Notes examen final Vrai ou Faux Flashcards

1
Q

Le mot ‘‘diagnostic’’ peut être utilisé par les sexologues de l’OPSQ.

A

Faux, sexologue membre de l’ordre des psychologues en psychothérapie.

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2
Q

Le désir est neuro-vasculaire.

A

Faux, neuro-hormonal.

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3
Q

L’excitation sexuelle est neuro-vasculaire.

A

Vrai

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4
Q

L’orgasme est neuro-hormonal.

A

Faux, neuro-musculaire.

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5
Q

La testostérone est l’hormone nécessaire au désir pour les deux sexes, mais pas suffisante à elle seule.

A

Vrai

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6
Q

La testostérone est 10x supérieure chez la femme que chez l’homme.

A

Faux, chez l’homme.

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7
Q

La testostérone chez la femme passe par les ovaires et les glandes surrénales.

A

Vrai

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8
Q

La phase du désir chez l’homme est la variation du volume du pénis qui pourrait être visible par le pléthysmographie pénienne.

A

Vrai

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9
Q

La phase du désir chez la femme provoque de la chaleur aux organes génitaux et parfois un début de lubrification.

A

Vrai

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10
Q

Le désir a deux dimensions : hormonal et physique.

A

Vrai

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11
Q

Une dose de testostérone en dessous de la dose régulière n’est pas à craindre pour le désir.

A

Faux

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12
Q

Chez la femme la recherche de génitalité au début d’une relation sexuelle est prioritaire.

A

Faux, chez l’homme (généralité), la femme c’est la sensualité.

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13
Q

Dans la phase de l’excitation, la vasocongestion est la lubrification vaginale chez la femme.

A

Vrai

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14
Q

Dans la phase de l’excitation, ce sont les corps caverneux qui se remplissent de sang et la dilatation pénienne chez l’homme.

A

Vrai

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15
Q

Chez l’homme le processus des phases est circulaire et chez la femme c’est linéaire.

A

Faux, contraire.

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16
Q

Les femmes vivent majoritairement des fantasmes et désirs spontanés.

A

Faux, chez l’homme.

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17
Q

Les réflexes, le plaisir et les spasmes des muscles génitaux font partie de la phase de l’orgasme.

A

Faux, excitation.

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18
Q

L’orgasme chez la femme est une contraction des muscles vaginaux aux 0,8 secondes.

A

Vrai

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19
Q

Les dimensions culturelles sont primordiales à l’approche sexologique.

A

Vrai

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20
Q

La testostérone est responsable des signes sexuels primaires.

A

Faux, secondaires.

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21
Q

Pour vérifier le niveau de testostérone chez l’homme.

Demandez au client si :

  • La barbe pousse moins vite.
  • Le volume de l’éjaculat a diminué.
  • Le volume des testicules a diminué.
  • La masse musculaire a diminué.
  • La voix est plus claire.
  • Pléthysmographie nocturne plat en cas d’absence (totale) de testostérone.
A

Vrai

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22
Q

Les principales causes de baisse de testostérone.

  • Le syndrome de Klinefelter (XXY).
  • La diminution des gonadotrophines,
  • L’augmentation de la prolactine.
  • Les maladies testiculaires.
  • L’urémie.
  • L’alcoolisme (maladies hépatiques).
  • Maladies endocrines.
  • L’irradiation pelvienne.
  • Certains médicaments.
A

Vrai

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23
Q

La prolactine a 2 effets néfastes sur le désir : augmentation de la testostérone et augmentation de l’effet de la dopamine.

A

Faux, diminution des deux.

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24
Q

Le traumatisme local des testicules est des microtraumatismes (ex. : le marteau piqueur toute la journée, sur le long terme).

