PROBLÈME SOCIAUX Flashcards

1
Q

Pourquoi dit-on que les problèmes sociaux sont constitués de situations sociales ?

A

a. Parce qu’ils naissent de la vie des groupes
B. parce qu’ils touchent un grand nombre d’individu
c. Parce qu’ils représentent une menace pour le bien-être sociale

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2
Q

Donnez un exemple d’une problématiquu sociale n’Existant pas dans le passé et qui s’est développé avec les changements sociaux.

A

l’itinérance , avant leur fonction était d’être colporteur de nouvelles de villages en village . Quand urbanisation est arrivée , fragmentation sociale = classe sociale , donc = personne ayant peu éducation , pas d’emploi et certains perd emploi se retrouvent en situation d’itinérance

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3
Q

À quoi servent les représentations sociales

A

a. Évaluer la conformité et la déviance
B Classer et hiérarchiser
c. Permet de statuer et de catégoriser
d. Interprétation des événements de la vie et des personnes

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4
Q

Établissez la différence entre identité sociale réelle et identité social virtuelle

A

a. identité social réelle : attributs ou catégories qui peuvent être démontrées
b. identité social virtuelle : exigences/attentes normatives ( basées sur les valeurs) que nous projetons en puissance

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5
Q

Qu’elle est la principale fonction et conséquence d’un préjugé ?

A

Assurer conformité et appartenance a un groupe socialement dominant. Ils permettent à ces personnes de protéger les privilèges rattachés à leur position et d’interdire aux autres membre de la société d’accéder aux ressources dont ils disposent.

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6
Q

Expliques en quoi la notion de problème social demeure un phénomène difficile à cerner

A

a. A-historique : varient en fonction du temps , lieu et contexte
b. A-théorique : varient en fonction de la hiérarchisation des valeurs ( relatives d’un individu/groupe à l’autre) liée à la culture, croyances et les valeurs d’une société

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7
Q

FONCTIONNALISME

A

Caractéristiques :

  • accent sur harmonie et collaboration
  • importance ordre normatif
  • 2 type de problèmes :
    1. désorganisation sociale ( conditions qui enpêhcent la structure de bien fonctionner pour rencontrer valeurs et buts collectifs)
    1. Comportements déviants ( écarts significatif de la norme)

Tradition : Objectiviste

Orientation : processus & individu

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8
Q

CULTURALISME

A

Caractéristiques :

  • problématique centrale : personnalité ( personne)
  • concept clé : Socialisation
  • s’intéresse aux différences culturelles
  • accent sur le conflit des valeurs et existence de sous cultures.
  • le fait qu’il y ait une diversification dans les codes de conduites associées aux valeurs , créer des tensions sociales.
  • inter génération familiale des problèmes multiples

Tradition : Subjectivisme
Orientation : Individu

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9
Q

INTERACTIONNISME

A

Caractéristiques :
- Réaction sociale et étiquetage
- le problème vient de la réaction des gens et non de la personne déviante
Le comportement déviant a 2 stades :
- 1. l’acte de violation
- 2. la réaction social qui décide de ce qu’est la déviance

Tradition : Subjectivisme & constructivisme

Orientation : Processus

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10
Q

CONSTRUCTIVISME

A

Caractéristiques :

  • met l’accent sur la construction des problèmes sociaux
  • les problèmes sociaux sont issu de groupe de personnes qui exigent des modifications à l’ordre social ( médias on un rôle central)
  • 2 types de groupes :
    1. ceux concernés
    1. ceux non concernés mais vient heurter leur valeurs

Tradition : Constructivisme
Orientation : Processus

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11
Q

FÉMINISME

A

Caractéristiques :

  • juge cette approche comme partial ou partiel car elle exclue l’analyse des rapport de sexe
  • Met accent sur la valorisation du vécu , le savoir, l’intuition, la subjectivités des femmes
  • Les problèmes des femmes est un problème social en raison des conditions de vie aliénante ( rapport des sexes inégaux )

Tradition : Subjectivisme & constructivisme
Orientation : Individu

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12
Q

CONFLIT SOCIAL

A

Caractéristiques :

  • Aborde les problèmes sociaux d’ordre idéologique, politique et économique
  • Écart entre riche et pauvre
  • S’oppose à l’ordre social , opposition des idéologies et contre l’exploitations des classes dominantes
  • Problème ultime est que la société capitalisme génèrent l’appauvrissement des masses
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13
Q

SYSTÉMIQUE ( ÉCOLOGIQUE)

A

Caractéristiques :

  • basé sur les interaction et interdépendance entre les différents systèmes
  • approche social, communautaire et individuelle
  • humain en constante évolution
  • Tien pas compte de l’intrapsychique

Tradition : Objectivisme
Orientation : Processus & individu

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14
Q

Expliquez pourquoi les attentes liées à l’identité sociale virtuelle sont en puissance ?

