à mâcher
b. Antigel automobile
c. Pâte dentifrice
d. Rince-bouche
e. Beurre d’arachide
A
b
17
Q
- Concernant l’action des pyréthrines sur plusieurs canaux, quel énoncé est
faux?
a. Augmente l’influx de Na via le canal Na+ voltage dépendant.
b. Diminue l’influx de Ca2+ via le canal Ca2+ voltage dépendant.
c. Diminue l’influx de Cl- via le canal Cl- voltage dépendant.
d. Augmente l’influx de K+ via le canal K+ voltage dépendant.
e. Diminue l’influx de Cl- via le canal Cl- GABA-dépendant
A
d
18
Q
- Parmi les énoncés suivants sur les pyréthrines, lequel est faux ?
a. Retrouvé dans les insecticides et les antiparasitaires
b. Elles sont excrétées dans le lait, l’urine et la bile
c. La pyréthrine est extraite du pyrèthre de Dalmatie
d. Les pyréthrines sont des molécules très hydrophiles
e. Elles intoxiquent de façon aiguë ou chronique cumulative.
A
d
19
Q
- Quel est l’énoncé qui correspond le mieux à la description de la sensibilité des
animaux à la pyréthrine?
a. Les mammifères sont peu sensibles étant donné leur métabolisme
efficace de cette toxine, qui minimise leur accumulation systémique.
b. Les animaux à sang froid tels les amphibiens sont jusqu’à 1000 fois
plus sensibles aux pyréthrines que les insectes.
c. Les insectes et animaux à sang froid peuvent être plus sensibles que les
mammifères, et ce, jusqu’à 1000 fois.
d. Les chats sont beaucoup plus sensibles que les chiens puisqu’ils ne
peuvent faire de glucuronoconjugaison.
e. Les mammifères sont les animaux les plus sensibles aux pyréthrines
dans le règne animal.
A
c
20
Q
- Quel énoncé concernant les facteurs de risque de l’intoxication aux
pyréthrines est vrai?
a. Les jeunes animaux sont moins affectés en raison de leur plus grande
capacité métabolique.
b. Les animaux adultes sont plus affectés en raison de leur plus grande
capacité métabolique.
c. Les animaux atteints d’une anémie préexistante sont plus à risque
d’intoxication.
d. Les animaux atteints d’une anémie préexistante réussissent à mieux
résister au poison.
e. Les chats sont moins sensibles que les chiens en raison de leur capacité
métabolique.
A
c
21
Q
- Concernant les signes cliniques ci-dessous, lequel ne s’applique pas à une
intoxication aux pyréthrines?
a. Fasciculation et tressaillements
b. Signes neurologiques (ataxie, faiblesse, hyperexcitabilité, convulsion)
c. Choc anaphylactique
d. Insuffisance urinaire
e. Vomissement, diarrhée
A
d
22
Q
- Concernant la durée des signes cliniques d’une intoxication aux pyréthrines,
quel énoncé est vrai?
a. Les signes cliniques sont d’une durée de 12h chez le chat, 48h chez le
chien et 72h chez les grands animaux.
b. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h, peu importe l’espèce
intoxiquée.
c. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h chez les chiens et les
chats et d’une durée de 72h chez les grands animaux.
d. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h chez les chiens et les
chats et d’une durée indéterminée chez les autres espèces.
e. Les signes cliniques sont visibles 1 semaine après l’intoxication chez
toutes les espèces.
A
c
23
Q
- Quelle approche thérapeutique est fausse concernant l’intoxication aux
pyréthrines?
a. Lavage du site exposé pour la décontamination, suivi de
fluidothérapie.
b. Le charbon activé administré par voie orale est l’antidote de choix.
c. Lavage gastrique puis administration de relaxant musculaire
(méthocarbamol).
d. Administration d’anticonvulsivants comme les barbituriques comme
soin de support.
e. Administration d’anti-nauséeux comme la diphenhydramine comme
soin de support
A
b
24
Q
- Concernant l’intoxication à la pyréthrine, lequel des facteurs suivants n’est
pas un motif suffisant pour conclure à un pronostic réservé à mauvais?
a. Animal en choc anaphylactique.
b. Chien ou chat exposé aux pyréthrines.
c. Exposition topique aux pyréthrines.
d. Présence de dommages rénaux.
e. Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
A
c
25
Q
- Concernant la gestion du risque relié à la pyréthrine, lequel des énoncés
suivants est vrai?
a. Un propriétaire de chat devrait substituer un insecticide contenant de la
pyréthrine par un autre insecticide.
b. Un propriétaire de chien devrait substituer un insecticide contenant de
la pyréthrine par un autre insecticide.
c. Seulement les chats ont un danger élevé face aux insecticides
contenant de la pyréthrine.
d. Les abeilles, la faune aquatique et les chiens sont plus susceptibles à
un danger élevé face à ce poison.
e. Les chats, les chiens et la faune aquatique sont plus susceptibles à un
danger élevé face à ce poison.
