Notes examen final Vrai ou Faux Flashcards
Le mot ‘‘diagnostic’’ peut être utilisé par les sexologues de l’OPSQ.
Faux, sexologue membre de l’ordre des psychologues en psychothérapie.
Le désir est neuro-vasculaire.
Faux, neuro-hormonal.
L’excitation sexuelle est neuro-vasculaire.
Vrai
L’orgasme est neuro-hormonal.
Faux, neuro-musculaire.
La testostérone est l’hormone nécessaire au désir pour les deux sexes, mais pas suffisante à elle seule.
Vrai
La testostérone est 10x supérieure chez la femme que chez l’homme.
Faux, chez l’homme.
La testostérone chez la femme passe par les ovaires et les glandes surrénales.
Vrai
La phase du désir chez l’homme est la variation du volume du pénis qui pourrait être visible par le pléthysmographie pénienne.
Vrai
La phase du désir chez la femme provoque de la chaleur aux organes génitaux et parfois un début de lubrification.
Vrai
Le désir a deux dimensions : hormonal et physique.
Vrai
Une dose de testostérone en dessous de la dose régulière n’est pas à craindre pour le désir.
Faux
Chez la femme la recherche de génitalité au début d’une relation sexuelle est prioritaire.
Faux, chez l’homme (généralité), la femme c’est la sensualité.
Dans la phase de l’excitation, la vasocongestion est la lubrification vaginale chez la femme.
Vrai
Dans la phase de l’excitation, ce sont les corps caverneux qui se remplissent de sang et la dilatation pénienne chez l’homme.
Vrai
Chez l’homme le processus des phases est circulaire et chez la femme c’est linéaire.
Faux, contraire.
Les femmes vivent majoritairement des fantasmes et désirs spontanés.
Faux, chez l’homme.
Les réflexes, le plaisir et les spasmes des muscles génitaux font partie de la phase de l’orgasme.
Faux, excitation.
L’orgasme chez la femme est une contraction des muscles vaginaux aux 0,8 secondes.
Vrai
Les dimensions culturelles sont primordiales à l’approche sexologique.
Vrai
La testostérone est responsable des signes sexuels primaires.
Faux, secondaires.
Pour vérifier le niveau de testostérone chez l’homme.
Demandez au client si :
- La barbe pousse moins vite.
- Le volume de l’éjaculat a diminué.
- Le volume des testicules a diminué.
- La masse musculaire a diminué.
- La voix est plus claire.
- Pléthysmographie nocturne plat en cas d’absence (totale) de testostérone.
Vrai
Les principales causes de baisse de testostérone.
- Le syndrome de Klinefelter (XXY).
- La diminution des gonadotrophines,
- L’augmentation de la prolactine.
- Les maladies testiculaires.
- L’urémie.
- L’alcoolisme (maladies hépatiques).
- Maladies endocrines.
- L’irradiation pelvienne.
- Certains médicaments.
Vrai
La prolactine a 2 effets néfastes sur le désir : augmentation de la testostérone et augmentation de l’effet de la dopamine.
Faux, diminution des deux.
Le traumatisme local des testicules est des microtraumatismes (ex. : le marteau piqueur toute la journée, sur le long terme).
Vrai
Examen.
L’alcool (rythme régulier tous les jours), provoque une baisse de testostérone.
Vrai
La testostérone est synthétisée dans les gonades.
Vrai
Au niveau du cerveau, sans dopamine, il n’y a pas de désir sexuel.
Vrai
La dopamine augmente l’acide nitrique (No) qui augmente la testostérone.
Faux, la testostérone augmente la No qui augemente la dopamine.
Principales causes physiologiques d’une augmentation de la prolactine.
- Le sommeil
- L’allaitement
- La manipulation des seins
- Le stress
- L’anesthésie
- L’exercice physique
- L’examen physique (médical)
- La relation sexuelle
Vrai
Principales causes pathologiques d’une augmentation de la prolactine.
- Idiopathique (systémique)
- Médicaments (anti-dépresseurs, oestrogène et cimetidine)
- L’hypothyroïdie
- Les maladies rénales
- Les atteintes thoraciques
- Tumeurs hypophysaires
Vrai
Les anti-dépresseurs tricycliques augmentent la prolactine chez la femme et causent un trouble du désir.
Vrai
Syndrome de l’augmentation de la prolactine de la femme :
- Baisse du désir sexuel
- Galactorrhée (lait qui coule) ou aménorrhée (zéro menstruation)
- Hémorragie utérine anormale
- Vaginite atrophique
- Dyspareunie
- Anorgasmie primaire
Vrai
Syndrome de l’augmentation de la prolactine de l’homme :
- Baisse du désir sexuel
- Galactorrhée pas facilement visible
- Gynécomastie (avoir des seins)
- Trouble érectile (+ ou -)
- Anéjaculation primaire
Vrai
Moins d’une fois par mois est problématique lorsque ce n’est pas désirée comme situation.
Vrai
Normalité statistique = 5 fois par semaine.
Faux, 3 fois.
Déficience ou absence persistante ou répétée de fantaisies imaginatives d’ordre sexuel et de désir d’activité sexuelle sont considérées comme un trouble du désir.
Vrai
Les facteurs de l’âge et du contexte existentiel du sujet ne doivent pas être tenus en compte pour faire la différence entre la déficience ou l’absence de fantaisies.
Faux
La perturbation est à l’origine d’une souffrance marquée ou de difficultés personnelles selon le DSM-IV.
Faux, DSM-V.
Examen. Chez la femme.
Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l’intérêt pour l’activité sexuelle OU de l’excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants :
- Absence/diminution de l’intérêt pour l’activité sexuelle.
- Absence/diminution des pensées érotiques ou sexuelles ou des fantaisies imaginatives.
- Peu ou pas d’initiation de l’activité sexuelle et, typiquement, absence de réceptivité aux tentatives du partenaire pour initier l’activité sexuelle.
- Absence/diminution de l’excitation ou du plaisir sexuel dans presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles.
- Absence/diminution de l’intérêt sexuel ou de l’excitation sexuelle en réponse aux signaux sexuels/érotiques, internes ou externes (ex.: écrits, verbaux, visuels).