A

Les attentes normatives découlent de l’APPARTENANCE à un identité social/ statut social.
Les attentes sociales sont influencées par les représentations sociales qui servent de cadre de référence à partir duquel on essait de comprendre l’inattendu ou la nouveauté.
Les individus/situations ne sont donc pas influencés par les connaissance et la réalité mais par les représentations de société que nous avons

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15
Q

En quoi les valeurs jouent-elles un rôle central dans la dynamique de nos attentes ?

A

Provoquent des émotions morales ( indignation) qui ;a leur tout vont amener un groupe d’individu à porter une jugement et à vouloir encadrer certains gestes

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16
Q

identifier 3 processus cognitifs primaires et secondaires qui entrent en opération dans la démarche suicidaire et expliquez brièvement le rôle de chacun de ces processus

A

1- Pensée POLARISÉ : Noir ou blanc /rigidité , perd la capacité de distinguer l’essentiel de l’accessoire
2- pensée MAGIQUE : la croyance dans la pensée donne l’impression de contrôle
3- Pensée CONCRÈTE : interrogation sur le sens de la vie

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17
Q

Devant une situation stressante, la personne utilise son répertoire de stratégies d’adaptation. Quelles sont les deux (2) scénarios possibles lorsque la personne est confrontée à une situation stressante ? Expliquez très brièvement l’issue de chacun des scénarios

A

1- Les stratégies sont efficaces et anxiété se résorbe

2- Les stratégies sont inefficaces , donc augmentation de l’anxiété et fragilité de l’individu. Parce qu’il ne trouve pas les moyens adaptatifs ( passage de l’état de vulnérabilité)

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18
Q

Quelles sont les trois (3) issues possibles d’une période de désorganisation en situation de crise ? Expliquez brièvement chacune d’elle.

A

a. POSITIVE : retrouve son état d’équilibre antérieur. Période de récupération ( possibilité de gains de nouvelle stratégies)
2. NEUTRE : Demeure dans son état de vulnérabilité ou retrouve un équilibre précaire
3. NÉGATIVE: solutions négatives qui contribuent à maintenir la personne en période de crise et le cas échéant au passage à l’acte.

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19
Q

Identifiez cinq (4) indicateurs de la pauvreté

A
  1. Incertitude des revenus
  2. Instabilité du statut professionnel
  3. isolement
  4. pauvreté culturelle
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20
Q

Quelles conséquences peut avoir la pauvreté sur la capacité d’agir d’un citoyen au plan politique ? (Trois (3) conséquences)

A
  1. Exclu des lieux de décision et de reconnaissance… Peut difficilement défendre ses droits et ceux de ses enfants
  2. Trop souvent isolé, il se prive de ses droits de citoyen se snetant impuissant et non concerné
  3. Cercle vicieux renforçant les inégalités
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21
Q

Quelles sont les deux (2) grandes conceptions de la pauvreté ? Expliquez brièvement chacune de ces conceptions.

A

a. La pauvreté ABSOLU : liée a l’avoir et la survie. C’est l’incapacité de subvenir a ses besoins primaires. Se détermine par le rapport aux dépenses de consommation du minimum vital. (MPC)
b. Pauvreté RELATIVE : kes besoins ne sont pas absolus , mais relatif à la société de référence. Elle considère les écarts de revenus entre les familles.

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22
Q

Quel est le « danger » d’utiliser la référence du panier de consommation pour tenter de mesurer la pauvreté ? (2 éléments)

A

a. La référence à la MPC peut engendrer la pensée qu’au-delà de cette mesure, l’individu n’est plus en situation de vulnérabilité socio-économique. Plutôt qu’être une référence pour le salaire minimum, ce seuil devrait être utilisé pour définir les barèmes de l’aide financière de dernier recours.
b. La référence à la MPC peut être une tentation pour le gouvernement de faire l’autruche et se cacher derrière cette mesure, alors que leur responsabilité est d’assurer les protections sociales bien au-delà

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23
Q

La santé mentale positive est un concept associé à cinq (5) composantes. Identifiez ces composantes

A

a. L’aptitude de jouir de la vie ;
b. L’adaptation aux événements de la vie ;
c. Le bien-être émotionnel ;
d. L’appartenance sociale ;
e. Respect de la culture, de l’équité, de la justice sociale et de la dignité personnelle.

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24
Q

Les représentations sociales en lien avec la problématique de santé mentale génèrent trois (3) types d’attitudes. Identifiez et définissez brièvement chacune de ces attitudes.

