Organisation Des SEcours Sur Interventions Flashcards

1
Q

Le commandement opérationnel de la brigade s’articule autour de

A

L’échelon tactique au niveau des groupements
L’échelon opératif a l’état major brigade
Ces deux échelons sont subornes à la préfecture de zone l’échelon stratégique

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2
Q

La DOS appartient au

A

Préfet de police ou le cas échéant à l’autorité déléguée (préfets de département)

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3
Q

Le DOS met en œuvre les moyens Bspp dans les conditions prévues par

A

le règlement opérationnel Bspp ou les règlements spécifiques aux emprises aérodromes

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4
Q

Le COS désigne est chargé sous l’autorité du DOS de

A

La mise en œuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours

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5
Q

Fonctionnement chaîne médicale de secours

A

Médecin désigné par la coordination Med
Dsm
Médecin chef brigade

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6
Q

Les compte-rendu à l’échelon sup et l’information des niveaux subordonnés sont

A

Des actions indispensables à mener au cours de l’intervention

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7
Q

Dans un DPS le COS pré positionné remplace l’OGC dans la chaîne de commandement opérationnelle vrai ou faux ?

A

Vrai

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8
Q

La responsabilité du chef c’est :

A

Celui qui est investi d’un commandement organique

Cette responsabilité est constante et totale

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9
Q

La responsabilité de l’intervention incombe

A

Au chef présent sur place qui occupe le plus haut rang dans la chaîne de commandement opérationnel

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10
Q

La chaîne de commandement opérationnel c’est

A
Chef d’agres
Chef de garde 
OGC
OSG
Commandant opérationnel brigade
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11
Q

La prise de commandement sur intervention est une decision prise avec tacite et discernement lorsque

A

La gravité de l’intervention, les circonstances ou la cohérence opérationnelle du dispositif le justifient

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12
Q

Le CoS peut se retrouver confronté à des problèmes qui

A

Ne sont pas abordés dans la documentation opérationnelle

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13
Q

Que doit guider les initiatives du COS

A

La prudence

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14
Q

Chaque fois que cel est possible le COS doit prendre l’avis des

A

Techniciens de l’établissement ou des personnes de l’art

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15
Q

L’autorité présente qui ne prend pas le commandement des opérations reste néanmoins responsable de l’intervention vrai ou faux

A

Vrai

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16
Q

La recherche du renseignement doit être

A

Permanente tout au long de l’intervention et plus particulièrement à son début puisqu’elle concours à l’élaboration de la décision opérationnelle et oriente les ordres d’engagement

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17
Q

Les sources de renseignements sur intervention sont

A

Le CO en fonction de ses capacités à absorber les flux d’appels d’urgence, à accompagner les personnes jusqu’à l’arrivée des secours et il dispose de toute latitude pour :
Réécouter les bandes
Croiser les infos entre différents opérateurs
Transmettre les infos utiles au directement Au COS

Des personnes sur les lieux

Les services publics privés ou personnes de l’art

Des CR circonstanciés des différents personnels intervenants

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18
Q

L’anticipation, qui permet la prise de toutes les dispositions tactiques et matérielles est

A

Indispensable dans tous les domaines

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19
Q

L’anticipation c’est le grand principe qui régit l’action des secours :

A

En amont par la prévention et la planification opérationnelle
Au moment de la demande de secours lorsque le nombre ou la gravité des appels incitent à compléter préventivement le volume d’engins

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20
Q

Les interventions de la brigade exigent de la part des personnels et cel à tous les niveaux

A

Une connaissance parfaite du métier, tant sur le plan théorique que pratique.
Cette connaissance est le fondement de la discipline

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21
Q

Les situations d’urgence dans lesquels ont lieu les départs, les conditions d’intervention ainsi que la diversité des cas ne permettent pas

A

L’hésitation et excluent l’improvisation

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22
Q

La discipline requiert de la part de l’exécutant

A

La stricte observation des ordres reçus

La recherche a son niveau du résultat escompté et l’exécution parfaite de tous les actes y concourants

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23
Q

En particulier la discipline au feu impose

A

De se protéger avec les EPI et les moyens adaptés
De conserver son sang froid et sérénité
D’opérer en silence en toutes circonstances
De rester constamment en contact avec un voisin ou un supérieur hiérarchique
Rendre compte immédiatement des actions menées ainsi que tout fait nouveau ou toute initiative

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24
Q

De la part du chef le CDT de l’intervention implique

A

L’acquisition rapide de la situation ainsi que la définition d’une tactique d’engagement et d’action des moyens

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25
Q

Les limites extérieures du zonage forment :

A

Le périmètre de sécurité

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26
Q

Le COS délimite dès le début de l’intervention une zone qui prend en compte à minima

A

Le danger principal. C’est la zone d’exclusion

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27
Q

Au delà de la zone soutien se trouve la zone

A

Publique

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28
Q

Définition des zones :

Voir Bsp page

A

122

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29
Q

Le COS est

A

L’officier le sous officier ou le grade qui sur une intervention commande l’action des moyens engagés.
Il se retrouve souvent à la tête d’un ensemble de moyens, il coordonne alors leurs actions.

