prévention des infections Flashcards
Qu’est ce que la PCI
Plan d’action élaboré par le ministère de la santé et des services sociaux. Rassemble infirmières et médecins, gestionnaires afin de vaincre les éclosions et assurer une bonne pratique de prévention.
Qu’est ce qu’une infection ?
invasion de micro-organisme pathogènes, comme des bactéries, virus, champignons ou parasites.
À quoi sert le système lymphatique ?
Draine le liquide en excès, évite l’oedème, détoxication des organes ( maintient l’équilibre des liquides corporels ) absorbe et transporte les nutriments comme la vitamine a d e k.
Ou se situe les ganglions ou noeuds lymphatiques ?
aisselles, cou, glandes mammaires, bassin, aine
À quoi sert le système immunitaire
assure les mécanismes de défense contre les infections
De quoi est composé le système lymphatique ?
la lymphe, vaisseaux, noeuds lymphatiques, organes, et tissus lymphatique
La capacité à l’organisme de se défendre contre un agresseur et résister la maladie, qui suis-je ?
l’immunité
Que sont les leucocytes ?
Globules blancs
Comment favoriser les retour lymphatique ?
favoriser exercice ou marche; élever jambes au repos; éviter station prolongés debout; porter vêtements amples; porter bonne chaussures; alimentation saine et équilibrée boire suffisamment d'eau ne pas croiser les jambes
Les principaux organes et follicules lymphatiques
amygdales thymus appendice rate moelle rouge os long
que sont les barrière physique et chimique SUPERFICIELLES ?
peau élimination par les glandes sudoripares poils du nez larmes ph urine ph vagin sucs gastrique
Gros leucocytes qui circulent et avalent et détruisent les micro-organismes ?
Phagocyte ( phagocytose )
Agent agresseur capable de déclencher un mécanisme de défense
antigène
protéine globuline capable de se combiner à un antigène afin de le neutraliser
anticorps
3 étapes de l’inflammation
1 vasodilatation et augmentation de la perméabilité des capillaires
2 diapédèse et phagocytose
3 réparation tissulaire
Manifestation clinique locales de l’inflammation
Douleur
Rougeur
Chaleur
Oedeme
Manifestation systémique de l’infection
hyperthermie augmentation des leucocytes dans les sang augmentation de la fréquence cardiaque frissons fatigue courbature risques de déshydratation
Qu’est ce qu’un formule sanguine complète ?
prise de sang ; niveau de globules rouge et blancs
Qu’est ce qu’une formule leucocytaire ?
% de chaque catégorie de leucocyte
Augmentation du nombre de leucocyte ( réaction inflammatoire ou infection )
leucocytose
diminution des leucocytes ( dépression médullaire, disjonction de la moelle rouge suite a une réaction toxique comme suite à la chimiothérapie )
leucopénie
À quoi sert le dosage des electrolytes
déceler la déshydratation et équilibre hydrique
À quoi sert la recherche d’anticorps
rechercher anticorps ou immunoglobuline - vérifier l’immunité
À quoi sert la recherche d’antigène
dépister l’hépatite B, suivre l’efficacité d’une thérapie cancéreuse - vérifier l’exposition
Analyse sanguine qui sert à identifier micro-organisme pathogènes responsable d’une infection
hémoculture
infection généralisée du réseau sanguin
septicémie
à quoi sert un antibiogramme
trouver le bon antibiotique
soins infirmiers d’une biopsie des noeuds lymphatiques
à jeun pré-biopsie
surveiller SV post-op
vérifier saignements, sensibilité, rougeur au site
Facteurs de risques des immunopathologies
génétiques habitudes de vie age condition de vie stress maladie chronique facteurs environnementaux pollution prise de médications
réaction hypersensible inappropriée à une substance étrangère normalement inoffensive
pour l’organisme
allergie
manifestation la plus grave d’une allergie
choc anaphylactic
manifestations cliniques du choc anaphylactique
respiration bruyante, sifflante, dyspnée, oppression thoracique bronchospasme détresse respiratoire rougeur, chaleur, oedeme hypotension tachycardie coma, pouls imperceptible engourdissement
médicament le plus efficace pour le choc anaphylactique
adrénaline - epipen
vasoconstricteur
broncodilatateur
soins infirmiers choc anaphylactique
administrer adrénaline installer personne assise détacher vêtements du cou adm. o2 surveiller signes de détresse respiratoire
forme d’urticaire qui touche le visage, voie respiratoires, paupières et lèvres, si cela atteint la glotte = choc anaphylactique
oedeme de quince
défaillance du système immunitaire, il détruit ses propres cellules et tissus
altération auto immune
maladie auto immune inflammatoire chronique, s’attaque au tissus et aux organes, peau, muscles et articulations, poumons, reins, coeur et cerveau.
