notes de cours + lectures Flashcards

1
Q

quelle est la définition de la mémoire selon le manuel?

A

processus impliqué dans la rétention, la récupération et l’utilisation de l’information à propos d’un stimuli, d’un évènement, d’idées et d’habiletés après que l’information initiale ne soit plus présente

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2
Q

vrai ou faux? la mémoire est active à chaque fois qu’un évènement passé affecte la façon qu’on pense ou se comporte présentement ou dans le futur

A

vrai

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3
Q

quel est le top 4 des items pour lesquels les gens disent utiliser leur mémoire

A
  • matériel pour un examen
  • leur horaire quotidien
  • des noms
  • des directions pour se rendre quelque part

ces items sont dans la MLT. On nomme rarement des items de la MCT dans le top 10 des choses pour lesquelles on utilise notre mémoire

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4
Q

vrai ou faux? tout ce qu’on sait ou à quoi on pense à chaque moment de notre vie est dans la MCT

A

vrai

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5
Q

en quoi consiste le modèle modale de la mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

les caractéristiques structurales:

  • mémoire sensorielle
  • mémoire court-terme
  • mémoire long-terme

les processus de contrôle:

  • répétition (dans MCT)
  • stratégies pour rendre un stimulus plus mémorable
  • stratégies d’attention pour aider à focuser sur une information particulièrement importante
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6
Q

en quoi consistent les processus de contrôle dans le modèle modale de la mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

ce sont des processus dynamiques associés aux caractéristiques structurales qui peuvent être contrôlés par la personne et peuvent différer d’une tâche à l’autre

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7
Q

comment s’appelle le processus de storage dans la MLT dans le modèle modale de la mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

encodage

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8
Q

vrai ou faux? les composantes de la mémoire peuvent agir de façon isolée

A

faux.

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9
Q

quelles sont les caractéristiques de la MCT selon le modèle modale de la mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A
  • capacité limitée
  • courte durée (15-20sec)
  • oubli dû à la dégradation (on le perd graduellement jusqu’à ce que la MCT soit vide)
  • c’est la fenêtre sur le présent; tout ce qu’on sait ou pense au moment présent est dans la MCT
  • interprété: Codage Auditif-Verbal-Linguistique (AVL)
  • tout le contenu de la MCT transféré en MLT
  • contrôle sur répétition et encodage, car construit unitaire sans sous-systèmes
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10
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Brown, Peterson et Peterson sur la durée de la MCT dans laquelle on présente 3 lettres suivies d’un nombre, puis on soustrait des bonds de 3 pour éviter la répétition?

A
  • Délai de 3sec: rappel correct 50% du temps

- Délai de 18sec: rappel correct 10% du temps

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11
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Brown, Peterson et Peterson sur la durée de la MCT?

A

La durée de la MCT, lorsque la répétition est empêchée, est de 15-20sec.
Si les sujets ne se souviennent pas du trigramme dans les premières secondes après le signal, c’est perdu

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12
Q

quel est le “digit span” moyen?

A

5-9 chiffres

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13
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Luck et Vogel consistant à détecter le changement entre 2 images avec des carrés colorés?

A
  • Les performance est presque parfaite quand il y a 1-3 items, mais commence à se dégrader quand il y en a 4+
  • Tâche plus facile quand le nombre d’items (carrés) dans l’image entre dans la capacité de la MCT, mais devient plus difficile si ça excède sa capacité
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14
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Luck et Vogel consistant à détecter le changement entre 2 images avec des carrés colorés?

A

on est capable de retenir environ 4 items dans notre MCT

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15
Q

qu’est-ce que du chunking?

A
  • De petites unités sont combinées en des unités plus grandes et significatives
  • Augmente notre capacité à retenir de l’information dans la MCT
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16
Q

qu’est-ce qu’un chunk?

A

une collection d’éléments fortement associés les uns avec les autres, mais qui sont faiblement associés avec les éléments d’autres chunks

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17
Q

Quels furent les résultats de l’expérience de Ericsson et co. sur la démonstration de l’effet du chunking chez un étudiant moyen devant apprendre une séquence de 79 chiffres?

A

après de la pratique extensive, il est capable de répéter la séquence de 79 chiffres sans erreur (il a utilisé du chunking pour créer des séquences significatives, comme des temps de course)

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18
Q

comment le chunking illustre-t-il une interaction entre la MCT et la MLT?

A

on crée des chunks basés sur notre connaissance storée dans la MLT

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19
Q

quels furent les résultats de l’expérience d’Alvarez et Canavagh sur la quantité d’information qui peut être retenue en MCT consistant à détecter le changement entre différentes images de formes de différentes complexités?

A

l’habileté des participants à juger de si l’images est pareille/différente dépend de la complexité des stimuli présentés

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20
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience d’Alvarez et Canavagh sur la quantité d’information qui peut être retenue en MCT?

A

plus il y a de l’information dans l’image, moins il y a d’items qui peuvent être retenus dans la MCT

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21
Q

quelles sont les caractéristiques de la MLT?

A
  • Capacité illimitée
  • Très longue durée (quasi-permanent, voire peut-être 100% permanent)
  • Oubli dû à l’interférence
  • Interprété: Tous types de codage AVL, visuel, sémantique, temporel, etc…)
  • Savoir abstrait
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22
Q

quel est le rôle de la MT/MCT selon le modèle d’Atkinson et Shiffrin?

A

système dans lequel:

  • des décisions sont prises
  • des problèmes sont résolus
  • l’information circule (surtout entre MLT et MCT)
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23
Q

Les pensées et faits accessibles à la conscience sont ceux contenus dans quelle mémoire?

A

MCT

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24
Q

quelle est la prédiction importante d’Atkinson et Shiffrin concernant le lien MCT - MLT?

A
  • Le transfert de MCT vers MLT = caractéristique permanente du système
    Jusqu’à un certain degré, toute l’information en MCT est transférée en MLT
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25
Q

quels ont été les résultats de la tâche d’empan mnésique de Miller où on essaie de rapporter le plus de chiffres/lettres dans l’ordre de la liste?

A

Apparemment, on peut manipuler jusqu’à 7±2 chiffres/lettres à la fois

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26
Q

vrai ou faux? les chunks sont subjectifs, donc changent d’une personne à l’autre

A

vrai

varie selon la connaissance préalable, donc subjectif

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27
Q

quelle a été l’hypothèse de Chase et Simon sur pourquoi les experts sont meilleurs que les débutants aux échecs?

A

Hypothèse: Augmentation de la capacité de la MCT avec la pratique = plus de positions de pièces analysées simultanément

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28
Q

quels ont été les résultats de l’expérience de Chase et Simon sur la capacité de joueurs d’échecs (experts et débutants) à reproduire une configuration d’échiquier vu pendant 5sec?

A
  • vraies positions de jeu possibles: débutant > classe A > maîtres
  • positions aléatoires: débutant = classe A = maîtres
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29
Q

quelles ont été les interprétations des résultats de l’expérience de Chase et Simon sur la capacité de joueurs d’échecs (experts et débutants) à reproduire une configuration d’échiquier vu pendant 5sec?

A
  • Les maîtres étudient des parties d’échecs passées
  • Pour se souvenir des positions, ils utilisent le chunking pour créer des configurations possibles et significatives de pièces d’échecs (ex: cette configuration est la même que tel joueur à son 3e tour dans telle partie
  • Les maîtres n’ont pas un empan mnésique en MCT plus élevé que la moyenne, car ils utilisent aussi7+/-2 chunks de connaissance à la fois, c’est leur façon d’organiser leur mémoire qui leur permet de se rappeler de plus gros chunks
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30
Q

l’expérience de Chase et Simon sur la capacité de joueurs d’échecs (experts et débutants) à reproduire une configuration d’échiquier a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété de capacité limitée (5-9 items) du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

confirmer, mais c’est 5-9 chunks, pas des items

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31
Q

qu’est-ce que l’interférence?

A

Mécanisme d’oubli pour MLT

  • Rétroactif: la nouvelle information nous empêche de se rappeler de ce qu’on savait avant
  • Proactif: une ancienne information nous empêche d’apprendre/se rappeler de quelque chose de nouveau
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32
Q

dans la tâche de Peterson et Peterson (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres), voyons nous de l’interférence proactive et/ou rétroactive?

A

Non

  • Le décompte inversé ne produit pas d’interférence rétroactive (pas le même genre de matériel; lettres vs chiffres)
  • Aucune preuve d’interférence proactive non plus dans la tâche
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33
Q

s’il y avait de l’interférence proactive dans la tâche de Peterson et Peterson (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres), quels seraient les résultats?

A
  • Exactitude diminuerait avec la pratique (plus on fait d’essais, plus il y a de chances que la performance baisse, car plus de trigrammes qui interfèrent)
  • Dans la vraie expérience, on voit une augmentation (ou pas de changement) grâce à l’effet général de pratique, donc pas d’interférence proactive (voir graphique cours 7.1 diapo 35)
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34
Q

l’expérience de Peterson et Peterson sur la durée de la MCT (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres) a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété de courte durée du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

confirmer (15-30sec si répétition impossible)

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35
Q

l’expérience de Peterson et Peterson sur la durée de la MCT (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres) a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété d’oubli dû à la dégradation du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

confirmer, car preuve que pas d’interférence proactive ni rétroactive

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36
Q

en quoi consiste l’expérience de Keppel et Underwood qui vient dire qu’il y a possiblement de l’interférence proactive dans la MCT?

A
  • Presqu’identique à Peterson et Peterson (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres)
  • Seulement trois essais par participant (pour éviter effet de pratique)
  • Intervalles: 3 sec. OU 9 sec. OU 18 sec.
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37
Q

En MLT, 2 facteurs interagissent en interférence proactive. Quels sont ils?

A
  • Nombre de présentations qui interfèrent (+ de présentations préalables = + d’interférence)
  • Intervalle de rappel (intervalle + long = + présentations précédentes ont plus de temps pour venir inférer, donc moins bonne performance. Explique l’effet du temps avant le rappel)
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38
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Keppel et Underwood qui vient dire qu’il y a possiblement de l’interférence proactive dans la MCT?

A
  • Pas d’oubli pour le 1er trigramme, peu importe l’intervalle de rappel. performance presque parfaite
  • Oubli pour 2e et 3e trigrammes pour tous les intervalles
  • Interaction:
    Plus d’IP pour intervalles plus longs

voir graphique cours 7.1 diapo 41

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39
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Keppel et Underwood qui vient dire qu’il y a possiblement de l’interférence proactive dans la MCT?

A
  • Pas d’oubli pour le 1er trigramme peu importe l’intervalle = pas de dégradation
  • Aucune preuve de 2 types d’oubli dans deux systèmes de mémoire indépendants, donc oubli par interférence dans MLT et MCT
  • Il y avait de l’interférence proactive dans l’expérience de Peterson et Peterson
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40
Q

l’expérience de Keppel et Underwood a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété d’oubli dû à la dégradation du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

Infirmer

Ce serait de l’interférence proactive

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41
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Conrad sur la confusion acoustique dans la mémoire immédiate consistant à rapporter les lettres présentées en auditif + bruit blanc ou en visuel?

A
  • Auditif: 95% d’erreurs de similarité auditive
  • Visuel: 75% d’erreurs de similarité auditive
  • Pas de patrons d’erreurs de similarité visuelle
  • Corrélation élevée entre conditions

voir tableau cours 7.1 diapo 45

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42
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Conrad sur la confusion acoustique dans la mémoire immédiate?

A
  • Erreurs de confusion dans condition visuelle sont causées par similarité auditive, pas similarité visuelle
  • Pour expliquer ce résultat, l’entrée visuelle a dû être traduite en un code de type AVL dans la MCT, donc codage AVL utilisé en MCT, mais pas codage visuel
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43
Q

quelle fut l’hypothèse lors de l’expérience de Zhang et Simon sur la capacité de la MCT pour les mots et idiomes chinois (reproduction d’une série de signes présentés visuellement. Certains ont une représentation phonique (caractères), d’autres non (radicaux))?

A

Si codage en MCT est strictement AVL, impossible de reproduire des radicaux (parce qu’aucun son associé)

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44
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Zhang et Simon sur la capacité de la MCT pour les mots et idiomes chinois (reproduction d’une série de signes présentés visuellement. Certains ont une représentation phonique (caractères), d’autres non (radicaux))?

A
  • Participants peuvent reproduire une suite de 6,4 caractères
  • Peuvent aussi reproduire une suite de 2,7 radicaux malgré qu’il n’y ait aucun son associé
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45
Q

quelle fut l’interprétation des résultats de l’expérience de Zhang et Simon sur la capacité de la MCT pour les mots et idiomes chinois (reproduction d’une série de signes présentés visuellement. Certains ont une représentation phonique (caractères), d’autres non (radicaux))?

A
  • Codage AVL insuffisant

- Codage visuel aussi utilisé en MCT

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46
Q

en quoi consiste l’expérience de Wickens, Dalezman et Eggemeier concernant l’encodage multiple d’attributs de mots en mémoire (# propriétés partagées avec catégorie contrôle/fruit)?

A
  • même principe de Peterson et Peterson (les 3 lettres et soustraire des bonds de 3 d’un chiffre, puis se rappeler les 3 lettres) avec intervalle de rappel de 18sec.
  • 4 catégories de mot (#: propriétés partagées avec contrôle)
    Fruits (contrôle): consommable + pousse du sol
    Légumes (2): consommable + pousse du sol
    Fleurs (1): pousse du sol
    Viandes (1): consommable
    Professions (0)
  • On donne triade de mots + nombre, et le participant doit soustraire 3 du nombre pendant 18sec., puis rapporter le mot
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47
Q

quelles furent les prédictions lors de l’expérience de Wickens, Dalezman et Eggemeier concernant l’encodage multiple d’attributs de mots en mémoire (# propriétés partagées avec catégorie contrôle/fruit)?

A
  1. Support du modèle modal: si seulement interprétation AVL a lieu, interférence proactive pour toutes catégories (car on s’occupe juste des sons et pas du sens de mots, donc ça baisserait d’une performance à l’autre, car plein de mots à se rappeler), sémantique n’a aucun rôle dans l’oubli
  2. Contre modèle modal: si codage sémantique utilisé, interférence proactive dépend de similarité du sens. Moins de propriétés communes = + de relâchement
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48
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Wickens, Dalezman et Eggemeier concernant l’encodage multiple d’attributs de mots en mémoire (# propriétés partagées avec catégorie contrôle/fruit)?

A
  • Moins de similarité = + de relâchement de l’interférence proactive
  • Conclusions: le sens est traité dans la MCT
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49
Q

l’expérience de Wickens, Dalezman et Eggemeier concernant l’encodage multiple d’attributs de mots en mémoire a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété de l’interprétation en AVL du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin?

A

infirmer, il y de l’encodage sémantique dans la MCT

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50
Q

en quoi consiste la tâche de rappel libre d’une liste de mots de Deese?

A
  • Liste de mots lue aux participants à un rythme constant
  • Participants doivent rapporter le plus de mots possibles de la liste, dans n’importe quel ordre, en une courte période de temps
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51
Q

À quoi ressemble la courbe classique de position sérielle quand on rapporte le plus de mots possibles d’une liste lue précédemment? Pourquoi?

A

Ressemble à un U

  • Items entrent dans la MCT
  • Items sont répétés
  • Quand item est assez répété, transféré (encodé) en MLT, sinon, perdu
  • Plus item est répété, plus sa trace est solide en MLT, plus il est facile à récupérer
  • Les derniers items entendus sont encore en MCT

Bref, effet de primauté et de récence

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52
Q

en quoi consiste l’expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A
  • Tâche de rappel libre répété (participants rapportent plus de mots d’un essai à l’autre) avec liste de mots non-reliés
  • But: est-ce que la simple répétition est suffisante pour augmenter la performance de rappel? Si exposition supplémentaire aux mots est suffisante pour améliorer performance, alors on peut adéquatement expliquer le transfert en MLT à l’aide de la simple répétition
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53
Q

quelle fut l’hypothèse lors de l’expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A

Si plus de répétitions = traces plus fortes en MLT, la performance de rappel moyenne sera supérieure pour le groupe expérimental (car répété 6x)

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54
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A

Pas d’avantage de pré-exposition ou répétitions supplémentaires, donc Atkinson et Shiffrin ont tort, il y a quelque chose de plus

voir graphique cours 7.2 diapo 12

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55
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A
  • La simple répétition (pratique) n’améliore pas la mémoire (le temps passé dans la MCT n’est pas le facteur crucial pour comprendre l’apprentissage à long terme)
  • Facteur clé = chunking dans MCT qui aide à récupérer les mots reliés en MLT
  • Pas tout le contenu de la MCT finit en MLT
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56
Q

en quoi consiste la 4e expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A
  • même principe que l’autre expérience: rappel libre d’une liste de mots
  • groupe expérimental fait rappel libre de la liste A en pré-tâche et de la liste A + nouveaux mots lors de la tâche
  • groupe contrôle fait rappel libre de la liste A en pré-tâche et de la liste B lors de la tâche
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57
Q

quelle fut l’hypothèse lors de la 4e expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A

Les participants du groupe expérimental ont déjà appris la moitié de la liste, donc devraient être avantagés tout le long du rappel répété (dans le cas où la répétition est suffisante)

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58
Q

quels furent les résultats de la 4e expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A
  • Avantage au début pour groupe expérimental
  • Désavantage groupe expérimental à la fin dû aux répétitions supplémentaires

voir graphique cours 7.2 diapo 15

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59
Q

quelles furent les conclusions de la 4e expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage?

