Présentations Cliniques Flashcards
Angine
Douleur coronarienne
Survient à l’effort
Rétrosternale
Soulagée par le repos
Décrite comme un serrement
Douleur peut irradier vers le cou, les bras ou être accompagnée de nausée et de sudation
Donne parfois essoufflement, palpitation, sensation de perte de conscience imminente (lipothymie)
Ne produit pas de nécrose significative
Infarctus
Nécrose irréversible du muscle cardiaque
Survient dans contexte d’instabilité au niveau d’une plaque d’athérome (rupture ou saignement) qui provoque une obstruction subite à l’intérieur d’une artère coronaire
Nécrose survient lorsque les douleurs ischémiques persistent plus de 20min
Syndrome coronarien aigu (SCA)
Terme pour désigner une événement cardiaque ischémique avec ou sans anomalies électriques à l’ECG
Inclut infarctus du myocarde et angine instable
Manifestation clinique de l’obstruction subite d’une artère
Douleur aiguë
Dysfonctionnement de l’organe privé d’irrigation artérielle
Claudication intermittente
Douleur dans la jambe, en aval de l’obstruction
Douleur sous forme de « crampe»
Manifestation clinique d’obstruction artérielle (maladie artérielle périphérique/insuffisance artérielle)
Lorsque la circulation artérielle est diminuée de façon partielle dans un membre
Ex.: plaque athéromateuse au niveau de l’artère fémorale (cuisse)
Manifestations cliniques d’une ischémie chronique dans un membre
Claudication intermittente
Perte de pilosité localisée
Blessures cutanées tardent à gurérir
Propension à l’ulcération et à l’infection
Souffrance ischémique
Circulation artérielle est interrompue de façon complète et subite dans un membre
Nécrose des tissus peut survenir en quelques heures
Manifestations obstruction artérielle subite
Douleur intense du membre (région distale à l’obstruction)
Engourdissement, faiblesse, paralysie
Zone ischémique pâle, froide, pouls artériel n’est pas perceptible à l’examen
Thrombose
Obstruction de l’artère par une accumulation de dépôts au niveau d’une plaque d’athérome
Obstruction peut être progressive, subite, partielle ou complète
Embolie
Morceaux de plaques en provenance de l’aorte ou de gros vaisseaux peuvent se détacher ou des caillots sanguins peuvent se former au niveau du coeur ou encore de la circulation veineuse et prendre la circulation sanguine pour provoquer une obstruction à distance
Amaurose fugace
Cécité monoculaire subite, généralement transitoire
Embolie
Plaque athérosclérotique au niveau d’une artère carotide (au cou) qui se détache pour prendre la circulation artérielle en direction du cerveau
Dans trajet intra-caverneux, la carotide interne dessine un S (siphon carotidien)
À ce carrefour, la plaque s’en va dans l’embranchement de l’artère ophtalmique pour se loger distalement dans l’artère rétinienne centrale
Ischémie cérébrale transitoire ou permanente
ICT/ AVC mineur ou AVC
Occlusion artérielle
Plaque athérosclérotique au niveau d’une artère carotide (au cou) qui se détache pour prendre la circulation artérielle en direction du cerveau
Embolie va dans la voie de la circulation cérébrale
Plaque ira obstruer une artère qui nourrit une zone plus ou moins étendue du cerveau
Manifestation clinique sans douleur des tissus ischémiques (faiblesse, paralysie, engourdissement, perte visuelle, trouble du language, etc.)