A

Vrai

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25
Examen. L'alcool (rythme régulier tous les jours), provoque une baisse de testostérone.
Vrai
26
La testostérone est synthétisée dans les gonades.
Vrai
27
Au niveau du cerveau, sans dopamine, il n'y a pas de désir sexuel.
Vrai
28
La dopamine augmente l'acide nitrique (No) qui augmente la testostérone.
Faux, la testostérone augmente la No qui augemente la dopamine.
29
Principales causes physiologiques d'une augmentation de la prolactine. - Le sommeil - L'allaitement - La manipulation des seins - Le stress - L'anesthésie - L'exercice physique - L'examen physique (médical) - La relation sexuelle
Vrai
30
Principales causes pathologiques d'une augmentation de la prolactine. - Idiopathique (systémique) - Médicaments (anti-dépresseurs, oestrogène et cimetidine) - L'hypothyroïdie - Les maladies rénales - Les atteintes thoraciques - Tumeurs hypophysaires
Vrai
31
Les anti-dépresseurs tricycliques augmentent la prolactine chez la femme et causent un trouble du désir.
Vrai
32
Syndrome de l'augmentation de la prolactine de la femme : - Baisse du désir sexuel - Galactorrhée (lait qui coule) ou aménorrhée (zéro menstruation) - Hémorragie utérine anormale - Vaginite atrophique - Dyspareunie - Anorgasmie primaire
Vrai
33
Syndrome de l'augmentation de la prolactine de l'homme : - Baisse du désir sexuel - Galactorrhée pas facilement visible - Gynécomastie (avoir des seins) - Trouble érectile (+ ou -) - Anéjaculation primaire
Vrai
34
Moins d'une fois par mois est problématique lorsque ce n'est pas désirée comme situation.
Vrai
35
Normalité statistique = 5 fois par semaine.
Faux, 3 fois.
36
Déficience ou absence persistante ou répétée de fantaisies imaginatives d'ordre sexuel et de désir d'activité sexuelle sont considérées comme un trouble du désir.
Vrai
37
Les facteurs de l'âge et du contexte existentiel du sujet ne doivent pas être tenus en compte pour faire la différence entre la déficience ou l'absence de fantaisies.
Faux
38
La perturbation est à l'origine d'une souffrance marquée ou de difficultés personnelles selon le DSM-IV.
Faux, DSM-V.
39
Examen. Chez la femme. Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l'intérêt pour l'activité sexuelle OU de l'excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants : 1. Absence/diminution de l'intérêt pour l'activité sexuelle. 2. Absence/diminution des pensées érotiques ou sexuelles ou des fantaisies imaginatives. 3. Peu ou pas d'initiation de l'activité sexuelle et, typiquement, absence de réceptivité aux tentatives du partenaire pour initier l'activité sexuelle. 4. Absence/diminution de l'excitation ou du plaisir sexuel dans presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles. 5. Absence/diminution de l'intérêt sexuel ou de l'excitation sexuelle en réponse aux signaux sexuels/érotiques, internes ou externes (ex.: écrits, verbaux, visuels). 6. Absence/diminution des sensations génitales ou non génitales pendant l'activité sexuelle presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles.
Vrai
40
Examen. Chez l'homme. Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l'intérêt pour l'activité sexuelle OU de l'excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants : 1. Déficience ou absence persistante ou répétée de pensées sexuelles/érotiques ou de fantaisies imaginatives et du désir d'activité sexuelle. L'évaluation de la déficience est faite par le clinicien qui doit prendre en compte les facteurs susceptibles d'affecter le fonctionnement sexuel tels que l'âge et les contextes généraux et socioculturels de la vie du sujet. 2. Les symptômes du critère 1 persistent depuis une durée minimum d'approximativement 6 mois. 3. Les symptômes du critère 1 provoquent une souffrance cliniquement significative chez la personne. 4. La dysfonction sexuelle n'est pas mieux expliquée par un trouble mental non sexuel ou comme étant la conséquence d'une souffrance sévère liée à une relation ou par d'autres facteurs de stress significatifs, et n'est pas due aux effets d'une substance/d'un médicament ou d'une autre affection médicale. De tout temps : la perturbation a été présente depuis que le sujet est devenu sexuellement actif.
Vrai
41
Examen. La testostérone augmente le désir seulement lorsqu'elle est donnée à quelqu'un qui est en déficience. Sinon, elle n'augmente pas mais doit être présente en quantité normale.
Vrai
42
La dopamine si elle est augmentée, augmente directement le désir (mais pas d'injection de dopamine parce que c'est dans le cerveau).
Vrai
43
L'incitateur sexuel le plus commun est la stimulation physique et génitale.
Vrai
44
Les inhibiteurs sexuel : - Trouble hormonal. - Effets secondaires des médicaments. - Dépression. - Partenaire non séduisant à notre goût. - Pensée négative. - Pas de fantasme. - Émotions négatives. - Stress et colère.
Vrai
45
L'amour est nécessaire et suffisant pour une envie de relation sexuelle.
Faux, à l'exception d'un fort construit social à lequel tu crois.
46
La testostérone est un aphrodisiaque.
Faux
47
Il existe différents types d'aphrodisiaques.
Faux, aucun.
48
Les fantasmes érotiques et l'imaginaire érotique ont besoin de testostérone.
Vrai
49
Les fantasmes érotiques sont à l'intérieur de nous (cognitif) pour prédisposer au désir sexuel.
Vrai
50
Examen. La testostérone libre = testostérone active. La testostérone liée légèrement + testostérone libre = testostérone biodisponible.
Vrai testostérone : Testostérone libre + testostérone liée légèrement + testostérone très liée (Tsbg)
51
Examen. La sensibilité du gland est due à la testostérone.
Vrai
52
Le désir de l'homme est 10x plus élevé que chez la femme.
Faux, pas besoin de la même dose pour femme et homme.
53
Si on enlève les ovaires chez la femme, il y a absence de testostérone.
Faux, diminution, les glandes surrénales continuent d'en produire.
54
Examen. Médications qui peut interagir avec le désir sexuel. 1. Antidépresseur (tricyclique, MAOi, lithium). 2. Alcool. 3. Antihistamines. 4. Cyproterone acetate (pour le cancer prostatique).
Vrai
55
Examen. La testostérone est nécessaire jusqu'à la dose nécessaire, mais pas suffisante au désir sexuel.
Vrai
56
L'épidémiologie est les statistiques/prévalence par rapport à la population. (Par exemple, combien de personnes ont ça? Quelle population ça touche?)
Vrai
57
10 ans de diabète non traité donne une perte de sensibilité.
