Psychologie Clinique Flashcards

Spécialité psy qui fournit des soins de santé autour des soins mentaux et comportementaux. Basée sur une rech. scientifique vérifiée dans sa pratique

1
Q

Maladie : expérience ___ de ___, d’___ et d’être ___
___ de la personne et/ou du corps en ce qui concerne le ___ (sentiment, humeur), le ___ et le niveau de ___.

A

Maladie : expérience subjective de malaise, d’indisposition et d’être “entravé”
Modification de la personne et/ou du corps en ce qui concerne le bien-être (sentiment, humeur), le comportement et le niveau de performance.

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2
Q

Santé : État de complet ___ physique, mental et ___. Pas seulement une absence de ___ ou d’___. (oms 1946)
Définition fonctionnelle : état de ___ ___ d’un individu en vue de la réalisation ___ des ___ et des ___ par lesquels il est ___. (Parsons 1958)

A

Santé : État de complet bien-être physique, mental et social. Pas seulement une absence de maladie ou d’infirmité. (oms 1946)
Définition fonctionnelle : état de capacité optimale d’un individu en vue de la réalisation efficace des rôles et des tâches par lesquels il est socialisé. (Parsons 1958)

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3
Q

Définition de la psychologie clinique :

Clinical psychology is the psychological specialty that provides ____ and _____ mental and _____ ____ care for individuals and families; consultation to agencies and communities; training, education and supervision; and ___-___ practice.

A

Définition de la psychologie clinique :
Clinical psychology is the psychological specialty that provides continuing and comprehensive mental and behavorial health care for individuals and families; consultation to agencies and communities; training, education and supervision; and research-based practice.

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4
Q

Trois buts :

  • ____ (classification, ___)
  • ____ (___, maintien)
    ~>___
  • ___ (___, prévention, ____) les problèmes et troubles ~> ___
A

Trois buts :

  • cerner (classification, diagnostic)
  • expliquer (étiologie, maintien)
    ~> évaluation
  • traiter (thérapie, prévention, réhabilitation) les problèmes et troubles ~> intervention
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5
Q

Les psychologues cliniciens sont formés à la fois à la ___ et à la ___.

~> c’est ce qu’on appelle le modèle du ___-___

A

Les psychologues cliniciens sont formés à la fois à la recherche et à la pratique.

~> c’est ce qu’on appelle le modèle du scientifique-practicien

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6
Q

Classifications diagnostiques :

Fonction principale est de fournir des ___ sur la ___, l’___ et le ___ des troubles psychiques (___, ___, ___).

A

Classifications diagnostiques :
Fonction principale est de fournir des informations sur la nature, l’origine et le développement des troubles psychiques (symptomatologie, étiologie, évolution).

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7
Q

Classifications diagnostiques :

DSM-5 : manuel ___ et ___ des ___ ___ (____ and ___ Manual of ___ ___; American Psychiatric Association, 2013)

CIM 10 : classification ____ des ___, chapitre _ (F) sur troubles ___ et ___ (ICD-10: ___ Classification of ___, 1993; vf 1994, ___). CIM 11 finalisée en 2018 et entrera en vigueur été 2022.

Classification 0-5 ans : Classification des ___ de la ___ ___ (Diagnostic Classification: 0-3, 1994; vf 1998)
(Diagnostic Classification and dev disor: 0-5, 2016)

A

Classifications diagnostiques :

DSM-5 : manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (Diagnostical and Statistical Manual of Mental Disorders; American Psychiatric Association, 2013)

CIM 10 : classification internationale des maladies, chapitre V (F) sur troubles mentaux et comportementaux (ICD-10: International Classification of Diseases, 1993; vf 1994, OMS). CIM 11 finalisée en 2018 et entrera en vigueur été 2022

Classification 0-5 ans : Classification des troubles de la petite enfance (Diagnostic Classification: 0-3, 1994; vf 1998)
(Diagnostic Classification and dev disor: 0-5, 2016)

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8
Q

Limites du DSM et de la CIM :

Aucune ___ de l’___ des troubles

Simples ___ dénuées de __

Nosographies ___ et non (peu) ___

Ne tient pas compte du “___” de symptômes

Calquées sur la médecine ___ - or les symptômes psychopathologiques sont largement non ___ (___ = lié de manière ___ à une patholoogie)

A

Limites du DSM et de la CIM :

Aucune spécification de l’étiologie des troubles

Simples énumérations dénuées de sens

Nosographies catégorielles et non (peu) dimensionnelles

Ne tient pas compte du “réseau” de symptômes

Calquées sur la médecine somatique - or les symptômes psychopathologiques sont largement non spécifiques (spécifique = lié de manière univoque à une patholoogie)

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9
Q

Approche catégorielle :

Fait basculer une personne d’une ___ à une autre sur la base d’un ___
Exemple : 3 symptômes = non dépressif et 4 symptômes = dépressif

A

Approche catégorielle :

Fait basculer une personne d’une catégorie à une autre sur la base d’un cumul
Exemple : 3 symptômes = non dépressif et 4 symptômes = dépressif

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10
Q

Approche dimensionnelle :

Considère que les personnes sont “___ __ ___” porteuses d’une caractéristique. La ressemblance est reconnue, il y a une différence de ___ et non de ___.

