QCM Flashcards

1
Q

La perte sèche ou charge morte s’explique par :
A. un transfert de surplus entre consommateurs et producteurs
B. la tarification au coût marginal
C. l’absence d’échange alors que le prix de réserve du consommateur est supérieur au coût marginal
D. la maximisation du profit

A

C

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2
Q

Une entreprise pratique du ‘cost-based-pricing’ :
A. le prix de vente est principalement déterminé par la demande
B. la marge sur le coût est importante
C. le coût marginal est croissant
D. la demande est fortement élastique

A

D

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3
Q

Dans le cadre d’une enchère anglaise :
A. chaque enchérisseur soumet une offre inférieure à son prix de réserve
B. le vendeur détermine le nombre d’unités mises en vente au terme du processus d’enchères
C. le prix payé par le vainqueur correspond au prix de réserve de son dernier concurrent
D. le vainqueur de l’enchère ne dispose d’aucun surplus

A

D

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4
Q

Dans un modèle de versioning, l’autosélection optimale suppose :
A. une réduction de prix et une qualité efficace pour le segment ‘haut de gamme’
B. un rapport qualité-prix plus favorable pour le segment ‘bas de gamme’
C. une qualité efficace sur chaque segment de marché
D. un surplus pour le segment ’bas de gamme’

A

A

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5
Q

Dans le cadre d’un leadership en prix de Stackelberg avec biens différenciés :
A. il y a avantage à l’initiative
B. le prix affiché par le satellite est supérieur au prix affiché dans le modèle simultané correspondant
C. le profit du pilote est supérieur au profit du satellite
D. le prix affiché par le satellite est supérieur au prix affiché par le pilote

A

B

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6
Q

Dans le ‘Tourist Trap Model’ de Diamond :
A. les entreprises ont des coûts de recherche différents
B. l’équilibre de Nash correspond au prix de monopole
C. les consommateurs n’ont pas de coût de ‘shopping’
D. les biens sont différenciés

A

B

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7
Q

L’indice H de concentration d’un marché est égal à 2.500 ; deux entreprises, détenant respectivement 10%
et 5% du marché, fusionnent :
A. le nouvel indice H est égal à 2.650
B. il est impossible de calculer le nouvel indice H
C. le nouvel indice H est égal à 2.550
D. le nouvel indice H est égal à 2.600

A

D

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8
Q

Le problème de la double marginalisation peut être résolu :
A. par l’imposition d’un prix de vente au détail minimum
B. par l’octroi d’une exclusivité territoriale
C. par une tarification non-linéaire
D. par la séparation verticale

A

C

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9
Q

Une exclusivité territoriale a pour objectif :
A. d’exclure des producteurs concurrents du marché
B. d’éviter que des producteurs concurrents profitent des investissements de distribution
C. de contrôler les externalités verticales entre un producteur et ses distributeurs
D. d’encourager les efforts de vente des distributeurs

A

D

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10
Q

Les élasticités de la demande à la publicité et au prix sont respectivement de 0.05 et – 1.5. Le chiffre
d’affaires est de 150 millions. Le montant optimal des dépenses de publicité est de
A. 2 millions
B. 7,5 millions
C. 5 millions
D. 30 millions

A

C

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11
Q

Le surplus du consommateur trouve son origine dans le fait que :
A. certains producteurs sont prêts à vendre en dessous du prix du marché
B. certains consommateurs sont prêts à payer plus que le prix du marché
C. les marchés sont parfaits
D. les consommateurs sont preneurs de prix

A

B

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12
Q

Le surplus du producteur est mesuré par :
A. la surface comprise entre la fonction de demande et le prix du marché
B. la surface sous la fonction d’offre
C. la surface comprise entre la fonction de demande et la fonction d’offre
D. la surface comprise entre la fonction d’offre et le prix du marché

A

D

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13
Q

L’efficacité économique suppose :
A. la maximisation du profit de l’entreprise
B. l’égalité des surplus du consommateur et du producteur
C. la maximisation du surplus social
D. un prix supérieur au coût marginal

