QCM de ANAPATH -G Flashcards

entraînement/bloc#exam#win

1
Q
  1. L’examen cytologique d’un liquide pleural peut mettre en évidence:

A. De nombreux PMN lors d’une pleurésie purulente

B. Des cellules mésothéliales

C. Des macrophages alvéolaires

D. Des cellules bronchiques

E. Des cellules tumorales lors d’un envahissement par un adénocarcinome bronchique

A

A, B, E

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2
Q
  1. Un examen cytopathologique peut-être réalisé à partir:

A. D’un LCR

B. D’un liquide pleural

C. De prélèvements fixés dans le glutaraldéhyde

D. D’appositions d’un ganglion lymphatique communiqué non fixé au labo

E. D’un frottis exocol utérin

A

2. Un examen cytopathologique peut-être réalisé à partir:

A. D’un LCR

B. D’un liquide pleural

D. D’appositions d’un ganglion lymphatique communiqué non fixé au labo

E. D’un frottis exocol utérin

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3
Q
  1. L’examen anapath extemporané effectué au cours d’un acte chirurgical:

A. Est réalisé sur un prélèvement tissulaire fixé dans du formol

B. Nécessite inclusion paraffine du prélèvement fixé

C. Permet de fournir un diagnostic rapide susceptible de modifier le déroulement d’un acte chirurgical

D. Peut-être indiqué pour vérifier, au de l’acte chirurgical, que les limites d’exérèse d’une lésion tumorale sont saines

E. Est demandé pour faire une étude immunohistochimique

A
  1. L’examen anapath extemporané effectué au cours d’un acte chirurgical:

C. Permet de fournir un diagnostic rapide susceptible de modifier le déroulement d’un acte chirurgical

D. Peut-être indiqué pour vérifier, au de l’acte chirurgical, que les limites d’exérèse d’une lésion tumorale sont saines

REPONNSE C ET D

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4
Q
  1. Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent s’appliquer à l’examen d’une préparation directe cytologique ?
A
  1. Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent s’appliquer à l’examen d’une préparation directe cytologique ? A. Il permet l’évaluation des anomalies architecturales du tissu où les prélèvements ont été effectués B. C’est l’examen de cellules isolées après étalements sur lames C. C’est le test idéal pour le dépistage des cancers du col utérin D. Il est habituellement peu coûteux E. Il permet de faire un diagnostic de malignité de certitude avant chirurgie large ou chimio
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5
Q
  1. La cytoponction à l’aiguille des organes:

A. Permet d’obtenir des étalements cytologiques examinés après coloration

C. Permet d’orienter sur la nature bénigne ou maligne d’une lésion nodulaire sur laquelle la cytoponction est dirigée

D. Permet d’orienter sur le caractère primitif ou secondaire d’une tumeur E. Est couramment utilisé en pathologie thyroïdienne

A
  1. La cytoponction à l’aiguille des organes: A. Permet d’obtenir des étalements cytologiques examinés après coloration B. Est une méthode de dépistage de masse des cancers C. Permet d’orienter sur la nature bénigne ou maligne d’une lésion nodulaire sur laquelle la cytoponction est dirigée D. Permet d’orienter sur le caractère primitif ou secondaire d’une tumeur E. Est couramment utilisé en pathologie thyroïdienne
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6
Q
  1. Parmi les propositions suivantes concernant la fixation tissulaire: réponses exactes ?

A. La modalité de fixation habituelle des pièces opératoires est le séchage à l’air

B. La fixation est indispensable au maintien de la morphologie tissulaire

C. La fixation est en règle réalisée par le formol

D. La fixation correspond à la photographie d’une pièce opératoire

E. La fixation évite l’autolyse spontanée des tissus

A
  1. Parmi les propositions suivantes concernant la fixation tissulaire: réponses exactes ?