A

Approche dimensionnelle :

Considère que les personnes sont “plus ou moins” porteuses d’une caractéristique. La ressemblance est reconnue, il y a une différence de degré et non de nature.

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11
Q

Le setting

Tout entretien clinique se passe dans un ___ qui doit être ___ de façon à faciliter le travail d’___/___

Modifications possibles sur le \_\_\_ et sa \_\_\_, l'\_\_\_ de la salle, la \_\_\_\_ ou \_\_\_ de la pièce.
A

Le setting

Tout entretien clinique se passe dans un lieu qui doit être aménagé de façon à faciliter le travail d’évaluation/thérapeutique

Modifications possibles sur le mobilier et sa disposition, l'arrangement de la salle, la décoration ou esthétique de la pièce.
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12
Q

La relation avec le patient

Il s’agit d’un rapport entre un ___ et quelqu’un qui vient ___ de l’__, mais aussi d’un ___ ___. Bien que les échanges __ soient au cœur du travail du clinicien, les comportements __ ___ réciproques du clinicien et du(des) client(s) auront une influence sur l’entretien.

A

La relation avec le patient

Il s’agit d’un rapport entre un expert et quelqu’un qui vient chercher de l’aide, mais aussi d’un échange social. Bien que les échanges verbaux soient au cœur du travail du clinicien, les comportements non verbaux réciproques du clinicien et du(des) client(s) auront une influence sur l’entretien.

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13
Q

La relation avec le client

“Impossible de ne pas ___”, Palo Alto

Le practicien peut transmettre, à son insu, des messages ___ ___ de ___, de ___, d’___ qui vont ___ la relation avec le client.

A

La relation avec le client

“Impossible de ne pas communiquer”, Palo Alto

Le practicien peut transmettre, à son insu, des messages non verbaux de dominance, de froideur, d’incompréhension qui vont altérer la relation avec le client.

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14
Q

Les variables de base (Rogers)
Importance de l’attitude ___

Trois variables ___ qui fondent la relation thérapeutique :

	- la \_\_\_ et l'\_\_\_ 
	- la \_\_\_ \_\_\_ ou le regard positif \_\_\_
	- l'\_\_\_
A

Les variables de base (Rogers)
Importance de l’attitude thérapeutique

Trois variables relationnelles qui fondent la relation thérapeutique :

	- la congruence et l'authenticité 
	- la considération positive ou le regard positif inconditionnel
	- l'empathie
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15
Q

Les variables de base (Rogers)

La congruence et l’authenticité :
Le thérapeute est ___ et sans ___. Il y a ___ entre son discours et son attitude générale (__ ___ en particulier). Comportement non ___ face à ce que le client apporte. Peut faire usage de “___-___” (pas dans toutes les orientations thérapeutiques)

A

Les variables de base (Rogers)

La congruence et l’authenticité :
Le thérapeute est franc et sans contrainte. Il y a cohérence entre son discours et son attitude générale (non verbale en particulier). Comportement non défensif face à ce le client apporte. Peut faire usage de “self-disclosure” (pas dans toutes les orientations thérapeutiques)

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16
Q

Les variables de base (Rogers)

La considération positive :

___ du client tel qu’il se présente, sans attendre de lui de “___” ou de ___. N’implique pas l’___ de tout ce que le client ___ et ___ mais proscrit le ___ ou la non ___.

Techniquement implique (i) de ne pas \_\_\_ le client, (ii) la plus grande \_\_\_ possible selon ses critères propres, (iii) s'\_\_\_ dans l'écoute du client
~>éviter les réponses \_\_\_ et \_\_\_.
A

Les variables de base (Rogers)

La considération positive :

Acceptation du client tel qu’il se présente, sans attendre de lui de “tenue” ou de façade. N’implique pas l’approbation de tout ce que le client dit et fait mais proscrit le jugement ou la non acceptation.

Techniquement implique (i) de ne pas conseiller le client, (ii) la plus grande acceptation possible selon ses critères propres, (iii) s'investir dans l'écoute du client
~>éviter les réponses machinales et automatisées.
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17
Q

Étiologie : étude des ___ et des ___ d’une maladie

En psychopathologique les troubles ont des origines ____ (nombreux facteurs à prendre en compte) et ____ (plusieurs modèles étiologiques possibles car ___ de causalités).

