psy 2055 Flashcards

1
Q

stimulus distal ?

A

Objets de notre environnement

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2
Q

stimulus proximal ?

A

energie que les objets (stimulus distal) transmettent

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3
Q

quels sont les types d’énergies que nous sommes capables de percevoir dans notre environnement ?

A
  • émission ou réflexion de lumière -> vision
  • ‘vibrations’ de l’air ambient -> audition
  • pression sur l’épiderme -> toucher
  • éléments chimiques -> odorat, goût
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4
Q

l’énergie est capté par …. pour être ensuite convertie en ….

A
  1. récepteurs sensoriels

2. influx nerveux (transduction)

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5
Q

transduction pour:

  • vision
  • audition
  • toucher
  • odorat/goût
A
  • vision -> récepteurs photosensibles de la rétine
  • audition -> ‘vibrations’ de l’air transmises au tympan, qui lui, transmet ce signal à d’autres structures qui le transforment en activité électrique
  • toucher -> récepteurs sensibles à la pression dans notre épiderme
  • odorat/goût -> récepteurs captant les molécules émises par les objets
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6
Q

en quoi se transforme cette énergie après avoir été capté et converti en influx nerveux

A

il doit traité et interprété

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7
Q

le travail perceptif est effectué par quelle partie du corps?

quels sont les fonctions du travail perceptif?

A
  1. le cerveau

2. traitement des informations + interprétations de celles-ci

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8
Q

quelle est l’unité de base pour le fonctionnement du système nerveux

A

neurone

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9
Q

quelles sont les fonctions d’un neurone?

A
  1. rester au repos

2. transmettre une décharge électrique (influx nerveux)

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10
Q

Comment un ensemble d’unités aussi rudimentaires arrive-t-il à produire la richesse de notre expérience perceptive

A
  1. traitement de l’information

2. division du travail

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11
Q

quelle est la suggestion que Richard Gregory fait?

A

La stimulation sensorielle fournit des données permettant la formulation d’hypothèses sur l’organisation du monde extérieur.”

Cette proposition est appuyée par le fait que notre système perceptif commet parfois des erreurs. On appelle ces erreurs des illusions.

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12
Q

le nom des erreurs commît par notre système ?

A

des illusions

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13
Q

composante cognitive:

- notre perception est affectée par quoi ?

A

nos connaissances, notre expérience passée et nos attentes.

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14
Q

Traitement ascendant:

A

Repose uniquement sur les données sensorielles; ne réfère aucunement aux connaissances ou à l’expérience passée.

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15
Q

Traitement descendant:

A

Repose sur une information de “haut niveau” (attentes, expérience, connaissances) qui affecte notre perception.

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16
Q

Notre perception est donc déterminée par l’interaction entre

A
  • Les propriétés physiques de l’environnement
  • Les propriétés des récepteurs sensoriels captant les signaux environnementaux et l’organisation du système nerveux responsable du traitement de ces informations.
  • Nos connaissances, expérience passée et attentes.

L’objectif principal de l’étude de la perception vise notre compréhension de ces déterminants et des relations existant entre eux.

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17
Q

APPLICATIONS DES CONNAISSANCES SUR LA PERCEPTION

A
  • Adaptation de l’environnement à nos capacités perceptives.
  • Développement de systèmes perceptifs artificiels.
  • Développement de technologies s’adressant à nos sens.
  • Évaluation des troubles perceptifs.
  • Compréhension et traitement des troubles perceptifs et mise en place de moyens d’adaptation.
  • Arts
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18
Q

APPROCHES DANS L’ÉTUDE DE LA PERCEPTION

A

Approche physiologique, Approche comportementale

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19
Q

expliquer Approche physiologique

A

Étude de la constitution physique de notre système perceptif et de l’organisation fonctionnelle du système nerveux impliqué dans la perception.