- Absence/diminution des sensations génitales ou non génitales pendant l’activité sexuelle presque toutes ou (75 a 100%) les situations de rencontres sexuelles.
Vrai
Examen. Chez l’homme.
Critères diagnostiques : déficience ou réduction significative de l’intérêt pour l’activité sexuelle OU de l’excitation sexuelle qui se manifeste par AU MOINS trois des symptômes PENDANT 6 MOIS suivants :
- Déficience ou absence persistante ou répétée de pensées sexuelles/érotiques ou de fantaisies imaginatives et du désir d’activité sexuelle. L’évaluation de la déficience est faite par le clinicien qui doit prendre en compte les facteurs susceptibles d’affecter le fonctionnement sexuel tels que l’âge et les contextes généraux et socioculturels de la vie du sujet.
- Les symptômes du critère 1 persistent depuis une durée minimum d’approximativement 6 mois.
- Les symptômes du critère 1 provoquent une souffrance cliniquement significative chez la personne.
- La dysfonction sexuelle n’est pas mieux expliquée par un trouble mental non sexuel ou comme étant la conséquence d’une souffrance sévère liée à une relation ou par d’autres facteurs de stress significatifs, et n’est pas due aux effets d’une substance/d’un médicament ou d’une autre affection médicale.
De tout temps : la perturbation a été présente depuis que le sujet est devenu sexuellement actif.
Vrai
Examen.
La testostérone augmente le désir seulement lorsqu’elle est donnée à quelqu’un qui est en déficience. Sinon, elle n’augmente pas mais doit être présente en quantité normale.
Vrai
La dopamine si elle est augmentée, augmente directement le désir (mais pas d’injection de dopamine parce que c’est dans le cerveau).
Vrai
L’incitateur sexuel le plus commun est la stimulation physique et génitale.
Vrai
Les inhibiteurs sexuel :
- Trouble hormonal.
- Effets secondaires des médicaments.
- Dépression.
- Partenaire non séduisant à notre goût.
- Pensée négative.
- Pas de fantasme.
- Émotions négatives.
- Stress et colère.
Vrai
L’amour est nécessaire et suffisant pour une envie de relation sexuelle.
Faux, à l’exception d’un fort construit social à lequel tu crois.
La testostérone est un aphrodisiaque.
Faux
Il existe différents types d’aphrodisiaques.
Faux, aucun.
Les fantasmes érotiques et l’imaginaire érotique ont besoin de testostérone.
Vrai
Les fantasmes érotiques sont à l’intérieur de nous (cognitif) pour prédisposer au désir sexuel.
Vrai
Examen.
La testostérone libre = testostérone active.
La testostérone liée légèrement + testostérone libre = testostérone biodisponible.
Vrai
testostérone : Testostérone libre + testostérone liée légèrement + testostérone très liée (Tsbg)
Examen.
La sensibilité du gland est due à la testostérone.
Vrai
Le désir de l’homme est 10x plus élevé que chez la femme.
Faux, pas besoin de la même dose pour femme et homme.
Si on enlève les ovaires chez la femme, il y a absence de testostérone.
Faux, diminution, les glandes surrénales continuent d’en produire.
Examen.
Médications qui peut interagir avec le désir sexuel.
- Antidépresseur (tricyclique, MAOi, lithium).
- Alcool.
- Antihistamines.
- Cyproterone acetate (pour le cancer prostatique).
Vrai
Examen.
La testostérone est nécessaire jusqu’à la dose nécessaire, mais pas suffisante au désir sexuel.
Vrai
L’épidémiologie est les statistiques/prévalence par rapport à la population. (Par exemple, combien de personnes ont ça? Quelle population ça touche?)
Vrai
10 ans de diabète non traité donne une perte de sensibilité.
Faux, 15 ans.
Des sous-vêtements très serrés chez la femme fait perdre la sensibilité indéfiniment.
Faux, temporairement.
Le clitoris et le vagin sont des zones érogènes primaires.
Vrai
Perception est la conjugaison entre la stimulation des sensoriscepteurs (des 5 sens) conduite vers le cerveau qui va reconstruire (subjectif à chacun).
Vrai
Chaîne primordiale dans la naissance de l’excitation sexuelle.
Sensoriscepteurs - Perception - Affect - Émotion
Vrai
Vasoconstriction = fermeture des vaisseaux. Vasodilatation = ouverture des vaisseaux.
Vrai
L’excitation est la vasoconstriction.
Faux, vasodilatation.
Dans l’excitation chez la femme, c’est le début de la transsudation.
Vrai
Les glandes de Bartolin produisent de la lubrification vaginale.
Faux, garde le vagin toujours un peu humide mais ne rentre pas en interférence dans la phase de l’excitation.
Excitation chez la femme :
- Début de l’élévation utérine.
- Allongement du vagin.
- Augmentation de la taille des petites lèvres.
- Séparation et élévation des grandes lèvres.
Vrai
Le désir et l’excitation chez la femme sont combinés en 1 diagnostique dans le DSM-5.
Vrai, trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle.
Il faut avoir au moins 2 des critères dans le DSM pour poser un diagnostique du trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 3.
La durée minimum est d’un an pour émettre un diagnostique du trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme.
Faux, 6 mois.
L’excitation est la variation du volume et de la rigidité du pénis.
Vrai
Verge = déjà en érection. Pénis = état flasque.
Vrai
L’excitation chez l’homme :
- Élévation testiculaire.
- Épaississement de la peau et du dartos.
- Érection réversible.
Vrai
Le gland sert à amortir la rigidité de la verge dans l’entrée du col.
Vrai
La moindre atteinte d’une artère dans la région génitale de l’homme = plus (0) d’apport de sang dans les corps caverneux.
Vrai
Dans le corps humain, pour chaque artère il y a 2 veines.
Vrai
La cloison trouée entre les deux corps caverneux s’appellent : Cloison pectiniforme.
Vrai
La fascia de Buck est formée de collagène.
Vrai
La fascia de Buck se ferme complètement lors de l’érection.
Faux, sinon il n’y aurait plus d’apport d’oxygène, ce qui causerait de la gangrène irréversible automatiquement et le pénis deviendrait froid.