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30
Q

Avant de partir sur intervention un officier doit recueillir les renseignements connus sur le sinistre à l’échelon groupement et EM. Une fiche est établie mentionnant :

A

L’adresse le nombre d’appels
Le premier chef de garde et les engins dont il dispose y comprise les renforts
L’établissement concerne et ses risques connus
Les ressources en eau du secteur (si difficulté à prevoir)
Tout autre élément juge utile

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31
Q

L’officier susceptible de commander doit, sur l’itinéraire :

A

Suivre le déroulement de l’op en écoutant les messages

Demander le cas échéant des renseignements supplémentaires

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32
Q

L’officier susceptible de commander doit, à l’arrivée sur les lieux

A

Se présenter et se rendre au PC TAC si il est en place

Se faire rapidement une opinion de la situation en interrogeant le premier COS et éventuellement tout tiers en mesure de fournir des renseignements et en effectuant une première reco rapide permettant de contrôler le dispositif n place et déterminer la nature des moyens supplémentaires.

Transmettre un message d’ambiance si nécessaire

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33
Q

Le compte rendu des chefs de secteur a l’officier indique

A

La situation initiale du dispositif du secteur et les diff rencontrées
L’évolution de la situ à intervalle régulier (toutes les 30min si l’inter se déroule normalement)

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34
Q

Avant de partir sur intervention le chef de garde s’assure que

A

Les secours ont été envoyés conformément aux règles définis au présent règlement. Dans tous les cas si il s’agit d’une intervention particulière il se réfère aux documents s’y rapportant

35
Q

Sur les lieux de l’intervention le chef de garde a

A

L’initiative absolue des mesures à prendre et des moyens à engager.
Il a le devoir de demander immédiatement les moyens supplémentaires qui lui sont nécessaires.

36
Q

Toute i certitude relative à un risque doit

A

Être prise au sérieux. La levée de doute NRBC par ex doit être entreprise en particulier dès lors qu’une notion d’explosion existe et que l’adresse correspond à une cible d’attaque terroriste potentielle

37
Q

Au cours de l’intervention le chef de garde doit et a le devoir de pénétrer dans les locaux où il juge nécessaire d’intervenir, même si

A

il y a refus de la part des occupants

38
Q

Au cours de l’inter le chef de garde pénètre dans les locaux cependant

A

Dans les ambassades légations et consulats il pénètre qu’avec l’assentiment du chef de la mission ou son représentant

Dans les palais nationaux ayant un commandement militaire il doit se mettre autant que possible en rapport avec le CDT militaire ou son représentant

Dans le cas où il n’y a pas d’urgence et qu’il rencontre de la résistance de la part des occupants il demande le renfort de la police

39
Q

En présence de victimes et d’impliqués le chef de garde fait

A

Activer un PRV dont il désigne un responsable chargé de sa mise en œuvre
Le PRV devint PMA dès lors qu’un médecin est sur les lieux et que l’emplacement est confirmé

40
Q

Avant de quitter une inter le chef de garde procède à

A

Une visite minutieuse de tous les tenants et aboutissants ainsi que les communications de toute espèce, autant à l’intérieur des locaux sinistres que dans les maisons avoisinantes.

41
Q

Avant de quitter l’intervention quels sont les mesures que peut prendre le CDG

A

Mettre en place un service de surveillance et commander des rondes pendant et après ce service

Si service de surveillance le COS est transféré aux responsables successifs qui organisent les relèves. Il peut être supprimé que par le chef de garde ou l’OGC du secteur lors des rondes périodiques

Ce dernier ne le supprime qu’après avoir repris le COs et acquis personnellement la certitude que tout danger a disparu

Les rondes sont effectuées conformément au titre 8 de la présente partie

42
Q

Au départ des secours le chef d’après recueille un maximum de renseignements qui sont

A
L’appel : nature de l’inter, nombre d’appels, l’heure et les moyens 
L’adresse ou les lieux de rdv 
Les risques existants à l’adresse 
Les moyens de secours à demeure 
L’itinéraire à suivre
43
Q

