OW - Révisions des connaissances Flashcards
Au fur et à mesure que je descends, je dois égaliser les espaces d’air de mon corps. Parmi les méthodes suivantes, lesquelles sont acceptables pour l’égalisation des oreilles ?
a. Je me pince le nez et j’essaie de souffler par le nez.
b. J’avale ma salive et je remue la mâchoire.
c. Je me pince le nez et je souffle longtemps avec vigueur.
a et b
Au cours d’une descente, j’essaie d’égaliser mais je m’aperçois que j’ai du mal à le faire. Laquelle des solutions suivantes est la bonne ?
a. Je ralentis ma descente, je fais signe à mon binôme de
ralentir et j’égalise avec plus de vigueur.
b. Je mets fin à la descente, je fais signe à mon binôme,
je remonte légèrement et j’essaie de nouveau.
c. Je poursuis ma descente en égalisant à plusieurs reprises.
d. Je fais signe à mon binôme, je remonte à la surface et je reprends ma descente
b
Il faut égaliser
a. tôt et souvent, avant de ressentir une gêne.
b. quand on commence à ressentir une gêne.
c. seulement si on ressent des douleurs.
a
Je ne dois jamais plonger lorsque j’ai un rhume, ni prendre des médicaments pour pouvoir plonger lorsque j’ai un rhume.
Vrai Faux
vrai
La règle la plus importante en plongée scaphandre est :
a. de respirer continuellement en ne retenant jamais
son souffle.
b. de toujours plonger avec un binôme.
c. de garder son masque dans l’eau, même à la surface.
d. de consulter son manomètre immergeable toutes les
quelques minutes
a
Si l’on ne suit pas la règle la plus importante de la plongée scaphandre, on risque de graves lésions pulmonaires dues à une expansion excessive (déchirure du poumon), pouvant entraîner la paralysie ou la mort.
Vrai Faux
vrai
Si je ressens de la gêne dans un espace d’air de mon corps en cours de remontée, je dois :
a. continuer à remonter, me pincer le nez et souffler.
b. m’arrêter, descendre légèrement et laisser l’air emprisonné s’échapper.
c. descendre d’au moins 10 mètres/33 pieds, puis reprendre la remontée.
b
Mon binôme et moi planifions une plongée à 18 mètres/60 pieds.
Notre réserve d’air devrait durer ________ 10 mètres/33 pieds, toutes autres choses étant égales par ailleurs.
a. plus longtemps qu’à
b. moins longtemps qu’à
c. aussi longtemps qu’à
b
Au cours d’une plongée, je nage vite pour pouvoir suivre un poisson qui m’intéresse, mais j’ai bientôt l’impression d’être en manque d’air. Je dois :
a. faire signe à mon binôme et me diriger vers la surface.
b. augmenter le débit d’air en appuyant sur le bouton de
purge de mon détendeur.
c. m’arrêter et me reposer pour reprendre une bonne
respiration lente et profonde.
c
Un objet ayant une flottabilité neutre dans l’eau douce va _______ dans l’eau de mer.
a. couler
b. flotter
c. être en flottabilité neutre
b
Les trois principaux avantages du système de binôme sont le côté pratique, la sécurité et le plaisir.
Vrai Faux
vrai
Les principales considérations lorsqu'on choisit un équipement de plongée sont : a. la convenance b. la marque c. l’ajustement d. le confort
a c d
Je prévoie une plongée pour la semaine prochaine et je vérifie mon équipement. En assemblant mon matériel, je remarque que mon détendeur semble opposer davantage de résistance à la respiration que la dernière fois. Je dois :
a. le faire inspecter et réparer par un professionnel avant
de plonger avec.
b. plonger avec mais limiter ma profondeur de plongée à
10 mètres/30 pieds.
c. le laver à l’eau douce et voir si le problème persist
a
Il est impossible d’utiliser un détendeur DIN sur une robinetterie de bouteille étrier.
Vrai Faux
faux
Il est important de maîtriser ma flottabilité parce que cela me permet de contrôler si je descends, si je flotte ou si je suis en flottabilité neutre. J’ajuste fréquemment ma flottabilité en cours de plongée.
