Notes examen final Vrai ou Faux Flashcards
Le mot ‘‘diagnostic’’ peut être utilisé par les sexologues de l’OPSQ.
Faux, sexologue membre de l’ordre des psychologues en psychothérapie.
Le désir est neuro-vasculaire.
Faux, neuro-hormonal.
L’excitation sexuelle est neuro-vasculaire.
Vrai
L’orgasme est neuro-hormonal.
Faux, neuro-musculaire.
La testostérone est l’hormone nécessaire au désir pour les deux sexes, mais pas suffisante à elle seule.
Vrai
La testostérone est 10x supérieure chez la femme que chez l’homme.
Faux, chez l’homme.
La testostérone chez la femme passe par les ovaires et les glandes surrénales.
Vrai
La phase du désir chez l’homme est la variation du volume du pénis qui pourrait être visible par le pléthysmographie pénienne.
Vrai
La phase du désir chez la femme provoque de la chaleur aux organes génitaux et parfois un début de lubrification.
Vrai
Le désir a deux dimensions : hormonal et physique.
Vrai
Une dose de testostérone en dessous de la dose régulière n’est pas à craindre pour le désir.
Faux
Chez la femme la recherche de génitalité au début d’une relation sexuelle est prioritaire.
Faux, chez l’homme (généralité), la femme c’est la sensualité.
Dans la phase de l’excitation, la vasocongestion est la lubrification vaginale chez la femme.
Vrai
Dans la phase de l’excitation, ce sont les corps caverneux qui se remplissent de sang et la dilatation pénienne chez l’homme.
Vrai
Chez l’homme le processus des phases est circulaire et chez la femme c’est linéaire.
Faux, contraire.
Les femmes vivent majoritairement des fantasmes et désirs spontanés.
Faux, chez l’homme.
Les réflexes, le plaisir et les spasmes des muscles génitaux font partie de la phase de l’orgasme.
Faux, excitation.
L’orgasme chez la femme est une contraction des muscles vaginaux aux 0,8 secondes.
Vrai
Les dimensions culturelles sont primordiales à l’approche sexologique.
Vrai
La testostérone est responsable des signes sexuels primaires.
Faux, secondaires.
Pour vérifier le niveau de testostérone chez l’homme.
Demandez au client si :
- La barbe pousse moins vite.
- Le volume de l’éjaculat a diminué.
- Le volume des testicules a diminué.
- La masse musculaire a diminué.
- La voix est plus claire.
- Pléthysmographie nocturne plat en cas d’absence (totale) de testostérone.
Vrai
Les principales causes de baisse de testostérone.
- Le syndrome de Klinefelter (XXY).
- La diminution des gonadotrophines,
- L’augmentation de la prolactine.
- Les maladies testiculaires.
- L’urémie.
- L’alcoolisme (maladies hépatiques).
- Maladies endocrines.
- L’irradiation pelvienne.
- Certains médicaments.
Vrai
La prolactine a 2 effets néfastes sur le désir : augmentation de la testostérone et augmentation de l’effet de la dopamine.
Faux, diminution des deux.
Le traumatisme local des testicules est des microtraumatismes (ex. : le marteau piqueur toute la journée, sur le long terme).
Vrai
Examen.
L’alcool (rythme régulier tous les jours), provoque une baisse de testostérone.
Vrai
La testostérone est synthétisée dans les gonades.
Vrai
Au niveau du cerveau, sans dopamine, il n’y a pas de désir sexuel.
Vrai
La dopamine augmente l’acide nitrique (No) qui augmente la testostérone.
Faux, la testostérone augmente la No qui augemente la dopamine.
Principales causes physiologiques d’une augmentation de la prolactine.
- Le sommeil
- L’allaitement
- La manipulation des seins
- Le stress
- L’anesthésie
- L’exercice physique
- L’examen physique (médical)
- La relation sexuelle
Vrai
Principales causes pathologiques d’une augmentation de la prolactine.