B. La fixation est indispensable au maintien de la morphologie tissulaire

C. La fixation est en règle réalisée par le formol

E. La fixation évite l’autolyse spontanée des tissus

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7
Q
  1. La coloration de Ziehl colore:

A. Les mycobactéries atypiques

B. Les filaments aspergillaires

C. Les streptocoques

D. Le bacille de Koch

E. Toutes les bactéries

A
  1. La coloration de Ziehl colore:

A. Les mycobactéries atypiques

D. Le bacille de Koch

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8
Q
  1. En pathologie tumorale l’étude immunohistochimique:

A. Est toujours effectuée sur la tumeur primitive

B. Permet l’identification d’Ag cellulaires tumoraux

C. Permet de distinguer les tumeurs bénignes des tumeurs malignes

D. Aide à l’évaluation de la différenciation d’une tumeur

E. Peut, dans certains cas, contribuer à prédire la réponse thérapeutique

A
  1. En pathologie tumorale l’étude immunohistochimique:

B. Permet l’identification d’Ag cellulaires tumoraux

D. Aide à l’évaluation de la différenciation d’une tumeur

E. Peut, dans certains cas, contribuer à prédire la réponse thérapeutique

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9
Q
  1. Parmi les propositions suivantes concernant l’amylose: réponses exactes ?

A. Il s’agit de dépôts protéiques anormaux s’accumulant dans différents viscères de l’organisme

B. Il s’agit d’une maladie de surcharge lipidique

C. Il s’agit de dépôts glucidiques intra-hépatiques

D. En microscopie optique, elle prend l’aspect d’une substance éosinophile, amorphe

E. Elle est biréfringente en lumière polarisée après coloration par le rouge Congo

A
  1. Parmi les propositions suivantes concernant l’amylose: réponses exactes ?

A. Il s’agit de dépôts protéiques anormaux s’accumulant dans différents viscères de l’organisme

D. En microscopie optique, elle prend l’aspect d’une substance éosinophile, amorphe

E. Elle est biréfringente en lumière polarisée après coloration par le rouge Congo

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10
Q

Parmi les propositions suivantes concernant les maladies de surcharge: réponses exactes ?

A. La stéatose hépatique est une surcharge des hépatocytes en cholestérol

B. L’hémochromatose génétique est caractérisée par une surcharge en fer

C. La maladie de Wilson est liée à une surcharge en cuivre

D. La porphyrie cutanée tardive est secondaire à une surcharge en glycogène

E. Le tophus goutteux est lié à un dépôt anormal intratissulaire de cristaux d’urate

A

Parmi les propositions suivantes concernant les maladies de surcharge: réponses exactes ?

B. L’hémochromatose génétique est caractérisée par une surcharge en fer

C. La maladie de Wilson est liée à une surcharge en cuivre

E. Le tophus goutteux est lié à un dépôt anormal intratissulaire de cristaux d’urate

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11
Q

Quelle coloration doit être étudiée en lumière polarisée pour avoir un intérêt diagnostique ?

A. Perls

B. Violet de Paris

C. Tioflavine T

D. Rouge Congo

E. PAS

A

Quelle coloration doit être étudiée en lumière polarisée pour avoir un intérêt diagnostique

D. Rouge Congo

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12
Q

La colo de Perls est réalisée sur des biopsies hépatiques pour rechercher:

A. Amylose

B. Hémochromatose

C. Glycogénose

D. Métastases

E. Hépatite

A

La colo de Perls est réalisée sur des biopsies hépatiques pour rechercher:

B. Hémochromatose

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13
Q

Parmi les propositions suivantes concernant la nécrose cellulaire: réponses exactes ?

A. Il s’agit d’une lésion irréversible

B. La nécrose est toujours d’origine ischémique

C. La nécrose respecte toujours le noyau

D. Le mitochondries sont préservées

E. Nécrose est synonyme d’apoptose

A

Parmi les propositions suivantes concernant la nécrose cellulaire: réponses exactes ?

A. Il s’agit d’une lésion irréversible

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14
Q

Les calcifications tissulaire:

A. Peuvent être visualisée sur des radiographies

B. Sont synonymes de cancer

C. Correspondent à des dépôts d’amyloïdes

D. Peuvent être de taille variée

E. Peuvent survenir sur une plaque d’athérome

A

Les calcifications tissulaire:

A. Peuvent être visualisée sur des radiographies D. Peuvent être de taille variée

E. Peuvent survenir sur une plaque d’athérome

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15
Q

L’hyperplasie:

A. Correspond à l’augmentation du nombre de cellules dans un tissu

B. Est habituellement le témoin d’une augmentation de l’activité fonctionnelle

C. Est définie par l’augmentation de la taille des cellules

D. Survient dans les tissus capables de renouvellement cellulaire

E. Peut constituer des nodules visibles en microscopie

A

L’hyperplasie:

A. Correspond à l’augmentation du nombre de cellules dans un tissu

B. Est habituellement le témoin d’une augmentation de l’activité fonctionnelle

D. Survient dans les tissus capables de renouvellement cellulaire

E. Peut constituer des nodules visibles en microscopie

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16
Q

La nécrose cellulaire:

A. Est toujours d’origine ischémique

B. Correspond à une lyse de la cellule

C. Est toujours accompagnée d’une réaction inflammatoire

D. Est physiologique au cours de l’embryogenèse

E. Est une étape obligée du vieillissement cellulaire

A

La nécrose cellulaire

B. Correspond à une lyse de la cellule

C. Est toujours accompagnée d’une réaction inflammatoire

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17
Q

Parmi les affections suivantes lequel/lesquelles est/sont des infection(s) virale(s) ?