A

C

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14
Q
Lorsque que la fonction de demande à l’entreprise a une pente négative, la recette marginale est : 
A. égale au prix 
B. égale à la recette moyenne 
C. inférieure au prix 
D. supérieure au prix
A

C

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15
Q

En marché imparfait, la recette marginale se compose d’un effet prix et d’un effet volume :
A. l’effet volume est mesuré par le prix de la dernière unité vendue
B. l’effet prix est de signe positif
C. l’effet prix correspond à la recette moyenne
D. l’effet volume est mesuré par la diminution de prix multipliée par la quantité vendue

A

A

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16
Q
Une entreprise en situation de monopole annule sa recette marginale. Cette entreprise : 
A. maximise son profit 
B. minimise ses coûts 
C. minimise son profit 
D. maximise sa recette
A

D

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17
Q

Une entreprise en situation de monopole produit une quantité telle que l’élasticité de la demande est
égale à − 0.5. Quelle proposition est correcte ?
A. l’entreprise doit diminuer sa production
B. c’est normal dans la cadre d’un monopole ; il ne faut pas modifier la quantité
C. l’entreprise doit augmenter sa production
D. aucune des propositions précédentes n’est correcte

A

D (?)

18
Q

Une entreprise en situation de monopole maximise son profit. Sa recette marginale est égale à 20 € et
l’élasticité de la demande à – 2. Quel est le prix à l’optimum ?

A. 10 €
B. 30 €
C. 40 €
D. On ne peut répondre à cette question sans connaître le coût marginal

A

C

19
Q

Le pouvoir de marché résulte de la capacité de l’entreprise à
A. fixer son prix au niveau du coût marginal
B. égaliser sa recette marginale avec son coût marginal
C. fixer son prix au-dessus de son coût moyen
D. fixer son prix au‐dessus de son cout marginal

A

D

20
Q

Une entreprise pratique du ‘value‐based‐pricing’ ;
A. son prix est principalement déterminé par son coût marginal
B. sa demande est peu élastique
C. son coût marginal est faible
D. sa marge est faible

A

B

21
Q

En présence d’un pouvoir de marché, la maximisation du profit
A. entraîne un transfert de surplus du producteur vers le consommateur
B. implique un surplus du consommateur nul
C. est incompatible avec l’efficacité économique
D. implique un surplus du producteur plus grand que le surplus du consommateur

A

C

22
Q

La perte sèche ou charge morte s’explique par :
A. un transfert de surplus entre consommateurs et producteurs
B. la tarification au coût marginal
C. l’absence d’échange alors que le prix de réserve du consommateur est supérieur au coût marginal du
producteur
D. la maximisation du profit

A

C

23
Q
  1. Dans le cadre de la vente liée de biens consommables, le prix élevé du consommable a pour objectif :
    A. d’exclure les petits consommateurs
    B. d’augmenter l’efficacité économique
    C. d’extraire le surplus des gros consommateurs
    D. de compenser le prix faible du bien durable
A

C

24
Q

Dans le cadre d’un super-jeu, des stratégies contingentes permettent d’envisager l’issue coopérative si :
A. les joueurs sont impatients
C. les gains liés à une trahison sont importants
B. les joueurs sont méfiants
D. les pertes liées à une punition sont importantes

A

D

25
Q
  1. La discrimination des prix du 3e degré est plus efficace qu’un prix unique si :
    A. elle permet à l’entreprise de faire un plus grand profit
    B. la quantité vendue est plus importante qu’en prix unique
    C. le prix est plus élevé sur le segment ‘riche’ que sur le segment ‘pauvre’
    D. les possibilités d’arbitrage sont toutes exploitées
A

B

26
Q
  1. En ‘bundling’ mixte, les prix des biens vendus séparément sont :
    A. plus élevés qu’en ventes séparées parce que les profits sont plus élevés
    B. plus faibles qu’en ventes séparées parce que l’offre conjointe d’un ‘bundle’ et des ventes séparées
    permet de mieux cibler chaque catégorie de consommateur
    C. plus élevés qu’en ventes séparées parce que la demande est moins élastique qu’en ventes séparées
    D. plus faibles qu’en ventes séparées en raison des contraintes d’incitation
A