Faux, 15 ans.
58
Des sous-vêtements très serrés chez la femme fait perdre la sensibilité indéfiniment.
Faux, temporairement.
59
Le clitoris et le vagin sont des zones érogènes primaires.
Vrai
60
Perception est la conjugaison entre la stimulation des sensoriscepteurs (des 5 sens) conduite vers le cerveau qui va reconstruire (subjectif à chacun).
Vrai
61
Chaîne primordiale dans la naissance de l'excitation sexuelle. Sensoriscepteurs - Perception - Affect - Émotion
Vrai
62
``` Vasoconstriction = fermeture des vaisseaux. Vasodilatation = ouverture des vaisseaux. ```
Vrai
63
L'excitation est la vasoconstriction.
Faux, vasodilatation.
64
Dans l'excitation chez la femme, c'est le début de la transsudation.
Vrai
65
Les glandes de Bartolin produisent de la lubrification vaginale.
Faux, garde le vagin toujours un peu humide mais ne rentre pas en interférence dans la phase de l'excitation.
66
Excitation chez la femme : 1. Début de l'élévation utérine. 2. Allongement du vagin. 3. Augmentation de la taille des petites lèvres. 4. Séparation et élévation des grandes lèvres.
Vrai
67
Le désir et l'excitation chez la femme sont combinés en 1 diagnostique dans le DSM-5.
Vrai, trouble de l'intérêt pour l'activité sexuelle ou de l'excitation sexuelle.
68
Il faut avoir au moins 2 des critères dans le DSM pour poser un diagnostique du trouble de l'intérêt pour l'activité sexuelle ou de l'excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 3.
69
La durée minimum est d'un an pour émettre un diagnostique du trouble de l'intérêt pour l'activité sexuelle ou de l'excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 6 mois.
70
L'excitation est la variation du volume et de la rigidité du pénis.
Vrai
71
``` Verge = déjà en érection. Pénis = état flasque. ```
Vrai
72
L'excitation chez l'homme : 1. Élévation testiculaire. 2. Épaississement de la peau et du dartos. 3. Érection réversible.
Vrai
73
Le gland sert à amortir la rigidité de la verge dans l'entrée du col.
Vrai
74
La moindre atteinte d'une artère dans la région génitale de l'homme = plus (0) d'apport de sang dans les corps caverneux.
Vrai
75
Dans le corps humain, pour chaque artère il y a 2 veines.
Vrai
76
La cloison trouée entre les deux corps caverneux s'appellent : Cloison pectiniforme.
Vrai
77
La fascia de Buck est formée de collagène.
Vrai
78
La fascia de Buck se ferme complètement lors de l'érection.
Faux, sinon il n'y aurait plus d'apport d'oxygène, ce qui causerait de la gangrène irréversible automatiquement et le pénis deviendrait froid.
79
Tunique albuginée est un synonyme plus récent de la fascia de Buck.
Vrai
80
La fonction de la tunique albuginée sert à l'état flasque.
Faux, la rigidité pénienne.
81
Il y a des os dans le pénis.
Faux
82
Albuginée du corps caverneux sert à maintenir les sinusoïdes.
Vrai
83
Testostérone avec MOR = érections nocturnes.
Vrai
84
L'irrigation des corps caverneux n'est pas nécessaire chaque jour.
Faux
85
La castration, si l'homme n'utilise pas une pompe pour irriguer le pénis tous les jours, peut causer une perte d'érection permanente.
Vrai
86
La verge et le gland sont des zones érogènes primaires.
Vrai
87
Du vasoconstricteur passant par le sympathique, augmentation de l'adrénaline sert à maintenir l'érection.
Faux, retour à la flaccidité.
88
Contraction des fibres lisses = vasoconstriction.
Vrai
89
Relâchement des fibres lisses = vasodilatation.
Vrai
90
ATP = 21 kcal.
Vrai
91
Inhiber la calmoduline = érection.
Vrai
92
Le viagra inhibe la phosphodiestérase 5
Vrai
93
Pour un diagnostique de dysfonction, il doit y avoir 6 mois et plus de la perturbation seulement peu importe comment la personne le vit.
Faux, il doit y avoir plainte du patient.
94
Dans la prévalence, il y a une forte augmentation de la l'incidence des problèmes d'érection, en particulier après l'âge de 40 ans.
Faux, 50 ans.
95
2 parties dans l'évaluation Évaluation objective : sexophysiologique Intersubjective : entrevue, questionnaire, etc.
Vrai
96
Première chose à savoir c'est si c'est psychogène ou organique le trouble?
Vrai
97
Psychogène si le pléthysmographe donne une absence d'érection nocturne.
Faux, organique.
98
Tous troubles organiques peuvent nécessiter quand même une sexologue puisqu'avoir un trouble organique peut causer un apport psychologique chez la personne qui vit avec le trouble.
Vrai
99
Rétablir la sexualité après les troubles organiques devraient être fait par la sexologue lorsque le trouble est réglé.
Vrai
100
Lubrification vaginale. Bonne santé (absolument avoir oestrogène).
Vrai
101
La sécheresse vaginale est peu commune après la ménopause.
Faux
102
Les médications de l'hypertension créent une impuissance et troubles de dysfonction de l'excitation.
Vrai
103
Dysfonction érectile augmente avec l'âge.
Vrai
104
L'impuissance érectile fait partie de l'orgasme.
Faux, de la phase d'excitation.
105
Le désir sexuel hyperactif et l'aversion sexuelle font partie de la phase du désir.
Faux, c'est le désir sexuel hypoactif.
106
La consommation de cannabis est une des causes de la baisse de testostérone.
Vrai
107
En général le désir sexuel est indépendant de la concentration plasmatique de la testostérone.
Vrai
108
La prise d'antidépresseur peut être la cause de la baisse du désir sexuel.
Vrai
109
L'augmentation de la prolactine dans le corps peut être l'augmentation du désir sexuel.
Faux, après un certain point il n'y a plus de corrélation entre les deux (si augmentation de testostérone en haut du seuil, pas d'incidence directe sur le désir).
110
L'enregistrement d'une pléthysmographie pénienne nocturne est plat lorsqu'il y a absence de testostérone.
Vrai
111
La dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux chez l'homme est le syndrome de la douleur post-éjaculat qui crée des spasmes.
Vrai
112
La vaginisme est associée à une douleur sexuelle.
Faux, une dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux.
113
La dyspareunie est considérée comme étant une dysfonction de la douleur sexuelle seulement chez la femme.
Faux, chez l'homme aussi.
114
La dopamine est synthétisée dans les gonades.
Faux, la testostérone.
115
L'hypofonctionnement de la thyroïde, de l'hypophyse et des surrénales ont un impact direct sur l'augmentation de la testostérone.
Faux, diminution.
116
La castration chimique pour un abuseur sexuel doit être ordonnée par un juge.
Vrai
117
L'injection de cortisone baisse la testostérone.
Vrai
118
