nsi Flashcards
système d’exploitation
Programme ou un ensemble de programmes dont le but est de gérer les ressources matérielles et logicielles d’un ordinateur. Il fournit en particulier aux programmes utilisateurs un accès unifié à ces ressources.
l’ordonnanceur
décide quel programme s’exécute à un instant donné sur le processeur
le gestionnaire
répartit la mémoire vive entre les différents programmes en cours d’exécution
les différents systèmes de fichiers
définissent la manière de stocker les fichiers sur les supports physiques (disques, clés USB, disques optiques, etc.)
la pile réseau
implémente entre autres des protocoles tels que TCP/IP
les pilotes de périphériques / drivers
le but est de gérer les périphériques matériels (carte graphique, disques durs, clavier, etc.)
L’interface système (shell en anglais)
programme permettant à l’utilisateur d’interagir avec le système d’exploitation.
root / super utilisateur
= admin sys / Il peut modifier tout le système à sa guise.
Pour visualiser l’arborescence:
tree
répertoire courant
pwd
créer un répertoire
mkdir
l’affichage détaillé des fichiers
-ls
afficher le contenu d’un répertoire
ls
-ls donne:
- la taille occupée par les fichiers
- un nombre (correspondant au nombre de liens durs vers le
fichier et que l’on ignorera dans ce cours)
pour chaque fichier:
- les permissions
- le nom du propriétaire et du groupe propriétaire
- la taille en octet
- la date et l’heure de dernière modification
- le nom du fichier
Un groupe représente:
les droits en lecture (r pour l’anglais read)
les droits en écriture (w pour l’anglais write)
les droits en exécution (x pour l’anglais exécute).
chemin des groupes
1) permissions pour le propriétaire
2) les permissions pour le groupe propriétaire
3) les permissions pour tous les autres
modifier les permissions sur le fichier
chmod
les ci sont des cibles qui peuvent
u (pour le propriétaire)
g (pour le groupe)
o (pour les autres)
a (pour tous)
les mi sont des modifications
+ pour dire ajouter
- pour dire retirer
les pi sont des symboles de permissions
r
w
x
En Octal
r (read) = 4
w (write) = 2
x (execute) = 1
- = 0
Pour rwx
4+2+1 = 7
Pour rw-
4+2+0 = 6
Pour r–-
4+0+0 = 4
-rw-r–r–
644
lister d’un seul coup tous les noms de fichiers qui commencent par img et qui se terminent par .jpg
ls photos/img*.jpg
lister tous les noms de fichiers de la forme i?g1.jpgquelquesoit le caractère remplacé par ?
ls photos/i?g1.jpg
L’entrée standard ou stdin (pour l’anglais standard input)
fichier “virtuel” dans lequel un programme peut lire (mais pas écrire).
La sortie standard ou stdout (pour l’anglais standard output)
un fichier relié à l’affichage de la console. Lorsque l’on écrit dans ce fichier, les caractères sont affichés dans le terminal.
la sortie d’erreur ou stderr (pour l’anglais standard error)
3eme sortie
l’opérateur >
permet de rediriger la sortie standard d’un programme vers un fichier
GET
pour obtenir une ressource (lire une page web)
POST
pour ajouter une information concernant une ressource
PUT
pour ajouter une ressource
DELETE
pour supprimer une ressource (cette commande est souvent interdite)
PATCH
pour modifier une ressource existante
host
le nom du site web
User-Agent
le nom du navigateur web
Referer
l’URL précédente d’où vient le client
Content-Type
le type MIME de la ressource contenue dans le message
Content-Length
la taille du corps de la requête
communiquer deux ordinateurs en les reliant par un simple câble
ces deux ordinateurs sont en réseau
le câble reliant les 2 ordinateurs est
un câble Ethernet
Relier 2 ordinateurs peut avoir un intérêt, mais dans la plupart des cas, un réseau sera constitué d’un plus grand nombre d’ordinateurs, on appelle:
un commutateur réseau, souvent appelé switch
Un réseau
un ensemble de nœuds ou composant reliés entre eux par des liens
Un réseau informatique
un réseau dont les nœuds sont des équipements informatiques (ordinateurs, routeurs, concentrateurs, etc.) et les liens peuvent être de nature diverse (câbles de cuivres, fibre optique, liaisons satellites, ondes radios, etc.)