B. Molluscum contagiosa

C. Condylome

A

Parmi les affections suivantes lequel/lesquelles est/sont des infection(s) virale(s) ? A. Lupus érythémateux B. Molluscum contagiosa C. Condylome D. Toxoplasmose E. Aspergillose

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18
Q

Les cellules géantes à corps étranger sont dérivées de:

A. Basophiles

B. Neutrophiles

C. Lymphocytes

D. Macrophages

E. Mastocytes

A

Les cellules géantes à corps étranger sont dérivées de:

D. Macrophages

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19
Q

La contraction du tissu de réparation au cours de la phase de cicatrisation d’une réaction inflammatoire est liée à l’action des:

A. Macrophages

B. Lymphocytes

C. Myofibroblastes

D. Cellules géantes multinucléées

E. Fibroblastes

A

La contraction du tissu de réparation au cours de la phase de cicatrisation d’une réaction inflammatoire est liée à l’action des:

C. Myofibroblastes

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20
Q

Parmi les agents suivants, lequel/lesquels est/sont susceptible(s) de provoquer une réaction inflammatoire ?

A. Médicament

B. Virus C. Champignons

D. Radiations ionisantes

E. Nécrose tumorale

A

TOUS!!

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21
Q

Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles s’applique(nt) à la réaction inflammatoire aiguë ?

A. Elle est toujours associée à une infection

B. Elle peut-être déclenchée par la présence de complexes antigène-anticorps

C. Elle fait intervenir le système du complément

D. Elle aboutit constamment au développement d’une cicatrice fibreuse

E. Elle fait intervenir le réseau micro circulatoire

A

Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles s’applique(nt) à la réaction inflammatoire aiguë ?

B,C,E

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22
Q

Dans la tuberculose, les granulomes épithélioïdes et giganto-cellulaires:

A. Ne sont retrouvés qu’au niveau des poumons

B. Peuvent être d’âge identique

C. Peuvent être d’âge différent

D. Peuvent être confluents

E. Sont habituellement centrés par une nécrose supputée

A

Dans la tuberculose, les granulomes épithélioïdes et giganto-cellulaires:

B, C D

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23
Q

La tuberculose:

A. Est liée à une infection par un virus

B. Peut donner des lésions disséminées

C. Peut prendre, macroscopiquement, un aspect pseudo-tumoral

D. Peut comporter du caséum

E. Est caractérisée par des follicules épithélioïdes et giganto-cellulaires

A

La tuberculose:

B. Peut donner des lésions disséminées

C. Peut prendre, macroscopiquement, un aspect pseudo-tumoral

D. Peut comporter du caséum

E. Est caractérisée par des follicules épithélioïdes et giganto-cellulaires

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24
Q

La cicatrisation:

A. Comporte une sclérose

B. Est accompagnée par une régénération épithéliales en cas d’ulcération au niveau de la peau

C. Est appelée cal dans l’os

D. Peut être anormale sur la peau (bourgeon charnu hyperplasique, botriomycome)

E. Est la phase terminale du processus inflammatoire

A

La cicatrisation:

A. Comporte une sclérose

B. Est accompagnée par une régénération épithéliales en cas d’ulcération au niveau de la peau C. Est appelée cal dans l’os

D. Peut être anormale sur la peau (bourgeon charnu hyperplasique, botriomycome)

E. Est la phase terminale du processus inflammatoire

TOUS!!!!!

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25
Q

Parmi les propositions suivantes concernant l’athérosclérose, : réponses exactes ?

A. Les stries lipidiques correspondent à des lésions évoluées

B. Les lésions débutent dans la média des artères

C. Les lésions intéressent surtout l’intima des grosses veines

D. Les artères et les veines sont atteintes

E. Les lésions prédominent au niveau de l’intima des artères de gros et moyen calibre

A

Parmi les propositions suivantes concernant l’athérosclérose, : réponses exactes ?