La symptomatologie psychopathologique est largement non ___. Pour expliquer une même pathologie, il y a différents ___ ___ qui mettent l’accent sur des ___ différents.

A

Étiologie : étude des causes et des facteurs d’une maladie

En psychopathologique les troubles ont des origines multifactorielles (nombreux facteurs à prendre en compte) et multidéterminées (plusieurs modèles étiologiques possibles car agencements de causalités).

La symptomatologie psychopatjologique est largement non spécifique. Pour expliquer une même pathologie, il y a différents courants théoriques qui mettent l’accent sur des facteurs différents.

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18
Q

Les différents facteurs

Phase pré- et périnatale : les facteurs ___ (facteurs ___, intra-utérins et périnataux qui limitent les ___ d’___ et de ___, et augmentent la probabilité d’un trouble).

Phase de développement : les facteurs de ___ (socialisation ___, facteurs ___, maladies ___, dont l’effet s’ajoute aux facteurs prédisposants) .

Phase de précédence immédiate : les facteurs ___ (évènement ___ ou ___ qui dépasse la capacité d’adaptation de l’individu)

Phase d’évolution : les facteurs de ___ (le trouble peut apparaître de façon ___, ___, ___, ___, etc… Le maintien -___ de l’entourage, ___-___)

A

Les différents facteurs

Phase pré- et périnatale : les facteurs prédisposants (facteurs génétiques, intra-utérins et périnataux qui limitent les capacités d’adaptation et de développement, et augmentent la probabilité d’un trouble).

Phase de développement : les facteurs de vulnérabilité (socialisation précoce, facteurs relationnels, maladies précoces, dont l’effet s’ajoute aux facteurs prédisposants.

Phase de précédence immédiate : les facteurs déclenchants (évènement interne ou externe qui dépasse la capacité d’adaptation de l’individu)

Phase d’évolution : les facteurs de maintien (le trouble peut apparaître de façon unique, ponctuelle, chronique, récurrente, etc… Le maintien ->réactions de l’entourage, auto-renforcements)

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19
Q

Modèles étiologiques :

1-l’effet principal où un facteur ___ est ___ du trouble, ___ de tout autre facteur. Effet surtout observé en médecine ___ et difficilement pour les maladies psychologiques.

2-l’effet d’interaction où l’___ de 2 (ou plus) facteurs causent le trouble.

3-la transaction qui est un raffinement des modèles 1 et 2 où un ___ ou l’___ de 2 (ou plus) facteurs causent le trouble à condition de rencontrer une ___ ou une ___ préexistantes.

A

Modèles étiologiques :

1-l’effet principal où un facteur principal est responsable du trouble, indépendamment de tout autre facteur. Effet surtout observé en médecine somatiqueet difficilement pour les maladies psychologiques.

2-l’effet d’interaction où l’interaction de 2 (ou plus) facteurs causent le trouble.

3-la transaction qui est un raffinement des moèles 1 et 2 où un facteur ou l’interaction de 2 (ou plus) facteurs causent le trouble à condition de rencontrer une vulnérabilité ou une prédisposition préexistantes.

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20
Q

Facteurs modérateurs et médiateurs

Médiateur : par le biais duquel se transmet l’___ d’un ___ négatif. Facteurs causaux ~> médiateur ~> trouble

Modérateur : ___ ou ___ l’impact d’un ___ négatif; les facteurs de ___ en font partie. Facteurs causaux +modérateur ~> ++trouble ou –trouble

A

Facteurs modérateurs et médiateurs

Médiateur : par le biais duquel se transmet l’impact d’un événement négatif. Facteurs causaux ~> médiateur ~> trouble

Modérateur : aggrave ou tempère l’impact d’un événement négatif; les facteurs de résilience en font partie. Facteurs causaux +modérateur ~> ++trouble ou –trouble

21
Q

Comment évaluer ?

S’assurer qu’il s’agisse bien d’une ___ et pas une “___ de la ___”

Éviter d’être influencé par des _ ___ ou des ___ qui peuvent nous porter à évaluer le comportement d’une personne comme “___”

Il y a des ___ et des ____ d’évaluation qui répertorient des ___ des troubles/difficultés (un trouble est un ___)

A

Comment évaluer ?

S’assurer qu’il s’agisse bien d’une pathologie et pas une “variation de la norme”

Éviter d’être influncé par des à priori ou des préjugés qui peuvent nous porter à évaluer le comportement d’une personne comme “anormal”

Il y a des instruments et des méthodologies d’évaluation qui répertorient des indicateurs des troubles/difficultés (un trouble est un construit)

22
Q

Biais influençant le jugement diagnostique

Effet de clémence : __-___ les qualités ___ du patient et __-___ les indésirables. D’autant plus fort s’il y a proximité “___” entre évaluateur et patient.