Tunique albuginée est un synonyme plus récent de la fascia de Buck.
Vrai
La fonction de la tunique albuginée sert à l’état flasque.
Faux, la rigidité pénienne.
Il y a des os dans le pénis.
Faux
Albuginée du corps caverneux sert à maintenir les sinusoïdes.
Vrai
Testostérone avec MOR = érections nocturnes.
Vrai
L’irrigation des corps caverneux n’est pas nécessaire chaque jour.
Faux
La castration, si l’homme n’utilise pas une pompe pour irriguer le pénis tous les jours, peut causer une perte d’érection permanente.
Vrai
La verge et le gland sont des zones érogènes primaires.
Vrai
Du vasoconstricteur passant par le sympathique, augmentation de l’adrénaline sert à maintenir l’érection.
Faux, retour à la flaccidité.
Contraction des fibres lisses = vasoconstriction.
Vrai
Relâchement des fibres lisses = vasodilatation.
Vrai
ATP = 21 kcal.
Vrai
Inhiber la calmoduline = érection.
Vrai
Le viagra inhibe la phosphodiestérase 5
Vrai
Pour un diagnostique de dysfonction, il doit y avoir 6 mois et plus de la perturbation seulement peu importe comment la personne le vit.
Faux, il doit y avoir plainte du patient.
Dans la prévalence, il y a une forte augmentation de la l’incidence des problèmes d’érection, en particulier après l’âge de 40 ans.
Faux, 50 ans.
2 parties dans l’évaluation
Évaluation objective : sexophysiologique
Intersubjective : entrevue, questionnaire, etc.
Vrai
Première chose à savoir c’est si c’est psychogène ou organique le trouble?
Vrai
Psychogène si le pléthysmographe donne une absence d’érection nocturne.
Faux, organique.
Tous troubles organiques peuvent nécessiter quand même une sexologue puisqu’avoir un trouble organique peut causer un apport psychologique chez la personne qui vit avec le trouble.
Vrai
Rétablir la sexualité après les troubles organiques devraient être fait par la sexologue lorsque le trouble est réglé.
Vrai
Lubrification vaginale.
Bonne santé (absolument avoir oestrogène).
Vrai
La sécheresse vaginale est peu commune après la ménopause.
Faux
Les médications de l’hypertension créent une impuissance et troubles de dysfonction de l’excitation.
Vrai
Dysfonction érectile augmente avec l’âge.
Vrai
L’impuissance érectile fait partie de l’orgasme.
Faux, de la phase d’excitation.
Le désir sexuel hyperactif et l’aversion sexuelle font partie de la phase du désir.
Faux, c’est le désir sexuel hypoactif.
La consommation de cannabis est une des causes de la baisse de testostérone.
Vrai
En général le désir sexuel est indépendant de la concentration plasmatique de la testostérone.
Vrai
La prise d’antidépresseur peut être la cause de la baisse du désir sexuel.
Vrai
L’augmentation de la prolactine dans le corps peut être l’augmentation du désir sexuel.
Faux, après un certain point il n’y a plus de corrélation entre les deux (si augmentation de testostérone en haut du seuil, pas d’incidence directe sur le désir).
L’enregistrement d’une pléthysmographie pénienne nocturne est plat lorsqu’il y a absence de testostérone.
Vrai
La dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux chez l’homme est le syndrome de la douleur post-éjaculat qui crée des spasmes.
Vrai
La vaginisme est associée à une douleur sexuelle.
Faux, une dysfonction sexuelle associée aux muscles génitaux.
La dyspareunie est considérée comme étant une dysfonction de la douleur sexuelle seulement chez la femme.
Faux, chez l’homme aussi.
La dopamine est synthétisée dans les gonades.
Faux, la testostérone.
L’hypofonctionnement de la thyroïde, de l’hypophyse et des surrénales ont un impact direct sur l’augmentation de la testostérone.
Faux, diminution.
La castration chimique pour un abuseur sexuel doit être ordonnée par un juge.
Vrai
L’injection de cortisone baisse la testostérone.
Vrai
La dépression cause un trouble du désir quand la dopamine est en chute.
Vrai
La perturbation est à l’origine d’une souffrance marquée ou de difficultés interpersonnelles.
Vrai
L’aversion sexuelle est une recherche de contact génital démesurée.
Faux, l’évitement.
Le DSM-5 à combiné la phase de l’excitation et du plateau.
Faux, excitation et désir.
Le partenaire attirant est un incitateur sexuel de l’ordre de la physiologie.
Faux, incitateur psychologique.
La médication avec effets secondaires est un inhibiteur psychologique.
Faux, un suppresseur physiologique.
Le stress et la colère sont des inhibiteurs psychologiques.
Vrai
La testostérone totale est la testostérone légèrement liée, la testostérone libre et la testostérone TsBG.
Vrai
La sensibilité pénienne est augmentée lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Faux, diminuée.
Les symptômes sexuels sont génitaux lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Faux, ils sont globaux.
Chez la femme l’orgasme est absent ou diminuée lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Vrai
La fluctuation de la libido est absente lorsqu’il y a une déficience de l’androgène.
Vrai
Les médicaments d’hypertension et cardiaque ne réduisent pas le désir sexuel.
Faux
Les conditions qui causent la dyspareunie réduisent le désir sexuel.
Vrai
Les antihistaminiques augmentent le désir sexuel.
Faux, diminuent.
Le lithium pour les troubles de l’humeur réduit le désir sexuel.
Vrai
Il y a des dysfonctions érectiles après l’enlèvement de la prostate par chirurgie.
Vrai
La cyproterone acetate est un anti-androgène utilisé pour le cancer des testicules.
Faux, de la prostate.
L’épidémiologie est les statistiques par rapport à la population et la prévalence d’une étude, le nombre de personnes, qui?, etc.
Vrai
Chez la femme les zones érogènes secondaires sont la vulve et les mamelons.
Vrai
Dans al phase de l’excitation, on retrouve chez la femme les contractions utérines ainsi que des muscles pelviens.
Faux, phase de l’orgasme.
L’allongement et l’élargissement du vagin et la tumescence des tissus érectiles et semi-érectiles se font dans la phase de l’excitation.