A

a. Crainte et peurs qui provoquent ségrégation et exclusion ;
b. Irresponsabilité supposée qui provoque des attitudes dirigistes et autoritaires ;
c. Attitude de bienveillance et de protection supposément nécessaire à des personnes qu’on considère infantiles.

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25
Q

Identifiez au moins deux (2) impacts que peut avoir la stigmatisation sur les personnes qui souffrent d’un problème de santé mentale.

A

a. Difficulté d’accès à un travail et un logement ;

b. Difficulté à établir des liens et des relations et les conserver.

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26
Q

En quoi la définition donnée à la problématique de l’itinérance peut-elle comporter des enjeux politiques ? (2 éléments)

A

L’évaluation de l’ampleur du phénomène peut affecter l’attribution des ressources et avoir un effet sur les juridictions (sans abris vs problématique de sante mental).

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27
Q

Quels sont les trois (3) grands types d’itinérance définis par le ministère ? Définissez très brièvement chacun d’eux.

A

a. Situationnelle : Personne qui, pour un très court moment, est à la rue sans domicile fixe, mais qui se rétablit rapidement.
b. Cyclique : Personne qui est parfois à la rue, parfois en logement et pour qui il y répétition de situation d’itinérance ;
c. Chronique : Personne qui n’a pas de logement sur une longue période.

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28
Q

En quoi le mouvement de désinstitutionalisation a-t-il pu contribuer à l’augmentation de l’itinérance ?

A

Le manque de préparation des intervenants, des patients et de la communauté en général et l’insuffisance de moyens favorise le retour en hôpital psychiatrique d’une partie des patients ou leur disparition (itinérance).

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29
Q

La littérature reconnaît que la personne qui devient itinérante a été confrontée à des expériences traumatisantes, expériences qui viennent affecter sa capacité de s’intégrer socialement. Identifiez au moins trois (3) de ces expériences traumatisantes

A

a. Abus physique et sexuels
b. Violence familiale sévère
c. Placements institutionnels

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30
Q

Pourquoi les femmes sont-elles moins visibles au niveau de l’itinérance ?

Quelles conséquences peut avoir cette invisibilité ?

A

Parce que acceptent souvent le gite chez un compagnon.

Elles deviennent des cibles de violence et de prostitution.

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31
Q

Dans quel cercle vicieux se retrouvent les personnes itinérantes lorsqu’elles sont arrêtées ?

A

L’incapacité de prouver son identité peut entraîner les itinérants dans les dédales du système judiciaire. Lorsqu’ils sont accusés de délits, ils risquent d’être emprisonnés en raison d’une récidive et du fait qu’ils n’ont pas d’adresse fixe, et ce malgré le caractère anodin des actes posés. Dans le système judiciaire, les personnes itinérantes sont peu outillées et leurs actions se soldent souvent par l’aggravation de leurs difficultés.

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32
Q

Quelles distinctions peut-on établir en la notion de valeur et la notion de morale ?

A

Les valeurs sont des produits de société reflétant l’idéal collectif, tandis que la morale réfère au bien et au mal sous forme d’interdictions et détermine concrètement les manières d’agir

33
Q

Pourquoi dit-on que le suicide est l’aboutissement d’un processus ?

A

Un processus, plus ou moins long, au cours duquel la personne donne des signes de sa détresse et de son intention suicidaire. L’acte létal est le résultat d’une crise engendrée par une multitude de facteurs intrinsèques et extrinsèques et résolue par un élément déclencheur. Le principe dynamique du processus se trouve dans la recherche d’une solution aux souffrances.

34
Q

Une valeur est « une conception du désirable ». Quelle est la fonction centrale des valeurs ?

A

Les valeurs influencent la sélection des moyens et des fins. De la hiérarchisation des valeurs dans un tout cohérent devient un système de valeur duquel découlent des normes et principes d’action de société. Les valeurs ont donc 2 fonctions associées au système de valeurs : socialiser et donner un sens à la vie.

35
Q

Qu’elle est la principale fonction et conséquence d’un préjugé ?

A

Assurer la conformité et l’appartenance à un groupe socialement dominant. Ils permettent à ces personnes de protéger les privilèges rattachés à leur position et d’interdire aux autres membres de la société d’accéder aux ressources dont ils disposent.

36
Q

Quelles distinctions peut-on établir en la notion de valeur et la notion de morale ?

A

Les valeurs sont des produits de société reflétant l’idéal collectif, tandis que la morale réfère au bien et au mal sous forme d’interdictions et détermine concrètement les manières d’agir.