- Idiopathique (systémique)
- Médicaments (anti-dépresseurs, oestrogène et cimetidine)
- L’hypothyroïdie
- Les maladies rénales
- Les atteintes thoraciques
- Tumeurs hypophysaires
Vrai
Les anti-dépresseurs tricycliques augmentent la prolactine chez la femme et causent un trouble du désir.
Vrai
Syndrome de l’augmentation de la prolactine de la femme :
- Baisse du désir sexuel
- Galactorrhée (lait qui coule) ou aménorrhée (zéro menstruation)
- Hémorragie utérine anormale
- Vaginite atrophique
- Dyspareunie
- Anorgasmie primaire
Vrai
Syndrome de l’augmentation de la prolactine de l’homme :
- Baisse du désir sexuel
- Galactorrhée pas facilement visible
- Gynécomastie (avoir des seins)
- Trouble érectile (+ ou -)
- Anéjaculation primaire
Vrai
Moins d’une fois par mois est problématique lorsque ce n’est pas désirée comme situation.
Vrai
Normalité statistique = 5 fois par semaine.
Faux, 3 fois.
Déficience ou absence persistante ou répétée de fantaisies imaginatives d’ordre sexuel et de désir d’activité sexuelle sont considérées comme un trouble du désir.
Vrai
Les facteurs de l’âge et du contexte existentiel du sujet ne doivent pas être tenus en compte pour faire la différence entre la déficience ou l’absence de fantaisies.
Faux
La perturbation est à l’origine d’une souffrance marquée ou de difficultés personnelles selon le DSM-IV.
Faux, DSM-V.
Examen. Chez la femme.
Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l’intérêt pour l’activité sexuelle OU de l’excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants :
- Absence/diminution de l’intérêt pour l’activité sexuelle.
- Absence/diminution des pensées érotiques ou sexuelles ou des fantaisies imaginatives.
- Peu ou pas d’initiation de l’activité sexuelle et, typiquement, absence de réceptivité aux tentatives du partenaire pour initier l’activité sexuelle.
- Absence/diminution de l’excitation ou du plaisir sexuel dans presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles.
- Absence/diminution de l’intérêt sexuel ou de l’excitation sexuelle en réponse aux signaux sexuels/érotiques, internes ou externes (ex.: écrits, verbaux, visuels).
- Absence/diminution des sensations génitales ou non génitales pendant l’activité sexuelle presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles.
Vrai
Examen. Chez l’homme.
Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l’intérêt pour l’activité sexuelle OU de l’excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants :
- Déficience ou absence persistante ou répétée de pensées sexuelles/érotiques ou de fantaisies imaginatives et du désir d’activité sexuelle. L’évaluation de la déficience est faite par le clinicien qui doit prendre en compte les facteurs susceptibles d’affecter le fonctionnement sexuel tels que l’âge et les contextes généraux et socioculturels de la vie du sujet.
- Les symptômes du critère 1 persistent depuis une durée minimum d’approximativement 6 mois.
- Les symptômes du critère 1 provoquent une souffrance cliniquement significative chez la personne.
- La dysfonction sexuelle n’est pas mieux expliquée par un trouble mental non sexuel ou comme étant la conséquence d’une souffrance sévère liée à une relation ou par d’autres facteurs de stress significatifs, et n’est pas due aux effets d’une substance/d’un médicament ou d’une autre affection médicale.
De tout temps : la perturbation a été présente depuis que le sujet est devenu sexuellement actif.
Vrai
Examen.
La testostérone augmente le désir seulement lorsqu’elle est donnée à quelqu’un qui est en déficience. Sinon, elle n’augmente pas mais doit être présente en quantité normale.
Vrai
La dopamine si elle est augmentée, augmente directement le désir (mais pas d’injection de dopamine parce que c’est dans le cerveau).
Vrai
L’incitateur sexuel le plus commun est la stimulation physique et génitale.
