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Modèle d'intervention > partie 1 > Flashcards

partie 1 Flashcards

1
Q

Intervention?

A

consiste à “apporter un changement à une situation problématique”.
SUPPOSE:
-un problème/besoin
-un cadre institutionnel: juridique, légal…
-rapport d’autorité
-pratique d’intervention (selon le cadre inst.)

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2
Q

intervention se base sur quoi?

A

besoins, milieu d’intervention, les problématiques connues, des outils, en groupe ou seul, âge, sexe,etc.
Dépend des modèles choisi!

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3
Q

Modèle d’intervention?

A

S’inscrit dans une théorie explicative plus globale. Chacun orientent les interventions et les formes de relation pour agir sur le problème.
APPROCHE: c’Est un savoir-faire qui aborde un thème dans un modèle. Ex. approche de réduction des méfaits.

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4
Q

4 orientations théoriques: sont 4 conceptions différentes de l’homme.

A 
1- existentielle - humaniste
2- analytique-
 psychodynamique
3- cognitive ou behaviorale
4- systémique ou interactionnelle
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5
Q

Qu’est-ce qu’un besoin?

A

PAS UN PROBLÈME.
“c’est l’écart entre la situation idéale et la situation présente”.
-un manque, un déséquilibre, une carence, un écart…

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6
Q

LEs problèmes… VISIBLES

A

comportement, états, phénomènes, etc…

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7
Q

LES causes, facteurs de risques….INVISIBLES

A

santé, éducation, valeurs, expérience, trauma, contexte social-familial, croyances, connaissances, émotions, savoir-être, etc.

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8
Q

DUALITÉ PÉNALE:

A

punition et réinsertion;

  • tradition rétributive = la sanction, punition donne sentiment de justice, rééquilibre.
  • tradition utilitariste = la sanction a une visée utilitariste de dissuasion, neutralisation et réinsertion.
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9
Q

2 CONTEXTES à l’intervention

A

formelle et informelle

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10
Q

MODES D’INTERVENTION

A

seule
groupe
famille/couple

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11
Q

COMPOSANTES: l’intervenant

A 
savoir-...
théorique:connaissance
faire: compétences, habiletés
être:empathie, valeurs, attitudes
dire:expliquer les raisons des actions entreprises.
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12
Q

COMPOSANTES: l’usager

A 
caractéristiques
ses délits
ses risques: de récidives, de violence,...
ses besoins
sa motivation
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13
Q

COMPOSANTES: mesures

A

légales, implique un contrôle partiel, temporaire, total…

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14
Q

COMPOSANTES: méthodes

A 
le SAVOIR_FAIRE, les moyens et techniques utilisés, toutes ayant un OBJECTIF précis :
entrevue
confrontation
récompense-punitions
...
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15
Q

PHASE DE INTERVENTION:

A

1-Syntonisation: bilan, synthèse, contexte…
2-Début : accueil, évaluation, planification et plan d’intervention
3-Travail : interventions directes et indirectes
4-Terminaison : évaluation des résultats et suite.

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16
Q

FACTEURS DE RÉUSSITE

A

1- FACTEURS EXTRA-THÉRAPEUTIQUE; circonstance de la demande d’aide, MOTIVATION(!), forces, entourage, soutient, appartenance, emploi, etc…
2- Facteurs liés aux relations; lien thérapeutique
3-espoir et attentes de changement, le susciter
4-modèle et approche choisis, s’ils sont adaptés au contexte, à la personne, aux objectifs…

17
Q

IMPACT DES PRÉJUGÉS

A

-Opinion préconçue et discrimination (dans les domaines du logement, de l’emploi…)
Sentiments négatifs envers soi-même (auto-préjugés), ex : croire les stéréotypes négatifs générés par la société et les médias, les intérioriser.
Tendance à éviter de demander de l’aide et à cacher les symptômes ou les problèmes
Isolement social ou restriction du réseau de soutien social
Pauvreté
Dépression
Impression qu’il est impossible que la situation s’améliore

18
Q

ORIENTATION existentielle-humaniste

A

conception où l’homme est capable d’autonomie dans son développement, de se réaliser par lui-même. il se connait.

19
Q

ORIENTATION psychodynamique

A

Nos comportements font l’objet d’un déterminisme inconscient. introspection pour résoudre nos conflits insconscient.

20
Q

ORIENTATION cognitive behaviorale

A

L’homme est passif, et l’environnement l’influence. Nos comportement sont dictés par nos pensées qui sont appris par renforcement.
apprentissage, renforcement et conditionnement pour modifier nos comprotemnet.

21
Q

ORIENTATION systémique interactionnelle

A

Nos interactions avec l’environnement détermine nos comportement (système relationnel).
Modifier les conditions dans l’environnement pour modifier nos comportement.