37
Q

Les représentations sociales en lien avec la problématique de santé mentale génèrent trois (3) types d’attitudes. Identifiez et définissez brièvement chacune de ces attitudes

A

a. Crainte et peurs qui provoquent ségrégation et exclusion ;
b. Irresponsabilité supposée qui provoque des attitudes dirigistes et autoritaires ;
c. Attitude de bienveillance et de protection supposément nécessaire à des personnes qu’on considère infantiles.

38
Q

Identifiez au moins deux (2) impacts que peut avoir la stigmatisation sur les personnes qui souffrent d’un problème de santé mentale.

A

a. Difficulté d’accès à un travail et un logement ;

b. Difficulté à établir des liens et des relations et les conserver.

39
Q

En quoi la définition donnée à la problématique de l’itinérance peut-elle comporter des enjeux politiques ? (2 éléments)

A

L’évaluation de l’ampleur du phénomène peut affecter l’attribution des ressources et avoir un effet sur les juridictions (sans abris vs problématique de sante mental).

40
Q
  1. Votre (vos) opinion(s) en lien avec le suicide assisté (il pourrait ne pas y avoir consensus. Faites ressortir, s’il y a lieu, les opinions divergentes)
A

D’abord , nous sommes d’accord , mais à la condition que la personne passe des examens psychologiques afin de vérifier si la personne ne présente pas une maladie mentale.

41
Q

Quelles sont les grandes valeurs qui se confrontent dans le débat sur l’euthanasie le suicide assisté et les soins de fin de vie ? (confrontation signifie opposition. Il s’agit donc de définir un minimum de 2 valeurs contradictoires)

A

On touche la valeur de la liberté des droits individuel et des responsabilités collectives, valeurs qu’on accorde à la vie, débat par rapport au droit et à la responsabilité sociale.

42
Q
  1. Lors des échanges sur le suicide assisté, le Dr Hubert Marcoux établit un parrallèle entre souffrance et impuissance. Que comprenez vous de ce propos ?
A

D’abord, la souffrance peut être régler par des interventions médicales ou non, par exemple , par une prise de médicament. De plus , la souffrance fait partie de l’impuissance qui elle ne fait pas nécessairement partie de la souffrance. L’impuissance est une zone dans laquel la personne n’a pas d’alternative , ni de pouvoir de décision. Elle subit sa souffrance

43
Q
  1. Pourquoi y a-t-il un risque que la personne qui a pris la décision de «mourir» ait de la difficulté à exercer son «droit de changer d’idée» ?
A

a. D’abord , il y a les pressions sociales. Exemple , les gens qui se sentent ambivalent peuvent mettre les médicaments dans le tirroire et ne subit pas de pression sociale, car ceci enlève le sentiment d’impuissance que la personne peut ressentir puisqu’elle conserve son pouvoir décisionnel.
b. Rigidité des lois Canadiennes, LE fait que la personne doit passer à travers plusieurs démarches et convaincre plusieurs spécialistes si elle désire changer d’idée. Cela implique une certaine culpabilité à l’endroit de tous les gens impliqués

44
Q
  1. Le Dr Hubert Marcoux affirme que «l’exclusion se joue dans le regard au quotidien». Quels liens (minimum de deux (2) liens) entre cette affirmation et une des grandes approches d’analyse des problématiques sociales ?
A

Fait référence aux stigmates , l’approche intéractionniste fait en sorte que les éractions sociales crée des stigmates , par exmple , les gens ayant des incapacités physiques ( personnes vieillissante) sont étiquetté par la société , étant donné qu’il sont différent de la normalité et qu’il sont considéré comme étant non fonctionnel dans notre société ( enlève leur fonctions et rôle qui jouent dans la société ) ainsi cela a comme effet qu’il sont rejeté ( vive l’exclusion sociale) . Ainsi , la population devrait se pencher plus sur le vieillissement normale et l’autonomie pour augmenter un regard positif à leur égard

45
Q
  1. Identifiez trois (3) enjeux sociaux qui ont été soulevés lors des échanges entre les panelistes
A
  1. la limite de la souffrance
  2. conscience morale
  3. Décriminaliser l’aide au suicide , la crainte est de devenir l’euthanasie
46
Q
  1. Comment peut-on expliquer que, dans le quatrième «plus beau pays au monde», on compte 3 millions de pauvre ? (Identifiez 2 motifs en utilisant l’approche fonctionnaliste et l’approche du conflit social)
A
  1. FONCTIONNALISTE : tout le monde a les mêmes chances , mais c’est ue question d’habileté pour atteindre ses objectifs. Alors c’Est le mérite qui apporte le succès et c’est l’esprit qui guide le fonctionnaliste. Alors , faut dire que tut le monde nait égale en raison des 3 aspects suivants : 1- environnement 2- heridité 3- perception