Effet de halo : une ___ du patient “déteint” sur la ___ à évaluer (ex : les gens biens habillés se contrôlent mieux)

Erreur logique : ___ d’une connaissance ___ (enfants à problèmes scolaires viennent souvent de foyers avec conflit conjugal donc on cherche le conflit chez les parents)

Théories naïves : jugement “___” sur les personnes

A

Biais influençant le jugement diagnostique

Effet de clémence : sur-estimer les qualités désirables du patient et sous-estimer les indésirables. D’autant plus fort qu’il y a proximité “psychologique” entre évaluateur et patient.

Effet de halo : une caractéristique du patient “déteint” sur la caractéristique à évaluer (ex : les gens biens habillés se contrôlent mieux)

Erreur logique : sur-généralisation d’une connaissance clinique (enfants à problèmes scolaires viennent souvent de foyers avec conflit conjugal donc on cherche le conflit chez les parents)

Théories naïves : jugement “pop” sur les personnes

23
Q

Les méthodes d’évaluation

Entretiens : à visée de ___ ___; entretiens cliniques avec prise ___ d’___.

Tests : d’__ (ex QI), ___

Échelles/questionnaires ___ et ___-reportés : appréciation ___ (liste de symptômes, qualité de vie); problèmes ___ (inventaire de la dépression, autres troubles)

Observations et analyses du comportement : hétéro-observation=>grilles d’___, enregistrements ___, répertoire des ___; auto-observation => ___ d’observation

A

Les méthodes d’évaluation

Entretiens : à visée de diagnostic psychiatrique; entretiens cliniques avec prise systématiques d’informations

Tests : d’aptitudes (ex QI), projectifs

Échelles/questionnaires auto et hétéro-reportés : appréciation globale (liste de symptômes, qualité de vie); problèmes spécifiques (inventaire de la dépression, autres troubles)

Observations et analyses du comportement : hétéro-observation=>grilles d’observatiln, enregistrements vidéos, répertoire des comportements; auto-observation => grilles d’observation

24
Q

Types d’entretiens :

DIGS : ___ ___ for ___ ___

Génogramme : description ___ des liens ___ et ___ qui unissent différents membres d’une ___ entre eux et les différentes ___ entre elles. Il y a un format ___ qui détermine les conventions ___ (carré bleu = homme, rond rose = femme, date de naissance et de mort au-dessus ou âge sur le carré ou rond, les morts ont une croix ;la personne pour qui le génogramme est construit a une bordure double)

A

Types d’entretiens :

DIGS : diagnostic interview for genetic studies
Génogramme : description graphique des liens biologiques et légaux qui unissent différents membre d’une famille entre eux et les différentes générations entre elles. Il y a un format standard qui détermine les conventions pictographiques (carré bleu = homme, rond rose = femme, date de naissance et de mort au-dessus ou âge sur le carré ou rond, les morts ont une croix ;la personne pour qui le génogramme est construit a une bordure double)

25
Q

Les différents types de tests

La tour de Londres : souvent utilisée en ____ clinique pour évaluer des fonctions ___ comme la ___ ou la ___ de ___.

Le FAST : ___ ___ ___ qui est basé sur la tradition des représentations ___ des relations. Importance de l’___ comme dimension familiale prédominante; l’espace topographique est une métaphore de la ___ ___. 2 dimensions qui font la structure familiale, la ___ (connectedness) qui est la ___ émotionnelle des membres d’un système ou sous-système entre eux, et la ___ (___) qui désigne les relations de ___ entre les sous-systèmes.
Les systèmes familiaux “fonctionnels” ont une structure équilibrée où ils sont ___ et modérement ____

A

Les différents types de tests

La tour de Londres : souvent utilisée en neuropsychologie clinique pour évaluer des fonctions exécutives comme la planification ou la mémoire de travail.

