Psychiatrie Flashcards
Pour définir un trouble mental, quelles sont les critères nécessaires?
A) Critères sémiologiques avec évaluation de la sévérité des symptômes
B) Critères d’évolution dans le temps des symptômes
C) Critères de localisation anatomique cérébrale
D) Critères évaluant l’impact fonctionnel psychologique et social
E) Critères électroencéphalographiques
A) Critères sémiologiques avec évaluation de la sévérité des symptômes
B) Critères d’évolution dans le temps des symptômes
D) Critères évaluant l’impact fonctionnel psychologique et social
C) Critères de localisation anatomique cérébrale
(Maladie fonctionnelles et non pas lésionnelles)
E) Critères électroencéphalographiques
(Maladies fonctionnelles et non pas lésionnelles)
En ce qui concerne les spécificités de la psychiatrie
A) Spécialité médicale pour des maladies aux diagnostics complexes
B) Elle concerne des maladies lésionnelles au niveau de l’organe du cerveau
C) La frontière entre le normal et le pathologique est facile à déterminer
D) Parce que l’approche bio-psycho-sociale est préconisée, la psychiatrie se confond avec la psychologie-
E) Le psychiatre pose un diagnostic basé uniquement sur la clinique
A) Spécialité médicale pour des maladies aux diagnostics complexes
E) Le psychiatre pose un diagnostic basé uniquement sur la clinique
B) Elle concerne des maladies lésionnelles au niveau de l’organe du cerveau -F- maladies fonctionnelles
C) La frontière entre le normal et le pathologique est facile à déterminer-F- difficile
D) Parce que l’approche bio-psycho-sociale est préconisée, la psychiatrie se confond avec la psychologie-F- La Psychologie a pour objet l’organisation et le système relationnel de l’individu normal dans son milieu naturel, la Psychiatrie a pour objet les troubles mentaux
QCM 1: En ce qui concerne la définition d’un trouble mental
A. Elle est proposée dans la 5e édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux qui est un manuel de classification français des maladies mentales
B. Il faut que le trouble soit cliniquement significatif
C. Il doit être sous-tendu par la notion d’une anomalie du fonctionnement mental
D. On peut retenir l’existence d’un trouble mental même en cas de réaction attendue à un évènement douloureux
E. Pour parler de trouble mental, il faut le plus souvent que la conséquence soit une altération importante du fonctionnement du sujet
A. Elle est proposée dans la 5e édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux qui est un manuel de classification français des maladies mentales
B. Il faut que le trouble soit cliniquement significatif
C. Il doit être sous-tendu par la notion d’une anomalie du fonctionnement mental (dans les processus psychologiques, biologiques, développementaux)
D. On peut retenir l’existence d’un trouble mental même en cas de réaction attendue à un évènement douloureux
E. Pour parler de trouble mental, il faut le plus souvent que la conséquence soit une altération importante du fonctionnement du sujet
QCM 2: Concernant les facteurs de stigmatisation des maladies mentales:
A. La maladie mentale reste mystérieuse et difficile à concevoir
B. Elle peut priver le malade de son libre arbitre
C. Elle handicape le malade dans ses capacités d’interaction avec autrui
D. Le malade devient « étranger » au monde
E. Les malades sont le plus souvent des hommes
A. La maladie mentale reste mystérieuse et difficile à concevoir
B. Elle peut priver le malade de son libre arbitre
C. Elle handicape le malade dans ses capacités d’interaction avec autrui
D. Le malade devient « étranger » au monde
E. FAUX Les femmes sont plus touchées
QCM 3 Concernant les caractéristiques spécifiques de la Psychiatrie par rapport aux autres disciplines médicales:
A. On ne retrouve rien au bilan paraclinique
B Les maladies mentales restent des maladies fonctionnelles et non lésionnelles
C. Il n’existe aucune incertitude pour un diagnostic posé
D. Le diagnostic est uniquement clinique
E. Son objet est le diagnostic, la prévention et le traitement
A. On ne retrouve rien au bilan paraclinique
B Les maladies mentales restent des maladies fonctionnelles et non lésionnelles
C. Il n’existe aucune incertitude pour un diagnostic posé
D. Le diagnostic est uniquement clinique
E. Son objet est le diagnostic, la prévention et le traitement