2- AU PLAN SOCIAL : C’est l’appartenance a une telle classe sociale qui fait qu’on a accès à tel et tel liens, donc si ont nait dans une classe favorable , nous cotoyions des gens qui ont du pouvoir , ainsi le réseau social est en partie très important sur le plan social ( pauvre ou riche)

47
Q
  1. Comment peut-on définir la pauvreté ? (Utiliser les éléments apportés dans la vidéo pour tenter de circonscrire le concept)
A

Le seuil du faible revenue (selon statistique canada) mesure qu’on ne peut dépasser et tient pas compte cout du transport, tient pas compte cout de la vie d’un endroit a l’autre au canada. Stratégie de lutte, trouver manière de mesurer la pauvreté, panier de consommation.

48
Q
  1. Comment peut-on expliquer l’indifférence sociale à l’endroit de la pauvreté et des gens qui vivent cette problématique ? (Vous pouvez utiliser la phrase «Même quand t’as rien dans la vie, y a du monde qui vont tenter de te l’enlever»)
A

existe mentalité selon laquelle tout le monde doit faire sa part dans la société , découlent de l’approche fonctionnaliste qui explique que la société est « un être vivant où chacun doit faire sa part». Selon cette mentalité, le « pauvre » ne remplit pas son rôle social et engendre une privation chez eux qui doivent compenser pour ce que le « pauvre» n’offre pas à la société. Ainsi, il n’est pas gagant d’aider cette caste nuisible de la population et m^ême justifiable de leurs soutirer le peu de privilège qu’ils ont en dédommagement pour les inconvénients qu’ils apportent

49
Q

Pourquoi la notion de seuil de faible revenu est-elle dépassée ?

A

Ne tienne pas compte de tous les types de dépenses que les ménages doivent assumer ( couts transport, variabilité des couts selon les secteurs , frais de garde etc).

50
Q

Quelles sont les possibles répercussions de la pauvreté ?

A

Perte du statu au regard des autres ( anonymat), isolement social, diminution du niveau de santé, problème scolaire et de santé pour les enfants et risque de reproduction de mode de vie ( pauvreté intergénérationelle), diminution de l’Espérence de vie , augmentation de la criminalité et des conflits, aumgnetation générale de l’ensemble des problèmes sociaux.

51
Q

Qu’est-ce que la pauvreté invisible ?

A

La pauvreté rend l’individu pauvre invisible aux yeux des autres , car elle engendre la perte de statut social et du pouvoir d’achat menant à l’isolement et l’anonymat de cet individu face au monde qi ne lui accordre peu d’importance

52
Q

Pourquoi la pauvreté est-elle difficile à «porter» à long terme ?

A
  • Il y a beaucoup de préjugés et le regard des gens est très méprisant à leur égard.
  • Augmentation de l’écart entre les riches et les pauvres
  • La pauvreté est difficile à porter, car elle est d’une durée indéterminée pour les gens qui la vivent.
53
Q

«La pauvreté est une question d’attitude». Qu’est-ce que vous comprenez de ce propos

A

La générosité : Il faut avoir une motivation et volonté pour pouvoir passer à travers. Il pense que les personnes pauvres sont plus généreuses. Les riches donnent de l’argent, mais les pauvres font des petits gestes plus concrets même s’ils n’ont pas grand-chose

54
Q

Texte de Champagne, D. ( 2001). Les pratiques des intervenants bénévoles et des intervenants professionnels en prévention du suicide. Dans Meyer,R et Dorvil, H.,Problèmes sociaux ( pp. 509-532). Montréal, presses de l’université du Québec
43. Sheen (1976) relève deux (2) sources à l’incapacité des professionnels à comprendre la souffrance vécue par la personne suicidaire. Quelles sont ces deux sources

A
  1. le manqué d’information sur la problématique du suicide

2. - l’anxiété personnel vécu face au suicide

55
Q

Texte de Champagne, D. ( 2001). Les pratiques des intervenants bénévoles et des intervenants professionnels en prévention du suicide. Dans Meyer,R et Dorvil, H.,Problèmes sociaux ( pp. 509-532). Montréal, presses de l’université du Québec

  1. Deux (2) grandes catégories d’interventions sont définies par l’auteur. Quelles sont ces deux (2) grandes catégories et expliquez brièvement la nature de chacune d’elle ?
A
  1. type analytique : l’expression de l’agressivité et à prendre conscience de leurs problemes
  2. l’action en situation de crise : l’intervention doit être active , autoritaire et metre en contribution les personnes significatives de la personne
56
Q

Texte de Champagne, D. ( 2001). Les pratiques des intervenants bénévoles et des intervenants professionnels en prévention du suicide. Dans Meyer,R et Dorvil, H.,Problèmes sociaux ( pp. 509-532). Montréal, presses de l’université du Québec

Selon l’auteur, les travaux de Schön (1994) ouvrent une perspective intéressante quant à la construction des savoirs en lien avec le suicide. Quels sont les deux (2) grands postulats de Schön en lien avec la construction de ces savoirs ?

