question classe Flashcards

1
Q
1. Quelle molécule est responsable de l’acidose métabolique suite à
l’intoxication à l’éthylène glycol?
a. Acide gluconique
b. Acide glycolique
c. Acide glutamique
d. Acide glycérique
e. Acide glucuronique
A

b

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2
Q
  1. Concernant l’éthylène glycol, quel énoncé décrit le mieux les facteurs de
    risques liés à son intoxication.
    a. L’espèce la plus sensible est le chat vivant dans des régions à climat
    tempéré et l’incidence d’intoxications est maximale en hiver.
    b. L’espèce la plus sensible est le cheval vivant dans des régions rurales
    et l’incidence d’intoxications est maximale au printemps.
    c. L’espèce la plus sensible est le chien vivant dans des régions à climat
    océanique et l’incidence d’intoxications est maximale en hiver.
    d. L’espèce la plus sensible est le bovin vivant dans des régions à climat
    tempéré et l’incidence d’intoxications est maximale en été.
    e. L’espèce la plus sensible est le veau vivant dans des régions à climat
    aride et l’incidence d’intoxications est maximale à l’automne.
A

a

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3
Q
  1. Quelle est la prévalence d’intoxication à l’éthylène glycol?
    a. Entre 15% et 20%
    b. Entre 20% et 25%
    c. Entre 25% et 30%
    d. Entre 30% et 35%
    e. Entre 35% et 40%
A

c

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4
Q
  1. Edgar, un chat mâle castré de 5 ans, s’intoxique à l’éthylène glycol. Celui-ci
    est amené à la clinique vétérinaire par son propriétaire. Suite à leur arrivée, la
    vétérinaire procède, entre autres, à une analyse urinaire. Mis à part la
    cristallurie, quelle anomalie majeure sera présente à l’urologie?
    a. Glycosurie
    b. Protéinurie
    c. Kalliurie
    d. Hématurie
    e. Polyurie
A

D

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5
Q
  1. Choisir l’énoncé qui décrit le mieux l’approche thérapeutique lors d’une
    intoxication à l’éthylène glycol.
    a. Décontaminer par lavage gastrique et administrer un agent émétique,
    peu importe l’état du patient
    b. Réhydrater l’animal en corrigeant l’acidose métabolique à l’aide d’une
    fluidothérapie de NaHCO3
    c. Réhydrater l’animal en corrigeant l’alcalose métabolique à l’aide
    d’une fluidothérapie de NH4Cl
    d. Administrer des antagonistes non compétitifs de l’éthylène glycol tels
    que l’éthanol ou le formépizole
    e. Séquestrer l’éthylène glycol non absorbé dans l’intestin à l’aide d’une
    suspension orale de charbon activé
A

b

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6
Q
  1. Identifiez la méthode la plus appropriée de gestion du risque lié à l’éthylène
    glycol :
    a. Prix élevé dissuasif pour décourager l’achat
    b. Entreposage hors de la portée des animaux
    c. Interdiction de la détention par des particuliers
    d. Ajout d’un amer intolérable pour tout animal
    e. Formation obligatoire et permis d’utilisation
A

b

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7
Q
7. Lorsqu’il atteint sa cible, soit les cellules β (béta) des îlots pancréatiques, le
xylitol induit:
a. Hypersécrétion de glucagon
b. Hypersécrétion de trypsinogène
c. Hypersécrétion d’insuline
d. Hypersécrétion de lipase
e. Hypersécrétion de somatostatine
A

c

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8
Q
  1. Parmi les énoncés suivant sur le xylitol, lequel est faux:
    a. Le rein est le principal siège d’élimination du xylitol
    b. Il est métabolisé par la voie des pentoses phosphates
    c. Il induit une hypoglycémie et de la nécrose hépatique
    d. Sa dose minimale hépatotoxique chez le chien est 0,5 mg/kg
    e. Il produit des radicaux libres agents de stress oxydatif
A

a

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9
Q
  1. Pour quelles espèces le xylitol est-il toxique?
    a. Humain et caprin
    b. Rat et bovin
    c. Chien et lapin
    d. Humain et chien
    e. Rat et cheval
A

c

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10
Q
10. Quelle caractéristique physiologique est un facteur de risque pour
l’intoxication au xylitol?
a. Animal en fin de gestation
b. Animal souffrant d’obésité
c. Animal souffrant de cachexie
d. Animal de moins de 2 mois
e. Aucune de ces réponses
A

e

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11
Q
  1. Parmi les énoncés suivant, quelle combinaison de signes cliniques correspond
    à une intoxication au xylitol ?
    a. Léthargie, anorexie, vomissement
    b. Agitation, anorexie, diarrhée
    c. Choc anaphylactique, diarrhée, réflexes augmentés
    d. Ataxie, diarrhée, tachycardie
    e. Vomissement, oedème facial, ataxie a
A

a

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12
Q
12. Lors d’intoxication au xylitol, quel changement n’est pas observé dans les
tests de pathologie clinique ?
a. Hypokaliémie
b. Hyperglycémie
c. PT et PTT augmentés
d. ALT et AST augmentés
e. Hypophosphatémie
A