La dépression cause un trouble du désir quand la dopamine est en chute.
Vrai
119
La perturbation est à l'origine d'une souffrance marquée ou de difficultés interpersonnelles.
Vrai
120
L'aversion sexuelle est une recherche de contact génital démesurée.
Faux, l'évitement.
121
Le DSM-5 à combiné la phase de l'excitation et du plateau.
Faux, excitation et désir.
122
Le partenaire attirant est un incitateur sexuel de l'ordre de la physiologie.
Faux, incitateur psychologique.
123
La médication avec effets secondaires est un inhibiteur psychologique.
Faux, un suppresseur physiologique.
124
Le stress et la colère sont des inhibiteurs psychologiques.
Vrai
125
La testostérone totale est la testostérone légèrement liée, la testostérone libre et la testostérone TsBG.
Vrai
126
La sensibilité pénienne est augmentée lorsqu'il y a une déficience de l'androgène.
Faux, diminuée.
127
Les symptômes sexuels sont génitaux lorsqu'il y a une déficience de l'androgène.
Faux, ils sont globaux.
128
Chez la femme l'orgasme est absent ou diminuée lorsqu'il y a une déficience de l'androgène.
Vrai
129
La fluctuation de la libido est absente lorsqu'il y a une déficience de l'androgène.
Vrai
130
Les médicaments d'hypertension et cardiaque ne réduisent pas le désir sexuel.
Faux
131
Les conditions qui causent la dyspareunie réduisent le désir sexuel.
Vrai
132
Les antihistaminiques augmentent le désir sexuel.
Faux, diminuent.
133
Le lithium pour les troubles de l'humeur réduit le désir sexuel.
Vrai
134
Il y a des dysfonctions érectiles après l'enlèvement de la prostate par chirurgie.
Vrai
135
La cyproterone acetate est un anti-androgène utilisé pour le cancer des testicules.
Faux, de la prostate.
136
L'épidémiologie est les statistiques par rapport à la population et la prévalence d'une étude, le nombre de personnes, qui?, etc.
Vrai
137
Chez la femme les zones érogènes secondaires sont la vulve et les mamelons.
Vrai
138
Dans al phase de l'excitation, on retrouve chez la femme les contractions utérines ainsi que des muscles pelviens.
Faux, phase de l'orgasme.
139
L'allongement et l'élargissement du vagin et la tumescence des tissus érectiles et semi-érectiles se font dans la phase de l'excitation.
Vrai
140
Il est important de déterminer toutes les causes avant d'émettre, de confirmer ou d'infirmer un diagnostic sexuel.
Vrai
141
Dans le schéma des artères péniennes, il y a les artères suivantes : 1. Dorsale 2. Caverneuse 3. Bulbaire 4. Interne pudendale 5. Urétrale
Vrai
142
La cloison pectiniforme se retrouve entre les corps spongieux.
Faux, caverneux.
143
L'urètre se retrouve dans le corps spongieux.
Vrai
144
L'artère caverneuse envoi du sang entre les sinusoïdes.
Vrai
145
Les bandelettes musculaires autour du pénis sont lisses.
Faux, striées.
146
Le gland fait partie du corps spongieux.
Vrai
147
Le corps spongieux et les corps caverneux sont constitués de tissu érectile.
Vrai
148
La testostérone est nécessaire au éjaculation nocturne.
Vrai
149
Partant du centre médullaire ''vasoconstricteur'' et passant par les fibres sympathiques, une hausse d'adrénaline provoque une érection.
Faux, contraction des fibres lisses aréolaires : flaccidité.
150
La flaccidité est la conséquence de la contraction des fibres musculaires lisses des cloisons interaréolaires, provoquée par l'adrénaline libérée par le système ortho-sympathique.
Vrai
151
L'érection est dû au relâchement des fibres musculaires lisses et à la vasodilatation artérielle provoqués par des neuro-transmetteurs tels que l'acétylcholine et le VIP libérés sous la commande du centre sacré et par la neutralisation de la sécrétion ou de l'action d'adrénaline.
Vrai
152
La papavérine provoque une érection complète agissant en tant que puissant vasodilatateur.
Vrai
153
La prostaglandine est responsable de la contraction des fibres lisses.
Faux, la calmoduline.
154
Les aBloquants inactivent la calmoduline par fixation directe et bloquent l'entrée cellulaire du calcium.
Vrai
155
L'adrénaline inhibe l'entrée cellulaire du calcium.
Faux, favorise.
156
Le VIP stimule la production d'adénylcyclase.
Vrai
157
L'adénylcyclas est transformée en AMPc.
Vrai
158
La papavérine inhibe la phosphodiestérase, ce qui maintient à un taux élevé l'AMPc qui inhibe à son tour la calmoduline responsable de contraction des fibres lisses.
Vrai
159
L'injection intra-caverneuse d'adrénaline ou de substances stimulantes, provoque la détumescence de la verge en érection.
Vrai
160
La sensibilité cutanée de la verge est androgéno-indépendante.
Faux, androgéno-dépendante.
161
Dans l'évaluation du diagnostic de l'impuissance, psychogène, la question des érections nocturnes doit être abordée.
Vrai
162
S'il y a absence de tumescence nocturne (plétysmographie), le trouble relèvera du psychogène et le médecin fera plusieurs tests afin de déterminer le trouble.
Faux, organique.
163
On retrouve chez les femmes en ménopause, une sécheresse vaginale due à la déficience en oestrogène.
Vrai
164
La puissance reliée à l'anti-hypertension est une cause très commune des causes organiques du trouble du désir.
Vrai
165
Les cas de dysfonctions érectiles ont une concordance directe avec l'âge. +/+
Vrai
166
La plupart des cas organes présentent une composante psychogène de degrés plus ou moins élevé, et les maladies systémiques et les effets pharmacologiques peuvent être étiologiques ou accompagnants.
Vrai
167
La dysfonction érectile du patient provient d'une seule source.
Faux, impossible.
168
On retrouve dans l'étiologie caverneuse : 1. Tunique albuginée 2. Muscles caverneux 3. Gap junction 4. Endothélium 5. Trabécules fibrolastiques 6. Veines émissaires
VraI
169
On retrouve dans l'étiologie neurogène : 1. Sensorielle 2. Motrice 3. Autonome 4. Neurotransmetteur
Vrai
170
On retrouve dans l'étiologie hormonale : 1. Testiculaire 2. Pituitaire 3. Thyroïdienne
Vrai
171
On retrouve dans l'étiologie artériogène : 1. Artérielle 2. Artériolaire
Vrai
172
La contraction des fibres lisses se nomme la vasodilatation.
Faux, vasoconstriction.
173
Le relâchement des fibres lisses se nomme la vasodilatation.
Vrai
174
Si la cause est organique, la sexologue peut alors le traiter.
Faux, médecin.
175
L'épidémiologie est les statistiques et prévalences des recherches.
Vrai.
176
Avant, la phase de l'orgasme était primordiale pour la reproduction.
Vrai, c'était synonyme d'éjaculation.
177
L'identité érotique de la femme est plus fragile.
