psychosociale Flashcards

1
Q

La communication non verbale inclut ?

A

inclut toute communication utilisant un instrument autre que la voix.

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2
Q

Quelles sont les fonctions de la communication non verbale selon Patterson (1983)

A
  1. Communiquer nos sentiments et notre identité;
  2. Permettre de régulariser les conversations;
  3. Permettre d’exprimer l’intimité;
  4. Traduire la volonté de contrôle (ex. domination visuelle qu’on verra plus loin);
  5. Servir de support à la communication verbale.
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3
Q

La communication est un acte par lequel une source transmet de l’information à un récepteur par l’entremise d’un médium»
Comment ce nomme ce modèle?

A

Le modèle encodeur-décodeur de Shannon et Weaver, 1949

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4
Q

La communication est aussi un processus d’influence et d’adaptation mutuelle, impliquant des actions et des réactions conduisant à des styles de communication plus ou moins similaires

A

Le modèle de l’adaptation interpersonnelle

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5
Q

La communication est aussi un processus qui fait que les interlocuteurs travaillent en collaboration pour créer et refléter un contexte partagé. Dans cette optique, la signification n’est pas une caractéristique propre aux symboles eux-mêmes: elle émerge du contexte particulier dans lequel le dialogue se déroule»
De quelle modèle s’agit-il?

A

Le modèle dialogique

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6
Q

Qu’est-ce que les modèles dialogiques?

A

Le processus qui fait que les interlocuteurs travaillent en collaboration pour créer et refléter un contexte partagé

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7
Q

Vrai ou faux

La signification n’est pas une caractéristique propre aux symboles eux-mêmes

A

Vrai

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8
Q

les comportements porteurs de sens se nomment ?

A

Des symboles

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9
Q

La décision d’utiliser ou non un symbole, verbal ou autre, dépend de?

A

de l’accord social régissant la relation entre le symbole et sa signification

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10
Q

Selon Clark (1985) le message ne sera compris que si il y a une relation claire entre le symbole et sa signification. Quel est le terme exact?

A

La coordination symbolique

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11
Q

Quels sont les trois aspects sur lesquels se basent l’entente entre les interlocuteurs en lien avec la coordination symbolique

A
  1. L’expérience langagière
  2. l’expérience perceptuelle
  3. appartenance à une même communauté
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12
Q

Quelles sont les deux conséquences de l’appartenance à une même communauté sur la résolution du problème de la coordination symbolique

A
  1. L’analyse et la connaissance de la structure et des mécanismes d’une langue particulière ne peut rendre compte du phénomène de coordination. En effet, tout symbole ne prend une signification qu’en fonction du terrain d’entente créé par son contexte social plus large
  2. La solution aux bris de communication auxquels on impute les problèmes graves de notre société (ex. divorce, guerre) n’est pas réductible à une intervention purement linguistique. Elle requiert une compréhension du contexte sociale et une action sur ce contexte
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13
Q

Vrai ou faux
Les personnes qui s’expriment de façon ouverte et appropriée sont, en général, moins appréciées que celles qui sont trop réservées

A

Faux

elles sont en général plus positivement appréciées

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14
Q

Vrai ou faux

La manifestation des expressions faciales se limitent à certaines cultures, groupes ou situations

A

Faux

elles sont universelles

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15
Q

Lorsque le message verbal et l’expression du visage sont en contradictions, c’est habituellement quelle l’expression qui est acceptée?

A

c’est l’expression du visage qui est acceptée comme le reflet le plus exact de la signification du message

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16
Q

vrai ou faux
La production des expressions faciales varie toutefois de culture en culture.
Ekman rapporte que…

A

Vrai
Ekman (1992): les règles de manifestation des émotions faciales qui dictent quant et ou certaines expressions peuvent être affichées

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17
Q

Les expressions faciales ont aussi un effet sur celui qui les affichent, que rapporte l’étude de Zuckerman

A

l’exagération des expressions faciales a augmenté les émotions/humeurs des participants par rapport à l’autre groupe lors de visionnement de différentes
scènes.
Il s’agit de l’effet de la (théorie) rétroaction faciale, suggère que la contraction des muscles du visages est une réaction du SA.

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18
Q

Quelles sont les trois fonctions du regard en communication?