Vrai
Il est important de déterminer toutes les causes avant d’émettre, de confirmer ou d’infirmer un diagnostic sexuel.
Vrai
Dans le schéma des artères péniennes, il y a les artères suivantes :
- Dorsale
- Caverneuse
- Bulbaire
- Interne pudendale
- Urétrale
Vrai
La cloison pectiniforme se retrouve entre les corps spongieux.
Faux, caverneux.
L’urètre se retrouve dans le corps spongieux.
Vrai
L’artère caverneuse envoi du sang entre les sinusoïdes.
Vrai
Les bandelettes musculaires autour du pénis sont lisses.
Faux, striées.
Le gland fait partie du corps spongieux.
Vrai
Le corps spongieux et les corps caverneux sont constitués de tissu érectile.
Vrai
La testostérone est nécessaire au éjaculation nocturne.
Vrai
Partant du centre médullaire ‘‘vasoconstricteur’’ et passant par les fibres sympathiques, une hausse d’adrénaline provoque une érection.
Faux, contraction des fibres lisses aréolaires : flaccidité.
La flaccidité est la conséquence de la contraction des fibres musculaires lisses des cloisons interaréolaires, provoquée par l’adrénaline libérée par le système ortho-sympathique.
Vrai
L’érection est dû au relâchement des fibres musculaires lisses et à la vasodilatation artérielle provoqués par des neuro-transmetteurs tels que l’acétylcholine et le VIP libérés sous la commande du centre sacré et par la neutralisation de la sécrétion ou de l’action d’adrénaline.
Vrai
La papavérine provoque une érection complète agissant en tant que puissant vasodilatateur.
Vrai
La prostaglandine est responsable de la contraction des fibres lisses.
Faux, la calmoduline.
Les aBloquants inactivent la calmoduline par fixation directe et bloquent l’entrée cellulaire du calcium.
Vrai
L’adrénaline inhibe l’entrée cellulaire du calcium.
Faux, favorise.
Le VIP stimule la production d’adénylcyclase.
Vrai
L’adénylcyclas est transformée en AMPc.
Vrai
La papavérine inhibe la phosphodiestérase, ce qui maintient à un taux élevé l’AMPc qui inhibe à son tour la calmoduline responsable de contraction des fibres lisses.
Vrai
L’injection intra-caverneuse d’adrénaline ou de substances stimulantes, provoque la détumescence de la verge en érection.
Vrai
La sensibilité cutanée de la verge est androgéno-indépendante.
Faux, androgéno-dépendante.
Dans l’évaluation du diagnostic de l’impuissance, psychogène, la question des érections nocturnes doit être abordée.
Vrai
S’il y a absence de tumescence nocturne (plétysmographie), le trouble relèvera du psychogène et le médecin fera plusieurs tests afin de déterminer le trouble.
Faux, organique.
On retrouve chez les femmes en ménopause, une sécheresse vaginale due à la déficience en oestrogène.
Vrai
La puissance reliée à l’anti-hypertension est une cause très commune des causes organiques du trouble du désir.
Vrai
Les cas de dysfonctions érectiles ont une concordance directe avec l’âge. +/+
Vrai
La plupart des cas organes présentent une composante psychogène de degrés plus ou moins élevé, et les maladies systémiques et les effets pharmacologiques peuvent être étiologiques ou accompagnants.
Vrai
La dysfonction érectile du patient provient d’une seule source.
Faux, impossible.
On retrouve dans l’étiologie caverneuse :
- Tunique albuginée
- Muscles caverneux
- Gap junction
- Endothélium
- Trabécules fibrolastiques
- Veines émissaires
VraI
On retrouve dans l’étiologie neurogène :
- Sensorielle
- Motrice
- Autonome
- Neurotransmetteur
Vrai
On retrouve dans l’étiologie hormonale :
- Testiculaire
- Pituitaire
- Thyroïdienne
Vrai
On retrouve dans l’étiologie artériogène :
- Artérielle
- Artériolaire
Vrai
La contraction des fibres lisses se nomme la vasodilatation.
Faux, vasoconstriction.
Le relâchement des fibres lisses se nomme la vasodilatation.
Vrai
Si la cause est organique, la sexologue peut alors le traiter.
Faux, médecin.
L’épidémiologie est les statistiques et prévalences des recherches.
Vrai.
Avant, la phase de l’orgasme était primordiale pour la reproduction.
Vrai, c’était synonyme d’éjaculation.
L’identité érotique de la femme est plus fragile.
Faux, l’homme.
La sexualité de l’homme est plus globale et diffuse.
Faux, la femme.
Pour le trouble de l’orgasme, si la perturbation a débuté après une période d’activité sexuelle relativement normale, c’est de l’acquis.
Vrai
Pour le trouble de l’orgasme, si la perturbation est présente depuis que le sujet est devenu sexuellement actif, c’est de tout temps.
Vrai
Trouble de l’orgasme situationnelle = n’est pas limitée à certains types de stimulations, de situations ou de partenaires.
Faux, généralisée.
Définition de l’orgasme : décharge de la tension érotique psychocorporelle globale grâce à l’excitation jusqu’au seuil.
Vrai
Environ 20 % des femmes n’ont jamais éprouvé d’orgasmes dans leur vie.
Faux, 10 %.
Si le diagnostic différentiel s’adonne à être : troubles mentaux non sexuels, on doit le référer à un médecin.
Faux, un psychiatre.
La sexualité s’étend de la puberté à la mort.
Vrai, selon Mansour… les enfants :O?
À petite dose l’alcool retarde l’orgasme.
Faux, à forte dose.
Il y a une baisse de réponse du SN lors de la prise d’alcool en grande quantité.
Vrai
Les tranquillisants à haute dose affectent l’orgasme.
Vrai
Les tranquillisants ont un impact sur le cerveau.
Faux, système limbique et moelle épinière.
Les narcotiques inhibent l’orgasme à forte dose.
Vrai
Examen
Le Tofranil (antidépresseur) est prescrit pour les éjaculateurs précoces puisqu’il retarde l’éjaculation.
Vrai
Le lithium (pour bipolaire) affecte l’orgasme chez la femme.