b

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13
Q
  1. Concernant l’approche thérapeutique, quel élément n’est pas utilisé contre
    l’intoxication au xylitol ?
    a. Apomorphine ou H2O2 pour faire vomir l’animal
    b. Charbon activé pour la décontamination
    c. Dextrose I.V. ou repas fréquents contre l’hypoglycémie
    d. Vitamine K pour les troubles de coagulation
    e. N-acétylcystéine comme hépatoprotecteur
A

b

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14
Q
  1. Le pronostic d’une intoxication au xylitol est:
    a. Toujours bon car l’intoxication est auto-limitante
    b. Bon si l’intoxication est détectée et présentée rapidement
    c. Bon si l’animal survit après 3 jours
    d. Sombre lors des premières 24h
    e. Sombre, car il n’y a pas de traitement
A

b

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15
Q
  1. Parmi les énoncés suivant, lequel est vrai concernant la réglementation de
    l’étiquetage du xylitol pour des aliments transformés ?
    a. Sur l’étiquette, le xylitol doit être indiqué à partir d’une quantité
    supérieure ou égale à 0,05mg/kg.
    b. Sur l’étiquette, le xylitol peut uniquement être associé avec
    l’édulcorant nommé tagatose
    c. Sur l’étiquette, le xylitol doit être séparé des autres polyalcools si sa
    quantité dépasse 0,1mg/kg.
    d. Sur l’étiquette, le xylitol doit toujours figurer séparément des sucres et
    autres édulcorants.
    e. Sur l’étiquette, le xylitol peut être inscrit dans la catégorie générique
    « agents édulcorants »
A

d

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16
Q
  1. Lequel de ces produits commerciaux ne contient généralement pas de xylitol ?
    a. Gomme à mâcher
    b. Antigel automobile
    c. Pâte dentifrice
    d. Rince-bouche
    e. Beurre d’arachide
A

b

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17
Q
  1. Concernant l’action des pyréthrines sur plusieurs canaux, quel énoncé est
    faux?
    a. Augmente l’influx de Na via le canal Na+ voltage dépendant.
    b. Diminue l’influx de Ca2+ via le canal Ca2+ voltage dépendant.
    c. Diminue l’influx de Cl- via le canal Cl- voltage dépendant.
    d. Augmente l’influx de K+ via le canal K+ voltage dépendant.
    e. Diminue l’influx de Cl- via le canal Cl- GABA-dépendant
A

d

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18
Q
  1. Parmi les énoncés suivants sur les pyréthrines, lequel est faux ?
    a. Retrouvé dans les insecticides et les antiparasitaires
    b. Elles sont excrétées dans le lait, l’urine et la bile
    c. La pyréthrine est extraite du pyrèthre de Dalmatie
    d. Les pyréthrines sont des molécules très hydrophiles
    e. Elles intoxiquent de façon aiguë ou chronique cumulative.
A

d

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19
Q
  1. Quel est l’énoncé qui correspond le mieux à la description de la sensibilité des
    animaux à la pyréthrine?
    a. Les mammifères sont peu sensibles étant donné leur métabolisme
    efficace de cette toxine, qui minimise leur accumulation systémique.
    b. Les animaux à sang froid tels les amphibiens sont jusqu’à 1000 fois
    plus sensibles aux pyréthrines que les insectes.
    c. Les insectes et animaux à sang froid peuvent être plus sensibles que les
    mammifères, et ce, jusqu’à 1000 fois.
    d. Les chats sont beaucoup plus sensibles que les chiens puisqu’ils ne
    peuvent faire de glucuronoconjugaison.
    e. Les mammifères sont les animaux les plus sensibles aux pyréthrines
    dans le règne animal.
A

c

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20
Q
  1. Quel énoncé concernant les facteurs de risque de l’intoxication aux
    pyréthrines est vrai?
    a. Les jeunes animaux sont moins affectés en raison de leur plus grande
    capacité métabolique.
    b. Les animaux adultes sont plus affectés en raison de leur plus grande
    capacité métabolique.
    c. Les animaux atteints d’une anémie préexistante sont plus à risque
    d’intoxication.
    d. Les animaux atteints d’une anémie préexistante réussissent à mieux
    résister au poison.
    e. Les chats sont moins sensibles que les chiens en raison de leur capacité
    métabolique.
A

c

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21
Q
  1. Concernant les signes cliniques ci-dessous, lequel ne s’applique pas à une
    intoxication aux pyréthrines?
    a. Fasciculation et tressaillements
    b. Signes neurologiques (ataxie, faiblesse, hyperexcitabilité, convulsion)
    c. Choc anaphylactique
    d. Insuffisance urinaire
    e. Vomissement, diarrhée
A

d

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22
Q
  1. Concernant la durée des signes cliniques d’une intoxication aux pyréthrines,
    quel énoncé est vrai?
    a. Les signes cliniques sont d’une durée de 12h chez le chat, 48h chez le
    chien et 72h chez les grands animaux.
    b. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h, peu importe l’espèce
    intoxiquée.
    c. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h chez les chiens et les
    chats et d’une durée de 72h chez les grands animaux.
    d. Les signes cliniques sont d’une durée de 24h chez les chiens et les
    chats et d’une durée indéterminée chez les autres espèces.
    e. Les signes cliniques sont visibles 1 semaine après l’intoxication chez
    toutes les espèces.
A