  • Anatomie
  • Enregistrement de l’activité nerveuse
  • Effets de lésions ou de perturbations du fonctionnement cérébral
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20
Q

expliquer Approche comportementale

A

Peut-être subdivisée en 2 approches:
Approche cognitive
Approche psychophysique

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21
Q

qu’est l’approche cognitive ?

A

Étude de l’effet des connaissances, de l’expérience passée et des attentes sur l’expérience perceptive. Étude également de l’interprétation que l’on fait des données perceptives.

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22
Q

qu’est l’approche psychophysique?

A

Étude des relations entre l’expérience perceptive et les paramètres physiques de la stimulation présentée.

Première approche expérimentale pour l’étude de la perception de manière scientifique (Fechner, 1860).

  • Seuils sensoriels
  • Discrimination
  • Estimation des données sensorielles
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23
Q

quel est l’objectif de l’approche psychophysique

A

Son objectif est d’établir la relation existant entre les propriétés physiques du stimulus (propriétés mesurables) et l’expérience perceptive.

Stimulus –> système perceptif –> expérience perceptive

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24
Q

dans l’approche psychophysique, que détermine la relation entre stimulus –> expérience perceptive ?

A

La relation entre stimulus -> expérience perceptive est déterminée par l’organisation et le fonctionnement du système perceptif. Si on détermine les caractéristiques de cette relation, on gagne de nouvelles informations sur le fonctionnement du système perceptif.

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25
Q

Quelle est l’intensité minimale à laquelle une stimulation peut être détectée?

A

Seuils sensoriels absolus)

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26
Q

Quelle est la différence minimale entre deux stimulations qui peut être détectée?

A

(Seuils différentiels, problématique de la discrimination sensoriels)

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27
Q
  • Quelle est la relation entre l’intensité physique du stimulus et l’intensité perçue?
A

(Estimation de l’expérience sensoriels)

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28
Q

seuil absolu (absolute threshold) definition

A

Correspond à l’intensité minimale à laquelle une stimulation peut être détectée.

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29
Q

Dans le seuil absolu, quelles sont les théories que l’on a accès, qui font preuve de se seuil

A
  1. méthode du stimuli constants
  2. méthode des limites
  3. méthode d’ajustement
  4. théorie de détection de signal
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30
Q

théorie classique du seuil

A

fait partie du groupe du seuil absolu

Il existe un point de transition très net entre l’intensité à laquelle un stimulus ne peut être détecté et celle où il est détectable.
• Se voit dans le graphique si dessus
• On passe de ne rien détecté et après on augmente le son et on est capable de tout détecté à 100%

dessine la courbe

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31
Q

méthode des stimuli constants

A

fait partie du groupe du seuil absolu

Des stimuli d’intensité variable sont présentés en ordre aléatoire et le sujet indique, à chaque essai, s’il peut détecter la cible ou non.
* ex : avoir des sons très faibles vs des sons très forts
Habituellement, on utilise 5-9 intensités prédéterminées. Chacune est présentée un nombre égal de fois.
• Continuum d’intensité qui est associée à des probabilités intermédiaires de prédictions entre 0 et 100%
Par convention, le seuil correspond à l’intensité à laquelle le stimulus est détecté dans 50% des essais.

une méthode psychophysique dans laquelle plusieurs stimulis – variant entre rare jusqu’à presque toujours perceptible – sont présentés. Les participants répondent à chaque présentation avec oui/non, même/différent, etc.
 Les stimuli sont présentés plusieurs fois, multiples fois, ainsi qu’aléatoirement
 Plusieurs fois est très important – comme ça il est possible de construire assez de données fiables
 Tendance a reporté un son qui est plus haut que le stimuli fiable et presque jamais reporter un son qui est plus bas
 L’intensité du son qui est détecté 50% du temps est lui qui sera utilisée comme seuil
 Pourquoi utiliser le 50% quand on est à la recherche du son le plus bas qu’une personne peut entendre? – une frontière comme cela n’existe pas. À cause de la variabilité dans le système nerveux, il est possible que des fois la personne l’entende et d’autres non
 Méthode du stimuli constant : simple et facile à utiliser, par contre inefficace quand cela vient à conduire une expérience

dessine la courbe

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32
Q

méthode des limites

A

fait partie du groupe du seuil absolu

Les variations d’intensité du stimulus sont faites dans un ordre descendant ou ascendant. Une série descendante est interrompue lorsque le sujet ne détecte plus la cible. Une série ascendante est interrompue lorsque le sujet dit qu’il détecte la cible

