PARTIE 1 Flashcards
Qu’est-ce qui est atteint si les tests de l’épaule suivants sont positifs
- Arc douloureux
- Mouvementa actifs et passifs limités
- Rotation externe contre résistance
- Gerber lift off (main dans dos)
- Manoeuvre de Jobe
- Test de Speed (palm-up)
- Manoeuvre de Neer
- Manoeuvre de Hawkins
- Manoeuvre de Yocum
- Manoeuvre du foulard
- Manoeuvre d’instabilité
- Syndrome d’accrochage sous-acromial
- Pathologie intra-articulaire
- Infra-épineux et petit rond
- Subscapulaire
- Supra-épineux
- Long biceps
7, 8 et 9. Syndrome d’accrochage sous-acromial - Articulation acromion-claviclaire
- Instabilité glénoïdale-humérale antérieure
Classer les muscles selon leur insertion sur l’humérus proximal (tubercule majeur et mineur)
TUBERCULE MAJEUR
- Infra-épineux
- Supra-épineux
- Petit rond
- Grand pectoral
TUBERCULE MINEUR
- Subscapulaire
- Grand dorsal
Définition de la capsulite
épaississement/fibrose de la capsule articulaire occasionnant perte de mobilité active et passive
La capsulite touche surtout les ______ de ___ à ___ ans
femmes
50 à 70
Facteurs de risque de la capsulite
- Emploi sédentaire
- Immobilisation prolongée
- Diabète !!!
- AVC
- Blessure (trauma ou post-chirurgie)
La capsulite touche en majorité le bras dominant ou le bras non-dominant
Bras non dominant
Nommer et décrire les 3 stades de la capsulite
- Freezing : 2-9 mois
- phase initiale
- douleur prédominante qui exacerbe la nuit
- restriction graduelle ROM
- Frozen : 4-12 mois
- raideur et limitation persistante
- moins de douleur que phase initiale
- Décongélation : 12-42 mois
- phase de récupération
- retour graduel ROM
Ordre de perte des mouvements dans capsulite + particularité de la récupération de ceux-ci
- Rotation externe
- Abduction
- Rotation interne
Reviennent dans l’ordre inverse
Particularité à l’imagerie dans la capsulite
Normale
Traitement capsulite
- Éducation du patient et gestion de la douleur
- INJECTION DE CORTICOSTÉROÏDES dans articulation gléno-humérale
Complications capslite
Fracture ou déchirure tendon
Douleur ou raideur résiduelle
Dans la tendinopathie de la coiffe des rotateurs de type rupture, quel muscle/tendon est atteint et quel test clinique est positif
Supra-épineux
Manoeuvre de Jobe
Dans la tendinopathie de la coiffe des rotateurs de type rupture, quel est le mécanisme lésionnel chez les jeunes et chez les personnes âgées
Jeunes : rupture traumatique (RARE) = urgence chirurgicale
Personnes âgées : dégénératif
Physiopathologie simplifiée tendinopathie calcifiante (différentes étapes)
Processus actif à médiation cellulaire de métaplasie cartilagineuse en réaction à un environnement biologiquement actif
- Précalclification : métaplasie fibrocartilagineuse dans endroits moins vascularisés du tendon
- Calcification
- Post-calcification : fibroblastes et tissu granulaire
Dans la tendinopathie de la coiffe des rotateurs de type calcifiante, quelle méthode d’imagerie est préférable et que permet-elle d’observer
Échographie
Dépôts calcifiés hyperéchogènes
Traitement tendinopathie calcifiante
NON-CHIRURGICAL = 1ère intention
- AINS
- Physiothérapie
- Injections de corticostéroïdes
EXTRACORPOREAL SCHOCK WAVE THERAPY
Ondes choc vers calcification pour déloger dépôts et ainsi diminuer douleur et augmenter fonctionnement
LAVAGE À AIGUILLE GUIDÉ PAR ULTRASON
Examen du coude : Inspection (3)
Ecchymose
Nodules
Déformation
Examen du coude : Palpation (4)
Épicondyles latéral et médial