c

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23
Q
  1. Quelle approche thérapeutique est fausse concernant l’intoxication aux
    pyréthrines?
    a. Lavage du site exposé pour la décontamination, suivi de
    fluidothérapie.
    b. Le charbon activé administré par voie orale est l’antidote de choix.
    c. Lavage gastrique puis administration de relaxant musculaire
    (méthocarbamol).
    d. Administration d’anticonvulsivants comme les barbituriques comme
    soin de support.
    e. Administration d’anti-nauséeux comme la diphenhydramine comme
    soin de support
A

b

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24
Q
  1. Concernant l’intoxication à la pyréthrine, lequel des facteurs suivants n’est
    pas un motif suffisant pour conclure à un pronostic réservé à mauvais?
    a. Animal en choc anaphylactique.
    b. Chien ou chat exposé aux pyréthrines.
    c. Exposition topique aux pyréthrines.
    d. Présence de dommages rénaux.
    e. Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).
A

c

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25
Q
  1. Concernant la gestion du risque relié à la pyréthrine, lequel des énoncés
    suivants est vrai?
    a. Un propriétaire de chat devrait substituer un insecticide contenant de la
    pyréthrine par un autre insecticide.
    b. Un propriétaire de chien devrait substituer un insecticide contenant de
    la pyréthrine par un autre insecticide.
    c. Seulement les chats ont un danger élevé face aux insecticides
    contenant de la pyréthrine.
    d. Les abeilles, la faune aquatique et les chiens sont plus susceptibles à
    un danger élevé face à ce poison.
    e. Les chats, les chiens et la faune aquatique sont plus susceptibles à un
    danger élevé face à ce poison.
A

a

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26
Q
  1. Concernant la probabilité d’exposition à la pyréthrine, quel énoncé est vrai:
    a. Presque pas utilisé et dégradation environnementale rapide.
    b. Utilisé de façon importante, dégradation environnementale rapide
    c. Très utilisé et reste très longtemps dans l’environnement.
    d. N’est plus utilisé au Canada, dégradation environnementale très lente.
    e. Usage modéré et dégradation environnementale presque instantanée.
A

b

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27
Q
  1. Quel énoncé suivant est erroné concernant le mécanisme de toxicité du
    chocolat?
    a. Les sources d’empoisonnement au chocolat proviennent des aliments
    contenant des dérivés de la fève de la cabosse du cacaoyer.
    b. Le chocolat contient de la théobromine et de la caféine, qui causent les
    signes cliniques d’intoxication.
    c. Les toxines du chocolat inhibent compétitivement les récepteurs de
    l’adénosine et les phosphodiestérases des nucléotides cycliques.
    d. Les toxines du chocolat sont des agonistes du canal ryanodine du
    réticulum endoplasmique, qui alors libère ses réserves de Ca2+.
    e. Le facteur de chronicité de la théobromine est très supérieur à 2, ce qui
    implique des intoxications lors d’exposition répétée à faible dose.
A

e

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28
Q
  1. Quel énoncé suivant est erroné concernant les facteurs de risque associés à
    l’intoxication au chocolat.
    a. Le risque d’intoxication est maximal à Noël et Pâques.
    b. Les animaux les plus à risque sont âgés de moins de 4 ans.
    c. Les emballages métalliques aggravent le risque d’intoxication
    d. Le chien, le chat, les ruminants et le lapin sont des espèces à risque.
    e. Les animaux ayant des CYP 1A2 incomplètes de sont plus à risque.
A

c

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29
Q
  1. Laquelle des méthodes diagnostiques suivantes n’est pas utile lors d’une
    intoxication au chocolat?
    a. Les signes cliniques et l’anamnèse évoquant l’ingestion de chocolat.
    b. La radiographie abdominale avec usage d’un agent de contraste oral.
    c. Le dosage des HPLC des méthylxantines dans le plasma ou l’urine.
    d. L’observation d’un animal qui vomit du chocolat à la clinique.
    e. La congestion sanguine des organes internes à la nécropsie.
A

b

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30
Q
  1. Quelle combinaison de signes cliniques ne correspond pas à une intoxication
    au chocolat?
    a. Agitation, halètement, vomissement, diarrhée et PU/PD.
    b. Tachycardie, hyperthermie et faiblesse.
    c. Contractions ventriculaires prématurées et rigidité musculaire.
    d. Bradycardie, hypothermie et anurie.
    e. Réflexes augmentés, ataxie, convulsions, coma et mort
A

d

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31
Q
  1. Choisissez l’énoncé vrai par rapport au pronostic de l’intoxication au chocolat
    chez les animaux domestiques.
    a. Bon pronostic seulement si l’animal est traité avant 3h post-ingestion.
    b. L’apparition de convulsions n’a pas d’impact sur le pronostic.
    c. Le pronostic n’est pas influencé par la quantité de chocolat ingérée.
    d. L’arythmie et autres signes cardiovasculaires aggrave le pronostic.
    e. L’intoxication au chocolat n’a pas besoin d’être traitée médicalement
A

d

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32
Q
  1. Choisissez l’énoncé vrai par rapport à l’approche thérapeutique de
    l’intoxication au chocolat chez les petits animaux.
    a. La prise en charge d’un chien intoxiqué au chocolat n’est pas urgente.
    b. La fluidothérapie i.v. de solutés est indiquée chez l’animal en diurèse.
    c. L’atropine est indiquée lors de contractions ventriculaires prématurées.
    d. Aucun traitement n’est recommandé pour normaliser l’hypotension.
    e. Une perfusion i.v. de lidocaïne corrige la tachycardie et l’hypertension
A