  • Séquences des stimuli qui varient d’intensités
  • En vert : on détecte
  • On baisse l’intensité jusqu’au point que la personne ne détecte plus (en rouge)
  • On veut ensuite mesurer le point de transition

Point de transition (“crossover point”): Valeur moyenne entre l’intensité de la stimulation où une série est interrompue et l’intensité du stimulus précédent.

Seuil: Moyenne des points de transition entre plusieurs séries.

une méthode psychophysique dans laquelle la dimension particulière d’un stimuli ou la différence entre deux stimuli est varié progressivement jusqu’à temps que le participant réponde différemment
 Les stimuli sont présentés de manière croissantes ou décroissantes

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33
Q

méthode d’ajustement

A

fait partie du groupe du seuil absolu

fait preuve d’une grande marge d’erreur

Un stimulus est présenté et son intensité est ajustée par le sujet ou l’expérimentateur. Le seuil correspond à l’intensité à laquelle le sujet peut tout juste détecter le stimulus
• On veut savoir quels sont les valeurs qui se situent au-dessus, en bas et sur le seuil
• Expérimentateur va faire une stimulation et va contrôler l’intensité pour déterminer quels sont les stimulus qui peuvent être utilisées

: ressemble à la méthode des limites, mais la personne qui se fait tester a la charge d’augmenter ou de diminuer l’intensité
 Une méthode de limites ou le participant contrôle le changement dans le stimuli
 Pas utilisée habituellement pour mesurer les seuils – une même personne peut changer leur seuil multiples fois dépendant des essais – les données deviendront de plus en plus désorganisée quand on collectera les données de plusieurs personnes

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34
Q

théorie de détection de signal

  1. que vise-t-elle a expliquer et à mesurer
  2. Que postule elle?
  3. Quelles sont les variables utilisées lors du schéma
  4. il y a-t-ils des critères qui sont important?
A

Théorie d’application générale qui vise à expliquer et à mesurer la sensibilité d’un observateur à un signal quelconque en tenant compte de biais de réponse possibles

La théorie postule que l’intensité avec laquelle tout stimulus est
représenté par notre système perceptif varie aléatoirement selon une distribution
normale et que toute performance de détection se fait en présence d’un “bruit de
fond” (interne, toujours; externe, souvent).

La sensibilité de l’observateur est indiquée par la valeur de d’, qui est mesuré à partir de la probabilité de détection correcte et de celle de fausses
alarmes. Plus la sensibilité est élevée, plus grande est la distance entre les
distribution du bruit et du signal, et plus grande est la valeur de d’.

Le critère de décision (b, beta) optimal (meilleure performance possible)
est exactement à l’intersection des distributions du bruit et du signal (b). Le critère
peut cependant être ajusté selon le contexte et les objectifs de l’observateur.

Les performances d’un observateur peuvent être transposées sur une
courbe ROC (“receiver operating characteristics”), qui illustre les proportions de
détections correctes et de fausses alarmes pour une valeur donnée de d’, peu
importe le critère de décision. 