Faux
Les stimulants à forte dose interfèrent négativement avec l’orgasme.
Vrai
Les antihypertenseurs élargissent les vaisseaux sanguins et à forte dose peuvent inhiber l’orgasme. La circulation vaginale est affectée causant des sécheresses et une perte d’érection chez l’homme.
Vrai
Le diabète affecte la moelle épinière.
Vrai
La sclérose latérale amyotrophique et la sclérose en plaque n’affecte pas la moelle épinière.
Faux
La dégénérescence n’affecte pas la moelle épinière.
Faux
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme.
Si dans l’historique sexuelle de la personne le symptôme est global et non situationnel, aucun test n’est nécessaire il faut passer à l’étape des causes psychologiques.
Faux, c’est seulement lorsque c’est situationnel.
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme.
Si dans l’historique sexuelle de la personne le symptôme est global, il doit y avoir une investigation pour trouver la cause, par exemple, examen génital, questionner sur les menstruations, questions médicales sur les médicaments pris, le diabète, douleur, problème urinaire, etc.
Vrai
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme.
Si le trouble est situationnel et que le sexe thérapie ne fonctionne pas, on doit envoyer la personne faire un suivi psychiatrique et médical complet.
Vrai
Orgasme retardée ou anorgasmie de la femme.
Lorsque la personne a eu des résultats après avoir consulter un autre professionnel, lui dire qu’il n’est pas nécessaire de communiquer avec une sexologue puisqu’on son problème est résolu.
Faux, continuer à suivre la personne.
L’éjaculation retardée soulève des plaintes surtout lors de la masturbation chez l’homme.
Faux, avec un/une partenaire.
Seulement 10% des hommes se plaignent de problèmes d’éjaculation qui durent plus de 6 mois.
Faux, 1 %.
2 fois plus de difficultés à éjaculer pour un homme de 80 ans que 60 en descendant.
Vrai
L’éjaculation précoce/retardée est un problème de régulation de tension.
Vrai
Plus grande tension et plus de temps = plus grande orgasme.
Vrai
Pour moduler la tension ça prend seulement le mouvement bascule réflexe.
Faux, l’oxygène d’une bonne respiration aussi.
La modulation de tension fait partie de l’approche psychosensorielle.
Faux, psychosexocorporelle.
La nouvelle définition de l’éjaculation précoce est une durée maximum de 3 minutes à l’intérieur du vagin.
Faux, 1 minute.
Avec cette définition, seulement 3 % de la population est réellement éjaculateur précoce.
Vrai
L’éjaculation précoce secondaire est psychogène.
Faux, peut être dû à des troubles physique comme l’inflammation de la prostate.
L’éjaculation précoce primaire est psychogène.
Vrai
Avec l’âge, le prise en charge de sa sexualité n’est pas nécessaire pour la maintenir dans certains cas.
Faux
La moyenne d’une pénétration pour l’homme est d’environ 15 minutes avant éjaculation.
Faux, 5 à 6 minutes.
Masters et Johnson ont apporté pour les femmes la notion du plaisir sexuel.
Vrai
Les troubles anxieux, telle que l’anxiété social, peut être une cause de l’éjaculation précoce.
Vrai
Il n’y a pas de cause organique connue pour les éjaculateurs précoces.
Vrai
Les causes de l’éjaculation précoce secondaire = l’anxiété d’une pathologie, comme maladie neurologique, trauma, problème prostatique.
Vrai
Les causes médicales de l’éjaculation retardée sont les sédatifs, alcool, antidépresseurs.
Vrai
Le diabète et la chirurgie prostatique peuvent causer l’éjaculation rétrograde.
Vrai
La chirurgie du système nerveux sympathique n’est pas une cause de l’anéjaculation.
Faux
L’effet indésirable des antidépresseurs touche le désir et l’érection en particulier.
Faux, orgasme et éjaculation retardée.
Certains antidépresseurs peuvent être prescrits pour retarder l’éjaculation chez les éjaculateurs précoces.
Vrai
Les médicaments antipsychotiques comprennent les problèmes du désir sexuel, érection, lubrification, éjaculation ou orgasme.
Vrai
Le lithium a des effets secondaires sur l’érection.
Faux, désir.
Les substances illicites causent une baisse de désir sexuel, dysfonction érectile et difficulté à atteindre l’orgasme,
Vrai
La dose toxique d’un médicament dépend de pleins de facteurs corporels propre à la personne.
Vrai
Plus la personne vieillie plus sa dose toxique s’éloigne du seuil de la dose thérapeutique.
Faux, elle se rapproche.
La caféine augmente la biodisponibilité de presque tous les médicaments.
Vrai
La viagra et le café ensemble n’ont aucun effet.
Faux, le viagra fait effet plus vite.
L’incidence des médicaments sur la réponse sexuelle est connue des sexologues.
Faux
Effet placebo : jusqu’à 30 % d’effet positif qui n’est pas médicamenteuse. Juste parce que la personne est sous médication se sent mieux naturellement.
Effet nocebo : jusqu’à 30 % d’effet négatif qui n’est pas dû à la prise du médicament, mais aux faits de connaître les effets secondaires d’avance.
Vrai
Les drogues illicites touchent seulement une partie des phases du cycle de la réponse sexuelle.
Faux, pratiquement toutes.
Le café est la drogue la plus néfaste sur le long terme pour la réponse sexuelle.
Faux, la nicotine en abus chronique.
Les effets indésirables de la nicotine et alcool en abus chronique peuvent survenir très tôt dans la réponse sexuelle.
Faux, après des années de consommation.
L’alcool, cigarettes et café sont les drogues les plus consommées.
Vrai
Un maximum de 10 verres/semaine est acceptable pour ne pas avoir d’effet sur la réponse sexuelle.
Faux, 8 verres/semaine.
L’alcool aide à la sexualité.
Faux
La myéline est augmentée par l’alcool.
Faux, dissoute.
Effet négatif sur les neurotransmetteurs avec de l’alcool.
Vrai
L’alcool a un seuil de tolérance qui varie d’une personne à l’autre pour l’effet de la consommation.
Vrai
Boire de l’alcool sans manger altère le seuil de tolérance.
