Perso Flashcards

1
Q

Quelles sont les trois composantes importantes en travail social?

A

Savoir, savoir-être, savoir-faire

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2
Q

Quel est le principe numéro un en intervention?

A

Savoir douter pour ne pas nuire (Que la situation de la personne ne se détériore pas).

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3
Q

De plus en plus, les problèmes se transforment en …. et en …., les problèmes reposeraient sur des ….

A

maladies, déviances, défaillances individuelles.

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4
Q

Que doit-on faire pour créer un climat de confiance?

A

Poser des questions ouvertes, privilégier le COMMENT du pourquoi (provoque des réactions de défense) et éviter les questions fermées et trop inquisitrices. Adapter notre vocabulaire selon le client.

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5
Q

Quel est l’abduction?

A

Déduction et induction. C’est une façon de réfléchir, voire d’enquêter, qui se fonde sur des hypothèses librement mais très systématiquement élaborées à partir de constats tirés de l’observation. Principe par élimination pour qu’il en reste une qui est la plus solide. L’abduction consiste à supputer ce qui est possible; Je suis mortel. Tous les humains sont mortels. Donc je suis possiblement un humain

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6
Q

Qu’est-ce-que la sagacité?

A

Heureux mélange de jugement critique, logique et imagination qui permet de voir les choses sous un autre angle.

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7
Q

Quel est la déduction?

A

Principe général avéré (Tous les humains sont mortels) et appliqué à un cas particulier (Je suis un humain) pour tirer une conclusion (Je suis donc mortel).

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8
Q

Quel est l’induction?

A

L’induction qui est inverse part d’un cas particulier (Je suis un humain), auquel une caractéristique est attribuée (Je suis mortel), pour tirer une hypothèse général (Les humains seraient donc mortels). L’induction n’est jamais certitude absolue, c’est une probabilité.

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9
Q

Quelle question permet de contrer la résistances des personnes non volontaires?

A

Comment vous vous êtes retrouvés là?

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10
Q

Qu’est-ce qui constitue un préalable pour résoudre un problème?

A

Comprendre la façon dont la personne vit le problème et comment elle le conçoit.

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11
Q

Pourquoi dit-on que les problèmes sociaux sont socialement construits?

A

car ils prennent leur sens dans une trame de vie personnelle , familiale et sociale qui leur donne toute leur signification et leur résonance. Un problème s’enracine dans des faits, mais ce sont les réactions à ces faits qui le transforme en un problème

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12
Q

De quoi a-t-on besoin pour poser les bonnes questions?

A

Curiosité intellectuelle et faculté à trier et interpréter l’information

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13
Q

Combien de temps cela prend pour bien évaluer une situation?

A

Beaucoup plus de temps que vous ne le croyez.

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14
Q

Quelles sont les 3 façons de tester une hypothèse?

A

Covariation ou corrélation (une cause et effet présumés se rencontrent ensemble- quand un fait est présent, l’autre aussi), la préséance temporelle (même cause est clairement identifiable comme survenant toujours avant l’effet), l’élimination d’hypothèses alternatives (après vérification que parmi toutes les explications possibles, l’une résiste mieux aux faits)

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15
Q

Quel est souvent le principal motif de consultation?

A

Symptôme

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16
Q

Qu’est-ce-que l’insight?

A

découverte soudaine d’une solution par une réorganisation des éléments constitutifs d’un problème.

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17
Q

Quelle est la définition de l’intervention en situation de crise?

A

: La crise marque une période de déséquilibre chez une personne ou une famille confrontées à un événement ou un problème important, déstabilisant ou envahissant pour elles, problème qui ne peut être évité ni résolu à court terme avec leurs réactions ou ressources habituelles.

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18
Q

En situation de crise, nous devons privilégier des solutions à …. terme

A

très court terme, puis à long terme

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19
Q

Doit-on trouver les origines ou les causes d’un problème?

A

Origines (contexte, circonstances que le problème ets apparu), RACONTEZ-MOI comment ça se passait avant le problème?

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20
Q

On dit que les conditions de vie parlent beaucoup, de quelle façon pouvons-nous s’en rendre compte?

A

parfois nécessaire d’aller directement au domicile pour voir véritablement.

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21
Q

Le … n’est pas le….

A

symptôme, problème

22
Q

La … n’est pas son …

A

personne, comportement

23
Q

Qu’est-ce qu’un symptôme?