• Une théorie psychophysique qui quantifie la réponse d’un observateur à la présentation d’un signal dans la présence de bruit. Les mesures sont obtenues dans une série de présentations de sensitivités (d’) et de critères de l’observateur
• Il faut comprendre que dans la théorie de détection de signal, cela commence par le fait que le stimuli qu’on essaye de détecter est toujours détecter en présence d’un « bruit ».
• Le bruit qu’on entend est le résultat des neurones qui sont toujours en mouvement dans notre corps, même quand rien ne prend place
• Proche du seuil, il est difficile de détecter un vrai stimuli, d’une surtension aléatoire de bruit intérieur
• La théorie de détection du signal existe pour essayer de nous faire comprendre ce qu’il se passe quand l’on fait une décision dans des conditions d’incertitude.
• Dans une situation de la détection de signal, il faut choisir si on agit ou non selon un critère
o Il s’agit d’un seuil intérieur qui est choisi ou établit par l’observateur. Si la réponse intérieure est par-dessus le critère établit, l’observateur donne une réponse. Si c’est en dessous du critère. L’observateur donnera une autre réponse.
o La décision et faite automatiquement, il ne s’agit pas d’une décision consciente
• Possibilité de calculer la sensitivité (d’)
o Cela fait référence à la détection de signal, c’est une mesure qui définit avec facilité que l’observateur a pour détecter la différence entre la présence et l’absence d’un stimulus ou la différence entre stimulus 1 ou 2.
• ROC : en références aux études de détection du signal, le tracé graphique du taux de réussite comme fonction du taux de la fausse alarme. Si les points tombent sur la diagonale, cela indique que l’observateur ne peut pas différencier entre la présence et l’absence d’un signal. Plus la sensitivité de l’observateur augmente, la courbe s’incline vers le haut et le côté gauche. Le point du coter gauche indique l’habileté parfaite de distinguer un signal d’un bruit.
o Explication des courbes p16

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35
Q

seuil différentiel (“différence threshold”)

A

Correspond à la différence minimale entre deux stimulations qui est détectable.
(“just noticeable difference” = JND; “difference limen” = DL)

36
Q

Quels sont les différences uniques au seuil différentiels quand on vient pour le mesurer?

A

Peut être mesuré suivant les mêmes méthodes que le seuil absolu, sauf que:

  • 2 stimuli sont présentés au lieu d’un seul
  • le sujet doit dire s’il détecte la différence entre les 2 stimuli
37
Q

quelle est une observation qu’il faut tenir en compte pour le JND?

A

Le JND est directement
proportionnel à l’intensité du stimulus standard,
sauf si le stimulus standard a une intensité près du
seuil.

38
Q

Loi de Weber

  1. sa formule
  2. comment la tracer dans un graphique
  3. à quoi sert-elle
A

JND / S = k

où S = intensité du stimulus standard.

39
Q

quelle méthode peut représenter la relation entre l’intensité physique et l’intensité perçue ?

A

Méthode d’estimation de magnitude: Le sujet attribue à un stimulus une valeur numérique correspondant à l’intensité subjective de la stimulation. La mesure est répétée pour une grande étendue d’intensités physiques du stimulus.

40
Q

les fonctions qui reflète la relation entre l’intensité physique et l’intensité perçue peuvent être décrites par quelle loi générale?

A

Loi de puissance de Stevens: P = k S^n
où P = intensité perçue, S = intensité physique, k = constante, n = exposant caractérisant chacune des courbes (pour différentes exposions sensorielles, on a des chiffres différents qui font augmenter rapidement ou lentement la courbe dans le graphique).

41
Q

Compression de la réponse:

A

L’intensité perçue augmente moins rapidement que l’intensité physique (n < 1). Observé par exemple avec des variations d’intensité lumineuse

42
Q

Réponse linéaire :

A

L’intensité perçue est directement proportionnelle à l’intensité physique (n = 1). Observé par exemple dans l’estimation de la longueur

43
Q

Expansion de la réponse:

A

L’intensité perçue augmente plus rapidement que l’intensité physique (n > 1). Observé par exemple avec des chocs électriques.

44
Q

sensation definition

A

le fait de sentir quelque chose. La capacité de détecter un stimulus et de pouvoir transformer ce stimulus dans la direction d’une sensation privée.