Faux, l'homme.
178
La sexualité de l'homme est plus globale et diffuse.
Faux, la femme.
179
Pour le trouble de l'orgasme, si la perturbation a débuté après une période d'activité sexuelle relativement normale, c'est de l'acquis.
Vrai
180
Pour le trouble de l'orgasme, si la perturbation est présente depuis que le sujet est devenu sexuellement actif, c'est de tout temps.
Vrai
181
Trouble de l'orgasme situationnelle = n'est pas limitée à certains types de stimulations, de situations ou de partenaires.
Faux, généralisée.
182
Définition de l'orgasme : décharge de la tension érotique psychocorporelle globale grâce à l'excitation jusqu'au seuil.
Vrai
183
Environ 20 % des femmes n'ont jamais éprouvé d'orgasmes dans leur vie.
Faux, 10 %.
184
Si le diagnostic différentiel s'adonne à être : troubles mentaux non sexuels, on doit le référer à un médecin.
Faux, un psychiatre.
185
La sexualité s'étend de la puberté à la mort.
Vrai, selon Mansour... les enfants :O?
186
À petite dose l'alcool retarde l'orgasme.
Faux, à forte dose.
187
Il y a une baisse de réponse du SN lors de la prise d'alcool en grande quantité.
Vrai
188
Les tranquillisants à haute dose affectent l'orgasme.
Vrai
189
Les tranquillisants ont un impact sur le cerveau.
Faux, système limbique et moelle épinière.
190
Les narcotiques inhibent l'orgasme à forte dose.
Vrai
191
Examen Le Tofranil (antidépresseur) est prescrit pour les éjaculateurs précoces puisqu'il retarde l'éjaculation.
Vrai
192
Le lithium (pour bipolaire) affecte l'orgasme chez la femme.
Faux
193
Les stimulants à forte dose interfèrent négativement avec l'orgasme.
Vrai
194
Les antihypertenseurs élargissent les vaisseaux sanguins et à forte dose peuvent inhiber l'orgasme. La circulation vaginale est affectée causant des sécheresses et une perte d'érection chez l'homme.
Vrai
195
Le diabète affecte la moelle épinière.
Vrai
196
La sclérose latérale amyotrophique et la sclérose en plaque n'affecte pas la moelle épinière.
Faux
197
La dégénérescence n'affecte pas la moelle épinière.
Faux
198
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme. Si dans l'historique sexuelle de la personne le symptôme est global et non situationnel, aucun test n'est nécessaire il faut passer à l'étape des causes psychologiques.
Faux, c'est seulement lorsque c'est situationnel.
199
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme. Si dans l'historique sexuelle de la personne le symptôme est global, il doit y avoir une investigation pour trouver la cause, par exemple, examen génital, questionner sur les menstruations, questions médicales sur les médicaments pris, le diabète, douleur, problème urinaire, etc.
Vrai
200
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme. Si le trouble est situationnel et que le sexe thérapie ne fonctionne pas, on doit envoyer la personne faire un suivi psychiatrique et médical complet.
Vrai
201
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme. Lorsque la personne a eu des résultats après avoir consulter un autre professionnel, lui dire qu'il n'est pas nécessaire de communiquer avec une sexologue puisqu'on son problème est résolu.
Faux, continuer à suivre la personne.
202
L'éjaculation retardée soulève des plaintes surtout lors de la masturbation chez l'homme.
Faux, avec un/une partenaire.
203
Seulement 10% des hommes se plaignent de problèmes d'éjaculation qui durent plus de 6 mois.
Faux, 1 %.
204
2 fois plus de difficultés à éjaculer pour un homme de 80 ans que 60 en descendant.
Vrai
205
L'éjaculation précoce/retardée est un problème de régulation de tension.
Vrai
206
Plus grande tension et plus de temps = plus grande orgasme.
Vrai
207
Pour moduler la tension ça prend seulement le mouvement bascule réflexe.
Faux, l'oxygène d'une bonne respiration aussi.
208
La modulation de tension fait partie de l'approche psychosensorielle.
Faux, psychosexocorporelle.
209
La nouvelle définition de l'éjaculation précoce est une durée maximum de 3 minutes à l'intérieur du vagin.
Faux, 1 minute.
210
Avec cette définition, seulement 3 % de la population est réellement éjaculateur précoce.
Vrai
211
L'éjaculation précoce secondaire est psychogène.
Faux, peut être dû à des troubles physique comme l'inflammation de la prostate.
212
L'éjaculation précoce primaire est psychogène.
Vrai
213
Avec l'âge, le prise en charge de sa sexualité n'est pas nécessaire pour la maintenir dans certains cas.
Faux
214
La moyenne d'une pénétration pour l'homme est d'environ 15 minutes avant éjaculation.
Faux, 5 à 6 minutes.
215
Masters et Johnson ont apporté pour les femmes la notion du plaisir sexuel.
Vrai
216
Les troubles anxieux, telle que l'anxiété social, peut être une cause de l'éjaculation précoce.
Vrai
217
Il n'y a pas de cause organique connue pour les éjaculateurs précoces.
Vrai
218
Les causes de l'éjaculation précoce secondaire = l'anxiété d'une pathologie, comme maladie neurologique, trauma, problème prostatique.
Vrai
219
Les causes médicales de l'éjaculation retardée sont les sédatifs, alcool, antidépresseurs.
Vrai
220
Le diabète et la chirurgie prostatique peuvent causer l'éjaculation rétrograde.
Vrai
221
La chirurgie du système nerveux sympathique n'est pas une cause de l'anéjaculation.
Faux
222
L'effet indésirable des antidépresseurs touche le désir et l'érection en particulier.
Faux, orgasme et éjaculation retardée.
223
Certains antidépresseurs peuvent être prescrits pour retarder l'éjaculation chez les éjaculateurs précoces.
Vrai
224
Les médicaments antipsychotiques comprennent les problèmes du désir sexuel, érection, lubrification, éjaculation ou orgasme.
Vrai
225
Le lithium a des effets secondaires sur l'érection.
Faux, désir.
226
Les substances illicites causent une baisse de désir sexuel, dysfonction érectile et difficulté à atteindre l'orgasme,
Vrai
227
La dose toxique d'un médicament dépend de pleins de facteurs corporels propre à la personne.
Vrai
228
Plus la personne vieillie plus sa dose toxique s'éloigne du seuil de la dose thérapeutique.
Faux, elle se rapproche.
229
La caféine augmente la biodisponibilité de presque tous les médicaments.
Vrai
230
La viagra et le café ensemble n'ont aucun effet.
Faux, le viagra fait effet plus vite.
231
L'incidence des médicaments sur la réponse sexuelle est connue des sexologues.
Faux
232