Peut être provoquée par arythmies cardiaques (fibrillation auriculaire) qui entraîne formation de caillots sanguins dans les cavités cardiaques, caillots peuvent éventuellement être propulsés par le coeur dans la circulation artérielle et provoquer une obtruction à distance
Oedème
Enflure
Manifestation des problèmes veineux et lymphatiques
Ex.: insuffisance veineuse
Insuffisance veineuse
Veines sont dotées de valves dont le rôle consiste à empêcher le sang de refluer distalement vers les jambes
Âge, embonpoint, grossesses, traumatismes, thromboses antérieures= dommages aux valves
Apparition de varicosités et d’oedème chronique aux membres inférieurs
Jambes enflées et lourdes après debout ou fin de journée
Stase veineuse chronique produit une extravasation de liquide dans l’interstice à l’origine d’oedème + modification cutanées
Peau s’amincit et prend une pigmentation brunâtre, ulcérations dans zones soumises à plus forte tension
Thrombose veineuse
Trajet d’une veine superficielle
Produit oedème inflammatoire douloureux dans le trajet de la veine affectée
Souvent au niveau des extrémités, membres inférieurs
Lorsque la thrombose touche le réseau veineux profond, la thrombophlébite peut se compliquer d’embolie à distance
Insuffisance cardiaque
Coeur présente des difficultés de remplissage (fonction diastolique) ou une baisse de ses capacités d’éjection (fonction systolique)
Peut être précipitée par anomalie structurale (malformation, remodelage, vavulopathie) ou fonctionelle (ischémie, HTA, arythmie, etc)
Empêche le coeur de générer un débit cardiaque adéquat pour répondre aux besoins d’oxygénation tissulaire de l’organisme
Manifestations cliniques causées par:
1- Augmentation du volume circulant (congestion hépatique, oedème périphérique)
2- Baisse du débit cardiaque (fatigue, intolérance à l’effort, faiblesse générale)
Symptôme clé: dyspnée
Péricardite
Plutôt rare
Pas trop difficile à reconnaître
Inflammation du péricarde produit une douleur thoracique dans la région antérieure (rétrosternale), augmentée par la respiration et modifiée par la position
Typiquement exacerbée par le décubitus dorsale et soulagée par la position assise penchée vers l’avant
Survient habituellement dans un contexte de maladie virale ou en post-infarctus
Présentation insidieuse et progressive, typique des conditions inflammatoires
Possible d’entendre un frottement péricardique à l’auscultation cardiaque (bruit rugueux au rebord sternal gauche)
ECG montre des modifications du segment ST diffus + (si effusion péricardique significative) microvoltage
Soulagée par la prise d’aspirine ou d’anti-inflammatoires avec parfois une fièvre légère
Signes de tamponnade, hypoTA, +poul paradoxal, épanchement péricardique à l’EDU
Augmentation VS, protéine
Épanchement péricardique à l’EDU
Première manifestation de la maladie coronarienne pour bcp des patients atteints de cardiopathie ischémique
Arrêt cardiorespiratoire
Tamponnade cardiaque
Accumulation de liquide péricardique sous tension
Hypotension, assourdissement des bruits cardiaques, pouls paradoxal et signes de coeur droit (augmentation TVC, congestion hépatique, oedème périphérique)
Embolie pulmonaire
Présence de facteurs de risque d’hypercoagulabilité (thrombophilie, évènement thromboembolique antérieur, immobilisation, traumatisme, chirurgie, néoplasie, hormonothérapie)
Douleur thoracique aiguë de type pleural souvent latéralisée, dyspnée, hypoxémie, thrombose veineuse au membre inférieur (douleur/gonflement), tachycardie, tachypnée, fièvre légère
Si massive, hypotension et signes du coeur droit
Thrombose veineuse quelque part dans le réseau veineux profond, généralement au membre inférieur
Pneumonie
Douleur thoracique latéralisée (gauche ou droite)
Augmentée par la respiration (douleur de type pleural) dans un contexte fébrile avec toux productrice et parfois dyspnée associée
MPOC augmente probabilité d’une pneumonie
Examen= fièvre, tachypnée, tachycardie, hypoxémie, baisse du murmure vésiculaire avec des râles localisés (crépitants, ronchi) et, en présence de consolidation plus importante, des vibrations vocales augmentées, une amplitude respiratoire asymétrique, une matité pulmonaire, de l’égophonie ou un souffle tubaire