On y voit l’érythème en papillon
Lupus érythémateux disséminé ( LED )
Manifestations clinique du LED
poussées-rémissions
manifestations systémiques lors des poussées
signes d’arthrite, rougeur, oedeme au articulations
éruptions cutanées au visage
soins infirmiers LED
mobilisation douce soulager dlrs avec médications assurer bonne position-alignement informer le patient que les plaques disparaissent à la fin des poussées protéger du soleil et produits irritants bonnes habitudes de vie gestion du stress
Qu’est ce qu’une immunodéficience
incapacité congénitale ou acquise à résister l’infection causée par le non fonctionnement du système immunitaire
Utilise le code génétiques des lymphocytes T pour se reproduire
vih
comment transmet-on le vih
contact du sang, sperme, sécrétion vaginale, relation sexuelle non-protégée, relation orale avec éjaculation, seringue contaminée, transmission mère enfant a l’accouchement
Manifestations cliniques du vih
poussée-rémissions, 4 phases; hyperthermie inflammations des noeuds lymphatiques perte de poids, anorexie, nausées fatigue céphalée, encéphalite, méningite, candides buccale et vaginale
Forme la plus avancée du vih
Sida
Manifestations clinique du sida
toux, pneumonie, dyspnée, douleur thoracique, diarrhée chronique, perte de la vue, méningite, désorientation, perte de mémoire, herpès, muguet, cancer, dépression
-vih-
à quoi serve la médication et la bonne hygiène
ralentir progression
prévenir les infections
retarder apparition du sida
améliorer condition de vie
traitements du vih
antiviraux - trithérapie antibiotique, antifongique, antiparasitaire anxiolytiques antalgique-analgésique anti diarrhéique antiémétique
pourquoi quelqu’un cesserait les traitements contre le vih
nombreux effets secondaire manque de soutien émotionel difficulté à organiser sa vie en fonction des traitements isolement social manque de ressource financière
prolifération anarchique de cellules anormales formant une tumeur maligne qui peut entrainer la formation de métastases
cancer
qu’est ce qu’une métastase
développement de foyer secondaires d’une affectation cancéreuse disséminé par voie sanguine ou lymphatique
tumeurs bien délimités, cellules normales, peu différente, développement lent, peu vascularisé, kyste, fibrome
tumeurs bénigne
tumeurs difformes, rarement encapsulé, cellules anormales, développement rapide avec métastases, très vascularisé; lymphoma, carcinome, mélanome, leucémie
tumeur maligne
facteurs de risques pour le cancer
Goudron, urethane, amiante, herbicides, insecticides, engrais, additifs alimentaire, fumée de tabac, rayons solaires ultraviolets, rayons x , radium, prédisposition familiale, stress
signes et symptômes cancer
plaie qui guérit pas perturbation élimination vésicale ou intestinale saignement ou perte vaginale inhabituels épaississement ou excroissance au sein ou peau troubles digestifs transformation d'une verrue toux perte de poids inhabituelle
prévention du cancer
mammographie toutes les 2 ans éviter exposition au soleil frottis vaginal annuel examine physique annuel bonne hygiène de vie éviter facteurs de risques arrêter de fumer
signes d’alerte cancer
masse palpable ( sein, testicule ) grain de beauté ou tache cutanée qui change d'aspect, taille ou couleur saignements persistant écoulement ou rétraction du mamelon maux de tête violent fatigue extrême perte de poids inexpliqué
méthode qui détruit les cellules cancéreuses par radiation en bloquant leur capacité à se reproduire
radiothérapie
effets secondaire de la radiothérapie
sensibilité à la peau traitée alopécie nausée vomissement diarrhée anorexie
administration de médicaments par différentes voie. bloque la multiplication de cellules anormales
chimiothérapie
comment administrer des antinéoplasiques
avec précaution et des gants
effets secondaires chimie
inflammation muqueuse de la bouche, nausée, vomissement, anorexie, dyspnée, diarrhée, alopécie, céphalée, fatigue, douleurs thoracique
intervalle entre la pénétration de l’agent pathogène dans l’organisme et l’apparition des premiers symptômes
période d’incubation
signes avant coureur, malaises généraux, fièvre, fatigue
période prodrome
monogocoque, pneumonocoque, staphyloccoque, gonocoque
bactérie du pu
haemophilus influenzae, tuberculose
bactérie des voies respiratoires
salmonellose
bactérie des voies digestive
clostridiumtetani
bactérie provenant du sol
chlamydia thrachomatis, gonorhée, syphilis
its
micro organisme très pathogènes plus petits que des bactéries. certaines exposition = immunité, d’autres non.