A
  • Expérimental = déjà des chunks créés dans la pré-tâche, ce qui les aide à mieux performer, mais éventuellement, ils atteignent un maximum, puis on ajoute 9 nouveaux mots qu’il faut intégrer. Notre façon d’organiser les mots dans la pré-tâche ne fonctionne pas avec les nouveaux mots, donc doit tout effacer et recommencer le chunking = désavantage
  • Contrôle = fait des chunks au fur et à mesure qu’on donne les 18 nouveaux mots
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60
Q

la 4e expérience de Tulving visant à savoir si la répétition dans une tâche de rappel libre est suffisante pour expliquer l’apprentissage a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin selon laquelle tout le contenu de la MCT est transféré en MLT?

A

infirmé

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61
Q

en quoi consiste l’expérience de Baddeley et Hitch sur la mémoire de travail (rappel libre de mots avec ou sans pré-charge de chiffres)?

A
  • tâche de rappel libre d’une liste de 16 mots non-reliés avec pré-charge

3 conditions:

  • Rappel libre standard de mots
  • Pré-charge de 3 chiffres, rappel libre de mots et inscrire pré-charge sur feuille
  • Pré-charge de 6 chiffres, rappel libre de mots et inscrire pré-charge sur feuille
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62
Q

si Atkinson et Shiffrin ont raison, quels seraient les résultats de l’expérience de Baddeley et Hitch sur la mémoire de travail(rappel libre de mots avec ou sans pré-charge de chiffres)?

A

Selon Atkinson et Shiffrin, la charge devrait affecter les 2 côtés de la courbe, car capacité et répétition seraient le même système, donc la courbe en U deviendrait plate

  • Pré-charge empêche répétition des mots = baisse effet de primauté
  • Pré-charge remplit MCT à pleine capacité = baisse effet de récence
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63
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley et Hitch sur la mémoire de travail(rappel libre de mots avec ou sans pré-charge de chiffres)?

A
  • Peu importe si 3 ou 6 chiffres en pré-charge, pas de différence à la fin de la courbe, mais différence au début de la courbe
  • Pré-charge empêche de répéter, mais pas suffisante pour remplir la capacité de la MCT

voir graphique cours 7.2 diapo 23

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64
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Baddeley et Hitch sur la mémoire de travail(rappel libre de mots avec ou sans pré-charge de chiffres)?

A
  • Pré-charge affecte effet de primauté, car impact sur répétition
  • Pré-charge n’affecte pas effet de récence, car pas d’impact sur sortie/capacité de la MCT
  • On peut affecter les propriétés structurelles OU de contrôle
  • Affecte répétition sans affecter capacité (dissociation simple)

Bref, capacité et processus de contrôle/répétition sont des aspects distincts en MCT

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65
Q

l’expérience de Baddeley et Hitch sur la mémoire de travail(rappel libre de mots avec ou sans pré-charge de chiffres) a-t-elle permis de confirmer ou d’infirmer la propriété du modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin selon laquelle la capacité et le processus de répétition forment un construit unitaire sans sous-système en MCT?

A

infirmé, car on a pu affecter la répétition sans affecter la capacité de la MCT

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66
Q

selon Baddeley et Hitch, quelles sont les caractéristiques de la MT?

A
  • Système à capacité limitée
  • Entreposage temporaire
  • Composantes multiples pour codages différents
  • Manipulation de l’info dans des tâches complexes
  • Séparation capacité vs. répétition
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67
Q

qu’est-ce que la mémoire de travail?

A

un système à capacité limitée pour storage temporaire et manipulation de l’information pour des tâches complexes comme la compréhension, l’apprentissage et le raisonnement

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68
Q

quelle est la différence entre la MCT et la MT?

A

la MCT est principalement concernée pour le storage temporaire de l’information alors que la MT fait surtout de la manipulation d’information lors de cognitions complexes

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69
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Baddeley dans laquelle les participants étaient capables de garder une séquence de chiffres en mémoire pendant qu’ils lisaient un texte?

A
  • la MT doit être dynamique
  • la MT doit consister en un nombre de composantes qui peuvent fonctionner séparément (la boucle phonologique, la tablette visuo-spatiale et l’exécutif central)
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70
Q

quelles sont les 3 composantes de la MT proporées par Baddeley?

A
  • la boucle phonologique
  • la tablette visuo-spatiale
  • l’exécutif central
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71
Q

en quoi consiste la boucle phonologique selon Baddeley?

A
  • enregistre et manipule l’information verbale et auditive (ex: se rappeler d’un numéro de téléphone, le nom d’une personne ou comprendre ce que quelqu’un dit)
  • 2 composantes: l’entrepôt phonologique et le système de répétition articulatoire
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72
Q

quelles sont les 2 composantes de la boucle phonologique?

A
  • l’entrepôt phonologique

- le système de répétition articulatoire

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73
Q

en quoi consiste la tablette visuo-spatiale selon Baddeley?

A
  • enregistre et manipule l’information visuelle et spatiale (ex: quand on forme une image dans notre tête, quand on résout un puzzle, quand on se retrouve sur le campus de l’université, etc.)
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74
Q

en quoi consiste l’exécutif central selon Baddeley?

A
  • comprend une partie de la boucle phonologique et de la tablette visuo-spatiale
  • où la plupart du travail de la MT se passe
  • système à capacité limitée qui relie les systèmes esclaves et la MLT
  • responsable des plans, division del’attention et stratégies de sélection
  • ne store pas d’information
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75
Q

quels sont les 2 phénomènes supportant l’idée d’un système spécialisé en langage (boucle phonologique)

A
  • l’effet de similarité phonologique
  • l’effet de longueur du mot
  • la suppression articulatoire
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76
Q

en quoi consiste l’expérience de Conrad montrant l’effet de similarité phonologique (confusion entre les mots/lettres qui sonnent pareil)?

A
  • montre une série de lettres sur l’écran

- participants doivent écrire les lettres dans l’ordre

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77
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Conrad montrant l’effet de similarité phonologique (confusion entre les mots/lettres qui sonnent pareil)?

A

l’erreur la plus fréquente était entre d’écrire une lettre qui sonne comme la vraie lettre, pas qui lui ressemblait

montre l’effet de similarité phonologique

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78
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley montrant l’effet de longueur du mot (meilleure mémoire pour les mots courts que les longs mots)?

A
  • découvre que les gens sont capables de se rappeler du nombre d’item qu’ils peuvent prononcer en 2 secondes (plus longs mots = prennent plus de temps à dire = on peut s’en rappeler de moins à la fois)
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79
Q

en quoi consiste la suppression articulatoire?

A
  • ce qui arrive quand la boucle phonologique est interrompue
  • quand on empêche la personne de se répéter les items en lui faisait répéter des items impertinents
  • la suppression articulatoire réduit la mémoire, car parler interfère avec la répétition
  • élimine l’effet de longueur du mot, car répéter des items impertinents enlève l’avantage des petits mots, qui d’habitude laissent plus de place pour la répétition dans la boucle phonologique, donc les mots courts et longs sont perdus de l’entrepôt phonologique
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80
Q

pourquoi la suppression articulatoire élimine-t-elle l’effet de longueur du mot?

A

car répéter des items impertinents enlève l’avantage des petits mots, qui d’habitude laissent plus de place pour la répétition dans la boucle phonologique, donc les mots courts et longs sont perdus de l’entrepôt phonologique

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81
Q

en quoi consiste l’expérience de Shepard et Metzler sur la comparaison d’objets dans la tablette visuos-spatiale?

A

Mesurent les TR pour décider si les paires d’objets dans différents angles sont pareilles ou différentes

hypothèse: plus grande différence angulaire = plus grand TR

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82
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Shepard et Metzler sur la comparaison d’objets dans la tablette visuos-spatiale?

A
  • les TR sont plus longs quand il y a une plus grande différence de degré d’orientation
  • pas d’impact des différents axes de rotation
  • plus grand TR si paires différentes, car rotation complète + décision
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83
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Shepard et Metzler sur la comparaison d’objets dans la tablette visuos-spatiale?

A
  • Les participants résolvent le problème en faisant de la rotation mentale, ce qui est une démonstration de la tablette visuo-spatiale
  • Preuves claires de processus additif (TR pour passer de 0 à 40 degrés = 0 à 20 + 20 à 40)
  • Rotation mentale même pour images 2D
  • Soutien pour représentations figuratives (imagerie visuelle comme perception)
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84
Q

en quoi consiste l’expérience de Della Salla et co. sur le rappel de patterns visuels?

A
  • regarde un pattern noir et blanc pendant 3sec.
  • tourne la page et indique quels carrés doivent être noircis pour dupliquer le pattern (difficiles à coder verbalement, donc dépend de la mémoire visuelle
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85
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Della Salla et co. sur le rappel de patterns visuels?

A

les participants était capables de compléter les patterns consistant en une moyenne de 9 carrés avant de commencer à faire des erreurs

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86
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Della Salla et co. sur le rappel de patterns visuels?

A

ce span élevé (9) est possiblement expliqué par le fait que les carrés individuels peuvent être combinés pour faire des subpatterns (chunking)

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87
Q

en quoi consiste l’expérience de Brooks sur le fait de garder des stimuli spatiaux en tête?

A
  • visualiser un “F” avec ses coins internes et externes identifiés
    1. bouger autour du “F” et pointer les coins internes et externes
    2. bouger autour du “F” et dire si les coins sont internes ou externes
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88
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Brooks sur le fait de garder des stimuli spatiaux en tête?

A

la plupart des gens trouvent plus facile de dire que de pointer les coins internes et externes

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89
Q

quelles furent les conslusions de l’expérience de Brooks sur le fait de garder des stimuli spatiaux en tête?

A

garder une image dans sa tête et pointer sont tous les 2 des tâches visuo-spatiales, donc la tablette visuo-spatiale devient overloaded, alors que dire les coins internes et externes est une tâches articulatoire dans la boucle phonologique, donc ça n’interfère pas avec la visualisation du “F”

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90
Q

quel type de dommage cérébral peut avoir un effet sur la persévérance, la MT et l’attention?

A

lobe frontal

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91
Q

en quoi consiste le tampon épisodique?

A
  • peut storer de l’information (donc fournit de la capacité supplémentaire)
  • connecté à la MLT, donc rend les échanges entre la MLT et la MT possibles
  • système esclave qui encode, intègre et récupère l’information sous forme consciente
  • peut utiliser plusieurs types de codage en même temps
  • garde information active en mémoire pour de plus longues périodes que les autres systèmes esclaves
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92
Q

en quoi consiste l’expérience de la réponse retardée avec des singes en lien avec les effets de dommages au cortex préfrontal?

A
  • singe voit de la nourriture dans un des 2 bols
  • on couvre les 2 bols, on descend un écran, il y a un délai, puis on enlève l’écran
  • le singe doit se rappeler dans quel bol il y avait de la nourriture pour obtenir la récompense
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93
Q

quels furent les résultats de l’expérience de la réponse retardée avec des singes en lien avec les effets de dommages au cortex préfrontal?

A

si le CPF est enlevé, la performance baisse au niveau du hasard (50%)

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94
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de la réponse retardée avec des singes en lien avec les effets de dommages au cortex préfrontal?

A

supporte l’idée que le CPF est important pour garder l’information temporairement

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95
Q

en quoi consiste l’expérience de Funahashi et co. sur les neurones préfrontaux qui gardent de l’information?

A
  • enregistrent des neurones du CPF de singes pendant que les singes font une tâche de réponse retardée
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96
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Funahashi et co. sur les neurones préfrontaux qui gardent de l’information?

A
  • Le délai de quelques secondes montre que les neurones s’activent durant le délai. Cette activité est l’enregistrement neural de la MT du singe
  • Trouvent des neurones qui répondent seulement à l’item qui a été présenté à un endroit particulier, et continuent de répondre pendant le délai. L’information à propos de la localisation de l’objet demeure accessible aussi longtemps que le neurone est activé
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97
Q

Stroke a proposé que l’information conservée en MT lors du délai ne serait pas due à l’activité continue du neurone. Qu’a-t-il proposé comme explication?

A
  • L’information serait storée en MT grâce à des changements à court-terme dans le réseau neuronal
  • l’activité du neurone ne continue pas durant le délai, mais cause une fortification de certaines connexions neurales
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98
Q

à quoi est corrélée une meilleure MT?

A
  • meilleure performance académique
  • meilleur contrôle émotionnel
  • plus grande créativité
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99
Q

quels furent les résultats de l’expérience comparant des groupes à grande et petite capacité de MT?

A

les participants avec une haute capacité de MT sont meilleurs pour éviter les distracteurs

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100
Q

qu’est-ce que le contrôle cognitif?

A
  • des fonctions qui permettent de réguler le comportement et les ressources attentionnelles ainsi que de résister à ses pulsions
  • les personnes avec un faible contrôle cognitif sont plus facilement distraits et ont plus de chances de laisser les distractions interférer avec leur comportement
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101
Q

qu’est-ce que la division?

A
  • c’est le fait de distinguer les différentes mémoires.

- rend plus facile d’étudier la mémoire, car divise en plus petites composantes

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102
Q

qu’est-ce que la courbe de position sérielle?

A

la courbe montrant l’effet de primauté et l’effet de récence

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103
Q

comment faire pour éliminer l’effet de récence?

A

Dans le rappel des mots, demander de compter à l’envers pendant 30 secondes après avoir entendu les derniers mots de la liste. Cela empêche la répétition des derniers mots, donc annule l’effet de récence

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104
Q

quelle est le différence entre la MCT et la MLT concernant le codage visuel?

A
  • MCT: se rappeler de patterns en se le représentant visuellement dans notre tête
  • MLT: visualiser un visage ou un endroit du passé
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105
Q

quelle est le différence entre la MCT et la MLT concernant le codage auditif?

A
  • MCT: démontré par l’expérience de Conrad sur la confusion acoustique
  • MLT: quand on joue une chanson dans notre tête
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106
Q

en quoi consiste l’expérience de WIckens visant à montrer le codage sémantique dans la MCT?

A
  • on montre aux participants des mots liés aux fruits ou à une profession
  • participants écoutent les 3 mots, comptent à l’envers pendant 15 secondes, puis doivent se rappeler des 3 mots
  • capables de s’en rappeler car encore dans la MCT après 15secondes
  • changement de catégorie = pu d’interférence proactive = meilleure performance
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107
Q

en quoi consiste l’expérience de Sachs visant à montrer le codage sémantique dans la MLT? quels furent les résultats?

A
  • participants écoutent un enregistrement
  • délai ou non entre écoute et test de mémoire
  • mesure leur mémoire de reconnaissance en déterminant s’ils se rappelaient des mots exacts ou du sens général du message

Résultats:

  • si testés immédiatement, excellents pour identifier tout type de changement
  • plus le délai est long, plus l’exactitude réduit, mais demeure élevée pour changements sémantiques
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108
Q

qu’est-ce que la mémoire de reconnaissance?

A
  • L’identification d’un stimulus rencontré précédemment
  • Différent du rappel libre, car en reconnaissance, on présente la liste de mots et il doit reconnaître les mots qui ont été vus précédemment, donc pas besoin de générer les mots lui-même
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109
Q

se répéter un numéro de téléphone pour s’en rappeler fait partie de quel type de mémoire et quel type de codage?

A

codage auditif en MCT

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110
Q

se rappeler de ce qui s’est passé dans une histoire fait partie de quel type de mémoire et quel type de codage?

A

codage sémantique en MLT

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111
Q

si je me rappelle de l’endroit o j’étais quand on m’a annoncé une nouvelle, de quel type de mémoire et quel type de codage s’agit-il?

A

codage visuel en MLT

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112
Q

En quoi consistent les cas des patients H.M. et K.F.?

Que démontrent-ils?