Toux, expectorations colorées, essoufflement, hémoptysies, atteinte de l’état général (patients plus vieux), déshydratation
Radiographie montre consolidation pulmonaire
Pneumothorax
Collection d’air qui se forme à l’intérieur de la cavité thoracique (entre les deux plèvres) à la suite d’une fuite au niveau de la surface pleurale
Causé par traumatisme ou survenir de façon spontanée
Jeune homme grand et mince ou MPOC avec bulles enphysémateuses, douleur thoracique subite, latéralisée avec dyspnée (variable selon la taille du pneumothorax)
Si pneumothorax important: altération des signes vitaux avec absence de vibration vocale, tympanisme à la percussion et absence de murmure vésiculaire à l’auscultation du côté atteint, déplacement des structures du médiastin de l’autre côté du thorax altérant le remplissage du coeur
Radiographie pulmonaire anormale
Douleur thoracique d’origine anxieuse
Douleur thoracique souvent prolongée ou récidivante, variable en fonction des humeurs de l’individu
Souvent sans facteurs de risque coronariens
Survient dans un contexte d’anxiété ou de stress sans qu’on puisse détecter d’anomalies à la suite de l’ECG et des tests de laboratoire, d’imagerie ou de provocation
Pas de lien avec l’effort, souvent au repos, attaques de panique, prise d’anxiolytiques
Diaphorèse, tremblement, hyperventilation, panique, tachycardie, HTA
Douleur thoracique pariétale
Traumatisme ou douleur spontanée
Subit si traumatique, sinon insidieux, varibles heures, jours
Doleur pariétale
Augmentée par mouvements, toux, respiration, palpation
Soulagée par repos, immobilité, analgésiques
Echymoses, tuméfactions, reproduit par palpations ou mouvements
Tension musculaire localisée
Traumatique avec dyspnée ou altération des signes vitaux
Tests normaux sauf si lésions traumatiques (fx costales, pneumothoraxt, hémothorax)
Dissection aortique ou syndrome aortique aigu (SAA)
Très rare
Homme + 60ans, HTA, diathèse fam SAA+ syndrome marphan, maladie valvulaire aortique
Subit/quelques heures à jours, mortalité
Douleur intense (pire à vie), transfixiante, déchirante, migratoire, irradiation dorsale
Hypotension, déficit de pouls, déficit neurologique, souffle aortique, dyspnée importante, perte de conscience, épanchement péricardique à l’EDU
Médastin élargi à la Rx pulmonaire. D-dimères augmentés, angio-CT thoracique
Douleur thoracique d’étiologie indéterminée (DTEI)
Présence d’un seul critère des trois suivants
-Douleur thoracique dont la localisaiton touche une partie du sternum
-De type constrictive (viscérale)
-Apparait à l’effort et qui est soulagée par le repos ou la prise de nitroglycérine après quelques minutes
Sinusite/rhinite
Complication d’une IVRS, parfois saisonnier ou secondaire à des anomalies prédisposantes
Congestion nasale de plus de 10 jours sans amélioration ou détérioration après une amélioration
Céphalée, obstruction ou congestion nasale, algies faciales ou dentaires, rhinorrhée antérieure ou postérieure, fièvre hyposmie ou anosmie
Fièvre, palpation ou percussion des sinus
Céphalée intense, fièvre élevée, oedème ou rougeur de la peau du visage, diplopie ou autres symptômes d’atteinte neurologique
Asthme
Jeune âge, ATCD d’asthme, exposition à un allergène, infection virale, dyspnée d’effort, mauvaise observance
Symptômes intermittents, précipités par facteurs provoquants, soulagé par bronchodilatateurs
Toux irritative souvent nocturne, dyspnée, wheezing
Sibilances, temps expiratoire allongé (bronchospasme)
Altération de l’état de ocnscience, désaturation, baisse du murmure vésiculaire, fatigue respiratoire
RGO
Obésité, alimentation, tabac
Chronique
Toux irritative souvent nocturne ou matinale, régurgitation acide, pyrosis post-prandiale dyphagie, provoqué par la prise de certains aliments ROH, aliments gras, café, chocolat
Soulagé par les antiacides ou IPP
Examen physique souvent normal
Perte de poids, dysphagie sévère, hématémèse, méléna, anémie, vomissements persistants