b

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33
Q
  1. Choisissez l’énoncé faux par rapport à la gestion du risque de l’intoxication au
    chocolat chez les petits animaux.
    a. Les fêtes comme Pâques et la Saint-Valentin représentent un risque
    accru et demandent une plus grande vigilance des propriétaires.
    b. Le risque pour l’animal est corrélé à la dose ingérée, il est donc utile
    d’estimer cette dernière avec un calculateur web.
    c. La probabilité d’exposition de nos animaux est décroissante et il n’est
    donc plus nécessaire d’investir pour une gestion serrée du risque.
    d. La grande variabilité interindividuelle de sensibilité aux toxines rend
    imprévisible l’effet de la dose sur l’animal.
    e. Des feuillets explicatifs des risques encourus et des listes de produits
    contenant du cacao aident à gérer le risque par l’éducation du public.
A

c

34
Q
  1. Concernant la toxicité des rodenticides anticoagulants, lequel des énoncés est
    vrai?
    a. La persistance de ces rodenticides dans l’organisme est courte.
    b. Ces poisons inhibent l’époxydation de la vitamine K hydroquinone.
    c. Les signes cliniques d’intoxication aux rodenticides sont immédiats.
    d. Ces rodenticides inactivent la vitamine K époxyde réductase.
    e. En général, le facteur de chronicité de ces rodenticides est faible
A

d

35
Q
  1. Lequel de ces énoncés est faux concernant l’épidémiologie des rodenticides
    anticoagulants?
    a. Les maladies hépatiques diminuent la détoxification du rodenticide.
    b. La vache est plus sensible que le chien à ce type de rodenticides.
    c. Les AINS sont un facteur de risque car ils sont aussi anticoagulants.
    d. Les animaux adultes sont moins à risque que les animaux gériatriques.
    e. Les rodenticides sont une cause fréquente d’intoxication chez le chien
A

b

36
Q
  1. Lequel de ces énoncés est faux par rapport aux manifestations cliniques des
    rodenticides anticoagulants?
    a. Lors d’intoxication aiguë, il y a une hémorragie des organes vitaux
    suivie d’une mort subite.
    b. Une intoxication subaiguë peut présenter des signes d’hypovolémie
    (tachycardie, polypnée, abattement, hypothermie, TRC > 3 sec)
    c. Les hémorragies persistantes apparaissent plus rapidement avec les
    rodenticides de 2e génération.
    Page 9 | 25
    d. Lors d’intoxication subaiguë, il peut y avoir des hémorragies internes
    dans le TGI, le thorax, le SNC et autres organes.
    e. Dans les cas d’intoxications subaiguës, des hémorragies gingivales
    peuvent fréquemment se produire.
A

c

37
Q
  1. Concernant les traitements d’intoxication aux rodenticides anti-coagulants,
    lequel est vrai?
    a. Il est toujours conseillé d’administrer des agents émétiques à l’animal.
    b. Il faut tester la coagulation 1 à 7 jours post-ingestion si la dose ingérée
    est moindre que la dose maximale sans effet.
    c. La fluidothérapie est superflue, à l’opposé d’une transfusion sanguine.
    d. Il est recommandé d’administrer de la vitamine K pendant 7 jours.
    e. Le charbon activé est généralement inefficace pour ce type de poison.
A

b

38
Q
  1. Concernant l’analyse et la gestion du risque des rodenticides anticoagulants,
    lequel de ces énoncés est faux ?
    a. Le danger encouru par des rodenticides de 2e génération est élevé.
    b. La sensibilisation du public à une utilisation sécuritaire est un moyen
    de gérer le risque.
    c. La dissémination environnementale des rodenticides n’est pas un
    facteur de risque d’exposition.
    d. La probabilité d’exposition indirecte est faible.
    e. L’utilisation d’appâts inviolables permet de réduire le risque
    d’exposition des animaux aux rodenticides
A

c

39
Q
  1. Au sujet du mécanisme de toxicité de l’acétaminophène, lequel est vrai ?
    a. L’acétaminophène est une grosse molécule fortement ionisante
    découverte dans la nature pendant la moitié du 20e siècle.
    b. L’acétaminophène est une molécule naturelle retrouvée dans les
    médicaments humains sans ordonnance et dans certaines plantes
    toxiques.
    c. La biotransformation de l’acétaminophène en NAPQI, son métabolite
    réactif, nécessite trois réactions enzymatiques.
    d. La conjugaison de l’acétaminophène avec l’acide glucuronique
    transforme l’acétaminophène en NAPQI, un métabolite toxique.
    e. La toxicité du NAPQI provient des adduits et radicaux libres formés
    qui fixent les protéines et l’ADN et cause la peroxydation des lipides
    membranaires.
A

e

40
Q
  1. Lequel des énoncés suivants est vrai :
    a. Le chat est moins sensible à la toxicité par l’acétaminophène que les
    autres espèces.
    b. L’acétaminophène est connu pour ses propriétés pyrétiques.
    c. Au sujet de l’élimination de l’acétaminophène, son métabolisme est
    élevé.
    d. La biodisponibilité orale de l’acétaminophène est très faible.
    e. La présence de UGT1A9 chez les félins leur permet de tolérer
    l’acétaminophène.
A