E. Les lésions prédominent au niveau de l’intima des artères de gros et moyen calibre

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26
Q

Parmi les lésions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent compliquer l’athérosclérose ?

A. Infarctus pulmonaire

B. Infarctus cérébral

C. Ischémie d’un membre inférieur

D. Infarctus rénal E. Thrombose de la veine cave

A

Parmi les lésions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent compliquer l’athérosclérose ?

B. Infarctus cérébral

C. Ischémie d’un membre inférieur

D. Infarctus rénal

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27
Q

Parmi les lésions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent être observée(s) dans un infarctus entre la 24e et la 48e heure ?

A. Nécrose cellulaire

B. Infiltrat à polynucléaires

C. Infiltrat lymphocytaire exclusif

D. Cicatrice fibreuse

E. Inondation hémorragique

A

Parmi les lésions suivantes, laquelle/lesquelles peut/peuvent être observée(s) dans un infarctus entre la 24e et la 48e heure ?

A. Nécrose cellulaire

B. Infiltrat à polynucléaires

E. Inondation hémorragique

28
Q

L’infarctus rouge:

A. Est un territoire de nécrose ischémique par oblitération d’une artère terminale

B. Est un territoire de nécrose ischémique par oblitération d’une artère terminale avec inondation hémorragique secondaire `

C. Touche les organes présentant, soit une double circulation afférente, soit une circulation collatérale

D. Touche avec prédilection le myocarde et le rein

E. Touche avec prédilection les poumons et l’intestin grêle

A

L’infarctus rouge:

B, C , E

29
Q

L’infarctus rénal:

A. Est une lésion ischémique

B. Est un infarctus rouge

C. Est la conséquence d’une obstruction de l’artère rénale ou une de ses branches

D. Est irréversible

E. Entraîne une réaction inflammatoire

A

L’infarctus rénal:

A. Est une lésion ischémique

C. Est la conséquence d’une obstruction de l’artère rénale ou une de ses branches

D. Est irréversible

E. Entraîne une réaction inflammatoire

30
Q

La congestion passive:

A. Est rencontrée dans l’inflammation aiguë

B. Est caractérisée par une dilatation du système veineux

C. Peut être d’origine cardiaque

D. Peut être secondaire à une compression veineuse

E. Au niveau du foie est responsable d’une dilatation sinusoïdale centra-lobulaire

A

La congestion passive:

B. Est caractérisée par une dilatation du système veineux

C. Peut être d’origine cardiaque

D. Peut être secondaire à une compression veineuse

E. Au niveau du foie est responsable d’une dilatation sinusoïdale centra-lobulaire

31
Q

L’embolie est:

A. La migration d’un corps dans le réseau vasculaire et son arrêt dans un vaisseau de calibre insuffisant pour le laisser circuler

B. Souvent d’origine thrombotique

C. Toujours artérielle pulmonaire

D. Une cause d’ischémie tissulaire

E. Parfois une cause d’AVC

A

L’embolie est:

A. La migration d’un corps dans le réseau vasculaire et son arrêt dans un vaisseau de calibre insuffisant pour le laisser circuler

B. Souvent d’origine thrombotique

D. Une cause d’ischémie tissulaire

E. Parfois une cause d’AVC

32
Q

n hamartome:

A. Est un assemblage de tissus étrangers à ceux de l’organe dans lequel il se développe

B. Est synonyme d’hétérotrophe

C. Est constitué de tissus matures

D. Peut se voir dans n’importe quel organe

E. Résulte d’une anomalie de fusion

A

n hamartome:

C. Est constitué de tissus matures

D. Peut se voir dans n’importe quel organe

33
Q
  1. Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Le mésothéliome pleural est dans la majorité des cas lié à une exposition à l’amiante

B. Une pneumopathie interstitielle peut être d’origine médicamenteuse

C. Les pneumoconioses sont des affections pulmonaires en réponse à un agent infectieux

D. L’asbestose est une fibrose pulmonaire secondaire à une exposition à l’amiante

E. Une plaque pleurale fibrohyaline est le témoin d’une exposition à l’amiante

A
  1. Parmi les propositions suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Le mésothéliome pleural est dans la majorité des cas lié à une exposition à l’amiante

B. Une pneumopathie interstitielle peut être d’origine médicamenteusectieux

D. L’asbestose est une fibrose pulmonaire secondaire à une exposition à l’amiante

E. Une plaque pleurale fibrohyaline est le témoin d’une exposition à l’amiante

34
Q

Le mésothéliome:

