Partie 3 Flashcards
Définition d’un cycle
Chemin fermé sans répétition d’arêtes
Définition d’un cycle minimal
Cycle sans répétition de sommets
Définition d’un circuit
Ensemble des arêtes d’un cycle minimal
Définition d’une coupe
Ensemble des arêtes joignant les deux parties d’une partition V = A ⨄ B
Définition d’un co-circuit (ou coupe minimale)
Coupe qui n’est pas incluse dans une autre coupe
Propriété partagée par les circuits et les co-circuits
Ils sont incomparables par inclusion
Propriété des coupes minimales (énoncé)
Une coupe est minimale si et seulement si G[A’] et G[B’] sont des sous-graphes connexes de G, où A’ et B’ sont les sommets de A et B extrémités d’arêtes de la coupe respectivement
Propriété des coupes minimales (schéma de preuve)
Si une des deux partitions est partagée en plusieurs composantes connexes, il est possible de faire rentrer l’autre partition dans celle-ci afin d’obtenir deux partitions connexes
[A1] [B] [A2] → [A1] [B ∪ A2]
Définition d’un arbre couvrant
Sous-graphe sans cycle (arbre) qui connecte tous les sommets entre eux
Définition d’une forêt couvrante
Union d’arbres couvrants de chaque composante connexe
Définition d’une base
Ensemble des arêtes d’un arbre couvrant ou d’une forête couvrante
Définition d’une cobase
Complémentaire dans E d’une base
Propriété des arbres couvrants
Tous les arbres couvrants ou forêts couvrantes d’un graphe ont le même nombre d’arêtes, on l’appelle le rang
Formule du rang d’un graphe
r(G) = |V| - c(G) où c(G) est le nombre e composantes connexes de G
Définition d’un graphe planaire
Graphe qui peut être dessiné dans le plan sans croisement, c’est-à-dire de sorte que :
- toute arête est représentée par une courbe du plan affine
- deux arêtes distinctes ne se rencontrent pas sauf en leurs potentielles extrêmités communes
Définition d’un plongement
(G, σ) est un plongement de G (ou G est un graphe sous-jacent de (G, σ)) si c’est une classe d’équivalence de dessins de G sur la sphère ou dans le plan
Définition de l’équivalence pour deux dessins
Deux dessins d’un graphe planaire représentent le même plongement (sont équivalents) si on peut passer de l’un à l’autre continuement en les considérant sur une sphère
Unicité du plongement d’un graphe planaire
Le plongement d’un graphe planaire n’est en général pas unique
Définition du plongement dual
(G, σ)* le plongement dual de (G, σ) est (G’, σ’) défini et dessiné tel que :
- les sommets de G’ sont les régions délimitées par le dessin de (G, σ)
- les arêtes de G’ sont en bijection avec les arêtes de G telles que chaque arête séparant deux régions de (G, σ) est une arête reliant deux sommets de (G’, σ’)
Plongements dual de deux dessins d’un même plongement
Les dessins obtenus avec les duaux de deux dessins d’un même plongement sont équivalents (appartiennent au même plongement dual)
Composition de dualité de plongement
- Pour un graphe planaire connexe, ((G, σ)*)* = (G, σ)
- Pour un graphe planaire non-connexe, ((G, σ)*)* est connexe avec un sommet de chaque composante connexe confondu en un seul sommet
Définition d’un isthme
Arête qui déconnecte le graphe si elle est supprimée
Correspondance d’éléments entre le plongement et son dual
- Isthme dans le plongement → boucle dans le dual
- Boucle dans le plongement → isthme dans le dual
- Plongement arbre → dual constitué de boucles
Correspondance d’éléments entre G et G’ où (G’, σ’) est le dual de (G, σ) plongement de G (énoncé)
- Circuit de G → cocircuits de G’
- Cocircuit de G → circuits de G’
- Bases de G → cobases de G’
- Cobases de G → bases de G’