Vrai
L’effet sexuel négatif de la prise d’alcool est plus présent chez l’homme.
Faux, pareille pour les deux, juste moins visible par la lubrification de la femme que l’érection de l’homme.
L’alcool crée des comportements que vous ne pensiez pas faire.
Faux, ça ne fait que facilité des comportements déjà désirés.
L’alcoolisme est ponctuel et non régulier.
Faux, c’est l’abus d’alcool.
L’alcoolisme est la récurrence de la prise d’alcool, même pour 2 verres par exemple.
Vrai
Parce que c’est au moment où la personne n’en prend pas une journée et que ça manque à la personne, recherche à boire.
Les tricycliques sont un peu moins dommageables pour la sexualité que les IMAO.
Vrai
Les effets iatrogènes sont des effets secondaires.
Vrai
La classification internationale des maladies (CIM-10) est à considérer avant de consulter le DSM-5.
Faux, c’est pour le diagnostic spécifique.
La caractéristique du diagnostique d’une DS induite par une substance/médicament est : une perturbation de la fonction sexuelle qui à une relation de temporalité avec le début de l’usage de la substance/médicament, l’augmentation de la dose ou l’arrêt.
Vrai
Les dysfonctions sexuelles ne sont pas associées avec l’arrêt de la substance/médicament.
Faux, ils peuvent.
L’alcool, les opiacés, sédatifs, hypnotiques, anxiolytiques ou psychostimulants, antidépresseurs, antipsychotiques, contraceptifs hormonaux et autres sont associés à une DS induite par une substance/médicament.
Vrai
Les antidépresseurs touchent la phase du désir et de l’érection.
Faux, orgasme et retard d’éjaculation.
Les antipsychotiques touchent toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
Le méthadone est associé à des dysfonctions érectiles.
Vrai
L’abus d’alcool chronique et l’abus chronique de nicotine sont associés à des problèmes d’orgasme.
Faux, érection.
La molécule utilisée dans les antidépresseurs peuvent faire varier les dysfonctions entre 25 et 80 %.
Vrai
Il y a plus de DS chez les personnes qui prennent de la MDMA/ecstasy que ceux qui abusent de l’héroïne.
Faux
Examen
Environ 30 % des personnes présentant un retard d’éjaculation, sévérité légère à moyenne, connaîtront une rémission spontanée de cette DS dans les 6 mois.
Vrai
Certaines DS peuvent persister après l’arrêt des IMAO.
Faux, ISRS.
Les DS peuvent commencer après 8 jours suivant le début de la prise d’antidépresseurs.
Vrai
Mais Mansour ajoute que c’est environ un mois pour IMAO et Tricyclique.
Examen
Les effets secondaires de l’alcool et nicotine causent des DS qui apparaissent très tôt.
Faux, pas avant des années d’utilisation.
La section DS spécifiée du DSM-5 est utilisée fréquemment en consultation clinique.
Faux, très rare.
Lorsqu’on entre le trouble dans ‘‘autre dysfonction sexuelle spécifiée’’, on doit toujours justifier pourquoi ça ne répond pas à tous les critères du DSM-5.
Vrai
La catégorie ‘‘autre dysfonction sexuelle non spécifiée’’ sert à poser un diagnostique de DS, mais que nous avons pas toutes les informations puisque pour X raisons il est impossible de les recueillir chez le patient.
Vrai
La plainte principale de consultation pour une DS avec substance/médicament est la plainte d’un DS tout court.
Vrai
L’anamnèse est le diagnostique de la DS.
Faux, évaluation et collecte de données sur la personne.
Critères diagnostiques DSM-5
- Les symptômes sont apparus avant ou juste après la prise de médication par une substance (ou un sevrage) ou après la prise.
Vrai
Critères diagnostiques DSM-5
- La substance/médicament impliqué est susceptible de provoquer les symptômes de la plainte de DS. (en gros, que sur le médicament dans les effets secondaires il soit écrit : effets secondaires troubles sexuels).
Vrai
Chaque substance à un code dans le DIM-10.
Vrai
Les paramètres acceptés par la communauté scientifique pour les degrés de sévérité sont les suivant:
Léger : se produit de 25-50 % des occasions de RS.
Moyen : se produit de 50-75 % des occasions de RS.
Grave : se produit dans 75 % ou plus des occasions de RS.
Vrai
La comorbidité signifie la mort suite à une prise de médication.
Faux, signifie simplement plus d’un trouble en même temps dans le cas de la cause d’une DS par exemple.
Le facteur étiologique est l’origine du trouble.
Vrai
Utilisée substance inconnue si le facteur étiologique se trouve dans une catégorie du CIM-10.
Faux, seulement si la substance n’est pas répertoriée.
La spécification de la sévérité est optionnelle.
Faux
À faible dose l’alcool a des retombées ‘‘bénéfiques’’ sur la sexualité.
Vrai
Les réactions sur l’alcool peuvent être subordonnées aux circonstances et à l’état psychologique du moment.
Vrai
L’alcool peut agir comme effet nocebo puisque c’est attendu d’avoir un effet stimulant et excitant, donc cela se produit.
Faux, effet placebo.
Les réactions des femmes diffèrent de celles des hommes lorsqu’elles consomment de l’alcool.
Faux, cependant l’érection est plus visible chez l’homme.
La phase du désir est autant atteinte par l’alcool que l’excitation.
Faux, puisque le désir est socialement construit, l’alcool ne fait que l’alimenter.
Les femmes qui boivent peu ont moins de problèmes de désir, orgasme coïtal et vaginisme.
Faux, celles qui boivent modérément. Peu ou beaucoup n’aide en rien.
Le traitement de la DS ne pourra débuter que 6 à 12 mois après une période d’abstinence de substance.
Vrai
Cependant Mansour mentionne de débuter avant dans le but d’être un renforçateur positif de vouloir régler sa DS, donc ne pas recommencer à consommer.
Pour travailler sur comment enlever une DS, il faut utiliser la dynamique personnelle + subjective.
Vrai
Il est vrai de dire que les gens s’habituentà leur DS et qu’il faut déconstruire cette image de soi bâtie autour de la DS.