Le FAST : family system test qui est basé sur la tradition des représentations spatiales des relations. Importance de l’espace comme dimension familiale prédominante; l’espace topographique est une métaphore de la relation affective. 2 dimensions qui font la structure familiale, la cohésion (connectedness) qui est la proximité émotionnelle des membres d’un système ou sous-système entre eux, et la hiérarchie (hierarchy) qui désigne les relations de pouvoir entre les sous-systèmes.
Les systèmes familiaux “fonctionnels” ont une structure équilibrée où ils sont cohésifs et modérement hiérarchisés

26
Q

Exemples d’échelle auto-reportée

HADS : ___ ___ and ___ ___ où le patient répond à des questions sur une ___ de 0 (jamais) à 3 (la plupart du temps). Selon le score obtenu, le patient est diagnostiqué plus ou moins ___ ou ___

Beck Depression Inventory II : ____ des ___ et des ___ ___, selon le score final obtenu on peut déterminer l’___ de la ___

A

Exemples d’échelle auto-reportée

HADS : hospital anxiety and depression scale où le patient répond à des questions sur une échelle de 0 (jamais) à 3 (la plupart du temps). Selon le score obtenu, le patient est diagnostiqué plus ou moins anxieux ou dépressif

Beck Depression Inventory II : inventaire des pensées et des affects négatifs, selon le score final obtenu on peut déterminer l’intensité de la dépression

27
Q

Exemple d’échelle hétéro-reportée

CARS : ___ ___ ___ ___ traite de 15 domaines comme les relations ___, l’___, les réponses ___, l’utilisation du ___ et des ___, l’adaptation au ___

A

Exemple d’échelle hétéro-reportée

CARS : childhood autism rating scale traite de 15 domaines comme les relations sociales, l’imitation, les réponses émotionnelles, l’utilisation du corps et des objets, l’adaptation au changement

28
Q

Exemple d’observation des comportements

Conflict Discussion Task : méthode de ___ dans laquelle on demande aux membres d’une relation (souvent couple) de __ ___ ___ sur un thème ___ en un temps donné. Évaluation des comportements communicationnels (___, __-___, ___)

A

Exemple d’observation des comportements

Conflict Discussion Task : méthode de simulation dans laquelle on demande aux membres d’une relation (souvent couple) de se mettre d’accord sur un thème vonflictuel en un temps donné. Évaluation des comportements communicationnels (verbal, non-verbal, paraverbal)

29
Q

Les variables de base (Rogers)

L’empathie : ___, ___, ___ et ___ des contenus de l’expérience vécue dans le ___ de ___ du client.
Techniquement, implique le “___” des ___ d’autrui et/ou la ___ de ce que le client vit au-delà de ce qu’il exprime ___. Il s’agit de ___ ce que le thérapeute ___ avoir compris.
Le thérapeute tient compte de ce que le client (i) exprime ___ comme contenus ___ et ___, (ii) exprime ___, (iii) ___ de façon ___ au vu des informations fournies.

L’empathie est un processus en trois phases :
1- le ___ vit de l’___ par rapport au ___
2- il ___ cette empathie au ___
3- le ___ perçoit l’___ et la ___

A

Les variables de base (Rogers)

L’empathie : perception, compréhension, reconnaissance et communication des contenus de l’expérience vécue dans le cadre de référence du client.
Techniquement, implique le “reflet” des émotions d’autrui et/ou la verbalisation de ce que le client vit au-delà de ce qu’il exprime explicitement. Il s’agit de communiquer ce que le thérapeute croit avoir compris.
Le thérapeute tient compte de ce que le client (i) exprime explicitement comme contenus émotionnels et expérentiels, (ii) exprime implicitement, (iii) vit de façon probable au vu des informations fournies.

L’empathie est un processus en trois phases :
1- le thérapeute vit de l’empathie par rapport au client
2- il communique cette empathie au client
3- le client perçoit l’empathie et la reconnaît

30
Q

L’alliance de travail

Les variables de base sont considérées comme formant la ___ de toute technique d’___ et sont au ___ de l’___ de travail/thérapeutique.

3 éléments composent cette ___ (Bordin, 1979) :
L’___ entre le thérapeute (practicien) et le client sur les ___ du traitement (de l’évaluation)
L’___ entre le thérapeute (practicien) et le client sur les ___ à ___ pour atteindre ces buts
Des liens ___, nécessaires pour que thérapeute (practicien) et client puissent affronter les ___ du ___ thérapeutique (les ___ de l’évaluation)

A

L’alliance de travail

Les variables de base sont considérées comme formant la base de toute technique d’entretien et sont au cœur de l’alliance de travail/thérapeutique.

3 éléments composent cette alliance (Bordin, 1979) :
L’accord entre le thérapeute (practicien) et le client sur les buts du traitement (de l’évaluation)
L’accord entre le thérapeute (practicien) et le client sur les tâches à accomplir pour atteindre ces buts
Des liens affectifs, nécessaires pour que thérapeute (practicien) et client puissent affronter les vicissitudes du changement thérapeutique (les résultats de l’évaluation)

31
Q

L’alliance de travail

En thérapie, l’alliance est liée ___ à la réussite du traitement, quelque soit le ___ théorique. Elle explique __% de l’efficacité d’une intervention- contre __% pour les techniques spécifiques.
Baldwin (2007) : la ___ du thérapeute à l’alliance est ___ de la ___ de la thérapie, alors que ce n’est pas le cas de la ___ du client.
Les aptitudes ___ et ___ du thérapeute sont les facteurs ___ de l’alliance.