A

Le premier postulat : est que les intervenants produisent des savoirs , l’auteur a montré comment la réflexion en cours d’action et sur l’action est productrice de savoirs. Cette operation de construction qui implique la réflexion sur l’action ce fait à partir des savoirs antérieurs de l’intervenant et de la nouveauté que représente la situation à laquelle il est confronté

Le deuxième postulat : est que l’apprentissage est un acte sociale ou l’être humain construit, incorpore et structure son experience à travers ses interactions avec d’autres, eux aussi engages dans une action commune avec ce que cela signifie d’interprétation intersubjective de l’expérience et des apprentissages qu’on en tire. Cela ajoute une voix à ce dialogue. La confrontation continuel d’idées oblige l’intervenant à se decentre par rapport à sa réponse initiale , donc de ces échanges peuvent alors émergés de nouvelles façon de comprendre de nouvelles experiences, de nouveaux savoirs

57
Q

Texte de Lesage,A., St-Laurent, D.,Gagné et légaré,G.(2012). Perspectives de la santé publique pour la prévention du suicide. Santé mentale au Québec, vol.37.no2,pp.239-255
4. McMillan (2000) a examiné la distribution des facteurs de risque suicidaire. À quelle grande recommandation son étude arrive-t-elle ?

A

La recommendation d’investir dans des programmes de promotions et de soutien des fonctions parentales pour diminuer les risques de situations d’abus dans l’enfance

58
Q

Texte de Lesage,A., St-Laurent, D.,Gagné et légaré,G.(2012). Perspectives de la santé publique pour la prévention du suicide. Santé mentale au Québec, vol.37.no2,pp.239-255

  1. Quels sont les quatre (4) grands facteurs environnementaux, sociaux et culturels que Caron (2002) a identifié comme possibles précipitants pour les gestes suicidaires ?
A
  1. défavorisation sociale et materiel comme le chômage
  2. la mediatisation de certains suicide
  3. la construction sociale du sens du suicide
  4. l’acessibilité à des moyens létaux
59
Q

Texte de Lesage,A., St-Laurent, D.,Gagné et légaré,G.(2012). Perspectives de la santé publique pour la prévention du suicide. Santé mentale au Québec, vol.37.no2,pp.239-255

  1. Trois (3) grands secteurs d’activité ont été développés au Québec pour la prévention du suicide. Quels sont ces trois (3) grands secteurs
A
  1. vise le développement de réseaux de sentinelles à l’échelle provinciale
  2. des activités de sensibilisation aux risques que présente les medicaments et les armes à feu gardé à la maison
  3. Prévu au programme nationnale mais qui n’a pas été encore déployé à l’échelle provinciale, porte sur le traitement des cas de suicides par les médias
60
Q

Roy,S. et Hurtubise,R.(déc.2022). Pourquoi se retrouve-t-on dans la rue? Revue relations, no 753
7. L’auteur mentionne que l’augmentation des inégalités est une des causes de l’itinérance. Il souligne d’autres éléments. Identifiez au moins trois de ces éléments

A
  1. L’accroissement des inégalités
  2. De l’institution à l’isolement
  3. Les difficultés familiales sont aussi au nombrte des facteurs conduisant à l’itinérance
61
Q

Roy,S. et Hurtubise,R.(déc.2022). Pourquoi se retrouve-t-on dans la rue? Revue relations, no 753

  1. Quels liens l’auteur établit-il entre l’itinérance et le passage répété des personnes en milieu institutionnel ?
A

Le passage répété des personnes en milieu institutionnel les fragilise , car cela entraine des ruptures et des déracinements qui nuisent à la construction de leur identité , on ne prend aps toujours en considération de l’incapacité de la personne a vivre de fa^con autonome. Cela fait en sorte que les apprentissage et les expériences vécu en institution ne correspondent pas toujours aux réalités vécues par ces gens-là.

62
Q

Roy,S. et Hurtubise,R.(déc.2022). Pourquoi se retrouve-t-on dans la rue? Revue relations, no 753

  1. L’auteur parle de vulnérablité juridique. Expliquez son propos
A

Metionne que les personnes itinérantes bouscoulent les conventions sociales , sont perçues comme une menace et son constament sous les regards des autres. Ainsi il seront plus enclin a avoir des contraventions , jugement et réprimande puisqu’il sont souvent dans des situations de transgressions des règles. Ainsi , cela dit que nous sommes moins tolerant et préfère punir au lieu d’agir humainement pour affronter la situation.