A. Est une tumeur bénigne des séreuses

B. Peut concerner le péritoine

C. Est lié à l’exposition à la silice

D. Est principalement lié à l’exposition tabagique

E. Peut se révéler par un épanchement pleural douloureux

A

Le mésothéliome:

B. Peut concerner le péritoine

E. Peut se révéler par un épanchement pleural douloureux

35
Q

Parmi les propositions suivantes concernant les cancers bronchopulmonaires, laquelle/ lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Ils sont dans la grande majorité des cas de carcinomes

B. Ils peuvent donner des métastases osseuses

C. Les adénocarcinomes et les carcinomes épidermoïdes sont dans la grande majorité des cas liés à une intoxication tabagique

D. Le diagnostic de carcinome infiltrant peut être fait sur biopsie bronchique réalisée par voie endoscopique

E. Les cancers endobronchiques peuvent donner des pneumopathies à répétition

A

Parmi les propositions suivantes concernant les cancers bronchopulmonaires, laquelle/ lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Ils sont dans la grande majorité des cas de carcinomes

B. Ils peuvent donner des métastases osseuses

C. Les adénocarcinomes et les carcinomes épidermoïdes sont dans la grande majorité des cas liés à une intoxication tabagique

D. Le diagnostic de carcinome infiltrant peut être fait sur biopsie bronchique réalisée par voie endoscopique

E. Les cancers endobronchiques peuvent donner des pneumopathies à répétition

TOUT!!

36
Q

L’adénocarcinome colique est une tumeur:

A. Souvent mucosécrétante

B. Rare

C. Mésenchymateuse

D. Qui peut se développer dans un adénome colique

E. Produisant de la kératine

A

L’adénocarcinome colique est une tumeur:

A. Souvent mucosécrétante

D. Qui peut se développer dans un adénome colique

37
Q

Un sarcome peut avoir le phénotype d’un ou de plusieurs des types tissulaires suivants: lequel ou lesquels ?

A. Épithélium bronchique

B. Tissu adipeux

C. Tissu musculaire strié

D. Tissu musculaire lisse

E. Épithélium colique

A

Un sarcome peut avoir le phénotype d’un ou de plusieurs des types tissulaires suivants: lequel ou lesquels ?

B. Tissu adipeux

C. Tissu musculaire strié

D. Tissu musculaire lisse

38
Q

Un carcinome intra-épithélial:

A. Présente une intégrité de la membrane basale de l’épithélium

B. Peut être à l’origine de métastases

C. Comporte des anomalies cytologiques et architecturales

D. Est une lésion bénigne

E. Ne comporte pas d’anomalie architecturale

A

Un carcinome intra-épithélial:

A. Présente une intégrité de la membrane basale de l’épithélium

C. Comporte des anomalies cytologiques et architecturales

39
Q

Parmi les tumeurs suivantes, laquelle/lesquelles ne donne(nt) pas de métastase ?

A. Carcinome épidermoïde infiltrant

B. Adénome tubuleux ou villeux

C. Lipome

D. Ostéosarcome

E. Mélanome

A

Parmi les tumeurs suivantes, laquelle/lesquelles ne donne(nt) pas de métastase ?

B. Adénome tubuleux ou villeux

C. Lipome

40
Q

Les métastases des carcinomes:

A. Caractérisent le cancer in situ

B. Peuvent survenir au cours de la phase de dissémination locorégionale

C. Sont fréquentes dans les ganglions lymphatiques

D. Sont fréquentes dans le foie

E. Peuvent être révélatrices

A

Les métastases des carcinomes:

B. Peuvent survenir au cours de la phase de dissémination locorégionale

C. Sont fréquentes dans les ganglions lymphatiques

D. Sont fréquentes dans le foie

E. Peuvent être révélatrices

41
Q

Dans les cancers:

A. Le diagnostic anatomopathologie est habituellement effectué sur coupes de tissus et colorations par l’HES

B. La nature d’une tumeur et son phénotype peuvent être précisés par les études immunohistochimiques

C. Des cibles thérapeutiques peuvent être détectées par les études immunohistochimiques

D. Des amplifications géniques peuvent être détectées sur coupes de tissus par hybridation chromosomique in situ

E. L’examen histopathologique est toujours précédé par un examen cytologique après ponction

A

Dans les cancers:

A. Le diagnostic anatomopathologie est habituellement effectué sur coupes de tissus et colorations par l’HES

B. La nature d’une tumeur et son phénotype peuvent être précisés par les études immunohistochimiques

C. Des cibles thérapeutiques peuvent être détectées par les études immunohistochimiques

D. Des amplifications géniques peuvent être détectées sur coupes de tissus par hybridation chromosomique in situ

42
Q

L’histopronostic du carcinome mammaire (classification de Scarff, Bloom et Richardson) fait entrer en ligne de compte:

A. La taille de la tumeur`

B. Le nombre de ganglions envahis

C. La différenciation canalise

D. L’index mitotique

E. L’anisonucléose

A

L’histopronostic du carcinome mammaire (classification de Scarff, Bloom et Richardson) fait entrer en ligne de compte:

C. La différenciation canalise

D. L’index mitotique

E. L’anisonucléose

43
Q

Les carcinomes:

A. Se développent uniquement dans les muqueuses

B. Sont des tumeurs malignes épithéliales

C. Métastasent préférentiellement par voie sanguine

D. Sont parfois précédés de lésions dysplasiques

E. Sont les tumeurs malignes les plus fréquentes

A

Les carcinomes:

B. Sont des tumeurs malignes épithéliales

D. Sont parfois précédés de lésions dysplasiques

E. Sont les tumeurs malignes les plus fréquentes

44
Q

Quel est le préfixe utilisé pour definir la ckassificatioj TNM des pièces opératoires étudiées après traitement néo-adjuvant ?

A. adj

B. us

C. r

D. y

E. neo

A

itement néo-adjuvant ?

D. y

45
Q

Une tumeur bénigne:

A. Est une néoplasie

B. Ne donne jamais de métastase

C. Peut être multiple

D. Récidive après exérèse totale

E. Ressemble à un tissu normal de référence

A

Une tumeur bénigne:

A. Est une néoplasie

B. Ne donne jamais de métastase

C. Peut être multiple

E. Ressemble à un tissu normal de référence

46
Q

Un neuroblastome est une:

A. Tumeur bénigne

B. Tumeur maligne

C. Tumeur à malignité atténuée

D. Malformation

E. Inflammation

A

Un neuroblastome est une:

B. Tumeur maligne

47
Q

Le grade histopronostique de Scarff, Bloom et Richardson (prenant en compte l’architecture de la tumeur, les atypies nucléaires et l’activité mitotique des cellules tumorales) est réalisé par le pathologiste lors de l’étude anatomo-pathologique:

A. D’un adénocarcinome de la prostate

B. D’un carcinome à cellules claires du rein

C. D’un adénocarcinome mammaire

D. D’un carcinome épidermoïde laryngé

E. D’un mélanome cutané

A

Le grade histopronostique de Scarff, Bloom et Richardson (prenant en compte l’architecture de la tumeur, les atypies nucléaires et l’activité mitotique des cellules tumorales) est réalisé par le pathologiste lors de l’étude anatomo-pathologique:

C. D’un adénocarcinome mammaire

48
Q

Parmi les caractéristiques suivantes, laquelle/lesquelles est/sont utilisées pour la classification TNM d’une tumeur ?

A. Taille de la tumeurs

B. Présence de métastases

C. Différenciation de la tumeur

D. Index mitotique

E. Anomalies cytonucléaires

A

Parmi les caractéristiques suivantes, laquelle/lesquelles est/sont utilisées pour la classification TNM d’une tumeur ?

A. Taille de la tumeurs`

B. Présence de métastases

49
Q

Parmi les critères suivants, quel est celui qui définit le carcinome in situ (intra-épithélial)?

A. Anisocaryose

B. Désorganisation architecturale

C. Absence de franchissement de la membrane basale

D. Présence de mitoses atypiques

E. Anisocytose

A

Parmi les critères suivants, quel est celui qui définit le carcinome in situ (intra-épithélial)?

C. Absence de franchissement de la membrane basale

50
Q

Parmi les propositions suivantes concernant le stroma des cancers, laquelle/lesquelles est/sont exactes ?

A. Il est de nature conjonctive

B. Il est dépourvu de vascularisation`

C. C’est un tissu néo-formé

D. Il assure la nutrition du cancer

E. Il peut contenir une infiltration lymphocytaire

A

Parmi les propositions suivantes concernant le stroma des cancers, laquelle/lesquelles est/sont exactes ?