A
  • H.M. = retrait de l’hippocampe = peut se rappeler de ce qui vient de se passer, mais ne peut pas le transférer en MLT, donc pu de souvenirs à long-terme
  • K.F. = dommage au lobe pariétal = réduit son digit span à 2 et réduit l’effet de récence. MLT fonctionne, car capable de former nouveaux souvenirs à long-terme
  • Montrent double dissociation entre les mécanismes de la MCT et de la MLT agissant indépendamment
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113
Q

quelle expérience a montré que l’hippocampe pourrait également être impliqué dans la MCT?

A
  • présente un visage inconnu ou un visage connu, suivi d’un délai, puis d’un visage
  • doit dire si 2e visage est le même que le 1er
  • activité de l’hippocampe augmente durant le délai quand visage inconnu, et change peu quand visage connu
  • hippocampe joue donc un rôle dans MCT, car impliqué dans la rétention à court-terme de nouvelle information
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114
Q

Tulving propose que la mémoire épisodique et la mémoire sémantique se distinguent également par le type d’expérience associée à chacune d’elle. Que veut-il dire par cela?

A
  • épisodique: implique un “voyage dans le temps” mental pour se reconnecter aux évènements passés. “self-knowing/remembering”
  • sémantique: implique d’accéder à de la connaissance à propos du monde sans être attaché à une expérience personnelle. Pas de “voyage dans le temps” mental. “Knowing”
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115
Q

en quoi les patients K.C. et L.P. font-ils une double dissociation entre la mémoire sémantique et épisodique?

A
  • K.C.: dommage à l’hippocampe. Sait que certaines choses se sont passées, mais ne peut plus revivre les évènements du passé (mémoire sémantique)
  • L.P.: encéphalite. Difficulté à reconnaître les gens, ne se rappelle plus de la significations de mots, mais se rappelle d’évènements passés (épisodique)
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116
Q

qu’est-ce que l’imagerie cérébrale a-t-elle démontré au sujet de la localisation de la mémoire sémantique et de la mémoire épisodique?

A

il y a du chevauchement, mais la majorité des aires sont différentes entre ces 2 mémoires.
Ne signifie toutefois pas que les 2 sont complètement séparées

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117
Q

comment les mémoires épisodique et sémantique interagissent-elles entre elles?

A
  • la connaissance affecte l’expérience (à quoi on paie attention, comment on interprète ce qu’on expérimente, etc.)
  • la mémoire autobiographique a des composantes sémantiques et épisodiques, donc contenir des faits comme des noms, des horaires, etc. associés à des expériences personnelles (souvenirs personnels sémantiques)
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118
Q

WeMCTacott et Moscovitch ont montré que notre connaissance à propos de personnes célèbres est à la fois sémantique et épisodique. Expliquez.

A

Si on connait des faits à propos d’Oprah et le fait qu’elle ait un tv show, cette connaissance est principalement sémantique
Mais si on se rappelle avoir écouté son tv show, notre souvenir d’Oprah aurait une composante sémantique

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119
Q

qu’arrive-t-il à l’avantage d’avoir des expériences personnelles reliées à des faits lorsqu’on perd notre mémoire épisodique?

A

cet avantage disparaît

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120
Q

il existe différents degrés d’oubli et de rappel. Quels sont-ils? À quel type de mémoire se réfèrent-ils?

A
  • familiarité: une personne est familière, on peut se rappeler de son nom mais pas d’expériences vécues avec elle. Mémoire sémantique
  • souvenir (“recollection”): se rappeler d’un évènement spécifique associé à la personne. Mémoire épisodique
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121
Q

en quoi consiste l’expérience de Petrican et co. avec des personnes de 60 ans se rappelant ou non d’évènements d’il y a 50 ans?

A
  • participants de 60 ans. On leur parle d’évènements importants d’il y a 50 ans
  • sait = sont familiers avec l’évènement mais n’y associent pas d’expérience personnelle
  • se souvient = ils associent l’évènement à une expérience personnelle
  • ne sait pas = ne se rappellent de rien
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122
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Petrican et co. avec des personnes de 60 ans se rappelant ou non d’évènements d’il y a 50 ans?

A
  • “se souvenir” baisse plus rapidement que “savoir”
  • ont perdu beaucoup de leur mémoire épisodique
  • avec l’âge, les souvenirs épisodiques baissent, mais hausse des souvenirs sémantiques. Donc on perd les détails, mais on apprend plus de faits, donc plus on sait.
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123
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Petrican et co. avec des personnes de 60 ans se rappelant ou non d’évènements d’il y a 50 ans?

A

montre la sémantisation de souvenirs lointains (perte de détails épisodiques pour des évènements ayant eu lieu il y a longtemps), laissant seulement la mémoire sémantique liée à ces évènements

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124
Q

comment savons-nous que la capacité de se rappeler du passé est connecté à la capacité d’imaginer le futur?

A

toutes les régions cérébrales actives lors de remémoration d’évènements passés sont aussi actifs quand on pense au futur.

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125
Q

quand on s’imagine un évènement futur, observons-nous cet évènement à la 1re personne ou à la 3e personne?

A

les pensées imaginées sont souvent perçues dans la perspective de la 3e personne

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126
Q

qu’ont proposé Addis et co. par rapport au rôle principal de la mémoire épisodique par rapport aux évènements futurs?

A

proposent que le rôle principal de la mémoire épisodique ne serait pas de se rappeler, mais de permettre de simuler des scénarios futurs afin de les anticiper

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127
Q

à quoi pensons-nous principalement quand on “mind wander”?

A

Plus de chances de penser au futur qu’au présent ou au passé

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128
Q

que causerait un dommage au “default mode network” (mode quand on ne focus pas sur une tâche)

A

causerait des problèmes dans le rappel de souvenirs autobiographiques

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129
Q

qu’est-ce que l’imagerie mentale?

A

la capacité de recréer un monde sensoriel en l’absence d’un stimulus physique.
inclut tous les sens

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130
Q

qu’a montré l’expérience de Pavio dans laquelle les participants devaient se rappeler de mots qui étaient précédemment pairés avec le mot présenté? Que propose-t-il?

A
  • On se rappelle plus facilement de mots concrets qui peuvent être imaginées que de noms abstraits
  • propose l’hypothèse du “conceptual peg” selon laquelle des mots concrets créent des images auxquelles les autres mots peuvent s’accrocher
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131
Q

quel type de représentation est commun à l’imagerie mentale et la perception?

A

représentation spatiale; l’expérience spatiale et imagerie et en perception match avec la réelle disposition du stimulus

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132
Q

en quoi consiste l’expérience de Kosslyn en lien avec le scanning mental de différentes parties d’un objet imaginé?

A
  • demande aux participants de mémoriser une image, de se la représenter dans leur tête et de focuser sur une partie en particulier
  • Doit peser “vrai” ou “faux” dépendamment de s’ils trouvent certaines parties de l’objet
  • Si l’imagerie est comme la perception, ça devrait prendre plus de temps se trouver une partie de l’objet située plus loin de leur point de focus, car ils doivent scanner une plus grande partie de l’image avant de s’y rendre
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133
Q

quels furent les résultats l’expérience de Kosslyn en lien avec le scanning mental de différentes parties d’un objet imaginé?

A
  • ça prend plus de temps pour scanner entre 2 parties séparées
  • soutien pour représentations figuratives
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134
Q

quelle est la proposition de Pylyshyn en réponse à Kosslyn en lien avec le scanning mental de différentes parties d’un objet imaginé?

A
  • Le fait qu’on expérimente l’imagerie comme étant spatiale ne veut pas dire que la représentation sous-jacente est spatiale. On est souvent pas conscients de nos processus cognitifs
  • Dit que l’imagerie spatiale n’est qu’un épiphénomène, quelque chose qui accompagne le mécanisme sans en faire partie et la représentation ne serait pas spatiale ni visuelle
  • L’image serait produite après le traitement
  • Suggère la représentation propositionnelle: les relations peuvent être représentées par des symboles abstraits comme des équations ou des positions un par rapport à l’autre
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135
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Kosslyn concernant comment l’effet de la grosseur de l’objet sur l’imagerie?

A
  • Taille relative du 1er animal influencetemps nécessaire pourjuger de la présenced’une propriété du 2e animal
  • Soutien pour représentations figuratives
  • Quand on inverse les tailles des animaux, graphique inverse. Ce n’est pas l’identité de l’animal qui compte, c’est la place qu’il prend dans notre imagerie visuelle mentale
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136
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Kosslyn avec la tâche de marche mentale?

A

doivent se rendre plus près des petits animaux que des gros animaux pour qu’ils prennent toute la place de leur champ de vision mental

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137
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Perky dans laquelle il projetait faiblement une image de banane lorsqu’il demandait des participants d’imaginer une banane et de la décrire?

A

La description de la banane imaginée matchait celle de la banane projetée
Les participants s’étaient trompées entre la vraie image et leur image mentale

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138
Q

tout comme en perception, quand on s’imagine une image dans notre tête, si l’objet est petit, l’activation est concentrée _____ du cerveau, et plus la taille augmente, plus l’activité se déplace vers ______ du cortex visuel

A
  1. l’arrière

2. le devant

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139
Q

vrai ou faux? l’imagerie mentale et la perception donnent toutes les 2 lieu à une organisation topographique du cerveau

A

vrai

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140
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Ganis dans laquelle on présente une image aux participants, puis ils doivent imaginer cette image

A
  • l’imagerie et la perception activent les mêmes régions du lobe frontal et en arrière du cerveau
  • l’activation pour la perception est plus intense que pour l’imagerie
  • le chevauchement est presque parfait
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141
Q

il a été trouvé que l’activation dans des régions cérébrales liées à des stimuli non-visuels (ouïe, toucher, etc.) baissait lors de tâches d’imagerie visuelle. Quelle est l’explication proposée?

A

possiblement parce que l’imagerie est fragile, donc la déactivation de ces régions aide à réduire l’activité non pertinente.

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142
Q

en quoi consiste l’expérience de Johnson et Johnson concernant l’analyse de patterns de voxels

A
  • présentent 4 images (plage, désert, champ et maison)
  • enregistre activité des voxels lors de la présentation de chaque image
  • essaient de prédire quelle image est vue en fonction du pattern d’activité des voxels
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143
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Johnson et Johnson concernant l’analyse de patterns de voxels

A
  • prédiction correcte à 63% des images vues uniquement en analysant le pattern d’activité des voxels
  • prédiction baisse à 55% quand on analyse les patterns d’activité des voxels lors de l’imagination des images
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144
Q

en quoi consiste l’expérience de Kosslyn avec la SMTr dans le cortex visuel en lien avec une tâche de perception et d’imagerie?

A
  • tâche de perception: voient un display avec des lignes noires et doivent faire des jugement (ex: la ligne 2 est plus longue que la 3)
  • tâche d’imagerie: même chose, mais doivent fermer les yeux et répondre en fonction de leur image mental du display
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145
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Kosslyn avec la SMTr dans le cortex visuel en lien avec une tâche de perception et d’imagerie?

A
  • la SMTr dans le cortex visuel cause un ralentissement de la réponse dans les 2 cas
  • conclusion: le cortex visuel joue un rôle crucial dans la perception et dans l’imagerie
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146
Q

quels furent les résultats de l’expérience de la marche mentale de Farah?

A
  • retrait du cortex visuel = distance augmente de 15-35 ft, car réduction du champ visuel mental, donc augmente taille d’images en imagerie
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147
Q

est-ce que l’héminégligence affecte aussi l’imagerie mentale?

A

oui

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148
Q

qu’est-ce que l’agnosie visuelle?

A

l’incapacité à reconnaître un objet visuellement

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149
Q

quelles sont les conclusions concernant le débat sur l’imagerie mentale?

A
  • la perception se produit automatiquement quand on regarde quelque chose, mais l’imagerie demande un effort et est fragile
  • plus difficile de manipuler des objets créés par la perception
  • on peut manipuler des images mentales simples
  • plusieurs ressemblances entre perception et imagerie, mais aussi plusieurs différences
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150
Q

l’imagerie mentale se produit-elle automatiquement?

A

non, elle demande un effort

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151
Q

comment l’imagerie mentale peut-elle aider à améliorer la mémoire?

A
  • placer des images dans des localisations

- associer des images à des mots

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152
Q

qu’est-ce que la méthode de Loci?

A

les choses à mémoriser sont placées à différents endroits dans une organisation spatiale dans une image mentale (ex: je me rappelle qui était assis où à la table)

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153
Q

qu’est-ce que la “pegword technique”

A

au lieu de visualiser des items à différents endroits dans une image, les associer à des mots concrets, comme des mots qui riment

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154
Q

quelle est la différence entre de l’imagerie spatiale et de l’imagerie d’objets?

A
  • spatiale = imager des relations spatiales comme le layout d’une cuisine
  • objets = visualiser des objets, détails, caractéristiques
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155
Q

en quoi consiste le test du pliage de papier?

A

voir un papier se faire plier et choisir quelle image représente le papier lorsqu’on le déplie

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156
Q

en quoi consiste le test de la vivacité de l’imagerie visuelle?

A
  • score de 1 à 5 de la vivacité des images créées mentalement
  • permet de mesurer l’imagerie des objets
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157
Q

quel fut le but l’expérience de Baddeley dans laquelle les patients doivent mentalement tirer des lettres aléatoires d’un chapeau à différents rythmes?

A
  • montrer la capacité de traitement limité de l’exécutif central
  • montrer la dépendance de l’exécutif central sur la MLT durant une tâche de production
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158
Q

quelle était l’hypothèse de l’expérience de Baddeley dans laquelle les patients doivent mentalement tirer des lettres aléatoires d’un chapeau à différents rythmes?

A
  • plus grande demande pour l’exécutif central = plus grande dépendance sur les patrons comportementaux communs et bien appris récupérés de la MLT
  • prédiction: taux de génération plus rapide = niveau de hasard plus bas = occurence plus élevée
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159
Q

quels étaient les 2 types de séquences non-aléatoires créées par l’exécutif central lors de l’expérience de Baddeley dans laquelle les patients doivent mentalement tirer des lettres aléatoires d’un chapeau à différents rythmes?

A
  • Séquences prévisibles (A-D, A-D, A-D…)

- Séquences stéréotypées (S-A-Q, C-I-A, P-L-Q…)

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160
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley dans laquelle les patients doivent mentalement tirer des lettres aléatoires d’un chapeau à différents rythmes?

A

Les participants génèrent + de séquences non-aléatoires (prévisibles ou stéréotypiques) lorsque que la pression (due au rythme) est plus élevée

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161
Q

quelles furent les conclusions de l’expérience de Baddeley dans laquelle les patients doivent mentalement tirer des lettres aléatoires d’un chapeau à différents rythmes?

A
  • Support pour l’idée que l’exécutif central dépend plus des comportements communs/connus lorsque les demandes de traitement sont élevées
  • Support pour capacité générale de traitement limitée (exécutif central responsable de gérer capacité)
  • Support pour connexion entre exécutif central et MLT, surtout séquences stéréotypées
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162
Q

en quoi consiste l’expérience de Brooks visant à montrer l’existence de 2 systèmes esclaves en “surchargeant” un système en faisant faire 2 tâches de la même nature?

A
  • tâche 1: entrée verbale + réponse verbale ou visuospatiale simultanément
  • tâche 2: entrée visuospatiale + réponse verbale ou visuospatiale simultanément
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163
Q

quelles étaient les prédictions lors de l’expérience de Brooks visant à montrer l’existence de 2 systèmes esclaves en “surchargeant” un système en faisant faire 2 tâches de la même nature?

A
  • Si un seul système, le traitement verbal doit prendre une partie, et répondre (verbalement ou visuospatial) prendra aussi de la place, donc ça devrait prendre plus de temps pour répondre. TR égaux pour toutes les conditions
  • Si 2 sous-systèmes et tout est verbal, même chose que si un seul système et risque de surcharge, donc + TR
  • Si 2 sous-systèmes et verbal + visuospatial, pas de surcharge car on traite verbal et visuospatial séparément, donc réponse plus rapide
  • Bref, si 2 sous-systèmes, +TR si tout est verbal que si verbal + visuospatial
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164
Q

quels furent les résultats de l’expérience (pour la composante verbale) de Brooks visant à montrer l’existence de 2 systèmes esclaves en “surchargeant” un système en faisant faire 2 tâches de la même nature?

A
  • Impact moyen sur TR: plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse
  • TR entrée verbale = verbal > taper > pointer
  • TR entrée visuospatiale = pointer > taper > verbal
  • Support pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
  • 1re preuve de dissociation simple
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165
Q

que nous dit la comparaison entre les résultats des entrées verbale et visuospatiale dans l’expérience de Brooks visant à montrer l’existence de 2 systèmes esclaves en “surchargeant” un système en faisant faire 2 tâches de la même nature?

