Neuro. et santé mentale Flashcards
La suractivation de l’axe HPA contribue au maintient de l’anxiété à long terme
Vrai
Une atrophie de l’hippocampe contribue au maintient de l’anxiété à long terme
Vrai
Un dysfonctionnement dans le système GABA
contribue au maintient de l’anxiété à long terme
Vrai
Une augmentation de la dopamine contribue au maintient de l’anxiété à long terme
Faux
Un faible niveau de cortisol contribue au maintient de l’anxiété à long terme
Faux
La sécrétion de cortisol par les glandes surrénales décrit l’activation de l’axe sympathique-adréno-médullaire lors d’une réponse au stress
Faux
Activation rapide pour un état d’alerte et de vigilance décrit l’activation de l’axe sympathique-adréno-médullaire lors d’une réponse au stress
Vrai
Libération d’adrénaline et de noradrénaline décrit l’activation de l’axe sympathique-adréno-médullaire lors d’une réponse au stress
Vrai
Permet principalement des effets à très long terme décrit l’activation de l’axe sympathique-adréno-médullaire lors d’une réponse au stress
Faux
Les troubles anxieux se caractérisent par une activation des différents circuits et structures impliqués dans les réponses de stress et de peur alors que ce n’est pas approprié s’applique aux troubles d’anxiété
Vrai
La prévalence des troubles d’anxiété est plus élevée chez l’homme s’applique aux troubles d’anxiété
Faux
Le stress est une réponse physiologique normale créé par le cerveau pour nous aider à faire face à des stimuli réels ou imaginaires s’applique aux troubles d’anxiété
Vrai
La majorité des troubles anxieux se développent à l’enfance s’applique aux troubles d’anxiété
Vrai
Des anomalies dans l’axe HPA (hypothalamo-hypophysaire corticotrope) contribuent au trouble de stress post-traumatique
Vrai
Une diminution du volume de l’hippocampe, qui peut mener à des déficits dans le traitement contextuel et des souvenirs intrusifs contribue(nt) au trouble de stress post-traumatique
Vrai
Une diminution de l’activité de l’amygdale, qui peut mener à une absence de réponse à la peur contribue(nt) au trouble de stress post-traumatique
Faux
Des anomalies au niveau neurochimiques, notamment une hyperactivation des systèmes noradrénergiques et une augmentation de la quantité de glutamate contribue(nt) au trouble de stress post-traumatique
Vrai
Diminution de la dopamine, de la sérotonine et de la noradrénaline impliqué(s) dans la dépression selon l’hypothèse des monoamines
Vrai
Augmentation de la dopamine, de la sérotonine et de la noradrénaline impliqué(s) dans la dépression selon l’hypothèse des monoamines
Faux