45
Q

perception definition

A

le fait de donner un sens ou un but aux sensations détectées

46
Q

les 6 méthodes utilisées pour étudier la perception

A
  1. les seuils
  2. mise à l’échelle
  3. la détection de signaux
  4. la neuroscience sensorielle
  5. neuroimaginerie
  6. les modèles informatiques
47
Q

 Dualisme

A

le fait de penser que la pensée a une existante complètement séparée du mode matériel du corps

48
Q

 Matérialisme

A

l’idée de penser que seulement une chose existe et que cela est la matière, et que de penser que de toutes choses, incluant la pensée et la conscience sont des résultats d’interactions entre les multiples bouts de matières

49
Q

 Panpsychisme

A

l’idée que la pensée existe comme une propriété de la matière – donc que toute matière à de la conscience.
o Panpsychisme – cette théorie inclut les animaux, ainsi que les objets inanimés

50
Q

Nom de la théorie de Frechner et ce qu’elle constitue

A

été de pouvoir expliquer la relation entre la sensation (pensée) et cette énergie (matière) qui donnent cette élévation à cette sensation
• Il nomme sa théorie psychophysique
o Psychophysique : la science qui définit la relation quantitative entre le physique et les événements psychologiques (subjectifs)

51
Q

Just noticeable difference definition

A

la plus petite différence détectable entre deux stimuli, ou le changement minimal entre stimuli qui permet de juger correctement la différence entre deux stimulis

52
Q

méthode de la mise en échelle

A

o Utilisation de l’estimation de l’ampleur : une méthode psychophysique dans lequel le participant assigne des valeurs selon les magnitudes qu’il perçoit du stimuli.
 Approche fonctionne bien

53
Q

comparaison entre les lois de Weber, Fechner & Steven

A

o Loi de Weber : objectif claire de mesure. On sait exactement combien nous avions varier le stimulus et les observateurs peuvent aussi savoir si le stimuli à changer ou non
o Loi de Fechner : c’est un calcul basé sur des hypothèses sur comment la sensation fonctionne. La loi de Fechner assume que tous les JND sont perpétuellement équivalent. Cette supposition peut des fois être incorrecte et mener à des moments ou la loi est violée
o Loi de Stevens (power law) : décrit la manière d’évaluer les données bien. Ces données sont qualitativement différentes que celles dans la loi de Weber. Il est possible d’enregistrer les données et de les comparer, mais il n’est pas possible de voir si elles sont objectivement bonnes ou mauvaises.

54
Q

comment les nerfs crâniens fonctionnent-ils?

A

: 12 pairs de nerfs (un pour chaque partie du corps) qui proviennent du tronc cérébral et qui atteint le sens des organes et muscles à travers les ouvertures des os à la base du crane dans le cerveau.

55
Q

comment les connections neuronales fonctionnent-elles ?

A

les neurones ne se touchent pas pour passer le signal entre eux. L’espace entre l’axone d’un neurone et la dendrite de l’autre s’appelle une synapse. (la jonction entre neurones qui permettent le transfert de l’information)

56
Q

Quelle est l’unité de base du système nerveux ? De plus, quel est sa fonction ?

A

c’est le neurone

La fonction du neurone est de recevoir des influx nerveux de la part d’autres neurones et de lui-même transmettre un signal électrique.

57
Q

Qu’este que la transduction?

A

énergie extérieure qui stimule les neurones

Transformation de l’énergie physique captée par un récepteur en un signal électrique (i.e. influx nerveux).
• Très important
• Produit signal électrique de l’énergie extérieure – influx nerveux

58
Q

Comment le traitement de l’information est-il effectué?

A

C’est à travers l’interaction entre les neurones de notre système nerveux

59
Q

que construit notre représentation interne de l’environnement ?

A

C’est à travers l’interaction entre les neurones de notre système nerveux qu’est effectué le traitement de l’information perceptive et que se construit notre représentation interne de l’environnement.

  • Cette représentation prend la forme d’une collection d’influx nerveux
  • Cela sert de base comme notre connaissance sur les informations extérieures
60
Q

qu’est-ce que l’axon?