infection virales
exemple d’infection virale
erytheme infectieux varicelle, zona herpes génital, labial rougeole, rubéole, oreillons, poliomyélite, méningite, grippe hépatite abc gastro vph
prévention. des infections bactériennes et virales
- éviter contact avec personnes infectées
- lavage des mains, agent antimicrobiens
- port de gants, blouse, masque ( surtout en milieu hospitaliers )
- manipulation adéquate du matériel souillé - biorisque
- bonnes habitudes de vie, environnement propre
- vaccination approprié - efforts collectif
- laver aliments - gastro, ecoli, c diff
8 éviter viande crue - vérifier traitement des eaux, faire bouillir
infection contractée en milieu hospitalier, et non liée à la raison d’hospitalisation
les bactéries multirésistantes au antibiotiques ( BMR ) sont les principaux responsables
maladies nose comiales
dépistage maladie nosocomiale
culture du nez à l’admission - Sarm, saro
culture de plaie, cathéter centraux, urine
culture rectume ( erv )
culture de selle ( CD )
facteurs de risque maladies nosocomiales
personnes âgées, nouveaux nées immunosupprimés, polytraumatisée, grands brulés vient de subir chirurgie catheter, sonde vésicale antibiotique
liens entre les antibiotique et les maladies nosomiale
diminue la flore intestinale
fragilise contre les infections
pro biotique
transmission sarm ou saro
ou se fait le prélèvement
manif cliniques
contact des mains, écoulement d’une plaie, gouttelettes voies respiratoire
au niveau du nez
infection d’une plaie, infection urinaire, infection du sang, impétigo, furoncle, abcès
transmission
prélèvements
manif cliniques
ERV
transmission par contact direct des selles, urine, sang contaminé, endogène, surface contaminée
souvent sans manifestations sinon infection site opératoire, infection urinaire, infection du sang
prélèvement rectum
transmission
prélèvements
manif cliniques
C DIFF
transmission contact d’objet contaminés et contact des mains
manif clinique diarrhée si prise d’antibiotique, dlrs abdo, diarrhée liquide , forte odeur, fatigue, diminution état général, risque déshydratation
signes déshydratation
sécheresse buccale, diminution remplissage capillaire, diminution état de conscience, diminution TA, tachycardie, fièvre, faiblesse, diminution urine
transmission des mycètes
contact direct avec la peau
inhalation
voie digestive
voie invasive, par l’intermédiaire d’une canule ou cathéter
transmission des parasites
contact avec insecte porteeurs contact avec animaux infectés ingestion d'eau ou nourriture infectée par le sol baignade eau contaminée contact de literie ou tapis contaminés contact avec personne porteuse relation sexuelle mere au foetus
mesures prises pr les cas de maladies nosocomiales
chambre privée
blouse, gants, lavage de mains, masque si recquis
matériel dédiée a la personne
éléments d’un cycle d’infection
agent infectueux réservoir porte de sortie mode de transmission porte d'entrée hote réceptif
modes de transmission infections
contact direct ( poignée de main ) contact indirect ( matériel contaminé ) gouttelettes ( toux ) voie aériennes ( micro goulettes ) véhicule commun ( nourriture préparé par quelqu'un d'autre O) vecteurs ( insectes )
air purifiée par système de ventilation qui empêche l’agent infectieux de se répandre ( tuberculose )
chambre a pression négative
à quoi sert les précautions neutropéniques et à qui s’appliquent-elles
protéger la personne et non l’envirronement et les autres
Aux gens au système immunitaires faibles
quel est le role de l’infirmière auxiliaire dans la vacciner
elle y contribue
manifestations cliniques post vaccin
réactions au points de vaccination ( induration, sensibilité, rougeur, chaleur, oedème
réaction systémique ( fièvre, éruption cutanées, douleurs articulaire, musculaire, choc anaphylactic )
les deux couches de la peau
derme
épiderme
couche protectrice de la peau
épiderme
les 4 types de plaie
linéaire
contusion
lacération
perforation
plaie fermée sans infection
plaie propre
plaie qui peut avoir présence de micro organisme, risques de présenter des signes d’infection ou inflammation
plaie contaminée
plaie qui présente une multiplicité de micro organisme, souvent une plaie chronique longue à guérir
plaie colonisée
plaie qui présente des signes d’infection
plaie infectée
étapes de cicatrisation
hémostase
inflammation
prolifération
maturation
facteurs qui nuisent à la cicatrisation
certains médicaments ( ains, antinéoplasiques, analgésiques )
malnutrition ( carence en protéine, vitamine, zinc et fer )
infection
stress
soins inapproprié
ischémie locale
déshydratation d’une plaie
escarres de décubitus =
plaie de pression
facteurs de risque pour les plaies de pression
malnutrition, déshydratation
diabète, anémie, troubles circulatoire, immobilité, cisaillement, incontinence, pression prolongée
endroits à risque plaie de pression
occiput talon hanche coude sacrum, coccyx malléole interne, externe
prévention plaie de pression
surveiller zones susceptibles régulièrement évaluer facteurs de risques changement de position q 2h favoriser le bon positionnement cr. hydratante alimentation équilibrée surface thérapeutique
critères de l’échelle de Braden
degrée de sensibilité degrée exposition d'humidité degrée activité physique apport alimentaire habituel risque de cisaillement ou friction
critère d’evaluation d’une plaie
site de la plaie
dimensions ( largeur longueur profondeur )
lit de la plaie
bords de la plaie
caractéristique de l’exsudat ( coloration, quantité )
signes d’inflammation
a quoi sert le cooq
couleur odeur qualité quantité exsudat
lit de plaie noirâtre =
tissus nécrotique, escarre
lit de plaie jaunâtre=
tissus fibrineux ( processus trop rapide de cicatrisation = débridement )
lit de plaie rosé-rougeatre =
tissus de granulation = guérison
quel grosseur de seringue et aiguille pour le débridement ?
30 ml
18g