22
Q

Quelles sont les deux théories à la base du modèle cognitivo-comportemental ?

A

1- Théorie classique de l’apprentissage (behavioriste). LE MONDE AGIT AGIT, CONDITIONNE NOS COMPORTEMENT.
2- théorie sociale cognitive - Bandura

23
Q

Théorie classique de apprentissage
ou
thérapie comportementale/behaviorale

A

Mots clés : Conditionnement, Renforcement direct, Discrimination. Watson,
PAVLOV: conditionnement par association de stimulus = apprentissage cpt répondant, lié à la FRÉQUENCE.
SKINNER: distinction entre le cpt répondant et opérant. Cpt opérants= modifiés par leurs CONSÉQUENCE. punition /récompense.
Lien entre cpt + gain positif = répétition du cpt.
JEFFREY : cpt anti-social dépend de la balance des gain-coûts.

24
Q

théorie sociale cognitive - BANDURA

A

Mots clés : observation, imitation, Renforcement vicariant=indirect. On apprend même si le gain n’est pas à nous, seulement observé.
PROCESSUS COGNITIF détermine aussi nos cpt.

25
Q

COgnitions et conduites marginales

A
  • exposer le réel impact de la consommation: ça fait plus de mal que de bien. Constater.
26
Q

OUTILS: chaîne comportementale

A

** expose les raisons et cognitions sous-jacentes au comportement
situation
pensée
émotions
signes physiques
comportement
**Conséquence pour soi… généralement positive!

27
Q

Quelles est la distinction entre un conditionnement répondant et un conditionnement opérant ?
Exemple.

A

Répondants: par association fréquente de stimulus.

Opérants: par observation de gain-punition (la conséquence), puis imitation

28
Q

Quel est le principal mécanisme d’apprentissage d’une comportement opérant ?

A

Renforcement (récompenses/punition) :
Positifs-ajoute
Négatifs-enlève

29
Q

Quelle est la conséquence du comportement?

A

L’ajout d’un stimulus (positif)

le retrait d’un stimulus (négatif)

30
Q

FELDMAN : théorie conduite antisociale

A

Basée sur la théorie de l’apprentissage social et les travaux de Bandura. Sur PASSAGE à l’ACTE.

  • Acquisition: processus par lequel une personne devient un criminel
  • Actualisation: dépend des occasions, incitations
  • Maintien: balance décisionnelle, résultat de l’analyse des coûts/bénéfices
  • Abandon: la balance a changé, il y a plus de coûts.
31
Q

Balance décisionnelle:

A

les gains et perte joue sur le maintient ou la cessation de cpt antisociaux.

  • élargie la logique simple de gain en ajoutant les coûts, tient compte de la morale, du jugement, et aide ultimement aux choix pro-sociaux.
32
Q

AKERS et la conduite antisociale

A

Association différentielle: interaction, exposition à des valeurs anti ou pro sociales.
Attitudes : les croyances et cognitions derrières nos cpt.
Renforcement différentiel:
Imitation: par observation de gains, modifi cpt pour même gains.

33
Q

EX. interventions en TCC?

A 
Entraînement aux habiletés sociales
Entraînement à la maîtrise de colère
Entraînement à la gestion du stress
Entraînement à la résolution de problèmes
Développement de l’empathie
Développement du raisonnement moral
34
Q

CYCLE motivationnel

A 
pré-contemplation :ni problème
contemplation:envisage de changer
préparation: prêt à changer... en parle
action: fait les actions
maintient : renforcement, prévention de la rechute...
**rechute ou non....
35
Q

Intervention en situation de crise?

A 
APPAISSEMENT!
résumer
écouter
reformuler
informer clairement
36
Q

Intervention en gestion de la colère?

A

outils:
chaine de comportement:
Thermomètre de la colère, échelle pour reconnaitre juste avant qu’on éclate, notre seuil de tolérance.
Renforcement sur l’impact NÉGATIF de la colère: on se sent mal, va pas mieux, pas une solution à long terme….

37
Q

MODÈLE HUMANISTE

A 
**égal à égal
L'intervenant:
-croit en les compétences du client
-n'est pas expert
-regard positif
-guide, oriente
-compréhension empathique
-favorise choix du client, ses besoins, ses motivations, ses problèmes.
*** pour changer, il doit voir lui-même les motivations et raisons d'être = bcp plus signifiant

 Engagement affectif dans son changement
 Motivation à changer: intrinsèque, issue de ses
besoins de croissance personnelle
 reconnaissance de la valeur subjective des
connaissances; déterminé par la qualité de
l’engagement personnelle du client
 Le changement comme processus de développement
personnel.

OUTILS:
exercices sur les valeurs, hiérarchisation
approche motivationnelle.

Modèle d'intervention (2 decks)

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