c

41
Q
  1. Quel facteur de risque est associé à un risque augmenté d’intoxication à
    l’acétaminophène?
    a. Les femelles sont plus sensibles que les mâles.
    b. Un animal qui vit à l’extérieur.
    c. Les chats sont plus sensibles que les autres espèces.
    d. Les jeunes animaux sont plus sensibles.
    e. Les chiens de race bouvier bernois sont plus à risque d’intoxication.
A

c

42
Q
  1. Pourquoi les chats sont-ils plus à risque d’intoxication que les autres espèces?
    a. Ils sont déficients en UGT 1A9.
    b. Ils ont un polymorphisme de CYP 1A2.
    c. Leur hémoglobine contient 4 groupes sulfhydriles.
    d. Ils ont une déficience en P-gp intestinale.
    e. Ils ont plus de CYP que les autres espèces.
A

a

43
Q
  1. Lequel de ces choix représente le mieux les signes cliniques associés à la
    méthémoglobinémie causée par l’ingestion d’acétaminophène ?
    a. a) À faible dose, cause de l’hypoxie.
    b. b) À faible dose, cause de la cyanose.
    c. c) À forte dose, cause une hyperthermie.
    d. d) À forte dose, cause de l’hémoglobinémie & hémoglobinurie.
    e. e) Aucun de ces choix
A

d

44
Q
  1. Qu’est ce qui représente le mieux les signes cliniques de la nécrose hépatique
    aiguë:
    a. Aucune manifestation clinique à dose modérée.
    b. Présence d’un œdème abdominal.
    c. La léthargie et l’œdème facial à dose modérée.
    d. L’anorexie est la seule manifestation observée.
    e. L’anorexie et le vomissement lors d’ingestion à forte dose.
A

c

45
Q
45. Lequel de ces énoncés fait partie des séquelles à long terme d’une intoxication
à l’acétaminophène?
a. Atteinte neurologique avec ataxie
b. Insuffisance rénale chronique
c. Lésions cirrhotiques hépatiques
d. Pyélonéphrite chronique
e. Lipidose hépatique
A

c

46
Q
  1. L’approche thérapeutique doit être agressive pour espérer un bon pronostic
    lors d’une intoxication à l’acétaminophène. Quel élément ne fait pas partie de
    la thérapie à mettre en place?
    a. Lavage gastrique et administration de charbon activé
    b. Administration d’une transfusion
    c. Fluidothérapie et oxygénothérapie
    d. Administration de N-acétylcystéine
    e. Administration d’un agent émétique
A

b

47
Q
  1. Chez quelle espèce le danger lié à une exposition à l’acétaminophène est-il
    caractérisé comme étant le plus important?
    a. Canin
    b. Équin
    c. Félin
    d. Bovin
    e. Rongeur
A

c

48
Q
  1. Concernant l’acétaminophène, quelle action contribue le mieux à sa gestion
    du risque?
    a. Prescription de doses minimales sécuritaires d’acétaminophène
    adaptées au poids de l’animal.
    b. Entreposage sécuritaire du médicament dans un endroit hors de la
    portée des animaux. ***
    c. Réglementer et contrôler la vente de comprimés et de solutions
    d’acétaminophène au Canada.
    d. d) Assurer une bonne éducation des propriétaires de chats seulement
    concernant l’usage d’acétaminophène.
    e. e) Recommander une hémato-biochimie à tous les animaux avant de
    débuter un traitement à l’acétaminophène.
A

b

49
Q
  1. Concernant l’évolution moyenne d’une intoxication à la strychnine, quel
    énoncé est le plus juste ?
    a. Évolution lente et mort en dedans de 72 heures
    b. Évolution lente et mort en dedans de 1 semaine
    c. Évolution rapide et mort en dedans d’une heure.
    d. Évolution rapide et mort en moins de 15 minutes.
    e. Évolution rapide et mort en moins de 30 secondes.
A

c

50
Q
  1. Quel énoncé est faux concernant l’élimination de la strychnine ?
    a. La molécule est métabolisée par une réaction d’oxydo-réduction.
    b. La réaction d’oxydo-réduction est catalysée par l’enzyme cytochrome.
    c. La strychnine est un substrat et un activateur de la glycoprotéine-P.
    d. L’hydroxylation alicyclique et aromatique, l’époxydation et la Noxydation sont ses principales réactions d’oxydo-réduction.
    e. Aucune de ces réponses.
A

c

51
Q
  1. Concernant les facteurs de risque reliés à l’intoxication à la strychnine. Lequel
    des individus suivants a le plus de chance d’être intoxiqué?
    a. Primate mâle adulte
    b. Chienne de race Collie
    c. Chaton mâle siamois
    d. Rat mâle castré
    e. Perroquet mâle de 5 ans
A

b

52
Q
  1. Que cause la strychnine?
    a. Hémorragies persistantes
    b. Anémie hémolytique
    c. Hyperexcitabilité neuronale
    d. Insuffisance hépatique
    e. Alcalose métabolique
A

c

53
Q
  1. Que peut-on observer à la biochimie suite à une intoxication à la strychnine?
    a. Augmentation de l’ALT et de l‘ALP
    b. Hypercholestérolémie
    c. Hyponatrémie
    d. Acidose métabolique
    e. Aucune de ces réponses
A