A. Il est de nature conjonctive

C. C’est un tissu néo-formé

D. Il assure la nutrition du cancer

E. Il peut contenir une infiltration lymphocytaire

51
Q

Les tumeurs neuro-endocrines sont des tumeurs:

A. Mucosécrétantes

B. Toujours bénignes `

C. Uniquement localisées au niveau du poumon

D. Caractérisées par la présence dans les cellules tumorales de grains neurosécrétoires intra cytoplasmiques

E. Parfois appelées corcinoïdes lorsqu’elles sont bien différenciées

A

Les tumeurs neuro-endocrines sont des tumeurs:

D. Caractérisées par la présence dans les cellules tumorales de grains neurosécrétoires intra cytoplasmiques

E. Parfois appelées corcinoïdes lorsqu’elles sont bien différenciées

52
Q

Le carcinome basocellulaire est une tumeur:

A. Bénigne

B. Mésenchymateuse

C. Donnant des métastases précoces

D. Localisée à la peau

E. Maligne

A

Le carcinome basocellulaire est une tumeur:

D. Localisée à la peau

E. Maligne

53
Q

Le papillome est une tumeur:

A. Épithéliale

C. Souvent due à une infection par un virus du groupe HPV

A

Le papillome est une tumeur: A. Épithéliale B. Mésenchymateuse C. Souvent due à une infection par un virus du groupe HPV D. Souvent due à une infection par le virus d’Epstein-Barr E. Due à une mycose à Candida

54
Q

Parmi les propositions suivantes concernant un carcinome épidermoïde différencié, laquelle/ lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. C’est une tumeur épithéliale

B. C’est une tumeur maligne

C. Il rappelle par son architecture un épithélium malpighien

D. Il peut comporter de la kératine

E. Il peut être observé au niveau de l’œsophage

A

Parmi les propositions suivantes concernant un carcinome épidermoïde différencié, laquelle/ lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. C’est une tumeur épithéliale

B. C’est une tumeur maligne

C. Il rappelle par son architecture un épithélium malpighien

D. Il peut comporter de la kératine

E. Il peut être observé au niveau de l’œsophage

TOUS!!!!

55
Q

Parmi les organes suivants, pour lequel/lesquels les carcinomes épidermoïdes sont-ils les tumeurs malignes primitives les plus fréquentes ?

A. Larynx

B. Col utérin

C. Œsophage

D. Anus

E. Pancréas

A

Parmi les organes suivants, pour lequel/lesquels les carcinomes épidermoïdes sont-ils les tumeurs malignes primitives les plus fréquentes ?

A. Larynx

B. Col utérin

C. Œsophage

D. Anus

56
Q

Un adénome est:

A. Une lésion non tumorale

B. Une tumeur bénigne

C. Une tumeur maligne

D. Une prolifération reproduisant un épithélium glandulaire

E. Synonyme de polype

A

Un adénome est:

B. Une tumeur bénigne

D. Une prolifération reproduisant un épithélium glandulaire

57
Q

Une tumeur épithéliale:

A. Peut être bénigne ou maligne

B. Est un sarcome quand elle est maligne

C. Est un adénome quand elle est bénigne et à différenciation glandulaire

D. Est un papillome quand elle est bénigne et à différenciation malpighienne

E. Peut être d’origine virale

A

Une tumeur épithéliale:

A. Peut être bénigne ou maligne

C. Est un adénome quand elle est bénigne et à différenciation glandulaire

D. Est un papillome quand elle est bénigne et à différenciation malpighienne

E. Peut être d’origine virale

58
Q

Les néoplasies malignes du sein:

A. Sont aussi fréquentes que celles de l’ovaire

B. Sont le plus souvent des carcinomes épidermoïdes

C. Sont le plus souvent des sarcomes

D. Sont formellement diagnostiquées mammographie lorsqu’existent des microcalcifications

E. Se présentent souvent macroscopiquement sous la forme d’un nodule à contour irrégulier

A

Les néoplasies malignes du sein:

E. Se présentent souvent macroscopiquement sous la forme d’un nodule à contour irrégulier

59
Q

Le mélanome:

A. Est une tumeur épithéliale

B. Est une tumeur bénigne

C. A un pronostic dépendant de son extension en profondeur (indice de Breslow)

D. Est une prolifération de cellules à différenciation mélanocytaire

E. Peut avoir une phase intra-épithélial

A

Le mélanome:

C. A un pronostic dépendant de son extension en profondeur (indice de Breslow)

D. Est une prolifération de cellules à différenciation mélanocytaire

E. Peut avoir une phase intra-épithélial

60
Q

Sur quels critères est basé le grade histopronostique des sarcomes ?