A
  • Si on passe de non-correspondance à correspondance entre type d’entrée et réponse: +TR
  • Preuve générale“d’interférence”
  • Les modèles à système unitaire sont invalides
  • Support pour systèmes verbal et visuospatial à court terme séparés
  • Quand les 2 correspondent avec le codage, c’est toujours plus long (dire + entrée verbale, pointer + visuospatial, etc.)
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166
Q

quel est le rôle de l’entrepôt phonologique dans la boucle phonologique?

A

Contient traces de matériel AVL

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167
Q

quel est le rôle du système de répétition articulatoire dans la boucle phonologique?

A
  • Maintient traces mnésiques phonologiques
  • Traduit information visuelle en nommant de façon sous-vocale (Prend le visuel qui a une composante verbale directe (ex: mot) ou indirecte (ex: image qu’on peut décrire) et le traduit en mot qui devient la voix dans notre tête, qui prend ensuite la relève)
  • La voix dans notre tête quand on lit ou répète
  • Si entrée non “rafraîchie”, se degrade (disparaît par interférence proactive en 15-30 sec.)
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168
Q

comment avons-nous confirmé que l’entrepôt phonologique contient les traces de matériel AVL?

A

grâce à l’expérience de Conrad sur l’effet de similarité phonologique

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169
Q

quelle était l’hypothèse lors de l’expérience de Baddeley montrant l’effet de longueur du mot (meilleure mémoire pour les mots courts que les longs mots)?

A
  • Si la MCT est limitée en termes de nombre de chunks, aucun effet de longueur du mot sur empan mnésique
  • Si la MCT est limitée en termes de durée, effet de la longueur du mot sur l’empan mnésique
  • Mots plus longs = moins de mots en mémoire, car prennent plus de temps à répéter
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170
Q

quelle fut la conclusion suite à l’expérience de Baddeley montrant l’effet de longueur du mot (meilleure mémoire pour les mots courts que les longs mots)?

A

Les mots sont codés par durée temporelle (2 secondes) et non par nombre d’unités significatives/chunks

171
Q

quelle était l’hypothèse lors de l’expérience de Baddeley consistant à comparer la vitesse de notre lecture à voix haute à la voix dans notre tête?

A

Notre vitesse quand on lit à voix haute serait la même que la vitesse de la voix dans notre tête

172
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley consistant à comparer la vitesse de notre lecture à voix haute à la voix dans notre tête?

A
  • nombre de syllabes par mot lié à performance de rappel sériel
  • On peut prédire le taux de lecture dans la tête à partir du taux de lecture à voix haute, car les 2 courbes sont pratiquement pareilles (courbes identiques)
  • En moyenne, 2 sec. de matériel dispo pour rappel
173
Q

en quoi consiste l’expérience de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire?

A
  • présentation auditive ou visuelle de mots de différentes longueurs
  • présence ou non d’une condition de suppression de la répétition en l’occupant à compter avant et pendant la tâche
  • rappel sériel
174
Q

quelles furent les prédiction lors de l’expérience de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire?

voir cours 8.1 diapos 36 à 44

A
  • Auditive: effet de longueur du mot présent lorsque la répétition est permise, car info auditive transférée dans la boucle phonologique (donc la capacité dépend de la longueur du mot)
  • Visuelle: effet de longueur du mot présent lorsque la répétition est permise, car info visuelle transférée de la tablette visuospatiale vers l’entrepôt phonologique, via le système de répétition articulatoire

Prédiction 2
En auditif, effet de longueur du mot absent lorsque la répétition n’est pas permise, car le système de répétition articulatoire ne peut rafraîchir les traces mnésiques de l’entrepôt phonologique

Prédiction 3
En visuel - suppression, effet de longueur du mot sera perdu parce qu’aucune traduction par le système de répétition articulatoire

175
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire lors de la condition où la répétition était possible?

A
  • Effet de longueur du mot obtenu pour les deux types de présentation (auditive et visuelle)
  • Soutien pour processus de traduction de visuel à phonologique
176
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire lors de la condition où la répétition était supprimée?

A
  • Auditif = Suppression cause une baisse de performance, mais effet de longueur du mot préservé, car non lié au système de répétition articulatoire
  • Visuel = Résultats
    Suppression élimine effet de longueur du mot, car matériel non codé phonologiquement
  • Valide “traduction” comme processus plausible pour maintenir traces mnésique d’information visuelle avec aspect phonologique
177
Q

dans quelles circonstances retrouve-t-on l’effet de longueur du mot dans la modalité visuelle?

A

Effet de longueur du mot seulement si :

  • “traduction” de visuel à phonologique
  • répétition possible
178
Q

quels furent les résultats de l’expérience 2.0 de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire lors de la condition où la répétition était possible, mais cette fois-ci en demandant également de compter après la tâche pour éviter la répétition?

A

effet de longueur du mot uniquement pour les conditions visuelles et auditives dans lesquelles on pouvait répéter

179
Q

quelles furent les conclusions des expériences 1.0 et 2.0 de Baddeley visant à montrer les fonctions du système de répétition articulatoire lors de la condition où la répétition était possible, mais cette fois-ci en demandant également de compter après la tâche pour éviter la répétition?

A
  • Si on empêche les participants de répéter seulement durant l’apprentissage: effet de longueur présent, car répétition articulatoire sous-vocale peut se produire durant le rappel écrit, donc les mots sont présents dans l’entrepôt phonologique (effet de récence)
  • Si on empêche de répéter durant l’apprentissage ET le rappel écrit (2.0): effet de longueur du mot absent
  • Système de répétition articulatoire sous-vocal est responsable de l’effet de longueur du mot
180
Q

avons-nous prouvé que le système de répétition articulatoire maintient traces mnésiques phonologiques?

A

oui, mais il a fallut faire une expérience 2.0 dans laquelle on demandait également de compter après la tâche pour éviter la répétition afin d’éliminer l’effet de récence

181
Q

en quoi consiste l’expérience de Logie et Marchetti visant à déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérées par des sous-systèmes différents?

A
  1. Rétention de couleurs ou séquences spatiales
  2. aucune tâche secondaire, mouvement actif (spatial) ou visionnement d’images non-reliées (visuel) pour occuper entre présentation visuelle et réponse
    - Mesure: Nombre de fausses reconnaissances
  • Si on a 2 sous-systèmes, risque de surcharger si la tâche principale et la tâche secondaire sont de la même nature (nuance de couleur + visionnement d’images; séquence spatial + mouvement actif)
  • Si tâche principale spatiale, faire tâche secondaire visuelle devrait avoir le même effet sur le TR que si pas de tâche secondaire
182
Q

quelles étaient les hypothèses lors de l’expérience de Logie et Marchetti visant à déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérées par des sous-systèmes différents?

A

Si la tablette visuospatiale contient deux sous-systèmes (visuel et spatial):

  • La condition “mouvement actif” n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe “séquence spatiale” (interférence)
  • La condition “images non-reliées” n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe “nuance de couleurs” (interférence)
183
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Logie et Marchetti visant à déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérées par des sous-systèmes différents?

A

Taux de fausses reconnaissances:

  • Pour la tâche spatiale (séquences): mouvement actif > (Images non-reliées = contrôle)
  • Pour la tâche visuelle (couleurs): images non-reliées > (mouvement actif = contrôle)
184
Q

quelles sont les interprétations des résultats de l’expérience de Logie et Marchetti visant à déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérées par des sous-systèmes différents?

A
  • Il est possible d’influencer la performance à une tâche spatiale dynamique sans influencer une tâche visuelle statique (et vice-versa, donc double dissociation)
  • On doit donc postuler deux sous-systèmes dans la tablette visuospatiale: un qui s’occupe de l’information spatiale et dynamique et l’autre qui s’occupe de l’information visuelle et statique
185
Q

quelles sont les 2 composantes de la tablette visuospatiale selon Logie?

A
  • scribe interne (encodage + répétition de séquences spatiales)
  • entrepôt visuel (entreposage à court terme)
186
Q

qu’est-ce que l’entrepôt visuel dans la tablette visuospatiale selon Logie?

A
  • Système passif
  • Oubli par dégradation ou interférence
  • Entreposage général d’information statique visuospatiale (forme, couleur, figure-fond)
  • Requiert entrée visuospatiale
  • Info consciente ou non
  • Liée à la traduction sous-vocale (par le système de répétition articulatoire)
187
Q

qu’est-ce que le scribe interne dans la tablette visuospatiale selon Logie?

A
  • Système actif
  • Rafraîchit l’entrepôt visuel
  • Mécanisme de répétition spatiale
  • Impliqué dans la rétention de mouvements/emplacements séquentiels (raison pour interférence en “mouvement actif”)
  • Utilisé durant la planification et l’exécution du mouvement (extrait info de l’entrepôt visuel pour permettre mouvement ciblé)
188
Q

quel est le problème avec le modèle de la tablette visuospatiale de Logie (scribe interne + entrepôt visuel)?

A
  • N’explique pas les tâches qui demandent la création d’images mentales traitées de façon dynamique (voit image dans sa tête sans entrée visuelle externe)
  • On peut demander à des participants de créer des images mentales, et les tâches spatiales dynamiques et visuelles statiques n’interfèrent pas
189
Q

quelle a été la solution proposée par Pearson pour résoudre le modèle de la tablette visuospatiale de Logie (scribe interne + entrepôt visuel)?

A

création du tampon visuel

190
Q

qu’est-ce que le tampon visuel proposépar Pearson comme solution au problème du modèle de la tablette visuospatiale de Logie (scribe interne + entrepôt visuel)?

A
  • Génère/maintient images pour certaines tâches
  • Pas d’entrée visuelle requise
  • Toujours consciente
  • Passage obligé entre entrepôt et scribe (donc on serait toujours conscient des images traitées)
  • Peut recevoir info de la boucle phonologique
  • Plus besoin de codage AVL si l’image est générée
  • Selon ce modèle (scribe interne + tampon visuel + entrepôt visuel), nous aurions donc accès à des images mentales visuelles conscientes pour réaliser des tâches en mémoire de travail
191
Q

quel type de matériel contient la boucle phonologique et la tablette visuospatiale?

A
  • boucle phonologique: matériel AVL

- tablette visuospatiale: matériel visuospatial

192
Q

comment la boucle phonologique et la tablette visuospatiale maintiennent-ils les traces actives?

A
  • boucle phonologique : maintient les traces AVL actives à l’aide de répétition articulatoire
  • tablette visuospatiale: maintient les traces VS actives en rafraîchissant (scribe interne)
193
Q

quelles sont les utilités principales de la boucle phonologique et la tablette visuospatiale?

A
  • boucle phonologique : encodage des entrées et entreposage temporaire
  • tablette visuospatiale: Encodage des entrées, entreposage temporaire et génération d’images visuelles dans l’esprit
194
Q

qu’est-ce que l’hypothèse de connaissance tacite de Pylyshyn en réponse à Kosslyn en lien avec le scanning mental de différentes parties d’un objet imaginé?

A
  • On utiliserait notre savoir à propos de l’environnement pour accomplir la tâche
  • Mémoire de la structure des objets/du monde réel (relations entre parties, distances entre monuments/villes, etc.)
  • On aurait pu enregistrer les images sous une forme différente qu’en image, comme des faits. Ex: la porte est sous l’horloge, l’horloge est au milieu, etc.
    Pas besoin de m’imaginer la carte du Québec pour dire que Montréal est sous la Gaspésie. C’est un fait que je sais
195
Q

en quoi consiste la représentation propositionnelle proposée par Pylyshyn?

A
  • Les propriétés des stimuli sont représentées symboliquement (comme lorsque mots du langage représentent objets et relations entre objets)
  • Pourrait expliquer le balayage mental (le temps de réactions serait dû au nombre de connexions avant de se rendre à l’objet ciblé)
196
Q

en quoi consiste l’expérience de Kosslyn visant à déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels (image de l’île)?

A
  • participants doivent mémoriser et redessiner la carte de l’île
  • doivent s’imaginer la carte complète
  • doivent balayer la carte mentalement d’un lieu à l’autre et indiquer quand ils ont atteint le 2e lieu
197
Q

quelle fut l’hypothèse lors de l’expérience de Kosslyn visant à déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels (image de l’île)?

A

Si l’image mentale de l’île est réellement une copie analogue (comme perception), cette copie devrait préserver les relations en termes de distance donc + distance entre deux cibles = + TR
Relation linéaire entre distance et TR causée par représentation figurative

198
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Kosslyn visant à déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels (image de l’île)?

A

Temps de balayage augmente linéairement avec la distance (corrélation presque parfaite)

199
Q

quelles furent les conclusions suite à l’expérience de Kosslyn visant à déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels (image de l’île)?

A
  • Distances métriques représentées de la même façon que lorsque carte visuellement perçue
  • Soutien pour représentations figuratives en tablette visuospatial
200
Q

qu’est-ce qu’une représentation figurative?

A
  • Imagerie mentale “imiterait” la perception visuelle
  • Préservent les caractéristiques physiques des stimuli qui les génèrent (distance, taille, relation entre les parties, etc.)
201
Q

vrai ou faux? l’imagerie mentale active les aires rétinotopiques du cortex visuel

A

vrai

202
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Kreiman consistant à comparer l’activité de neurones dans des tâches de perception et d’imagerie?

A

Trouve neurones uniques communs pour perception et imagerie

203
Q

quelles études ont montré des similarité entre l’imagerie et la perception?

A
  • Retrait d’une partie du cortex visuel augmente taille d’image en imagerie (rétrécit le champ visuel en perception et en imagerie)
  • Patients qui ne voient plus les couleurs ne peuvent plus imaginer en couleur
  • Héminégligence répliquée en imagerie
204
Q

quelles études ont montré des différence entre l’imagerie et la perception?

A
  • patients non-héminégligents en vrai, mais héminégligents en imagerie
  • patient normal en vrai, mais ne peut pas dessiner des objet de mémoire et difficulté à répondre à des questions qui demandent un haut niveau d’imagerie
  • patient normal en imagerie, mais plein de difficultés en perception
205
Q

qu’est-ce que la haute et la basse imagerie?

A
  • haute imagerie: besoin d’imagerie pour la tâche. Ex: est-ce qu’un melon d’eau est plus gros qu’une orange?
  • basse imagerie: pas besoin d’imagerie pour la tâche. Ex: quel est le nom de ta mère (pas besoin d’imagerie pour ça)
206
Q

La correspondance entre perception et imagerie n’est pas parfaite. Donnez 2 exemples de phénomènes visuels qui n’apparaissent pas en imagerie mentale

A
  • cube de Necker: ambiguité visuelle non répliquée en imagerie
  • rotation: réinterprétation impossible en imagerie
207
Q

quelles sont les conclusions générale quant au débat perception-imagerie?

A
  • Support énorme pour représentations figuratives
  • Mais pourrait ne pas tout expliquer (dissociations neuropsychologiques ne sont pas parfaites + plusieurs phénomènes visuels impossibles à reproduire)
  • Pylyshyn: Participants pourraient utiliser de multiple sources de connaissance pour résoudre problème dans expériences d’imagerie (représentations figuratives ET propositionnelles)
208
Q

quelles étaient les hypothèses lors de l’expérience de Rundus consistant à étudier la relation entre répétition et primauté/récence?

A
  • Effet de primauté: contenu de la MLT, car répétition
  • Effet de primauté: contenu de la MCT, car pas le temps de répéter, mais performance élevée quand même
  • On devrait trouver une corrélation entre le nombre de fois que le mot est répété et la performance de rappel de ce mot, mais seulement au début de la courbe
209
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rundus consistant à étudier la relation entre répétition et primauté/récence?

A
  • Probabilité de rappel pour début de la courbe directement liée au nombre de répétitions
  • Montre que la répétition a un effet sur la “force” de la trace en MLT, et donc c’est un processus nécessaire
  • Pas de relation pour fin de la courbe… Pas besoin de répéter, les items sont encore en MCT
  • Dissociation simple
210
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Rundus consistant à étudier la relation entre répétition et primauté/récence?

A
  • Répétition nécessaire pour maintenir l’effet de primauté
  • Répétition renforce traces mnésiques en MLT
  • Taux de répétition→mesure de force de la trace
  • Alors, pour rappel, récupération doit venir de MLT
  • Pas de répétition nécessaire pour effet de récence, donc les mots sont déjà disponibles pour rappel parce qu’ils sont dans la MCT
211
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Murdock consistant en une tâche de rappel libre standard avec des listes de différents nombres de mots

A
  • Constance dans la forme générale de courbe (effet de primauté et de récence)
  • Ajout de mots ne fait qu’allonger la partie du milieu
212
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Murdock consistant en une tâche de rappel libre standard avec différentes vitesse de présentation des mots?