Oesophagite à la gastroscopie
Bronchite chronique
Plus de 50 ans, histoire de tabagisme chronique
Toux plus de 3 mois sur 2ans
Toux productrice d’expectorations, embarras bronchique, dyspnée d’effort
Thorax en tonneau, baisse du murmure vésiculaire diffus, ronchi
VEMS < 50 %, score mMRC >2, CAT score>10, >2 exacerbations ou admissions/année
Tuberculose
Séjour en zone endémique, immuno-supression, VIH, néoplasie, chimioTx, corticoTx, immunosuppresseurs
Progressif, jours-semaines
Expectorations mucoïdes, parfois hémoptysies
Rarement atteinte systémique: plèvre, péricarde, os, foie, méninges, surrénales, génito-urinaire
Aucun signes clés
Baisse de l’état général, fièvre, perte de poids
MPOC
Si asthme=jeune âge, décompensation respiratoire en raison d’un environnement malsain ou par non-compréhension de la maladie ou non-osbservance au traitement
Tabagisme (plus de 30 paquets années)
Toux productive chronique (>3 mois pendant >2ans), toux nocturne, toux ou dyspnée à l’effort, au contact à l’air froid, d’allergènes, d’infections respiratoires ou de substances irritantes
Thorax en tonneau, respiration bruyante (wheezing ou râles), tirage, temps expiratoire augmenté, baisse du murmure vésiculaire et la présence de sibilances ou de ronchi
Syndrome obstructif aux tests de fonction respiratoires
Trappage (trapping) d’air ou aplatissement du diaphragme à la radiographie pulmonaire
Résultat sanguin dépend sévérité= insuffisance respiratoire si très grave
Cancer du poumon
Dyspnée progressive chronique avec atteinte de l’état général
Facteurs de risque: âge, tabagisme
Symptômes résultent de:
1) Croissance tumorale locale= toux, dyspnée, douleur thoracique, hémoptysies, pneumonies obstructives
2) Extension régionale (adénopathies, épanchement pleural, enrouement de la voix par atteinte du nerf récurrent laryngé, syndrome de la veine cave supérieure, syndrome de pancoast
3) Atteinte de l’état général: fatigue, sudations nocturnes, perte de poids
4) Atteinte à distance par métastases: foie, os, cerveau, surrénales
5) Syndrome paranéoplasique: hypercalcémie, thromboses veineuses, hyponatrémie, syndrome de cushing, hippocratisme digital, syndromes neurologiques
Cancer apparait sous forme d’une infiltration pulmonaire, épanchement pleural, syndrome régional (pancoast, veine cave supérieure, paralysie corde vocale) ou métastases à distance
Ulcère gastrique ou duodénal
Douleur soulagée après avoir mangé
Douleur comparée à une brûlure, à des tiraillements ou parfois à une sensation de faim, inconfort
Douleur très fréquente, localisée à l’épigastre (haut et milieu de l’abdomen)
Lésion ronde ou ovale de la muqueuse de l’estomac ou du duodénum
Spasme diffus de l’oesophage
Trouble des ondes rythmiques des contractions musculaires (péristaltisme) de l’œsophage
Douleur thoracique (au niveau du sternum) et troubles de la déglutition
Oppression rétrosternale, peut apparaître pendant les efforts ou l’activité physique
Laryngite
Rougeur et inflammation de la gorge, sécrétions purulentes près du pharynx ou des amygdales, perte d’appétit
Si virale: symptômes typiques du rhume, comme écoulement nasal, toux et fièvre, voix enrouée
Rhinorrhée postérieure
Écoulement en provenance du nez
S’écoule dans la gorge, surtout en position couchée
Écoulement de sécrétions, claires ou infectées
Syndrome du nez qui coule
Rhinite
Éternuements, un écoulement nasal, une obstruction nasale unilatérale ou bilatérale, un prurit nasal, une baisse de l’odorat, des douleurs du milieu du visage, des saignements
Peut exister un larmoiement des yeux
Épanchement pleural
Présence anormale de liquide dans la cavité pleurale
Liquide génère alors une pression sur les poumons, un affaissement pulmonaire et donc des difficultés respiratoires
Douleurs thoraciques et un essoufflement (dyspnée)
Douleur pleurétique peut être continue et s’intensifier lors d’un effort physique, d’une toux ou d’une position allongée. Ou elle ne peut se manifester qu’à l’effort ou lors de la toux. Elle peut être localisée à la paroi thoracique ou irradier au niveau de l’épaule, du cou et de l’abdomen