63
Q

Simard, M(2007). Au-delà dy symptôme : de l’assistance à la pratique d’urgence sociale, l’expérience du Centre le Havre. Dans Hurtubise,R. et Roy,S., L’itinérance en question (pp.269-288)

  1. Quelles sont les quatre (4) sphères qui rendent possible l’exercice des droits des personnes et comment, dans cette perspective, pouvons-nous définir la pratique de l’urgence sociale ?
A
  1. La santé
  2. La justice
  3. Le revenu
  4. L’habitat
64
Q

Simard, M(2007). Au-delà dy symptôme : de l’assistance à la pratique d’urgence sociale, l’expérience du Centre le Havre. Dans Hurtubise,R. et Roy,S., L’itinérance en question (pp.269-288)

  1. Quelle est la philosophie qui guide l’accompagnement dans un contexte d’une pratique d’urgence sociale ?
A

L’individu en situation d’urgence est dans une impasse , on appel cela le contexte de la résilience , ainsi en accompagnement en contexte d’une pratique d’urgence social c’est de soutenir sa présence , à un moment où rien ne vient plus étayer cette présence au monde. Ce que l’on désigne par cette expression de rupture social est l’effondrement de ce qui peut étayer cette présence de et la perte des appuis qui l’assuraient. Accompagner l’individu en situation d’urgence sociale , c’est soutenir sa présence malgré tout

65
Q

Simard, M(2007). Au-delà dy symptôme : de l’assistance à la pratique d’urgence sociale, l’expérience du Centre le Havre. Dans Hurtubise,R. et Roy,S., L’itinérance en question (pp.269-288)

  1. L’auteur établit deux (2) grandes différences entre le système d’urgence sociale (hébergement d’urgence) et le système d’assistance. Définissez une (1) de ces grandes différences.
A

La seconde qui distingue les deux système est l’idée de droit. Le système d’urgence sociale est fondé sur le droit des individus, alors que le système d’assistance est fondé sur l’engagement des intervenants et sur la générosité des bienfaiteurs

66
Q

Jaquier, V& Guay, S.(2003). Les violences conjugales. Dans Cusson, M., Guay,S., Prouxl, J. & Cortoi,F., Traité des violences criminelles. Les questions posées par la violence, les réponses de la science (pp.259-281)

  1. Pourquoi l’ampleur des violences conjugales est-elle difficile à estimer ? (deux (2) motifs)
A

1- Savoir comment cela a été mesuré

2- Savoir quels ont été les comportements évalués et les questions utilisées

67
Q

Jaquier, V& Guay, S.(2003). Les violences conjugales. Dans Cusson, M., Guay,S., Prouxl, J. & Cortoi,F., Traité des violences criminelles. Les questions posées par la violence, les réponses de la science (pp.259-281

  1. Comment la théorie développementale appréhende-t-elle le développement de la violence conjugale ?
A

Dans un contexte familiale , probabilité que l’enfant une fois adulte , à son tour parent manifestes différents problèmes qui augmente le risque que ses propres enfant développent à leur tour des problèmes de comportements. De semblable circonstances dont conduiraient alors ces enfants vers une histoire de vie difficile , augmenterait notamment la probabilité d’entretenir des relations avec un ou une conjointe ayant également une histoire de vie difficile. Ainsi ce type de couple formés connaitraient des risques accru de développer des difficultés à résoudre leur problèmes , ce qui pourraient les conduire a des situations de violence conjugale

68
Q
  1. Quelles sont les trois (3) grandes dimensions qui permettent de classifier les agresseurs ?
A
  1. La gravité de la violence conjugale
  2. Généralisation
  3. Psychopathologie ou des troubles de la personnalité
69
Q

Hamel,S., et Alain, M( janvier 2013) Rapport synthèse, le phénomène des gangs, ici et ailleurs, mise à jour des connaissance. Pour le fonds de la recherche sur la culture et la société. Québec

  1. Comment les auteurs expliquent-ils le processus d’affiliation lié au phénomène des gangs ?
A

Processus d’affiliation aux gangs , processus graduel , s’introduisant par les réseaux de connaissance . Manifesté par l’opportunité d’occuper un rôle différent, de recevoir des nouvelles responsabilités dans un univers que les jeunes connaissent déjà et qui fait partie de leur quotidien.

70
Q
  1. Quel rôle peut jouer le contexte socio-économique sur l’affiliation à un gang?
A

Lorsque les voies usuelles et légitimes de réalisations sont inaccessibles , l’univers des gangs peut être considéré par les jeunes comme une voie marginale de réalisation leur permettent d’atteindre le succès économique et social, d’obtenir un statu social , une certaines reconnaissance et même que le prestige et le respect qui lui sont associés.