Vrai
Avoir trop consommé d’alcool a un effet (+,+) sur la perte d’érection. Le lendemain l’effet est encore la même.
Faux, le lendemain tout est revenu dans l’ordre dans la majorité des cas.
L’orgasme de la femme, malgré le retard, peut être sentie de façon plus intense sur l’effet de l’alcool.
Vrai
La gynécomastie n’est pas observée lors de l’abus d’alcool.
Faux, fréquente.
L’alcool, de même que les drogues non prescrites (ou de rue pour Camouille), est une substance psychotrope puisqu’elle agit au niveau du SNC et qu’elle entraîne des changements psychologiques et comportementaux.
Vrai
Le seul aphrodisiaque est l’imaginaire érotique.
Vrai
Après l’alcool, la cocaïne est la drogue la plus répandue à travers le monde.
Faux, cannabis
L’alcool et le cannabis ensemble peut donner de la dyspareunie.
Vrai
Le cannabis peut augmenter le plaisir sexuel dû à une intensité dans la perception du toucher et des sensations sexuelles ainsi que la détente. Ceci procure un effet de halo.
Vrai
L’orgasme dure plus longtemps sur le cannabis.
Faux, perception, puisqu’il y a distorsion dans le temps.
À long terme le cannabis pourrait causer une perte d’intérêt sexuel, mais les recherches à ce sujet sont contradictoires.
Vrai
La cocaïne à moyen terme affecte toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
Les amphétamines diminuent les DÉ et le désir.
Faux, augmentent les DÉ de 3x plus et augmentent le désir de 22 % :).
La méthadone est un opiacé dont l’action dure plus longtemps que l’héroïne, avec des effets similaires sur la réponse sexuelle.
Vrai
L’héroïne touche à toutes les phases de la réponse sexuelle.
Vrai
Le pourcentage de DS chez ceux qui consomment de la méthadone est 68,5 %.
Vrai
Les effets de la LSD sont plutôt stables. Diminution des phases de la réponse sexuelle.
Faux, très irrégulières.
La LSD varie d’euphorie et perceptions sensorielles, mais en même temps, l’action de stimulation sexuelle est moins présente.
Vrai
Varie entre augmentation très grande à inhibition complète.
La méthaqualone, même effet que le cannabis, est considérée dans le milieu comme un aphrodisiaque.
Vrai, mais c’est faux, ça n’existe pas.
Les femmes préfèrent le cannabis (marijuana) à la méthaqualone pour les consommatrices.
Faux
La nitrite d’amyl est utilisée surtout chez les homosexuels en pénétration anale. Casser la capsule juste avant l’orgasme procure une forte vasodilation et augmente le plaisir orgasmique et une décontraction musculaire.
Vrai
Il n’y a aucun risque de perdre l’érection sur la nitrite d’amyl.
Faux, si la capsule est prise trop tôt avant l’orgasme, c’est le risque.
La papavérine est connue sous le nom de ‘‘spanish fly’’.
Faux, c’est la poudre de cantharide.
La poudre de cantharide est prohibée à cause des effets tels que : irritation vésicale, priapisme, vomissements, douleurs abdominales, choc et mort.
Vrai
Une poudre synthétique de la poudre de cantharide est sur le marché. C’est un irritant des muqueuses urétrales et vésicale, provoque une sensation tellement forte de vasocongestion que l’individu ressent le besoin de se soulager coïtalement.
Vrai
Mais, dafuq? -_- c’est quoi le trip haha.
La drogue Yohimbine (yo-yo) est efficace à son maximum après 2-3 semaines, elle sert à maintenir l’érection. Efficace à 20-30 %.
Vrai
Parfois encore prescrite à dose raisonnable pour traiter des difficultés érectiles.
Toutes les drogues prises en grandes quantités ne sont pas nécessairement dommageables. Dépend du type de substance.
Faux, elles le sont toutes.
La papavérine s’injecte à la base du pénis dans les corps caverneux pour maintenir l’érection.
Vrai
La papavérine contracte les muscles lisses.
Faux, décontracte, donc érection.
L’érection sur la papavérine se termine lors de l’éjaculation. Si l’éjaculation ne vient pas danger de ne plus perdre l’érection.
Vrai
L’épinéphrine est injectée comme substance vasoconstrictrice qui fait perdre l’érection dans un cas de priapisme dû à l’anéjaculation/anorgasmie sur la papavérine.
Vrai
La papavérine est de plus en plus remplacée par la prostaglandine E1 qui a environ les mêmes effets, mais moins d’effets secondaires et plus grande érection complète.
Vrai
Les diurétiques causent des DS.
Faux
Les hypertenseurs n’interfèrent pas sur la réponse sexuelle.
Faux, la classe de médicament qui l’affecte le plus.
Les alphabloquants, bétabloquants, bloqueurs de canaux calciques sont des hypertenseurs qui peuvent causer ou augmenter une DS déjà existante.
Vrai
Surtout DÉ et lubrification.
Dans les psychotropes : antidépresseurs, neuroleptiques, tranquillisants mineurs, alcool et drogues de rue.
Vrai
Dans les hormones : antiandrogènes, progestatifs, oestrogèenes, antioestrogèenes, COC, LH-RH ou Gn-RH.
Vrai
Tous les antidépresseurs peuvent avoir un impact sur toutes les phases de la réponses sexuelles, dépendant la dose et varie d’une personne à l’autre.
Vrai
La capacité érectile est la plus touchée par les IMAO.
Faux, la moins touchée de toutes les phases.
Le lithium prescrit en dose pour le cas de dépressions chroniques touche 15 % dysfonction érectile et 50 % désir sexuel.
Vrai
Les neuroleptiques occasionnent seulement des troubles du désir.
Faux, inhibent l’éjaculation, orgasme et érection/lubrification et diminuent la libido.
Les tranquillisants ne touchent pas réellement les phases de la réponse sexuelle, ci ce n’est que l’effet sédatif diminue le désir et des difficultés éjaculatoires. Mais ce médicament n’a pas d’effet comme tel sur la fonction sexuelle.
Vrai
Tous les antidépresseurs augmentent ou diminuent les troubles du désir.
Vrai
Examen
Le tofranil est un antidépresseur tricyclique/imipramine donné pour les éjaculateurs précoces.