A

L’alliance de travail

En thérapie, l’alliance est liée positivement à la réussite du traitement, quelque soit le courant théorique. Elle explique 30% de l’efficacité d’une intervention- contre 15% pour les techniques spécifiques.
Baldwin (2007) : la contribution du thérapeute à l’alliance est prédictive de la réussite de la thérapie, alors que ce n’est pas le cas de la contribution du client.
Les aptitudes sociales et empathiques du thérapeute sont les facteurs principaux de l’alliance.

32
Q

Sigmund Freud (1856-1939)

1856 Naissance
1873-1881 Études de \_\_\_ en \_\_\_
1885 Études à \_\_\_ avec \_\_\_
1910 Fondation de la \_\_\_ \_\_\_ de \_\_\_
1934 Ses livres sont brûlés à Berlin
1939 \_\_\_ à Londres, meurt d'un cancer de la mâchoire
A

Sigmund Freud (1856-1939)

1856 Naissance
1873-1881 Études de médecine en neurophysiologie
1885 Études à Paris avec Charcot
1910 Fondation de la Société internationale de Psychanalyse
1934 Ses livres sont brûlés à Berlin
1939 Exilé à Londres, meurt d’un cancer de la mâchoire

33
Q

Caractéristiques de la psychanalyse

La psychanalyse essaie de ___ le ___ humain en investiguant l’___ ___ de l’individu

Elle traite les ___ ___ par une
application ___ de la ___ du monde ___

A

Caractéristiques de la psychanalyse

La psychanalyse essaie de comprendre le
comportement humain en investiguant l’expérience
intérieure de l’individu

Elle traite les problèmes psychologiques par une
application clinique de la compréhension du monde
interne

34
Q

Psychanalyse

Névrose : toute ___ caractérisée par des troubles
___ et ___ comme l’___, la ___, les ___; troubles dont le sujet est ___ mais dont il ne peut se débarrasser.

• Hystérie : Ensemble de ___, prenant l’apparence d’___ ___ (par ex paralysies), sans ___ ___ décelable

A

Psychanalyse

Névrose : toute affection caractérisée par des troubles
affectifs et émotionnels comme l’angoisse, la phobie, les obsessions; troubles dont le sujet est conscient mais dont il ne peut se débarrasser.

• Hystérie : Ensemble de symptômes, prenant l’apparence d’affections organiques (par ex paralysies), sans lésion organique décelable

35
Q

Genèse de la psychanalyse

Charcot use l’___ pour soigner l’___, qu’il pense être une ___ cérébrale.
Freud ne croit pas en l’___ et découvre avec ___ la dimension ___ de l’___ -> naissance de la ___ par la ___ (___ ___).
Freud croit qu’un ___ est à l’origine de la pathologie.

A

Genèse de la psychanalyse

Charcot use l’hypnose pour soigner l’hystérie, qu’il pense être une dégénérescence cérébrale.
Freud ne croit pas en l’hypnose et découvre avec Breuer la dimension inconsciente de l’hystérie -> naissance de la thérapie par la parole (talking cure).
Freud croit qu’un traumatisme est à l’origine de la pathologie.

36
Q

Psychanalyse : la résistance

Freud essaie la ___ pour guérir l’hystérie, en essayant de ___ le patient à __ ___ de l’événement ___ qui cause la maladie.

Les patients se montrent parfois peu ___, “ne veulent pas savoir” -> la résistance

A

Psychanalyse : la résistance

Freud essaie la suggestion pour guérir l’hystérie, en essayant de pousser le patient à se souvenir de l’événement traumatique qui cause la maladie.

Les patients se montrent parfois peu collaboratifs, «ne veulent pas savoir» -> la résistance

37
Q

Psychanalyse : l’invention d’une théorie

Pour donner du sens aux processus de la résistance, Freud élabore des théories “___” (___ théorique des ___ ___) comme les principes de ___, de ___ et les deux ___; ainsi que une théorie du développement de la ___ ___ pour expliquer les ___ et mènent à une ___ à l’age adulte.

Freud a beaucoup ___ et fréquemment ___ et ___ sa théorie, sans jamais faire de ___ entre ses différents essais.

A

Psychanalyse : l’invention d’une théorie

Pour donner du sens aux processus de la résistance, Freud élabore des théories “métapsychologiques” (conceptualisation théorique des processus psychiques) comme les principes de plaisir, de réalité et les deux topiques; ainsi que une théorie du développement de la sexualité infantile pour expliquer les traumatismes et mènent à une symptomatologie à l’age adulte.