Olécrâne
Gouttières paraolécrâniennes
Nodules
Examen du coude : Mouvements (4)
Flexion (135 à 150°)
Extension (0°)
Supination (90°)
Pronation (90°)
Examen du coude : Tendinopathie des épicondyliens (tennis elbow)
LATÉRAL
- Extension du poignet contre résistance
- Manoeuvre de Mills
Examen du coude : Tendinopathie des épitrochléens (golfer elbow)
MÉDIAL
- Pronation contre résistance
- Flexion poignet contre résistance
- Manoeuvre de Mills inversée
Nommer et décrire 2 complications de type fracture de la luxation gléno-humérale
- Hill-Sachs : fracture de la tête humérale contre le bord de la cavité glénoïde = prédispose à instabilité et dislocations récurrentes
- Fracture tubercule majeur
Nommer et décrire 2 complications (pas des fractures) d’une luxation glénoïdale-humérale
- Lésion de Bankart : décollement du labrum de la cavité glénoïde prédisposant à de l’instabilité secondaire
- Rupture de la coiffe des rotateurs : fréquence augmente avec âge
Quel nerf est le plus souvent atteint lors luxation gléno-humérale
Axillaire (50%)
Quel muscle est touché dans une épicondylite (tennis elbow)
Court extenseur radial du carpe
Quelle est la cause d’une épicondylite le plus souvent
Sur-utilisation : sport, travail
Décrire le mécanisme lésionnel d’une épicondylite (tennis elbow)
Quand le taux d’étirement du tendon excède la tolérance du tendon, il y a une microdéchirure et l’adaptation du tendon à ces nombreuses microdéchirures entraine une tendinose = évolue en tendinopathie
Stades d’évolution vers épicondylite
- Phase inflammatoire aigue (peut se résoudre complètement)
- Si agression maintenue, hyperplasie angiofibroblastique = TENDINOSE
- Accumulation continue de changements conduisent à PERTE DE STRUCTURE et RUPTURE PARTIELLE OU COMPLÈTE de celui-ci
- Grade 2 ou 3 + fibrose fou calcifications
Caractéristiques de la douleur lors épicondylite
douleur insidieuse ou aigue au COUDE LATÉRAL aggravée par des EXTENSIONS FORCÉE du poignet et une supination
Quelle technique d’imagerie est préférable pour l’épicondylite et que permet-elle d’observer
IRM
Permet de voir changements DÉGÉNÉRATIFS et DÉCHIRURES
Traitements épicondylite
Non-chirurgical (4)
Chirurgical
NON-CHIRURGICAL
- Physiothérapie
- AINS ou injections corticostéroïdes
- Modification des activités
- Port support anti-épicondylite
CHIRURGICAL : rarement nécessaire, juste pour patients réfractaires
Rachis cervical
- Combien de vertèbres cervicales et combien de paires de nerfs cervicaux
- Nom de la vertèbre C1
- Nom vertèbre C2
- Cervical est en lordose ou cyphose
- 7 vertèbres et 8 paires de nerfs
- Atlas
- Axis
- Lordose
Particularité de C1 - Atlas
Pas de processus épineux
Particularité C2 - Axis
Dent (odontoïde) est point de pivot permettant rotations
2 particularités des disques intervertébraux cervicaux
Pas de disque entre C1 et C2
Plus épais antérieurement
Quelle particularité biomécanique au niveau de la jonction cranio-cervicale permet un mouvement de bascule
Occiput et C1 ont des articulations communes
Quelle est la règle générale pour localiser une hernie discale cervicales et combo-sacrées
La racine nerveuse impliquée correspond habituellement à la plus basse des deux vertèbres adjacentes
Red flags de lombalgie (8 catégories)
- Personne de plus de 50 ans ou de moins de 18 ans
- Cancer
- Histoire de cancer
- Perte de poids, fatigue, malaise, sueurs nocturnes
- Douleur inchangée malgré 1 mois de traitement
- Fracture
- Trauma significatif