A

Une façon malhabile, mais qui fait des résultats à court terme, de régler un problème. Le symptôme est parfois même une solution qui empêche tout changement en cristallisant une réaction inappropriée.

24
Q

Qu’est-ce qu’un délit?

A

Le délit est un comportement doté de résultats et rationnel.

25
Q

Qu’est-ce que l’effet Pygmalion?

A

cela amène à surestimer la performance des gens.

26
Q

Qu’est-ce que l’effet Golem

A

se produit quand l’etiquetage conduit à sous-estimer leurs capacités.

27
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’étiquetage?

A

un comportement devient déviant car les gens le désignent comme tel, une personne est déviante car elle a posé ce comportement et on y acolle cette étiquette. Réduction de l’individu à certains attributs ou actes.

28
Q

Quelles voies la stigmatisation sociale peut-elle emprunter?

A

Celle du regard des autres et du regard que porte la personne envers elle-même.

29
Q

Dans le plan d’intervention, le but général doit être en relation directe avec quoi?

A

Avec le problème et les symptômes

30
Q

Les objectifs spécifiques permettent de quoi?

A

de fractionner et de concrétiser ce qui doit être fait pour réaliser le but général. Il s’agit souvent d’agir sur des facteurs de vulnérabilité (pour les amenuiser) et/ou des facteurs de protection (pour les rehausser)

31
Q

Quels sont les stratégies ou ressources?

A

Les moyens mis de l’avant, ex; une rencontre aura lieu avec l’intervenante, le client et sa famille…

32
Q

Qu’est-ce que l’échéancier?

A

Le délai imparti pour chaque action à faire.

33
Q

Les résultats doivent être évalués par des indicateurs qui se caractérisent de quoi? (3)

A

concrets, visibles, mesurables.

34
Q

Décrit-moi l’analyse stratégique.

A
  1. Contexte se présente (opportunités, circonstances) + rationalité (motivation, besoins, raisons).
  2. Finalité visées (résultats escomptés), questionnement sur les risques et conflits, gains vs pertes.
  3. Choix d’agir.
  4. Résultats obtenus (pas toujours attendus)
  5. Quand les pertes dépassent les gains, ouverture pour l’intervention.
35
Q

Pourquoi dit-on que l’aidant est comme un détective?

A

consiste à comprendre les mobiles et logiques qui se profilent derrière des conduites en apparence folles

36
Q

Quand est-ce qu’une conduite peut-elle devenir problématique?

A

Les conduites humaines visent des résultats positifs pour les personnes qui les posent. Cela peut devenir problématique dans le choix des comportements (préjudiciables pour soi ou autrui) et dans le décalage entre les fins visées et les résultats atteints

37
Q

En quoi consiste un recadrage?

A

Poser le problème d’une façon à ce qu’on puisse voir une solution. D’abord, il faut comprendre le problème (faire comprendre à l’autre le problème selon une nouvelle vision), pouvoir le régler autrement. Reconstituer la réalité autrement, on lui donne une autre signification d’une façon à ne pas blâmer, stigmatiser la personne, ouvrir les esprits.

38
Q

Quelles sont les caractéristiques d’un bon recadrage?

A

plausible, porteur de résilience de d’espoir (trouver des solutions constructives aux problèmes) et libérateur de tensions.

39
Q

Le recadrage doit être centré sur quoi?

A

Sur la personne, sur sa cognition à elle.

40
Q

Qu’est-ce que la résilience?

A

capacité à s’extirper de ses problèmes malgré des circonstances adverses, capacité de rebondir, capacité de faire face à l’adversité. La résilience est comme un processus de resaississement de soi, il y a une recherche d’équilibre, la personne va contrer ses facteurs de vulnérabilité par des facteurs de protection. Le résiliant recherche activement un nouvel équilibre en misant sur ses compétences et forces et se définie par des projets de vie plutôt que par le passé

41
Q

Qu’est-ce que l’empowerment?

A

; il faut encourager la capacité d’agir sur leur propre devenir afin de ne plus se sentir la victime passive des événements ou des autres. C’est une conscientisation qui instaure un rapport différent à soi et aux autres et une résistance aux idéologies. Pour améliorer ses conditions, un changement dépassant le cadre de sa propre situation est souvent requis, donc besoin de s’allier (actions collectives). Appel au changement social (conscientisation critique, participation à la vie citoyenne et démocratie).