d

54
Q
  1. Concernant les approches thérapeutiques lors d’intoxication à la strychnine,
    lequel des énoncés suivants est vrai?
    a. Il est inutile d’administrer du charbon activé à l’animal puisque la
    strychnine est une molécule fortement hydrophile.
    b. Il est important de placer l’animal dans une pièce sombre et bien
    chauffée pour limiter les effets néfastes.
    c. Un antidote (MDL 27531) est disponible sur le marché et est
    fréquemment utilisé lors d’intoxication.
    d. Le sorbitol est administré pour diminuer le recyclage entéro-hépatique,
    ce qui accélère l’élimination du poison.
    e. Lorsque l’état de l’animal est critique, il faut induire le vomissement le
    plus rapidement possible par des agents émétiques.
A

d

55
Q
  1. À quel niveau la mesure du danger est évaluée pour la strychnine?
    a. Négligeable à faible
    b. Faible à modéré
    c. Modéré à élevé
    d. Élevé à extrême
    e. Aucune de ces réponses
A

d

56
Q
  1. Concernant la gestion du risque de la strychnine, il est important d’éduquer la
    population concernant ses effets toxiques. Lequel des énoncés suivants est
    vrai?
    a. L’éducation du public doit se faire en évitant la dissémination
    environnementale et en entreposant les remèdes alternatifs.
    b. L’éducation du public doit se faire en sensibilisant les gens face aux
    voyages à l’étranger, aux drogues de rues et en entreposant les
    remèdes alternatifs.
    c. L’éducation du public doit se faire en proposant des produits de
    remplacement et restreindre leur disponibilité au public.
    d. L’éducation du public doit se faire en gardant le produit hors de la
    portée des enfants et des animaux.
    e. Aucune de ces réponses.
A

b

57
Q
  1. Quel énoncé est FAUX concernant les molécules toxiques contenues dans les
    feuilles d’érable rouge?
    a. Le pyrogallol est formé par la décarboxylation de l’acide gallique.
    b. L’acide gallique est un agent oxydatif plus fort que le pyrogallol.
    c. Des bactéries intestinales hydrolysent les gallotannins en ac. gallique.
    d. La biodisponibilité orale du pyrogallol est plus élevée que celle de
    l’acide gallique.
    e. L’absorption de l’acide gallique est un mécanisme saturable assuré par
    les transporteurs MCT1 intestinaux.
A

b

58
Q
  1. Concernant les molécules toxiques contenues dans les feuilles d’érables
    rouges, quel énoncé est vrai?
    a. La concentration en acide gallique et en pyrogallol est plus élevée vers
    la fin de l’été et durant le flétrissement des feuilles
    b. La concentration en acide gallique et en pyrogallol est plus élevée vers
    le début de l’été et lorsque les feuilles sont encore jeunes
    c. La concentration en acide gallique et en pyrogallol est plus élevée vers
    le début du printemps et durant le flétrissement
    d. La concentration en acide gallique et en pyrogallol est plus élevée vers
    la fin du printemps et lorsque les feuilles sont encore jeunes
    e. La concentration en acide gallique et en pyrogallol est plus élevée
    durant l’hiver
A

a

59
Q
  1. Quelle est la région la plus à risque pour l’intoxication à l’érable rouge?
    a. L’ouest canadien
    b. Le sud des États-Unis
    c. L’Est nord-américain
    d. L’Ouest nord-américain
    e. L’Est du Canada
A

c

60
Q
  1. Pour quelle raison le cheval est-il l’espèce la plus sensible à l’intoxication à
    l’érable rouge?
    a. Son système immunitaire est plus faible que celui d’autres espèces.
    b. Il accumule du pyrogallol dans ses reins.
    c. L’activité de ses cholinestérases est diminuée.
    d. Ils ont moins d’enzymes antioxydants.
    e. e) Leur voie des pentoses phosphate est inhibée.
A

d

61
Q
  1. Choisir l’énoncé qui est faux concernant l’intoxication à l’érable rouge.
    a. Le diagnostic se pose sur la base des signes cliniques, d’analyses
    sanguines ainsi que d’analyses urinaires.
    b. Les premiers signes cliniques de l’intoxication débutent après 4
    heures.
    c. L’intoxication à l’érable rouge peut provoquer une insuffisance rénale
    aiguë avec oligurie et anurie.
    d. Cette intoxication cause une anémie hémolytique avec corps de Heinz
    et eccentrocytes.
    e. L’anorexie, la tachycardie et la fièvre sont des signes cliniques de cette
    intoxication.
A

b

62
Q
  1. Les premiers signes cliniques de l’intoxication à l’érable rouge apparaissent:
    a. 72 heures après l’ingestion
    b. 24 à 48 heures après l’ingestion
    c. 12 à 24 heures après l’ingestion
    d. 4 heures après l’ingestion
    e. Plus d’une semaine après l’ingestion
A

b

63
Q
  1. Lequel des énoncés suivants concernant l’approche thérapeutique pour
    l’intoxication à l’érable rouge chez les chevaux est FAUX.
    a. L’administration de charbon activé est inutile.
    b. La décontamination par lavage gastrique est recommandée.
    c. L’oxygénation du patient et une transfusion sanguine peuvent être
    considérés si l’animal présente une anémie sévère.
    d. La fluidothérapie est conseillée afin de réhydrater le patient.
    e. Des soins prolongés pourraient être nécessaires pour gérer les
    séquelles d’insuffisance rénale.
A