- Corticothérapie
- Infection
- Fièvre
- Déficit neurologique progressif
- Suspicion spondylite ankylosante (forme arthrite touchant colonne)
- Abus drogues IV ou ROH
- Compensation recherchée
Définition spondylolyse
Fracture ou défaut isthme inter articulaire
Définition spondylolisthésis
glissement antérieur d’une vertèbre sur l’autre
Localisation la plus fréquente d’une spondylolisthésis
L5
La spondylolisthésis se développe à la __________ et touche davantage les __________
jeunesse
hommes
Cause spondylolisthésis
Stress répétitif sur isthme inter articulaire spécialement en HYPEREXTENSION
Classification Wiltse-Newman (selon étiologie) de la spondylolisthésis (6)
I. Dysplasique/congénital : arrondissement de S1 permettant le glissement de L5
II. Glissement isthmique (à partir de spondylolyse)
III. Dégénérative : secondaire à l’arthrose
IV. Traumatique : trauma à haute énergie à la colonne
V. Pathologique : tumeurs, ostéoporose, etc.
VI. Iatrogénique : conséquence chirurgie
Classification de Meyerding (selon % de glissement) de la spondylolisthésis
I. Moins de 25%
II. 25-50%
III. 50-75%
IV. 75-100%
V. Plus de 100 %
Présentation clinique spondylolisthésis
- DOULEUR DANS LE BAS DU DOS AUGMENTANT EN HYPEREXTENSION
- Symptômes de radiculopathie à cause de compression possible (douleur descend dans jambe)
- Posture typique en flexion
Quelle technique d’imagerie a la plus grande sensibilité et permet de distinguer les blessures capables de guérir de celles qui seront chronique pour la spondylolisthésis
Scintigraphie
Traitement conservateur de la spondylolisthésis
- AINS : 1ère intention pour traiter douleur aigues
- Repos et modification des activités sportives
- Réhabilitation
- Appareil orthopédique rigide
Vrai ou faux : la majorité des patients ayant une spondylolisthésis auront besoin d’une chirurgie
FAUX
Quand est-ce que la chirurgie est nécessaire pour spondylolisthésis (2)
- Stade de fracture terminal
2. Traitement conservateur a échoué (encore des symptômes après 6 mois)
La majorité des patients ayant une sténose spinale sont (jeunes/âgés) et (symptomatiques/asymptomatiques)
Agés (+ de 60 ans)
Asymptomatiques
Manifestations/caractéristique cliniques sténose spinale
- Symptômes radiculaires
- Proximal à distal
- Bilatéral
Quelle position peut soulager les patients ayant une sténose spinale et pourquoi
FLEXION DU DOS AUGMENTE GROSSEUR CANAL SPINAL = PATIENTS MARCHENT HANCHES ET GENOUX FLÉCHIS
Quelle technique d’imagerie est utilisée pour la sténose spinale
radiographie lombaire
Traitements non chirurgicaux sténose spinale (7)
- Perte de poids
- Arrêt tabac
- Exercices de flexion
- Vélo
- Éviter les activités qui étirent la colonne
- Usage intermittent AINS
- Usage empirique acide folique
Quand est-ce que la chirurgie est envisagée (2 critères) pour la sténose spinale et quelles sont les 2 techniques possibles
Symptômes persistent depuis plus de 6 mois et altèrent le fonctionnement
- Décompression des structures nerveuses
- Fusion
Comment les bactéries se rendent à l’articulation dans l’arthrite septique primaire (2) et secondaire (1)
Primaire
- Hématogène (lors d’une bactériémie)
- Inoculation directe (plus rare)
Secondaire : contiguë à OM
Pourquoi l’arthrite septique est-elle une urgence de traitement
Car peut causer ostéonécrose en 24-48 heures
Expliquer pourquoi la bactérie entre “facilement” dans l’articulation par voie hématogène