Une interface
le point de raccordement entre un lien et un nœud.
Un protocole
un ensemble de règles permettant d’établir, mener et terminer une communication entre deux entités.
Un service réseau
une application capable de communiquer en réseau et proposant des fonctionnalités.
Un serveur
un dispositif matériel ou logiciel exécutant un service
OSI
Open Systems Interconnection
Le protocole IP (Internet Protocol)
l’adressage des machines sur le réseau ainsi que le routage des paquet
Le protocole TCP (Transmission Control Protocol)
réutilise les fonctionnalités offertes par IP pour permettre l’envoi de messages de longueur arbitraire et garantir à l’envoyeur que le destinataire a bien reçu l’information
la machine A a pour adresse IP 192.168.2.5
la machine B a pour adresse IP 192.168.2.8.
A et B ont donc la même adresse réseau 192.168.2.0. Ces 2 machines pourront donc communiquer ensemble.
la machine A a pour adresse IP 192.168.2.5
la machine B a pour adresse IP 192.168.3.8.
A et B n’ont pas la même adresse réseau (192.168.2.0 pour A et 192.168.3.0 pour B). Ces 2 machines ne pourront donc pas communiquer ensemble
147.12.1.24/16
192.168.2.45/24
5.23.65.87/8
147.12.0.0
192.168.2.0
5.0.0.0
Soit 2 machines A et B connectées à un switch, dites dans quels cas ces 2 machines pourront communiquer ensemble :
adresse IP de A : 172.23.4.7/16 ; adresse IP de B : 172.23.5.8/16
adresse IP de A : 24.2.8.127/8 ; adresse IP de B : 24.23.5.52/8
adresse IP de A : 193.28.7.2/24 ; adresse IP de B : 193.28.8.3/24
réseau de A : 172.23.0.0 ; réseau de B : 172.23.0.0 .
Les machines peuvent communiquer
réseau de A : 24.0.0.0 ; réseau de B : 24.0.0 .
Les machines peuvent communiquer
réseau de A : 193.28.7.0 ;réseau de B : 193.28.8.0 .
Les machines ne peuvent par communiquer
Combien de machines peut-on trouver au maximum :
dans un réseau d’adresse réseau 192.168.2.0/24 ?
dans un réseau d’adresse réseau 176.24.0.0/16 ?
dans un d’adresse réseau 10.0.0.0/8 ?
2 puissance 8=256 machines
2 puissance 16=65536 machines
2 puissance 24=16777216 machines
Un sous réseau IP
un ensemble de machines toutes connectées et donc toutes accessibles directement.
Parmi ces machines, au moins une joue un rôle particulier:
passerelle (gateway) ou routeur
un masque valide est:
255.255.248.0
qui correspond à la suite de bits :
binaire
1111 1111 . 11111111
11111000 . 00000000
décimal
255 . 255 . 248 . 0
Ce masque permet de « découper » une adresse IP en deux parties:
La partie réseau (ici les 21 bits de poids forts à 1)
la partie machine (les 11 bits de poids faibles à 0)
192.168.129.10 & 255.255.248.0
192.168.135.200 & 255.255.248.0
192.168.145.1 & 255.255.248.0
= 192.168.128.0
= 192.168.128.0
= 192.168.144.0
système POSIX
ensemble de standards
Portable Operating System Interface
Noyau
C’est le cœur du système d’exploitation qui fournit les fonctionnalités basiques aux programmes.
Distribution logicielle
C’est un ensemble de logiciels et ressources, fichiers de configuration, icônes, polices de caractères, …) associés à un noyau.
Logiciel libre
Un logiciel est dit libre si son code est couvert par une licence autorisant outre l’utilisation du logiciel, l’accès public au code, sa modification et la rediffusion publique de ces modifications.
L’interface système
shell
un programme permettant à l’utilisateur d’interagir avec le système d’exploitation.