C

27
Q
  1. Dans le cadre d’un jeu de localisation non‐coopératif et en supposant une répartition uniforme des
    touristes sur une plage de 100 mètres, il est optimal pour les deux vendeurs de glaces de s’installer :
    A. l’un à 33 mètres, l’autre à 67 mètres
    B. l’un à 25 mètres, l’autre à 75 mètres
    C. dos à dos au milieu de la plage
    D. aux deux extrémités de la plage
A

C

28
Q
  1. En discrimination des prix du 1er degré, la recette marginale est :
    A. égale au prix payé pour chaque unité
    B. identique à la recette marginale en prix unique
    C. inférieure au prix
    D. égale à la recette moyenne
A

A

29
Q
  1. Une entreprise en situation de monopole maximise son profit. Sa recette marginale est égale à 20 € et
    l’élasticité de la demande à – 2. Quel est le prix à l’optimum ?
    a) 10 €
    b). 30 €
    c). 40 €
    d) On ne peut répondre à cette question sans connaître le coût marginal
A

C

30
Q
4. Lorsque que la fonction de demande à l’entreprise a une pente négative, la recette marginale est :
A. égale au prix
B. égale à la recette moyenne
C. inférieure au prix
D. supérieure au prix
A

C

31
Q
  1. En marché imparfait, la recette marginale se compose d’un effet prix et d’un effet volume :
    A. l’effet volume est mesuré par le prix de la dernière unité vendue
    B. l’effet prix est de signe positif
    C. l’effet prix correspond à la recette moyenne
    D. l’effet volume est mesuré par la diminution de prix multipliée par la quantité vendue
A

A

32
Q

Les programmes de clémence de la CE
A. recommandent une approche ‘per se’ des restrictions verticales
B. autorisent les fusions si _H

A

C

33
Q

Le secteur des ‘tours‐opérateurs’ peut être correctement analysé à l’aide du modèle de
A. guerre des prix de Bertrand
B. leadership en prix de Stackelberg
C. Kreps‐Scheinkman en deux étapes quantité-prix
D. Cournot

A

C

34
Q
Dans le cadre d’une interaction répétée entre entreprises, la collusion est facilitée par
A. un grand nombre d’entreprises 
B. des interactions peu fréquentes
C. la symétrie des parts de marché 
D. l’absence de contacts multi‐marchés
A

C

35
Q

. Les dépenses de publicités en situation de monopole doivent être d’autant plus élevées que
A. le chiffre d’affaires est élevé
B. le prix est bas
C. la publicité porte sur les caractéristiques des biens et non sur leur prix
D. la demande est peu élastique au prix

A

D

36
Q
  1. Une fusion dans un oligopole à la Cournot
    A. peut être efficace en présence de synergies importantes
    B. est toujours profitable pour les entreprises qui fusionnent
    C. n’est efficace que si le profit des entreprises fusionnées diminue
    D. est plus probable qu’une fusion dans un oligopole à la Bertrand
A

A

37
Q

Considérez deux distributeurs en concurrence à la Bertrand ; il est optimal pour le producteur de fixer le prix
de gros :
A. au niveau de son coût marginal de production
B. au niveau du prix d’intégration
C. entre son coût marginal de production et le prix d’intégration
D. au‐dessus du prix d’intégration

A

B

38
Q

En oligopole, le pouvoir de marché
A. augmente avec la concentration et avec l’élasticité de la demande
B. augmente avec l’élasticité de la demande et avec l’indice de comportement coopératif
C. diminue avec l’élasticité de la demande et augmente avec la concentration
D. diminue avec la concentration et augmente avec l’indice de comportement coopératif

A

C

39
Q

Une exclusivité territoriale a pour objectif
A. de contrôler les externalités verticales entre distributeurs
B. d’exclure des producteurs concurrents du marché
C. d’encourager les investissements spécifiques des distributeurs
D. d’éviter que des producteurs concurrents profitent des investissements de distribution

A

C

40
Q

Le problème de la double marginalisation peut être résolu :
A. par l’imposition d’un prix de vente au détail minimum
B. par l’octroi d’une exclusivité territoriale
C. par une tarification non-linéaire
D. par la séparation verticale

A

A et B