Membrane synoviale est grandement vascularisée et n’a pas de membrane basale
À quel pathogène devons nous penser pour arthrite septique si
a. 0 à 2 mois (2)
b. 2 mois à 5 ans (2)
c. Plus de 5 ans (2)
d. Adolescents sexuellement actifs (1)
e. Patients ayant anémie falciforme (1)
a. S. aureus
S. agalactie (SGB)
b. S. aureus
K. kingae
c. S. aureus
S. pyogenes
d. N. gonorrhoeal
e. Salmonella
Localisation la plus probable de l’arthrite septique pour
a. 0-6 mois
b. 6 mois et +
a. Hanche
b. Genou
L’arthrite septique est elle mono ou polyarticulaire
MONOARTICULAIRE
Manifestations cliniques arthrite septique (6)
- Diminution amplitude des mouvements (actifs et passifs)
- Position antalgique en flexion
- Douleur sévère à la mobilisation
- Symptômes inflammatoires locaux : érythème, chaleur, gonflement
- Symptômes B
- Adénopathies satellites douloureuses
Quel test du cahier jaune peut être positif lors arthrite septique
FABER
Pour l’arthrite septique, quelle est notre meilleure chance d’identifier le pathogène
analyse du liquide synovial
Que retrouvons nous comme résultats de laboratoire en arthrite septique (3)
- FSC : leucocytose +++
- CRP et VS +++++++++
- Diminution glucose
Que retrouvons-nous à la radiographie d’une arthrite septique initialement et après 2-4 semaines
Initialement : normale
Après 2-4 semaines :
- Réaction périoste et ostéolyse
- Érosion
- Ostéopénie
- Pincement articulaire
Traitements arthrite septique et leur but (4)
- Débridement lavage : enlève la pression et niveau de l’articulation et nettoie les enzymes néfastes qui pourraient manger cartilage
- Antibiotiques : en fonction du pathogène identifié pour l’éliminer
- Décompression chirurgicale : nécessaire si urgence pour prévenir nécrose avasculaire (surtout hanche)
- Corticothérapie : pour récupérer amplitude mouvement
Examen de la hanche : palpation (ce qu’on palpe et ce qu’on recherche)
région du grand trochanter à la recherche d’une burstite
Comment mesure-t-on la la longueur des MI
EIAS jusqu’à la malléole interne ipsilatérale
Décrire FABER et 2 résultats possibles
- Douleur et limitation à l’aine : pathologie de la hanche
2. Douleur et limitation à la fesse : pathologie sacro-iliaque
Décrire FADIR et résultat possible
Douleur et limitation à l’aine : conflit fémoral-acétabulaire
Le risque de trauma non accidentel (augmente/diminue) avec l’âge
diminue
Facteurs de risque trauma non accidentel
- Jeunes parents
- Bébé non voulu/non planifié
- Parents ont été victimes de violence
- Prison
- Histoire de violence
- Femmes (font plus de violence)
- Bébés nés prématurément ou avec de nombreuses conditions médicales
- Abus alcool ou consommation drogues
- Assistance publique
- Garde de l’enfant retirée
Quelles sont les 2 blessures les plus communes lors de trauma non-accidentel
- Ecchymose
2. Fracture
Localisations (5) et particularité des ecchymoses non accidentelles
- Joues
- Fesses
- Organes génitaux
- Cou
- Dos
- -> Garde forme de l’objet contondant et ne sont pas sur proéminences osseuses
Brûlures suspectes d’être non accidentelles (3)
- Contact à motif en forme d’objet chaud
- Immersion forcée avec épargnent des zones fléchies
- Splash/spill impossible pour niveau de développement
Localisations brûlures non accidentelles (4)
Mains (face dorsale)
Jambes
Pieds
Fesses
3 fractures spécifiques d’abus et particularité fractures non accidentelles
- Côtes postérieures (compression)
- Os longs –> fracture oblique ou spiralée
- Colonne vertébrale