Effet placebo : jusqu'à 30 % d'effet positif qui n'est pas médicamenteuse. Juste parce que la personne est sous médication se sent mieux naturellement. Effet nocebo : jusqu'à 30 % d'effet négatif qui n'est pas dû à la prise du médicament, mais aux faits de connaître les effets secondaires d'avance.
Vrai
233
Les drogues illicites touchent seulement une partie des phases du cycle de la réponse sexuelle.
Faux, pratiquement toutes.
234
Le café est la drogue la plus néfaste sur le long terme pour la réponse sexuelle.
Faux, la nicotine en abus chronique.
235
Les effets indésirables de la nicotine et alcool en abus chronique peuvent survenir très tôt dans la réponse sexuelle.
Faux, après des années de consommation.
236
L'alcool, cigarettes et café sont les drogues les plus consommées.
Vrai
237
Un maximum de 10 verres/semaine est acceptable pour ne pas avoir d'effet sur la réponse sexuelle.
Faux, 8 verres/semaine.
238
L'alcool aide à la sexualité.
Faux
239
La myéline est augmentée par l'alcool.
Faux, dissoute.
240
Effet négatif sur les neurotransmetteurs avec de l'alcool.
Vrai
241
L'alcool a un seuil de tolérance qui varie d'une personne à l'autre pour l'effet de la consommation.
Vrai
242
Boire de l'alcool sans manger altère le seuil de tolérance.
Vrai
243
L'effet sexuel négatif de la prise d'alcool est plus présent chez l'homme.
Faux, pareille pour les deux, juste moins visible par la lubrification de la femme que l'érection de l'homme.
244
L'alcool crée des comportements que vous ne pensiez pas faire.
Faux, ça ne fait que facilité des comportements déjà désirés.
245
L'alcoolisme est ponctuel et non régulier.
Faux, c'est l'abus d'alcool.
246
L'alcoolisme est la récurrence de la prise d'alcool, même pour 2 verres par exemple.
Vrai Parce que c'est au moment où la personne n'en prend pas une journée et que ça manque à la personne, recherche à boire.
247
Les tricycliques sont un peu moins dommageables pour la sexualité que les IMAO.
Vrai
248
Les effets iatrogènes sont des effets secondaires.
Vrai
249
La classification internationale des maladies (CIM-10) est à considérer avant de consulter le DSM-5.
Faux, c'est pour le diagnostic spécifique.
250
La caractéristique du diagnostique d'une DS induite par une substance/médicament est : une perturbation de la fonction sexuelle qui à une relation de temporalité avec le début de l'usage de la substance/médicament, l'augmentation de la dose ou l'arrêt.
Vrai
251
Les dysfonctions sexuelles ne sont pas associées avec l'arrêt de la substance/médicament.
Faux, ils peuvent.
252
L'alcool, les opiacés, sédatifs, hypnotiques, anxiolytiques ou psychostimulants, antidépresseurs, antipsychotiques, contraceptifs hormonaux et autres sont associés à une DS induite par une substance/médicament.
Vrai
253
Les antidépresseurs touchent la phase du désir et de l'érection.
Faux, orgasme et retard d'éjaculation.
254
Les antipsychotiques touchent toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
255
Le méthadone est associé à des dysfonctions érectiles.
Vrai
256
L'abus d'alcool chronique et l'abus chronique de nicotine sont associés à des problèmes d'orgasme.
Faux, érection.
257
La molécule utilisée dans les antidépresseurs peuvent faire varier les dysfonctions entre 25 et 80 %.
Vrai
258
Il y a plus de DS chez les personnes qui prennent de la MDMA/ecstasy que ceux qui abusent de l'héroïne.
Faux
259
Examen Environ 30 % des personnes présentant un retard d'éjaculation, sévérité légère à moyenne, connaîtront une rémission spontanée de cette DS dans les 6 mois.
Vrai
260
Certaines DS peuvent persister après l'arrêt des IMAO.
Faux, ISRS.
261
Les DS peuvent commencer après 8 jours suivant le début de la prise d'antidépresseurs.
Vrai Mais Mansour ajoute que c'est environ un mois pour IMAO et Tricyclique.
262
Examen Les effets secondaires de l'alcool et nicotine causent des DS qui apparaissent très tôt.
Faux, pas avant des années d'utilisation.
263
La section DS spécifiée du DSM-5 est utilisée fréquemment en consultation clinique.
Faux, très rare.
264
Lorsqu'on entre le trouble dans ''autre dysfonction sexuelle spécifiée'', on doit toujours justifier pourquoi ça ne répond pas à tous les critères du DSM-5.
Vrai
265
La catégorie ''autre dysfonction sexuelle non spécifiée'' sert à poser un diagnostique de DS, mais que nous avons pas toutes les informations puisque pour X raisons il est impossible de les recueillir chez le patient.
Vrai
266
La plainte principale de consultation pour une DS avec substance/médicament est la plainte d'un DS tout court.
Vrai
267
L'anamnèse est le diagnostique de la DS.
Faux, évaluation et collecte de données sur la personne.
268
Critères diagnostiques DSM-5 1. Les symptômes sont apparus avant ou juste après la prise de médication par une substance (ou un sevrage) ou après la prise.
Vrai
269
Critères diagnostiques DSM-5 2. La substance/médicament impliqué est susceptible de provoquer les symptômes de la plainte de DS. (en gros, que sur le médicament dans les effets secondaires il soit écrit : effets secondaires troubles sexuels).
Vrai
270
Chaque substance à un code dans le DIM-10.
Vrai
271
Les paramètres acceptés par la communauté scientifique pour les degrés de sévérité sont les suivant: Léger : se produit de 25-50 % des occasions de RS. Moyen : se produit de 50-75 % des occasions de RS. Grave : se produit dans 75 % ou plus des occasions de RS.
Vrai
272
La comorbidité signifie la mort suite à une prise de médication.
Faux, signifie simplement plus d'un trouble en même temps dans le cas de la cause d'une DS par exemple.
273
Le facteur étiologique est l'origine du trouble.
Vrai
274
Utilisée substance inconnue si le facteur étiologique se trouve dans une catégorie du CIM-10.
Faux, seulement si la substance n'est pas répertoriée.
275
La spécification de la sévérité est optionnelle.
Faux
276
À faible dose l'alcool a des retombées ''bénéfiques'' sur la sexualité.
Vrai
277
Les réactions sur l'alcool peuvent être subordonnées aux circonstances et à l'état psychologique du moment.
Vrai
278
L'alcool peut agir comme effet nocebo puisque c'est attendu d'avoir un effet stimulant et excitant, donc cela se produit.
Faux, effet placebo.
279
Les réactions des femmes diffèrent de celles des hommes lorsqu'elles consomment de l'alcool.
Faux, cependant l'érection est plus visible chez l'homme.
280
La phase du désir est autant atteinte par l'alcool que l'excitation.
Faux, puisque le désir est socialement construit, l'alcool ne fait que l'alimenter.
281