42
Q

Pourquoi la question qu’est-ce qui se passait quand ça allait bien est importante?

A

Demander à la personne de nous parler des choses qui vont bien, qui ont déjà été bien dans sa vie, souvenir d’un moment heureux (Ex de la femme itinérante avec plusieurs difficultés qui aimait tricoter). Il y a des moments durant lesquels les problèmes se trouvent comme mis entre parenthèses. Savoir que cela est possible et comprendre dans quel contexte ça se produit encourage le changement à long terme. Mettre l’accent sur le potentiel des gens et travailler avec les forces

43
Q

Définie ce qu’est un facteur de vulnérabilité ou de risque.

A

EST UNE VARIABLE QUI DÉSIGNE UNE FACULTÉ, UNE EXPÉRIENCE OU UNE CONDITION DE VIE (QU’ELLE SOIT PERSONELLE, FAMILIALE, ÉCONOMIQUE, SOCIALE OU ENVIRONNEMENTALE) QUI ACCENTUE LA POSSIBILITÉ OU LA PROBABILITÉ D’ÊTRE EXPOSÉ À UN PROBLÈME OU À UN RISQUE, ET D’EN SUBIR DES SÉQUELLES.

44
Q

Définie le facteur de protection ou de résilience.

A

EST UNE VARIABLE QUI DÉSIGNE UNE FACULTÉ, UNE EXPÉRIENCE OU UNE CONDITION DE VIE (QU’ELLE SOIT PERSONELLE, FAMILIALE, ÉCONOMIQUE, SOCIALE OU ENVIRONNEMENTALE) QUI RÉDUIT LA POSSIBILITÉ OU LA PROBABILITÉ D’ÊTRE EXPOSÉ À UN PROBLÈME OU À UN RISQUE, ET D’EN SUBIR DES SÉQUELLES.

45
Q

Qu’est-ce que la désistance?

A

: Chez les auteurs de méfaits ou d’actes criminels, le concept de résilience peut être associé à celui de désistance, notamment utilisé en criminologie. Définie comme l’abandon, graduel ou subit, de certaines conduites, la désistance est aussi le fruit d’un processus . Les concepts de désistance et de résilience sont certes différents, mais la résilience s’inscrit naturellement dans le prolongement de la désistance et renforce même cette dernière. Car cesser de faire quelque chose ne permet pas de trouver réponse aux besoins qui étaient comblés par ladite activité. En mettant l’accent sur les facteurs internes (ses valeurs et le développement de compétences, par exemple) et externes (un meilleur soutien et de nouvelles opportunités sur le plan social, par exemple) soutenant un processus de désistance , nous sommes déjà sur la voie de la résilience. Cette dernière implique justement un processus de reconstruction de soi. Dans le cheminement qu’elles impliquent, désistance et résilience peuvent non seulement être complémentaires mais se recouper.

46
Q

Qu’est-ce que le théorème de Thomas?

A

la définition d’une situation tend à dicter la réaction devant cette situation. Donc, importance de la subjectivité devant notre manière de réagir. L’individu se construit à travers la cognition et ses relations avec autrui.

47
Q

Qu’est-ce qu’une réorganisation cognitive?

A

on ne ressent plus les choses de la même manière parce qu’elles ne se présentent plus de la même manière (Ex de Renée qui en veut à sa mère qui s’est éloignée d’elle en fin de vie pour la préserver).

48
Q

Qu’est-ce qu’une conception contrustiviste?

A

suppose que la réalité est construite, c’est la représentation subjective d’un événement qui dicte nos réactions face à lui.

49
Q

les individus interagissent selon quoi?

A

Le sens donné aux situations.

50
Q

Qu’est-ce que la perspective émotivo-rationnelle?

A

est que nos croyances nous amènent à interpréter ce qui nous arrive, ces interprétations génèrent des émotions qui dictent nos réactions. Le rôle de la personne est d’amener la personne à traverser les aléas de l’existence sans s’autodétruire ni se discréditer elle-même par des pensées et des émotions trop négatives, mais en percevant plutôt les efforts de dépassement de soi que les événements exigent d’elle.

51
Q

Quel est le rôle d’un recadrage?

A

de déstabiliser un instant la personne sur le plan cognitif pour lui faire perdre ses repères ou ses réflexes habituels, lui permettant de voir autrement le problème confronté.