fractures osseuses d’âge différents
Quelle os fracturé de façon spiralée n’est pas suspect d’abus
Tibia
Mécanisme lésionnel syndrome du bébé secoué
Déchirure des veines poétiques secondairement à des secousses violentes
Quand est-il nécessaire de faire des investigations supplémentaires lors d’une suspicion de trauma non-accidentel (2)
- Trouvailles à l’examen physique ne concordent pas avec histoire rapportée
- Les personnes interrogées individuellement rapportent des évènement différents
Quelle est la mutation dans l’ostéogenèse imparfaite et quelle est sa conséquence
Mutation affecte les gènes nécessaires à l’expression du collagène de type I
COL1A1 (chromosome 17) : + sévère = protéine pro-alpha-1
COL1A2 (chromosome 7)
Conséquence : fragilité osseuse et faible masse osseuse à l’origine de fractures à répétition
Vascularisation de la hanche :
artère profonde de la cuisse –> artères ____1____ –> vaisseaux _____2_____
- circonflexes médiales et latérales
2. réticulaires
Les vaisseaux réticulaires provenant de l’artère circonflexe ____1____ sont ____2___ et irriguent ______3_____.
Les vaisseaux rétinaculaires provenant de l’artère circonflexe _____4_____ sont ____5____. Ils ont une contribution ______6____ à l’irrigation de ______7_____.
- médiale
- les plus nombreux
- col et tête du fémur
- latérale
- plus petits
- mineure
- tête fémorale
Décrire la vascularisation du bout des os (épiphyse/métaphyse) à l’enfance
- 0-18 mois
- 18 mois à 16 ans
- Adulte
- Petits vaisseaux traversent la plaque de croissance pour entrer dans épiphyse
- Artères perforantes se développent de part et d’autre de la plaque de croissance. L’épiphyse et la métaphyse ont alors des réserves de sang séparées.
- Épiphyse : artère épiphysaire
- Métaphyse : artère nourricière
- Fermeture de la physe. Les branches de l’artère nourricière s’étendent jusqu’au bout de l’os
- Artère périoste : cortex externe
- Artère nourricière : cortex interne
_____1____ est un outil standardisé pour évaluer ______2_____ 3(pouvant/ne pouvant pas) être utilisé seul pour faire ou exclure le diagnostique de ______2_______
- SCAT5
- commotion cérébrale
- ne pouvant pas
À la suite d’une commotion cérébrale, lequel doit être complété en premier : retour au sport ou retour à l’apprentissage
retour à l’apprentissage
Quels sont les drapeaux rouges lors d’une suspicion de commotion cérébrale
Signes neurologiques
Définition glissement épiphysaire
Glissement postérieur et inférieur de la tête fémorale sur le cou fémoral (épiphyse sur la métaphyse) à travers la plaque de croissance
Épidémiologie du glissement épiphysaire (2)
- Trouble de la hanche le plus fréquent chez les adolescents (8-15 ans)
- Taux augmenté en automne
Facteurs de risque glissement épiphysaire (4)
- Homme (60%)
- Obésité
- Durant poussée de croissance
- Troubles endocriniens
Vrai ou faux : le glissement épiphysaire est toujours unilatéral
Faux
Bilatéral dans 18-50% des cas
Quel mouvement est particulièrement diminué et douloureux lors d’un glissement épiphysaire
Rotation interne
Présentation clinique glissement épiphysaire
boiterie et douleur vague au niveau de la hanche, aine, cuisse ou genou
Rarement histoire de trauma
Quelle technique d’imagerie est nécessaire lors glissement épiphysaire et quelle position est à prioriser
Radiographie
Position grenouille
Différence entre glissement épiphysaire stable et instable
instable = mise en charge impossible et relié à un plus hait taux de complications