A
a
26
Q
- Concernant la probabilité d’exposition à la pyréthrine, quel énoncé est vrai:
a. Presque pas utilisé et dégradation environnementale rapide.
b. Utilisé de façon importante, dégradation environnementale rapide
c. Très utilisé et reste très longtemps dans l’environnement.
d. N’est plus utilisé au Canada, dégradation environnementale très lente.
e. Usage modéré et dégradation environnementale presque instantanée.
A
b
27
Q
- Quel énoncé suivant est erroné concernant le mécanisme de toxicité du
chocolat?
a. Les sources d’empoisonnement au chocolat proviennent des aliments
contenant des dérivés de la fève de la cabosse du cacaoyer.
b. Le chocolat contient de la théobromine et de la caféine, qui causent les
signes cliniques d’intoxication.
c. Les toxines du chocolat inhibent compétitivement les récepteurs de
l’adénosine et les phosphodiestérases des nucléotides cycliques.
d. Les toxines du chocolat sont des agonistes du canal ryanodine du
réticulum endoplasmique, qui alors libère ses réserves de Ca2+.
e. Le facteur de chronicité de la théobromine est très supérieur à 2, ce qui
implique des intoxications lors d’exposition répétée à faible dose.
A
e
28
Q
- Quel énoncé suivant est erroné concernant les facteurs de risque associés à
l’intoxication au chocolat.
a. Le risque d’intoxication est maximal à Noël et Pâques.
b. Les animaux les plus à risque sont âgés de moins de 4 ans.
c. Les emballages métalliques aggravent le risque d’intoxication
d. Le chien, le chat, les ruminants et le lapin sont des espèces à risque.
e. Les animaux ayant des CYP 1A2 incomplètes de sont plus à risque.
A
c
29
Q
- Laquelle des méthodes diagnostiques suivantes n’est pas utile lors d’une
intoxication au chocolat?
a. Les signes cliniques et l’anamnèse évoquant l’ingestion de chocolat.
b. La radiographie abdominale avec usage d’un agent de contraste oral.
c. Le dosage des HPLC des méthylxantines dans le plasma ou l’urine.
d. L’observation d’un animal qui vomit du chocolat à la clinique.
e. La congestion sanguine des organes internes à la nécropsie.
A
b
30
Q
- Quelle combinaison de signes cliniques ne correspond pas à une intoxication
au chocolat?
a. Agitation, halètement, vomissement, diarrhée et PU/PD.
b. Tachycardie, hyperthermie et faiblesse.
c. Contractions ventriculaires prématurées et rigidité musculaire.
d. Bradycardie, hypothermie et anurie.
e. Réflexes augmentés, ataxie, convulsions, coma et mort
A
d
31
Q
- Choisissez l’énoncé vrai par rapport au pronostic de l’intoxication au chocolat
chez les animaux domestiques.
a. Bon pronostic seulement si l’animal est traité avant 3h post-ingestion.
b. L’apparition de convulsions n’a pas d’impact sur le pronostic.
c. Le pronostic n’est pas influencé par la quantité de chocolat ingérée.
d. L’arythmie et autres signes cardiovasculaires aggrave le pronostic.
e. L’intoxication au chocolat n’a pas besoin d’être traitée médicalement
A
d
32
Q
- Choisissez l’énoncé vrai par rapport à l’approche thérapeutique de
l’intoxication au chocolat chez les petits animaux.
a. La prise en charge d’un chien intoxiqué au chocolat n’est pas urgente.
b. La fluidothérapie i.v. de solutés est indiquée chez l’animal en diurèse.
c. L’atropine est indiquée lors de contractions ventriculaires prématurées.
d. Aucun traitement n’est recommandé pour normaliser l’hypotension.
e. Une perfusion i.v. de lidocaïne corrige la tachycardie et l’hypertension
A
b