A

1-Communiquer l’information:
Il est utilisé pour souligner ce qui est transmis de façon verbale ou non verbale, positif ou négatif
2-Régler l’interaction
Argyle (1987) rapporte que les «coups d’œil» comptent pour 60% des regards dans une conversation sur un sujet neutre. Les contacts visuels mutuels étaient moins fréquents (30%).
3-Exercer le contrôle:
.Permet d’exprimer la volonté de contrôler l’autre
.Le comportement de domination visuelle (Exline, Ellyson et Long, 1975) Voir P-303

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19
Q

Qu’est-ce que le comportement de domination visuelle? (CDV) et quelle est l’équation ?

A

fixer son interlocuteur lorsque l’on parle afin de garder le contrôle d’un auditoire, il sera plus élevé chez les individus dont le statut est plus élevé que son interlocuteur .

  1. le temps passé à regarder en parlant \ par le temps total de la parole
  2. temps passée à regarder en écoutant / par temps total d’écoute
  3. on dive 1 sur 2
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20
Q

concernant les postures, quels sont les signaux valides et partagés?

A
1- l'inclinaison 
2-La position des bras
3-la position e la tête
4- la position des jambes 
5- caractéristiques générales tels que tendues ou relaxes
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21
Q

Quelles émotions la posture permet d’exprimer

A
la haine
le dégoût 
la colère
la peur 
la tristesse
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22
Q

Vrai ou faux

La posture permet d’identifier des émotions telles que la joie, et la surprise

A

Faux
Elles permettent d’identifier
la colère, la haine, le dégoût la peur et la tristesse

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23
Q

Quels sont les 4 types de mouvements en communication?

A

Les emblèmes qui sont des 1- Mouvements du corps qui revêtent une même signification pour tous les membres d’un groupe culturel donné.
2- Les illustrateurs qui sont des gestes employés pour appuyer un discours verbal.
3- Les régulateurs qui sont utilisés pour régler la conversation en indiquant à l’interlocuteur quand parler et quand ne pas parler.
4- Les adaptateurs qui ont pour objet le corps du locuteur, le tout étant associé généralement au stress.

24
Q

Selon les mouvements en communication, qu’ont pour objet les adaptateurs?
À quoi sont ils associés?

A
  1. le corps du locuteur

2. ils sont généralement associés au stress

25
Q

Selon les mouvements en communication, que sont les illustrateurs

A

Ce sont des gestes employés pour appuyer un discours verbal

26
Q

Selon les mouvements en communication, que sont les régulateurs

A

ils sont utilisés pour régler la conversation en indiquant à l’interlocuteur quand parler et quand ne pas parler.

27
Q

Le toucher en lien avec la communication non verbale
l’espace vital (bulle) (Hall, 1966) et transgressions de la distance normative (Burgoon, 1978) sont évaluées en fonction de (3 éléments):

A

1- Caractéristiques du transgresseur (positives ou négatives)
2- Direction de la transgression (réduction ou augmentation de la distance)
3- Importance de la transgression comparativement à la norme (écart)

28
Q

vrai ou faux

Le toucher comporte des différences entre les sexes (Leathers, 1997):

A

Vrai

29
Q

Les femmes touchent plus facilement pour exprimer ? alors que les hommes le font plus par ?

A

Affection

Pouvoir

30
Q

Vrai ou faux

Il existe peu ou pas de différence entre les cultures concernant le toucher en lien avec la communication non verbale

A

Faux

Bien au contraire, il existe d’énormes différences culturelles

31
Q

Vrai ou faux

On retrouve toujours une grammaire et une syntaxe régissant la formation des mots et des phrases

A

vrai pour la communication verbale

32
Q

Toutes les langues sont faites de ? assemblées en ?

A

1- phonèmes (plus petite unité permettant de distinguer des mots les uns des autres) ex cote côte
morphèmes (plus petit élément significatif, isolé par segmentation d’un mot) ex. couraient: cour- «courir», -ai- (marque de l’imparfait)

33
Q

L’hypothèse de la relativité linguistique

A

Selon Sapir (1949), les limites personnelles et culturelles de notre vocabulaire dictent les limites de notre pensée et potentiellement de nos perceptions

34
Q

quels sont les trois éléments du développement des relations interpersonnelles?