A

communique l’influx nerveux avec les autres neurones

61
Q

que constituent la solution liquide dans le neurone

A

Ces liquides contiennent des ions (molécules portant une charge électrique, positive ou négative

62
Q

comment l’activité électrique du neurone prend place?

A

C’est par le biais d’échanges ioniques de part et d’autre de la membrane cellulaire que se produit l’activité électrique du neurone. Les ions impliqués sont le sodium (Na+) et le potassium (K+).
• Sodium : neurone au repos sont en plus forte concentration à l’extérieure qu’à l’intérieur, charge positive,
• Potassium : plus forte concentration a l’intérieur qu’extérieur

63
Q

qu’est-ce que le potentiel de repos (“resting potential”)

A

Charge électrique à l’intérieur du neurone relativement à celle de l’extérieur lorsque le neurone est au repos. Le potentiel de repos est négatif (car intérieur de la cellule, il y a plus de charge négative à l’intérieur qu’à l’extérieur) parce que l’intérieur du neurone contient une concentration relative d’ions positifs plus faible que l’extérieur.

64
Q

quel est le potentiel d’action?

A

L’influx nerveux est déclenché par une entrée massive d’ions sodium (Na+) à l’intérieur du corps cellulaire. Cette phase est suivie par une sortie massive d’ions potassium (K+) à l’extérieur du corps cellulaire. Ces deux phases se déroulent en environ 1/1000 sec. Ces échanges ioniques sont déterminés par des modifications sélectives de la perméabilité de la membrane cellue claire.

faire un schéma

65
Q

qu’est ce que la période réfractaire

A

Période suivant immédiatement le potentiel d’action (perméabilité au potassium), et pendant laquelle un nouvel influx nerveux ne peut pas être déclenché. Pendant cette période, d’une durée d’environ 1/1000 sec., un mécanisme appelé la pompe sodium-potassium rétablit les concentrations initiales de Na+ et de K+ de part et d’autre de la membrane cellulaire.
• Remet le neurone dans un état ou il peut refaire l’influx nerveux

66
Q

quelle est la fréquence maximale de l’influx nerveux durant les durées du potentiel d’action et de la période réfractaire?

A

500-800 impulsions par seconde. Dans les faits toutefois, la fréquence maximale d’influx nerveux varie typiquement entre 10 et 100 influx par seconde selon le neurone.

67
Q

expliquer que ce passe-t-il quand l’influx nerveux constitue une réponse tout-ou-rien (“all or none”)

A

Lorsqu’il se produit, la modification de la charge électrique du neurone demeure toujours la même. C’est la fréquence de l’influx nerveux qui peut être modifiée par l’intensité de la stimulation.
• Quand on parle de la fréquence d’influx nerveux, cela caractérise la réponse des neurones
• Stimuler fortement, grosse séquence d’influx nerveux
• Stimuler légèrement, basse séquence d’influx nerveux

68
Q

Activité spontanée:

A

Influx nerveux déclenché en l’absence de stimulation extérieure.
• Il va produire des influx nerveux sans stimulation, par lui-même, activité spontanée

69
Q

qu’est la synapse?

A

Espace microscopique entre les neurones.

70
Q

comment la transmission de l’information se passe (expliquer le processus)

A

L’activation d’un neurone (pré-synaptique) est transmise à un autre neurone (post-synaptique) par l’émission de neurotransmetteurs (e.g. acétylcholine, dopamine, sérotonine, épinéphrine, etc.).
Ces molécules chimiques sont captées par des récepteurs sur le neurone post-synaptique, ce qui déclenche une modification du potentiel électrique de ce dernier.
La captation de neurotransmetteurs par le neurone post-synaptique dépend de la compatibilité de forme entre le neurotransmetteur et le site récepteur.

71
Q

excitateur définition

A

Rend le potentiel électrique à l’intérieur du neurone plus positif – dépolarisation. Favorise la production d’un influx nerveux par le neurone post-synaptique.