71
Q
  1. Quelles sont les meilleures mesures pour faire face au phénomène des gangs ?
A

La répression et le calibrage des mesures qu’ils emploient à l’endroit des jeunes contrevenants. Et par conséquent, cette pratique les conduirai à travailler en collaboration de plus en plus étroite avec d’autre intervenants spécialisés ainsi qu’avec la communauté élargie

72
Q
  1. Quelle est la pierre d’assise de la position de l’Église catholique sur le suicide ?
A

Pourtour l’idée que la vie appartient aux dieux et que le suicide est condamnable parce que notre sort relève uniquement du pouvoir divin. Cet argument deviendra quelques siècles plus tard la pierre d’assise de la position de l’Église.

73
Q
  1. Dans vos propres mots et brièvement, quelle théorie Durkeim a-t-il élaborée pour expliquer les gestes suicidaires
A

Le suicide n’est pas un objet qui relève exclusivement du domaine des aliénistes, ainsi que sont sommés les psychiatres de son époque, mais est plutôt une conduite et un fait social produits par des forces sociales qui dépassent l’individu

74
Q
  1. En vous inspirant de l’essai « Deuil et Mélancolie de Freud, quelle est la position de base de la psychanalyse en lien avec la compréhension de l’acte suicidaire ?
A

Tenterait de détruire les traits d’une autres personne qui vit à l’intérieur de son psychisme. La personne en deuil se prend elle-même pour un objet et elle se traite en objet, retirant ses investissements narcissiques pour retourner contre elle une rage sadique.

75
Q

Comment définiriez-vous la normalité ? («Être folle, être fou c’est péjoratif. C’est un terme qui englobe tellement de choses»

A
  • Tout le monde a un cœur, une intelligence, des émotions (agréable ou non)
  • La normalité est relative en raison des stigmates qu’on pose sur les gens, c’est une étiquette qu’on pose.
  • La conscience qu’il ont autour d’eut (beaucoup de dissociation, image de leur problématique tandis que les personnes neurotypiques ne sont pas capable de faire cette dissociation vise à vis leur problématique d’être conscient de cela).
76
Q

«En faisant cela, je deviens une personne complète…le dire, l’afficher, c’est boucler la boucle. C’est m’accepter moi-même et accepter la maladie mentale». Que comprenez-vous de ce propos en lien avec la notion de préjugés ?

A

-Avoir conscience de soi. Pour démystifier la grosse machine qui entoure la maladie mentale. Ils deviennent une personne complète, la maladie fait partie d’eux. Pour arriver s’accepter eux-mêmes et faire accepter la maladie en général. Ils veulent réussir à vivre leur propre vie.

77
Q

«Le sentiment d’être différent nous marque parce qu’on a pas de reconnaissance de nos parents». Pourquoi, selon vous, y a-t-il «absence de reconnaissance des parents» ?

A

Les enfants se remettent en question entre leurs pulsions et leurs désirs d’être aimé par ses parents, et aussi de faire ce que ses parents veulent. Les parents peuvent avoir de la difficulté à accepter le diagnostic, avoir un sentiment d’impuissance ou même souffrir ne pas comprendre le comportement de leur enfant.

78
Q

«C’est vrai qu’elles ont des fragilités, mais il faut être fait fort pour vivre dans un centre comme Robert-Giffard» Que comprenez-vous de ce propos ?

A

Couper de ses amies, de sa famille, isoler de toute activité artistique, numéro de dossier, diagnostic, devenir presque honteux, alors de mettre son nom sur une œuvre et de mettre l’œuvre sur le mur c’est comme de se montrer à nu et d’être aussi fière d’être un artiste, d’accepter sa maladie. Tout un défi revenir à l’endroit ou eu les pires moments de leur vie ou de détresse. (Être devant une foule à un vernissage pour afficher ses œuvres). Un choc de se retrouver dans ce milieu (est-ce que je vais sortir ?)

79
Q

La scène du ballon tout au long du documentaire. Quelle(s) interprétation(s) pouvez vous faire de cette symbolique ?

A

Le ballon représente est la tentative de chercher son identité à travers les préjugés, la maladie, l’isolement. Tenter de trouver son chemin dans la vie, malgré les représentations que la société se fait de nous. C’est aussi de prendre conscience de soi, de s’accepter tel que l’on est malgré la maladie et les chemins différents parcourue. Le ballon démontre aussi qu’il y a des paliers dans la maladie mentale (des hauts et des bas). C’est un chemin et un travail continu vers le bien-être.