Le chef d’agres se rend obligatoirement et dans les délais les plus brefs a l’adresse indiquée, sauf

A

Ordre contraire précisant un autre point de rendez vous ou modifiant voire interrompant sa mission

44
Q

Tout comme le COS chaque chef d’après à le devoir de

A

S’engager avec discernement, sans exposer de manière inconsidérée à des risques potentiels le personnel dont il a la responsabilité

45
Q

Le chef d’agres fait porter dès que possible au PC Tac

A

Le jeton de présence
Les rens suivants :
Nom du CA effectif mission emplacement moyens mis en œuvre
Orifices de refoulement encore dispo sur l’engin
Risques particuliers rencontrés
Besoins éventuels

46
Q

Le suivi chronologique et l’archivage des messages est assuré par

A

les postes fixes (PVO, CSO et CO) ou mobiles (PC TAC)

47
Q

Les différents types de messages (8),

A
Message de départ 
Message de présentation 
Message de demande de moyens 
Message d’ambiance 
Message de renseignements
Message de déplacement 
Message de disponibilité 
Message de rentrée
48
Q

Les règles de transmission des messages en phonie sont définies dans

A

L’OBIDSIC

49
Q

Les messages de demandes de moyens, d’ambiance et de renseignements nécessitent

A

Une autorisation préalable de transmission par la station directrice compétente des lors qu’ils doivent être transmis en phonie

50
Q

Un COS peut déléguer la rédaction et la transmission de ses messages. Il doit cependant préalablement les

A

Valider

Et il sont obligatoirement transmis à son nom

51
Q

Le message fait partie intégrante de

A

L’opération dont il est le reflet

52
Q

Le message c’est la

A

Signature professionnelle de celui qui le transmet

53
Q

La chaîne de commandement opérationnelle doit veiller à la qualité des

A

Messages

54
Q

Les statuts sont des messages de

A

Données courts

Ils sont définis dans l’obidsic

55
Q

Donnez les règles lors d’une demande de moyen :

A

Adresse mentionnée à la première demande. Elle peut l’être également dans la demande de moyens suivants s’il est nécessaire de définir une autre adresse d’accès

Le groupe horaire pour les demandes de dispositif de relève de surveillance ou de déblai

Le motif uniquement pour les services publics et lors de demandes d’engins et ou de matériels autres que pour feu

Les moyens Med et MTNM prennent respectivement les appellations eq Med et eq SAP

56
Q

Moyens Med deux cas de figure

A

Cas usuel : soit au départ ou après contact (attendons eq Med)

Cas exceptionnel : je dde eq Med ou groupe telle adresse coord Med non contactée (le Cso contact la coordination)

57
Q

Lors d’une demande de police qui est chargé de trouvé le service compétent ?

A

Le CSO

58
Q

Demande EDF GDF, ne pas demander dans les cas suivants

A

Groupe hab incendie par anticipation
Demande de renfort (inc sec hab)
Demande de 1 ou plusieurs EP sur feu
Les CSO TC s’en charge

59
Q

Demande des service public, ou prévenir ?

A

En fonction de l’importance de l’opération, les cas retenus dans une convention et les capacités de réponse du dit service
Si prévenir : rubrique 9

60
Q

La Bspp peut elle prévenir ou demander l’inspection du travail ?

A

Non

61
Q

Le message d’ambiance est émis systématiquement en phonie sans

A

Procédure ni formalisme particulier

62
Q

Le message d’ambiance est une réponse instantanée aux questions :

A

De quoi s’agit il

Quels sont les risques avérés

63
Q

Dans quel cas le message d’ambiance est il passé

A

Lorsqu’il s’agit de rassurer ou d’alerter le CDT sur une situation de préférence dans les 10min après présentation

En cas de situation ou événement exceptionnel :
Sur accident
Agression violente envers les secours
Impossibilité de passer un message classique dans les délais normaux
Nécessité d’informer le CDT et autorités de tutelle d’un nouvel élément pouvant par exemple avoir des répercussions médiatiques

64
Q

Le message de renseignement présente :

A

La situation de l’intervention au moment de son émission

65
Q

Le message de renseignement doit être

A

Court bref précis sans verbiage et s’appuyer sur la MGO

66
Q

Le message de renseignement est obligatoirement transmis dans les cas suivants :

A

Motif feu explosion fuite de gaz ou à caractère NRBC
Plan spécial
Lorsque des moyens de renforcement ont été demandés (sauf prompt secours)
Si il y a présence d’une haute autorite sur les lieux de l’intervention (implique ou non)
Découverte d’une victime décès certain y compris avec présence de police
A partir de 2 victimes sur interventions

67
Q

Le premier message de renseignement est transmis au message plus vite, idéalement

A

Dans les 15min après la présentation du 1er engin.