Freud a beaucoup écrit et fréquemment modifié et enrichi sa théorie, sans jamais faire de synthèse entre ses différents essais.

38
Q

Psychanalyse : Pulsions et principe du plaisir

Le fonctionnement ___ est régi par un ___ qui vise à éviter le ___ et procurer le ___. Le cœur de la “___” est un ensemble de ___ : ___ ___ issues d’une ___ corporelle dont on cherche à décharger l’___ à travers un “___”.

Ces ___ sont issues de différentes sources ___ selon les stades du ___ ___.

A

Psychanalyse : Pulsions et principe du plaisir

Le fonctionnement mental est régi par un principe qui vise à éviter le déplaisir et procurer le plaisir. Le cœur de la “motivation” est un ensemble de pulsions : charges énergétiques issues d’une excitation corporelle dont on cherche à décharger l’énergie à travers un “objet”.

Ces pulsions sont issues de différentes sources corporelles selon les stades du développement psychosexuel.

39
Q

Psychanalyse : Pulsions et principe de réalité

La ___ avec le ___ ___mène le fonctionnement ___ à être régi par le ___ de ___. Ceci nous fait ___ plutôt qu’___ (ou ___ avant d’___).

Le ___ et la ___ peuvent être ___.

A

Psychanalyse : Pulsions et principe de réalité

La confrontation avec le monde externe mène le fonctionnement mental à être régi par le principe de réalité. Ceci nous fait penser plutôt qu’agir (ou penser avant d’agir).

Le plaisir et la réalité peuvent être antagonistes.

40
Q

Psychanalyse : La première topique

Freud voit l’esprit comme un ___.
La partie émergée représente le ___, les parties immédiatement ___ à la “___”.
Au niveau de la ligne de flottaison se trouve le ___, soit les ___ et ___ auxquelles on peut accéder moyennant quelques efforts.
La partie immergée représente l’___ qui échappe à l’___; constituée des ___ et ___ qui n’ont pas eu le “droit” d’accéder au ___ -> le ___ les a repoussés.

A

Psychanalyse : La première topique

Freud voit l’esprit comme un iceberg.
La partie émergée représente le conscient, les parties immédiatement accessibles à la “raison”.
Au niveau de la ligne de flottaison se trouve le préconscient, soit les pensées et informations auxquelles on peut accéder moyennant quelques efforts.
La partie immergée représente l’inconscient qui échappe à l’introspection; constituée des pulsions et désirs qui n’ont pas eu le “droit” d’accéder au préconscient -> le refoulement les a repoussés.

41
Q

Psychanalyse freudienne :

Le passage de l’inconscient au préconscient/conscient est réglé par un “gardien”, le ___ qui
- veille à ce qu’aucune ___ dont la prise de conscience pourrait être ___ ne puisse accéder à la ___;
- fait basculer les pensées déplaisantes du ___ vers l’___.
C’est un mécanisme de ___ ___.

Lorsque la charge ___ est trop ___, il y a “___” et “___” sous forme de ___ (d’autres mécanismes de défenses) ___ qui empêchent la ___ de ___.
Freud propose une “___-___” en 1896, comme méthode d’___ et théorie explicative d’événements ___ qui semblent dénués de ___ et ___ : nocturnes, rêveries diurnes, lapsus et actes manqués, qui sont révélateurs de notre ___

A

Psychanalyse freudienne :

Le passage de l’inconscient au préconscient/conscient est réglé par un “gardien”, le refoulement qui
- veille à ce qu’aucune pulsion dont la prise de conscience pourrait être déplaisante ne puisse accéder à la conscience;
- fait basculer les pensées déplaisantes du conscient vers l’inconscient.
C’est un mécanisme de défense sain.

Lorsque la charge pulsionnelle est trop intense, il y a “effraction” et “retour du refoulé” sous forme de symptômes (d’autres mécanismes de défenses) pathologiques qui empêchent la prise de conscience.
Freud propose une “psycho-analyse” en 1896, comme méthode d’interprétation et théorie explicative d’événements psychiques qui semblent dénués de sens et motivation : nocturnes, rêveries diurnes, lapsus et actes manqués, qui sont révélateurs de notre inconscient

42
Q

Psychanalyse : la deuxième topique

Le ___ est la base primitive, ___ de la psyché, dominé par des ___ primaires et leur ___ immédiate.

La ___ avec le monde extérieur modifie le ___ et le __ émerge de cette interaction. (i) Il a un rapport à la ___, et contient les ___ conscientes (ii) Il met en œuvre les ___ (comme le refoulement du ça); ce fonctionnement est ___.