Vrai Faux
vrai
J'apporte avec moi en plongée une ardoise d’identification des poissons en couleur. Quand je regarde l’ardoise sous l’eau à une profondeur de 12 mètres/40 pieds, elle me semble a. plus petite/plus éloignée. b. plus colorée. c. moins colorée. d. plus grande/plus près
c d
On se déplace effi cacement sous l’eau en
a. se déplaçant aussi rapidement que possible.
b. restant hydrodynamique.
c. portant juste un peu plus de poids que nécessaire.
d. nageant lentement et à une cadence régulière.
e. maintenant une stabilité adéquate
b d e
Au cours d’une plongée, je n’arrête pas de grelotter. Je dois :
a. sortir immédiatement de l’eau, m’essuyer et me mettre
au chaud.
b. sortir de l’eau comme prévu mais porter davantage de
protection la prochaine fois.
c. sortir de l’eau quand c’est pratique et nager rapidement
pour me réchauffer
a
Au cours d’une plongée, mon binôme et moi devons nager fort en raison d’un courant imprévu. Si je commence à me sentir fatigué, que j’ai du mal à respirer et que j’ai l’impression de suffoquer ou de manquer d’air et que je commence peut-être à paniquer, je dois
a. faire signe à mon binôme « remonter » et me diriger vers la surface.
b. passer sur une source d’air de secours.
c. arrêter toute activité, faire signe à mon binôme et me
reposer
c
Lors de la planification de notre plongée, mes deux binômes et moi convenons qu’en cas de séparation, la procédure généralement prévue serait adéquate. Au cours de la plongée, je me retrouve avec un des binômes mais je ne peux pas voir l’autre.
Parmi les énoncés suivants, lequel est applicable ?
a. C’est une séparation de binômes. On reste avec le binôme qui est là et on cherche l’autre pendant une minute maximum, puis on se rejoint à la surface.
b. C’est une séparation de binômes. On reste avec le binôme qui est là, on revient là où on a vu celui qui manque la dernière fois, et on attend.
c. C’est une séparation de binômes. On se sépare du binôme qui reste et on va chercher celui qui manque.
d. Ce n’est pas une séparation de binômes pour le binôme présent et moi-même. On reste avec le binôme présent et on continue la plongée pendant que le binôme manquant nous cherche.
a
À qui incombe la responsabilité du système de binômes ? a. à mon binôme b. au divemaster c. à moi d. à personne
c
Mon binôme et moi planifions une plongée depuis le rivage. Nous descendons une pente très graduelle qui commence à 5 mètres/15 pieds et notre descente et remontée feront partie d’un aller et retour graduel sous l’eau. Nos bouteilles sont similaires et remplies à 200 bar/3 000 psi. Nous prévoyons :
• une réserve de 50 bar/500 psi.
• 20 bar/300 psi pour notre palier de sécurité.
• De faire demi-tour quand nous aurons consommé un tiers de la réserve d’air à utiliser pour la plongée.
Cela signifie que nous devons rentrer quand l’un ou l’autre de nos manomètres immergeables indique
a. 70 bar/800 psi
b. 145 bar/1 900 psi
c. 157 bar/2 270 psi
d. 170 bar/2 500 psi
c
Je nage à la surface en eau mouvementée et mon attache de palme se desserre (je me rendrai compte par la suite que je ne l’avais pas bien bouclée). Parmi les habitudes suivantes, laquelle m’est utile lorsque je dois régler ce problème ?
a. Je garde mon masque et mon embout buccal en place.
b. J’ai assez d’air dans mon gilet stabilisateur pour rester
en flottabilité neutre.
c. Je reste près de mon binôme et je lui fais signe.
a b c
Je m’apprête à entamer une descente avec mon binôme.
Que dois-je faire avant de commencer la descente ?
a. m’égaliser les oreilles
b. m’orienter sur quelque chose à la surface
c. m’assurer que mon ordinateur est actif
d. confirmer que mon binôme est prêt
e. ajouter de l’air à mon gilet
c d
Mes binômes et moi portons des combinaisons humides pour nous protéger. Au fur et à mesure que je descends, ma flottabilité va ____________ et je dois donc _______________ pour la contrôler.
a. rester constante, ne rien faire
b. augmenter, laisser s’échapper beaucoup d’air du gilet
stabilisateur et pas souvent
c. augmenter, laisser s’échapper fréquemment de petites
quantités d’air du gilet stabilisateur
d. diminuer, ajouter beaucoup d’air au gilet stabilisateur
et pas souvent
e. diminuer, ajouter fréquemment de petites quantités d’air au gilet stabilisateur section deux
e
Il ne faut jamais descendre ou remonter sans repère que l’on peut suivre ou avec lequel on peut être en contact.