A
  • taux de présentation plus lent affecte primauté seulement
  • Montre effet sur début de la courbe, mais sur effet de récence (dissociation simple)

voir graphique cours 9.2 diapo 14

213
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Murdock consistant en une tâche de rappel libre standard avec différentes vitesse de présentation des mots?

A
  • Effet de primauté = très robuste
  • Présentation plus lente améliore capacité de répétition
  • Affecte effet de primauté (MLT), mais pas effet de récence (MCT)
  • Soutien pour 2 systèmes séparés
  • Simple dissociation entre MCT et MLT
214
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Glanzer et Cunitz visant à éliminer l’effet de récence en de compter à voix haute entre la fin de la présentation des mots et le rappel libre?

A

Pas d’effet sur primauté, car déjà en MLT, mais délai annule effet de récence

voir graphique cours 9.2 diapo 19

215
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Glanzer et Cunitz visant à éliminer l’effet de récence en de compter à voix haute entre la fin de la présentation des mots et le rappel libre?

A
  • compter entre la fin de la liste et le rappel crée de l’interférence, donc les items en MCT sont oubliés
  • les premiers items sont bien rapportés, car déjà en MLT
  • dissociation simple entre MCT et MLT
216
Q

quelles sont les 2 expériences ayant permis de trouver une double dissociation entre la MCT et la MLT?

A
  • délai avant le rappel durant lequel les participants comptent à voix haute = effet sur la MCT/effet de récence, car efface contenu de la MCT
  • taux de présentation plus lent affecte effet de primauté, car plus de temps pour répétition
217
Q

qu’est-ce que la mémoire explicite?

A
  • Ce que l’on veut dire par “mémoire”
  • Capacité de rappel conscient des faits et événements
  • Affecté en amnésie
  • Permet comparaison et contraste du matériel remémoré
  • Représentationnelle (façon de modéliser le monde externe)
218
Q

quelles sont les 2 sous-sections de la mémoire explicite?

A
  • sémantique

- épisodique

219
Q

qu’est-ce que la mémoire épisodique?

A
  • évènements spécifiques et concrets
  • expérience personnelle
  • acquis immédiatement
  • encodé avec contexte
  • “se souvenir”
220
Q

qu’est-ce que la mémoire sémantique?

A
  • faits généraux
  • non liée à l’expérience
  • connaissance abstraite
  • extrait du contexte
  • acquis progressivement dans de multiples contextes
  • “savoir”
221
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Knowlton et Squire visant à montrer une différence dans l’oubli sémantique vs épisodique en faisant une tâche de reconnaissance de mots?

A
  • délai de 10min: on se souvient plus d’avoir précisément vu un mot qu’on le sait (ne pas se rappeler l’avoir vu mais avoir un feeling qu’il était dans la liste)
  • délai 1 semaine: on se souvient encore plus qu’on ne sait, mais plus grande baisse en épisodique qu’en sémantique

voir graphique cours 9.2 diapo 30

222
Q

quels furent les conclusions de l’expérience de Knowlton et Squire visant à montrer une différence dans l’oubli sémantique vs épisodique en faisant une tâche de reconnaissance de mots?

A
  • Les réponses «Se souvenir» (mémoire épisodique) ont un patron d’oubli différent des réponses «Savoir» (mémoire sémantique)
  • Indice selon lequel nous avons donc deux types de mémoire explicite séparés avec des caractéristiques différentes
  • Mémoire épisodique devient sémantique avec le temps
223
Q

la mémoire épisodique est sensible à la dégénérescence de quelles aires cérébrales?

A
  • hippocampe

- cortex frontal

224
Q

quelles étaient les hypothèses lors de l’expérience de Sachs visant à montrer le codage sémantique dans la MLT?

A
  • Les participants devraient remarquer des changements très spécifiques dans la phrase si testé tout de suite après l’avoir entendue
  • Si, avec le passage du temps, la mémoire préserve TOUTE l’information, les participants devraient remarquer des changements dans la syntaxe et le sens
  • Si, avec le passage du temps, la mémoire préserve surtout l’info sémantique, les participants devraient remarquer des changements dans le sens mais pas dans la syntaxe, donc pas reconnaître une phrase identique
225
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Sachs visant à montrer le codage sémantique dans la MLT

A
  • Preuve pour codage (surtout) sémantique en MLT, car sens préservé
  • Mémoire pour signification du message préservée jusqu’à un certain point
  • Mémoire pour forme syntaxique du message disparaît tranquillement à mesure que le temps passe
226
Q

vrai ou faux? le traitement descendant influence mémoire épisodique

A

vrai

savoir/attentes (sémantique) peuvent diriger faisceau attentionnel, dont la mémoire épisodique dépend

227
Q

vrai ou faux? l’info épisodique enrichit mémoire sémantique

A

vrai

Les faits avec signification personnelle sont plus faciles à mémoriser

228
Q

quels sont les 2 niveaux de traitement selon Craik et Tulving?

A
  • de surface: implique peu d’attention au sens, focus sur les caractéristiques physiques des mots (ex: son). Répétition de maintien
  • profond: attention au sens et à sa relation avec les autres mots (sémantique). Répétition élaborative
229
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Craik et Tulving dans laquelle ils posaient 3 questions de différents niveaux de traitement suivies de tâches de mémoires des mots?

A

traitement en profondeur = meilleure mémoire

230
Q

sommes-nous meilleurs à se rappeler de mots qui sont liés à nous ou des mots couramment utilisés?

A

des mots qui sont liés à nous

231
Q

quels furent les résultats de l’expérience comparant un groupe qui lit les paires de mots au groupe générant le 2e mot de la paire?

A

les participants qui généraient le 2e mot de la paire étaient capables de reproduire plus de paires de mots que les participants qui lisaient les paires de mots

232
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Bower, Clark, Lesgold et Winzenz organisant les items en un graphique d’arbre dans le but de déterminer si l’organisation hiérarchique en categories permet un meilleur rappel des mots?

A
  • dans la tâche de rappel, les participants avaient tendance à organiser leurs réponses de la même façon que l’arbre
  • le rappel était meilleur pour les participants ayant la bonne organisation dans l’arbre que ceux pour qui les mots étaient placés aléatoirement dans les catégories de l’arbre

voir graphique cours 10.1 dispo 26

233
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Bransford et Johnson dans laquelle on montrait ou non une image de l’histoire avant de lire l’histoire? Comment peut-on interpréter ces résultats

A
  • les participants ayant vu l’image de l’histoire se rappelaient davantage de ce passage que les participants n’ayant pas vu l’image
  • l’image représenterait un cadre mental qui aide à lier une phrase à une autre
234
Q

quels furent les résultats de l’expérience dans laquelle les participants devaient imaginer qu’ils était pris sur une île déserte et devaient évaluer
quel point les mots présentés étaient pertinents à leur survie

A

la tâche de “survie” aidait à mieux mémoriser les mots

235
Q

le traitement en profondeur n’est pas toujours la meilleure façon d’améliorer la récupération d’information. quelle autre technique peut également aider?

A

un type de traitement qui correspond à la tâche cognitive qui suivra

236
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Pilzecker dans laquelle un groupe apprend 2 listes de syllables à la suite de l’autre, et l’autre groupe a un délai entre l’apprentissage des 2 listes?

A

le groupe avec le délai a mieux performé quand on leur a demandé de rappeler la 1re liste

237
Q

qu’est-ce que la loi de Hebb et de quel type de consolidation s’agit-il?

A
  • de l’activité répétée renforcit les synapses en créant des changements structuraux
  • consolidation synaptique
238
Q

qu’est-ce que l’amnésie rétrograde et l’amnésie graduée?

A
  • rétrograde = ne pas savoir ce qu’il s’est passé quelques secondes ou minutes avant le trauma
  • graduée = amnésie plus sévère pour les évènements juste avant le trauma et devient moins sévère pour les évènements plus vieux
239
Q

quelles ont été les critiques de Craik et Lockhart vis-à-vis l’approche des boîtes en mémoire?

A
  • combien de boîtes = trop?
  • quelle est la limite de capacité (items, chunks, temps?)?
  • les chunks sont subjectifs, donc impossibles à déterminer
  • frontières floues entre boîtes
240
Q

quelle approche de la mémoire a été proposée par Craik et Lockhart?

A

Approche basée sur lesprocessus de mémoire

241
Q

en quoi consiste l’approche basée sur lesprocessus de mémoire de Craik et Lockhart?

A
  • Développée pour l’étude des processus en MLT
  • accent sur les processus utilisés pour l’enregistrement permanent (MLT) de l’information (encodage - traitement - récupération)
  • différent niveaux de traitement
  • type d’encodage influence durée de la trace
242
Q

quels sont les 2 types de répétition selon l’approche basée sur lesprocessus de mémoire de Craik et Lockhart?

A
  • Répétition de maintien: maintient en MCT, non efficace pour transfert en MLT. Traitement de surface
  • Répétition élaborative: penser au sens de l’item, faire des liens entre les items et chunking. Seul type de répétition efficace pour entreposage permanent de l’info (MLT). Traitement profond
243
Q

Selon Craik et Lockhart, un traitement plus profond mène à…

A
  • Traces plus fortes/durables en MCT (encodage)

- Meilleur rappel (récupération)

244
Q

vrai ou faux? Le rappel libre est une tâche sémantique

A

vrai

245
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Hyde et Jenkins consistant à répondre à des questions de différents niveaux de profondeur sur des mot + en sachant ou non si ces mots seront utilisés dans une tâche de rappel libre plus tard?

A
  • Performance augmente avec profondeur de traitement (tâche d’orientation)
  • Intention d’apprendre: aucun effet significatif sur rappel
  • question sur fréquence et plaisance des mots (+ profond) = même performance que juste écouter les mots de faire rappel libre
246
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Hyde et Jenkins consistant à répondre à des questions de différents niveaux de profondeur sur des mot + en sachant ou non si ces mots seront utilisés dans une tâche de rappel libre plus tard?

A
  • Support pour l’approche des “niveaux de traitement”
  • Intention = pas un facteur en MLT
  • Facteur important: stratégie optimale d’encodage profond
247
Q

quels furent les résultats de la tâche de génération de Slamecka et Graf?

voir graphique cours 10.1 diapo 15-16

A
  • Performance pour condition rime = significativement plus basse (moins profond)
  • Générer mots associés améliore performance de reconnaissance pour toutes conditions
  • Génération = traitement + profond = meilleure reconnaissance
248
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Rogers, Kuiper et Kirker concernant l’effet d’auto-référence?

A
  • Intégrer connaissance avec expérience personnelle = plus gros effet sur performance
  • Pendant auto-référence, si nouveau savoir cadre avec vision de soi (réponse “oui”), meilleur rappel
249
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rogers, Kuiper et Kirker concernant l’effet d’auto-référence?

A
  • traitement + profond = meilleure performance
  • Performance pour auto-référence significativement + élevée que toutes autres conditions
  • Condition auto-référence: performance de rappel supérieure pour essais positifs (“oui”)
250
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Rogers, Kuiper et Kirker concernant l’effet d’auto-référence?

A
  • Encore du soutien pour l’approche des niveaux de traitement de Craik & Lockhart
  • Découverte d’une manière encore plus puissante de renforcer les traces mnésiques pour des mots
  • Meilleure façon d’améliorer l’encodage et la récupération à long terme: analyser le sens de l’information entrante et la lier aux expériences personnelles
251
Q

quel est le problème avec la façon de définir la profondeur de traitement?

A

Raisonnement circulaire

252
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Bower & Winzenz consistant à tester 4 stratégies d’apprentissage de listes de mots dans le but de déterminer quelle stratégie de rétention est la plus efficace pour le rappel?

A

Imagerie visuelle (imaginer une interaction entre les mots)> Génération > Lecture > Répétition

L’imagerie visuelle constituerait donc une stratégie de rétention efficace pour le rappel

253
Q

quelles furent les conclusions suite à l’expérience de Bower, Clark, Lesgold et Winzenz organisant les items en un graphique d’arbre dans le but de déterminer si l’organisation hiérarchique en categories permet un meilleur rappel des mots?

A

L’organisation hiérarchique par catégories constitue une stratégie de rétention efficace

254
Q

vrai ou faux? Lorsque testés à propos du même matériel, les gens sont meilleurs la 2e fois (même sans rétroaction)

A

vrai

255
Q

quelles étaient les hypothèses lors de l’expérience de Roediger et Karpicke visant à déterminer si l’étude ou le testing est le facteur plus important dans la force des traces mnésiques

A
  • Ré-étude produit un avantage à court terme (apprentissage “comprimé”)
  • Être testé produit un avantage à long terme (force organisation plus profonde du matériel)
256
Q

quel furent les résultats de l’expérience de Roediger et Karpicke visant à déterminer si l’étude ou le testing est le facteur plus important dans la force des traces mnésiques

A
  • Groupe étude-étude meilleur lorsque testé immédiatement

- Groupe étude-test meilleur si délai avant test

257
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Roediger et Karpicke visant à déterminer si l’étude répétée ou le testing répété est plus efficace + le niveau de confiance pour chaque groupe?

A
  • Étudier + =avantage court-terme

- Être testé + =avantage long terme

258
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Roediger et Karpicke visant à déterminer si l’étude répétée ou le testing répété est plus efficace + le niveau de confiance pour chaque groupe?

A
  • Étudier plus augmente confiance (attention!)
  • Mieux d’étudier plus si testé immédiatemen
  • Mieux de tester plus si délai d’une semaine avant test
  • Avantage pour testing augmente avec le temps
259
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Roediger et Karpicke visant à déterminer si l’étude répétée ou le testing répété est plus efficace + le niveau de confiance pour chaque groupe?

A
  • Effet de testing: pas causé seulement par exposition supplémentaire au matériel (plus d’étude = moins bonne rétention long terme vs test)
  • Seulement étudier mène à surconfiance
  • Testing a un effet puissant sur rétention à long terme, même sans rétroaction
  • En éducation, les enseignants devraient tester fréquemment
260
Q

Pourquoi c’est mieux l’étude espacé?

A

2 hypothèses:

  1. On porte moins attention à la 2e présentation lorsqu’elle est trop rapprochée de la 1re
  2. Nombre de traces en mémoire est plus grand avec présentation espacée (si trop proche, on les regroupe et ça crée juste 1 trace. Plus on a de traces en mémoires, plus on a de chances de se rappeler)
261
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Morris, Bransford et Franks visant à montrer que ce n’est pas la profondeur du traitement qui compte, mais l’encodage et la récupération?

A

Meilleure reconnaissance si but de la reconnaissance concorde avec but de l’acquisition (rime avec rime et sémantique avec standard)

262
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Morris, Bransford et Franks visant à montrer que ce n’est pas la profondeur du traitement qui compte, mais l’encodage et la récupération?

A
  • Reconnaissance standard (sémantique): participants meilleurs si acquisition sémantique
  • Reconnaissance de rimes: participants meilleurs si acquisition rimes (donc pas avantage de profondeur de traitement)
263
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Morris, Bransford et Franks concernant la durabilité de la trace lorsque l’encodage et la récupération sont sémantiques (profond) ou non (rimes)?

A
  • Baisse plus marquée pour sémantique-standard que rime-standard (rime-rime=sémantique-rime)
  • Montre que traces sémantiques ne sont pas plus durables
  • En moyenne, les traces de traitements sémantique disparaissent plus vite (opposé à Craik et Lokhart).

voir graphique cours 10.2 diapo 6

264
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Morris, Bransford et Franks concernant la durabilité de la trace lorsque l’encodage et la récupération sont sémantiques (profond) ou non (rimes)?

A
  • Rejet de l’approche des niveaux de traitement, car les tâches d’apprentissage dites “profondes” pas toujours supérieures et leurs traces ne sont pas plus durables
  • Accent doit être mis sur correspondance entre tâches d’apprentissage/récupération
  • On doit remplacer le concept de “profondeur de traitement” par un concept de “traitement approprié au transfert”
265
Q

vrai ou faux? Toute chose étant égale (quand apprentissage approprié à la tâche), le sémantique est toujours meilleur

A

vrai
Les concepts de niveaux de traitement et traitement approprié au transfert seraient donc complémentaires plutôt qu’antagonistes

266
Q

en quoi consiste la vision intégrée de Craik concernant les niveaux de traitement et le traitement approprié au transfert ?

A
  • Les concepts de niveaux de traitement et traitement approprié au transfert seraient complémentaires plutôt qu’antagonistes
  • Traitement initial détermine nature qualitative de la trace encodée
  • Encodages plus profonds associésavec plus grand potentiel de récupération
267
Q

qu’est-ce que la spécficité de l’encodage de Tulving et Thomson?