Décrire la méthode Wilson et la méthode Southwick pour décrire le glissement épiphysaire
WILSON
- Léger : déplacement de moins de 1/3
- Modéré : 1/3 à 1/2
- Sévère : plus de 1/2
SOUTHWICK
- Léger : moins de 30°
- Modéré : entre 30 et 50 °
- Sévère : plus de 50°
Est ce que le traitement d’un glissement épiphysaire est urgent et pourquoi
OUI URGENT
Pronostic dépend de la vitesse à laquelle la condition est diagnostiquée et traitée
Traitements glissement épiphysaire (3)
- Utilisation fauteuil roulant, béquilles, etc. pour éviter glissement supplémentaire
- Fixation avec une vis
- Fixation prophylactique de l’autre hanche pour patients à haut risques
Complications glissement épiphysaire (2)
- Nécrose avasculaire de la tête fémorale
- Chondrolyse
Conséquence du déficit énergique relatif dans le sport
fonctionnement métabolique altéré
Le déficit énergique relatif touche davantage les hommes ou les femmes
Femmes
Mécanisme du déficit énergique relatif
Disponibilité énergétique basse qui se produit en apport énergétique diminué ou lors d’une augmentation de la charge d’exercice causant des ajustements systématiques pour réduire la dépense énergétique menant à des dérèglements hormonaux, métaboliques et autres
Cause de la majorité des déficits énergiques relatifs
Trouble alimentaire (anorexie)
Athlètes à risque déficit énergique relatif (5)
- Sports jugés
- Sports avec catégorie de poids
- Sports dans lesquels le poids influence performance
- Sports ayant aspect esthétique
- Sport d’endurance
Traitements déficit énergique relatif (3)
- Augmenter l’apport énergétique
- Diminuer l’exercice
- Les deux
L’ostéosarcome et le sarcome d’Ewing sont des tumeurs osseuses ______1_____ plus communes chez les ___2____
- Malignes
2. Hommes
Entre l’ostéosarcome et le sarcome d’Ewing, laquelle est la tumeur osseuse primaire maligne la plus fréquente chez l’enfant
Ostéosarcome !
Ewing est #2
Quelle particularité chromosome est associée au sarcome d’Ewing
t(11;22)
Quelle partie de l’os _____1____ touche
a. Ostéosarcome
b. Sarcome Ewing
- long
a. Métaphyse
b. Diaphyse
Les symptômes suivants sont ceux de quelle néoplasme osseuse
- Douleur
- Fièvre, malaise, fatigue, perte de poids
- Anémie et leucocytose
Sarcome d’Ewing
Manifestations cliniques de l’ostéosarcome
- Douleur localisée
- Masse possible
- Fracture pathologique
Classer les trouvailles radiologiques suivantes selon
a. Ostéosarcome
b. Sarcome Ewing
- Limites mal définies
- Triangle de Codman
- Érosion corticale et extension dans tissus mous
- Peau d’oignon
- Lytique
- Élévation et réactions périostée
b a a b a et b a et b
Qu’est ce qui est nécessaire au diagnostique de l’ostéosarcome et du sarcome d’Ewing
BIOPSIE
À quoi servent le CT-Scan et la scintigraphie pour l’ostéosarcome et le sarcome d’Ewing
Recherche de métastases
Métastases plus fréquentes ostéosarcome
poumons
Métastases plus fréquentes sarcome Ewing
poumon
os
MO
ganglion (rare)
Traitement ostéosarcome
chimio - chirurgie - chimio
Traitement sarcome Ewing
chimio pré-opératoire - opération +/- radiothérapie
2 stades ostéosarcome et sarcome Ewing
Loclisé
Métastatique
Définition spondylarthropatie
Maladies rhumatologiques inflammatoires chroniques qui partagent plusieurs éléments communs
Ancien nom des spondylarthropatie et pourquoi elles étaient appelées comme ça
Arthrites séronégatives
Absence de FR
L’atteinte est-elle davantage axiale ou périphérique dans spondylarthropatie
Les deux !