a

64
Q
  1. Lequel des énoncés suivants concernant le pronostic suite à l’intoxication à
    l’érable rouge chez les chevaux est FAUX
    a. Le pronostic est généralement bon après 3 jours si un traitement
    agressif a été entrepris.
    b. Les séquelles à court terme incluent la fourbure et des coliques.
    c. Cette intoxication ne représente pas une situation d’urgence, car le
    taux de mortalité associé est de moins de 20%.
    d. L’animal pourrait présenter des séquelles d’insuffisance rénale à long
    terme suite à son intoxication.
    e. Le pronostic est grave dans les premiers 48 heures suite à
    l’intoxication
A

c

65
Q
  1. Le risque associé à l’intoxication à l’érable rouge est considéré comme étant très
    faible à négligeable chez toutes les espèces, sauf laquelle?
    a. Vache
    b. Lapin
    c. Cheval
    d. Pieuvre
    e. Chèvre
A

c

66
Q
  1. Pour les propriétaires de chevaux au pâturage soucieux de réduire les risques
    d’ingestion d’érable rouge, quelle saison présente la plus grande probabilité
    d’exposition ?
    a. L’automne
    b. L’hiver
    c. Le printemps
    d. L’été
    e. Le risque demeure le même peu importe la saison
A

a

67
Q
  1. Concernant la cible de toxicité des organophosphorés, lequel des énoncés ci-dessous
    est faux ?
    a. Inhibe l’acétylcholinestérase du système nerveux central.
    b. Agit uniquement sur les synapses muscariniques.
    c. Agit sur les synapses muscariniques et nicotiniques.
    d. Prolonge le séjour du neurotransmetteur dans la synapse.
    e. Agit, entre autres, sur les glandes salivaires et muscles lisses.
A

b

68
Q
  1. Quel est un facteur de risque d’intoxication aux organophosphorés?
    a. Le chameau est une espèce particulièrement à risque.
    b. Le chien et le chat sont les espèces les plus à risque, avec 76% et 13%
    des cas respectivement.
    c. Les vieux chats sont les animaux les plus à risque grâce à leur
    comportement insouciant.
    d. Le risque est négligeable pour le chat grâce à son excrétion rapide des
    organophosphorés.
    e. Le risque est maximal chez les lapins sauvages (96% des cas) parce
    qu’ils mangent les légumes de jardins arrosés de pesticides.
A

b

69
Q
  1. Quel énoncé est faux concernant les organophosphorés?
    a. La saison la plus à risque est entre décembre et mai, surtout au début
    du printemps lorsque l’agriculture redémarre.
    b. Deux grandes vagues d’augmentations d’intoxications au Canada ont
    fait changer les réglementations lors de l’année 2000.
    c. Les animaux qui maigrissent rapidement sont plus à risque étant
    donnée la remise en circulation des organophosphorés accumulés.
    d. Les organophosphorés sont la 1e cause de mortalité aux États Unis.
    e. Les jeunes sont plus souvent intoxiqués à cause de leur comportement
A

d

70
Q
  1. Quel énoncé est vrai concernant les manifestations cliniques des
    organophosphorés?
    a. Le syndrome intermédiaire entraîne une polyneuropathie après 1 à 8
    jours et une insuffisance rénale.
    b. Les signes cliniques associés à l’atteinte du système nerveux central
    inclut une hyperactivité, une faiblesse, suivi de convulsions et d’un
    état de coma.
    c. Les signes de neurotoxicité lorsqu’il y a atteinte des récepteurs
    nicotiniques sont la fasciculation musculaire et l’hypotension
    d. La neurotoxité associée aux organophophorés n’affecte que le système
    nerveux central
    e. La mydriase est une des manifestations cliniques de l’empoisonnement
    aux organophosphorés.
A

b

71
Q
  1. Quel énoncé est faux concernant les signes cliniques d’une intoxication aux
    organophosphorés?
    a. L’acronyme SLUDGE est utilisé pour décrire les signes cliniques
    lorsqu’il y a atteinte des synapses muscariniques.
    b. Le myosis de la pupille, la bradycardie et l’hypotension sont des
    manifestations cliniques fréquentes des organophosphorés.
    c. Des signes cliniques autres que neurologiques sont présents lors de
    cette intoxication, comme la diarrhée, la gastro entérite, les
    larmoiements et la salivation.
    d. L’insuffisance respiratoire peut survenir lors du syndrome
    intermédiaire.
    e. Les convulsions et le coma sont associés à l’atteinte du système
    nerveux central.
A

c

72
Q
  1. Lequel est vrai concernant le pronostic lors de l’intoxication aux
    organophosphorés?
    a. Le pronostic ne dépend pas de la dose ingérée.
    b. Le pronostic est bon si l’animal survit après 24h.
    c. Le pronostic est bon si l’animal survit après 4h.
    d. Le pronostic ne dépend pas de l’intervalle avant le traitement.
    e. Aucune de ces réponses
A