A
  • Accent sur la relation entre encodage et récupération en termes de souvenirs et d’indices
  • Contexte peut être utilisé pour récupération
  • Conditions de mémorisation déterminent comment l’item sera récupéré
  • “effet de contexte”
268
Q

quelle fut l’hypothèse lors de l’expérience de Godden et Baddeley concernant l’effet de contexte?

A

Si apprentissage dépendant du contexte existe, meilleur rappel quand:

  • apprend liste de mots sur la terre ferme et fait le rappel sur la terre ferme
  • apprend la liste de mots sous l’eau et fait le rappel sous l’eau
269
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Godden et Baddeley concernant l’effet de contexte?

A

Si conditions d’acquisition et de rappel concordent, la performance est meilleure

270
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Godden et Baddeley concernant l’effet de contexte?

A
  • L’apprentissage dépendant du contexte existe
  • Contexte mémorisé en association avec cible
  • Contexte peut être utilisé comme indice de récupération
  • Support pour spécificité de l’encodage
271
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Grant et al visant à démontrer l’effet de contexte dans un environnement plus réaliste que de la plongée sous-marine?

A

Si l’apprentissage dépendant du contexte existe, lorsque les conditions d’acquisition et de test correspondent, la performance sera meilleure

272
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Grant et al visant à démontrer l’effet de contexte dans un environnement plus réaliste que de la plongée sous-marine (avec ou sans bruit)?

A

Si conditions d’acquisition et de test concordent, la performance est meilleure

273
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Eich et Metcalfe visant à démontrer l’effet de contexte avec l’humeur (processus internes) et la génération ou lecture de mots

A
  • conditions d’acquisition et de test concordent, performance est meilleure
  • effet de contexte par rapport à l’humeur seulement quand pairé à processus interne (génération), pas avec la lecture des mots, donc besoin d’une concordance entre état interne (humeur) et événement interne (génération) pour que l’effet apparaisse
274
Q

vrai ou faux? Les examens montrent l’importance d’assurer une correspondance avec les conditions de test, mais tout en générant le matériel

A

vrai

275
Q

quelles sont les meilleures techniques d’étude?

A
  • Faites du traitement élaboratif (pas juste répéter, mais aussi lier les matériel à nos autres connaissances)
  • Organiser/créer une structure aide à se remémorer
  • Générer le matériel
  • Testez-vous quelques jours avant l’examen (plus difficile que reconnaissance, donc prépare mieux)
  • Espacer les apprentissage/prendre des pauses
  • Apparier les conditions d’encodage et de récupération (silence + humeur relaxe)
  • Bien dormir
  • Éviter l’illusion de familiarité
  • Ne pas tout surligner
276
Q

quelle est l’explication alternative de l’oubli en MLT proposée par Feigenbaum?

A
  • Information enregistrée intacte
  • Matériel appris devient inaccessible, car dans un énorme réseau d’info associée
  • Peut-être qu’on n’oublie jamais (disponiblité), mais ne peut pas récupérer (pas d’accessibilité)
  • Pour aider récupération, utilisation d’indices contextuels associés au matériel à mémoriser
277
Q

quelles fut l’hypothèse lors de l’expérience de Tulving et Pearlstone visant à montrer que le rappel de mots associés avec un indice est plus facile lorsque cet indice est présenté au rappel (les mots seraient disponivles mais inaccessibles)?

A
  • Puisque les mots sont associés avec une catégorie durant l’encodage (même si pas à apprendre la catégorie), voir le nom de la catégorie facilitera le rappel des mots qui y sont associés
278
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Tulving et Pearlstone visant à montrer que le rappel de mots associés avec un indice est plus facile lorsque cet indice est présenté au rappel (les mots seraient disponivles mais inaccessibles)?

A

Performance de rappel significativement plus élevée si indices les catégoriels sont présentés au rappel que juste en rappel libre

279
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Tulving et Pearlstone visant à montrer que le rappel de mots associés avec un indice est plus facile lorsque cet indice est présenté au rappel (les mots seraient disponivles mais inaccessibles)?

A
  • Mêmes connaissances acquises dans les 2 tâches (rappel libre et rappel indicé)
  • Aucun oubli différentiel
  • Problème = récupération, pas interférence
  • Connaissance disponible, mais seulement accessible à l’aide d’indices présentés à l’apprentissage
  • Aucune façon de prouver qu’on oublie réellement, car possibilité d’aller chercher des éléments qu’on pense avoir oublié
  • Support pour principe de spécificité de l’encodage
280
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Mantyla visant à montrer que le rappel est meilleur lorsque l’on crée nos propres indices de récupération pour le matériel?

A
  • Mots générés par l’individu vont aider performance (effet de génération)
  • 3 indices = mieux que 1 indice

voir cours 10.2 diapo 31

281
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Mantyla visant à montrer que le rappel est meilleur lorsque l’on crée nos propres indices de récupération pour le matériel?

A
  • 3 propriétés pour générer le mot = aide plus que 1 propriété
  • Plus facile quand on utilise nos propres indices pour aller fouiller dans notre mémoire que les indices d’autres personnes

voir graphique cours 10.2 diapo 32

282
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Mantyla visant à montrer que le rappel est meilleur lorsque l’on crée nos propres indices de récupération pour le matériel?

A
  • Plus on a de détails reliés, plus il est facile de récupérer un souvenir
  • Le fait de générer soi-même les indices permet d’associer le mot à nos propres souvenirs, à notre propre expérience
  • Test 7 jours plus tard: avantage reste
283
Q

Selon Mantyla, quelles sont les caractéristiques de bons indices permettant d’associer des mot à nos propres souvenirs?

A
  • Compatibilité: Doit décrire adéquatement le souvenir

- Distinctivité: Doit être associé au moins de souvenirs possibles

284
Q

quels sont les 2 mécanismes de consolidation fonctionnant en interaction?

A
  • Consolidation synaptique: changements structurels au niveau de la synapse. Prend minutes ou heures à faire
  • Consolidation des systèmes: réorganisation graduelle des circuits neuronaux. Prend mois ou années à faire
285
Q

L’hippocampe serait principalement lié à quel type de mémoire?

A

épisodique

286
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Wilhelm et al. visant à montrer que le sommeil améliore la consolidation et la récupération, et montrer que l’intention de se souvenir joue un rôle dans la présence ou non de consolidation pendant le sommeil

A
  • Les participants qui ont dormi 8 heures après l’apprentissage performent généralement mieux à la tâche de rappel indicé (un des mots de la paires) que ceux qui sont restés éveillés
  • Les participants qui ont dormi 8 heures après l’apprentissage performent mieux s’ils savaient d’avance qu’ils allaient être testés
  • Performance: (sommeil + incident) = éveil, donc pas de différence de l’incidence si éveil
287
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Wilhelm et al. visant à montrer que le sommeil améliore la consolidation et la récupération, et montrer que l’intention de se souvenir joue un rôle dans la présence ou non de consolidation pendant le sommeil

A
  • Besoin de sommeil + savoir que ça sera utile plus tard pour que ça améliore la performance
  • Les participants qui ont dormi et qui savaient qu’ils seraient testés ont passé plus de temps en sommeil paradoxal, ce qui nous indique que cette phase du sommeil serait cruciale pour la consolidation
  • L’intention d’apprendre mène à plus de consolidation durant le sommeil
  • Le sommeil est crucial pour maintenir en mémoire des souvenirs “pertinents” (qui pourraient servir plus tard) – Consolidation “sélective”
  • Importance de dormir après apprentissage
288
Q

quels sont les processus impliqués lors de la reconsolidation de souvenirs?

A
  • Réactivation et retour au stade fragile en MCT
  • Modification
  • Reconsolidation
289
Q

quelle fut l’hypothèse lors de l’expérience de Hupbach visant à montrer processus de reconsolidation
et que la récupération du contexte d’un souvenir est suffisante pour modifier ce souvenir?

A
  • Le rappel du contexte fragilisera souvenir de la liste A (dis-moi ce qu’on a fait dans la tâche du jour 1, mais ne redis pas la liste de mots A)
  • Le souvenir du groupe pour qui la liste A n’a pas été rappelée devrait être intact pour le test
290
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Hupbach visant à montrer processus de reconsolidation
et que la récupération du contexte d’un souvenir est suffisante pour modifier ce souvenir?

A
  • Groupe “rappel”: beaucoup d’intrusions de la Liste B dans le rappel de la Liste A
  • Groupe “sans rappel”: Peu d’intrusions
  • Fragilité du souvenir réactivé permet intrusions
  • Preuve de réactivation + reconsolidation
291
Q

qu’est-ce que la mémoire explicite?

A

mémoire dont nous sommes conscients. Exprimée par récupération conscence

292
Q

vrai ou faux? la mémoire procédural ne comprend que les capacités motrices.

A

faux.

comprend aussi des capacités cognitives, comme la capacité à avoir une conversation

293
Q

qu’a prouvé le cas de LSJ, la violoniste ayant perdu sa mémoire épisodique?

A
  • perdu sa mémoire épisodique, mais peut encore jouer du violon et apprendre de nouvelles pièces, mais ne se souvient pas d’avoir appris ces nouvelles pièces
  • capable de répondre à des questions impliquant la mémoire procédurale, montrant un lien entre la mémoire sémantique et la mémoire procédurale
294
Q

vrai ou faux? la mémoire procédurale ne requiert pas d’attention

A

vrai

295
Q

qu’est-ce que “l’expert-induced amnesia”?

A
  • automatique

- quand on demande à un expert comment il a accompli la tâche et qu’il ne le sait pas

296
Q

qu’est-ce que l’amorçage?

A

quand la présentation d’un stimulus change la façon dont une personne va répondre à un autre stimulus

297
Q

qu’est-ce que l’amorçage de répétition ?

A

voir un stimulus augmentera notre réponse à ce stimulus la prochaine fois qu’on le verra même si on ne se rappelle pas l’avoir déjà vu

298
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Graf sur les patients atteints du syndrome de Korsakoff et leur mémoire explicite?

A
  • mémoire explicite plus pauvre que le groupe normal et le groupe alcoolique sans amnésie
  • mémoire implicite normale
299
Q

sommes-nous réellement influencés par les publicités auxquelles nous sommes exposés?

A

oui

  • juste le fait d’y être exposé a un effet sur nous
  • participants donnent de meilleurs scores aux publicités qu’ils ont déjà vues même s’ils ne les reconnaissent pas quand on leur montre une 2e fois
  • exemple de mémoire implicite quotidienne
300
Q

quel est le lien entre l’effet de propagande et la mémoire implicite?

A

plus de chances de bien considérer une affirmation comme vraie simplement parce qu’on l’a déjà lu auparavant

301
Q

en quoi le conditionnement est-il un exemple de mémoire implicite?

A

on continue à avoir la réaction conditionnée même après avoir oublié le pairage initial

302
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Cabeza et co. concernant la mémoire de photos prises soi-même VS prises par quelqu’un d’autre?

A
  • quelques jours après la présentation des 2 types de photo, activation de la région cérébrale associée à la mémoire épisodique pour les 2 types de photos
  • pour les photos prises soi-même, activation de l’aire cérébrale associée à l’information personnelle et la remémoration
  • les photos prises soi-mêmes activaient donc plus de régions cérébrales
303
Q

qu’est-ce qu’une bosse de réminiscence?

A
  • mémoire renforcée pour les évènements arrivés entre 10 et 30 ans
  • plus de souvenirs autobiographiques rappelés
  • souvenirs plus vifs qu’on peut imager
304
Q

qu’est-ce que l’hypothèse de l’image personnelle proposée pour expliquer le phénomène de la bosse de réminiscence?

A

la mémoire est renforcée pour les évènements qui se produisent lorsque nous formons notre image de soi/l’identité

305
Q

qu’est-ce que l’hypothèse cognitive proposée pour expliquer le phénomène de la bosse de réminiscence?

A

les périodes de changements rapides suivies de stabilité causent un encodage plus fort des souvenirs (ex: école, marché du travail, mariage, enfants, etc.)

306
Q

qu’affirment Schrauf et Rubin à propos des des qui ont immigré aux USA à l’âge adulte et leur bosse de réminiscence?

A
  • ils pourraient avoir leur bosse de réminiscence plus tard dans leur vie
  • la bosse de réminiscence original disparaîtrait, car pas de stabilité suivant leur adolescence et début d’âge adulte
  • soutien pour hypothèse cognitive
307
Q

qu’est-ce que l’hypothèse du script de vie culturel proposée pour expliquer le phénomène de la bosse de réminiscence?

A
  • une grande quantité des évènements du script de vie culturel se produisent au cours de la bosse de réminiscence
  • plus facile de se rappeler des évènements qui fit avec le script de vie culturel
308
Q

qu’est-ce que le “biais de la jeunesse” dans l’hypothèse du script culturel?

A

tendance pour laquelle la plupart des évènements publics importants se produisent lorsque la personne est jeune

309
Q

quels furent les résultats de l’expérience de LaBar et Phelps consistant à faire un rappel libre de mots excitants VS de mots neutres?

A

meilleure mémoire pour les mots excitants

310
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Dolcos et co. consistant à tester l’habileté à reconnaître des images émotives VS images neutres après un délai d’un an?

A

meilleure mémoire pour les images émotives

311
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Cahill et co. concernant l’effet du stress (cortisol) sur une tâche de rappel de photos émotives VS neutres?

A
  • le groupe qui avait été stressé se rappelait plus des photos émotives que des photos neutres
  • le cortisol augmenterait donc la mémoire pour des photos émotives, mais pas pour des photos neutres
312
Q

que sont les “flashbulb memories”?

A
  • souvenir très vivide du moment et des circonstances dans lesquelles on a entendu parler d’un évènement (pas un souvenir de l’évènement lui-même)
  • même s’ils sont détaillés et vivides, pas nécessairement accurate
  • ils s’estompent autant que les autres souvenirs, mais on a l’impression que non parce qu’ils sont plus vivides que les souvenirs quotidiens
313
Q

en quoi consiste l’hypothèse de la narrative répétée de Neisser et co. en réponse aux “flashbulb memories”?

A
  • les “flashbulb memories” seraient misleading
  • la TV répète sans cesse les nouvelles, donc on focus plus sur les images diffusées que sur la 1re personne qui nous a parlé de l’évènement = on pense qu’on a entendu parler de l’évènement pour la 1re fois à la TV
314
Q

qu’est-ce que l’effet de vérité illusoire?

A

plus grande probabilité d’évaluer une affirmation comme vraie lors d’une présentation répétée

315
Q

qu’est-ce que la “fluence” en mémoire?

A
  • facilité avec laquelle une affirmation peut être remémorée

- peut affecter le jugement, car causée par la répétition

316
Q

qu’est-ce qu’une inférence pragmatique?

A
  • quand lire une phrase mène la personne à inférer certaines choses qui ne sont pas mentionnées explicitement dans la phrase
  • les inférences sont teintées de connaissances acquises de notre expérience
317
Q

qu’est-ce qu’un script?

A

notre conception des actions qui ont habituellement lieu dans une expérience particulière

318
Q

quels peuvent être les désavantages d’avoir une mémoire exceptionnelle?

A
  • mauvais raisonnement
  • mauvaise performance aux tâches d’organisation de matériel
  • mauvaise pensée abstraite
  • moins bons pour travailler avec des concepts
319
Q

Lindsay fit une expérience consistant à diffuser des information trompeuses diffusées, soit tout de suite après la 1re présentation + dans la même voix, ou 2 jours plus tard + voix différente. Quels furent les résultats de cette expérience?

A
  • même voix = difficilement confus, car une présentation après l’autre avec la même voix
  • voix différente = séparent facilement l’information vraie de l’information trompeuse, car présentés avec 2 jours de délai + voix différente
320
Q

quelles furent les prédictions lors de l’expérience de Tulving, Schacter et Stark visant à montrer une dissociation entre la mémoire explicite et implicite avec une tâche de complétion de fragments de mots (implicite) et de reconnaissance standard (explicite)?

A
  • Complétion mots: si la mémoire est strictement épisodique/sémantique (explicite), et que les fragments n’ont jamais été mémorisés, aucune différence prévue entre fragments de mots provenant de mots vus et non-vus
  • Reconnaissance: On tend à oublier info épisodique, donc si l’oubli est différent entre tâches, alors tâche de fragments de mots utilise autre chose que mémoire explicite
321
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Tulving, Schacter et Stark visant à montrer une dissociation entre la mémoire explicite et implicite avec une tâche de complétion de fragments de mots (implicite) et de reconnaissance standard (explicite)?