Les femmes qui boivent peu ont moins de problèmes de désir, orgasme coïtal et vaginisme.
Faux, celles qui boivent modérément. Peu ou beaucoup n'aide en rien.
282
Le traitement de la DS ne pourra débuter que 6 à 12 mois après une période d'abstinence de substance.
Vrai Cependant Mansour mentionne de débuter avant dans le but d'être un renforçateur positif de vouloir régler sa DS, donc ne pas recommencer à consommer.
283
Pour travailler sur comment enlever une DS, il faut utiliser la dynamique personnelle + subjective.
Vrai
284
Il est vrai de dire que les gens s'habituentà leur DS et qu'il faut déconstruire cette image de soi bâtie autour de la DS.
Vrai
285
Avoir trop consommé d'alcool a un effet (+,+) sur la perte d'érection. Le lendemain l'effet est encore la même.
Faux, le lendemain tout est revenu dans l'ordre dans la majorité des cas.
286
L'orgasme de la femme, malgré le retard, peut être sentie de façon plus intense sur l'effet de l'alcool.
Vrai
287
La gynécomastie n'est pas observée lors de l'abus d'alcool.
Faux, fréquente.
288
L'alcool, de même que les drogues non prescrites (ou de rue pour Camouille), est une substance psychotrope puisqu'elle agit au niveau du SNC et qu'elle entraîne des changements psychologiques et comportementaux.
Vrai
289
Le seul aphrodisiaque est l'imaginaire érotique.
Vrai
290
Après l'alcool, la cocaïne est la drogue la plus répandue à travers le monde.
Faux, cannabis
291
L'alcool et le cannabis ensemble peut donner de la dyspareunie.
Vrai
292
Le cannabis peut augmenter le plaisir sexuel dû à une intensité dans la perception du toucher et des sensations sexuelles ainsi que la détente. Ceci procure un effet de halo.
Vrai
293
L'orgasme dure plus longtemps sur le cannabis.
Faux, perception, puisqu'il y a distorsion dans le temps.
294
À long terme le cannabis pourrait causer une perte d'intérêt sexuel, mais les recherches à ce sujet sont contradictoires.
Vrai
295
La cocaïne à moyen terme affecte toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
296
Les amphétamines diminuent les DÉ et le désir.
Faux, augmentent les DÉ de 3x plus et augmentent le désir de 22 % :).
297
La méthadone est un opiacé dont l'action dure plus longtemps que l'héroïne, avec des effets similaires sur la réponse sexuelle.
Vrai
298
L'héroïne touche à toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
299
Le pourcentage de DS chez ceux qui consomment de la méthadone est 68,5 %.
Vrai
300
Les effets de la LSD sont plutôt stables. Diminution des phases de la réponse sexuelle.
Faux, très irrégulières.
301
La LSD varie d'euphorie et perceptions sensorielles, mais en même temps, l'action de stimulation sexuelle est moins présente.
Vrai Varie entre augmentation très grande à inhibition complète.
302
La méthaqualone, même effet que le cannabis, est considérée dans le milieu comme un aphrodisiaque.
Vrai, mais c'est faux, ça n'existe pas.
303
Les femmes préfèrent le cannabis (marijuana) à la méthaqualone pour les consommatrices.
Faux
304
La nitrite d'amyl est utilisée surtout chez les homosexuels en pénétration anale. Casser la capsule juste avant l'orgasme procure une forte vasodilation et augmente le plaisir orgasmique et une décontraction musculaire.
Vrai
305
Il n'y a aucun risque de perdre l'érection sur la nitrite d'amyl.
Faux, si la capsule est prise trop tôt avant l'orgasme, c'est le risque.
306
La papavérine est connue sous le nom de ''spanish fly''.
Faux, c'est la poudre de cantharide.
307
La poudre de cantharide est prohibée à cause des effets tels que : irritation vésicale, priapisme, vomissements, douleurs abdominales, choc et mort.
Vrai
308
Une poudre synthétique de la poudre de cantharide est sur le marché. C'est un irritant des muqueuses urétrales et vésicale, provoque une sensation tellement forte de vasocongestion que l'individu ressent le besoin de se soulager coïtalement.
Vrai Mais, dafuq? -_- c'est quoi le trip haha.
309
La drogue Yohimbine (yo-yo) est efficace à son maximum après 2-3 semaines, elle sert à maintenir l'érection. Efficace à 20-30 %.
Vrai Parfois encore prescrite à dose raisonnable pour traiter des difficultés érectiles.
310
Toutes les drogues prises en grandes quantités ne sont pas nécessairement dommageables. Dépend du type de substance.
Faux, elles le sont toutes.
311
La papavérine s'injecte à la base du pénis dans les corps caverneux pour maintenir l'érection.
Vrai
312
La papavérine contracte les muscles lisses.
Faux, décontracte, donc érection.
313
L'érection sur la papavérine se termine lors de l'éjaculation. Si l'éjaculation ne vient pas danger de ne plus perdre l'érection.
Vrai
314
L'épinéphrine est injectée comme substance vasoconstrictrice qui fait perdre l'érection dans un cas de priapisme dû à l'anéjaculation/anorgasmie sur la papavérine.
Vrai
315
La papavérine est de plus en plus remplacée par la prostaglandine E1 qui a environ les mêmes effets, mais moins d'effets secondaires et plus grande érection complète.
Vrai
316
Les diurétiques causent des DS.
Faux
317
Les hypertenseurs n'interfèrent pas sur la réponse sexuelle.
Faux, la classe de médicament qui l'affecte le plus.
318
Les alphabloquants, bétabloquants, bloqueurs de canaux calciques sont des hypertenseurs qui peuvent causer ou augmenter une DS déjà existante.
Vrai Surtout DÉ et lubrification.
319
Dans les psychotropes : antidépresseurs, neuroleptiques, tranquillisants mineurs, alcool et drogues de rue.
Vrai
320
Dans les hormones : antiandrogènes, progestatifs, oestrogèenes, antioestrogèenes, COC, LH-RH ou Gn-RH.
Vrai
321
Tous les antidépresseurs peuvent avoir un impact sur toutes les phases de la réponses sexuelles, dépendant la dose et varie d'une personne à l'autre.
Vrai
322
La capacité érectile est la plus touchée par les IMAO.
Faux, la moins touchée de toutes les phases.
323
Le lithium prescrit en dose pour le cas de dépressions chroniques touche 15 % dysfonction érectile et 50 % désir sexuel.
Vrai
324
Les neuroleptiques occasionnent seulement des troubles du désir.
Faux, inhibent l'éjaculation, orgasme et érection/lubrification et diminuent la libido.
325
Les tranquillisants ne touchent pas réellement les phases de la réponse sexuelle, ci ce n'est que l'effet sédatif diminue le désir et des difficultés éjaculatoires. Mais ce médicament n'a pas d'effet comme tel sur la fonction sexuelle.
Vrai
326
Tous les antidépresseurs augmentent ou diminuent les troubles du désir.
Vrai
327