Ce délais peut être porté à 30 min si un message d’ambiance est transmis entre temps

68
Q

Pendant la phase active les délais entre 2 messages ne doit en principe pas dépasser

A

45 min

Cependant après les phases actives il peut être porté à 90min

69
Q

Le premier message de renseignement doit indiquer

A
Nature et importance 
Adresse exacte 
Destination et nombre d’étage 
Mesures prises ou en cours par les SP
Bilan provisoire 
Service publics et spécialisés et autorités 
Incidence prévisible de l’événement 
Appréciation du COS sur l’évolution prévisible de la situation, si risque prévisible d’extension du sinistre et/ou danger pour les victimes (poursuivons reco) sinon reco en cours qui correspond à une étape incontournable de la MGO
70
Q

L’appréciation poursuivons reconnaissances a pour finalité

A

D’alerter le CO, le CSO TC et la chaîne de CDT sur un risque d’évolution défavorable de la situation

71
Q

Lorsque le feu est éteint dans le premier message il convient de

A

Définir le contenant précis dans lequel il est survenu

72
Q

Les moyens hydrauliques sont indiqués dans l’ordre

A

Croissant de puissance

73
Q

Les moyens hydrauliques, comment doivent elles être précisé

A

Les lances en manœuvre puis celles en attente
Nombre
Type

Les moyens privés utilisés ou en attente

Le nombre de ligne de 110 établies

74
Q

Phonie opérationnelle, La ventilation doit être mentionnée selon les règles suivantes :

A

La ventilation naturelle ne doit pas apparaître dans le message
La ventilation mécanique doit apparaître au travers de ses 2 composantes : le désenfumante mécanique et la VO
Ne pas indiquer les moyens (VGD…) ni la technique (surpression….)

75
Q

Phonie opérationnelle, les messages suivants, décrivent l’évolution de la situation notamment pour ce qui concerne :

A

La description sommaire des locaux concernés
Les moyens hydrauliques en manœuvre ou en attente
Les bilans successifs
Le nombre de sauvetages et/ou de mise en sécu et comment ils ont été réalisés
Les actions nouvelles entreprises
Les difficultés rencontrées et les dangers spéciaux
Les services publics ainsi que les autorités présentes à telle heure

76
Q

La rentrée au CS de la dernière ronde constitue l’heure de

A

Fin d’opération

77
Q

Permanence des secours, l’ordre de départ de montée en garde émane du CSO jusqu’à concurrence de la couverture d’un volume équivalent à

A

Un renfort incendie

78
Q

Définition de relève :

A

Remplacement d’un détachement engagé dans l’accomplissement d’une mission depuis un certains temps par un autre détachement apte a poursuivre la même mission

79
Q

En phase active les relèves doivent intervenir toues les

A

4h

80
Q

En fin d’intervention, le CA

A

Reçoit le CR du conducteur sur la présence et état du matériel
Si du matériel est laissé il rédige et fait signer le bon de prise en charge provisoire ou de prise en compte
Si il a été amené à pénétrer dans les locaux dont les occupants sont absents il rédige et laisse un BOPE 13
S’assure de la présence de tout son personnel
Lorsque le MMA est en mesure de se rendre sur intervention il transmet son message de disponibilité

81
Q

Avant de quitter l’intervention le conducteur

A

Vérifie la présence et l état du matériel
Si du matériel est laissé sur les lieux, il établit la liste et fait signe un bon de mouvement en 3 exemplaires au chef de détachement bénéficiaire voir locataire ou propriétaire
Complète le remplissage de sa tonne

82
Q

Pendant le trajet retour le chef d’agres :

A

Assuré la veille radio
Met à profit le déplacement pour perfectionner le conducteur
Décrit les points particuliers du secteur
Peut passer sur ordre à des endroits prévus dans le cadre de mesures prises lors de certains plans

83
Q

La RETEX est un processus qui se décompose en plusieurs phases

A

Recueil d’informations sur le terrain par les intervenants complété par la garde RCCI
Identification analyse et exploitation des renseignements
La recherche de solutions
La diffusion et l’archivage de ces enseignements

84
Q

Le RETEX doit produire 2 effets :

A

Garantir la qualité de la prepa ops et enrichir la culture op
Faire évoluer la doctrine et les matériels : apporter une rep op et/ou réglementaire aux difficultés rencontrées