A
  • Intervalle 1h: + grande probabilité de compléter un fragment en utilisant un mot vu dans la liste qu’avec de nouveaux mots
  • Intervalle 7 jours: performance en reconnaissance baisse, mais pas la performance de complétion de mots, donc pas d’oubli dans ce type de mémoire.
322
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Tulving, Schacter et Stark visant à montrer une dissociation entre la mémoire explicite et implicite avec une tâche de complétion de fragments de mots (implicite) et de reconnaissance standard (explicite)?

A

Intervalle 1h:

  • Présence d’amorçage de répétition
  • L’amorçage de répétition ne peut être expliqué par mémoire explicite, car on n’a pas demandé aux gens d’utiliser les mots vus précédemment
  • Une partie de la MLT n’est pas explicite
  • Interpétation alternative: Les participants utilisent le rappel conscient de mots de la liste pour compléter les fragments (explicite), même si on ne leur a pas demandé

Intervalle 7 jours:

  • Effet d’amorçage de répétition constant et ne dépend pas de la mémoire explicite
  • Effet sur un système mais pas sur l’autre = dissociation simple
323
Q

qu’est-ce que la mémoire implicite?

A
  • Mémoire dont nous ne sommes pas conscients.
  • Exprimée par performance
  • Modifications de systèmes de performance spécialisés
  • Souvenirs révélés par réactivation des systèmes utilisés à l’apprentissage
  • Dispositionelle (vs représentationnelle): pas de représentation requise
324
Q

quels sont les sous-systèmes de la mémoire implicite?

A
  • procédurale
  • amorçage
  • conditionnement classique
  • apprentissage non-associatif/autre (inclut vicariant)
325
Q

dans l’expérience de classification des tests de mémoire de Neath, lequel des facteurs “incident/intentionnel” et “instructions directes/indirectes” permettent de distinguer la mémoire implicite d’explicite?

A

instructions directes/indirectes (si je m’en rappelle sans qu’on m’ait demandé de m’en rappeler, ce sera implicite (instruction indirecte), si on me le demande, ce sera explicite (instruction directe))

326
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Jacoby et Dallas sur l’effet de la profondeur du traitement sur le type de mémoire?

A
  • Le niveau de profondeur de traitement (apprentissage) influence la performance à la tâche de reconnaissance standard
  • N’influence PAS
    performance identificationrapide (implicite)

voir graphique (en diapo) cours 11.1 diapo 15à17

327
Q

une tâche d’identification rapide est-elle incident ou intentionnel et instructions directes ou indirectes ?

A

incident + indirectes

328
Q

une de reconnaissance standard est-elle incident ou intentionnel et instructions directes ou indirectes ?

A

incident + directes

329
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Jacoby et Dallas sur l’effet de la profondeur du traitement sur le type de mémoire?

A
  • Relation forte entre profondeur et mémoire explicite
  • Pas de relation entre profondeur et mémoire implicite
  • Dissociation entre mémoire implicite et explicite
330
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Sperber et al. visant à montrer qu’une présentation unique d’un mot/image peut influencer le traitement d’un mot/image de la même catégorie sémantique (amorçage sémantique)?

A
  • Plus rapide de nommer la cible si l’amorce est sémantiquement reliée (mots ou images)
  • Conclusion: existence d’un processus implicite d’amorçage sémantique + même source en mémoire pour mots et images
331
Q

qu’est-ce que l’amnésie?

A

Incapacité à former/récupérer souvenirs

  • Rétrograde: oubli de souvenirs passés
  • Antérograde: incapacité à former nouveaux souvenirs
332
Q

l’amnésie affecte-t-elle la mémoire explicite et implicite?

A
  • non, juste explicite (rappel libre et reconnaissance)
  • procédural peut être intacte (dissociation)
  • amélioration de la performance avec temps (implicite), même si ne se souviennent pas d’avoir pratique (explicite)
333
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Neath opposant le groupe contrôle à un groupe d’amnésique dans des tâches de rappel libre, de rappel indicé et de complétion de début?

A

amnésiques moins bons dans rappel libre et rappel indicé (explicite), mais normal dans complétion (implicite)

334
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Neath opposant le groupe contrôle à un groupe d’amnésique dans des tâches de rappel libre, de rappel indicé et de complétion de début?

A
  • Rappel libre et reconnaissance: amnésiques montrent déficits
  • Complétion de mots: amnésiques ont tendance à produire mots déjà présentés
  • Dissociation neuropsychologique montrant systèmes séparés pour mémoire implicite et explicite
  • Amnésie maintenant vue comme déficit de mémoire explicite (récupération)
  • Résultats similaires chez personnes âgées (mémoire explicite atteinte avec l’âge, mais pas amorçage, aka implicite)
335
Q

quels furent les résultats dans l’expérience de Reber consistant à créer une nouvelle grammaire et à tester les participants sur les capacité à reproduire des séquences et reconnaître les séquences qui suivent la grammaire?

A
  • Apprentissage plus rapide lorsque séquences sont grammaticales
  • Participants reconnaissent séquences grammaticales et non-grammaticales
  • Participants ne savent pas qu’il y a des règles de construction et ne peuvent les nommer
  • Conclusion: présence d’une mémoire implicite de la grammaire
336
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Perfect et Askew consistant à faire concentrer les participants sur l’article à côté des publicités VS sur la publicité elle-même?

A
  • concentré sur article/incident = ne reconnaissent pas beaucoup de publicités + évalue plus positivement les publicités déjà vues
  • concentré sur publicité/délibéré = reconnaît plus de publicités + évalue plus positivement les publicités déjà vues
337
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Perfect et Askew consistant à faire concentrer les participants sur l’article à côté des publicités VS sur la publicité elle-même?

A
  • Effet positif similaire pour conditions explicite ou implicite
  • Indique que seule la mémoire implicite est impliquée dans le changement d’attitudes, sinon changement d’attitudes serait plus grand pour condition délibérée (explicite)
  • Pas besoin de mémoriser les pubs pour qu’elles soient efficaces et vues comme plus positives
338
Q

quelle est la différence entre la mémoire épisodique et la mémoire autobiographique?

A
  • Épisodique: mémoire pour les expériences en général. Ex: je sais que mon frère est marié et que j’y suis allé
  • Autobiographique: mémoire pour des expériences spécifiques de notre vie, qui peuvent inclure des éléments épisodiques et sémantiques. Ex: je me rappelle être allé au mariage de mon frère
339
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Bartlett visant à déterminer on possède une mémoire mot-à-mot et si notre mémoire diffère de véritable récit/événement?

A
  • Reproduction parfaite (au sens littéral) impossible
  • Style, rythme, mode précis de construction de l’histoire oubliés
  • Signification générale demeure
  • Types de changements: simplification, omission/ajout/ et transformation de détails sous forme plus familière selon notre culture
  • Si intervalle plus long, histoire plus courte, mais sens général demeure stable
340
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Bartlett visant à déterminer on possède une mémoire mot-à-mot et si notre mémoire diffère de véritable récit/événement?

A
  • MLT n’est pas un “dictaphone”
  • MLT et récupération principalement basées sur sens “plutôt stable” mais détails instables
  • MLT est (re)constructive et imprécise (réinterprétation constante pour concorder avec histoire/connaissances personnelles)
341
Q

qu’est-ce qu’une mésattribution de source?

A
  • Erreur d’identification de source
  • Attribution de souvenirs à des sources incorrectes/croire que l’on a vu/entendu quelque chose, mais ce n’est pas le cas. Ex: identifier le mauvais suspect parce qu’il semble familier
342
Q

qu’est-ce que l’éphémérité de la mémoire?

A

Accessibilité décroissante de la mémoire avec le temps

343
Q

qu’est-ce que la distraction en mémoire?

A
  • Manques d’attention/oublier de faire des choses (encodage/récupération)
    Ex: oublier où sont vos clés
344
Q

qu’est-ce que le blocage en mémoire?

A

Inaccessibilité temporaire d’info enregistrée

Ex: sur le bout de la langue

345
Q

qu’est-ce que la persistance en mémoire?

A

Souvenirs non-voulus que les gens sont incapables d’oublier

Ex: PTSD

346
Q

qu’est-ce que le biais en mémoire?

A

Distorsions rétrospectives produites par connaissances/croyances courantes
Ex: insatisfaction présente avec relation peut mener à réinterprétation négative d’événements passés

347
Q

qu’est-ce que la suggestibilité en mémoire?

A

Incorporation d’info trompeuse en mémoire avec questions tendencieuses, tromperie ou autres
Ex: avocats en cour

348
Q

quels sont les 7 péchés de la mémoireselon Schacter?

A
  • éphémérité
  • distraction
  • blocage
  • persistance
  • mésattribution
  • biais
  • suggestibilité
349
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Roediger et McDermott visant à créer de faux souvenirs en faisant rappeler des mots qui n’étaient pas présents dans la liste de mots?

A
  • En rappel libre: courbe de position sérielle classique (effets primauté + récence). Participants ont rapporté les mots critiques jamais présentés aussi souvent que les mots de la liste les moins rapportés (voir graphique cours 11.2 diapo 17)
  • En reconnaissance: reconnaissent aussi lorsque les mots n’ont pas été étudiés (appâts) et sont non-reliés. Participants très inexacts pour reconnaître mots critiques comme nouveaux
350
Q

que peut-on conclure suite aux résultats de l’expérience de Roediger et McDermott visant à créer de faux souvenirs en faisant rappeler des mots qui n’étaient pas présents dans la liste de mots?

A
  • On peut produire de faux souvenirs en associant du nouveau matériel avec du matériel précédemment appris et sémantiquement relié
  • Souvenirs” rappelés avec haut niveau de confiance
  • Mésattribution (attribuent mémoire du mot à la présentation de la liste)
351
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Bransford et Johnson sur l’influence des inférences sur la mémoire de reconnaissance d’une historie?

A
  • Probabilité égale de reconnaître laphrase comme provenant de l’histoire entre contrôle et expérimental si histoires identiques ou histoires non-reliées
  • Probabilité de reconnaissance plus élevée dans la condition expérimentale, car inférence d’instruments ou de conséquences

voir graphique cours 11.2 diapo 22

352
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Bransford et Johnson sur l’influence des inférences sur la mémoire de reconnaissance d’une historie?

A
  • Participants dans condition expérimentale (histoire suggère des choses) ont inféré des détails supplémentaires dans l’histoire originale
  • Récupération: connaissance courante influence ou déforme mémoire épisodique rétroactivement (biais)
353
Q

quelles furent les prédictions lors de l’expérience de Loftus, Burns, et Miller visant à vérifier comment l’info introduite après un événement influence le souvenir du témoin pour cet événement?

A

Quand participants exposés à information trompeuse post-événement, information intégrée dans la représentation mnésique de l’événement, causant une reconstruction ou altération de la véritable info enregistrée en mémoire

354
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Loftus, Burns, et Miller visant à vérifier comment l’info introduite après un événement influence le souvenir du témoin pour cet événement?

A
  • Information conséquente avec panneau présenté dans diapo originale: 75%
  • Information inconséquente avec panneau présenté dans diapo originale: 41%
355
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Loftus, Burns, et Miller visant à déterminer si info introduite suite à un événement a un impact différent selon qu’elle soit introduite immédiatement après l’événement vs juste avant le test final?

A

Immédiat

  • En moyenne, intervalle de rétention + long = baisse performance, car éphémérité
  • Information conséquente aide, information trompeuse nuit, car suggestibilté
  • Info trompeuse perd de l’influence avec le temps, car événement/info trompeuse s’effacent toutes les deux

Délai

  • intervalle + long = baisse performance (éphémérité)
  • Information conséquente aide, information trompeuse nuit, car suggestibilté
  • Info trompeuse gagne de l’influence avec le temps, car événement s’efface (trace +faible, + facile à altérer), mais info trompeuse fraîche

voir graphique cours 11.2 diapo 29

356
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Loftus, Burns, et Miller visant à déterminer si info introduite suite à un événement a un impact différent selon qu’elle soit introduite immédiatement après l’événement vs juste avant le test final?

A
  • On peut modifier les souvenirs en utilisant de l’info trompeuse post-événement
  • Si info trompeuse présentée tout de suite après l’événement, perd de son influence négative à mesure que l’on allonge l’intervalle de rétention avec le test de reconnaissance
  • Si info trompeuse présentée tout de suite avant test de reconnaissance, gagne influence négative à mesure que l’événement original est plus éloigné
357
Q

qu’est-ce que la connaissance conceptuelle?

A

la connaissance qui nous permet de reconnaître des évènements et objets ainsi que de faire des inférences sur leurs caractéristiques

358
Q

qu’est-ce qu’un concept?

A

représentation mentale d’une catégories d’objets, d’événements ou d’idées abstraites. Ils fournissent des règles pour trier les objets en catégories

359
Q

qu’est-ce que la catégorisation?

A

processus par lequel les choses sont placées en catégories

360
Q

en catégorisation, qu’est-ce que l’approche classique/définitionnelle et pourquoi ne fonctionne-t-elle pas?

A
  • on décide si quelque chose est membre d’une catégorie en déterminant si cette chose rencontre la définition de la catégorie
  • ne fonctionne pas pour la plupart des objets (ex: un bean bag est ne rencontre pas la définition typique d’une chaise)
361
Q

en catégorisation, qu’est-ce que l’approche de la ressemblance famillière?

A
  • réfère à l’idée que les membres d’une même catégorie se ressemblent
    entre eux de plusieurs façons
  • pas de propriétés nécessaires
  • Si l’objet à classer possède assez de propriétés en commun avec une représentation mentale donnée (prototype ou exemplaires), alors il est classé comme un membre de cette catégorie
362
Q

en catégorisation, qu’est-ce que l’approche du prototype?

A
  • l’accès à une catégorie passe par la comparaison de l’objet à un prototype qui représente le membre typique de la catégorie (plus grand score RF).
  • le prototype est basé sur la moyenne des membres de la catégories, il n’est pas lui-même un membre de la catégorie
363
Q

dans l’approche du prototype, que signifient une typicité haute VS basse

A
  • haute: l’objet ressemble beaucoup au prototype de la catégorie
  • basse: l’objet ressemble très peu au prototype de la catégorie
364
Q

quel lien peut-on faire entre la ressemblance famillière et la typicité des objets?

A

les objets à haute typicité dans une même catégorie ont également une haute ressemblance famillière (ressemblent tous au même prototype, donc se ressemblent aussi entre eux)

365
Q

qu’est-ce que le protocole de ressemblance famillière? que révèle-t-il à propos du niveau de ressemblance famillière?

A
  • nommer le plus de caractéristiques communes entre les objets de la liste
  • plus un item a de caractéristiques communes avec les autres items de la catégorie, plus la ressemblance famillière est élevée
366
Q

en quoi consiste la technique de vérification par affirmation permettant de vérifier la typicité d’objets?

A
  • on présente une affirmation aux participants et ils doivent répondre s’ils croient que l’affirmation est vraie ou fausse. Ex: une pomme est un fruit
  • les participants répondent plus rapidement pour des objets qui ont une haute typicité (effet de typicité)
367
Q

qu’est-ce que l’effet de typicité retrouvé dans la technique de vérification par affirmation?

A

les participants jugent plus rapidement la véracité d’une affirmation pour des objets qui ont une haute typicité

368
Q

quels furent les résultats dans l’expérience consistant à demander aux participants de nommer le plus d’objets d’une même catégorie?

A

tendance à nommer les membres les plus typiques de la catégorie en premier

369
Q

vrai ou faux? les objets typiques sont davantage affectés par l’amorçage (priming).

A

vrai

370
Q

en quoi consiste l’expérience de Rosch concernant l’amorçage (priming) avec des couleurs?

A
  1. participants entendent l’amorce, qui est une couleur
  2. délai, puis voient une paire de couleurs
  3. doivent presser si les couleurs de la paire sont pareilles ou différentes
371
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch concernant l’amorçage (priming) avec des couleurs?

A
  • réponses plus rapides quand la paire de couleur était de la même couleur ET la même que l’amorce que si de la même couleurs mais pas celle de l’amorce
  • quand ils entendaient la couleur de l’amorce, ils s’imaginaient une couleur très typique de cette catégorie de couleur
  • supporte l’idée qu’on se crée des images pour les prototypes en réponse au nom des couleurs
372
Q

en catégorisation, qu’est-ce que l’approche de l’exemplaire?

A
  • Les concepts sont l’ensemble de tous les exemplaires rencontrés précédemment
  • Pas de représentations sommaires (règles/prototype)
  • Explique l’effet de typicité (car rencontré l’exemplaire plus souvent, donc peuvent répondre plus rapidement)
373
Q

dans l’approche de l’exemplaire, qu’est-ce qu’un exemplaire?