b

73
Q
  1. Parmi les énoncés suivant concernant le traitement des intoxications aux
    organophosphorés, lequel est vrai?
    a. L’atropine est l’antidote aux intoxications aux organophosphorés.
    b. Le chlorure de pralidoxime est donné pour contrer les signes
    muscariniques (ex. bradycardie, salivation, vomissements).
    c. Le vomissement est indiqué dans tous les cas d’intoxication aux
    organophosphorés.
    d. L’intoxication aux organophosphorés n’est pas une urgence.
    e. Le pronostic est sombre pour les intoxications aiguës.
A

a

74
Q
  1. Quel énoncé est vrai à propos de la probabilité d’exposition aux
    organophosphorés (OP)?
    a. Elle est faible puisqu’il y a un contrôle plus strict de leur distribution
    depuis l’an 2000.
    b. Elle est faible au Canada car ce sont des molécules seulement utilisées
    aux États-Unis.
    c. Elle est modérée car il y a un risque cumulatif d’une exposition
    concomitante aux OP.
    d. Elle est élevée mais seulement pendant la période estivale durant le pic
    d’utilisation des OP.
    e. Elle est élevée car les OP représentent la 1e cause de mortalité reliés
    aux empoisonnements occasionnels dans les prairies
A

c

75
Q
  1. Quelle méthode serait la plus appropriée pour la gestion du risque posé par les
    OP?
    a. Ne rien faire puisque les OP représentent un risque faible pour les
    animaux domestiques.
    b. Restreindre l’accès du public aux OP et permettre un accès limité aux
    vétérinaires et agriculteurs.
    c. Interdire complètement l’utilisation des OP car ils représentent un
    risque de mortalité élevé.
    d. Éduquer individuellement les propriétaires d’animaux sensibles aux
    OP.
    e. Le seul moyen possible est de remplacer tous les produits ménagers et
    de jardin contant des OP.
A

b

76
Q
  1. Par rapport aux mécanismes de toxicité du plomb, lequel des énoncés suivants
    est faux?
    a. Le plomb organique est le type de composé le mieux absorbé dû à sa
    grande liposolubilité
    b. Le plomb est toxique, peu importe la dose. Il n’y a aucune
    concentration maximale sans effet.
    c. L’élimination du plomb se fait principalement par l’excrétion biliaire,
    via les fèces
    d. Le plomb métallique est mieux absorbé que le plomb ionique, peu
    importe la taille des particules
    e. Le transport plasmatique du poison se fait par les érythrocytes et les
    protéines plasmatiques
A

d

77
Q
  1. Concernant la toxicité au plomb, lequel des énoncés suivants est faux?
    a. Le calcium est le seul cation qui sera substitué par le plomb lors
    d’intoxication
    b. La toxicité du plomb est principalement due à la génération de
    radicaux libres
    c. Il y a plusieurs sources d’empoisonnement au plomb
    d. La perte d’intégrité membranaire menant à la mort cellulaire est causée
    par les peroxydes lipidiques
    e. Le plomb affecte le glutathion au niveau de son groupement thiol
A

a

78
Q
  1. Chez quel regroupement d’espèces la prévalence d’intoxications au plomb estelle la plus élevée?
    a. Canins
    b. Camélidés
    c. Équins
    d. Bovins
    e. Félins
A

d

79
Q
  1. 2.2 Au Canada, dans quelle région le plomb est-il considéré comme la
    principale source d’intoxications chez les animaux?
    a. Les Maritimes
    b. Les Prairies
    c. Le sud de l’Ontario
    d. Le Nunavik
    e. La vallée du Saint-Laurent
A

b

80
Q
  1. Concernant les manifestations cliniques d’une intoxication au plomb, lequel
    des énoncés suivants est faux?
    a. Comme les organophosphorés, l’intoxication au plomb cause un
    syndrome intermédiaire (polyneuropathie)
    b. La cécité est une manifestation fréquente de la neurotoxicité associée à
    l’intoxication au plomb
    c. Une augmentation des valeurs du plomb à la biochimie sanguine est le
    pire moyen de diagnostiquer une intoxication au plomb chez un animal
    d. Les signes cliniques chez les bovins d’une intoxication aiguë au plomb
    ciblent principalement le système nerveux
    e. Les signes cliniques chez les chiens d’une intoxication au plomb
    ciblent principalement le système gastro-intestinal
A

c

81
Q
  1. 4.1 Concernant les traitements de l’intoxication au plomb, lequel des énoncés
    suivants est faux?
    a. L’extraction chirurgicale et l’usage de cathartiques sont deux
    méthodes de décontamination orales utilisées
    b. Comme le plomb persiste à long terme dans les phanères, tondre
    l’animal est une méthode de décontamination topique
    c. Le pronostic est sombre pour les intoxications aiguës, malgré une
    détection rapide
    d. Des chélateurs peuvent être utilisés par voie intraveineuse ou per os
    afin de limiter l’absorption du plomb
    e. Des agents antioxydants, comme la vitamine E, sont utiles afin de
    limiter les dommages associés aux effets oxydants du plomb
A

c

82
Q
  1. Concernant la gestion du risque du plomb, lequel des énoncés suivants est
    faux?
    a. La probabilité d’exposition au plomb est qualifiée de faible à modérée
    b. L’éducation du public est une méthode de gestion du risque
    c. Depuis quelques années, la gestion environnementale est mauvaise et
    il y a plus d’émissions de plomb dans l’environnement
    d. Le danger est supérieur lors d’intoxications chroniques
    e. Une façon de gérer le risque est de restreindre les produits contenant
    du plomb
A

c