Atteintes communes spondylarthropaties (2 catégories)
ATTEINTE MUSCULOSQUELETTIQUE
- Atteinte axiale a/n sacro-iliaque et colonne
- Atteinte périphérique de type oligoarthrite et dactylites
- Enthésies : inflammation à la jonction d’un tendon/ligament sur l’os
ATTEINTES EXTRA-ARTICULAIRES
- Inflammation oculaire (uvéite)
- Lésions mucocutanées (psoriasis)
- Maladie inflammatoire du colon et de l’intestin
Avec quel gène les spondylarthropaties sont-elles associées
HLA-B27
Mécanisme lésionnel spondylarthropaties
Stress mécanique répétitif entrainant micro-trauma des tissus
Physiopathologie spondylarthropaties
IL-23 et cellules T résidentes dans enthèse (jonction tendon/ligament sur os) favorisent entérite et ostéoprolifération dans spondylarthropatie
2 patterns de dommage des spondylarthropaties
Auto-immun et auto-inflammatoire (mixed pattern disease)
Paramètres diagnostiques spondylarthropaties (6)
- Symptômes : rachialgie inflammatoire et atteintes extra-articulaires
- Imagerie
- Biologie : CRP et VS
- Anamnèse : bonne réponse aux AINS
- Génétique : HLA-B27 et ATCD familiaux
- Maladies prédisposantes/concomitantes : infections, psoriasis, Crohn
Vrai ou faux : presque la moitié des patients souffrant de spondylarthropaties auront au moins une manifestations extra-articulaire et MSK
Vrai (42%)
–> La plus commune (51%) est uvéite
Quelles caractéristiques de la spondylarthropatie permet de la différencier d’une lombalgie chronique (4)
- Pathologie début à l’articulation sacro-iliaque et migre éventuellement vers le haut
- Caractère inflammatoire
- Sacro-iliite radiologique
- Perte de la lordose lombaire
Dans la spondylarthropatie, qu’est ce que des syndesmophytes
Fusion d’une vertèbre à une autre (bambou spine)
spondylarthropatie ankylosante
Critères (4) et nombre nécessaire pour diagnostic de rachialgie
- Raideur matinale > 30 minutes
- Amélioration à l’exercices, pire au repos
- Réveils nocturnes en 2e moitié de nuit à cause de la douleur
- Douleur fessières à bascule
2/4
Scoliose 30° squelette immature
Corset
Scoliose 50° squelette immature
Intervention chirurgicale
Scoliose 40° squelette mature
Follow-up tous les 5 ans pour évaluer progression
Scoliose 15° squelette mature
Follow-up au besoin
Scoliose 22° squelette immature
Follow-up chaque 6-12 mois jusqu’à maturité
Pour la lombalgie aigue, décrire les éléments suivants
- Régions douloureuse
- Irradiation
- Proximal VS distal
- Caractéristiques de la douleur (4)
- Intensité fixe ou variable
- Spécificités examen neurologique
- Lombosacrée
- Peu
- Proximal
- Bande large mal circonscrite profonde et vague/sourde
- Variable
- Normal
Médicament ostéoporose à connaître
Dénosumab
Action du Dénosumab
Inhibiteur de RANK
Ostéomalacie :
Caractéristiques de la maladie/définitions
Quantité d’os normale
Force de l’os diminuée
Minéralisation anormale
Causes (2) ostéomalacie
- Déficience sévère et prolongée en vitamine D
- Rachitisme vitamine-résistant (anomalie génétique enzymatique ou du récepteur vitamine D crée une résistance des organes cibles à l’action de la vitamine D)
Physiopathologie ostéomalacie
- Carence en vitamine D
- Diminution absorption du calcium et du phosphate
- Carence en calcium
- Activation parathyroïde
- Sécrétion +++ PTH
- Stimulation du remodelage osseux par augmentation ostéoclastes
- Perte osseuse progressive et réduction résistance os
L’ostéomalacie touche davantage les _____1_____ et le sexe _____2______.