Permissions et propriété des fichiers
les permissions
le nom du propriétaire et du groupe propriétaire
la taille en octet
la date et l’heure de dernière modification
le nom du fichier
La commande chmod
- les ci sont des cibles qui peuvent valoir u (pour le propriétaire), g (pour le groupe), o
(pour les autres) et a pour tous - les mi sont des modifications (+ pour dire ajouter, - pour dire retirer) et les pi sont
des symboles de permissions (r, w ou x).
Exemple: la commande ci-dessous rajoute les droits en écriture à toutes 1es personnes du groupe et supprime le droit en lecture aux autres:
( alice$ chmod g+w,o-r photos/img1.jpg )
Les répertoires ->
Le droit en lecture sur un répertoire signifie que :
son contenu peut être listé
Les répertoires ->
Le droit en écriture signifie que:
on peut modifier des entrées du répertoire, c’est-à-dire créer des fichiers, les supprimer ou les renommer.
Les répertoires ->
le droit en exécution pour un répertoire signifie que:
on a le droit d’en faire le répertoire courant et d’afficher les informations détaillées sur les entrées du répertoire.
Supposons qu’Alice retire les droits en lecture sur son répertoire personnel.
alice$ chmod o-r /home/alice
alice$ ls -l -d /home/alice
Ici, l’option -d de la commande ls permet:
afficher les informations du répertoire /home/alice plutôt que de lister son contenu.
On notera la présence du d initial qui indique qu’il s’agit d’un répertoire
Supposons qu’Alice retire les droits en lecture sur son répertoire personnel.
alice$ chmod o-r /home/alice
alice$ ls -l -d /home/alice
Ici, l’option -d de la commande ls permet:
afficher les informations du répertoire /home/alice plutôt que de lister son contenu.
On notera la présence du d initial qui indique qu’il s’agit d’un répertoire
alice$ ls photos/img*.jpg
permet de lister d’un seul coup tous les noms de fichiers qui commencent par img et qui se terminent par .jpg.
alice$ ls photos/i?g1.jpg
permet de lister tous les noms de fichiers de la forme i?g1.jpgquelquesoit le caractère remplacé par ?.
alice$ ls photos/img[2345].jpg
Ce motif représente n’importe lequel des caractères énumérés entre crochets.
alice$ ls photos/img[^2345].jpg
Ce motif représente un caractère qui n’est pas un de ceux de la liste.
La requête HTTP
Une ligne de commande qui contient
le verbe HTTP qui précise l’intention de la requête :
GET : pour obtenir une ressource (lire une page web),
POST : pour ajouter une information concernant une ressource,
PUT : pour ajouter une ressource,
DELETE : pour supprimer une ressource (cette commande est souvent
interdite),
PATCH : pour modifier une ressource existante.
l’URL qui cible la ressource
la version du protocole.
L’en-tête de requête qui est composée de plusieurs champs (clé / valeur) tels que :
host : le nom du site web, ce qui est nécessaire quand le serveur web héberge
plusieurs sites web (ce qui n’est pas rare),
User-Agent : le nom du navigateur web (ce qui permet d’envoyer du contenu
adapté au navigateur)
Referer : l’URL précédente d’où vient le client,
Content-Type : le type MIME de la ressource contenue dans le message ,
Content-Length : la taille du corps de la requête
Une ligne vide
Corps de requête qui contient des données envoyées avec la requête
L’envoi d’une requête peut se faire :
En HTML grâce à la balise <a>
En HTML grâce à la balise <form>
En JavaScript grâce à la fonction fetch</a>
De plus HTTP définit plusieurs codes pour la réponse dont le fameux code 404 qui signifie que la ressource ciblée n’a pas été trouvée :
1xx :
2xx :
3xx :
4xx :
5xx :
1xx : la requête est en cours de traitement.
2xx : la requête est traitée : succès (200), créée (201), etc.
3xx : la requête a été transférée vers un autre serveur : (301) déplacée définitivement sur un autre serveur, (304) pas modifiée donc le cache est à jours, etc.
4xx : il y a une erreur qui vient du client : (401) pas autorisé, (403) interdit, (404) pas trouvé, etc.
5xx : il y a une erreur qui vient du serveur : (501) pas implanté, (503) service down, etc.