Vrai
Les inhibiteurs sexuel :
- Trouble hormonal.
- Effets secondaires des médicaments.
- Dépression.
- Partenaire non séduisant à notre goût.
- Pensée négative.
- Pas de fantasme.
- Émotions négatives.
- Stress et colère.
Vrai
L’amour est nécessaire et suffisant pour une envie de relation sexuelle.
Faux, à l’exception d’un fort construit social à lequel tu crois.
La testostérone est un aphrodisiaque.
Faux
Il existe différents types d’aphrodisiaques.
Faux, aucun.
Les fantasmes érotiques et l’imaginaire érotique ont besoin de testostérone.
Vrai
Les fantasmes érotiques sont à l’intérieur de nous (cognitif) pour prédisposer au désir sexuel.
Vrai
Examen.
La testostérone libre = testostérone active.
La testostérone liée légèrement + testostérone libre = testostérone biodisponible.
Vrai
testostérone : Testostérone libre + testostérone liée légèrement + testostérone très liée (Tsbg)
Examen.
La sensibilité du gland est due à la testostérone.
Vrai
Le désir de l’homme est 10x plus élevé que chez la femme.
Faux, pas besoin de la même dose pour femme et homme.
Si on enlève les ovaires chez la femme, il y a absence de testostérone.
Faux, diminution, les glandes surrénales continuent d’en produire.
Examen.
Médications qui peut interagir avec le désir sexuel.
- Antidépresseur (tricyclique, MAOi, lithium).
- Alcool.
- Antihistamines.
- Cyproterone acetate (pour le cancer prostatique).
Vrai
Examen.
La testostérone est nécessaire jusqu’à la dose nécessaire, mais pas suffisante au désir sexuel.
Vrai
L’épidémiologie est les statistiques/prévalence par rapport à la population. (Par exemple, combien de personnes ont ça? Quelle population ça touche?)
Vrai
10 ans de diabète non traité donne une perte de sensibilité.
Faux, 15 ans.
Des sous-vêtements très serrés chez la femme fait perdre la sensibilité indéfiniment.
Faux, temporairement.
Le clitoris et le vagin sont des zones érogènes primaires.
Vrai
Perception est la conjugaison entre la stimulation des sensoriscepteurs (des 5 sens) conduite vers le cerveau qui va reconstruire (subjectif à chacun).
Vrai
Chaîne primordiale dans la naissance de l’excitation sexuelle.
Sensoriscepteurs - Perception - Affect - Émotion
Vrai
Vasoconstriction = fermeture des vaisseaux. Vasodilatation = ouverture des vaisseaux.
Vrai
L’excitation est la vasoconstriction.
Faux, vasodilatation.
Dans l’excitation chez la femme, c’est le début de la transsudation.
Vrai
Les glandes de Bartolin produisent de la lubrification vaginale.
Faux, garde le vagin toujours un peu humide mais ne rentre pas en interférence dans la phase de l’excitation.
Excitation chez la femme :
- Début de l’élévation utérine.
- Allongement du vagin.
- Augmentation de la taille des petites lèvres.
- Séparation et élévation des grandes lèvres.
Vrai
Le désir et l’excitation chez la femme sont combinés en 1 diagnostique dans le DSM-5.
Vrai, trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle.
Il faut avoir au moins 2 des critères dans le DSM pour poser un diagnostique du trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 3.
La durée minimum est d’un an pour émettre un diagnostique du trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 6 mois.
L’excitation est la variation du volume et de la rigidité du pénis.
Vrai
Verge = déjà en érection. Pénis = état flasque.
Vrai
L’excitation chez l’homme :
- Élévation testiculaire.
- Épaississement de la peau et du dartos.
- Érection réversible.
Vrai
Le gland sert à amortir la rigidité de la verge dans l’entrée du col.
Vrai
La moindre atteinte d’une artère dans la région génitale de l’homme = plus (0) d’apport de sang dans les corps caverneux.