Dans les pays développés la cause de l’ostéomalacie est ______3_____ tandis que dans les pays sous-développés c’est ______4_______.
- personnes âgées
- féminin
- Maladie chronique
- Carences nutritionnelles
Nommer au moins 4 causes fréquentes d’ostéomalacie
- Défaut d’exposition solaire ou pigmentation cutanée foncée
- Vieillissement
- Obésité
- Maladie céliaque
- Anticonvulsivants
- Mutation gène CYP2R1
Sites fréquents de fracture ostéomalacie (4)
- Bassin
- Col fémur
- Diaphyse fémorale
- Omoplates
Manifestations cliniques précoces et tardives ostéomalacie
Précoce : douleur jambes/dos pouvant créer troubles de marche + sensibilité douloureuse à la pression
Tardivement : déformation de certains os longs
Critères diagnostiques biologiques ostéomalacie et combien il en faut pour Dx
- Hypocalcémie
- Hypophosphatémie
- Élévation du taux de phosphatase alcaline
- Anomalie radiographiques (pseudofractures)
Anomalies radiographie ostéomalacie
- Ostéopénie généralisée (qualité médiocre, “bougées”)
- Pseudo-fracture de Loose-Milkman = très caractéristiques
- perpendiculaire à la corticale
- lignes radio-transparentes
- résultent de fractures de stress qui guérissent avec de l’os non-minéralisé
Investigation indisepensable au Dx ostéomalacie
BIOCHIMIE !
Supérieur au diagnostic histologique (mais histo quand même obligatoire)
Critères diagnostiques histologique (3)
- Volume tissus ostéoïde non minéralisé représentant plus de 5-10% du volume osseux
- Plus de 70% se surface osseuse non-minéralisée
- Bordure ostéomes très épaissies sur au moins 4 coupes
Selon les catégories suivantes, décrire le traitement pour l’ostéomalcie
- Anhélie ou dénutrition
- Malabsorption intestinale ou prise de médicaments interférants
- Maladie coeliaque
- Syndrome sévère de malabsorption (Crohn et colite ulcéreuse)
- Vitamine D2 ou D3
- Vitamine D2 ou D3
- Corriger le trouble (régime sans gluten)
- exposition au soleil + vraiment beaucoup suppléments vitamine D
Définition ostéoporose
Maladie généralisée du squelette caractérisée par la perte de masse osseuse et par la fragilisation des tissus osseux qui peuvent augmenter le risque de fracture
Nommer 2 tests/outils pour estimer le risque de fracture en ostéoporose
FRAX
CAROC (utilise score-t col du fémur)
Physiopathologie de l’ostéoporose
a. Post-ménopausique
b. Sénile
A. POST-MÉNOPAUSIQUE
- Arrêt brutal sécrétion oestrogène ovarien (qui est un inhibiteur RANKL)
- Augmentation activité des ostéocalstes (par liaisons de RANKL sur leur récepteur RANK)
- Formation de nombreuses et profondes lacunes de résorption osseuse
- Amincissement des travées et perforation des travées = baisse densité osseuse
B. SÉNILE
1. Diminution de l’activité des ostéoblastes alors que les ostéoblastes maintiennent (ou diminuent légèrement) leur activité
L’ostéoporose ménopausique affecte majoritairement l’os _______1______ tandis que l’ostéoporose sénile affecte ______2______
- os spongieux
2. os spongieux ET os cortical
Fractures ostéoporotiques les plus communes survenant après un micro-trauma (6)
- HANCHE
- VERTÈBRES
- Poignet
- Radius distal
- Humérus proximal
- Côtes