A
  1. la popularité
  2. l’attirance physique
  3. l’affinité
35
Q

En lien avec la méthode du sociogramme, que permet d’identifier les éléments liés à la popularité

A

Les vedettes, les cliques, les isolés

Les caractéristiques recherchées

36
Q

Quelle est la méthode utilisée en lien avec la popularité

A

méthode du sociogramme

37
Q

En lien avec la popularité, quelles sont les caractéristiques recherchées selon Lyndzey et Byrne

A

Les personnes :
- Avec qui nous avons déjà interagit;
- Qui ont les caractéristiques les plus désirables selon notre groupe;
- Qui ont les mêmes caractéristiques sociales (âge, religion, etc.) que nous;
- Qui ont les mêmes attitudes et valeurs que nous;
- Qui nous perçoivent positivement;
- Qui nous voient comme nous nous voyons;
- Qui ont déjà satisfaits nos besoins;
- Qui sont intelligentes, en bonne santé physique et mentale;
- Qui sont physiquement attirantes.
Les personnes avec qui nous désirons former des relations ont donc aussi certaines caractéristiques des personnes populaires…

38
Q

Les personnes avec qui nous désirons former des relations sont des personnes

A

Qui ont les mêmes opinions et les mêmes valeurs que nous;
. Qui peuvent satisfaire nos besoins;
. Qui vivent près de nous géographiquement;
.Qui sont aussi attirées par nous;
.Qui sont plaisantes et agréables à côtoyer;
.Qui sont physiquement attirantes.
.Les personnes avec qui nous désirons former des relations ont donc aussi certaines caractéristiques des personnes populaires…

39
Q

Vrai ou faux

Les gens beaux sont jugés plus positivement

A

vrai

40
Q

Ce qui est beau est un bon est un ? lié à ?

A

stéréotype

l’attirance physique

41
Q

Vrai ou faux

la beauté n’est pas directement lié au statut social?

A

Faux

au contraire elle est directement liée au statut social

42
Q

Quel est l’Apprentissage social lié au stéréotype de l’attirance physique

A

La valorisation de la beauté commence très jeune

43
Q

Selon les base de l’affinité,

quelles sont les deux lois confirmées proposées par les chercheurs ?

A
  1. la loi du voisinage ou de l’exposition

2. la loi de la similitude ou de la ressemblance et la loi de l’homophilie

44
Q

à quelle loi apparie t-on cette phrase?

«Nous sommes portés à aimer ceux qui nous sont proches sur le plan géographique (physique)»

A

la loi du voisinage

45
Q

Qu’est-ce que le principe de l’exposition

A

Pour pouvoir rencontrer des personnes et se sentir attirée par elles, il faut avoir été en contact avec ces personnes

46
Q

Vrai ou faux

proximité physique favorise l’affiliation.

A

vrai

47
Q

Festinger observa le développement des relations interpersonnelles entre voisins de plancher d’un dortoir universitaire.

Quelles furent ses Constatation

A

Il constata que les étudiants vivent proche les uns des autres ont eu plus tendances à développer des amitiés que les autres (ceux éloignés)

48
Q

Quelle est la conclusion de l’étude de Festinger 1950

A

la simple proximité physique semble favoriser le développement des relations interpersonnelles.

49
Q

Quelles sont les 2 explications de l’effet du voisinage?

A
  1. les rencontres favorisent les interactions qui permettent de découvrir des points communs avec les autres personnes
  2. Les rencontrent favorisent le sentiment de familiarité et nous sommes attirés par ce qui nous est familier
50
Q

De quel auteur s’agit-il?

«Les rencontrent favorisent le sentiment de familiarité et nous sommes attirés par ce qui nous est familier »

A

Zajonc, 1970

51
Q

De quelle loi s’agit-il?

l’attraction réciproque est fortement basée sur la similitude entre les personnes, réelle ou perçue»

A

La loi de la similitude

52
Q

Vrai ou faux

La simlitude pourrait expliqué le fait que deux vieux amis qui ne se sont pas vu depuis longtemps, on la même relation en se revoyant.

A

vrai

53
Q

vrai ou faux

Les personnes ayant les mêmes caractéristiques de personnalité ont plus de chances de se rencontrer et de poursuivre leur relation.

A

vrai

54
Q

À quel principe fait-on référence?

nous sommes attirés par les personnes qui ont les mêmes caractéristiques (intérêts identiques) que nous.

A

principe de personnalité, d’attitudes et de valeurs

55
Q

selon les théories de l’effet de la similitude, à quoi réfère la phrase suivante:
quelqu’un qui présente les mêmes caractéristiques que moi, mêmes intérêts, mêmes valeurs que moi… doit nécessairement être une personne intéressante

A

au narcissisme

56
Q

Qu’est-ce que la recherche de l’idéal du moi selon wetzel et Insko

A

le fait de rechercher quelqu’un de semblable sur le plan des valeurs et des intérêts traduit en fait la recherche d’une forme idéale de moi-même (recherche de standards idéaux; je recherche quelqu’un qui me ressemble, mais en mieux)