Vrai
Dans le corps humain, pour chaque artère il y a 2 veines.
Vrai
La cloison trouée entre les deux corps caverneux s’appellent : Cloison pectiniforme.
Vrai
La fascia de Buck est formée de collagène.
Vrai
La fascia de Buck se ferme complètement lors de l’érection.
Faux, sinon il n’y aurait plus d’apport d’oxygène, ce qui causerait de la gangrène irréversible automatiquement et le pénis deviendrait froid.
Tunique albuginée est un synonyme plus récent de la fascia de Buck.
Vrai
La fonction de la tunique albuginée sert à l’état flasque.
Faux, la rigidité pénienne.
Il y a des os dans le pénis.
Faux
Albuginée du corps caverneux sert à maintenir les sinusoïdes.
Vrai
Testostérone avec MOR = érections nocturnes.
Vrai
L’irrigation des corps caverneux n’est pas nécessaire chaque jour.
Faux
La castration, si l’homme n’utilise pas une pompe pour irriguer le pénis tous les jours, peut causer une perte d’érection permanente.
Vrai
La verge et le gland sont des zones érogènes primaires.
Vrai
Du vasoconstricteur passant par le sympathique, augmentation de l’adrénaline sert à maintenir l’érection.
Faux, retour à la flaccidité.
Contraction des fibres lisses = vasoconstriction.
Vrai
Relâchement des fibres lisses = vasodilatation.
Vrai
ATP = 21 kcal.
Vrai
Inhiber la calmoduline = érection.
Vrai
Le viagra inhibe la phosphodiestérase 5
Vrai
Pour un diagnostique de dysfonction, il doit y avoir 6 mois et plus de la perturbation seulement peu importe comment la personne le vit.
Faux, il doit y avoir plainte du patient.
Dans la prévalence, il y a une forte augmentation de la l’incidence des problèmes d’érection, en particulier après l’âge de 40 ans.
Faux, 50 ans.
2 parties dans l’évaluation
Évaluation objective : sexophysiologique
Intersubjective : entrevue, questionnaire, etc.
Vrai
Première chose à savoir c’est si c’est psychogène ou organique le trouble?
Vrai
Psychogène si le pléthysmographe donne une absence d’érection nocturne.
Faux, organique.
Tous troubles organiques peuvent nécessiter quand même une sexologue puisqu’avoir un trouble organique peut causer un apport psychologique chez la personne qui vit avec le trouble.
Vrai
Rétablir la sexualité après les troubles organiques devraient être fait par la sexologue lorsque le trouble est réglé.
Vrai
Lubrification vaginale.
Bonne santé (absolument avoir oestrogène).
Vrai
La sécheresse vaginale est peu commune après la ménopause.
Faux
Les médications de l’hypertension créent une impuissance et troubles de dysfonction de l’excitation.
Vrai
Dysfonction érectile augmente avec l’âge.
Vrai
L’impuissance érectile fait partie de l’orgasme.
Faux, de la phase d’excitation.
Le désir sexuel hyperactif et l’aversion sexuelle font partie de la phase du désir.
Faux, c’est le désir sexuel hypoactif.
La consommation de cannabis est une des causes de la baisse de testostérone.
Vrai
En général le désir sexuel est indépendant de la concentration plasmatique de la testostérone.
Vrai
La prise d’antidépresseur peut être la cause de la baisse du désir sexuel.
Vrai
L’augmentation de la prolactine dans le corps peut être l’augmentation du désir sexuel.
Faux, après un certain point il n’y a plus de corrélation entre les deux (si augmentation de testostérone en haut du seuil, pas d’incidence directe sur le désir).
L’enregistrement d’une pléthysmographie pénienne nocturne est plat lorsqu’il y a absence de testostérone.
Vrai
La dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux chez l’homme est le syndrome de la douleur post-éjaculat qui crée des spasmes.
Vrai
La vaginisme est associée à une douleur sexuelle.
Faux, une dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux.