Examen Le tofranil est un antidépresseur tricyclique/imipramine donné pour les éjaculateurs précoces.
Vrai
328
Les hormones peuvent donner un effet positif (comme aphrodisiaque) si injectées en surplus.
Faux, aucune incidence.
329
La testostérone peut améliorer la réponse sexuelle chez la femme.
Vrai, mais peut entraîner des effets masculinisants.
330
Les antiandrogènes, donnés aux abuseurs sexuels, possèdent des propriétés progestérones et oestrogènes diminuant la testostérone plasmatique et le niveau de FSH et LH.
Vrai
331
Les antiandrogènes provoquent une incapacité érectile chez le 2/3 des individus.
Faux, 1/3.
332
Les progestatifs peuvent diminuer le désir des deux sexes et la capacité érectile chez l'homme.
Vrai
333
Les oestrogènes chez l'homme (médicament cancer de la prostate) augmentent l'intérêt sexuel.
Faux, diminuent.
334
Les antioestrogènes semble avoir un effet positif sur la sexualité (traitement infertilité et cancer du sein).
Vrai
335
La COC change le désir sexuel.
Faux, augmentation pour celles qui n'ont plus peur de tomber enceinte, diminution chez d'autres. Donc, rien ne se dégage de ça dans les études.
336
La LR-RH ou GnRH cause de fortes pertes de désir et une importante réduction des activités sexuelles (traiter cancer prostate).
Vrai
337
On peut conclure pour les hormones que c'est plutôt au niveau du désir et excitation sexuelle.
Vrai
338
Les anticholinergiques peuvent causer une augmentation du désir et entraîner une exagération des comportements sexuels.
Vrai
339
À cause de la fonction érectile des hommes, on dit que les hommes sont plus touchés que les femmes par les substances.
Vrai
340
Le pelvi-périnéal était anciennement appelé la région honteuse.
Vrai
341
La dyspareunie est une douleur toujours persistante.
Faux, persistante OU récurrente.
342
Examen La dyspareunie profonde est une douleur pelvienne ou du fond du vagin associé au rapport sexuel et déclenchée par une pénétration vaginale profonde. (2/3 interne du vagin)
Vrai
343
La dyspareunie superficielle est une douleur de siège superficiel, orificiel, vulvaire ou vulvo-vaginal associé à un rapport sexuel et déclenché par l'intromission du pénis. (1/3 externe du vagin)
Vrai
344
L'épisiotomie (couper et recoudre lors de l'accouchement) peut provoquer la dyspareunie.
Vrai
345
Le 1/3 externe du vagin : même matière que ectoderme (sensible). Le 2/3 interne du vagin : même matière que endomètre (pas sensible au toucher).
Vrai
346
Le vaginisme est associé au désir de vouloir être pénétré, mais ne pas pouvoir.
Faux, associé à une attitude d'évitement des rapports, anticipation ou crainte des douleurs.
347
La dyspareunie parvient seulement lors de tentatives de rapports sexuels.
Faux, peut parvenir en faisant du vélo, gym, uriner, etc.
348
L'endométriose est une des causes les plus fréquentes pour le vaginisme.
Faux, pour la dyspareunie.
349
La rééducation périnéale a fait ses preuves pour le traitement de la vestibulodynie.
Vrai
350
L'augmentation de l'adrénaline cause l'érection.
Faux, contraction des fibres lisses : flaccidité.
351
Le relâchement des fibres lisses aréolaires cause l'érection.
Vrai
352
La dilatation artérielle se retrouve à l'état flasque.
Faux, érection.
353
La contraction des muscles ischiocaverneux et bulbospongieux donne ''l'érection'' du clitoris.
Faux érection chez l'homme.
354
Les fibres parasympathiques sont responsables de la dilatation artérielle.
Vrai
355
Les fibres somatiques sont responsables de la contractions des muscles ischiocaverneux et bulbospongieux.
Vrai
356
Les fibres orthosympathiques avec dose d'adrénaline sont responsables du relâchement des fibres lisses aréolaires du clitoris.
Faux, contraction, donc flaccidité du clitoris.
357
Les fibres orthosympathiques avec baisse d'adrénaline sont responsables du relâchement des fibres lisses aréolaires.
Vrai, érection chez l'homme.
358
Vasodilatation = fermeture des vaisseaux sanguins.
Faux, vasoconstriction.
359
Si le patient a des érections nocturnes, le trouble est psychogène, transférer au sexologue.
Vrai
360
Si le patient n'a pas des érections nocturnes, le trouble est organique, transférer au médecin pour tests poussés (testostérone, taux de sucre, cholestérol, tests péniens).
Vrai
361
La Testostérone biodisponible = la testostérone (Libre) + La Testostérone (Légèrement liée).
Vrai
362
La Testostérone biodisponible est importante à mesurer car elle nous donne la capacité totale de l'action réelle et potentielle de la Testostérone.
Vrai
363
La testostérone active biologiquement ou pharmacologiquement est la testostérone Libre. T(Libre).
Vrai
364
La Testostérone liée à la TEBG OU TEBG, reste bien liée avec ce transporteur spécifique et elle n'a aucune action biologique.
Vrai, ne sert à rien.
365
La Testostérone légèrement liée par exemple à l'albumine peut s'en libérer et devenir biologiquement active.
Vrai
366
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) Le VIP inhibe la phosphodiestérase.
Faux, c'est la papavérine.
367
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) L'adrénaline favorise l'entrée cellulaire du calcium (Ca++).
Vrai
368
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) La phosphodiestérase lorsqu'inhibée, maintient l'AMPc élevée qui inhibe à son tour la calmoduline, donc érection.
Vrai
369
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) Le VIP provoque une érection.
Vrai
370
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) La prostaglandine PE1 provoque une érection.
Vrai
371
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) Adényl Cyclase se transforme en AMPc.
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372
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) Les aBloquants bloquents l'entrée cellulaire du calcium (Ca++), ce qui inhibe la calmoduline et provoque une érection.
Vrai
373
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) Le calcium provoque une érection.
Faux
374
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F) La phosphodiestérase provoque une dégradation de l'AMPc.
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375
RÉSUMÉ - ÉRECTION INHIBÉE ``` Calmoduline Phosphodiestérase Calcium (Ca ++) Adrénaline Vasoconstriction fibres lisses ```
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376
RÉSUMÉ - ÉRECTION ``` VIP Papaverine aBloquants ATP AMPc Vasodilatation fibres lisses ```
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