A

un membre de la catégorie qu’une personne a rencontré dans le passé

374
Q

quelle approche en catégorisation semble être la meilleure? pourquoi?

A

l’approche de l’exemplaire

  • utiliser des exemples de la vie réelle permet davantage de considérer les cas moins typiques, comme des oiseaux qui ne volent pas.
  • requiert qu’on ne se rappelle que de quelques exemples qui varient de la normale
375
Q

sommes-nous bons à tout âge pour prendre en considération les exceptions?

A

non

  • en apprenant à propos des catégories, on moyennerait les exemplaires en prototypes, puis éventuellement, certains exemplaires deviendraient plus forts
  • en début d’apprentissage, on serait donc moins bon pour considérer les exceptions
376
Q

quels sont les 3 niveaux de la catégorisation selon Rosch?

A
  1. superordonné (global)
  2. base
  3. surbordonné (spécifique)
377
Q

Rosch propose que le niveau de base est psychologiquement spécial. Pourquoi?

A

parce que monter de catégorie (vers superordonné - global) mène à une plus grande perte d’information

378
Q

en quoi consiste le protocole de nommer des choses?

A

écrire le plus rapidement possible un mot qui identifie la photo présentée

379
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch consistant à indiquer aussi rapidement que possible si une photo fait partie d’une catégorie nommée?

A

tâche accomplie plus rapidement pour les catégories de base que pour les catégories superordonnées (global)

380
Q

comment nos connaissances peuvent-elles affecter la catégorisation (experts)?

A
  • les experts apprennent à porter attention à des caractéristiques spécifiques, ce qui leur permet de répondre à des questions comme “de quel animal s’agit-il” par “un merle” (subordonné) au lieu de ‘un oiseau” (base)
  • on ne focus pas tous sur le même niveau de catégorisation. Plus d’expertise et de familiarité avec une certaine catégorie = niveau plus spécifique
381
Q

qu’est-ce que l’approche par réseau sémantique?

A
  • propose que les concepts sont arrangés en réseaux.
  • la façon de stocker les propriétés partagées une seule fois sur un nœud de niveau supérieur est appelée « économie cognitive »
  • rend plus efficace, mais problème, car par exemple, pas tous les oiseaux volent
382
Q

y a-t-il une région spécifique du cerveau dans laquelle se trouvent les réseaux et noeuds mentionnés dans l’approche du réseau sémantique?

A

non, mais le temps que ça prend pour récupérer de l’information à propos d’un concept dépend de la distance voyagée entre les réseaux
Ex: devrait prendre plus de temps pour répondre “oui” à “le canari est un animal” (subordonné à superordonné) qu’à ‘le canari est un oiseau” (subordonné à base)

383
Q

qu’est-ce que l’activation de propagation?

A
  • activité qui se répand le long de n’importe quelle lien qui est connecté à un noeud activé
  • les concepts additionnels qui reçoivent l’activation propagée deviennent amorcés (primed), donc peuvent être plus facilement récupérés de la mémoire
384
Q

quelles furent les critiques de l’approche par réseau sémantique (approche classique)?

A
  • n’explique pas l’effet de typicité dans lequel le TR pour le jugement de la véracité d’une affirmation est plus rapide pour des membres typiques d’une catégorie. Ex: “le canari est un oiseau” et “l’autriche est un oiseau” devrait avoir le même TR, car tous les 2 au même niveau, mais pas le cas.
  • évidence qui montre que les gens stockent des propriétés spécifiques de concepts au noeud de ce concept
385
Q

quelles sont les fonctions des concepts?

A
  • Filtrage pour structure le monde naturel
  • Économie cognitive
  • Prédiction pour généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets de la même catégorie
  • Communication plus facile si on partage des concepts
386
Q

qu’est-ce qu’une représentation sommaire et à quel type d’approche de catégorisation appartient-elle?

A
  • Représentation d’un concept est une description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les exemplaires spécifiques également)
  • Approche classique/définitionnelle
387
Q

Dans L’approche classique/définitionnelle, les caractéristiques mentionnées dans la définition du concept dont individuellement _____ et conjointement _____

A
  1. nécessaire

2. suffisantes

388
Q

qu’est-ce qu’un concept disjoncif?

A

avoir une caractéristique OU une autre permet de faire partie du groupe. Pas nécessaire d’avoir les 2

389
Q

“Si concept X est un sous-ensemble de concept Y, alors les caractéristiques définitoires de Y sont incluses dans X”

À quelle approche de catégorisation cela s’applique-t-il?

A

Approche classique/définitionnelle

390
Q

en quoi consiste l’approche par réseau sémantique de Collins et Quillian?

A
  • Approche classique sans des postulats restrictifs: théorie très puissante et prédictive
  • Inclusion: le sous-ensemble (plus précis) hérite des caractéristiques de l’ensemble plus général (super-ensemble)
  • On a le droit d’annuler une caractéristique un sous-ensemble ne contient pas réellement cette caractéristique (on n’enlève pas «peut voler» au niveau de oiseaux, on fait juste spécifier sous «autruche» que ça ne s’applique pas à lui)
391
Q

en quoi l’approche par réseau sémantique de Collins et Quillian est-elle différente de l’approche classique?

A
  • Représentation hiérarchique des sous-ensembles = économie cognitive car caractéristique stockée une seule fois à un seul niveau
  • Propagation de l’activation explique amorçage sémantique
392
Q

quelles furent les prédicions lors de l’expérience de Collins et Quillian consistant à calculer le TR pour dire si un concept fait partie d’un autre concept ou si tel concept comprend telle caractéristique

A
  • Temps de réaction sont additifs (S2 = S0+S1+S2)
  • Prend plus de temps pour dire propriété que appartenance, car doit changer de niveau + vérifier la propriété), donc graphique //
393
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Collins et Quillian consistant à calculer le TR pour dire si un concept fait partie d’un autre concept ou si tel concept comprend telle caractéristique

A
  • Prend toujours plus de temps vérifier une caractéristique qu’un concept
  • Prend plus de temps à mesure qu’on voyage dans le réseau
  • Processus additif
  • Graphique //
  • Soutien pour approche hiérarchique en réseau
394
Q

quelles furent les prédictions lors de l’expérience de Meyer et Schvaneveldt visant à savoir si les TR sont plus rapides pour dire que ce sont 2 vrais mots quand ils sont associés sémantiquement ou quand ils ne le sont pas?

A

Si mots font partie d’une organisation sémantique qui associe les mots ensemble selon le sens et qui fait de la propagation de l’activation, alors il sera plus rapide de juger si 2 items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés

395
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Meyer et Schvaneveldt visant à savoir si les TR sont plus rapides pour dire que ce sont 2 vrais mots quand ils sont associés sémantiquement ou quand ils ne le sont pas?

A
  • Plus rapide de juger si deux items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés
  • Soutien pour principe depropagation de l’activation
396
Q

quels sont les problèmes théoriquespour l’approche classique

A
  • Représentations sommaires sont trop restrictives (trop d’exceptions dans les catégories, caractéristiques distinctives, mais il faudrait que la définition les couvre tous, etc.)
  • Difficile à trouver une définition qui inclut ses membres et exclut ses non-membres
  • Concepts disjonctifs existent
397
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch visant à montrer que le postulat de l’approche classique “tous les exemplaires sont égaux” est erroné en jugeant de la typicité d’items

A
  • Structure catégorielle: Floue au lieu de “tout-ou-rien”
  • Appartenance catégorielle serait basée sur ressemblance globale ou typicité au concept, et non définitions strictes
  • Ne peut être expliqué par approche classique
398
Q

quelless furent les prédictions lors de l’expérience de Rips, Shoben et Smith visant à voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau à l’aide d’une technique de vérification de phrases

A

Si Collins et Quillian ont raison (approche de réseau sémantique):
- Prend plus de temps dire qu’une vache est un animal que dire qu’une vache est un mammifère, car la catégorie vache est plus proche de mammifère que d’animal dans le réseau

399
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rips, Shoben et Smith visant à voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau à l’aide d’une technique de vérification de phrases

A
  • Prend plus de temps pour dire qu’une vache est un mammifère que dire qu’une vache est un animal
  • On est plus habitué de traiter ces catégories comme des types d’animaux que des types de mammifères. Pas habitués à traiter la catégorie des mammifères
400
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Rips, Shoben et Smith visant à voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau à l’aide d’une technique de vérification de phrases

A
  • Effets de typicité ont une influence sur temps de réaction pour catégorisation
  • Approche par réseau sémantique est donc invalide
401
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch visant à montrer la supériorité de la catégorie de base dans des taxonomies organisées hiérarchiquement en demandant de lister un maximum de caractéristiques en 90 secondes à l’aide des noms de catégories?

A
  • Superordonné: nombre plus bas de propriétés, suivi du niveau de base (prédit par approche de réseau sémantique)
  • Pas d’ajout d’information significatif entre niveau de base et subordonné (contredit approche de réseau sémantique)

donc subordonné = base > superordonné

402
Q

si l’approche de réseau sémantique avait raison, quels auraient été les résultats dans l’expérience demandant de lister un maximum de caractéristiques en 90 secondes à l’aide des noms de catégories?

A

les participants auraient nommé plus de caractéristiques à mesure qu’ils descendent dans les niveau
surbordonné > base > superordonné

403
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch consistant à décider si l’objet fait partie d’une catégorie spécifique (tous niveaux de catégorie testés pour chaque objet)?

A
  • TR plus rapide pour niveau de base
  • TR le plus long: décider si un objet fait partie d’une catégorie subordonnée
  • base
404
Q

si l’approche de réseau sémantique avait raison, quels auraient été les résultats dans l’expérience consistant à décider si l’objet fait partie d’une catégorie spécifique (tous niveaux de catégorie testés pour chaque objet)?

A

participants prendraient moins de temps à déterminer l’appartenance au niveau subordonné (S0

405
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Rosch consistant à décider si l’objet fait partie d’une catégorie spécifique (tous niveaux de catégorie testés pour chaque objet)?

A
  • Avantage psychologique ou privilège pour les catégories du niveau de base
  • Contredit la représentations mentales “tout ou rien” (pas de niveaux) de l’approche classique
  • Contredit approche par réseau sémantique selon laquelle niveau le plus élevé devrait être le plus inclusif
  • Niveau de base = niveau où les items sont les plus similaires les uns aux autres tout en étant distinctifs
406
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Tanaka et Taylor visant à savoir si les experts vont aussi automatiquementau niveau de base en listant des propriétés?

A
  • Novices: base > subordonné (prédit par Rosch)
  • Experts: base = subordonné
  • Preuve que les experts organisent les concepts au niveau subordonné (habitués de classer au niveau subordonné, donc peuvent ajouter plus de caractéristiques)
407
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Tanaka et Taylor visant à savoir si les experts vont aussi automatiquementau niveau de base en classant des objets?

A
  • Novices: base < subordonné (prédit par Rosch)
  • Experts: base = subordonné
  • Preuve que les experts organisent les concepts au niveau subordonné (connaissent plus)
408
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Rosch et Mervis consistant à juger de la typicité d’iems et lister des propriétés (calcul score de ressemblance familière)

A
  • Haute corrélation entre jugements de typicité et mesure de ressemblance familière pour toutes catégorie
  • Item plus typique partage plus de propriétés avec les autres membres de la catégorie (et moins avec les membres d’autres catégories)
409
Q

qu’est-ce que le score de ressemblance familière?

A
  • Nombre d’autres items pour lesquels une propriété spécifique est partagée
  • Somme pour toutes propriétés de l’item étudié
  • Un item typique présente les caractéristiques les plus typiques de la catégorie (aka les caractéristiques les plus partagées dans la catégorie).
  • Plus il est typique, plus son score de ressemblance familière est élevé
410
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Rosch et Mervis consistant à juger de la typicité d’iems et lister des propriétés (calcul score de ressemblance familière)

A
  • Ressemblances familiales utilisées dans le processus de catégorisation
  • On utilise propriétés “non-nécessaires” ou caractéristiques
  • Lorsqu’un item montre le plus grand score de ressemblance familière, on dit que c’est le prototype de la catégorie
411
Q

quels sont les 2 modèles basés sur la similarité dans l’approche de la ressemblance familière?

A
  • Approche prototypiste

- Approche exemplariste

412
Q

vrai ou faux? Les concepts sont des prototypes

A

vrai.
ce sont des représentations abstraites et sommaires dérivées en “moyennant” tous les exemplaires rencontrés d’une catégorie donnée

413
Q

quels sont les 2 types de moyennage dans l’approche des prototypes?

A
  • Choisir la valeur la plus commune pour chaque propriété (lorsque les propriétés peuvent être identifiées)
  • Moyenne mathématique (lorsque les propriétés ne peuvent être identifiées)
414
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Posner et Keele visant à montrer que des prototypes peuvent être acquis et utilisés (coglab)?

A
  • lors de la tâche, les distorsions (examplaires) vus dans la phase d’induction auront un TR plus bas et un taux d’exactitude plus haut, car effet de pratique
  • Tous les nouveaux items classés de façon moins exacte (au hasard) et plus lentement que les anciens items
    OU
  • Représentations mentales prototypiques ont été développées même si prototypes jamais présentés, donc prototypes jamais vus seront classés avec exactitude et rapidement et la performance des nouvelles distorsions va dépendre de la ressemblance au prototype (distorsions faibles vs fortes)

voir graphique cours 12.2 diapo 22

415
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Posner et Keele visant à montrer que des prototypes peuvent être acquis et utilisés (coglab)?

A
  • Anciens exemplaires classés avec exactitude et rapidité (tel que prédit)
  • Les prototypes catégoriels classés avec exactitude et rapidité, même si jamais vus à l’apprentissage
  • Performance pour autres nouvelles distorsions est une fonction de leur similarité au prototype catégoriel (niveau de distorsion)
416
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Posner et Keele visant à savoir si la mémoire des prototypes est durable?

A
  • L’avantage pour les anciens items disparait avec temps
  • Performance pour prototype élevée et stable même après délai d’une semaine
  • Performance pour nouveaux exemplaires prédite par niveau de similarité au prototype après une semaine

voir graphique cours 12.2 diapo 25

417
Q

comment peut-on interpréter les résultats de l’expérience de Posner et Keele visant à savoir si la mémoire des prototypes est durable?

A
  • Les prototypes (aka des moyennes des exemplaires vus pendant l’apprentissage) sont développés comme représentations catégorielles/concepts
  • Ces représentations sont durables
  • Soutien pour l’approche prototypiste
418
Q

quelles furent les hypothèses lors de l’expérience de Medin et Schaffer visant à montrer que la classification se fait exclusivement sur la base des exemplaires mémorisés?

A
  • Si prototypes sont acquis pendant la tâche, alors exemplaires hautement similaires au prototype devraient être appris plus facilement (taux d’erreur plus bas)
  • Si seulement les exemplaires sont mémorisés et pas de prototype, alors exemplaires hautement similaires à d’autres exemplaires dans la même catégorie, et dissimilaire aux exemplaires de l’autre catégorie, devraient être appris plus facilement
419
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Medin et Schaffer visant à montrer que la classification se fait exclusivement sur la base des exemplaires mémorisés?

A

preuves soutenant un modèle exemplariste au détriment d’un modèle prototypiste

voir cours 12.2 diapos 36 à 41

420
Q

quels furent les résultats de l’expérience de Brady et al. visant à démontrer une capacité minimale pour la mémoire des exemplaires distincts (regarder 2896 images et noter les doublons)?

A

Lorsque les items répétés sont séparés par plus de 1000 items, on détecte les doublons 79% du temps

421
Q

quels furent les résultats de l’expérience de reconnaissance de Brady et al. (nouveau, exemplaire et état)

A

Performance près de 90% peu importe la condition, après 2896 images

422
Q

quelles sont les conclusions de Brady et al. suite à ses expériences sur la capacité de la MLT visuelle?

A
  • Notre cerveau enregistre tout ce qu’on voit!
  • Le niveau de détail de nos souvenirs d’exemplaires est excessivement précis
  • Soutien solide pour modèles exemplaristes
423
Q

quels sont les arguments théoriques contre les modèles exemplaristes?

A
  • font du sens dans le cadre d’expériences contrôlées avec des petites catégories mal définies, mais dans la vraie vie
  • Certains exemplaires sont plus importants que d’autres. Ex: Votre propre chien
  • On ne peut pas représenter une structure hiérarchique avec un modèle exemplariste, mais on peut avec un modèle prototypiste
  • N’explique pas l’avantage du niveau de base
  • Ne tient pas compte des effets de contexte, ou des croyances
  • On ne peut pas généraliser à partir d’un exemplaire (VS on peut à partir d’un prototype)