La dyspareunie est considérée comme étant une dysfonction de la douleur sexuelle seulement chez la femme.
Faux, chez l’homme aussi.
La dopamine est synthétisée dans les gonades.
Faux, la testostérone.
L’hypofonctionnement de la thyroïde, de l’hypophyse et des surrénales ont un impact direct sur l’augmentation de la testostérone.
Faux, diminution.
La castration chimique pour un abuseur sexuel doit être ordonnée par un juge.
Vrai
L’injection de cortisone baisse la testostérone.
Vrai
La dépression cause un trouble du désir quand la dopamine est en chute.
Vrai
La perturbation est à l’origine d’une souffrance marquée ou de difficultés interpersonnelles.
Vrai
L’aversion sexuelle est une recherche de contact génital démesurée.
Faux, l’évitement.
Le DSM-5 à combiné la phase de l’excitation et du plateau.
Faux, excitation et désir.
Le partenaire attirant est un incitateur sexuel de l’ordre de la physiologie.
Faux, incitateur psychologique.
La médication avec effets secondaires est un inhibiteur psychologique.
Faux, un suppresseur physiologique.
Le stress et la colère sont des inhibiteurs psychologiques.
Vrai
La testostérone totale est la testostérone légèrement liée, la testostérone libre et la testostérone TsBG.
Vrai
La sensibilité pénienne est augmentée lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Faux, diminuée.
Les symptômes sexuels sont génitaux lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Faux, ils sont globaux.
Chez la femme l’orgasme est absent ou diminuée lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Vrai
La fluctuation de la libido est absente lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Vrai
Les médicaments d’hypertension et cardiaque ne réduisent pas le désir sexuel.
Faux
Les conditions qui causent la dyspareunie réduisent le désir sexuel.
Vrai
Les antihistaminiques augmentent le désir sexuel.
Faux, diminuent.
Le lithium pour les troubles de l’humeur réduit le désir sexuel.
Vrai
Il y a des dysfonctions érectiles après l’enlèvement de la prostate par chirurgie.
Vrai
La cyproterone acetate est un anti-androgène utilisé pour le cancer des testicules.
Faux, de la prostate.
L’épidémiologie est les statistiques par rapport à la population et la prévalence d’une étude, le nombre de personnes, qui?, etc.
Vrai
Chez la femme les zones érogènes secondaires sont la vulve et les mamelons.
Vrai
Dans al phase de l’excitation, on retrouve chez la femme les contractions utérines ainsi que des muscles pelviens.
Faux, phase de l’orgasme.
L’allongement et l’élargissement du vagin et la tumescence des tissus érectiles et semi-érectiles se font dans la phase de l’excitation.
Vrai
Il est important de déterminer toutes les causes avant d’émettre, de confirmer ou d’infirmer un diagnostic sexuel.
Vrai
Dans le schéma des artères péniennes, il y a les artères suivantes :
- Dorsale
- Caverneuse
- Bulbaire
- Interne pudendale
- Urétrale
Vrai
La cloison pectiniforme se retrouve entre les corps spongieux.
Faux, caverneux.
L’urètre se retrouve dans le corps spongieux.
Vrai
L’artère caverneuse envoi du sang entre les sinusoïdes.
Vrai
Les bandelettes musculaires autour du pénis sont lisses.
Faux, striées.
Le gland fait partie du corps spongieux.
Vrai
Le corps spongieux et les corps caverneux sont constitués de tissu érectile.
Vrai
La testostérone est nécessaire au éjaculation nocturne.
Vrai
Partant du centre médullaire ‘‘vasoconstricteur’’ et passant par les fibres sympathiques, une hausse d’adrénaline provoque une érection.
Faux, contraction des fibres lisses aréolaires : flaccidité.
La flaccidité est la conséquence de la contraction des fibres musculaires lisses des cloisons interaréolaires, provoquée par l’adrénaline libérée par le système ortho-sympathique.
Vrai