A. La différenciation glandulaire

B. Le degré de différenciation tumorale

C. Le nombre de mitoses par champ au fort grossissement

D. La proportion de tissu tumoral nécrosé

E. Le nombre de métastases

A

Sur quels critères est basé le grade histopronostique des sarcomes ?

B. Le degré de différenciation tumorale

C. Le nombre de mitoses par champ au fort grossissement

D. La proportion de tissu tumoral nécrosé

61
Q

Les tumeurs germinales

A. Sont dérivées des cellules germinales primordiales et de leur migration dans l’organisme

B. Peuvent se développer dans le médiastin

C. Peuvent contenir un contingent à différenciation trophoblastique (choriocarcinome)

D. Peuvent contenir un contingent à différenciation vitelline (tumeur vitelline)

E. Peuvent se manifester par la sécrétion dans le sang de substances comme la ß-HCG

A

Les tumeurs germinales

A. Sont dérivées des cellules germinales primordiales et de leur migration dans l’organisme

B. Peuvent se développer dans le médiastin

C. Peuvent contenir un contingent à différenciation trophoblastique (choriocarcinome)

D. Peuvent contenir un contingent à différenciation vitelline (tumeur vitelline)

E. Peuvent se manifester par la sécrétion dans le sang de substances comme la ß-HCG

TOUS!!!

62
Q

Parmi les propositions suivantes concernant les lymphomes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Ce sont des tumeurs bénignes développées à partir des cellules lymphoïdes

B. Certains virus sont impliqués dans la pathogénie de certains lymphomes

C. Les lymphomes T sont les plus fréquents

D. Ils sont tous non Hodgkiniens

E. Ils peuvent être de siège ganglionnaire ou extra-ganglionnaire

A

Parmi les propositions suivantes concernant les lymphomes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

B. Certains virus sont impliqués dans la pathogénie de certains lymphomes

E. Ils peuvent être de siège ganglionnaire ou extra-ganglionnaire

63
Q

Parmi les propositions suivantes laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Le léiomyome est une prolifération de fibres musculaires lisses `

B. Le léiomyome est la tumeur conjonctive bénigne la plus fréquente de l’utérus

C. Les léiomyomes peuvent être multiples

D. Le léiomyosarcome est une tumeur conjonctive maligne constituée de tissu musculaire lisse

E. Le léiomyosarcome complique habituellement le léiomyome

A

Parmi les propositions suivantes laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

A. Le léiomyome est une prolifération de fibres musculaires lisses

B. Le léiomyome est la tumeur conjonctive bénigne la plus fréquente de l’utérus

C. Les léiomyomes peuvent être multiples

D. Le léiomyosarcome est une tumeur conjonctive maligne constituée de tissu musculaire lisse

64
Q

Le lymphome hodgkinien ou maladie de Hodgkin classique:

A. Est un lymphome dérivé de lymphocytes B

B. Est de siège toujours ganglionnaire

C. Renferme peu de cellules tumorales et de nombreuses cellules inflammatoires

D. Comporte plusieurs types histologiques

E. guérit souvent après un traitement adapté

A

Le lymphome hodgkinien ou maladie de Hodgkin classique:

A. Est un lymphome dérivé de lymphocytes B

C. Renferme peu de cellules tumorales et de nombreuses cellules inflammatoires

D. Comporte plusieurs types histologiques

E. guérit souvent après un traitement adapté

65
Q

Le léiomyosarcome utérin:

A. Est 100 fois plus fréquent que le leiomyome utérin

B. Est bien limité

C. Est fait de cellules tumorales ayant des anomalies cytonucléaires marquées

D. Reproduit du muscle strié

E. Est à l’origine de métastases se faisant surtout par voie lymphatique

A

Le léiomyosarcome utérin:

C. Est fait de cellules tumorales ayant des anomalies cytonucléaires marquées

66
Q

Quel est le principal facteur pronostique des mélanomes ?

A. Le grand diamètre de la tumeur

B. L’épaisseur maximale de la tumeur mesurée cliniquement

C. L’épaisseur maximale de la tumeur mesurée histologiquement

D. Le type histologique du mélanome E. La localisation de la tumeur

A

Quel est le principal facteur pronostique des mélanomes ?

C. L’épaisseur maximale de la tumeur mesurée histologiquement