Le ___ est l’intériorisation de l’___ ___

A

Psychanalyse : la deuxième topique

Le ça est la base primitive, inconsciente de la psyché, dominé par des besoins primaires et leur satisfaction immédiate.

La rencontre avec le monde extérieur modifie le ça et le moi émerge de cette interaction. (i) Il a un rapport à la réalité, et contient les perceptions conscientes (ii) Il met en œuvre les défenses (comme le refoulement du ça); ce fonctionnement est inconscient.

Le surmoi est l’intériorisation de l’autorité parentale

43
Q

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade oral (___ année) : la zone ___ prévalente est la zone ___. L’objet ___ est le ___ ou son substitut; découverte du monde via l’___.

A

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade oral (première année) : la zone érogène prévalente est la zone bucco-labiale. L’objet pulsionnel est le sein ou son substitut; découverte du monde via l’ingestion.

44
Q

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade anal (___année) : zone ___ est la zone ___. La ___ prédominante est l’___, ou la ___. stade ambivalent où le même objet (caca) peut être ___ ou ___.

A

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade anal (deuxième année) : zone érogène est la zone anale. La pulsion prédominante est l’emprise, ou la maitrise. stade ambivalent où le même objet (caca) peut être expulsé ou conservé.

45
Q

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade phallique (entre _ et _ ans) : la zone ___ privilégiée est l’___. L’enfant prend conscience de la ___ des ___, période d’___ de soi. Age où le ___ d’___ prend place (entre _ et _ ans) : garçons ___ par leur mère et ___ avec le père; angoisse de la ___ car peur d’être puni du ___ de la mère par le père mais aussi ___ au père car ___ de son ___ -> c’est la mise en place du ___, qui interdit l’expression du désir___. Les filles ont “___” et en veulent à leur mère qui ne leur en a pas donné; elles attendent un ___ de la part du père.

Variations sur le thème d’OEdipe:
• Complexe de ___ (de ___,1920): Jocaste était la ___ d’OEdipe; l’amour qu’elle ressent pour son fils devrait expliquer la ___ «___» ressentie par rapport à son fils / sa fille
• Complexe d’___ (___, 1915): ___ a fait assassiner sa ___ Clytemnestre pour venger son ___ Agamemnon -> ___ mère/fille pour l’___ du père.

A

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade phallique (entre 3 et 6 ans) : la zone érogène privilégiée est l’urètre. L’enfant prend conscience de la différence des sexes, période d’affirmation de soi. Age où le complexe d’Oedipe prend place (entre 4 et 6 ans) : garçons attirés par leur mère et rivalité avec le père; angoisse de la castration car peur d’être puni du désir de la mère par le père mais aussi identification au père car reconnaissance de son pouvoir -> c’est la mise en place du surmoi, qui interdit l’expression du désir Oedipien. Les filles ont “envie du pénis” et en veulent à leur mère qui ne leur en a pas donné; elles attendent un dédommagement de la part du père.

Variations sur le thème d’OEdipe:
• Complexe de Jocaste (de Saussure,1920): Jocaste était la mère d’OEdipe; l’amour qu’elle ressent pour son fils devrait expliquer la jalousie «incestueuse» ressentie par rapport à son fils / sa fille
• Complexe d’Électre (Jung, 1915): Électre a fait
assassiner sa mère Clytemnestre pour venger son père
Agamemnon -> compétition mère/fille pour l’amour du
père.

46
Q

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

La période de latence (entre _ et _ ans) : il y a une ___ progressive des ___ et des
___, grâce au refoulement.
La ___ déplace les buts ___ vers des objectifs ___ et «___» l’enfant aux apprentissages ___

A

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

La période de latence (entre 6 et 12 ans) : il y a une désexualisation progressive des pensées et des
comportements, grâce au refoulement.
La sublimation déplace les buts pulsionnels vers des objectifs socialisés et « ouvre » l’enfant aux apprentissages pédagogiques

47
Q

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade génital (dès la ___) : organisation des ___ autour des zones ___; les ___ ___ sont dirigées vers des ___ externes

A

Psychanalyse : le développement psycho-sexuel

Le stade génital (dès la puberté) : organisation des pulsions autour des zones génitales; les pulsions sexuelles sont dirigées vers des objets externes

48
Q

Psychanalyse : l’étiologie des troubles psychiques

Les troubles ___ ont leur origine dans un ___ non ___ de l’___. Le trouble se développe en trois phases
La ___ de ___ avec le ___ ___
___
___ et ___ des symptômes

A

Psychanalyse : l’étiologie des troubles psychiques

Les troubles névrotiques ont leur origine dans un conflit non résolu de l’enfance. Le trouble se développe en trois phases
La situation de départ avec le conflit infantile
Stabilisation
Réactivation et formation des symptômes