Vrai
Faux
faux
Les étapes suivantes font partie normale d’une remontée pour un plongeur prudent :
a. remonter à 18 m/60 pi par minute (ou plus lentement si
l’indique l’ordinateur)
b. gonfler le gilet stabilisateur pour commencer la remontée
c. marquer un arrêt de 3 minutes à environ 5 m/15 pi
d. ajuster la flottabilité fréquemment et peu à peu
a c d
En plongée depuis un bateau, mon binôme et moi finissons notre palier de sécurité et remontons à la surface. Quand je fais surface, je dois
a. passer sur mon tuba, gonfler mon gilet et faire signe
« OK » au divemaster.
b. faire signe « OK » au divemaster, passer sur mon tuba et gonfler mon gilet.
c. gonfler mon gilet, passer sur mon tuba et faire signe
« OK » au divemaster.
c
Qu’est-ce qui peut poser des problèmes avant une plongée quand il fait chaud et que l’on porte une combinaison humide ou étanche ? a. un bon lestage b. la mise à l’eau c. une surchauffe d. une hypothermie
c
Si je n’ai qu’un seul outil de coupe, il est recommandé que je le porte où je peux y accéder de \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_. a. la main droite b. la main gauche c. la main dominante d. n’importe quelle main
d
Pour éviter de se trouver désorienté au cours d’une descente et d’une remontée, on a. ferme les yeux. b. reste éloigné de tout objet. c. suit un repère. d. surveille de près sa réserve d’air.
c
Mon binôme et moi partons en plongée depuis un bateau et il y a un léger courant. Dans la plupart des situations, nous allons ___________ durant la première partie de la plongée.
a. nager contre le courant
b. laisser le courant nous porter
c. rester où nous sommes
a
Mon binôme et moi nous trouvons désorientés lors d’une plongée depuis un bateau. Il y a un léger courant et nous faisons surface loin du bateau. Nous devons ___________.
S’il nous est impossible de rejoindre le bateau ou que nous sommes trop fatigués, nous devons _____________.
a. nager contre le courant pour devancer le bateau ;
redescendre et revenir au fond.
b. traverser le courant à la nage pour atteindre le filin de
guidage ; établir une flottabilité positive et faire signe au
bateau de venir nous chercher.
c. faire signe que tout va bien et rejoindre le rivage à la nage.
d. nager avec le courant jusqu’à ce que nous soyons reposés ;
e. nager jusqu’au fond puis nager contre le courant
b
Mon binôme et moi restons en flottabilité neutre et suffisamment éloignés du fond pour éviter tout contact. La raison en est qu’un contact avec le fond
a. peut blesser ou tuer une vie aquatique fragile.
b. a tendance à remuer le fond et à réduire la visibilité.
c. augmente le risque de coupures, égratignures ou piqûres accidentelles
a b c
Lors de l’évaluation des conditions, s’il existe la moindre source d’anxiété ou d’inquiétude sérieuse, et que je ne parviens pas à y remédier, je ne dois pas plonger. C’est moi qui suis responsable de ma propre sécurité et la décision de plonger ou non m’incombe.
Vrai
Faux
vrai
Lors de la planification d’une plongée dans un environnement que je connais pas, il est recommandé de suivre une orientation locale donnée par un plongeur chevronné ou un professionnel qui connait les procédures, les dangers, les points d’intérêt et d’autres facteurs propres à cet environnement.
Vrai
Faux
vrai
Plonger au-delà des limites de ma formation et de mon expérience comporte des risques, notamment
a. dans certaines formes de plongée, les dangers ne sont pas évidents.
b. je peux avoir l’illusion d’être en sécurité.
c. l’anxiété que cela provoque peut me distraire et
m’empêcher de remarquer d’autres problèmes.
a b c