Vrai
Les hormones peuvent donner un effet positif (comme aphrodisiaque) si injectées en surplus.
Faux, aucune incidence.
La testostérone peut améliorer la réponse sexuelle chez la femme.
Vrai, mais peut entraîner des effets masculinisants.
Les antiandrogènes, donnés aux abuseurs sexuels, possèdent des propriétés progestérones et oestrogènes diminuant la testostérone plasmatique et le niveau de FSH et LH.
Vrai
Les antiandrogènes provoquent une incapacité érectile chez le 2/3 des individus.
Faux, 1/3.
Les progestatifs peuvent diminuer le désir des deux sexes et la capacité érectile chez l’homme.
Vrai
Les oestrogènes chez l’homme (médicament cancer de la prostate) augmentent l’intérêt sexuel.
Faux, diminuent.
Les antioestrogènes semble avoir un effet positif sur la sexualité (traitement infertilité et cancer du sein).
Vrai
La COC change le désir sexuel.
Faux, augmentation pour celles qui n’ont plus peur de tomber enceinte, diminution chez d’autres. Donc, rien ne se dégage de ça dans les études.
La LR-RH ou GnRH cause de fortes pertes de désir et une importante réduction des activités sexuelles (traiter cancer prostate).
Vrai
On peut conclure pour les hormones que c’est plutôt au niveau du désir et excitation sexuelle.
Vrai
Les anticholinergiques peuvent causer une augmentation du désir et entraîner une exagération des comportements sexuels.
Vrai
À cause de la fonction érectile des hommes, on dit que les hommes sont plus touchés que les femmes par les substances.
Vrai
Le pelvi-périnéal était anciennement appelé la région honteuse.
Vrai
La dyspareunie est une douleur toujours persistante.
Faux, persistante OU récurrente.
Examen
La dyspareunie profonde est une douleur pelvienne ou du fond du vagin associé au rapport sexuel et déclenchée par une pénétration vaginale profonde. (2/3 interne du vagin)
Vrai
La dyspareunie superficielle est une douleur de siège superficiel, orificiel, vulvaire ou vulvo-vaginal associé à un rapport sexuel et déclenché par l’intromission du pénis. (1/3 externe du vagin)
Vrai
L’épisiotomie (couper et recoudre lors de l’accouchement) peut provoquer la dyspareunie.
Vrai
Le 1/3 externe du vagin : même matière que ectoderme (sensible).
Le 2/3 interne du vagin : même matière que endomètre (pas sensible au toucher).
Vrai
Le vaginisme est associé au désir de vouloir être pénétré, mais ne pas pouvoir.
Faux, associé à une attitude d’évitement des rapports, anticipation ou crainte des douleurs.
La dyspareunie parvient seulement lors de tentatives de rapports sexuels.
Faux, peut parvenir en faisant du vélo, gym, uriner, etc.
L’endométriose est une des causes les plus fréquentes pour le vaginisme.
Faux, pour la dyspareunie.
La rééducation périnéale a fait ses preuves pour le traitement de la vestibulodynie.
Vrai
L’augmentation de l’adrénaline cause l’érection.
Faux, contraction des fibres lisses : flaccidité.
Le relâchement des fibres lisses aréolaires cause l’érection.
Vrai
La dilatation artérielle se retrouve à l’état flasque.
Faux, érection.
La contraction des muscles ischiocaverneux et bulbospongieux donne ‘‘l’érection’’ du clitoris.
Faux érection chez l’homme.
Les fibres parasympathiques sont responsables de la dilatation artérielle.
Vrai
Les fibres somatiques sont responsables de la contractions des muscles ischiocaverneux et bulbospongieux.
Vrai
Les fibres orthosympathiques avec dose d’adrénaline sont responsables du relâchement des fibres lisses aréolaires du clitoris.
Faux, contraction, donc flaccidité du clitoris.
Les fibres orthosympathiques avec baisse d’adrénaline sont responsables du relâchement des fibres lisses aréolaires.
Vrai, érection chez l’homme.
Vasodilatation = fermeture des vaisseaux sanguins.
Faux, vasoconstriction.
Si le patient a des érections nocturnes, le trouble est psychogène, transférer au sexologue.
Vrai
Si le patient n’a pas des érections nocturnes, le trouble est organique, transférer au médecin pour tests poussés (testostérone, taux de sucre, cholestérol, tests péniens).
Vrai
La Testostérone biodisponible = la testostérone (Libre) + La Testostérone (Légèrement liée).
Vrai
La Testostérone biodisponible est importante à mesurer car elle nous donne la capacité totale de l’action réelle et potentielle de la Testostérone.
Vrai
La testostérone active biologiquement ou pharmacologiquement est la testostérone Libre. T(Libre).
Vrai
La Testostérone liée à la TEBG OU TEBG, reste bien liée avec ce transporteur spécifique et elle n’a aucune action biologique.
Vrai, ne sert à rien.
La Testostérone légèrement liée par exemple à l’albumine peut s’en libérer et devenir biologiquement active.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
Le VIP inhibe la phosphodiestérase.
Faux, c’est la papavérine.
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
L’adrénaline favorise l’entrée cellulaire du calcium (Ca++).
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
La phosphodiestérase lorsqu’inhibée, maintient l’AMPc élevée qui inhibe à son tour la calmoduline, donc érection.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
Le VIP provoque une érection.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
La prostaglandine PE1 provoque une érection.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
Adényl Cyclase se transforme en AMPc.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
Les aBloquants bloquents l’entrée cellulaire du calcium (Ca++), ce qui inhibe la calmoduline et provoque une érection.
Vrai
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
Le calcium provoque une érection.
Faux
AIDE POUR SCHÉMA PAR COEUR (V OU F)
La phosphodiestérase provoque une dégradation de l’AMPc.
Vrai
RÉSUMÉ - ÉRECTION INHIBÉE
Calmoduline Phosphodiestérase Calcium (Ca ++) Adrénaline Vasoconstriction fibres lisses
Vrai
RÉSUMÉ - ÉRECTION
VIP Papaverine aBloquants ATP AMPc Vasodilatation fibres lisses
Vrai