Fatigue, fièvre, toux sèche
Douleur pleurale
Sensation douloureuse au niveau du thorax provoquée par la respiration
Généralement bien localisée, sous forme d’élancement
Exacerbée par la toux, l’éternuement ou la respiration profonde
souvent accompagnée de dyspnée
Douleur ressemble à: pneumothorax, l’infarctus du myocarde, la péricardite ou la cholécystite
Souvent due à frottement entre la plèvre pariétale et viscérale
Dyslipidémie
Groupe de maladies qui incorpore divers troubles génétiques et acquis qui décrivent des niveaux élevés de lipides dans le corps humain
Causée souvent par: diabète, l’insuffisance rénale chronique, le syndrome néphrotique, l’hypothyroïdie, l’âge, la sédentarité, manger bcp graisses
Facteurs de risques: obésité, antécédents familiaux, diabète sucré, tabagisme, sédentarité, mauvaises habitudes alimentaires, alcoolisme, asymptomatique
aucun signe clinique la plupart du temps, xantomes, xanthelasmas, arcs juvéniles, s’il y a MVAS: souffle artériel, pouls périphériques diminués, MVAS (claudication, extrémités froides), MCAS (angor, OTP, DPN, OMI)
Xanthélasma
Dépôt bénin, fréquent, de plaques plans blanchâtres et/ou jaunâtres, correspondant à des dépôts lipidiques au niveau des paupières supérieures et inférieures
HTA
Céphalées, étourdissements, vertiges, acouphènes, vision altérée, syncopes, diaphorèse
Symptômes d’AVC incluant un mal de tête, une faiblesse des membres ou du visage, un trouble du toucher ou un trouble de la parole, des déficits fonctionnels et cognitifs apparaissant de façon abrupte ou séquentielle sont associés à la démence vasculaire ou mixte, des symptômes d’encéphalopathie hypertensive dont des anomalies visuelles, des céphalées et des convulsions, douleur rétro-sternale d’effort ou une dyspnée associées à la maladie coronarienne athérosclérotique (MCAS) ou l’insuffisance cardiaque, claudication intermittente associée à une maladie artérielle périphérique, oligurie associée à l’insuffisance rénale
URGENCE:
une fatigue, une faiblesse
des céphalées
une douleur rétro-sternale, des palpitations
une dyspnée, une orthopnée
une oligurie
des vomissements, des étourdissements
des paresthésies, une perte d’équilibre des altérations de la vision
SECONDAIRE:
une toux et une dyspnée dans le contexte d’un oedème pulmonaire causé par l’hypertension rénovasculaire
une fatigue diurne, des ronflements et des épisodes d’apnée durant le sommeil en cas d’apnée obstructive du sommeil
une rougissement, des céphalées, une hypotension orthostatique, une diaphorèse, des syncopes et des attaques de panique en cas de phéochromocytomes
une intolérance au froid ou à la chaleur, une constipation, des diarrhée et un cycle menstruel anormal en cas de trouble thyroïdien
Abcès pulmonaire
Toux productive, de la fièvre, des sueurs nocturnes et un amaigrissement, atteinte état général hémoptysie, douleur thoracique pleurétique
Les crachats peuvent être purulents ou hémoptoïques et ont une odeur ou un goût habituellement fétides
Anxiété avec hyperventilation
Augmentation de la fréquence respiratoire et/ou par une augmentation de l’amplitude des mouvements respiratoires
– une impression de manquer d’air (rarement en relation avec l’effort)
– une oppression thoracique
– une sécheresse buccale
– des coups de chaleur ou de froid
– une moiteur des mains
– des palpitations cardiaques (accompagnée, parfois, d’une arythmie importante)
– des picotements, des fourmillements ou des sensations d’endormissement au niveau des extrémités (pieds, mains)
– une ankylose des bras (engourdissement, raideur)
– des crampes musculaires
– des douleurs thoraciques (mimant parfois l’angor7) ou abdominales
– des céphalées
– une sensation de faiblesse et de fatigue
– des difficultés de concentration
– des étourdissements, des vertiges
– une sensation de perdre conscience (allant parfois jusqu’à la syncope)
– de l’irritabilité
– un état dépressif
– de l’anxiété, des crises de panique, des phobies
– des insomnies, des réveils nocturnes (parfois avec sensation d’étouffement et/ou transpiration abondante)
-tachycardie