72
Q

Inhibiteur définition

A

Rend le potentiel électrique à l’intérieur du neurone plus négatif – hyperpolarisation. Tend à empêcher le neurone post-synaptique de produire un influx nerveux.

73
Q

quels types de neurones sont responsables de l’expérience perceptive

A

ce sont les système perceptif

74
Q

quel est le principe de la localisation des fonctions ?

de plus, quels sont les parties du cerveau + les situer

A

Ces connexions sont organisées de telle sorte qu’elles définissent des voies neuronales bien définies. Ceci a comme résultat que le cerveau a une organisation modulaire, i.e. différentes régions du cerveau ont chacune des fonctions distinctes (principe de localisation des fonctions).

75
Q

Quel est le stimulus proximal pour le système visuel

A

il s’agit de la lumière, l’énergie qui stimule les récepteurs

76
Q

définition de la lumière

A

Énergie électromagnétique dont la longueur d’onde peut activer les récepteurs (visuels) de notre système visuel.

77
Q

Quelles sont les longueurs d’ondes visibles ?

A

Entre 400 et 700 nm

78
Q

à quoi sert le cristallin

A

Structure transparente en forme de lentille responsable de focaliser les rayons lumineux sur la rétine. Cette fonction de focalisation s’appelle l’accommodation. Elle est exercée par les muscles ciliés. En se contractant, ils donnent une forme bombée au cristallin pour focaliser l’image des objets proches

79
Q

à quoi sert la rétine

A

Couche de neurones tapissant le fond de l’oeil. C’est la rétine qui contient les récepteurs sensibles à l’énergie lumineuse, les photorécepteurs, dont la fonction est de convertir l’énergie lumineuse en influx nerveux (transduction).

80
Q

Quels sont les deux types de photorécepteurs + leurs formes

A

bâtonnets (“rods“; environ 90-120 M – beaucoup plus nombreux) et les cônes (environ 4-6 M). Ceux-ci se distinguent par la forme de leur segment externe, leurs propriétés, et leur distribution sur la rétine.

81
Q

qu’est ce que la fovéa

A

Portion de la rétine recevant la projection des stimuli situés au centre du champ visuel; i.e. endroit où nos yeux sont dirigés. On n’y trouve que des cônes.

82
Q

qu’est ce que le Nerf optique

A

Constitué des fibres des cellules ganglionaires qui sortent de l’œil pour constituer le nerf optique.

83
Q

qu’est ce que la tâche aveugle

A

Correspond au point où les fibres ganglionaires sortent de l’oeil. Cette portion de la rétine (taille d’environ 5 x 8 deg) ne contient aucun photorécepteur. Nous n’avons normalement pas conscience de la tache aveugle parce qu’elle correspond à des régions différentes du champ visuel pour chaque oeil et à cause du mécanisme de complétion.

84
Q

qu’est ce que la transduction

A

photorécepteurs. Le segment externe comprend un ensemble de disques superposés qui contiennent les molécules de pigment visuel, la rhodopsine (partie du photorécepteur qui réagit à la lumière – la réaction avec le point bleu enclenche la transduction). Ces molécules traversent le disque de part et d’autre 7 fois et sont faites de 2 composantes, l’opsine et le rétinal. Le rétinal est la composante photosensible de la molécule, qui change de conformation (i.e. de forme – isomérisation) lorsqu’elle absorbe un photon, ce qui déclenche la transduction. Dans le cas exceptionnel des photorécepteurs, la réponse neuronale est analogique (i.e. « graded response » - réponse gradée qui est de plus en plus forte dépendant du notre de photon qui est captée) plutôt qu’un influx nerveu

85
Q

Quand les yeux sont adaptés à un éclairage normal, quels sont les photorécepteurs utilisées ?

A

Les cônes sont plus sensibles que les bâtonnets.

86
Q

Quand les yeux sont adaptés à l’OBSCURITÉ , quels sont les photorécepteurs utilisées ?

A

Les bâtonnets sont plus sensibles que les cônes.